Laboratory à Schenectady (Etat de New York), découvrait des vapeurs d’UA dans des filtres à air de contrôle de pollution, dont trois à 42 kilomètres de ce site (2). Cette contamination provenait du National Lead Industries Plant (NL) de Colonie, situé à 16 kilomètres à l’est du laboratoire, à la limite de la ville d’Albany. Or NL fabriquait des pénétreurs en uranium appauvri pour les obus et des contrepoids d’ailes pour les avions civils » http://www.monde-diplomatique.fr/1999/06/ABDELKRIM_DELANNE/12106.html
De part cet incident,nous pouvons nous rendre compte que le gvt U.S connaît alors les méfaits de l’U.A.
Ce qui n’a pas empêché l’armée de stocker quelque 740 000 tonnes d’uranium appauvri actuellement entreposées, sous forme d’hexafluorure instable, sur trois sites du Département américain de l’Énergie : Paducah au Kentucky, Portsmouth en Ohio et Oak Ridge au Tennessee , http://www.ieer.org/ensec/no-32/no32frnc/disposal.html ,maintenant,ce n’est pas parce que ils possèdent des déchets qu’il faut les utiliser en tant qu’arme ou munition,surtout avec les conséquences qu’eux même savaient.
Voila un large extrait tiré de http://www.convergencedescauses.com/content/view/322/36/ qui explique ce qui l’en est réellement :
respond pas à la réalité : il laisse penser que la radioactivité est
enlevée, ce qui est faux. Je préfère parler d’armes « enrichies à
l’uranium ».
Reza Fiyuzat, linguiste résidant au Japon,
entretien par mél du 30 août 2005
L’uranium appauvri (UA) est un déchet radioactif issu de l’enri-
chissement de l’uranium destiné aux réacteurs nucléaires civils
et militaires (Dans les bombes, on utilise de l’uranium enrichi
à 95 % en U 235 ). Il contient principalement environ 99,75%
d’U-238 et 0,2% d’U-235. On l’appelle « appauvri » parce que
son activité est inférieure à celle de l’uranium naturel, ce qui
ne signifie nullement qu’il est moins dangereux. En effet, l’ura-
nium dit « naturel » est présent dans l’environnement à raison
de 1 à 3 ppm, alors que le minerai est mille fois plus concen-
tré. (L’uranium est dit « naturel » quand il ne contient que des
isotopes qui existent dans la nature, 14 au total, tous radioac-
tifs, dont l’U-238 , l’U-235 et l’U-234) . Seul l’uranium 235, qui
ne représente que 0,72% de l’uranium naturel (ce chiffre va-
riant selon les régions du monde), est fissile. L’U.A est double-
ment toxique : chimiquement, il provoque un empoisonnement
comme les autres métaux lourds (plomb, arsenic …). Mais il
est surtout fortement radiotoxique.
En outre, au lieu de diminuer, l’activité de l’U.A s’accroît
au fil du temps, en raison de la formation rapide de sous-pro-
duits lors de sa désintégration. S’il n’émet surtout des rayons
alpha (peu pénétrants, mais très irradiants) quand il est pur, ses
deux descendants, qui apparaissent au bout de quelques mois,
le thorium (TH-234) et le protactinium (PA-234) sont des émet-
teurs à vie courte (leurs périodes respectives sont de 24 jours
et 1,4 mn), bêta et gamma, donc, très pénétrants. L’UA uti-
lisé dans l’armement est d’autant plus dangereux qu’il est mé-
langé à de l’uranium issu des usines de retraitement pollué par
des produits de fission hautement radioactifs, comme le plu-
tonium (Pu-238 et Pu-239), l’uranium 236 (U-236), le neptu-
nium, l’américium, le technétium 99 ou le ruthénium 106, qui
potentialisent sa nocivité. Ainsi, l’activité de l’UA reste quatre
mille fois supérieure au seuil réglementaire qui impose l’appli-
cation des règles de radioprotection.
En raison de ses propriétés pyrophoriques (il s’enflamme
spontanément au contact de l’air) et de sa très grande densité
(1,7 fois supérieure à celle du plomb), c’est le métal idéal pour
fabriquer des obus miniaturisés de grande portée, d’une grande
vélocité (jusqu’à mach 5) capables de transpercer en quelques
secondes des véhicules blindés ou de traverser des dizaines de
mètres de béton pour détruire des bunkers souterrains sur plu-
sieurs mètres.
« Ainsi, un projectile en uranium appauvri comporte deux
militaires importants, c’est-à-dire d’être à la fois
perforant et incendiaire. C’est l’arme antichar idéale puisqu’elle
perfore les blindages de chars les plus résistants, provoque un
violent incendie entraînant l’explosion des munitions contenues
dans le char et ainsi, sa destruction complète. »
Bruno Barrillot, 2000
Quasiment gratuit en raison de son abondance, il permet, allié
à une très faible quantité de titane, de remplacer le tungstène,
coûteux et peu fusible. La résistance des chars est elle-même
renforcée par l’incorporation d’UA dans les blindages. L’U.A
est alors recouvert d’un produit qui limite les rayonnements
alpha. Les armes à l’U.A sont tirées par l’armée de terre (chars
Abrams, char Leclerc), de l’air (par les avions A10, peu coû-
teux, conçus en 1976, surnommés les « tueurs de chars »), les
missiles Tomahawk, Phalanx, les hélicoptères Apaches et la
marine. »
Ces particules sous forme d’aérosol peuvent se disperser sur de grandes distances (loin du point d’impact) et risquent d’être inhalées voire ingérées. Or, c’est sous cette forme et par ces voies, que la toxicité de l’oxyde d’uranium est la plus élevée : toxicité chimique, car c’est un métal lourd qui peut s’attaquer à des sites enzymatiques vitaux pour l’organisme ; toxicité radiologique, car c’est un émetteur alpha qui se fixe et diffusera de longues années dans l’organisme » . http://www.grip.org/bdg/g1674.html .
américain à la défense mettait en garde contre cette double toxi-
cité. Lors de l’impact sur sa cible, l’UA s’enflamme au contact
de l’oxygène, provoquant une chaleur extrême (jusqu’à 5000°C)
qui provoque la « vaporisation » de 10 à 100% de l’uranium selon
le type de projectile. Ainsi, un obus tiré par un char Abram pro-
duit entre 1000 et 3000 grammes de cette poussière. Selon les
travaux de Leonard Dietz, une seule particule de 5 microns en-
gendre une dose de 1360 rem, soit plus de trois cents fois la dose
autorisée en un an pour les travailleurs de l’industrie nucléaire.
Des micro et nanoparticules insolubles formées d’oxyde
d’uranium et d’un cocktail d’autres radionucléides se répandent
alors dans l’atmosphère. Déposées sur le sol, elles sont facile-
ment remises en suspension. Propagées par les vents et la pluie
sur des dizaines, voire des centaines de kilomètres, elles conta-
minent les sols, les eaux de surface et les nappes phréatiques,
la végétation, les animaux (atteints des mêmes maladies que
les humains), et finalement toute la chaîne alimentaire. http://www.convergencedescauses.com/content/view/322/36/ .
Voila même ce que dit le professeur A. Durakovic, Directeur du département de Médecine nu-
cléaire à l’Université Georgetown de New York
et expert auprès du Pentagone
» L’uranium appauvri devient néfaste quand il se transforme
en poussière ingérée ou inhalée, il est alors plus dangereux
qu’aucune toxine connue de la science des hommes. »
La contamination interne peut survenir de trois manières : l’in-
halation, l’ingestion de boissons et d’aliments contaminés, et par
lésions cutanées (l’U.A passe dans la circulation sanguine). L’in-
halation est la plus dangereuse (d’un facteur 10 à 200). La chi-
miotoxicité concerne en premier lieu le rein (et secondairement
le foie), et la radiotoxicité touche surtout les poumons. Plus de
75% des particules ne sont pas arrêtées au niveau de l’appa-
reil respiratoire supérieur et se fixent dans les alvéoles pulmo-
naires d’où elles irradient pendant des années. La moitié de la
fraction solubilisée qui a été transférée au sang est éliminée par
les urines, et l’autre moitié est répartie dans les reins et le sque-
lette avec un temps de fixation très lent. L’U.A attaque aussi le
cerveau, les organes reproducteurs, la thyroïde, les muscles, les
ganglions lymphatiques et le système neurologique. Sa dange-
rosité dépend de sa nature physique et chimique, de l’intensité et
de la durée d’exposition, et des sujets contaminés. Ainsi, les en-
fants représentent la population la plus vulnérable aux effets de
la radioactivité, parce qu’ils la concentrent trois ou quatre fois
plus que les adultes en raison de leur moindre poids et de l’acti-
vité de leur processus métabolique. Rappelons ici que les instan-
ces internationales de radioprotection (C.I.P.R) ont été obligées
d’admettre officiellement que, si le risque augmente en fonction
de la dose reçue, il n’existe pas de seuil d’innocuité.
« Chaque fois que l’une des parties se propose d’entreprendre un programme ou une activité dans un domaine qui présente ou peut présenter un intérêt majeur pour l’autre partie, la première consulte la seconde en vue de régler la question d’un commun accord. »
Cet accord prévoit en outre :
que des représentants de l’Agence internationale de l’Energie atomique sont invités aux réunions du Conseil exécutif de l’OMS et à participer, sans droit de vote, aux délibérations de cet organe et de ses commissions et comités ;
que l’O.M.S et l’A.I.E.A se tiennent mutuellement au courant de tous leurs projets « sous réserve des arrangements qui pourraient être nécessaires pour sauvegarder le caractère confidentiel de certains documents » . http://www.independentwho.info/spip.php ?article13 .Quand on sait que le premier article de la constitution de l’O.M.S est « amener tous les peuples au niveau de santé le plus élevé possible »,on prend peur sur l’ampleur du lobby nucléaire.
L’Italie n’a envoyé que 3000 soldats en Irak et ils ne restaient pas longtemps là-bas. Le nombre de 109 représente environ 3,6% du total. Si le même pourcentage d’Irakiens est soumis à la même exposition aux radiations, cela ferait 936 000 personnes.
« Ce sont les enfants à naître de la région qui paient le prix le plus élevé : l’atteinte à l’intégrité de leur ADN. »
Avant de mourir d’une leucémie en septembre 2004, Nuha al Radi, excellente artiste et auteur des Baghdad Diaries, a écrit : « Tout le monde semble mourir du cancer. Chaque jour, on entend parler d’un ami ou de l’ami d’un ami qui en meurt. Et combien meurent dans les hôpitaux sans que nous le sachions ? Apparemment, 30% des Irakiens souffrent d’un cancer et il y a des quantités d’enfants leucémiques. L’uranium appauvri laissé par les bombardements américains a transformé l’Irak en un pays infesté par le cancer. Pendant des centaines d’années, les effets de l’uranium continueront de faire des ravages en Irak et dans les régions voisines. »
« Les forces armées américaines admettent avoir utilisé plus de 300 tonnes d’armes à l’UA en 1991. Le chiffre réel est plutôt de 800. Cela a provoqué une crise sanitaire qui a touché plus de 300 000 personnes. Et comme si ça ne suffisait pas, l’Amérique a continué sur sa lancée et lors de la récente invasion, elle en a encore utilisé 200 tonnes à Bagdad. Je ne sais pas ce qu’il en est des autres régions du pays. A Bassora, il nous a fallu 2 ans pour obtenir des preuves concluantes des effets de l’UA, mais nous savons maintenant ce qu’il faut chercher et les résultats sont terrifiants. »
En octobre 2003, l’équipe de chercheurs du Dr Durakovic (UMRC) a fait un voyage d’études de 3 semaines en Irak. Il a recueilli environ 100 échantillons de sol, d’urine de civils et de tissus de cadavres de soldats irakiens dans 10 villes, y compris Bagdad, Bassora et Nadjaf. Selon le Dr Duracovic, les tests préliminaires ont montré que les échantillons d’air, de sol et d’eau contiennent des centaines, voire des milliers de fois les niveaux de radiation normaux
.
Le Dr Durakovic a déclaré au Japan Times : « Le haut niveau de contamination est dû au fait que cette année, il a été utilisé beaucoup plus d’UA que lors de la première guerre du Golfe. […] Les Américains entravent les efforts faits pour prouver le rapport entre l’UA et ces maladies. Ils ne veulent pas admettre qu’ils commettent des crimes de guerre en utilisant des armes qui tuent sans distinctions et que le droit international interdit. »
(Note à propos du Dr Duracovic. Tout d’abord, on lui a demandé de mettre fin à ses travaux, ensuite on l’a licencié, puis sa maison a été saccagée et il a reçu des menaces de mort. Il est évident que le Pentagone tient beaucoup à censurer ceux qui tirent la sonnette d’alarme.)
entreprise sur l’UA inhalé était « une grave faute professionnelle ». http://www.horizons-et-debats.ch/37/37_01.htm .
http://www.irinnews.org/Report.aspx ?ReportId=24287 :sur l’observation de zone fortemment irradiées dans le sud de l’irak, »According to a study of cancer patients in Basra carried out by the doctor in 1988, cancer rates were 11 per 100,000 people. The number went up to 116 in 1991 and 123 in 2002. There was also a sharp rise in the leukemia patients in 1996 and there has been another rise in recent years. Many cases are near places where DU weapons were used, »avant la 2eme guerre d’irak donc.
« We feel that there is an increase, but we don’t know from what, » al-Jadiry said. « The number of cases may even be underestimated, because some of the cases are treated in private hospitals » donc plus d’un doublement des cas et encore de ceux qu’ont vu les médecins et cela avant la seconde guerre du Golf.
According to specialists, the number of cancer cases has increased dramatically over the past five years, partly as a result of exposure to polluted materials during wars over the past 25 years.
“We see more than six new cases of cancer in our hospital per week. Years ago, we were treating about 4,000 patients per year but in the past three years, the number has jumped to more than 9,000 cases a year,” Bassima Jua’ad, oncologist at the Cancer Radiation Hospital in the capital, said.
“The most worrying thing is that dozens of those patients have been exposed to radiation in different forms. Some were living near polluted sites, others were children during the last wars who played near dangerous sites and now the effects are appearing on them or in their children,” she added. According to the Ministry of Health, about 52 percent of all cancer patients in Iraq are children under 5 years of age.
In general, it takes more than 20 years for people to develop radiation-related diseases after they have been exposed to radiation but Dr Salah Bahiri, an environmentalist and oncologist, said that such diseases can develop more quickly if exposure is higher.
“Cases of leukaemia, especially among children, have risen without control. This type of cancer is very common among people who had been exposed to polluted sites,” Bahiri said.
In Tuwaitha, 18 km south of Baghdad, where nuclear research has been going on for years, many residents appear to have suffered some ill effects, according to Bahiri.
“Tests developed at the Radiation Studies Centre (RSC) showed that of 4,000 residents who had their blood tested in five villages surrounding Tuwaitha, about half were found to have higher than normal white blood cell counts, showing a higher capacity of development of cancer than other communities,” Bahiri added.
http://www.dailymotion.com/relevance/search/uranium%2Bappauvri/video/x4x3za_dr-dahlia-wasfi_news :Dr Dahlia Wasfi, de mère juive européenne et de père Irakien, a passé une partie de son enfance en Irak. Extraits de son témoignage à la conférence « Socialism 2007 conférence » à Chicago, 16 Juin 2007.
du discours de Dr Dahlia Wasfi :
Debut du discours « Quand je parle c’est toujours en pensant aux 2 côtés de ma famille. Mais ce soir c’est pour un de mes cousins qui vit à Baghdad, il a 21 ans et meurt d’un cancer au cerveau et dans mon esprit il est clair que c’est lié à l’utilisation de l’Uranium Appauvri. Je m’adresse à vous au nom de membres de ma famille, juifs Ashkénaze qui ont fui l’Autriche. C’est pour eux qu’on dit « plus jamais ça ».
The Trojan Horse of Nuclear War,by Leuren Moret / World Affairs — The Journal of International Issues, 2004 July 01.
: http://www.mindfully.org/Nucs/2004/DU-Trojan-Horse1jul04.htm ,Depleted Uranium In India.
Quote : « The global pandemic of diabetes which is increasing each year, began with the atomic bombs dropped on Hiroshima and Nagasaki in 1945. The resulting global atmospheric pollution has resulted in a diabetes pandemic caused by hundreds of thousands of pounds of vaporized depleted uranium used in atomic and hydrogen bombs as « tamping », fission products from nuclear power plants, and the illegal use of depleted uranium radioactive poison gas weapons introduced to the battlefield by the US in 1991. » http://rense.com/general73/deep.htm .
Dr. Mishra said it started on his visit to the Consul at the Italian Consulate on June 29th regarding his earlier request for an Italian Visa. A Visa is an entry and travel permit and can only be issued in Bombay by Italian Consul Baeceloni. Mishra was called back without an explanation.
The Consul asked Dr. Mishra 1) Who is your sponsor in Italy, 2) What is your hotel in Italy and 3) what is your interest in Leuren Moret, in diabetes and depleted uranium ? Dr. Mishra had said nothing about diabetes, depleted uranium or Leuren Moret. » dans » Diabetes and Depleted Uranium – Italian Embassy Cover up Continues » , http://bellaciao.org/en/article.php3 ?id_article=12535 .