Archive for mars 2010

La majorité s’effrite et Sarko se venge sur Rachida Dati.

mars 31, 2010

Il y a d’abord Juppé qui envisage publiquement que Sarko ne se présente pas en 2012, tout en se déclarant candidat, notons que la mannequin premiere dame a déclaré 3 fois qu’elle ne souhaitait pas que son mari se présente à nouveau à l’élection présidantielle, afin de préserver sa santé… psychologique il va s’en dire !

Juppé s’est prononcé contre le bouclier fiscal. source

Villepin crée son parti et se prononce contre le bouclier fiscal. source

Raffarin critique ouvertement le style de sarkozy :  » Le sénateur de la Vienne a estimé, dans une interview accordée à l’Express, que « l’hyperprésidence » de Nicolas Sarkozy était une « impasse institutionnelle. » Pour lui, le chef de l’Etat « déroute » en proposant « une forme de désacralisation de la fonction présidentielle. » source

Marriani se lache totalement :  » Le député UMP Thierry Mariani, longtemps fidèle parmi les fidèles de Nicolas Sarkozy, a annoncé qu’il boycotterait la rencontre, cet après-midi à l’Elysée, des élus UMP avec le chef de l’Etat en lançant : « quand on est pris pour un con, il faut savoir terminer les choses ».

Interrogé par l’AFP sur ses attentes par rapport à la rencontre, l’ancien candidat UMP à la présidence du Conseil régional de Paca a répondu : « je n’irai pas, tout comme je n’irai pas au dîner demain soir à l’Elysée avec l’ensemble des têtes de liste UMP des régionales ». « Quand on est pris pour un con, il faut savoir, à un moment, terminer les choses ! », s’est-il justifié, sans vouloir préciser les raisons de sa colère.source

Et voila que des députés s’y mettent aussi :  » Treize députés UMP ont annoncé aujourd’hui qu’ils allaient demander la suspension du bouclier fiscal dans une proposition de loi, juste avant la rencontre du groupe UMP avec le chef de l’Etat à l’Elysée. » source

Sarkozy se fait allumer par ses proches, c’est trop marrant, regardez ce qu’il a fait à Rachida Dati :

 » Froisser le chef de l’Etat n’est vraiment pas une bonne idée en ce moment. Rachida Dati en aurait fait les frais récemment, Nicolas Sarkozy la privant du véhicule que lui fournit le ministère de l’Intérieur (une Peugeot 607), ainsi que son chauffeur et ses quatre officiers de sécurité, rapporte ce mercredi le Canard Enchaîné.
Motif? Le président de la République aurait été irrité par les propos de l’ex-garde des Sceaux qui, au soir du premier tour des élections régionales, prônait à la télévision un «retour aux fondamentaux» après les mauvais résultats de l’UMP. Sauf qu’elle n’était même pas candidate. «Mais qu’est-ce qu’elle fait là, celle-là? On ne l’a pas vue pendant la campagne, et la voilà devant les caméras», aurait déclamé Nicolas Sarkozy.  » source

Et pendant ce temps la, sarko est aux USA est selon la journaliste de canal +, la presse US n’en parle pas, LOL

Les deux dernières années du mandat vont être délirantes….

Hutaree, la milice qui voulait déclencher une guerre

mars 31, 2010

Accusés de conspiration et de tentative d’utilisation d’armes de destruction massive, neuf membres d’une milice anti-gouvernementale baptisée Hutaree ont été arrêtés ce week-end aux États-Unis. Ils risquent la prison à vie. Selon l’acte d’accusation, ces chrétiens extrémistes basés au Michigan avaient pour objectif de renverser le gouvernement fédéral en déclenchant un conflit armé. Ils avaient tout prévu.

La première étape de leur complot consistait à assassiner un officier de police dans le Michigan. Ils devaient ensuite attaquer les funérailles de ce dernier afin de tuer le maximum de ses collègues venus lui rendre un dernier hommage. Une attaque qui, selon l’accusation, avait pour but de déclencher un conflit généralisé avec les forces de l’ordre.

Sur leur site Web, ces « guerriers chrétiens » clament haut et fort leur credo : donner leurs vies pour sauvegarder le témoignage de Jésus. Armés jusqu’aux dents, les membres de Hutaree disent surtout se préparer et s’entraîner pour affronter le retour de l’Antéchrist…
Le phénomène des milices armées est enraciné dans l’histoire des États-Unis. Mais cette nouvelle affaire vient mettre en lumière la radicalisation galopante de certains groupuscules extrémistes contre l’État fédéral. Selon le Southern Poverty Law Center (SPLC), le nombre de milices « patriotes » a grimpé de 149 à 512 en un an, soit une progression de 244 %.

france 24

LOL, ils ont des bonnes tetes de dingues, allez savoir si ce que l’on reproche est réel et dans quelles mesures ces informations sont tangibles, je n’en sais rien, mais ça pue la manipulation psychologique préparant les esprits à des futurs attentats et à plus de contrôle.
Si Obama est sincère dans sa volonté de stopper la colonisation, s’aliénant clinton et tous les tarés sionistes, je le vois bien se faire assassiner. Les extrémistes juifs sont capable du pire

quelques liens

mars 30, 2010

War Games: Israel gets ready to Strike at Iran\'s Nuclear Sites

Washington ratchets up war threats against Iran

USA : la moitié des prêts immobiliers renégociés sont en défaut de paiement au bout de 9 mois (Bloomberg)

The world\'s oil reserves have been exaggerated by up to a third, according to Sir David King, the Government\'s former chief scientist, who has warned of shortages and price spikes within years.

Hôtellerie US : revenus en baisse de 20% – 16% des emprunts immobiliers en retard de paiement (Fitch) via contre info

Netanyahu\'s brother-in-law calls Obama \'anti-Semitic\'

Libermann: \"La demande américaine de cesser la colonisation est impossible\"

Senate votes to extend Patriot Act Democrats retreat from adding new privacy protections to the law

Grande Bretagne – USA : Les relations spéciales anglo-américaines contestées

L\'OMS sous influence de l\'industrie pharmaceutique

Merkel veut le soutien de la Turquie sur la question iranienne
JUAN COLE: « DIX FAUSSES CROYANCES SUR L’IRAN »

Bernanke réconforte, la dette des Etats inquiète

Affaire Kerviel: plainte aux Etats-Unis

Afghanistan : comment la CIA veut faire pression sur la France
Pour la BBC, Al Quaïda n’existe pas » \"The Power of Nighmares\" en VOSTFR

Flore Vasseur vient de publié son dernier livre \"Comment j’ai liquidé le siècle\". Après avoir enquêté, elle nous emmène à la découverte des élites mondiales et des conflits entre les empires – l’Empire américain d’une part et de l’autre la montée de la Chine – comme elle le souligne : il y a aujourd’hui \"un basculement de la puissance mondiale vers la Chine et il y a un certain nombre de partisans de l’empire américain qui refusent ce basculement.\" Flore Vasseur est diplomé HEC en 1997, et IEP de Grenoble en 1994

Fox News Poll: 79% Say U.S. Economy Could Collapse, au moins ils sont au courant de la situation, c’est très bien, espérons qu’ils vont s’y préparer…

mars 29, 2010

Most American voters believe it’s possible the nation’s economy could collapse, and majorities don’t think elected officials in Washington have ideas for fixing it.

The latest Fox News poll finds that 79 percent of voters think it’s possible the economy could collapse, including large majorities of Democrats (72 percent), Republicans (84 percent) and independents (80 percent).

Just 18 percent think the economy is « so big and strong it could never collapse. »

Moreover, 78 percent of voters believe the federal government is « larger and more costly » than it has ever been before, and by nearly three-to-one more voters think the national debt (65 percent) is a greater potential threat to the country’s future than terrorism (23 percent).

Who has a plan for dealing with the economy?

Overall, 35 percent of voters think the Obama administration has a clear plan for fixing the economy, down from 42 percent last summer (July 21-22, 2009).

At the same time the number saying the White House doesn’t have a plan for the economy has increased from 53 percent in July to 62 percent in the new poll. That includes almost all Republicans (88 percent), two-thirds of independents (67 percent), as well as a third of Democrats (33 percent).

Even fewer people think Democrats in Congress (24 percent) and Republicans in Congress (16 percent) have clear plans to fix the economy.

There is a large gap in party support, as Democrats (46 percent) are significantly more likely than Republicans (25 percent) to think their party has a strategy for the economy.

The national telephone poll was conducted for Fox News by Opinion Dynamics Corp. among 900 registered voters from March 16 to March 17. For the total sample, the poll has a margin of sampling error of plus or minus 3 percentage points.

« These results reveal a deep anxiety about the fragility of our economy, as voters face continued uncertainty about jobs and an expanding commitment to public sector spending, » said Ernest Paicopolos, a principal of Opinion Dynamics.

Three in 10 American voters (30 percent) say they are comfortable with the size and role of the federal government right now, while 65 percent say the government has become too big and « is restricting American freedoms. »

Sizable majorities of Republicans (84 percent) and independents (74 percent) think the government is too big, while just over half of Democrats (51 percent) are okay with the size of government.
fox news
traduction google

Je vous conseille vivement d’écouter un certain Dimitri Orlov dans une conférence ou il compare les résiliences ou leurs absences dans l’effondrement de l’union soviétique et des États-Unis. vidéo ici.

Les américains dans les grande majorité savent pertinement ce qui va se passer, le système va basculer, j’espère qu’ils vont s’y préparer avec tout ce que cela nécessite.

Ici ce sera pareil, le système bancaire est centralisé, le jour ou Wall Street s’effondrera, tout le système s’effondrera, c’est à ce moment la que vous serez heureux de vivre à la campagne avec vos réserves de nourriture, et si vous êtes un peu cynique et que vous aimez l’humour noir, vous pourrez toujours allumer la télé pour voir les abrutis en ville qui s’entretuent pour un bout de pain et rigoler…. Et gardez un oeil sur votre jardin, les affamés de la télé pourraient bien rappliquer chez vous…

Bref, 8 américains sur 10 savent que la situation est critique, des millions d’américains se sont déja fait expulser, le climat social est plus que tendue, ils en sont arrivés à devoir déstabiliser le monde entier pour cacher leur propre situation, les coups contre l’euro en sont le parfait exemple.

Irak: la destruction de l’Etat comme objectif de guerre

mars 29, 2010

A l’approche de l’anniversaire du déclenchement de la guerre en Irak, je pense à ce que j’écrivais il y a sept ans. Cette guerre n’avait rien à voir avec la lutte contre le terrorisme mais avait été planifiée longtemps à l’avance non pas en vue d’une démocratisation de l’Irak mais plutôt de sa destruction. J’avais été ouvertement raillé pour avoir défendu ce point de vue et ma colère était considérée au mieux comme naïve ou pathétique aux yeux de l’opinion mais pas à ceux du monde politique.

En vue de la préparation d’une soirée commémorative de ce septième anniversaire du 20 mars, je suis en train de lire : Nettoyage culturel en Irak. Pourquoi les musées furent pillés, les bibliothèques brûlées et les universitaires assassinés ? (1) L’hypothèse de base, que vous le croyiez ou pas, était que cette guerre avait dès le départ comme unique objectif la destruction de l’Etat irakien. Mais il y a plus : l’épuration culturelle, le pillage des musées, l’incendie des bibliothèques et l’assassinat des universitaires faisaient partie intégrante de la stratégie de guerre, affirment les auteurs.
L’élimination d’un Etat deviendra certainement un concept au même niveau que le génocide et ses dérivés tels que l’urbicide – destruction de villes-, le sociocide – destruction de sociétés -, le mnémocide – destruction de la mémoire collective -. Nous l’espérons d’autant plus que ces nouveaux concepts et leurs intrications ne s’appliquent pas seulement à l’Irak.

La presse a largement couvert les pillages de musées. Mais les articles sur ce sujet n’ont pas pointé la responsabilité des pouvoirs occupants contrairement à ce que stipulent les règles internationales du droit de la guerre. La presse n’a pas non plus stigmatisé comme telle cette stratégie de mnémocide. Par contre, au fil de toutes ces années, un silence assourdissant a occulté le meurtre programmé de centaines de cadres et universitaires victimes d’assassinats ciblés en Irak. Etrange, d’autant qu’au cours des trois premiers mois de l’occupation, 250 universitaires ont été tués. Le BRussels Tribunal dispose maintenant d’une liste de 437 victimes qui sert de référence mondiale. Parce que les professeurs qui ont documenté ces meurtres et disparitions ont aujourd’hui été assassinés ou contraints à l’exil, il est de plus en plus difficile de tenir cette liste à jour. Selon le Christian Science Monitor, en juin 2006 déjà, 2500 universitaires avaient été tués, enlevés ou expulsés du pays. Nul ne sait combien ont été assassinés à ce jour. On sait que des milliers ont été menacés, souvent par des enveloppes contenant des balles, et qu’ils se sont enfuis. Tout comme les universitaires, les journalistes, les médecins, les ingénieurs et les leaders spirituels ont fait l’objet d’intimidations, d’enlèvements et de meurtres. Il faut savoir que dans ces cas, il ne s’agit pas d’éliminations à caractère partisan car les statistiques ne le démontrent pas. Ce sont des autorités intellectuelles qui ont été ciblées, pas juste des Baasistes.

Il n’y a jamais eu la moindre enquête sur ces meurtres, les coupables n’ont donc jamais été identifiés, et encore moins jugés. Pourquoi ? Sans doute parce que les occupants et les nouveaux dirigeants estiment que cela est sans importance. Ou peut-être parce que les bataillons de la mort font partie de leur stratégie, comme auparavant au Salvador. C’est ce qu’affirme ce livre : l’assassinat des universitaires fait et continue à faire partie de « l’option Salvador ».

Conclusion des auteurs ? L’objectif était d’éliminer la classe intellectuelle qui aurait pu devenir le fondement naturel d’un nouvel état démocratique. C’est sinistre. A ce point sinistre qu’il est malaisé d’y croire. Et pourtant c’est vrai : l’élimination des universitaires et autres professionnels de la classe moyenne a servi le premier et plus important objectif de la guerre : la destruction de l’Etat Irakien. « Destruction d’Etat » plutôt que « reconstruction d’Etat » Selon les auteurs de l’ouvrage, ce choix d’objectif de guerre s’est fait sur base du consensus de trois parties : les néo-conservateurs qui voulaient des bases permanentes en des lieux géographiquement stratégiques de domination militaire ; Israël qui ne voulait plus d’un état puissant dans son arrière cour ; et l’industrie pétrolière qui voulait mettre la main sur les plus grands gisements au monde. Cela aussi, je l’avais écrit sept ans plus tôt.

Aujourd’hui, tout est là, noir sur blanc, avec beaucoup de notes de bas de page, bien documenté, dans un livre publié par un éditeur internationalement reconnu ( Pluto Press ). Le monde va peut-être enfin commencer à prendre conscience de la vérité. Des protestations universelles des milieux académiques seraient une bonne chose. Mais une minute de silence pour leurs collègues assassinés ne suffira pas. Parce que, et cela saute aux yeux, il ne s’agit que de la pointe émergée de l’iceberg : les enfants nés avec des malformations imputables à l’usage du phosphore blanc et de l’uranium appauvri, le manque d’eau potable, d’électricité et de soins de santé, la destruction du système d’enseignement qui a produit une génération perdue, un million et demi de morts et cinq millions de réfugiés, toutes ces choses mises ensemble font de la guerre en Irak le plus grand crime de guerre et la plus grande catastrophe humanitaire des dernières décennies. Et cela continue. Il n’y a guère d’espoir d’amélioration, surtout après les dernières élections. Ajoutons à cela les bombardements incessants et l’éclatement religieux du pays nous obtenons une image de l’enfer. Et nous, nous détournons de plus en plus la tête. Parce que nous sommes malades et fatigués de l’Irak après ces sept années ?

Cela me laisse un goût amer de réaliser combien j’avais raison avec mes thèses à propos de la destruction de l’Irak que beaucoup jugeaient absurdes. Même Bush a eu raison avec son fameux show sur le pont de l’USS Lincoln le premier mai 2003 : « mission accomplie ». Effectivement, l’Irak est détruit.

Bon anniversaire, Mister President ! Yes, tu quoque Obama.

Lieven De Cauter,
Philosophe, président du BRussells Tribunal.
Traduit de l’anglais par Oscar Grosjean pour Investig’action.

Source originale: Brussels Tribunal
http://www.michelcollon.info/

Super papier, rien à dire, nous pouvons sans problème dire que l’administration US est aussi folle et criminelle que les nazis ou les soviétiques, un pays ravagé, les élites massacrées, les populations empoisonnées…
Ne collaborez pas de manière idéologique avec ces malades d’élites occidentales travaillant main dans la main avec israél, soyez lucide sur ce que nos dirigeants font en notre nom aux musulmans du monde entier, ne l’acceptez pas, restez indignés,
L’islamophobie ambiante va très mal se terminer, soyez du coté des êtres humains, pas de celui des laches.

L’ère des robots-journalistes. C’est donc vraiment vrai, des robots journalistes pour des robots citoyens, la boucle est blouclée, et c’est effarant.

mars 29, 2010

Des chercheurs américains créent, dans le secret de leurs laboratoires, des techniques journalistiques révolutionnaires. Articles ou journaux télévisés sont conçus par des ordinateurs

A première vue, rien de surprenant. Un compte rendu de sport d’une confondante banalité: «Les efforts remarquables de Joe Mauer n’ont pas suffi à assurer la victoire des Minnesota Twins contre les Texas Rangers lundi dernier au stade d’Arlington. Les Rangers l’ont emporté sur un score de 8 à 5 […] Quand il maniait la batte, Mauer a été excellent de bout en bout. Il a marqué une fois dans la première manche et deux fois dans la sixième. Du côté des Texans, l’artisan de la victoire est sans conteste Tommy Hunter, qui a remporté avec brio son cinquième match d’affilée…»

Un article comme il en existe donc des milliers, publiés dans les pages sports de la presse américaine. Seule différence, mais de taille: il est signé «The Machine», préparé et rédigé par un programme d’intelligence artificielle, baptisé Stats Monkey.

Depuis des décennies, dans le monde, des ouvriers découvrent un beau matin qu’ils vont être remplacés par un robot. Si les journalistes se croyaient à l’abri de ce genre de mésaventure, ils avaient tort. Depuis quelques mois, ils peuvent aller à Evanston (Illinois), près de Chicago, pour voir et tester le système qui va peut-être bientôt les suppléer. Il est tapi dans un réseau d’ordinateurs appartenant au laboratoire d’information intelligente (Infolab), installé sur le campus de l’Université du Northwestern.

Pour déclencher Stats Monkey, il suffit qu’un humain lui indique à quel match il doit s’intéresser. Une fois lancé, il travaille automatiquement de A à Z. Il commence par télécharger les tableaux chiffrés publiés par les sites web des ligues de base-ball, et collecte les données brutes: score minute par minute, actions individuelles, stratégies collectives, incidents… Puis il classe cette masse d’informations et reconstruit le déroulement du match en langage informatique. Ensuite, il va puiser son vocabulaire dans une base de données contenant une liste de phrases, d’expressions toutes faites, de figures de style et de mots-clés revenant fréquemment dans la presse sportive. Il va alors rédiger un article, sans fautes de grammaire ni d’orthographe.

Il peut fournir plusieurs versions, rédigées dans un style plus ou moins imagé («Les Minnesota Twins ont: perdu/reçu une sévère correction/esquinté leurs battes en pure perte…») ou encore deux articles adoptant le point de vue de l’une ou l’autre équipe. Il ira même chercher sur Internet les photos des principaux joueurs. Le tout en deux secondes chrono, qui dit mieux? Le rêve de tout chef de service: un journaliste rapide, pas cher, sans états d’âme.

Stats Monkey a été imaginé par les professeurs Larry Birnbaum et Kris Hammond, spécialistes d’intelligence artificielle. Puis son développement a été confié à John Templon, 27 ans, diplômé de journalisme, et Nick Allen, 25 ans, informaticien. M. Allen estime que le but est quasiment atteint: «Les articles écrits par The Machine sont très proches des dépêches sportives de l’agence Associated Press (AP), qui sont souvent reprises telles quelles par les journaux.»

La première version de la liste de phrases clés a été réalisée manuellement, mais, à l’avenir, Stats Monkey l’enrichira automatiquement, en décortiquant de gros volumes d’articles écrits par des humains. Il pourra même imiter le style d’écriture de tel ou tel journaliste connu.

Une version commerciale de Stats Monkey sera bientôt accessible en ligne. Kris Hammond vise en priorité les journaux locaux et les sites web de sport, qui n’ont pas les moyens de payer des pigistes pour écrire les comptes rendus de tous les matches de leur région: «Il y a aux Etats-Unis 160 000 équipes scolaires de base-ball qui n’intéressent pas les journalistes, mais qui passionnent des millions de gens.»

Infolab a l’intention d’adapter Stats Monkey à d’autres sports, notamment le football et le basket-ball. Il souhaite également se lancer dans le secteur de la finance et de la bourse – où, là aussi, les journalistes utilisent massivement un nombre assez limité d’expressions toutes faites. A nouveau, Kris Hammond parle chiffres: «Cinquante-quatre mille sociétés américaines sont cotées en bourse, et chacune d’elles doit publier des données chiffrées, qui intéressent les actionnaires, les employés, les clients… Or, à peine 3000 d’entre elles sont suivies par la presse économique.»

Reste une question épineuse: si l’on met en place un système efficace et bon marché pour couvrir les matches locaux et la vie des PME, pourquoi ne pas étendre peu à peu son usage aux rencontres importantes et aux grosses entreprises? M. Hammond a une réponse toute faite: «Notre but est juste de fournir aux journalistes des outils qui les débarrasseront des tâches les plus répétitives et les moins intéressantes. Ils dégageront ainsi du temps pour accomplir leurs missions nobles: reportages de terrain, investigations, analyses…»

Au même étage, trois chercheurs mettent au point un système expérimental baptisé News at Seven, qui fabrique des mini-journaux télévisés pour Internet, présentés par Zoe et George, deux personnages animés. Le spectateur se contente de choisir trois thèmes d’actualité – par exemple politique intérieure, basket-ball et nouveau film – News at Seven se charge du reste. Il parcourt une série de sites d’informations pour trouver des textes pertinents, qu’il raccourcit. Puis il les envoie vers un logiciel de synthèse vocale, qui crée deux fichiers audio – une voix d’homme, et une de femme. Les textes sont aussitôt dits à l’écran par Zoe et George.

Pour les critiques de films, News at Seven apprend à faire le tri entre les articles élogieux et négatifs, grâce à un dictionnaire de mots-clés. Et il cherche sur Internet des vidéos pouvant illustrer les thèmes choisis, et les insère dans l’émission.

Dès le lancement des projets, les responsables d’Infolab avaient poussé les jeunes chercheurs à aller faire des stages de formation à l’école de journalisme Medill, rattachée à l’université. Nathan Nichols, diplômé d’informatique travaillant sur News at Seven, se souvient qu’au début la collaboration n’était pas idéale: «Des étudiants demandaient à leurs profs: faut-il vraiment aider ces gens à détruire nos futurs emplois? Et certains profs semblaient assez d’accord avec eux.» Pour combler ce fossé, Infolab et Medill ont créé en 2009 un organisme commun d’enseignement et de recherche, le Centre d’innovation en technologie, médias et journalisme, qui va accueillir des étudiants venus des deux écoles et leur apprendre à travailler ensemble.

Le rapprochement se fait aussi avec la presse. Bill Adee, directeur du département numérique du Chicago Tribune, est venu à Evanston pour étudier une éventuelle coopération avec Infolab sur des projets à venir, notamment des outils de veille pour repérer les sujets qui agitent Internet. Il a aussi invité plusieurs fois MM. Birnbaum et Hammond à la rédaction du Chicago Tribune: «Je leur donne des conseils pratiques, en adoptant le point de vue du journaliste. Ça les aide à concevoir des outils qui nous seront réellement utiles.»

M. Adee ne s’intéresse pas particulièrement à Stats Monkey, mais il sait que, face à ce rapprochement, certains de ses confrères pourraient se sentir menacés: «Dans tous les journaux, il y a des gens qui passent leur temps à écrire des comptes rendus de matches. J’espère que, si on leur en offre la possibilité, ils seront capables à l’avenir de faire autre chose.» De même, Larry Birnbaum est conscient de l’impact de ses inventions: «Nous sommes en train de créer un paysage médiatique que nous ne comprenons pas encore, mais nous savons déjà que l’organisation économique des médias devra s’y adapter. Le défi sera d’intégrer les valeurs classiques du journalisme dans ces nouveaux outils.»

En attendant, d’autres équipes travaillent sur une demi-douzaine de projets qui viendront compléter la panoplie d’Infolab. Le chercheur Francisco Iacobelli construit ainsi un système intelligent baptisé Tell Me More. Il commence par mémoriser un article politique publié sur CNN. com , puis il trouve d’autres articles traitant du même sujet, publiés par AP, Reuters, le Chicago Tribune. Si leur contenu est identique, il les rejette. En revanche, s’ils contiennent des informations supplémentaires (noms de personnes ou de lieux, chiffres, citations), il extrait les paragraphes concernés. Dans un second temps, Tell Me More va composer un nouvel article plus long et plus riche à partir du texte de CNN, auquel il aura incorporé, aux bons endroits, les phrases pertinentes tirées des autres articles. M. Iacobelli a testé ses méta-articles sur un panel de lecteurs: «Ils ne voient pas la différence avec un texte écrit par un seul auteur. Il faut dire que, très souvent, les journalistes sautent d’un sujet à l’autre sans transition.» Combiné à Stats Monkey, on imagine ce que pourrait donner Tell Me More…

Aucun aspect du journalisme n’échappe à Infolab. Patrick McNally, étudiant-chercheur, met au point un système de fabrication de bandes dessinées appelé Manatee Comics. Son but est de démonter, reproduire et automatiser le mécanisme des plaisanteries basées sur une comparaison, une chute inattendue, un paradoxe…

A ce jour, les résultats sont assez déroutants, mais M. McNally semble sûr de lui: «Je vais prouver qu’une machine peut générer du contenu humoristique de façon robuste et régulière.» A terme, toute intervention humaine sera éliminée: Manatee Comics choisira le sujet de sa BD du jour en allant consulter Google pour connaître les événements les plus recherchés et les plus commentés par les internautes. 
Le Temps

Après la bouffe sans saveur, voila le journalisme sans humain, c’est dingue. Des robots journalistes pour des robots ou des zombies citoyens, en même temps ça se tient.
Ce qui est sure, c’est que la puissance de calcul des processeurs augmentant sans cesse, il arrivera un moment ou un ordinateur pourra faire des articles sur tous les sujet du monde, et cela mieux qu’un humain, ce n’est qu’une question de temps.
Du coup je suis assez partagé, d’un coté je trouve cela horrible et de l’autre l’ IA me fascine, lorsque ce sera le moment, il faudra prendre en compte l’avis de la machine, simplement l’avis, il est bien évidement hors de question de laisser l’IA prendre des décisions stratégiques pour les humains.

Nous vivons dans le regne du faux, fausse bouffe, fausse vie, fausses idées, faux articles, fausses plantes, et j’en passe, ça craint quand même, j’ai peur que ça veuille dire que le temps de l’humain soit compté, du moins l’humanité telle que nous la connaissons.
L’IA, les implants dans le système nerveux via les nano technologies vont bouleverser radicalement l’essence même de l’être humain, sans compter l’eugenisme qui va  » améliorer  » l’Homme avec l’application des découvertes relatives au génie génétique.

Lol pour ça sinon : «Des étudiants demandaient à leurs profs: faut-il vraiment aider ces gens à détruire nos futurs emplois? Et certains profs semblaient assez d’accord avec eux.»

Imaginez les patrons de groupe de média, ils doivent jouir en attendant que ce genre de technologies soient au point, fini les états d’ame des journalistes ou les conflits sur les lignes rédactionnelles…

LOL, Bush s’essuit la main sur Clinton après avoir serré celle d’un haitien !!

mars 29, 2010

Excellent, ça veut tout dire, qu’il méprise les noirs mais aussi Clinton !

Le roi du cyber-scoop dans le collimateur de la CIA ?

mars 29, 2010

Le site spécialisé dans la publication de documents confidentiels WikiLeaks accuse la CIA de vouloir le conduire à la fermeture à cause d’une vidéo compromettante pour l’armée américaine qu’il menace de divulguer.

Dans le rôle de Goliath, les services de renseignements américains. Dans celui de David, WikiLeaks. Dans un éditorial au vitriol publié le 26 mars, le site spécialisé dans la publication en ligne de documents confidentiels accuse, en effet, la CIA de vouloir le couler…

« Les activités de surveillance et de harcèlement – dont l’arrestation et l’interrogation pendant toute une nuit de l’un de nos bénévoles – sont excessives depuis un mois », affirme Julian Assange, porte-parole du site et de Sunshine Press, l’association à but non lucratif qui en est à l’origine. Sur son fil Twitter, WikiLeaks entre dans les détails : « Deux personnes sous couverture diplomatique ont suivi notre rédacteur islandais », « Nous avons vu des photos secrètes prises à notre insu lors de nos réunions de travail »… L’un des derniers tweets verse même dans la paranoïa : « Si quelque chose nous arrive, vous savez qui en est responsable… »

L’affaire ressemble à un mauvais James Bond. WikiLeaks assure qu’il s’est attiré les foudres des services secrets américains en menaçant de divulguer une vidéo impliquant l’armée américaine dans la mort de civils en Afghanistan.

Couler WikiLeaks

Une menace que la CIA prendrait d’autant plus au sérieux que, au fil des scoops qu’il a révélés, le site s’est bâti une réputation de fiabilité. En 2008, le très sérieux magazine britannique « The Economist » lui a même décerné le prix de « meilleur nouveau média ».

Ce n’est pas la première fois que la CIA s’intéresse au petit site qui en saurait trop. En 2008, le service de contre-espionnage a ainsi pondu un rapport qui présentait WikiLeaks comme une « menace pour les troupes américaines à l’étranger ». Un document que WikiLeaks a promptement mis en ligne, forçant le ministère de la Justice à confirmer son authenticité… L’épisode est d’autant plus gênant pour les espions « made in USA » que ce rapport expose plusieurs moyens de couler le site. Il propose notamment de divulguer l’identité des sources de WikiLeaks, alors que l’anonymat est la raison même de son succès.

Coup de pub ?

Pour l’instant, WikiLeaks tient bon et a même lancé une contre-offensive. Dans la foulée de son éditorial, le site a publié un rapport de la CIA intitulé « Comment influencer le soutien des pays européens à la mission de l’Otan en Afghanistan ? » datant de février 2009. Un document savoureux dans lequel on peut lire, entre autre, cette analyse : « Si Nicolas Sarkozy a réussi à faire voter l’envoi d’un contingent supplémentaire de militaires, la défaite annoncée aux élections régionales pourrait remettre en question ce soutien ». À voir.

L’intérêt des services secrets américains pour WikiLeaks représente aussi une aubaine médiatique pour un site en manque de moyens. Ce dernier doit encore lever 300 000 dollars grâce à des dons uniquement, afin de pouvoir boucler son budget 2010. Rien de tel qu’une bonne guerre contre les « perfides » services secrets pour lui attirer des sympathies à même de remplir son tiroir-caisse…
france 24

Et un autre article de Rue 89 :

WikiLeaks décrété « menace pour l’armée » par le Pentagone

Les médias de qualité reçoivent de nombreux prix, mais seul l’un d’entre eux, WikiLeaks.org, peut se vanter d’avoir reçu celui de « menace pour l’armée américaine », délivré par le Pentagone. Certes, ce dernier, en qualifiant ainsi WikiLeaks, ne souhaitait pas particulièrement le complimenter. Mais ce sont bien les scoops de ce site d’un genre nouveau qui lui valent cette reconnaissance étonnante

Ce service, lancé fin 2006 par des journalistes et des mathématiciens, est un site à but non lucratif qui propose aux internautes du monde entier de publier des documents intéressants pour leurs concitoyens -« Wiki » est une racine employée dans le jargon du net pour désigner les contenus issus d’un travail colloboratif, et « leaks » signifie « fuite ».

Le serveur garantit l’anonymat des sources grâce à un système de cryptage sophistiqué.

Wikileaks a publié des documents du Pentagone
Fidèle à lui même, WikiLeaks a publié ce rapport de 32 pages (en PDF). Il est intitulé « Wikileaks.org- une référence online pour les services de renseignement étrangers, les rebelles, ou les groupes terroristes ? », et est issu du Centre de contre-espionnage de l’Armée.

Ses auteurs s’inquiètent du fait que des employés du Pentagone ou des agents infiltrés peuvent se servir de ce site pour divulguer des documents sensibles ou classifiés.

WikiLeaks a publié à plusieurs reprises des documents internes au département de la Défense américain, et notamment

le livre des procédures de Guantanamo, qui détaillait les contraintes subies par les prisonniers
des documents sur les équipement et les opérations de l’armée américaine en Irak et en Afghanistan en avril 2007
En trois ans d’existence, le site a publié de très nombreux documents de première importance. « Il a sorti en trois ans plus de scoops que le Washington Post en trente ans », a pu écrire le journal The National, une formule reprise à l’envi par les fondateurs du site.

Victime de son succès, le site manque d’argent
Plusieurs Etats (Chine, Corée du Nord, Thaïland…) ont tenté de bloquer le site, et de grandes entreprises l’ont poursuivi en justice, sans résultat jusque là.

WikiLeaks est surtout victime de son propre succès, ne parvenant pas à financer son développement.

Le site est financé par les donations d’organisations non-gouvernementales ou de particuliers. Il a besoin de 600 000 dollars par an pour fonctionner, mais ne parvient qu’à lever les deux tiers de cette somme. Il a failli fermer au début de cet année.

Dans une récente interview à la BBC, l’australien Julian Assange, un des cinq responsables de WikiLeaks, un blond d’un calme extrême (à gauche sur la photo ci-dessus), défend le projet :

« Pour la première fois dans l’histoire, nous avons une presse vraiment libre pour ce qui est de la publication de documents importants.

La question intéressante qui est aujourd’hui posée, c’est ce que seront les standards de la presse libre au XXIe siècle, alors que tous les médias basculent vers Internet.

Va-t-on vers un ensemble de bonnes lois, à travers le monde, pour protéger la liberté de la presse et donc la démocratie ? Où va-t-on vers un compromis entre différentes lois, dont celles de la Chine ? »

L’Islande, prochain paradis de la protection des sources ?
WikiLeaks dernier a jusque là réussi à déjouer toutes les attaques, mais avec le Pentagone, il va affronter un adversaire autrement plus sérieux. C’est en Islande que se prépare sa défense.

Sous l’impulsion de Julian Assange, une initiative a été lancée par des députés en vue de doter le pays des lois les plus protectrices possibles pour les journalistes. Le moment est propice : depuis la faillite financière de l’Islande, favorisée par l’opacité des pratiques bancaires, l’opinion est avide de changements radicaux et de transparence accrue.

Si l’initiative des députés aboutit, son impact pourrait être international : l’Islande deviendrait peut-être alors le havre de paix des journalistes d’investigation du monde entier.
rue89

On verra bien, mais allez savoir si ce n’est pas une officine de désinformation, avec la bonne vieille méthode de donner deux scoop pour un mensonge.

Treason, Betrayal and Deceit: 9/11 and Beyond

mars 29, 2010

Treason, Betrayal and Deceit: 9/11 and Beyond

By Alan Sabrosky.

September 10, 2009. « Information Clearing House’ — The attacks on September 11, 2001 have been a defining moment for America. The political and psychological impact on Americans of a concerted and visible attack in America was enormous — indeed, it is an interesting « coincidence » that the attacks occurred on the one day of the year whose mention reinforces a public sense here of danger and emergency: 9-1-1.

A significant development in the 1990s was the formation of the neo-conservative think tank known as PNAC (Project for a New American Century), whose members prepared position papers for the Israeli government and for a future US Administration sharing their views. That happened in 2000 with the election of George W. Bush, and a contemporary writer summarized the tip of the neo-conservative iceberg in his first Administration this way:

The « outsiders » from PNAC were now powerful « insiders, » placed in important positions from which they could exert maximum pressure on US policy…PNAC had a lock on military policy-creation in the Bush Administration.

Especially significant in terms of subsequent events was the acknowledgement in one of PNAC’s own documents that their program for America (and Israel) would not readily be accepted by the American people. What this meant, PNAC opined in 2000, was that « the process of transformation, even if it brings revolutionary change, is likely to be a long one, absent some catastrophic and catalyzing event — like a new Pearl Harbor. »

9/11 Reconsidered

On September 11, 2001, the PNAC people in and out of government — and by extension AIPAC and Israel — « coincidentally » got the event they needed, barely eight months after coming into office. Most people are familiar with the basic details of that day — two commercial aircraft crashing into the two tallest buildings in New York City’s World Trade Center (WTC), a third striking the Pentagon, and a fourth ending up in a Pennsylvania field. Few people will forget the images of the burning buildings, their collapse, the casualties, and the sense of shock and tragedy that ensued.

The official 9/11 Commission’s work and report were at best an incomplete exercise. Many people dismiss the findings of the Commission, and that includes its co-chairs. Many others who utterly distrust the 9/11 Commission report, dismiss the US Government’s explanation of it, and point to both an official cover-up and an “inside job,” include veteran fighter pilots, EMTs (Emergency Medical Technicians), air defense experts, experienced commercial pilots, demolition experts, architects and civil engineers – none of them professions that inherently attract and retain the gullible and credulous.

Several things are very clear to me from a careful assessment of both official and critical evaluations of the 9/11 attacks. First, the striking aircraft alone simply could not have brought down either of the two buildings in the manner in which they fell, much less a third building which was not hit by a plane (I expect the one intended to do that as a « cover » had ended up in that Pennsylvania field), given the available physical evidence and a wealth of expert testimony. This means the attackers had assistance on the ground, and it had to have been active before the attacks occurred: preparing buildings for controlled demolition is not something done haphazardly in the midst of chaos.

Second, only two intelligence agencies had the expertise, assets, access and political protection to execute 9/11 in the air and on the ground: our CIA and Israel’s Mossad. Only one had the incentive, using the “who benefits” principle: Mossad. And that incentive dovetailed perfectly with the neo-con’s agenda and explicitly expressed need for a catalytic event to mobilize the American public for their wars, using American military power to destroy Israel’s enemies. Only the unexpected strength of the Iraqi resistance kept Syria and Iran from being attacked in the second Bush Administration. Thus, the evidential trail for 9/11 and the wars in Afghanistan & Iraq run from PNAC, AIPAC and their cohorts; through the mostly Jewish neo-cons in the Bush Administration; and back to the Israeli government. None of the denials and political machinations can alter that essential reality. Terms such as treason, betrayal and deceit do not overstate the case against them.

Finally, we need to take a hard look at why the mainstream media (MSM) have paid more attention to Sarah Palin’s wardrobe than they have to dissecting blatant falsehoods, discrepancies and inconsistencies in the US Government’s treatment of 9/11 and its aftermath. And the reason is that on this issue, all are on the same side, and the official line is the one they all prefer – “all” meaning the PNAC alumni who took over the Bush Administration’s national security apparatus and their counterparts in the Obama administration, AIPAC and the rest of the numerous Jewish PACs, the MSM owners and Israel. The depiction of the media management in America in 2002 is especially informative, and has not changed significantly since then:

CEOs and Directors of companies change as often as Boards of Directors vote. But if we could “freeze frame” the CEOs of the largest US Media companies in mid 2002, we would find that ten Jewish American men ran the vast majority of US television networks and other media companies including movies, radio, and publishing at that time. Not much has changed today.

Looking Ahead

Today we are getting the same line on Iran, from the same type of people — Obama himself tries to be more independent, but most of the key staff and national security people in his Administration do not differ greatly on Israel and the Middle East from those of his predecessor. And the Congress has shown itself to be even more of AIPAC’s lap-dog than the preceding Congress, an exercise in self-serving cowardice that admittedly has taken some doing.

But AIPAC and company are riding a tiger in America, and if they ever slip, the resulting convulsion will be catastrophic for them and for Israel. The open unfolding of the 9/11 tragedy and its ensuing wars that is now occurring can be that slip. The human cost to America to date is some 60,000 people, military and civilian, killed or wounded on 9/11 and in Iraq and Afghanistan together, with more to come once we go to war with Iran (or get dragged into it following an Israeli attack on Iran). Much of the deliberately misdirected rage that followed 9/11 has given way to endurance and grief.

But grief is a close cousin to rage, and an enraged America is not pretty, as anyone familiar with our history can appreciate. Americans are often deceptive without meaning to be. To much of the world, they often come across as naive, bumbling innocents in the world of global politics. And on a day-to-day basis, there is much truth to that.

But an enraged America is a very different character. You have only to look at what happened in WWII to German and Japanese cities, towns and villages, where America slaughtered literally millions of German and Japanese civilians — most of them women and children — knew it was doing it, and cared nothing at all. The goal was to crush, and restraint was not a word used much at all.

If these Americans and those like them ever fully understand just how much of their suffering — and the suffering we have inflicted on others — is properly laid on the doorsteps of Israel and its advocates in America, they will sweep aside those in politics, the press and the pulpits alike whose lies and disloyalty brought this about and concealed it from them. They may well leave Israel looking like Carthage after the Romans finished with it. It will be Israel’s own great fault.

Alan Sabrosky (Ph.D, University of Michigan) is a ten-year US Marine Corps veteran and a graduate of the US Army War College. He can be contacted at docbrosk@comcast.net
http://www.informationclearinghouse.info/
traduction google
PNAC: \"Reconstruire les défenses de l\'Amérique\" traduit par ReOpen911.
vidéo du 11/09
vidéo du 11/09
Je vois une similitude entre les bolcheviks et ces tarés du PNAC, encore les mêmes extrémistes en mal de destruction et de sang.
Ce Dr. Alan Sabrosky a jeté un pavé dans la mare, mais je pense que le complot du 11/09 n’a été possible qu’avec un très large assentiment d’une grande partie de élites US. Qu’ils approuvent totalement ou qu’ils soient obligés d’accepter suite à des pressions quelconques, chaque cas a du être different. Il faut vous souvenir que Madoff, sans voir l’attentat, explique à ses convives ce qui se passe et ce qui va se passer ensuite…

Souvenez vous également qu’il a eu le feu dans une annexe de la maison blanche et que les  » terroristes  » ont appelé l’Autorité US en donnant les codes secrets présidentiel.source

Bref, il faut vraiment être stupide pour continuer à soutenir la version officielle, la manipulation crève les yeux.

Quelques liens

mars 29, 2010

Londres doit savoir dire «non» à Washington, recommandent des députés britanniques

Saab redémarre avec des fonds chinois et arabes

Le constructeur chinois Geely s\'offre Volvo

L’armée israélienne a pris un enfant palestinien pour désamorcer des enveloppes piégées

The estimate is that by the year 2105, the population in Japan will have plunged from its current 127 million to around 45 million. A 65% drop for those keeping score

Mossad Link Found to One of Key 9-11 Hijackers

Krach obligataire : déjà ?

mars 25, 2010

“Après la Grèce, le Portugal… le scénario de contagion est en marche”, d’après Le Monde. Cela sent le roussi sur le marché obligataire. Si certains doutaient encore que la dette souveraine serait le problème majeur de 2011, cette nouvelle dégradation – et la baisse des marchés qui l’accompagne – devraient les convertir au krach obligataire.
Que s’est-il passé ces derniers jours ? L’agence de notation Fitch a dégradé la note de long terme du Portugal, qui passe ainsi de “AA” à “AA-”. Ce n’est pas vraiment une surprise, puisque le Portugal fait partie des fameux PIGS, ou PIIGS, ou Club Med qui sont sous le feu de la rampe depuis les ennuis grecs.
Les causes de cette dégradation ? Comme pour la Grèce, les déficits et la solvabilité du Portugal. Rien de bien original donc, mais un souci de plus de l’Europe qui n’arrive toujours pas vraiment à se décider sur l’aide à apporter à la Grèce. Plus les ennuis s’accumulent et plus l’incapacité de la zone euro à sauver l’un des siens devient évidente. L’euro est de nouveau le grand perdant puisqu’il repasse ce matin sous les 1,33 dollar, pour la première fois depuis 10 mois.
Dubaï, puis la Grèce et maintenant le Portugal… est-ce le début d’un effet boule de neige sur le marché obligataire ? En tout cas, la Fed avait, il y a quelques jours, publiquement exprimé ses inquiétudes. “La Fed craint que la crise grecque ‘affecte’ l’économie américaine”, titre Le Monde. Un de ses dirigeants, Dennis Lockhart, a identifié trois facteurs qui pourraient jouer sur la croissance économique américaine :
1. Baisse de la croissance en Europe et donc, par ricochet, baisse des exportations américaines vers le Vieux Continent.
2. Baisse de l’euro et par conséquent arrivée massive de capitaux sur le dollar, ce qui entraînerait une hausse importante du dollar et pénaliserait les exportations américaines.
3. Les ennuis grecs font boule de neige provoquant un désintérêt massif des investisseurs pour les obligations américaines. Voici ce que rapporte Le Monde : “Le troisième point est la possibilité que la crise budgétaire grecque débouche sur un grand choc des marchés financiers. Cela pourrait se manifester dans le système bancaire ou sous la forme d’un mouvement de retrait général [des investisseurs] du marché de la dette des Etats”.
Bon, pour tout dire, les deux premières craintes citées par Lockhart nous semblent être un bel écran de fumée destiné à masquer la véritable inquiétude des Américains : le troisième point.
Les Etats-Unis sont une énorme machine à dépenser (2 000 milliards de dollars devront être empruntés cette année) et ont donc des besoins sans fin de financement…
La question de la réduction des déficits devient de plus en plus cruciale. Pour stabiliser leur endettement, les Etats vont devoir faire d’énormes efforts. Le graphe ci-dessous représente le surcroît d’impôts et de taxes que les Etats vont devoir accepter de mettre en place pour faire revenir leur endettement au niveau de 2007, soit avant-crise.

Ainsi, les Etats-Unis devront accroître leur pression fiscale de 8% pendant cinq ans, la France de 7,5% et l’Irlande de presque 12% !
Le problème, comme le signalait l’économiste Nouriel Roubini dans une tribune publiée par Les Echos, c’est que la réduction drastique des déficits est une opération dangereuse. Roubini rappelle l’exemple de l’Argentine dans les années 1998-2001 qui, par sa politique de rigueur budgétaire, a durablement plombé sa croissance : “Le dilemme est le suivant. D’un côté, la réduction des déficits budgétaires est une nécessité pour éviter une augmentation hors de contrôle des taux d’intérêt sur la dette souveraine. De l’autre, à court terme, une augmentation des impôts et une diminution des dépenses publiques pèsent sur la croissance. Ce qui empêche le retour à un niveau tenable de l’endettement public. Ce fut en effet le piège dans lequel l’Argentine est tombée en 1998-2001, lorsque la réduction nécessaire du déficit a exacerbé la récession et a finalement entraîné le défaut de paiement”.
Et pourtant, la réduction de la dette est indispensable pour éviter de crouler sous le poids du remboursement des taux d’intérêt. C’est ce que vous explique plus en détail Eberhardt Unger dans son article sur le remboursement de la dette. En 2040, pour la France, le paiement des intérêts devrait représenter presque 20% du PIB…
Les Etats se trouvent donc devant un choix difficile, réduire suffisamment le déficit pour ne plus risque le défaut de paiement et le krach obligataire, mais sans que les effets négatifs sur la croissance se fassent ressentir. Une opération d’autant plus difficile que les Etats ont tendance à fonder leurs prévisions et leurs projections sur des chiffres faussés, pour ne pas dire complètement imaginaires. Nous vous en parlions vendredi dernier dans la Quotidienne, les prévisions de croissance fournie par l’Etat français à la Commission européenne ont été jugés complètement fantaisistes.
Qu’en conclure ? Premièrement, que le transfert des dettes privées vers le secteur public a créé une situation explosive et incontrôlable. Et que deuxièmement, malgré les moult engagements de Nicolas Sarkozy à ce sujet, l’augmentation de la pression fiscale nous semble plus que probable.
http://www.moneyweek

Propagande/anticipation : Nuclear terror risk to Britain from al-Qaeda

mars 24, 2010

Britain faces an increased threat of a nuclear attack by al-Qaeda terrorists following a rise in the trafficking of radiological material, a government report has warned.

It is feared that terrorists could bring a nuclear bomb up the Thames on a small boat.

Bomb makers who have been active in Afghanistan may already have the ability to produce a « dirty bomb » using knowledge acquired over the internet.
It is feared that terrorists could transport an improvised nuclear device up the Thames and detonate it in the heart of London. Bristol, Liverpool Newcastle, Glasgow and Belfast are also thought to be vulnerable.

Lord West, the Security Minister, also raised the possibility of terrorists using small craft to enter ports and launch an attack similar to that in Mumbai in 2008, when more than 150 people were killed.
The Government is so concerned about the threat that it is setting up a command centre to track suspicious boats.
The terrorism threat level was raised from « substantial » to « severe » in January after the failed attempt to blow up an aircraft over Detroit on Christmas Day.
Three separate reviews of the country’s ability to prevent a major terrorist attack were published simultaneously yesterday, before an international meeting on nuclear security in Washington next month.
Downing Street released an update to the National Security Strategy in which it stated that « the UK does face nuclear threats now » and added that there was « the possibility that nuclear weapons or nuclear material [could] fall into the hands of rogue states or terrorist groups ».
The International Atomic Energy Authority recorded 1,562 incidents where nuclear material was lost or stolen between 1993 and 2008, mostly in the former Soviet Union, and 65 per cent of the losses were never recovered.
Another report, on the Government’s « Contest » counter-terrorism strategy, said there was a danger that the increased expertise of insurgents in making bombs in Afghanistan had increased the threat from a radiological « dirty bomb ».
It added that there was a « significant increase in the illicit trafficking of radiological materials, the availability of chemical, biological radiological and nuclear (CBRN) related technologies over the internet and the increased use of CBRN material for legitimate purposes », which could be acquired by terrorist organisations.
A third report, on Britain’s strategy for countering chemical, biological radiological and nuclear terrorism, described al-Qaeda as the « first trans national organisation to support the use of CBRN weapons against civilian targets and to try to acquire them ».
The report said security around stockpiles of decommissioned material was « variable and sometimes inadequate, leaving materials vulnerable to theft by insiders and criminal and terrorist organisations ».
Legitimate uses for such materials also « significantly increases the risk that they may be diverted and exploited by terrorist organisations ».
It added that al-Qaeda had established facilities to conduct research into CBRN weapons when Afghanistan was under the control of the Taliban before 2002.
Since then the terrorist group had approached Pakistani nuclear scientists, developed a device to produce hydrogen cyanide, which can be used in chemical warfare, and used explosives in Iraq combined with chlorine gas cylinders.
The possibility of an attack launched from speedboats was highlighted by Lord West, speaking at the new National Maritime Information Centre in Northwood, Middlesex. He said hundreds of thousands of small boats arrived in Britain unchecked every year. “I think the public would be surprised to discover that we do not know about every single contact [with a vessel],” he said.
He said the agencies responsible for guarding the coastline did not know “with any clarity what is going on around our coasts”.
The maritime centre will receive intelligence from the security services and combine the response of the navy, coastguard, police and fisheries vessels in the event of an attack.
The Government has already set up 18 sites with officers who would co-ordinate the emergency services in the event of a CBRN attack.
Police and fire services have been given extra equipment to detect potential attacks and more members of the Army have been trained in making CBRN devices safe.
The Government has also introduced mobile radiation detection units to scan vehicles and passengers arriving at ports.
http://www.telegraph.co.uk
traduction google

ça faisait longtemps qu’on nous faisait pas le coup de la bombe sale d’al quaida, malheureusement c’est un scénario possible, un false flag islamiste serait le déclencheur d’une organisation plus fasciste de la société.
Dire qu’il faut avoir plus peur de nos propres dirigeants que nos censés ennemis…

La City de Londres joue l’effondrement des Etats-Unis et de l’économie mondiale

mars 24, 2010

Contrairement à ce que pourrait laisser croire son titre, « Complexité et effondrement : Les empires au bord de l’effondrement », l’article publié dans le dernier numéro de Foreign Affairs (le magazine du Council on Foreign Relations – CFR) ne nous prédit pas la chute de l’Empire britannique, mais est une déclaration de l’establishment de la City de Londres sur la période à venir. « L’effondrement impérial pourrait arriver de manière bien plus soudaine que ce qu’imaginent bon nombre d’historiens. La combinaison des déficits fiscaux et du surdéploiement militaire suggère que les Etats-Unis pourraient être le prochain empire à flancher », explique en introduction Niall Ferguson, historien de l’Empire britannique formé à Oxford et Cambridge, mais opérant aujourd’hui à Harvard. [*]

Pour ceux qui liront cet article, prenez garde. Afin de précipiter son lectorat de décideurs américains et internationaux dans le piège d’un inévitable effondrement des Etats-Unis sous le joug fiscal d’un Obama au service de la City, l’auteur use dans les grandes longueurs d’une conception mécaniste de l’histoire – à laquelle lui-même ne croit d’ailleurs certainement pas – qui vise à faire perdre tout sens de la réalité. Son analyse ne doit être lue que comme une déclaration politique des hautes autorités de l’Empire britannique sur le contexte stratégique de leur politique : l’effondrement de l’économie mondiale.

A cette vision sans principes de l’histoire humaine, défendons celle des bâtisseurs de nations, des découvreurs, des pionniers, celle du travail de la pensée qui transforme le monde et engendre le progrès. C’est au nom de ce combat permanent que nous pourrons gagner un avenir meilleur que celui que nous promettent les puissances financières, celui d’un monde en contraction où la population mondiale décroît et les spéculateurs s’accroissent.

Ardent défenseur du colonialisme britannique et personnage très cohérent, Ferguson est aussi conseiller stratégique de GLG Partners, un des plus gros hedge funds de la City de Londres.
Complexity and Collapse Empires on the Edge of Chaos
traduction google

Les jeunes juifs d’israél sont profondément racistes, plus de la moitié d’entre eux se déclarent opposés à l’égalité des droits entre arabes et juifs israéliens, ils sont bien élevés ces jeunes…. Le transfert(déportation) est pour bientot.

mars 24, 2010

Un sondage réalisé par l’institut Maagar Mohot auprès d’un échantillon représentatif de 536 lycéens juifs et arabes présage du pire. Si l’intolérance de 82 % des Juifs religieux n’est pas surprenante, ce qui l’est davantage ce sont les 53 % de Juifs non religieux qui se déclarent opposés au droit des citoyens arabes d’envoyer des députés de leur communauté à la Knesset, tandis que 39 % des non-religieux sont opposés au principe d’égalité civique entre Juifs et Arabes, apprend-on dans Yediot Aharonot. Les résultats sont tout aussi effrayants quand il s’agit d’évaluer la tolérance envers les Juifs originaires d’ex-URSS ou d’Ethiopie.
courrier international
haaretz

Les arabes israéliens sont citoyens d’israél, mais ce n’est pas ce que pensent les jeunes juifs.
À leurs yeux, les arabes restent des arabes, et ils n’ont pas à avoir de droits, c’est beau la colonisation…
Même si c’est plus profond que ça, la société isrélienne n’est en rien homogène, c’est patchwork de sensiblités extrèmement différentes voire incompatibles, et il n’y a que la guerre permanente qui cimente cette société civile. Entre les ashkenazes, les séfarades, les orthodoxes, les laics, les arabes, les russes(dont bcp ne sont pas juif), les falachas, ce n’est pas la joie, sans compter que l’ambiance générale envers les palestiniens ne peut que générer de la violence et des frustrations dans la société israélienne.
Israél est profondément malade, 60 ans d’occupation violente ont marqué l’esprit et l’ame de ceux qui croient encore au sionisme, cette idéologie a été un échec total, et plus ils insisteront plus la catastrophe finale sera horrible.

Bref, et après ils donnent des leçons de tolérance à travers l’ADL, le CRIF et compagnie, la bonne vieille histoire de la paille et la poutre…

Israël: les autorités distribuent des masques à gaz à la population, tout va bien…

mars 24, 2010

Les autorités israéliennes ont procédé à la distribution d’équipements de protection individuelle contre les armes chimiques et bactériologiques, ont annoncé les services de presse du gouvernement, de l’armée et de la poste.

Tous les citoyens d’Israël, soit sept millions de personnes, doivent obtenir un masque à gaz et un paquet d’antidotes. Les autorités qualifient cette mesure de « technique » et appellent à ne pas y chercher de dessous politiques ni d’allusions à une éventuelle guerre.

Les Israéliens avaient remis leurs précédents anciens masques à gaz après la guerre d’Irak de 2003.
novosti

Ils sont impayable ces israéliens,  » Les autorités qualifient cette mesure de « technique » et appellent à ne pas y chercher de dessous politiques ni d’allusions à une éventuelle guerre.  » LOL, c’est vrai qu’on distribue des masque à gaz pour rien, tous les pays le font !!!
Quelles bandes de malades quand même ces sionistes, en tout cas, c’est pas bon, bien évidemment quand on donne des masque à gaz à toute la population, c’est que la guerre est plus que probable…

Après la Grèce, le Portugal… le scénario de contagion est en marche

mars 24, 2010

Après la Grèce, le Portugal est-il en passe de devenir le nouveau « maillon faible de l’Europe ? L’agence de notation financière Fitch a annoncé, mercredi 24 mars, qu’elle abaissait d’un cran la note de la dette à long terme du Portugal, de « AA » à « AA-« , faisant part de ses inquiétudes sur les déficits et la solvabilité du pays. En fin de matinée, la Bourse de Lisbonne a plongé de plus de 2,2 %.

Ce changement de notation, qui survient à la veille du débat au Parlement portugais du programme de stabilité et de croissance du pays, « montre que le scénario de contagion en Europe, que l’on a beaucoup évoqué ces derniers mois, est en train de se matérialiser », souligne Marie de Vergès, du service Economie du « Monde ».

L’agence Fitch a justifié sa décision par la crainte « d’éventuelles conséquences de la crise sur l’économie portugaise et sur ses finances publiques à moyen terme, compte tenu de la fragilité structurelle du pays et de son fort endettement ». « Même si le Portugal n’a pas été affecté outre mesure par la crise mondiale, les perspectives de reprise économique sont plus faibles que pour les 15 autres membres de la zone euro, ce qui va peser sur ses finances publiques à moyen terme », a développé dans le communiqué Douglas Renwick, un responsable de Fitch.

Cet abaissement reflète les contre-performances budgétaires du Portugal en 2009, avec un déficit de 9,3 % du PIB, contre 6,5 % prévu par Fitch en septembre. Le gouvernement portugais a réaffirmé son « ferme engagement » à redresser ses finances publiques.

« Dans la situation actuelle de nervosité et de volatilité des marchés financiers internationaux (…), il est fondamental que le Portugal démontre un ferme engagement politique dans la mise en œuvre du programme de stabilité et de croissance, en vue de redresser les comptes publics et réduire le déficit extérieur par une récupération de la compétitivité », a déclaré le ministère des finances dans un communiqué.
le monde

On le sait tous, enfin ceux qui n’ont pas d’oeillères, la situation réelle est catastrophique, de plus en plus de chefs d’entreprise ou du monde des  » décideurs » savent très bien ce qui va se passer, que ce soit mes connaissances ou ce que je peux entendre ici ou la, ces gens ont compris que le système va rompre brutalement, et qu’il faut absolument devenir indépendant et autonome pour se prémunir du chaos suceptible de naitre durant les première semaines ou les premiers mois du basculement.

Faites de même, c’est d’une importance capitale, de toute façon ce système est pourri, en vivant pleinement dans ce système malsain nous cautionnons ses crimes…

Entretien exclusif avec le porte parole du Conseil national de la résistance afghane

mars 24, 2010

Qari Muhammad Yusuf Ahmadi est le porte parole du Conseil national de la résistance afghane pour les régions Sud-Ouest et Nord-Ouest de l’Afghanistan. Les difficultés techniques incessantes rencontrées lors de nos communications*, ajoutées à de complexes procédures d’identification, nous ont demandé de reporter à plusieurs reprises la publication de cet entretien. Nous prions nos lecteurs de bien vouloir nous excuser pour ce retard.

Notre objectif n’est évidemment pas d’adhérer ou de relayer une quelconque idéologie de violence, mais de donner un contre-poids aux mensonges de la propagande des armées d’occupation en Afghanistan, cela dans le but d’offrir le plus large éventail d’information possible, afin que chacun puisse se forger sa propre opinion.

Qari Muhammad Yusuf Ahmadi, que pouvez-vous nous dire sur la situation dans la province de Helmand et plus particulièrement sur les récentes attaques des armées d’occupation dans cette région ?

Depuis le le premier jour de ce qu’ils appellent « une opération d’envergure », le 13 Février 2010, les troupes ennemies n’ont pas été en mesure de gagner une seule bataille dans le district de Nad Ali (voir la carte). A Marjah, l’ennemi n’a jamais pu pénétrer au-delà des quartiers périphériques que nous avions évacués afin de lui tendre ensuite un piège. Depuis samedi, l’ennemi voudrait faire diversion en lançant d’autres attaques sur les provinces de Farâh et Kandahar principalement, mais aussi Uruzgan et Zabul. L’objectif est de couvrir par de nouveaux mensonges les pertes que les moujahidin leur ont infligées dans le Helmand.

C’est désormais un fait acquis que les Américains et leurs complices ne sont pas en mesure de poursuivre l’occupation de l’Afghanistan par des moyens militaires. Ce serait mieux pour eux de retirer leurs forces de notre pays et de laisser les Afghans vivre comme ils l’entendent.

(…) Voici les chiffres des dernières opérations de la résistance :

Marjah :

Troupes étrangères tuées 382

Troupes afghanes tuées 4

Kandahar :

Troupes étrangères tuées : 28

Troupes afghanes tuées : 33

Farah:

Troupes étrangères tuées : 29

Troupes afghanes tuées 17

Zabul:

Troupes étrangères tuées : 3

Troupes afghanes tuée 26.

Uruzgan:

Troupes étrangères tuées : 5

Troupes afghanes tuée 19

Comment expliquez-vous que les informations que vous présentez par vos communiqués soient diamétralement opposées aux rapports des armées d’occupation ? Nous ne voulons pas mettre votre parole en doute, mais n’y a-t-il pas néanmoins une tentation chez vous aussi d’user de propagande en exagérant la portée des victoires et en minimisant les pertes ?

Nous publions des communiqués en premier lieu pour le peuple afghan qui, dans sa très grande majorité, soutien l’action des moujahidin. Que ces communiqués soient repris et traduits nous réjouis mais notre objectif principal est d’informer les afghans. Si nous avions menti, ne serais-ce qu’une seule fois, nous aurions perdu toute crédibilité auprès de la population qui nous soutient. Malgré la guerre, les informations circulent très vite ici. Si, par exemple, à Marjah, nous avions annoncé une victoire alors qu’il s’agissait d’une défaite, cela aurait été très vite connu. En réalité, toutes les informations que nous communiquons sont scrupuleusement vérifiées.

Tous ces efforts (de mensonges rapportés) par l’ennemi ont pour but de distraire l’attention du public du monde à partir Marjah. Cette entreprise moribonde va aussi échouer parce que les moudjahidin ne sont pas à court de main-d’œuvre et d’hommes armés

Un soldat américain brandissant son casque en signe de rédition. Marjah, février 2010

En tant que porte parole pour la région de Helmand, avez-vous des contacts réguliers avec des journalistes occidentaux sur place ?

Depuis l’arrestation de deux journalistes de la chaine Al-Jazeera (Qais Azim et Hamidullah Mohammad Shah) par la direction nationale de la sécurité (DNS service de renseignement afghan) en juin 2009 et la confiscation de tout leur matériel, il est devenu difficile pour des journalistes de venir nous rencontrer. Le président fantoche (Karzaï), avait prétendu que, dans cette affaire, il n’était pas question de liberté de la presse, mais d’interdire un sujet favorable aux moujahidin. Les reportages ne peuvent en effet que nous être favorables si les médias font leur travail, et c’est ce qui pose un problème au gouvernement mis en place par l’ennemi américain. La vérité leur est insupportable.

C’est pour cette raison que le président fantoche (Karzaï) impose un « black out » total des médias sur cette guerre. Même à Kaboul, les journalistes ont besoin de l’autorisation de la DNS pour se déplacer, et ils sont en permanence accompagnés et surveillés. Quel journaliste pourrait prétendre faire son travail dans de pareilles conditions ? Tous ceux qui ne suivent pas ces recommandations sont arrêtés et interrogés, quand ils ne disparaissent pas plus simplement de la circulation ou sont enlevés par de mystérieux ravisseurs qui les échangent ensuite contre des rançons. Toutes ces actions n’ont pour but que de décourager les journalistes à venir en Afghanistan afin d’établir la réalité des faits.

Les généraux américains indiquent que l’opération à Marjah était importante en raison du trafic d’opium qu’ils attribuent à la résistance. Que pouvez-vous dire à propos de cela ?

Nous avions quasiment éradiqué la production d’opium dans notre pays en 2001. La flambée de la culture du pavot correspond a l’arrivée de l’ennemi sur nos terres. Le frère du président fantoche (Karzaï) est lui même inculpé dans une affaire de trafic international. La présence même de l’envahisseur américain se légitime par le trafic de la drogue. Notre pays est occupé par plusieurs dizaine de milliers de soldats étrangers. Ce sont eux qui contrôlent nos frontières. Qui d’autres qu’eux pourraient sortir la drogue du pays et l’acheminer en Occident ? Pour toutes nos actions, nous nous référons à la loi de Dieu. Cela nous interdit de faire le commerce de la drogue.

Un autre prétexte régulièrement utilisé pour justifier cette guerre est que l’Afghanistan est le centre névralgique du terrorisme international.

Nous ne songeons qu’à terroriser l’ennemi. Nous n’avons jamais commis une action de guerre en dehors de notre pays. Nous voulons la liberté d’organiser un système de gouvernement fondé sur les besoins du peuple afghan, à partir de la tradition islamique. Pourquoi les États-Unis ne nous concèdent-ils pas ce droit ? Pourquoi tentent-ils d’étouffer nos voix sous le prétexte du terrorisme ?

Nous savons pertinemment que l’envahisseur américain et ses alliés vont toujours trouver des prétextes pour poursuivre leur occupation de l’Afghanistan. Le terrorisme, la démocratie, les droits de l’homme, droits des femmes ne sont que de simples slogans utilisés par l’ennemi américain afin d’atteindre leurs objectifs impérialistes dans cette partie du monde et en Afghanistan en particulier. De nombreux cas de tortures de détenus à Guantanamo, Bagram, la prison d’Abou Gharib, Camp Nama en Irak et les prisons secrètes PRT dans des bases militaires en Afghanistan, montrent des violations flagrantes et brutales des droits de l’homme par des enquêteurs américains par leurs troupes en Afghanistan et en Irak.

(…) Vous m’avez expliqué hier qu’en France une femme est violée toute les 10 minutes. C’est quelque chose que nous ne permettrions jamais dans notre pays. Pourquoi les dirigeants français eux aussi veulent-ils nous dire comment nous devons vivre alors qu’ils ne sont pas même capable de faire régner la justice dans leur pays ?

(…) Nous demandons aux envahisseurs américains et à leurs subalternes : pourquoi tuez-vous de jeunes innocents. Pourquoi tuez vous des hommes et des vieillards sous les yeux mêmes des membres de leur famille au cours de raids nocturnes ? Vous avez même tué un bébé de quatre jours devant sa mère à Garbez, dans la province de Khost, à la fin de l’année dernière. Était-il un terroriste ou étais-ce juste là une « opération de terreur » destinée à effrayer les populations qui nous soutiennent, perpétrée par vos soldats ? Est-ce comme cela que les défenseurs de la démocratie agissent ? En n’épargnant pas même un enfant de quatre jours?

Les opérations que mène l’ennemi sous le prétexte de la « lutte contre le terrorisme » est une guerre tyrannique et colonialiste, menée contre les combattants de la liberté. Car en effet, les moujahindin se battent pour la liberté, pour leur dignité humaine, pour leur pays et pour les valeurs de l’Islam. Nul envahisseur, aussi puissant soit-il, ne saura jamais étouffer la voix de la vérité dans la gorge du peuple afghan. Peu importe les quelques batailles que l’ennemi pourra remporter. A terme, grâce à la volonté de Dieu, le peuple opprimé d’Afghanistan remportera cette guerre entre la vérité et le mal.

(…) Les États-Unis sont une nouvelle forme de pouvoir colonialiste. Ils veulent maintenir leur domination sur le monde et utilisent pour cela le prétexte de la démocratie et des droit de l’homme. Mais dans leur bouche ce ne sont plus que des slogans vides de sens. En réalité, les États-Unis sont les ennemis de la dignité des valeurs humaines.

© 2010 Mecanopolis et ses ayant droit

Reproduction autorisée avec indication des sources

Les photographies sont issues du magazine de la résistance afghane en langue anglaise « In Fight » :
InFight_14_BattlesInMarjah_pdf

Nos remerciements vont aux administrateurs du site internet as-ansar.com, qui nous ont permis d’entrer en contact avec le Conseil national de la résistance afghane (Émirat islamique d’Afghanistan).

*Entretien réalisé entre le 1er et le 6 mars 2010 par téléphone, aux numéros 008821621346341, 0093700886853 et 0093707163424. Nous publions ces numéros avec la permission de leurs détenteurs. Mecanopolis et ses ayant droit déclinent toute responsabilité de l’usage qui pourrait être fait par des tiers de ces numéros.

La réalisation de cet entretien, sa publication et sa diffusion ne contreviennent nullement à la législation suisse en vigueur, ni à aucune des dispositions de « l’ordonnance fédérale instituant des mesures à l’encontre des Taliban » du 2 octobre 2000, ainsi que ses modifications ultérieures.
http://www.mecanopolis.org

Gloire à ces résistants afghans, que Dieu leur vienne en aide.

Vous savez, plus je regarde les médias plus j’ai peur, le traitement de l’information relatif aux résistances musulmanes est au dela de la propagande, nous traitons ces gens comme des Untermensch.
Ce qui m’enerve au plus haut point, c’est l’utilisation de faits divers de ces pays pour faire comprendre aux gens que ce sont des moins que rien. Dès qu’une homme brule sa femme , on met en avant ce fait divers dans la presse occidentale, laissant croire que tous les musulmans sont comme cela.
Il est évident que c’est un truc de malade de bruler sa femme ou qui ce soit d’ailleurs, mais ce qui est gravissime c’est que l’on lie ce fait divers à une sorte de fond psychologique des musulmans.
Imaginez un seconde que la presse pakistanaise fasse ses gros titres sur les faits divers français, genre la nana qui a tué ses 6 enfants à la naissance, et laisse sous entendre que ces pratiques sont monnaie courante en France, qu’elles sont constitutives de la culture et de la psyché française. C’est exactement ce que nous faisons, le moindre fait divers sordide est diffusé et rediffusé jusqu’ à en vomir, laissant sous entendre que les musulmans sont des sauvages.
J’en ai plus que marre de voir l’occident donnant des leçons de morale à portée univeralistes, alors même que nous sommes les plus malsains, que nous avons les mains pleine de sang, que nous avons fait voler en éclat toute intégrité morale en écrasant le monde entier. Le cynisme de nos élites est sans limite, comme la passivité et l’inconsistance intellectuelle du peuple.

Pour en revenir à l’interview au dessus, je suis extrèmement heureux de pouvoir lire le point de vue des principaux protagonistes de cette guerre, les afghans. Je vous invite à suivre régulièrement ce blog http://antipropagandecom.blogspot.com/, il est très bien et relaie assez souvent le point de vue des resistants afghans.
Les médias sont réellement ignobles avec les musulmans, l’ambiance est délétère.
Ce Qari Muhammad Yusuf Ahmadi est très bon, ce qu’il dit tombe sous le sens et c’est sincère, tout est dit, calmement, simplement :  » Nous voulons la liberté d’organiser un système de gouvernement fondé sur les besoins du peuple afghan, à partir de la tradition islamique. Pourquoi les États-Unis ne nous concèdent-ils pas ce droit ? Pourquoi tentent-ils d’étouffer nos voix sous le prétexte du terrorisme ?  »
C’est nous les malsains, ces gens ne nous ont rien fait, l’occident a un sacré problème avec la colonisation et avec l’imposition de ses valeurs à autrui.
Vous connaissez mon avis, allez savoir pourquoi mais force est de constater que les occidentaux sont totalement désaxés, un complexe de superiorité patent, un usage de la violence immodéré, une volonté de soumettre et de faconner autrui à son image.
Les lumières ont définitivement coupé les élites de l’occident avec le principe de réalité, la Raison nous a perdu. Il est indéniable que le rejet du fait religieux a été aussi désastreux que l’usage politique de la religion.
Les raisons qui nous ont mené à cette autodestruction sont multiples, et il est impossible de n’en donner qu’une ou deux, même importantes, il faudrait faire un travail pluridisciplinaire et transversal avec des sociologues, des psychologues, des historiens, des généticiens, des théologiens pour tenter de comprendre ce qu’il c’est passé en occident.

Bref, merci à mécanopolis de s’etre bougé pour nous donner cette interview, et en voila une autre.

Mise en garde de Petraeus : Israël renforce Al Qaeda

mars 20, 2010

Alors même que la violence resurgit à Jérusalem suggérant qu’une troisième Intifada pourrait bientôt éclater, le commandant du CENTCOM, le Gl David Petraeus, témoignant devant le Comité des Forces Armées du Sénat US aujourd’ hui a fait une sérieuse mise en garde sur l’impact plus large d’un conflit qui est à l’épicentre des hostilités au Moyen Orient depuis la création d’Israël.

En faisant cette mise en garde, Petraeus – certainement le plus influent même si ce n’est pas le plus haut responsable dans l’armée américaine – répétait une déclaration qu’il avait faite presque un an auparavant. La seule différence entre ce qu’il a dit en Avril 2009 et ce qu’il a dit aujourd’hui, c’est qu’il sait maintenant à l’évidence qu’Al Qaeda est renforcée par ce conflit.

Il a dit aujourd’hui :

« Les hostilités persistantes entre Israël et certains de ces voisins représentent des défis évidents pour notre capacité à faire avancer nos intérêts dans le AOR (zone de responsabilité de CENTCOM). Les tensions israélo palestiniennes se transforment souvent en violence et en confrontations armées à grande échelle. Le conflit provoque un sentiment anti américain, à cause de la perception du favoritisme des US à l’égard d’Israël. La colère arabe sur la question palestinienne limite la puissance et la profondeur de nos relations avec des gouvernements et des peuples dans l’AOR et affaiblit la légitimité des régimes modérés dans le Monde Arabe. Pendant ce temps là Al Qaeda et d’autres groupes militants exploitent la colère pour mobiliser. Le conflit offre également à l’Iran une influence dans le Monde Arabe via ses clients, le Hezbollah libanais et le Hamas. »

Si une telle déclaration avait été faite en dehors de la scène politique américaine, elle pourrait être considérée comme une expression plutôt fade de ce qui est depuis longtemps évident. Mais venant des lèvres d’un général célèbre, considéré par un grand nombre comme un futur potentiel président, ces mots font l’effet d’une bombe.

Les Néoconservateurs et le Lobby d’Israël ont œuvré très dur et pendant longtemps pour obscurcir l’impact régional profondément corrosif d’un conflit que les dirigeants israéliens successifs n’ont pas voulu régler ou ont été incapables de régler. D’autres, qui auparavant ont dit ce que Petraeus dit actuellement, ont soit été rejetés accusés d’être mal informés, ou qualifiés d’anti israéliens ou par insinuation, antisémites.

Aucune de ces accusations ne peut coller à Petraeus. En fait, si le Lobby d’Israël était suffisamment téméraire pour essayer de s’en prendre à un général américain qu’on considère parfois comme un Eisenhower de notre époque, le Lobby courrait un énorme risque de se voir menacer de ce qui l’effraie le plus : être qualifié d’anti américain.

Paul Woodward 16/03/2010 – War In Context

Israel is empowering al Qaeda, Petraeus warns


planete non violence

Parfois je rève que le jours ou les avions décolleront de Diego Garcia et se dirigeront vers l’Iran, ils tourneront à l’ouest et iront bombarder israél en ayant pris soin de couler ces maudit sous-marins lanceur d’engins.

Révons, révons, mais les paroles de Petraeus ne sont pas à prendre à la légère, l’armée comprend t-elle enfin que stratégiquement, il est totalement contre productif de soutenir israél.
Cela me fait penser à Zbigniew Brzezinski qui a appelé Obama à abattre les avions israéliens qui traverseraient l’Irak pour aller bombarder l’Iran.
Bref, je ne sais trop quoi en penser, espérons que de vrais patriotes américains prennent les choses en main et boutent les sionistes et l’AIPAC hors des États-Unis.

Le FBI veut être votre ami Facebook

mars 20, 2010

L’agence américaine du renseignement s’est mise à la mode du web collaboratif et l’utilise pour obtenir de précieuses informations, selon le document d’une présentation rendu public.

L’Electronic Frontier Foundation a obtenu un document du FBI (PDF) qui indique que les agents du service de renseignement américain sont déjà présents sur les sites Facebook, Twitter, MySpace et LinkedIn.

Ils y échangent des messages avec des suspects, identifient les amis de ceux-ci ou recueillent des renseignements. Le tout sous de fausses identités.

Ces révélations pourraient mettre le FBI dans l’embarras. L’an dernier, une Américaine du Missouri a été accusée de fraude parce qu’elle avait créé une fausse identité MySpace pour communiquer avec une adolescente. À la suite de son canular, une jeune fille de 13 ans s’était suicidée.

Les conditions d’utilisation de Facebook et MySpace indique qu’il est interdit de fournir de fausses informations.

Les agents du FBI semblent bien au fait de ces règles, mais ne sont pas certains que les enfreindre soit illégal.

«Si un agent viole les conditions d’utilisation, s’agit-il « d’activité illégale »», demande-t-on dans le document.

Le document présente également des techniques pour vérifier les alibis de suspects, notamment en allant vérifier leurs allées et venues sur les sites de réseautage social. Il avertit en outre les agents d’être prudents dans leurs amitiés virtuelles avec des juges.

L’Electronic Frontier Foundation, un groupe de défense des libertés individuelles, a également mis la main sur un plan de cours (PDF) pour les employés du ministère du revenu américain (Internal Revenue Service) qui porte sur les sites de réseautage social.

Il indique que les employés ne peuvent utiliser de fausses identités pour enquêter sur les payeurs de taxes.

«Les employés ne peuvent mentir sur leur identité, même sur internet. Vous ne pouvez utiliser de l’information sur des sites internet en vous enregistrant sous de fausses identité», lit-on dans le document.
cyberpresse

Bon, deux choses, le FBI crée de faux profil et infiltre les réseaux sociaux, soit, c’est grave mais c’était évident, en revanche je reste sur le cul quand je lis qu’il est interdit de fournir des fausses informations sur facebook, c’est vraiment la meilleure celle la !!!!
J’espère mal comprendre tellement c’est dingue !
Je croyais que la nana qui est accusée d’être responsable du suicide d’une ado était accusée d’avoir manipulé la gamine et non parqu’elle avait créé une fausse identité.

Bref, c’est vraiment louche cette histoire, en tout cas, si vous utilisez facebook ou my space, il est évident que vous ne devez pas donner votre véritable identité et des informations véridiques sur vous même, idem pour les photos, les vdéos de votre vie ou de votre famille, utiliser seulement ces plateformes pour diffuser des informations, votre vie privée, elle est justement privée, iriez vous collez vos photos au tabac ou dans un train ?
Dans le même genre j’ai vu une pub à la télé ou une assurance propose que vous lui donniez tous vos papiers importants via une base de données virtuelle afin de les sauvegarder d’un sinistre ou je ne sais quoi, incroyable débilité, les gens se font déposséder leur vie.
Les services de renseignement n’auraient jamais imaginé que le travail de collecte d’information devienne si simple…
Mon Dieu comme les gens sont tarés.

La shoah est devenue le pilier théologique de l’identité israélienne.

mars 20, 2010

 » Israél revendique l’exclusivité de la notion même de génocide  » Abraham Burg, ancien président de la Knesset

Incroyable plateau télé, enregistrez ce moment inoubliable, c’est vraiment magnifique d’entendre dire la vérité, vous vous rendez compte que Dieudonné dit exactement la même chose…

Si on vous emmerde avec la shoah, montrez cette interview, ils fermeront leur gueule.
Le présentateur assure quand même en disant qu’un non juif ne peut se permettre de dire que la shoah est instrumentalisée. On remarquera que la personne qui a été la plus impliquée dans la vie politique israélienne est aussi la plus critique sur cette même politique israélienne.

Revenons une minute sur ce qui c’est passé en Israél cette semaine.

Le Vice Président US s’est déplacé en israél pour parler de la paix, le ministre d’extrème droite Eli Yishai (et personne ne dit rien que le gvt sioniste est un gvt avec des ministres d’extrème droite, souvenez vous du foin lorsque l’autriche avait fait pareil, et lors des élection de 2002) déclare que 1600 logements seront construit en territoire palestinien, mettant une énorme gifle à Biden.
Bibi tente de nous faire croire qu’il n’était pas au courant et s’excuse du moment de l’annonce mais pas du fond, c’est à dire la colonisation. Les américains se déclarent content de ces excuses, c’est super.
S’ensuit les paroles de Clinton qui qualifie l’attitude d’israél d’insultante, et quelque chose de stupéfiant c’est passé, l’AIPAC a fait une déclaration appelant les américains à se calmer avec israél !!!!!!

 » De son côté, l’AIPAC (lobby pro-israélien aux USA) a adressé un appel aux dirigeants américains, leur demandant de dissiper le plus rapidement possible cette tension entre Washington et Jérusalem. Ses membres ont indiqué, dans un communiqué, qu’ils étaient « très préoccupés par les propos tenus ces derniers jours par de hauts fonctionnaires de l’administration Obama concernant les relations entre les deux pays ». Et de préciser: « Le gouvernement (américain) doit éviter des déclarations officielles sur le sujet et il ne peut pas imposer son propre agenda à Israël de façon unilatérale . » source

C’est incroyable, et le lendemain de cette déclaration, les USA parle de lien indestructible avec israél :

 » Tant le porte-parole de la Maison Blanche, Robert Gibbs, que la secrétaire d’Etat Hillary Clinton ont employé le terme « indestructible » pour qualifier l’état des liens américano-israéliens mis à l’épreuve ces derniers jours. » source

Ce n’est pas fini, le Quartet s’est réuni à Moscou après tout ce remu ménage, il appelle israél a stopper la colonisation et à la création d’un état palestinien dans 2 ans. Regardez ce que disent même les russes :

« Nous sommes convaincus que tout ceci sera entendu en Israël et qu’ils auront compris correctement le message », a conclu l’hôte de la réunion de Moscou, le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov. » source

Et voila la réponse d’israél :

Au communiqué du Quartet réuni à Moscou voulant établir un calendrier pour le « Plan de paix », le Ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman a réagi: « On ne peut forcer un plan de paix artificiellement en fixant un calendrier irréel ». Et d’ajouter: « Le Quartet élude l’expérience de ces seize dernières années et ne digère pas le fait que la paix se construit que pas à pas sur le terrain. Ce type de communiqués ne fait qu’éloigner la possibilité d’arriver à un arrangement » source

Donc, israél chie sur le monde entier, et personne ne dit rien, cette semaine l’aura clairement démontré. Le lobby juif extrémiste est énorme, les sionistes font ce qu’ils veulent, ils humilient les USA et le quartet et vont en plus nous jeter dans une guerre contre l’Iran, c’est littéralement incroyable de voir ce petit pays mener le monde entier par le bout du nez.

Nous vivons plus qu’une dépression ; c’est plutôt un phénomène économique et financier. Il inclut un transfert du pouvoir… un retour à la normale après quatre siècles d’aberrations..

mars 19, 2010

Nous allons rebaptiser notre théorie. Nous vivons plus qu’une dépression ; c’est plutôt un phénomène économique et financier. Il inclut un transfert du pouvoir… un retour à la normale après quatre siècles d’aberrations… et l’échec de toute une série de sottises économiques récompensées par des prix Nobel — dont l’Hypothèse des marchés efficients et la Théorie du portefeuille moderne. Appelons cette phase la « Grande Correction »… et attendons que les événements nous donnent raison.

En attendant… nous attendons des éclaircissements :

Quand ce rebond prendra-t-il fin ? Que se passera-t-il lorsqu’il le fera ?

Les tendances profondes se poursuivent. L’influence gouvernementale augmente… et file tout droit vers la faillite. La plupart des pays développés accumulent de gigantesques déficits dans leurs finances publiques. C’est la Grèce qui fait les gros titres en ce moment. Les Hellènes ont promis de réduire leurs dépenses, sont descendus dans la rue et espèrent désormais un plan B de la part de l’Europe. Les autres pays à la périphérie de l’Europe, forts en gastronomie mais nuls en économie, observent avec attention. Ce que la Grèce vit maintenant, ils vont probablement le subir plus tard.

Mais le problème ne se limite de loin pas aux plus petits Etats d’Europe.

Barron’s rapporte que les pays se trouvent confrontés à « des pénuries massives » pour leur programmes de retraite. Cela vient s’ajouter aux autres pénuries massives qui guettent les gouvernements du monde entier.

▪ « Menace sur la notation des Etats-Unis », titrait le Financial Times hier :

« Moody’s Investor Service avertira aujourd’hui les Etats-Unis qu’à moins de remettre leurs finances publiques en meilleur état que ce que projette l’administration Obama, il y aurait ‘une pression à la baisse’ sur leur note ‘triple A’. »

Moody’s a appris une leçon l’an passé. On prend l’argent du noté. On donne une bonne note à des obligations de pacotille. Puis les gens vous montrent du doigt et vous traînent en justice lorsque la pacotille tourne mal. Les agences de notation ne veulent pas se retrouver prises à la gorge par tous les investisseurs obligataires de la planète.

Les Etats-Unis sont en train de se ruiner ; ça ne fait pas un doute. Mais évidemment, ça pourrait prendre des années…

Et alors ? Nous pouvons attendre…

Certains acheteurs de bons du Trésor US, en revanche, n’attendent pas la dernière minute. « La Chine continue de vendre la dette US en janvier », rapporte le Wall Street Journal.

Le Japon aussi, ajoute Bloomberg.

Bien entendu, le Japon est confronté à sa propre crise financière. Sa dette gouvernementale dépasse déjà les 200% du PIB… et ses citoyens vieillissants épargnent moins chaque année. Le pays sera bientôt incapable de financer ses déficits. Et ensuite ?

Ensuite, les rendements grimperont et le Japon sera confronté à une crise similaire à celle de la Grèce.

Et la Chine ? Même des pays budgétairement sains peuvent subir de gigantesques chocs financiers.

« La Chine pourrait se retrouver confrontée à des renflouages bancaires considérables », déclare Bloomberg.

Oui, cher lecteur… la Chine a un solide budget… et des industries qui gagnent de l’argent. Le problème, c’est qu’il y en a trop. Et elle a commis l’erreur de les stimuler pour augmenter la production — en plus d’augmenter les infrastructures — au pire moment possible, alors même que le client principal s’enfonce dans la morosité.

Donc même si les finances nationales de la Chine sont en bon état — au moins en surface — ses finances privées sont dans le pétrin. Elles sont même dans un pétrin si potentiellement profond qu’un analyste fait référence à la Chine comme étant « la mère de tous les cygnes noirs ».

Qui renflouera le secteur bancaire chinois ? Qui renflouera la Grèce ? Qui renflouera le Japon ? Qui renflouera les Etats-Unis ?

Jour après jour, les roues grincent et cahotent… en route vers des gouvernements toujours plus présents, avec des dettes plus grandes… Un gouvernement se tourne vers un autre lorsqu’il a besoin d’aide. Ce dernier se tourne vers un autre encore. Un pays dépend de sa Banque centrale… et sa Banque centrale dépend de la Réserve fédérale américaine, le capo di tutti capi de toutes les banques centrales de la planète.
chronique agora

Situation insoluble, en septembre 2008, ça a cassé, parceque le système était biaisé, depuis on dérive. Je pense aussi que la Chine sera le domino qui entrainera de manière irrémidiable les autres pays justement parcequ’ils sont déja très affaiblis.
Bref, la aussi comme d’hab, le système s’effondre tranquillement, toutes les élites le savent, mais rien n’est fait, ce doit être fun de voir le monde s’effondrer, c’est le suprème spectacle, la jouissance ultime, quelles bandes de tarés.
Sauvez vous vous même, prenez votre destin en main, les élites via l’état vont vous écraser, vous appauvrir et vous empoisonner pour enfin vous esclavagiser et vous emprisonner.
Allez à la campagne, devenez autonome et autosuffisant, et apprenez également à tirer, ça pourra toujours aider…

USA, un état ou 1 adulte sur 100 est en prison, elle est bien la démocratie américaine….

mars 19, 2010

La population carcérale a augmenté l’an dernier aux Etats-Unis de 25.000 personnes et s’élevait à quelque 2,3 millions de personnes, sur une population adulte de 230 millions de personnes, soit le taux le plus élevé dans l’histoire américaine, selon le Pew Center.
Plus d’un adulte sur 100 se trouve actuellement derrière les barreaux aux Etats-Unis, pays qui détient la plus importante population carcérale au monde, avec un jeune Noir sur neuf en prison, selon un rapport publié jeudi.
Taux d’incarcération le plus élevé de la planète
2,3 millions de personnes sont incarcérées aux Etats-Unis. Par comparaison, la Chine, avec une population de plus d’un milliard de personnes arrive en deuxième position avec 1,5 million de prisonniers, suivie de la Russie avec 890.000 personnes détenues, précise le document.
Les Etats-Unis ont le taux d’incarcération le plus élevé de la planète, supérieur à des pays comme l’Iran ou l’Afrique du Sud, relève encore le Pew Center, un centre de recherche indépendant basé à Washington.
L’Allemagne a un taux de 93 détenus pour 100.000 adultes et enfants, il est huit fois supérieur aux Etats-Unis avec 750 pour 100.000.
Les statistiques sont particulièrement frappantes parmi les minorités: alors qu’un adulte blanc sur 106 est incarcéré, c’est un Hispanique sur 36 et un Noir sur 15 qui sont en prison.
Dans la tranche d’âge de 20 à 34 ans, un jeune Noir sur neuf est derrière les barreaux, selon le Pew Center sur la base des données du ministère américain de la Justice.
La proportion de femmes augmente rapidement
Alors que les hommes sont dix fois plus susceptibles d’être emprisonnés que les femmes, la population carcérale féminine « progresse d’une manière beaucoup plus rapide » que celle des hommes, selon le rapport de Pew.
Une femme sur 265, entre 35 et 39 ans, se trouve en prison, mais les femmes appartenant à des minorités sont placées en détention en plus grand nombre que chez les femmes blanches.
Une femme noire sur 100 et une Hispanique sur 297 sont en prison, contre une sur 355 femmes blanches, relève l’étude.
Un durcissement de la loi, avec notamment des mesures augmentant nettement la durée d’incarcération pour les récidives, a fait exploser la population carcérale, davantage qu’une augmentation de la criminalité, indique le rapport.
Malgré l’augmentation de la population carcérale, le taux de récidivistes reste relativement stable avec environ la moitié des détenus libérés retournant en prison dans les trois ans suivant leur libération, indique encore le document.
L’étude souligne que l’augmentation de la population carcérale oblige les autorités locales de chaque Etat américain à des choix budgétaires draconiens.
Nouveaux moyens pour désengorger les prisons
« En dépit de tout l’argent déversé dans le système pénitentiaire aujourd’hui, il n’y a pas eu de résultats clairs et convaincants concernant la sécurité publique », indique Adam Gelb, du Pew Center, dans un communiqué.
Il y a une vingtaine d’années, les 50 Etats américains dépensaient 10,6 milliards de dollars de leur budget pour le système pénitentiaire. Aujourd’hui, ce chiffre est de 44 milliards de dollars, soit 315% de plus.
La pression économique a conduit certains Etats à changer leur politique et à trouver d’autres moyens d’empêcher les délinquants peu dangereux de récidiver, comme des travaux d’intérêt général ou des systèmes de surveillance électronique, ajoute le rapport.
« Certains responsables politiques expérimentent tout un éventail de sanctions qui sont aussi efficaces que l’incarcération pour protéger la sécurité publique et permettent aux Etats de mettre un frein à l’explosion de la population carcérale », explique Susan Urahn, une directrice du centre de recherche.
l\'express

C’est chaud quand même, 1 adulte sur 100 en taule, c’est sidérant. Et je ne parle même pas des noirs, un jeune noir sur 9 entre 20 et 34 ans est en prison, c’est flippant. les USA sont une démocratie carcérale, cela préfigure la société esclavagiste à venir, les usines d’armement fonctionneront avec cette main d’oeuvre.

Les lois débiles de peine plancher qui au bout de trois récidives se soldent par la prison à vie est un total mépris de l’être humain, ce sont des mesures d’états totalitaires.
Depuis Bush père, les le pouvoir des États-Unis s’en prend au peuple, quand on sait que la CIA (de bush père) est responsable de l’introduction de la drogue dans certains quartiers et dans certaines communautés, on comprend le degrès de malsainité de ces gens.
Bref, comme d’hab, pauvres gens, écrasés par des tarés qui se délectent d’enfoncer les gens dans le malheur.

Une économie américaine en ruine, par Paul Craig Roberts

mars 19, 2010

« La population de Detroit a diminué de moitié. Un quart de la ville est déserté, avec seulement quelques maisons encore debout dans des rues en grande partie abandonnées, » écrit Paul Craig Roberts, qui constate amèrement que la ville qui symbolisait autrefois la puissance industrielle américaine, est en ruine, à l’image de l’économie d’un pays dont la substance a été délocalisée. Les photos illustrant cet article sont celles d’un établissement scolaire de Détroit fermé en 2008.

Au 20ème siècle, Detroit symbolisait la puissance industrielle américaine. Aujourd’hui, elle est l’image d’une économie délocalisée.

La population de Detroit a diminué de moitié. Un quart de la ville est déserté, avec seulement quelques maisons encore debout dans des rues en grande partie abandonnées. Si la municipalité parvient à se procurer des fonds à Washington, les urbanistes vont diminuer l’étendue de la ville et créer des zones rurales ou de zones vertes là où il y avait autrefois des quartiers habités.

Le président Obama et les économistes énoncent des platitudes sur la reprise. Mais comment l’économie peut-elle redémarrer lorsque, durant plus d’une décennie, ses responsables ont transféré outre-mer les emplois à productivité élevée et à forte valeur ajoutée de la classe moyenne, et du même coup le produit intérieur brut qui leur était associé ?

Le Bureau des Statistiques du Travail a publié ce mois-ci plusieurs rapports très décourageants. On a assisté à une baisse record à la fois du nombre d’emplois et des heures travaillées. À la fin de l’année dernière, l’économie américaine avait moins d’emplois qu’à la fin de 1997, il y a 12 ans de cela. Le nombre d’heures travaillées à la fin de l’année dernière était inférieur à ce qu’il était fin 1995, il y a 14 ans.

La durée de la semaine moyenne de travail est en baisse et est actuellement de 33,1 heures pour les travailleurs non cadres.

La productivité du travail, c’est à dire la production par heure travaillée, et la rémunération du travail, ont divergé considérablement au cours des dix dernières années, ce qui pose un problème majeur pour la théorie économique. Les salaires n’augmentent pas avec la productivité. L’explication réside peut-être dans les données qui la mesurent. Susan Houseman a constaté que les statistiques de productivité du travail américain pourraient être faibles en raison des salaires payés au travail délocalisé. Une entreprise américaine dont la production est partagée entre les Etats-Unis et la Chine, publie des résultats globaux de la production et de la rémunération du travail. De ce fait, les statistiques de productivité mesurent la productivité internationale du travail, et non uniquement celle du travail fourni aux USA.

Charles McMillion a noté que les coûts unitaires de main avaient en fait diminué durant l’année 2009, mais que les autres coûts ont augmenté tout au long de la décennie. La hausse de ces coûts reflète sans doute la baisse du cours du dollar et la dépendance accrue aux facteurs de production importés.

Les économistes et les responsables politiques ont tendance à faire porter le blâme pour la chute de Detroit aux directions des entreprises automobiles et aux syndicats. Mais l’industrie américaine a décliné dans tous les secteurs. L’entreprise Evergreen Solar a récemment annoncé qu’elle délocalisera la production et l’assemblage des panneaux solaires du Massachusetts en direction de la Chine.

Une étude du ministère du commerce portant sur l’industrie des machines-outils de précision a constaté que les États-Unis y tenaient le dernier rang. L’industrie américaine a une part de marché déclinante et a enregistré la plus faible augmentation de la valeur de ses exportations. Le ministère du Commerce a interrogé les utilisateurs américains de machines outils et constaté que les importations représentent 70% des achats. Certains distributeurs américains de ce type de matériel ne vendent même pas de marques nationales.

L’économie financière qui devait remplacer l’économie industrielle n’est nulle part en vue. Les États-Unis n’ont que 5 banques placées dans le top 50 mondial selon la taille des actifs. La première banque américaine, JPMorgan Chase se classe septième. L’Allemagne a 7 banques dans le top 50, et le Royaume-Uni et la France en ont chacun 6. Le Japon et la Chine ont chacun 5 banques dans ce classement, et, de petits pays comme la Suisse et les Pays-Bas en ont ensemble six dont les actifs combinés s’élèvent à 1 185 milliards de dollars de plus que ceux des 5 plus grandes banques américaines.

En outre, après la fraude perpétrée sur les produits dérivés par les banques d’affaires US sur leurs consœurs du monde entier, il n’y a aucune chance qu’un pays ait confiance dans le leadership financier américain.

Les responsables économiques et politiques américains ont utilisé leur pouvoir au service de leurs intérêts propres, au détriment du peuple américain et de ses perspectives économiques. En s’enrichissant eux-mêmes à court terme, ils ont mis à bas l’économie américaine. Les États-Unis sont en voie de devenir une économie du tiers monde.

Publication originale Counter Punch, traduction Contre Info

Whaou, quel tableau, réduire la ville en rasant des quartiers entiers, ça c’est de la solution. Vous vous rendez compte de ce qui se passe aux USA, tous les états sont en faillites, on ferme des écoles, libère des prisonniers, licencie des fonctionnaires, un américain sur 8 se nourrit grace aux bons alimentaires, bref l’appauvrissement est très rapide et très étendu.
La mondialisation a détruit les petites entreprises et esclavagisé les moyennes entreprises en les rendant dépendantes des multinationales, c’est exactement ce que disait Pierre de Villemarest il y a des années.
C’est merveilleux comment les gens se sont fait baiser avec cette histoire de mondialisation, mettre en concurrence tous les habitants de la planète, LOL, il fallait vraiment ne rien comprendre en économie pour approuver l’ouverture des frontières et la disparition des taxes d’importations.
Les élites et les multinationnales se sont horriblement gavées, la Chine et d’autres pays vont faire ce que nous avons fait en deux siècles en moins de 50 ans, déstabilisant totalement leurs propres pays et la planète dans sa totalité.

Bref, l’économie US est laminée, la population aussi, mais les élites et le complexe militaro-industriel n’ont jamais été aussi puissant, le fort va se jeter sur le faible et le dévorer…

Non seulement les terroristes sont parmi nous, mais ils peuvent aussi être blonds aux yeux bleus : le cas de «Jihad Jane» LOL !! Cette femme a été arrétée pour des commentaires sur You Tube

mars 18, 2010


encore SITE…

Non seulement les terroristes sont parmi nous, mais ils peuvent aussi être blonds aux yeux bleus : le cas de «Jihad Jane», une Américaine de 46 ans inculpée cette semaine pour «conspiration terroriste», n’a pas fini de faire trembler l’Amérique.

Née au Michigan, élevée au Texas puis installée en Pennsylvanie, dans une banlieue de Philadelphie, Colleen LaRose avait tout l’air, pour ses voisins, amis ou maris successifs, d’une femme très ordinaire. C’est sur Internet qu’elle était Jihad Jane, une militante islamiste en contact avec des conspirateurs du monde entier. Arrêtée en octobre, elle a été inculpée cette semaine, sitôt après l’arrestation de sept autres suspects en Irlande accusés d’avoir voulu tuer l’artiste suédois Lars Vilks, cible des islamistes depuis une caricature de 2007 représentant le prophète Mahomet en chien.

Ivre. «Sa vie était dure, aussi rude qu’une chanson country», a résumé un des enquêteurs qui a travaillé sur la transformation de Colleen en Jihad Jane. Mariée une première fois à 16 ans avec un homme deux fois plus âgé, Colleen a divorcé quelques années plus tard pour épouser un autre homme, qui gagnait sa vie en jouant aux cartes. D’après les photos d’elle collectées sur Internet, on peut imaginer une belle jeune fille. Selon son deuxième époux, Colleen était alors «une fille comme n’importe quelle autre dans une petite ville» et elle fréquentait l’église catholique le dimanche. Son dernier boy-friend, Kurt Gorman, l’a décrite aussi comme «une fille au bon cœur». Dans la petite ville de Pennsburg où ils vivaient et où elle veillait le père de son ami, Colleen était surtout connue pour ses excès d’alcool. Des voisins ont raconté comment son ami devait parfois la récupérer ivre dans la rue. Certains savaient qu’elle s’était convertie à l’islam, mais ils la voyaient généralement en short et tee-shirt, jamais voilée.

Grâce à Internet, Colleen LaRose avait une seconde vie, beaucoup plus palpitante. Depuis plus d’un an, les limiers – amateurs et professionnels – du Web la connaissaient sous le nom de Jihad Jane, mais aussi Fatima LaRose, SisterOfTerror, LoverOfMyImaan ou Beyond Princess… Sur YouTube, elle postait des vidéos de terroristes islamistes et laissait des commentaires invitant à «tuer les infidèles» ou «tuer les juifs»… Les vigies du site Jawa Report, notamment, la traquaient depuis longtemps : «Pour moi, c’était une femme au milieu de sa vie, une sociopathe qui cherchait désespérément l’amour,elle était seule et isolée, avec une haine profonde pour les Etats-Unis qu’elle rendait responsables de tous ses problème», raconte sur Jawa Report un de ces enquêteurs amateurs qui avait fini tout de même par la signaler au FBI après avoir constaté qu’elle ne faisait que se «radicaliser». Selon cette source, Jihad Jane disait s’être convertie à l’islam après avoir rencontré un musulman lors de vacances aux Pays-Bas. Selon d’autres sites, elle parlait d’un petit ami égyptien avec lequel elle aurait correspondu de décembre 2007 à février 2008 et qu’elle cherchait à faire venir aux Etats-Unis.

«A mes yeux, Jihad Jane est un produit de YouTube», estime aussi Robert, administrateur (anonyme pour raisons de sécurité) du site Smackdown.Corps, qui traque la «propagande islamo-fasciste» sur YouTube. «J’ai observé comment elle s’est progressivement radicalisée et comment son influence a grandi sur YouTube. Elle était considérée, et se présentait sur YouTube comme une mère pour les jeunes islamistes, qui la respectaient.»

Dès que ces vigies faisaient fermer un de ses comptes Internet, Jihad Jane en ouvrait un nouveau sous un autre pseudonyme : au moins 27 identités lui sont attribuées, rien que sur le site de partage de vidéos. Après l’avoir longtemps considérée comme une «dérangée», en mal d’amour et de reconnaissance, ces vigies amateurs s’étaient pourtant inquiétés l’été dernier en observant qu’elle collectait des fonds pour les moudjahidin au Pakistan…

Perpétuité. Dans la vraie vie, Colleen LaRose avait aussi un casier judiciaire, mais très bénin par rapport aux peines de prison qui l’attendent maintenant – elle risque la perpétuité. En 1985, elle avait été condamnée à une amende pour violation de propriété privée. En 1997, elle était épinglée pour conduite en état d’ivresse et quatre chèques en bois d’une valeur totale de moins de 400 dollars. En 2005, peu après la mort de son père, elle avait été récupérée par la police pour une tentative de suicide : elle avait avalé tous ses comprimés relaxants. En 2008, elle avait enfin trouvé une cause, et disait sur Internet vouloir «désespérément faire quelque chose pour aider» les musulmans.
libération

Très flippant cette histoire, cette femme a été arrétée pour des commentaires sur You Tube !!!!!
On en revient toujours au même, méga flicage et illégitimité de la resistance musulmane. Il y a 60 ans si cette femme avaient voulu se battre contre Franco en Espagne en 36, elle aurait été une icone.
L’article est vraiment pathétique.

Lisez les commentaires sous l’article, un certain zubrowska assure.

Bref, nous sommes super surveillés, la guerre contre le terrorisme s’immisce dans toute notre vie, il faut faire attention à ce que l’on dit, il ne faut pas s’emporter, tout est consigné et il est possible de créer un faux profil en mettant à la suite quelques commentaires d’une personne révoltée, ça craint vachement.

La nana en question plaide non coupable, il faudra suivre cette affaire, elle donnera le ton du chemin parcouru vers la société liberticide.source

Afghanistan : L’OTAN a tenté de dissimuler les faits après un raid qui a tourné au carnage, révèle le Times

mars 18, 2010

Le 12 février dernier, le raid nocturne lancé par des soldats américains et afghans sur une maison de notables ou se déroulaient ce jour là les réjouissances d’un baptême a tourné au carnage. Les militaires ont ouvert le feu sur ceux qui se trouvaient là, et qui pourtant protestaient de leur innocence, racontent les témoins du drame interrogés par le Times. Cinq personnes ont été tuées, dont deux frères, l’un commandant de police, l’autre procureur, ainsi que deux femmes enceintes et une jeune fille qui allait se marier sous peu. Un adolescent de quinze ans a également été blessé. Le communiqué publié par l’OTAN après les faits affirmait que les soldats avaient découvert sur les lieux des « atrocités » et que les trois cadavres de femmes étaient « bâillonnés et ligotés ». Les témoins indiquent qu’elles sont tombées sous les balles de la même rafale qui a tué le procureur sur le pas de la porte de la maison familiale. A ce jour, l’OTAN refuse d’identifier l’unité responsable de ce massacre.

Un raid nocturne des soldats américains et afghans a entraîné la mort de deux femmes enceintes, une jeune fille et de deux fonctionnaires locaux, atrocités que l’OTAN a ensuite tenté de dissimuler, indiquent les récits des survivants, recueillis par le Times.

L’opération, qui s’est déroulée le vendredi 12 février consistait en en assaut mené à l’aube sur la maison d’un policier située à quelques kilomètres de Gardez, la capitale de la province de Paktia, à l’est de l’Afghanistan. Dans un communiqué publié après le raid, titré « les forces conjointes opérant à Gardez font une macabre découverte », l’Otan affirmait que ses soldats avaient découvert dans une chambre des corps de femmes « tuées, ligotées et bâillonnées ».

Une enquête du Times suggère que les affirmations de l’OTAN sont soit délibérément fausses ou, au mieux, trompeuses. Plus d’une douzaine de survivants, dont des fonctionnaires, des responsables de la police et un chef religieux, interrogés sur la scène de l’attaque et alentour, affirment que les auteurs de ces crimes étaient des soldats américains et afghans. L’identité et le statut de ces hommes reste inconnue.

Cette attaque est intervenue plus de quinze jours après que le commandant des forces américaines et de l’OTAN en Afghanistan, ait publié de nouvelles directives visant à limiter les raids nocturnes. Les forces spéciales et les agences de renseignement occidentales qui opèrent secrètement en Afghanistan ont été critiquées pour avoir mené des raids nocturnes basés sur des renseignements douteux ou faux, qui se sont soldés par des pertes civiles.

Le commandant Dawood, âgé de 43 ans, fut la première personne tuée durant l’assaut. Policier de longue date, réputé et aguerri, il avait été promu récemment à la tête du renseignement dans un des districts les moins sûrs de la province de Paktia. Son frère, Saranwal Zahir, était procureur dans le district d’Ahmadabad. Il a été tué alors qu’il se trouvait sur le pas de la porte, tentant de protester de son innocence.

Trois femmes, qui étaient accroupies derrière lui dans le couloir, ont été touchées par le même tir en rafale. Bibi Shirin, âgée, de 22 ans, avait quatre enfants, âgés de moins de 5 ans. Bibi Saleha, 37 ans, avait 11 enfants. Toutes deux, selon leurs proches, étaient enceintes. Elles ont été tuées sur le coup.

La mère des deux hommes, Bibi Sabsparie, déclare que Shirin était enceinte de quatre mois et Saleha de cinq mois. La dernière victime, Gulalai, âgée de 18 ans, était fiancée. Elle est décédée de ses blessures. « Nous avions déjà tout acheté pour le mariage », soupire celui qui devait être son beau-père, Sayed Mohammed Mal, Vice-Chancelier de l’Université de Gardez.

La nuit de cet assaut, environ 25 hommes, amis et parents, s’étaient rassemblés au domicile du commandant Dawood dans le petit village de Khataba, pour célébrer le baptême d’un nouveau-né. Assis côte à côte le long des murs d’une chambre d’hôtes, les hommes avaient dansé tour à tour, pendant que jouaient les musiciens. Le chanteur, Mohammed Sediq Mahmoudi, âgé de 24 ans, précise que quelque temps après 3 heures du matin l’un des musiciens, Dur Mohammed, est sorti pour aller aux toilettes. « Quelqu’un a braqué une lampe sur son visage et il a alors couru vers l’intérieur en avertissant que les talibans étaient dehors », déclare M. Sediq.

Le lieutenant-colonel Zamarud Zazai, qui dirige le service de renseignement de la police de Gardez, déclare : « Des deux cotés, ont a cru que l’autre groupe était taliban. » Le commandant Dawoud a couru vers les pièces où se trouvait sa famille, avec son fils Sediqullah, âgé de 15 ans. A mi-chemin à travers la cour, ils ont été abattus par un tireur posté sur le toit. Le commandant Dawoud a été tué. Sediqullah, touché à deux reprises, a survécu, racontent ses oncles.

Les tirs ont cessé et les soldats ont crié en pachtoune, ordonnant à tous de sortir à l’extérieur. Waheedullah, un chauffeur d’ambulance, déclare que leur accent était celui de Kandahar.

L’OTAN a déclaré que les soldats faisaient partie d’un force conjointe « afghano-internationale », mais, malgré de nouvelles règles leur enjoignant de laisser derrière eux des tracts identifiant leur unité, la famille indique qu’ils n’en ont pas fourni. Les forces américaines du secteur nient toute implication.

Dans le couloir situé de l’autre côté de l’enceinte des bâtiments, les femmes se sont précipitées pour soigner les blessés. La mère du commandant Dawood raconte : « Zahir a crié,« Ne tirez pas, nous travaillons pour le gouvernement ». Mais tandis qu’il parlait, ils ont tiré à nouveau. Je l’ai vu tomber. Je me suis retourné et j’ai vu que ma belle-fille et les autres femmes étaient mortes. »

Mohamed Sabir, âgé de 26 ans, qui est le plus jeune frère du commandant de Dawood et de Zahir, a fait partie des huit hommes qui ont été arrêtés et transportés par avion vers une base située à proximité, dans la province de Paktika. Ils ont été détenus pendant quatre jours et interrogés par un américain en civil qui leur a montré des photos de l’homme qu’ils suspectaient. « J’ai dit : « Oui, c’est Shamsuddin. Il était à la fête. Pourquoi ne l’avez-vous pas arrêté ? », raconte Sabir. Ils ont ensuite été libérés sans être inculpés. Shamsuddin – qui avait travaillé durant cinq mois à la réparation des générateurs électriques de la base américaine locale – s’est livré de lui-même pour subir un interrogatoire. Il a été lui aussi libéré sans aucune inculpation.

Le communiqué initial de l’Otan indiquait que « plusieurs insurgés ont engagé le combat contre la force conjointe et ont été tués lors des échanges de tirs. » La famille affirme que personne n’a même jeté une pierre. Le contre-amiral Greg Smith, responsable de la communication de l’OTAN à Kaboul, nie qu’il y ait eu tentative de camouflage.

Il indique que les deux hommes qui ont été tués étaient armés et manifestaient des « intentions hostiles », mais a admis « qu’ils n’étaient pas la cible de ce raid particulier ».

« Je ne sais pas s’ils ont tiré des coups de feu », indique-t-il. « Si on a un individu qui sort d’un bâtiment, et que la force d’assaut est là, cela déclenche souvent une neutralisation de l’individu. Il n’est pas nécessaire d’être visé par un tir pour riposter. »

Il admet que le communiqué original avait été « mal formulé », mais déclare que « pour des gens qui voient beaucoup de cadavres », les femmes avaient paru à l’époque être décédées depuis plusieurs heures.

Par l’intermédiaire des doyens du village, les américains ont proposé une indemnisation à la famille – 2 000 dollars pour chacune des victimes.

« La vie humaine n’a aucune valeur » se lamente Bibi Sabsparie. « Ils ont tué notre famille, puis ils sont venus et ont apporté de l’argent. L’argent ne ramènera pas les nôtres. »
contre info

Malheureusement un massacre de plus à déplorer pour ce peuple qui subit la guerre depuis 33 ans.
C’est à pleurer, d’autant plus que la presse engagée contre les guerres dans les années 60 et 70 a totalement disparu, aucun média ne se fait le porte voix de la cause des musulmans qui subissent les guerres occidentales.
C’est le silence radio, en même temps c’est difficile de faire de la propagande pour bombarder l’Iran et soutenir les victimes des bombardements en Afghanistan ou à Gaza…

Nous tuons ces gens pauvres gens quotidiennement, et nos médias font mine de ne pas comprendre pourquoi les résistants sont victorieux, inventant ou relayant des faits divers horribles, les faisant passer pour des sauvages. Quand j’entends des mongoliens dire que les Pakistanais sont mysogines, je rigole et leur demande comment ça se fait qu’ils ont élu en 1988 une femme Premier ministre… Ce que les trois quart des pays européens n’ont jamais fait, on se demande alors qui a le cerveau figé…

Bref, prions et pensons aux victimes et leur famille.

Les guerres qui mènent les Etats-Unis à la ruine.

mars 18, 2010

Le prix Nobel de la Paix Barack Obama poursuit des combats qui sont au-dessus des moyens de son pays, et il est de plus en plus évident qu’il est le jouet du complexe militaro-industriel, écrit Eric Margolis.

Les invasions américaines en Irak et en Afghanistan n’auraient pas été possibles sans crédits massifs venus de Chine, d’Union Européenne, des pays producteurs de pétrole du Moyen-Orient … – Photo : Al Jazeera

Le Président Barack Obama a qualifié le budget de 3,8 trillions de dollars [un trillion équivaut à 1000 milliards de dollars – N.d.T], envoyé récemment au Congrès, d’étape importante pour restaurer la santé économique de l’Amérique. En fait, c’est une nouvelle dose fournie à un malade gravement dépendant d’une drogue dangereuse : la dette.

Plus d’empires sont tombés en raison de finances catastrophiques que d’invasions. Le dernier exemple a été l’Union Soviétique qui s’est ruinée en achetant des tanks. Le déficit de Washington [la différence entre les dépenses et les revenus par les impôts] atteindra cette année la somme vertigineuse de 1,6 trillion de dollars. Cette somme énorme sera empruntée principalement à la Chine et au Japon auxquels les États-Unis doivent déjà 1.5 trillion de dollars. Le service de la dette coûtera cette année 250 milliards de dollars.

Pour parvenir à dépenser 1 trillion de dollars US, quelqu’un aurait dû commencer à dépenser 1 million de dollars chaque jour depuis peu de temps après que Rome ait été fondé puis continuer ainsi pendant 2738 années jusqu’à aujourd’hui.

Le budget militaire total [2010] d’Obama est presque de 1 trillion. Cela comprend les 880 milliards de dépense du Pentagone. Ajoutons les sombres programmes secrets (environ 70 milliards), l’aide militaire aux nations étrangères amies comme l’Egypte, Israël et le Pakistan, ainsi que 225000 « contractuels » militaires (mercenaires et employés), et enfin les coûts des vétérans.

Additionnons encore 75 milliards (presque quatre fois le budget total de la défense du Canada) pour 16 agences de renseignements avec 200 000 employés.

Les guerres d’Afghanistan et d’Irak (1 trillion de dollars jusqu’ici), coûteront de 200 à 250 milliards de plus cette année, en incluant des dépenses cachées et indirectes. « L’escalade [surge] » afghane d’Obama avec ses 30000 soldats supplémentaires coûtera encore 33 milliards de dollars – plus que le budget total de la défense de l’Allemagne.

Pas de problème si les stocks de la défense n’ont cessé de gonfler après le budget « d’austérité » d’Obama, prix Nobel de la Paix.

Les dépenses militaires et de renseignement augmentent de façon implacable alors que le chômage atteint les 10% et que l’économie saigne une encre rouge. L’Amérique est devenu l’homme malade de hémisphère occidental, un estropié économique comme l’a été le défunt empire Ottoman. Le Pentagone représente maintenant à lui seul la moitié des dépenses militaires de la planète dans sa totalité. Ajoutez-y les riches alliés de l’OTAN ainsi que le Japon, et les chiffres atteignent 75%. La Chine et la Russie dépensent conjointement à peine un malheureux 10% de ce que les États-Unis dépensent pour la défense.

Il y a 750 bases militaires des États-Unis dans 50 pays et 255 000 militaires ou employés stationnés en permanence à l’étranger dont 116 000 en Europe et presque 100 000 au Japon et en Corée du Sud.

La dépense militaire dévore jusqu’à 19% des dépenses fédérales et au moins 44% des recettes fiscales. Sous l’administration Bush, les guerres d’Irak et d’Afghanistan — financées par l’emprunt — ont coûté à chaque famille américaine plus de 25 000 dollars.

Comme Bush, Obama finance les guerres de l’Amérique par des autorisations supplémentaire de paiement, sur le compte déjà au maximum à découvert de la nation. Les générations futures seront coincées par cette facture. Ce yoyo financier du Président et du Congrès est la pire manifestation de malhonnêteté publique. Les guerres de l’Amérique doivent être payées par les impôts, et non pas par des jeux d’écriture comptable.

Si les contribuables des États-Unis devaient réellement acquitter la facture des guerres d’Afghanistan et d’Irak, ces conflits cesseraient très rapidement. L’Amérique a besoin d’un juste et transparent impôt de guerre. Les États-Unis ont clairement atteint le point de rupture. Les dépenses militaires et le service de la dette cannibalisent l’économie américaine, la vraie base de sa puissance mondiale. Aux côtés de l’ancienne URSS, les États-Unis ressemblent maintenant de plus en plus à l’Empire Britannique disparu en 1945, écrasé par d’immenses dettes contractées pour participer à la deuxième guerre mondiale et incapable de continuer de financer ou défendre son empire, tout en restant malgré tout imprégnée de prétentions impériales.

Il est de plus en plus évident que le Président n’est pas aux volant du camion militaire américain complètement emballé. Il y a soixante ans, le grand Président Dwight Eisenhower, dont le portrait orne mon bureau, avait averti les Américains de prendre garde au complexe militaro-industriel. Six décennies plus tard les partisans de la guerre permanente et de la domination du monde se sont liés avec les bailleurs du fonds de Wall Street pour pousser l’Amérique dans le gouffre.

Un nombre croissant d’Américains sont fort justement scandalisés et effrayés de l’emballement des déficits. La plupart d’entre eux ne comprennent pas que leurs dirigeants politiques mènent leur nation à la ruine dans des guerres étrangères inutiles et dans une vaine tentative de diriger une grande partie du globe — ce que les neocons appellent un « plein spectre de domination [domination dans tous les domaines – N.d.T] ».

Si Obama était vraiment sérieux concernant la rétablissement de la santé économique de l’Amérique, il exigerait que les dépenses militaires soient réduites, mettrait fin rapidement aux guerres d’Irak et d’Afghanistan et briserait l’échine des « Frankenbanks géantes [jeu de mots à partir de ‘Frankenstein’ et ‘banques’ – N.d.T] » de la nation.
info-palestine

Les USA en 2010 dépensent plus de 800 milliards pour la défense, un peu moins de 200 milliards pour les intérêts de la dette et cela pour 2 380 milliards de recettes, et d’après le peu que j’ai compris, les intérets de la dette vont énormément augmenter dans les années à venir. Comment un pays peut il dépenser la moitié de ces recettes en deux postes de dépense, surtout la guerre et la dette.
À terme, ce n’est pas viable, du moins dans un cadre démocratique, soit la crise est bientot terminée, les recettes augmentent, le budget de la défense se stabilise et le budget redevient structurellement sain, soit c’est le fascisme avec une économie de guerre. Il y a également la possibilité d’un soulèvement populaire qui annule les dettes, détruise le complexe militaro-industriel, et installe une véritable démocratie sans lobby, mais je doute…

Dès le traité de Versaille en 1919, de nombreuses personnes avaient saisi qu’il y aurait une nouvelle guerre, ils n’étaient pas médium, ils observaient simplement que ce traité était profondément injuste et qu’il ne prenait pas en compte les réalités objectives. C’est pareil aujourd’hui, nous ne sommes pas médium, nous observons les instabilités dans l’architecture des relations internationales, nous vivons une époque absolument inédite, des forces immenses sont à l’oeuvre, contrairement aux guerres passées, des milliards de personnes sont impliquées dans le système, il y a bien plus de citadins. J’entends par la, que nous sommes bien plus vulnérables aux effets d’une guerre ou d’un blocage du système bancaire. En 14 et en 40, l’immense majorité des gens vivaient à la campagne, et comme ils produisaient eux même leur nourriture, leur vulnérabilité, et la vulnérabilité du système étaient bien moindre. C’est pour cela que la FEMA a déja imaginé le pire, en cas de guerre avec l’Iran, si Ormuz est bloqué et les raffinneries saoudiennes détruites, le prix du pétrole explosera et les pénuries seront probables. Sans transports pas de nourriture dans les magasins, sans compter une campagne d’attentats majeure, réalisées ou pas par l’Iran, qui terminera de mettre le pays à genoux. Et ce n’est pas le seul scénario, il y en a des tas, tremblement de terre, méga attentat nucléaire, faible récolte céréalière à cause d’un pathogène, etc…

Bref, il faut espérer que le peuple américain va inverser la tendance, ne croyez pas les médias quand ils vous dépeignent les opposants à Obama comme des nazis fascistes fous du port d’arme, ce sont simplement des américains qui croient dans la Constitution, et à la télé ils nous montrent les plus extrémistes histoire de perturber notre compréhension de ce mouvement.

Angela Merkel se dit pour la possibilité d’exclure un pays membre de la zone euro…

mars 17, 2010

La situation s’envenime, mercredi 17 mars, entre la Grèce et l’Allemagne au sujet de l’aide à apporter à Athènes, plongée dans une grave crise budgétaire.
La chancelière allemande Angela Merkel s’est en effet prononcée dans la matinée, devant les députés allemands, en faveur de la possibilité d’exclure un pays membre de la zone euro, en dernier recours, et quand celui-ci « ne remplit pas les conditions, encore et encore ». Une éventualité qu’avait déjà abordée son ministre des Finances Wolfgang Schaüble. Angela Merkel a également estimé qu’apporter un soutien rapide à la Grèce n’était « pas la bonne réponse » mais qu’il fallait « attaquer le problème à la racine ».
La veille, la Grèce avait indiqué attendre de ses partenaires de la zone euro qu’ils « spécifient davantage » lors du sommet européen des 25 et 26 mars l’aide qu’ils ont convenu d’apporter si nécessaire à Athènes, lors du conseil des ministres des Finances de lundi à Bruxelles. Wolfgang Schaüble avait lui affirmé devant les députés de son pays qu' »aucune décision politique » n’avait été prise la veille concernant une aide éventuelle.

Athènes ne veut pas « s’appesantir » sur Berlin

Pressé de questions sur l’attitude de l’Allemagne, réticente à payer pour la Grèce, le porte-parole du gouvernement grec Georges Pétalotis avait jugé mardi qu’il n’était pas utile de « s’appesantir, au moins pour le moment, sur l’attitude d’un seul pays » au sein de l’Union européenne.
A l’issue d’une réunion élargie aux autres ministres des Finances de l’UE, le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires Olli Rehn avait lui insisté sur le fait que les dirigeants européens devaient encore donner leur feu vert au mécanisme d’aide.
Le plan d’action envisagé porterait sur une somme de 20 à 25 milliards de dollars et passerait par des prêts bilatéraux des partenaires de la Grèce au sein de la zone euro, mais avec des taux d’intérêts élevés, pour inciter Athènes à revenir se financer sur les marchés le plus vite possible, et ne pas donner une prime aux mauvais élèves sur le plan budgétaire. En revanche, l’idée de garanties apportées par les Etats européens sur des emprunts réalisés par la Commission serait écartée.

20 milliards à trouver d’ici mai

Plombée par une dette de 300 milliards d’euros, la Grèce doit emprunter cette année quelque 54 milliards d’euros pour se refinancer, dont environ 20 milliards d’ici à mai. En contrepartie de la possible aide européenne, le gouvernement de Georges Papandréou s’est engagé à diminuer le déficit public de quatre points cette année (de 12,7% du PIB à 8,7%) via un train d’économies budgétaires comprenant notamment des économies drastiques dans la Fonction publique, un relèvement de l’âge légal du départ à la retraite et le gel des pensions, un programme de privatisations, une baisse des dépenses militaires et une hausse des taxes sur divers produits de 19% à 21% (alcools, tabac, carburants, produits de luxe…).
challenges.fr

Toujours aussi tarés les allemands, elle est belle la solidarité européenne. Je ne sais pas comment ça va se passer, mais attendons nous à des surprises.
Les fonds de pensions, que Sarko voulait encadrer, ont humilié la France, la city a dit niet :

 » Le projet de directive visant à réguler les fonds spéculatifs a été retiré mardi de l’agenda de l’Ecofin.

L’intransigeance britannique a payé. L’Europe a renoncé, temporairement, à légiférer contre les hedge funds. Le sujet, qui devait être discuté, mardi, par les ministres des Finances des Vingt-Sept, a été retiré in extremis de l’ordre du jour par la présidence espagnole, qui a préféré ne pas soumettre au vote un texte déplaisant fortement en l’état au Royaume-Uni.

Lundi soir, Gordon Brown a téléphoné à son homologue espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, pour lui dire qu’en l’état, le compromis n’était pas acceptable pour le Royaume-Uni. «L’idée est d’atteindre le plus grand consensus possible», a expliqué la ministre espagnole des Finances, Elena Salgado.

Pour faire capoter l’accord, les Britanniques ont tenté de réintroduire dans le compromis leur demande d’un «passeport» pour les hedge funds. En clair, le gestionnaire d’un fonds basé dans un paradis fiscal qui obtiendrait l’autorisation de travailler en Grande-Bretagne pourrait ensuite librement commercialiser ses produits dans toute l’Europe. Une demande inacceptable pour plusieurs pays, dont la France, qui craignent d’ouvrir les vannes à des fonds offshore, obéissant à une législation approximative.

Le commissaire au Marché intérieur, Michel Barnier, a tenté de rassurer en disant que «s’il y a un passeport, il sera très exigeant». Mais les négociations deviennent complexes. Le prochain à donner son avis sera le Parlement, en avril, avec des priorités pas forcément similaires à celles du Conseil.

Élections britanniques
La perspective des élections britanniques en mai risque de paralyser toute décision dans ce dossier où le Royaume-Uni joue un rôle central. Négocier autour du passeport implique de définir des équivalences pour les gestionnaires de pays tiers, un processus long et compliqué. Surtout, il n’est pas certain que les lignes puissent beaucoup bouger. «On est allés au bout du bout de ce qui était acceptable», soulignait, mardi, une source diplomatique. «Un État membre, et un seul, bloque le sujet. La question, c’est : “Est-ce que l’ensemble des vingt-sept États membres souhaite vraiment un accord ?”»

Près de 70 % des fonds alternatifs en Europe sont gérés depuis Londres, ce qui explique que la présidence espagnole ait hésité à voter un texte contre l’avis des principaux intéressés. Mais dans ce dossier explosif, chacun a tenté de peser le plus possible. Les fonds ont mené un lobbying sans précédent auprès du Parlement. La semaine dernière, le secrétaire au Trésor américain, Timothy Geithner, a écrit à Michel Barnier pour s’inquiéter d’un risque de protectionnisme. Nicolas Sarkozy lui-même s’était saisi du dossier, en soulignant la «très lourde responsabilité» des hedge funds dans la crise actuelle et la nécessité de les réguler. »
le figaro

La City fait la loi, ils ont planté le système, mais ils continuent à dicter à l’europe quoi faire, c’est fou.

Bref, sortez votre argent des banques, ils vous volent, et allez à la campagne, vous survivrez mieux qu’en ville.

Nathalie Roy: «Le vaccin contre le H1N1 m’a déclenché une sclérose en plaques»

mars 16, 2010

«Le vaccin contre le H1N1 a-t-il déclenché ma sclérose en plaques?» Cette question obsède Nathalie Roy, infirmière au CHUV et maman de quatre enfants, qui a ressenti les premiers symptômes de cette terrible maladie douze jours après s’être fait vacciner. «Je me fais vacciner chaque année contre la grippe, mais cette fois, j’avais des réticences. On en discutait entre collègues, on s’étonnait de la rapidité avec laquelle ce vaccin était arrivé. D’un autre côté, les gens me disaient: «Fais-le pour tes filles!» Finalement j’ai accepté.» 

«Je n’accuse personne»

Le 17 novembre, cette Québécoise de 34 ans reçoit donc l’injection. Au début, tout se passe bien, mais le 1er décembre, elle ressent des engourdissements dans la jambe gauche. «Je ne me suis pas inquiétée, mais ça s’est étendu. A Noël, je ne pouvais plus marcher.» Inquiète, elle consulte un neurologue, subit une ponction lombaire et apprend le terrible diagnostic. «La sclérose peut apparaître suite à un choc émotionnel ou une forte infection. Comme je n’ai rien subi de tel durant les derniers mois, j’ai pensé au vaccin. Je n’accuse personne, j’ai pris la décision toute seule. Mais si ma maladie a été déclenchée par ce vaccin, je trouverais normal que quelqu’un paie les 1400 francs par mois de médicaments que je vais désormais devoir prendre toute ma vie.»

C’est donc avec grand intérêt que Nathalie Roy a découvert un fascicule publié par le site http://www.infovaccins.ch et qui cite des maladies graves comme exemples de «complications vaccinales avérées». Avec, en tête de la liste, la sclérose en plaques.

Lien possible avec le vaccin

Médecin adjoint au Service d’immunologie et d’allergie du CHUV, Pierre-Alexandre Bart ne rejette pas l’éventualité d’un lien entre le vaccin et l’apparition de la maladie: «Dès que l’on stimule le système immunitaire, par exemple par le biais d’un vaccin, on induit des réactions proches de celles de l’infection naturelle, mais habituellement plus modérées.»

«Ce qu’il est important de comprendre, précise le spécialiste, c’est que l’infection naturelle par le virus H1N1 est susceptible de provoquer les mêmes conséquences, mais dans une proportion bien plus élevée. Dans la présente situation, il est toutefois impossible de tirer des conclusions à partir d’un nombre de cas aussi petit…»

Depuis sa crise de sclérose, Nathalie Roy a retrouvé la plus grande partie de sa sensibilité. Elle continue d’élever ses quatre filles âgées de 10 mois à 9 ans, mais avec désormais une épée de Damoclès au-dessus de la tête. «J’ai choisi de témoigner, car les gens doivent être sensibilisés. Se faire vacciner n’est pas un geste anodin, cela peut avoir des conséquences sur votre vie et celle de vos proches.» Comble de l’histoire, la fille cadette de Nathalie Roy, qui n’était pas vaccinée, a finalement attrapé la maladie, sous une forme tout à fait bénigne.
tribune de genève

Le psychopathe Karl Rove est « fier » des méthodes de torture comme le waterboarding

mars 16, 2010

Karl Rove, stratège de l’ancien président américain George Bush, s’est dit « fier » des méthodes d’interrogatoire des terroristes présumés, assurant qu’elles avaient permis de déjouer plusieurs attaques, selon une interview diffusée jeudi soir par la BBC.

« Je suis fier que nous ayons utilisé des techniques qui ont brisé la volonté de ces terroristes et nous ont donné des informations précieuses qui nous ont permis de déjouer des complots », a déclaré M. Rove, qui fut l’éminence grise de l’ex-président.

« Je suis fier que nous ayons rendu le monde plus sûr, grâce à l’usage de ces techniques. Elles sont appropriées, elles sont conformes à nos exigences internationales et à la loi américaine », a-t-il ajouté.

Interrogé sur la simulation de noyade, méthode d’interrogatoire dure et très contestée, l’ancien conseiller a estimé qu’il ne s’agissait pas de torture : « Non, ce n’en est pas. Il faut lire les mémos qui stipulent ce qui était permis ou pas avant d’établir un jugement à ce sujet », a-t-il répondu.

« Tous ceux qui ont été soumis à des simulations de noyade avaient un médecin qui devait évaluer s’il y avait eu des séquelles mentales ou physiques à long terme », a-t-il poursuivi.

« Lancer des avions sur (l’aéroport londonien) de Heathrow ou sur Londres…, faire exploser des appareils au-dessus du Pacifique, précipiter un avion sur le plus haut édifice de Los Angeles », a cité Karl Rove parmi les complots déjoués, selon lui, grâce à ces méthodes d’interrogatoire.

Le président Barack Obama, successeur de George Bush, a fait interdire les méthodes d’interrogatoire les plus dures, assimilant notamment la simulation de noyade à de la « torture ».

George W. Bush a été président de 2001 à 2009, avant de céder le pouvoir à Barack Obama.

Vidéo de l’interview (sans sous-titres) :

newsoftomorrow

Oui, cet homme est un démocrate et nous vivons tous en démocratie, oui, oui…

Final destination Iran?

mars 16, 2010

Hundreds of powerful US “bunker-buster” bombs are being shipped from California to the British island of Diego Garcia in the Indian Ocean in preparation for a possible attack on Iran.

The Sunday Herald can reveal that the US government signed a contract in January to transport 10 ammunition containers to the island. According to a cargo manifest from the US navy, this included 387 “Blu” bombs used for blasting hardened or underground structures.

Experts say that they are being put in place for an assault on Iran’s controversial nuclear facilities. There has long been speculation that the US military is preparing for such an attack, should diplomacy fail to persuade Iran not to make nuclear weapons.

Although Diego Garcia is part of the British Indian Ocean Territory, it is used by the US as a military base under an agreement made in 1971. The agreement led to 2,000 native islanders being forcibly evicted to the Seychelles and Mauritius.

The Sunday Herald reported in 2007 that stealth bomber hangers on the island were being equipped to take bunker-buster bombs.

 » They are gearing up totally for the destruction of Iran  »
Dan Plesch, director, Centre for International Studies and Diplomacy, University of London

Although the story was not confirmed at the time, the new evidence suggests that it was accurate.

Contract details for the shipment to Diego Garcia were posted on an international tenders’ website by the US navy.

A shipping company based in Florida, Superior Maritime Services, will be paid $699,500 to carry many thousands of military items from Concord, California, to Diego Garcia.

Crucially, the cargo includes 195 smart, guided, Blu-110 bombs and 192 massive 2000lb Blu-117 bombs.

“They are gearing up totally for the destruction of Iran,” said Dan Plesch, director of the Centre for International Studies and Diplomacy at the University of London, co-author of a recent study on US preparations for an attack on Iran. “US bombers are ready today to destroy 10,000 targets in Iran in a few hours,” he added.

The preparations were being made by the US military, but it would be up to President Obama to make the final decision. He may decide that it would be better for the US to act instead of Israel, Plesch argued.

“The US is not publicising the scale of these preparations to deter Iran, tending to make confrontation more likely,” he added. “The US … is using its forces as part of an overall strategy of shaping Iran’s actions.”

According to Ian Davis, director of the new independent thinktank, Nato Watch, the shipment to Diego Garcia is a major concern. “We would urge the US to clarify its intentions for these weapons, and the Foreign Office to clarify its attitude to the use of Diego Garcia for an attack on Iran,” he said.

For Alan Mackinnon, chair of Scottish CND, the revelation was “extremely worrying”. He stated: “It is clear that the US government continues to beat the drums of war over Iran, most recently in the statements of Secretary of State, Hillary Clinton.

“It is depressingly similar to the rhetoric we heard prior to the war in Iraq in 2003.”

The British Ministry of Defence has said in the past that the US government would need permission to use Diego Garcia for offensive action. It has already been used for strikes against Iraq during the 1991 and 2003 Gulf wars.

About 50 British military staff are stationed on the island, with more than 3,200 US personnel. Part of the Chagos Archipelago, it lies about 1,000 miles from the southern coasts of India and Sri Lanka, well placed for missions to Iran.

The US Department of Defence did not respond to a request for a comment.
http://www.heraldscotland.com
traduction google

Si cette information est véridique, nous pouvons nous faire du soucis, ces tarés d’américains alliés aux nazis israéliens et aux nouveaux guerriers européens veulent véritablement en découdre avec l’Iran.
C’est pathétique de les voir nous refaire le coup de la guerre d’Irak, les occidentaux n’ont même pas une éponge à la place du cerveau, c’est le vide absolu, ou alors ils ont un fond islamophobe qui les poussent à se foutre des massacres de musulmans. C’est très grave en tout cas.

Après l’Afghanistan, l’Irak, le Pakistan, le Yemen et la Somalie, voila que c’est au tour de l’Iran de subir les folies occidentales, et on nous emmerde toute la journée avec l’antisémitisme.

Comment ça se fait que les gens ne comprennent pas la situation, je vous jure que je perds rapidement mon sang froid quand je parle avec des gens qui ne comprennent pas cela, je m’enerve profondément.
Il suffit d’écouter les infos et de connaitre un minimum la situation pour appréhender cette sale réalité, l’occident est en guerre contre les musulmans du monde entier. La théorie débile du choc des civilisation est simplement le cadre idéologique de la doxa en vigueur en occident, elle n’est réel que dans la mesure ou les élites y croient.
Soyons réaliste, le racisme, l’antisémitisme sont nés en occident, ces théories ont été structurées dans un rapport au réel extrèmement violent. Quand je dis que le racisme est née en occident j’entends par la qu’il a été théorisé chez nous, nous avons ériger le racisme en système, un système structurant jusqu’à en devenir une norme.
On ne va pas reprendre toute l’histoire, mais je ne sais pas ce qui a fait que l’europe soit devenue aussi timbrée.
Pour moi un exemple est extraordinairement significatif, cette histoire de la Flotte chinoise immense qui sillonnait les mers au début du 15ième siècle sans jamais exterminer, coloniser ou détruire gratuitement qui que soit, alors que nous autres psychopathes violents, moins d’un siècle plus tard, il nous a suffit de quelques bateaux et centaines d’hommes pour exterminer des millions d’indiens et esclavagiser des millions de noirs.
Je médite souvent sur cette différence notable de comportement, comprenez bien que je n’occulte pas du tout les guerres des autres civilisations, mais pourquoi avons nous poussé cet art jusqu’aux excès que nous connaissons tous.
Idem pour l’utilisation politique de la religion, sans rentrer dans les détails (que je ne pense pas maitriser encore) je pense qu’il y a une différence dans l’utilisation politique de la religion par l’Autorité.
L’Islam s’est répandu très rapidement, en moins de 2 siècles, c’était plié, il y a eu des conversions forcées, mais limitées dans le temps, alors que j’ai l’impression que les élites occidentales se sont servis de la Chrétienté dans l’optique d’un controle politique et non dans un but véritablement spirituel. Quand on lit  » Tres breve relation de la destruction des indes  » ou  » la controverse de Valladolid  » de Bartolomé de la Casas, on est décontenancé, rendez vous compte qu’en plein millieu du 16ième siècle, certains se demandaient encore si les indiens avaient une âme !!! je ne pense pas que les musulmans se soient posés ce genre de question !
Alors que le message de Jésus Christ est d’une bonté extrème, je me demande encore comment certains occidentaux sont parvenus à faire autant de mal en son nom…

Pourquoi les élites occidentales se sont sentis et se sentent encore si supérieures, depuis des années je me pose cette question sans trop pouvoir y répondre, il y a bien trop de paramètres, mais le constat est bien réel.

Bref, pour en revenir à l’Iran, ne croyez pas ceux qui vous disent,  » cela fait des années que l’on nous parle de l’Iran bientot bombardé « , c’est justement parceque cela fait des années que l’on en parle qu’il est fort probable que cela se produise avec en prime pour les gens une sorte de lassitude sur ce dossier doublée d’une méga propagande anti perse dans tous les médias.

Dites à tous les gens que vous voyez que l’Iran ne nous a rien fait, qu’en aucune manière nous ne devons tolérer une quelconque implication de la France dans cette attaque, d’ailleurs il ne doit pas y avoir de bombardement.

L’Iran n’est pas une dictature, c’est un pays sous embargo, sous pression, à la merci des opérations psychologiques de déstabilisation, qui a une frontière immense avec le premier pays producteur d’opium mais aussi d’héroine (depuis l’invasion US) au monde.
Vous devez comprendre que l’Iran est en guerre, nous avons déja déclaré les hostilités contre l’Iran, pour l’instant c’est une guerre de basse intensité, mais c’est tout de même la guerre, et les standards de fonctionnement d’un pays en guerre ne sont pas les même qu’un pays en paix.
J’ai du mal à le faire comprendre aux gens, c’est dingue, comme quand j’entends  » wé, mais ils ont coupé les radios étrangères  » LOL, tu m’étonnes qu’ils brouillent les médias étrangers qui poussent aux émeutes, c’est du bon sens, celui de la conservation du pouvoir.
Même si il n’y a pas de morale dans les relations internationales, il y a une marche de l’Histoire, une dynamique propre avec ses acteurs majeurs, ceux qui subissent, ceux qui montent, ceux qui résistent. En revanche les hommes ont une sensibilité morale (pas tous il semblerait!) qui les poussent à faire des choix en fonctions des informations obtenues et du ressenti propre à chacun, son idéologie, son empathie mais surtout son rapport à l’altérité.
Ne vous laissez pas dominer par les opinions véhiculées dans les médias, soyez humains, voyez dans les iraniens vos frères, vos parents, vous amis, vous même. Observer la situation comme elle est et non comme vous pensez qu’elle est.