Bey voila, le Hamas s’est consumé dans la trahison étant donné qu’ils ne peuvent pas ignorer la réalité du complot contre la Syrie ( saoud : tout dialogue sur la syrie est vain ), bien entendu les milliers de civils qui sont morts est une tragédie mais ils ne sont pas à mettre sur le dos d’Assad, ce sont ces chiens galeux de wahhabites saoudo/qatari les responsables. Cela ne dédouane pas Assad d’une mauvaise gestion économique, sociale et politque du pays mais ce n’est pas pour autant qu’il est légitime de prendre les armes quand le systeme politque ne convient pas. ( parceque sinon cela aurait du commencer chez nous depuis longtemps). Que voulez vous que les autorités syriennes fassent quand des milliers de personnes armées tuent des policiers, des militaires et des civils ? N’importe quel pays enverrait l’armée les tuer, et je ne vois pas en quoi cela est génant.
Les questions essentielles sont :
Combien d’habitants du quartier baba amro soutiennent les personnes armées qui défient l’armée syrienne ?
Pourquoi les freres musulmans coopèrent avec les wahhabites (autre que pour l’argent et l’aide à prendre le pouvoir) ?
Quels sont les liens ou accords entre les wahhabites ( à quoi joue le qatar) et les américains d’une part et entre les freres musulmans et les américains d’autre part ?
Quid alors du cas de Gaza ( et accesoirement de la Cisjordanie) ? Comment le Hamas réagira quand israel l’allié des saoud sur de nombreux points, attaquera la bande de gaza ?
Maintenant que le Hamas a trahi la Syrie, quelle relation avec l’Iran ? Qui armera le Hamas ?
Je comprends que le Hamas soit dans une position impossible, émanation des frères musulmans, comment ne pas réagir en voyant d’autres frères se faire écraser en Syrie, je comprends que voyant la nouvelle configuration se mettant en place au moyen orient ( islamisme divers : turquie, tunisie, egypte, maroc et peut etre si pas anarchie libye) ils veuillent etre de la partie mais ce que je ne comprends pas c’est pourquoi rejoindre les wahhabites alors qu’ils sont l’essence même de la trahison. Le pragmatisme est une chose, le fourvoiement, la stupidité et la compromission en est une autre.
Les wahhabites pensent oeuvrer pour l’Islam, à défaut de lutter contre israel et l’imperialisme US, ils veulent la totale direction idéologique et politique sur les musulmans et donc éradiquer les seuls qui méritent ce leadership, l’arc iran syrie hezbollah hamas justement parceque ces derniers ne se sont jamais couchés devant les sionistes et les américains. La présence du hamas au sein de cette alliance dépassait le clivage chiite/sunnite et maintenant qu’ils ont trahi, la fitna est totale et la probabilité d’un conflit majeur entre les wahhabites et les mollah devient très élevé. La trahison du Hamas est d’autant plus grave. Le seul moteur du wahhabisme sera une lutte pour la pureté de l’islam et la lutte contre les hérétiques chiites/alaouites et autre nos sunnites.
Voila dépèche de France 24 :
Le Premier ministre du mouvement islamiste palestinien Hamas à Gaza, Ismaïl Haniyeh, a salué vendredi au Caire la quête du peuple syrien pour la « liberté et la démocratie ».
Le Hamas a reçu pendant de nombreuses années le soutien du pouvoir en Syrie face à Israël et son bureau politique est basé à Damas. Mais selon des informations de presse, le chef de ce bureau Khaled Mechaal et les autres responsables de l’instance ne résident plus en permanence à Damas.
« Je salue le peuple héroïque de Syrie qui aspire à la liberté, la démocratie et la réforme », a déclaré M. Haniyeh devant une foule de partisans réunis dans la mosquée d’Al-Azhar, pour un rassemblement consacré à « soutenir (la mosquée) Al-Aqsa (à Jérusalem) et le peuple syrien ».
« Ni Iran ni Hezbollah, Syrie islamique. Dégage, Bachar, dégage espèce de boucher », ont plus tard scandé les personnes présentes, tandis que M. Haniyeh restait de marbre.
Des divisions semblent être récemment apparues au sein du Hamas sur la stratégie du mouvement palestinien.
Le régime du président Bachar al-Assad réprime depuis 11 mois dans le sang une contestation populaire sans précédent.
Personne ne m’enleverra de l’esprit que ce soir la juiverie, sioniste ou pas, se fend la poire.
Le plan de Brezinski a été recyclé, au lieu de voir l’iran, la russie et la chine se taper sur la gueule, c’est l’arabie saoudite, l’Iran qui vont s’autodétruire.
Je suis hyper déçu, la juiverie compte les points et la Grande Guerre ne se fait que plus certaine.
La clef est dans l’attitude de la majorité sunnite syrienne, pour l’instant ils ont l’air de soutenir le regime et donc la resistance à la compromission, pour combien de temps ?
Il ya aussi le retour de Poutine, j’ose espérer que sa posture sur la Syrie et ses déclarations de réarmement massif et d’opposition au bouclier anti missile ne sont pas que le fait de sa campagne electorale.
L’Iran attaquera tout pays dont le territoire sera utilisé pour une intervention militaire contre la République islamique, a déclaré dimanche Hossein Salami, commandant adjoint du Corps des Gardiens de la révolution islamique, cité par les médias occidentaux.
« Tout territoire utilisé par l’ennemi pour des opérations contre la République islamique sera attaqué par nos forces armées », a annoncé le général Salami.
La tension monte entre Téhéran et plusieurs pays occidentaux, Etats-Unis en tête, sur fond de divergences concernant le programme nucléaire iranien.
L’Occident soupçonne l’Iran de chercher à se doter de l’arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément.
Face à la poursuite des activités nucléaires iraniennes, l’Union européenne, deuxième client pétrolier de l’Iran derrière la Chine, a récemment gelé ses importations de pétrole iranien, se joignant aux Etats-Unis pour frapper au cœur de l’économie de la République islamique. L’Iran a à son tour menacé de fermer le détroit d’Ormuz au transit de pétrole.
Israel rève de voir la République Islamique d’Iran et ces débiles de saoud s’entretuer, un remake de la guerre Iran/Irak, je ne sais pas si l’armée saoudienne a des soldats compétents mais du materiel ça ils en ont ! Je crois avoir lu que la grande majorité des pilotes sont pakistanais et qu’il y a des milliers d’occidentaux pour entretenir et enseigner l’utilisation des systèmes d’armes.
Les puits de pétrole saoudien sont à l’est et les populations y sont chiites, donc double avantage pour l’Iran, la proximité et des personnes sur place. Cette déclaration nous fait comprendre que la Turquie et l’Irak n’accepteront jamais un survol de leur territoire, même si l’Irak n’a pas la possiblité de bloquer les avions israeliens. Reste les supers traitres, les saoud, les plus grands malsains du monde, avec les juifs se sont surement les plus diaboliques sur terre. À cause des saoud l’Islam est mal vue, ce sont ces gens qui financent al quaida, financent des mosqués ultra integristes dans le monde entier sans compter qu’ ils trempent dans tous les traffics.
Les usa sont clairement en train de jouer l’intégrisme sunnite, mais cete fois ce n’est plus justes quelques milliers de combattants, ce sont tous les pays sunnites qui vont se retrouver avec des gouvernement du style frères musulmans/ salafistes et comme ( dans un premir temps) un conflit avec israel ne sera possible à cause de l’accord passé avec les usa ( on vous laisse arriver au pouvoir mais vous jouez le jeux capitaliste et vous n’emmerdez pas israel) le seul ennemi possible sera les chiites. Le Hamas résiste à ces pressions, espérons que cela ne change pas.
C’est pour cela que la Syrie est une pièce majeure dans l’équilibre au moyen orient, si la Syrie est dirigée par les mêmes personnes qu’en libye ou en tunisie, ce sera foutu, le Hezbollah sera isolé et l’Iran sera seul contre tous. Sans parler de la Chine et de la Russie qui seront directement menacé une fois que l’Iran sera tombé. Le plan est d’agiter les musulmans d’asie centrale et de l’ouest de la Chine via un Iran à la solde des USA.
Donc, nous pouvons sans conteste affirmer que ces » révolutions » ont mis au pouvoir des TRAITRES à la resistance Hezbollah-Syrie-Iran et se couchent comme des putes devant les mensonges et les desiderata des atlanto/sioniste.
Et le but ultime est bien de casser la Résistance, de former un Moyen Orient islamiste, en paix avec israel ( les premiers temps) jouant le jeu du libéralisme et ensuite de se servir de ce néo califat pour agiter les musulmans chinois et d’Asie centrale voire pour créer des guerres entre des pays du moyen orient et la chine et la Russie, mais il y a aussi une variante, en effet, imaginez une attaque israélienne sur gaza, ces nouveaux gouvernements islamistes, poussés par leur population exigeront des represailles contre israel, l’occident ne pouvant laisser tomber israel, un grand conflit entre l’occident et le moyen orient entièrement islamiste sera facile à vendre aux occidentaux.
Donc, tous ces pays sunnites sont completement cons, ils travaillent contre leurs propres interets et cela à plusieurs niveaux, c’est incroyable quand on y pense. Heureusement que le Hamas et le Djihad Islamique tiennent encore la route et rehaussent le niveau des sunnites, il est d’ailleurs incompréhensible que les dirigeants sunnites soient des traitres à ce point, bien quzje comprenne la haine entre chiites et sunnites, le fait que les puits de pétrole soient quasi tous sur des terres pleuplées de chiites, je n’arrive pas à comprendre pourquoi les dirigeants sunnites soient stupides à ce point, c’est pathétique.
L’iran devrait créer des émeutes en arabie saoudite et avoir une politique plus offensive, pour l’instant ils subissent plus qu’autre chose, espérons que cette inaction est volontaire et qu’ils gardent les mauvais coups pour les situations critiques…
Sinon, n’hésitez jamais appeler les rédactions du Monde, du Figaro et de Libé pour vous plaindre de leurs mensonges, quand on voit dans libé la soeur d’un membre important du CNS nous écrire un article sur la Syrie sans qu’il soit averti que cette Ala Kodmani est juge et partie dans la crise syrienne il est obligatoire d’appeler ce journal pour leur dire qu’ils se foutent de la gueule du monde.
Cela pourrait être une nouvelle version de la crise des missiles cubains de 1962. Selon un article publié par un journal allemand, l’Iran aurait l’intention d’installer des missiles au Venezuela. Des missiles qui pourraient atteindre le territoire des Etats-Unis si le projet se réalisait.
L’endroit serait déjà choisi : la péninsule de Paraguaná, située dans le nord du Venezuela. C’est ici que pourrait être installé des missiles iraniens du président Ahmadinejad avec l’accord de son homologue vénézuélien.
Un accord secret entre Hugo Chavez, le président vénézuélien, et le président iranien aurait été conclu au mois d’octobre de l’an dernier. C’est ce qu’affirme le journal allemand Die Welt. Des responsables militaires iraniens sont même venus visiter les lieux début février. Le projet serait dans sa phase de préparation affirme Clemens Wergin, le journaliste qui publie cette information.
« J’ai des sources au sein de services secrets occidentaux », confirme Clemens Wergin et il ajoute : « Je ne peux pas dévoiler de détails sur ces sources. Mais après la publication de mon article, un responsable diplomatique américain m’a confirmé que des gouvernements dans la région sont au courant de ces faits ».
Pour l’instant personne n’a confirmé officiellement cette menace. De même ni Caracas, ni Téhéran ne se sont exprimés. Cette information a cependant été reprise par plusieurs publications en Amérique du Sud ainsi qu’aux Etats-Unis.
Si elle s’avère réelle, la tension pourrait monter d’un cran entre les Etats-Unis et les deux pays en question. rfi
Allez savoir si c’est de la propagande, j ‘espère que non, le plus plus beau serait que le regime iranien possède la bombe atomique et les vecteurs necessaires pour l’envoyer sur la cote Est !! En même temps, les autorités US ( enfin les Mafia au pouvoir )
sont tellement démentes qu’une bombe atomique lancée sur New York les arrangerait !!!
Ce qui est sûre c ‘est que le temps passe, plus l’Iran et d’autres nations ont accès à des technologies qui risquent dre remmettre en cause l’avancé technologique occidentale, le tout est de savoir si les usa ont établi et conservent une rupture technologique les mettant à l’abri de toute attaque, il restera toujours une approche assymétrique, quelques individus bien motivés et intelligents peuvent facilement déstabiliser un pays. Si par exemple ben laden haissait réellement les usa et qu’il avait envoyé des avions kamikazes le 11/09, ce n’est pas des batiments symboliques qui auraient été touchés mais des centrales nucléaires, dans ce cas la, oui un petit nombre de personnes peut concretement mettre un pays en grande difficulté. Imaginez 3 ou 4 accidents de l’envergure de fukushima, entre 10 et 15 réacteurs et leurs piscines à l’air libre. Mais non, ben laden a décidé de faire dans le symbolique, n’importe quoi !
Bref, on verra bien pour les missiles iraniens au vénezuéla, même si cette info fait très propagande !!
Les pays occidentaux ont élaboré des plans pour provoquer la sécheresse en Iran, a affirmé jeudi le président iranien Mahmoud Ahmadinejad lors de l’inauguration d’un barrage dans le centre du pays.
Les dirigeants iraniens accusent quotidiennement les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, de multiples complots pour affaiblir leur pays, qu’il s’agisse de perturber son économie, son développement scientifique, son unité, son indépendance, son système politique, sa culture ou ses relations internationales.
Les pays occidentaux ont élaboré des plans pour créer de la sécheresse dans certaines parties du monde, notamment en Iran, a dit le président iranien en déplacement à Arak (centre), cité par l’agence officielle IRNA.
Selon des rapports sur le climat dont l’exactitude s’est vérifiée, les pays européens utilisent des équipements spéciaux pour faire pleuvoir les nuages (sur l’Europe) et empêcher les nuages de pluie de parvenir dans la région (du Moyen-Orient) notamment en Iran, a-t-il ajouté.
Il a également rappelé, selon IRNA, un article d’un responsable politique occidental non identifié qui aurait, selon lui, prédit pour les trente prochaines années des sécheresses dans certaines régions s’étendant de la Turquie et l’Iran jusqu’à l’est de l’Asie.
Les régions évoquées par l’article de ce politicien occidental incluent des pays dont la culture et la civilisation inquiètent (les Occidentaux), a relevé M. Ahmadinejad à l’appui de sa démonstration.
L’Iran a connu plusieurs périodes de sécheresse ces dernières années. romandie
On va encore le traiter de fou, mais il est fort probable qu’il ait raison ! Un peu de secheresse, un peu de spéculation et hop, les gens ne peuvent plus acheter à manger et c’est la révolution….
En revanche il semble qu’il y ait de gros problèmes au sein du pouvoir iranien, Ahmadinejad et le guide de la révolution serait brouillés, comme je ne sais pas ce qui se passe, je ne me hasarderai pas à dire quoique ce soit, mais selon moi c’est Khamenei qui dirige le pays et ahmadinejad ne devrait pas s’opposer aux mollahs, maintenant quid des pasdaran ? Vers qui vont ils aller ?
Obtenir des informations non propagandiste au sujet de l’Iran est quasiment impossible, c’est dommage j’aimerai bien comprendre ce qui se passe !!!
Bref, le moyen orient est en ébullition, hier obama a dit que la Palestine devrait exister sur les frontière de 67, les israéliens ont hurlé et s’y sont ouvertement opposés !! Maintenant, c’est sûre, obama va se faire assassiner !!!
Notons que les espagnoles s’inspirent directement du mouvement de protestation des pays arabes et occupent depuis plusieurs jours une grande place à Madrid
Et voila que le gouvernement veut interdire ces manifestation pour cause d’élection !!!!! le monde
L’attaque du réacteur nucléaire de Bouchehr, en Iran, par le virus informatique Stuxnet aurait pu déclencher une catastrophe de l’ampleur de celle de Tchernobyl et l’Otan devrait enquêter sur cet incident, a déclaré mercredi la Russie.
Le virus qui a atteint l’an dernier le système informatique du réacteur de Bouchehr, construit par la Russie, a abouti à une perte totale de contrôle sur les centrifugeuses, a souligné Dmitri Rogozine, ambassadeur de Russie auprès de l’Otan.
« Ce virus, qui est très toxique, très dangereux, pourrait avoir de graves conséquences », a-t-il dit, en comparant ses effets à ceux de mines.
« Ces ‘mines’ pourraient aboutir à un nouveau Tchernobyl », a-t-il ajouté en allusion à l’explosion en 1986 d’une centrale nucléaire en Ukraine, alors partie intégrante de l’Union soviétique.
« L’Otan devrait ouvrir une enquête sur cette question (…) Il ne s’agit pas d’une affaire privée. »
Les Etats-Unis et leurs alliés soupçonnent l’Iran de chercher à se doter de l’arme atomique sous le couvert d’un programme nucléaire civil. Téhéran affirme que ses activités d’enrichissement d’uranium visent à produire de l’électricité.
D’après des spécialistes des questions de sécurité, le virus Stuxnet pourrait avoir été utilisé par des pays tels que les Etats-Unis ou Israël pour perturber le programme nucléaire iranien.
(Reuters) http://hightech.nouvelobs.com
Putain comme c’est grave, ces tarés de sionistes et incultes d’américains ont été à deux doigts de créer volontairement une catastrophe nucléaire, j’en reviens pas. Tu m’étonnes que la Russie s’inquiète, sans parler des médias aux ordres qui diraient que c’est la technologie russe qui est defaillante, il y a de grande chance que le nuage radioactif contamine son territoire.
Potentiellement, toutes les centrales nucléaires du monde sont à la merci de ce virus ou d’un autre et un accident nucléaire peut être télécommandé à distance, on se croirait dans la série 24 H !!!
Nous vivons dans un monde ou les facteurs d’instabilités sont en constante augmentation, plus les interconnections deviennent la norme plus la possiblité d’un Krach de l’ensemble du réseau virtuel comme materiel devient possible.
Peut être y a t-il un lien entre cette information et l’experience américano-israelienne dans le neguev visant à simuler l’explosion d’une centrale nucléaire.
Une série israelienne a pour sujet un virus destructeur qui échappe à ses créateurs, un golem numérique…
Alors que Moscou semble avoir renoncé à livrer un bataillon de S300PMU2 à Téhéran, l’Iran, par l’intermédiaire d’un responsable militaire a indiqué mercredi dernier que la République islamique testerait « très bientôt » des missiles S-300 « fabriqués sur son territoire », confirmant ainsi ce que nombre d’experts et d’observateurs savent depuis longtemps.
Le 22 septembre, le président russe Dmitri Medvedev avait interdit la livraison de missiles S-300 (version PMU2) à l’Iran, en application d’une résolution de l’ONU sanctionnant Téhéran pour son programme nucléaire controversé. Outre les S-300, la livraison à l’Iran de chars, d’avions et d’hélicoptères de combat, ainsi que de bâtiments de guerre, a également été proscrite par le Kremlin.
Or, il s’avère que Téhéran possède déjà au moins un bataillon de S300 : d’après des sources militaires russes, l’Iran possède actuellement 10 batteries de missiles de défense antiaérienne S-200VM (SA-5b Gammon en code OTAN), système dont la technologie date des années 70, et 6 batteries de missiles S-300PMU1, de vieux modèles des années 80/90 secrètement achetés à la Biélorussie il y a quinze ans.
C’est à Israël que l’on doit l’essentiel de la pression internationale qui fit en sorte que les versions 2 (bien plus puissantes et redoutables que les 1) des S300PMU ne soient pas livrées à l’armée iranienne. Comme l’avait souligné en 2006 le quotidien russe Kommersant, l’Iran a déjà reçu 29 systèmes Tor-M1 (capable d’abattre des missiles de croisière à basse altitude notamment et la plupart des jets occidentaux en service) et, en 2007, 1.200 missiles correspondants à ces batteries sol-air. Tel-Aviv redoutait par dessus tout la livraison à de 5 systèmes S-300 PMU-2 qui auraient pu être un moyen très efficace de lutter contre une attaque d’appareils occidentaux modernes comme en possède Tsahal, à condition d’être servis par des personnels expérimentés (on a souvent évoqué l’éventualité que Téhéran aurait de recourir à des Kontratniki -version russe des contractors- de l’ex-URSS pour palier le manque d’expérience et de formation des militaires iraniens).
D’autres sources fiables font état d’une version améliorée de ces S300PMU1 iraniens obtenue grâce à des kits chinois et nord-coréens qui rendraient partiellement inopérant les contre mesures occidentales (parce que devenus hybrides) voire même les capacités de détection des radars anglo-saxons et israéliens censés éviter les zones sous couvert de ces batteries sol-air. Ce serait en fait cela, les fameux « S300 iraniens ». On se souvient qu’en 1999, une partie de la DCA serbe au Kosovo (corps de Pristina essentiellement) avait utilisé un certain nombre de systèmes sol-air KUB (SA-6 Gainful) et BUK-M1 (SA-11 Gadfly) modifiés de la sorte avec un succès réel, le commandement militaire de l’OTAN ayant du donner l’ordre à ses escadrilles de ne pas descendre en dessous des 5.000 m d’altitude par mesure de sécurité. http://www.nationspresse.info
En même temps, ça ne serait pas très étonnant, ils devaient savoir depuis longtemps que les russes se plieraient aux juifs extrémistes, et ils ont dû se débrouiller pour en acheter au marché noir et apprendre à en construire.
Plus le temps passe, plus la difference entre zone otan et les autres pays dans les armements conventionnels se rétrécit, l’occident n’a plus les moyens de sa défense.
Peut être une des raisons qui a poussé gates à dire qu’une action militaire US contre l’Iran ne servirait à rien.
Le secrétaire à la Défense américain Robert Gates a estimé mardi qu’une action militaire contre l’Iran ne parviendrait pas à empêcher Téhéran de poursuivre son programme nucléaire controversé.
M. Gates a déclaré que l’option militaire n’offrirait qu’une « solution à court terme » au problème, lors d’une conférence organisée par le Wall Street Journal.
De plus, frapper l’Iran pourrait pousser la République islamique à « dissimuler » encore davantage ses activités, a dit M. Gates.
Le groupe des Six (Allemagne, Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni et Russie) qui suit le dossier nucléaire iranien soupçonne Téhéran de vouloir acquérir la bombe nucléaire sous le couvert d’un programme civil. L’Iran dément avoir cet objectif. http://www.lesechos.fr
Comment faut il interpreter cette déclaration ?
La secte est elle en train de perdre le soutient US, ou est -ce plutot le signe que des moyens spécifiques vont être employés pour détruire les mollah ?
Entendre robert gates, secrétaire à la défense depuis fin 2006 (donc pendant bush), nous dire qu’une guerre contre l’Iran ne servirait à rien est franchement stupéfiant, j’espère, je prie, pour que ce soit les prémisses d’un changement dans les relations américano sioniste, vivement le coup d’état des militaire patriotes ! qu’ils foutent dehors l’aipac et emprisonnent les traitres du congrès. Je rève, mais sait on jamais !!!
Peut être est ce une diversion, en disant cela, la réponse à une action terroriste mise sur le compte de l’Iran n’en serait que plus violente, les extrémistes juifs sont capables de tout.
La secrétaire d’État américaine Hillary Clinton dans une décision égoïste a rejeté la présence de la Turquie et du Brésil dans le cadre des prochaines négociations entre les États occidentaux et l’Iran l’Iran.
Elle a affirmé que les discussions ne devaient avoir lieu que dans le cadre du Groupe 5+1.
Mme Clinton a déclaré mercredi que seuls les représentants des États composant le groupe 5 +1 doivent assister à la première série de discussions avec l’Iran.
Elle a également déclaré que la date et le lieu des négociations devraient être fixés par la Haute représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères, Catherine Ashton, au nom du groupe 5+1.
Le chef du dossier nucléaire iranien, Saïd Jalili, a proposé aux six grandes puissances une rencontre à Istanbul le 23 novembre ou le 5 décembre, a indiqué mardi une source diplomatique européenne.
L’Iran et le groupe 5+1 composé des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France, de la Russie, de la Chine et e l’Allemagne ont affirmé en octobre leur volonté de reprendre les discussions interrompues en octobre 2009 .
Plusieurs sources diplomatiques ont estimé que la dernière initiative de la secrétaire d’Etat américaine allaient à l’encontre des normes internationales qualifiant ses déclarations de mercredi comme une entrave à la reprise la tenue des pourparlers.
S’exprimant sur la question, un diplomate a déclaré au correspondant de l’IRNA à Vienne, que « les États-Unis ne cessent de parler de la communauté internationale se demandant si la Turquie et le Brésil sont ou pas membres à part entière de la communauté internationale ». Il a ajouté ironiquement qu’il s’agissait peut-être d’une communauté virtuelle internationale découverte par les États-Unis. http://www.alterinfo.net
Et wé les masques tombent, le sujet est bien trop serieux pour isael pour que turcs et bresiliens donnent leur avis.
Enquête primée par Projet censuré 2010
Obama nomme des officiers corrompus à la tête des armées
par Robert Parry*, Andrew Hughes, Allan Nairn, Roxana Tiron
Les responsables de la Défense nommés par Barack Obama sont ceux là mêmes qui ont commis les pires crimes et les pires malversations sous les administrations précédentes. En fait de changement, seul le discours est nouveau, les pratiques, elles, sont anciennes. Le plus surprenant est l’indifférence qui a accompagné la clôture de l’enquête financière sur la disparition de 3400 milliards de dollars et la promotion des responsables du plus gigantesque détournement de fonds de l’histoire.
Le vice-président Joe Biden (à gauche), le Secrétaire de la Défense Robert Gates (à l’extrême droite) et autres gradés militaires états-uniens écoutant au président Barack Obama au Pentagone. (Janvier 2009)
Le maintien par Obama du républicain Robert Gates au poste de secrétaire à la Défense est sans égal historique. C’est en effet la première fois qu’une administration entrante du parti d’opposition (en l’occurrence démocrate) maintient un ministre de l’administration précédente (républicaine). Ayant remplacé Donald Rumsfeld qui s’opposait à une nouvelle escalade du conflit en Irak, Gates a été, pendant les deux dernières années de la présidence Bush, l’architecte de la vague de renforts (« surge »).
Obama a confié les principales responsabilités de la défense et du renseignement à des personnalités incarnant à maints égards les pires aspects de la politique de sécurité nationale états-unienne des trente dernières années.
Ses choix contredisent ses principaux arguments de campagne sur le « renseignement politisé » et le « manque de transparence ». Les « décennies d’expérience » tant louées de ces responsables sont parsemées de fautes éthiques, de mensonges au Congrès et surtout de « conflits d’intérêts » sous la forme d’allées-et-venues régulière entre le gouvernement et le complexe militaro-industriel.
Obama avait bien promis de ne pas confier de postes gouvernementaux élevés (ou importants) aux lobbyistes, mais cela ne l’a pas empêché de désigner d’anciens lobbyistes ou conseillers de sociétés faisant affaire directement avec le Pentagone.
Toute la carrière de Robert Gates a consisté à porter haut et mettre en œuvre les idées néo-conservatrices, et il s’est d’ailleurs montré critique vis-à-vis du plan d’Obama pour le retrait gradué des troupes d’Irak.
Il débuta comme officier de renseignement sous Nixon, mais, comme l’indique la chronique de Robert Parry [1], c’est en tant que haut responsable de la CIA dans les années 80, sous l’administration Reagan, qu’il brisa l’échine au concept de renseignement objectif auparavant si cher à la division analytique de l’agence d’espionnage.
Dans son récent ouvrage Failure of Intelligence : The Decline and Fall of the CIA (Echec du renseignement : décadence et chute de la CIA), l’ex-analyste Melvin A. Goodman décrit Gates comme « l’officier du service action ayant dirigé l’adaptation de la production de renseignement aux desiderata politiques de la Maison-Blanche, sous l’administration Reagan ». Analyste en chef sous la direction de William Casey, Gates « a supervisé le premier « bidonnage de rapports » institutionnalisé à la CIA dans les années 80, en mettant l’accent sur la nécessité de retoucher le renseignement ayant trait à l’Union soviétique, à l’Amérique centrale et au Sud-Ouest asiatique », assure Goodman, et ceci dans le but de justifier les dépenses militaires croissantes et le soutien actif des États-Unis à des guerres périphériques sanglantes constituant l’axe principal de la politique extérieure de Reagan.
Son audition de confirmation pour le poste de directeur de la CIA, sous George H. W. Bush (père) en 1991, fut le théâtre d’un défilé d’officiers de l’agence dévoilant publiquement des histoires « de la maison » selon lesquelles ce personnage avait corrompu le métier du renseignement.
Gates est en outre soupçonné d’être en lien avec les mensonges servis au Congrès sur les opérations secrètes Iran-Contra, au milieu des années 80, obstacle qui l’empêcha d’accéder à la direction de la CIA à la mort de Casey, en 1987. C’est également lui qui fut chargé de fournir à Saddam Hussein, pendant la guerre entre l’Irak et l’Iran, des armes chimiques, munitions et autres équipements.
Gates a un temps siégé au conseil de direction de la Science Applications International Corporation (SAIC), qui déclara des bénéfices de 7,5 milliards de dollars pour 2005. La SAIC est active à tous les niveaux, de la collecte de renseignement à la reconstruction de l’Irak, pour le compte du Pentagone.
Le 21 janvier 2009, Obama signait un décret fixant des règles éthiques plus rigoureuses et interdisant notamment que des postes gouvernementaux soient attribués à des lobbyistes ayant exercé auprès de la même administration dans les deux dernières années.
Corruption au Pentagone
A peine deux jours plus tard, le 23 janvier, la Maison-Blanche faisait savoir que ses nouvelles règles d’éthique dure ne s’appliquaient pas au sous-secrétaire à la Défense, William Lynn, qui avait été vice-président pour les opérations et stratégies gouvernementales du géant de la défense Raytheon et avait fait du lobbying pour cette société privée jusqu’en juillet 2008.
Raytheon est le cinquième fabricant d’armes des Etats-Unis par ordre d’importance. Il vend des radars, missiles, munitions en tous genres, systèmes spatiaux et autres technologies pour une valeur de 18 milliards de dollars par an [2]. Le sénateur républicain pour l’Iowa, Charles Grassley, s’est opposé énergiquement à la nomination de Lynn, alléguant « des pratiques douteuses qui, de toute évidence, ne servaient pas l’intérêt public », lorsqu’il exerçait à l’inspection des finances du Pentagone sous l’administration Clinton.
Pour l’année fiscale 1999, le département de la Défense faisait état de la « disparition » de 2300 milliards de dollars, auxquels s’ajoutaient 1100 milliards pour l’année 2000. Au total donc, 3400 milliards de dollars versés par le contribuable sont partis en fumée sous l’œil vigilant de William Lynn, qui se trouve maintenant au cœur du tourniquet unissant le département de la Défense et le complexe militaro-industriel [3].
En sa qualité de directeur financier du département de la Défense, Lynn était responsable de toute l’administration et de l’information budgétaire. Il avait en outre sous sa responsabilité la publication soumise à audit des états financiers, ce qu’il ne fit pas alors qu’il était en poste, et ces derniers n’ont toujours pas été publiés.
Robert Hale a été maintenu à son poste de sous-secrétaire à la Défense (inspection des Finances) après avoir été secrétaire assistant à l’Air Force, chargé des contrôles financiers, entre 1994 et 2001. Aux côtés de Lynn, il était responsable de la gestion des fonds du département de la Défense.
Hale est en outre « gestionnaire financier certifié Défense », spécialisé dans l’achat, ce qui lui fait entretenir des relations privilégiées avec le complexe militaro-industriel.
L’écrivain Andrew Hughes fait remarquer que : « À eux deux, ces postes ont dilapidé assez d’argent du contribuable pour financer quatre fois le programme de stimulation de l’économie mis en œuvre par Obama, et voilà qu’ils sont à nouveau responsables de la supervision des acquisitions au département de la Défense »
’attentat survenu le 11 septembre 2001 au Pentagone n’a pas été dirigé contre le bureau du secrétaire à la Défense. La cible était située dans une aile opposée du bâtiment. L’explosion a détruit les archives financières et tué les controlleurs financiers chargés d’identifier les bénéficiaires du détournement de fonds le plus important de l’histoire.
Mensonges au Congrès
L’amiral Dennis Blair, choisi par Obama pour diriger le Renseignement national, qui supervise les 16 agences de renseignement, fut commandant des forces militaires du Pacifique sous Clinton [4]. A ce poste il joua un rôle essentiel lors de l’occupation du Timor oriental par l’Indonésie en 1998, après la chute du dictateur Suharto soutenu par les États-Unis.
En 1999, lorsque les militaires indonésiens semèrent la terreur parmi la population pour faire échec aux réformes démocratiques, le département d’Etat des États-Unis et Clinton envoyèrent Blair exiger du général indonésien Wiranto qu’il mette fin aux massacres.
Loin de s’acquitter de cette mission, l’amiral Blair informa le général qu’il bénéficiait du soutien total des États-Unis. Les atrocités, dans lesquelles le gouvernement était impliqué, montèrent d’un cran. Blair mentit alors au Congrès, déclarant que la violence n’était le fait que de petites unités, alors que les hauts commandements militaires indonésiens se livraient à toutes sortes d’exactions : enlèvements, massacres et tortures. Dans les faits, Blair soutint le général Wiranto et le massacre de civils indonésiens, contre les ordres du Congrès qu’il désinformait.
Blair est un des membres de la Commission trilatérale. Il siégeait à la direction de Earl Dodge Osborne (EDO), une société sous-traitante pour le programme F-22 Raptor. Il a également participé à la direction de Tyco International, qui fabrique de petits composants électroniques utilisés pour le F-22 et d’autres pièces à usage militaire. On l’a vu enfin à la direction de Tridium, une société fabricante de satellites.
En 2006, Blair a dû démissionner de la présidence de l’Institute for Defense Analysis (Institut pour l’analyse de la défense, IDA) pour cause de « conflits d’intérêts ». Il faut dire que l’IDA était en train d’évaluer pour le Pentagone le programme F-22.
Alors qu’il était aux ordres de Blair, l’ex-général quatre étoiles James L. Jones a été désigné à la tête de l’Agence de la sécurité nationale. Jones fut non seulement commandant de l’OTAN et commandant du corps des Marines, il est en outre membre de la Commission trilatérale. Il a prêté ses services aux conseils de direction de Chevron, Boeing et Invacare Corp (qui produit du matériel médical pour le Pentagone) jusqu’en décembre 2008. [5] Jusqu’à janvier 2009 il était consultant auprès de Cross Match Technologies, une compagnie de biométrique travaillant avec le Pentagone et le FBI. Il a par ailleurs siégé au conseil de direction de MIC Industries, qui a mis au point la « Ultimate Building Machine », un dispositif mobile de construction, utilisé uniquement en Irak et en Afghanistan, servant à déployer rapidement les structures d’acier des installations militaires.
Tout récemment, Jones a été nommé président de l’Institute for 21st Century Energy (Institut de l’Energie pour le XXIè siècle), think tank dépendant de la Chambre de commerce des Etats-Unis.
Mise à jour de Robert Parry (de ConsortiumNews.com)
Au sujet du fameux « danger de conserver Robert Gates à son poste » : celui-ci se trouve être lourd de signification. Cette décision prise par Obama juste après son élection était le signe évident que sa politique de sécurité nationale ne s’écarterait pas fondamentalement de celle de son prédécesseur. Elle révélait aussi qu’Obama n’avait pas la moindre intention de remettre en question la désinformation de Washington, distillée au fil des décennies précédentes à dominante républicaine, depuis l’implication-clé de Gates dans plusieurs scandales, y compris l’Iran-Contra et la politisation du renseignement de la CIA, deux facteurs qui préparaient les désastreuses décisions prises par Bush ces dix dernières années. En conservant Gates, Obama a indiqué qu’il éviterait les débats susceptibles d’engager les États-Unis dans une voie drastiquement différente. Dans les faits, Obama cédait au statu quo.
Depuis la publication de l’article, les intentions d’Obama ne sont que plus évidentes. Si, au niveau du discours, il prend ses distances par rapport au style belliqueux de Bush, il maintient dans les faits la substance de cette politique, avec Gates et les autres opposants à un retrait rapide d’Irak, partisans du renforcement de la présence militaire étrangère en Afghanistan. Obama refuse même d’aborder les responsabilités des anciens chefs de Gates, tout comme le président Clinton avait caché sous le tapis les scandales dans lesquels avaient trempé Gates et les administrations Reagan-H. W. Bush.
Gates personnifie l’angélisme permanent régnant dans le microcosme de Washington, du moins vis-à-vis de lui-même, au point que les médias affichent avec un certain naturel leur manque d’intérêt pour faire la lumière sur les méfaits passés ou présents du personnage. Gates était l’une des coqueluches du tout-Washington du temps de Reagan-Bush, et il le reste.
Lorsque Gates fut désigné secrétaire à la Défense par George W. Bush (fils) en novembre 2006, les médias se trompèrent du tout au tout sur le sens de cette décision. On a cru alors que la désignation de Gates était le signe de l’acceptation par Bush du plan du Groupe d’études sur l’Irak et donc du désamorçage de la guerre. En réalité, Gates était bien plus belliqueux que Donald Rumsfeld.
Mais les journalistes de renom n’ont jamais rectifié le tir : ils ont continué de nous peindre un Gates couleur de rose. L’émission « 60 minutes » de CBS a brossé tout récemment un portrait de Gates dans lequel on évoquait sa « profonde préoccupation personnelle pour les troupes », même si toute sa carrière a fait le lit des guerres déclenchées par George W. Bush, fils, (essentiellement par la voie de la corruption des services analytiques de la CIA), et que son soutien aveugle à l’escalade Irakienne a envoyé à la mort plus de mille soldats états-uniens supplémentaires.
Les éléments d’information critiques sur Gates continuent de nous parvenir, essentiellement en provenance de fonctionnaires de la CIA ayant travaillé avec lui par le passé et voyant en lui un ambitieux consommé. Par exemple, l’ex-analyste de la CIA Melvin A. Goodman consacre une part importante de son livre Failure of Intelligence : The Decline and Fall of the CIA au rôle de Gates dans le crépuscule de la tradition « sérieuse » de la CIA, qui cessa de rechercher du renseignement fiable pour fournir celui qui répondait aux désirs des responsables politiques des États-Unis. Cette tradition disparut dans les années 80, lorsque Gates dirigea les services analytiques et où le renseignement fut « poli » dans le style requis par les idéologues de l’ère Reagan.
Mise à jour de Andrew Hughes (de Global Research)
Depuis la publication de l’article, en février 2009, les médias n’ont pas écrit une seule ligne au sujet de ce gigantesque hold-up de deniers publics. En fait, celui-ci a été éclipsé par une autre escroquerie non moins grave, dissimulée sous l’atour dénommé « résoudre la crise du crédit ». Les montants de cette dernière affaire représentent presque cinq fois les 3400 milliards subtilisés par le département de la Défense.
Le 7 mai 2009, William Lynn et Robert Hale rendaient public le budget de la Défense proposé pour 2010, accroissant les dépenses d’environ 4 % pour atteindre 663,8 milliards. Ceci dans une période où la population s’appauvrit sous l’effet du chômage croissant, où les programmes sociaux fédéraux et ceux des 50 Etats sont en repli, et où la richesse passe des foyers étasuniens au cartel financier et bancaire de Wall Street.
Ce qu’il faut retenir de l’article original est moins la disparition des 3400 milliards de dollars du département de la Défense que le fait que ces malversations étaient monnaie courante dans une administration hors de contrôle. Et même si l’occupant de la Maison Blanche a changé, ces vols de fonds publics par le gouvernement se poursuivent.
Lorsque nous écoutions les discours de campagne d’Obama en 2008, et qu’il mettait l’accent sur l’importance de l’Afghanistan en tant que nouveau front de la « guerre contre la terreur », une guerre floue, interminable et surtout impossible à gagner, il était évident que ces discours, portés aux nues par les grands médias, étaient inspirés par le programme de Zbigniew Brzezinski et le Projet pour un nouveau siècle américain (la plate-forme idéologique de George W. Bush). Le paquet n’avait fait que changer d’emballage, avec un nouveau personnage et son slogan : « Des changements crédibles »
Depuis la publication de mon article, les événements ont montré qu’aucun engagement n’a été pris pour s’assurer de la fiabilité de la comptabilité des caisses publiques. Aucune enquête n’a été diligentée sur les milliards évaporés, aucune question n’a été posée sur ce méfait commis sous l’égide de Donald Rumsfeld, de William Lynn et de Robert Hale. Le département de la Défense a augmenté ses dépenses. La guerre s’est intensifiée en Afghanistan, et les puissances intermédiaires des États-Unis dans la région ont déstabilisé le Pakistan. Obama est responsable de l’assassinat de centaines de civils pakistanais par les drones Predator pilotés à distance par des agents de la CIA. Les promesses de mettre un terme à la guerre d’Irak ont été cyniquement ignorées, ou plutôt recyclées dans le double discours politique.
Tout ces discours tendent à prouver que le gouvernement et l’industrie militaire agissent en symbiose pour défendre leurs propres intérêts : un appât du gain et une soif de pouvoir portés à un niveau jamais vu dans l’histoire de l’humanité. Nul ne peut écarter d’un revers de main la corruption dénoncée dans l’article, qui révèle avec le recul sa véritable nature et la manière dont se tisse la toile qui unit le système.
Ce système s’est considérablement renforcé au fil des décennies et il s’est protégé contre toute enquête sérieuse ou toute retombée inquiétante : le département de la Défense a fait en sorte de coopter les sociétés en charge de l’information, via les acquisitions de ces médias par les grands groupes d’armement, et en y plaçant des employés du Pentagone et de la CIA.
Le système a donné des preuves éclatantes de sa solidité lorsque Donald Rumsfeld s’offrit le luxe de déclarer, le 10 septembre 2001, en conférence de presse publique, sans avoir à craindre de réaction, que des 2300 milliards de dollars s’étaient évaporés, qu’il n’y aurait pas d’enquête et que les responsables ne seraient pas jugés. On a pu constater la même arrogance à propos de scandale de la torture, du scandale de l’aide d’urgence offerte aux banquiers, du scandale de la guerre d’Irak et de l’avancée de la vague policière constituée par le département de la Sécurité de la patrie pour ranger sous l’étiquette de « terroriste » toute personne en désaccord avec la politique du gouvernement ou attachée à la Constitution des États-Unis.
Il est essentiel et urgent d’engager une enquête sur les milliards ayant disparu du département de la Défense, prélude à d’autres enquêtes ultérieures sur la corruption manifeste du gouvernement des États-Unis. C’est le seul moyen de regarder la réalité en face, de réfuter les mensonges des grands médias et de comprendre que la corruption menace de détruire ce qu’il reste de la Constitution, de la confiance publique et de la liberté réelle.
Robert Parry
Journaliste à l’Associated Press et Newsweek, Robert Parry a été un des principaux enquêteurs sur l’affaire dite de l’Irangate sous la présidence Reagan. Déçu par la futilité et l’incurie des journalistes de la presse anglo-saxonne, il a fondé en 1995, avec Robert Solomon, le magazine d’investigation Consortium News et réalisé des documentaires sur les tractations secrètes autour de la libération des otages en Iran (October Surprise), les narcotrafiquants politiques soutenus par l’administration US (Contra-Coca), l’influence grandissante de la secte Moon à Washington ainsi que l’ascension de la famille Bush et les manipulations électorales lors de l’élection 2000. Il est notamment l’auteur de Secrecy & Privilege : Rise of the Bush Dynasty from Watergate to Iraq et de Lost History : Contras, Cocaine, the Press & ’Project Truth’. » http://www.voltairenet.org
Article très intéressant, et dire que la France est alliée avec ces mafio-fascistes.
Donc, vous avez bien compris, des gens ont volé 3400 milliards de dollars, on ne rève pas, c’est bien cela. Et ces mêmes gens ont bombardé les bureaux des comptables, c’est très cohérent en même temps…
Bizarrement, l’article ne fait pas mention du rabbin Dov Zakheim, qui lui aussi est pleinement impliqué dans le pillage de l’économie US mais aussi dans le 11/09
lisez http://forum.reopen911.info/p237308-dov-zakheim.html http://www.voltairenet.org/article14781.html
The Islamic Republic of Iran has reportedly opened its airspace to Chinese warplanes taking part in joint military maneuvers with Turkey.
Ankara and Beijing conducted the drills in Turkey’s Central Anatolia region last month.
The war games, codenamed the Anatolian Eagle, were the first involving Turkey and China. Turkey had previously carried out Anatolian Eagle maneuvers with the US and other NATO members as well as Israel.
Turkish F-16, Chinese Su-27 and Mig-29 fighter jets took part in mock dogfights during the drills.
The maneuvers come ahead of a planned visit by Chinese Prime Minister Wen Jiabao to Turkey.
Turkey and China took their first step in military cooperation in the late 1990s with joint missile production, manufacturing weapons with a 150-kilometer range, the Hurriyet daily reported on its website.
The multinational Anatolian Eagle exercise is hosted by the Turkish Air Forces and is aimed at boosting aerial cooperation and training. The exercises have been performed since June 2001. press.tv.ir
Avec l’histoire du prix nobel attribué à un chinois en prison, je pense qu’il est probable que ce genre de relation s’accentuent dans les années qui viennent.
Les choses serieuses sont en train de commencer, la guerre des monnaies est la, nous allons entrer dans la seconde phase de la crise économique et les relations entre les états vont nécessairement se tendre.
Ce prix nobel est loin d’être anodin, les chinois sont vert de rage et ils vont le faire savoir, d’ailleurs le niveau d’intransigeance de la Chine face au Japon afin que ce dernier libère un capitaine de bateau chinois a été d’une rare intensité, la Chine, espéront le, va enfin s’affirmer sur la scène internationale et fermer la clapet aux américains.
Les infrastructures informatiques du programme nucléaire iranien ont été systématiquement piratées depuis deux mois.
– Vue par satellite de l’emplacement de l’usine secrète d’enrichissement uranium près de Qom Reuters –
Une véritable attaque a été lancée par les Iisraéliens et les Américains contre l’Iran. Mais il ne s’agit pas d’une guerre comme on l’entend d’habitude avec son cortège de bombes et de morts, mais à coup de virus informatiques. La maladie se répand alors sans faire de victimes humaines. Mahmoud Alyaee, secrétaire général des serveurs informatiques industriels d’Iran, incluant les ordinateurs servant au contrôle des installations nucléaires, vient de confirmer le 25 septembre que 30.000 ordinateurs installés dans des complexes industriels classés ont été infectés par le virus Stuxnet au point de les rendre inopérants.
Virus Stuxnet
Des informations en provenance des services de renseignements dévoilent qu’une offensive cybernétique clandestine a été menée contre l’Iran par les Etats-Unis avec l’aide d’unités d’élite israéliennes, expertes en guerre informatique. Le virus Stuxnet est considéré comme le plus destructeur de sa génération car il attaque les grands complexes industriels et les serveurs informatiques. Il ne s’agit pas d’un quelconque virus ciblant les ordinateurs familiaux, mais d’un virus conçu par des Etats disposant d’une haute technologie et gérant des budgets conséquents dans le domaine de la guerre technologique. Les deux seuls pays adversaires de l’Iran et disposant de moyens humains et de spécialistes militaires capables de réaliser un projet de cette envergure sont Israël et les Etats-Unis.
L’originalité de ce virus tient à sa capacité à s’attaquer aux fondements des systèmes industriels construits par l’allemand Siemens et d’organiser ensuite le transfert des données piratées en direction de l’étranger. Le chef du département de la guerre cybernétique au Pentagone, le vice-amiral Bernard McCullough, a affirmé que le Stuxnet avait des capacités techniques jamais atteintes auparavant. Il s’est adressé à la commission des forces armées du Congrès américain pour leur annoncer que ce virus était le plus sophistiqué qu’il ait eu à connaître.
Les Iraniens ont confirmé que l’attaque de leurs systèmes par ce virus avait été lancée deux mois auparavant mais que leurs experts informatiques ont été dans l’impossibilité de le détecter, de le détruire ou du moins, de minimiser ses effets. Les fonctionnalités de Stuxnet lui permettent de modifier totalement l’environnement informatique d’un système et de prendre le contrôle technique des systèmes automatiques.
Haute technologie
La réalisation de ces produits de haute technicité n’est pas à la portée du tout-venant car, en plus de requérir des fonds de développement très importants, elle nécessite la collaboration d’équipes techniques soudées, travaillant ensemble durant plusieurs années. Tsahal, l’armée israélienne, apporte une contribution décisive à la sécurité de l’information via ses centres de recherches organisés en espaces collaboratifs. La technologie naît et se développe au sein de ses unités spéciales et secrètes: Mamram ou l’unité 8200.
Ces centres militaires sont le vivier de plusieurs centaines d’experts qui essaiment ensuite vers la Silicon Valley israélienne en gardant un contact permanent avec l’armée grâce aux périodes militaires obligatoires. La sélection des futurs génies est réalisée très tôt dans le cycle scolaire israélien puisque dès l’âge de 10 ans, certains élèves sont déjà orientés vers des lycées technologiques qui feront d’eux des spécialistes de la sécurité informatique. Les jeunes postulants sont repérés par les instituteurs, sont pris en main très jeunes par l’université avant d’être mobilisés dans ces unités militaires spéciales.
Leur mental est formé très jeune pour des futures missions difficiles de destruction de la technologie ennemie. Des indiscrétions des services de renseignements précisent que certains de ces experts ont joué un rôle fondamental dans la destruction, le 6 septembre 2007, du réacteur à plutonium que la Corée du nord construisait à A-Zur au nord de la Syrie.
L’aveu du responsable iranien tend à démontrer l’impuissance des ingénieurs iraniens qui n’ont pas réussi à interrompre le transfert de données sensibles depuis Téhéran jusqu’aux services de renseignement américain et israélien. Les Mollahs étaient persuadés que les informations confidentielles qui parvenaient jusqu’à ces services étaient obtenus par la collaboration d’agents doubles et ils avaient alors lancé des chasses aux sorcières dans tout le pays. Des informations concordantes avaient fait état d’une guerre ouverte entre les services iraniens proches du président Ahmadinejad et ceux fidèles au guide suprême Khamenei qui s’accusaient mutuellement d’espionnage et qui ont entraîné de violents affrontements le 23 août en plein Téhéran.
Action américano-israélienne
Lors de son précédent voyage à Washington, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou avait donné l’impression de céder en échange du soutien de Barack Obama contre le programme nucléaire iranien. En fait, il avait d’abord obtenu l’assurance du président américain que des sanctions financières seraient votées contre l’Iran pour mettre à mal ses ressources financières. Mais d’autre part ils avaient convenu, ensemble, du processus secret de la guerre cybernétique afin de paralyser les installations nucléaires iraniennes. Ces décisions ont amené le Premier ministre israélien à accepter le principe des négociations avec les Palestiniens.
Le virus avait pour objectif d’attaquer l’infrastructure nucléaire iranienne de la centrale de Bushehr, activée en août, ainsi que les centrifugeuses de Natanz. L’AIEA a confirmé qu’elle avait constaté un net ralentissement dans le traitement d’enrichissement de l’uranium dû à des problèmes techniques indéterminés, non résolus à ce jour, qui ont entraîné la mise hors service de 3.000 centrifugeuses. La guerre avec l’Iran est aujourd’hui une réalité. slate
Imaginons que ce virus fasse son travail que la centrale de Bushehr explose, les iraniens ne pourront que se défendre et il est évident que les juifs extrémistes et leur caniche américains attendent cela avec impatience.
Pauvre République Islamique, 30 ans à recevoir des coups et pourtant ils tiennent bon, c’est un devoir moral que de soutenir cette nation, en effet ils sont attaqués sur tous les front, médiatiques, terroristes, et maintenant informatiques.
Sachons également que la Syrie est touchée par une maladie du blé, la rouille jaune, qui est en train de décimer les récoltes :
Après la sécheresse qui a paralysé l’agriculture en 2007-2008 et entraîné un exode rural aux conséquences économiques et sociales désastreuses, la Syrie doit à présent faire face à une pandémie agricole qui semble avoir condamné près de 30 % des récoltes en blé du pays, selon les agriculteurs, et 15 % de la production, selon le ministère de l’Agriculture. Cette maladie appelée rouille jaune est causée par des champignons parasitaires qui s’attaquent aux feuilles et aux pieds des plants de blé et se propagent facilement en conditions humides. Les fortes précipitations de pluie du mois de juin et les vents violents qui les ont suivies ont facilité l’expansion des spores causant cette maladie, notamment dans les régions de l’Est qui bordent l’Euphrate et qui constituent le grenier de la Syrie. Ces parasites s’attaquent davantage aux variétés de blé tendre (60 % de la production syrienne) qui est majoritairement utilisé pour faire du pain.
Le ministre iranien de la Défense Ahmad Vahidi a qualifié d’illogique le refus de Moscou de livrer à Téhéran son système de missiles sol-air S-300, en déclarant que l’Iran travaillait à mettre au point un système équivalent, rapporte jeudi l’agence Fars.
« La mise au point d’un matériel similaire est à l’ordre du jour, et nous créerons des systèmes analogues », a-t-il dit, en déplorant que la Russie subisse la pression des Etats-Unis et d’Israël et agisse sous leur houlette.
Le président russe Dmitri Medvedev a publié mercredi 22 septembre un décret interdisant la livraison de missiles sol-air S-300 à l’Iran, en application des sanctions prises en juin dernier par le Conseil de sécurité de l’Onu.
« Cette résolution ne prévoit pas de restrictions pour des systèmes de DCA, et le comportement des autorités russes qui se réfèrent à ce document six mois après son adoption est dénué de logique. La Russie aurait dû remplir le contrat signé plusieurs années avant que le Conseil de sécurité de l’Onu n’adopte sa résolution 1929 », a souligné le ministre.
Téhéran et Moscou ont signé un contrat d’un montant d’environ 800 millions de dollars portant sur les livraisons à l’Iran de cinq divisions de missiles S-300 PMU-1 en 2007.
En juin 2010, le Conseil de sécurité de l’Onu a adopté la quatrième résolution prévoyant des sanctions contre l’Iran, imposant des restrictions sur la fourniture à Téhéran d’armes conventionnelles, dont les missiles, les chars, les hélicoptères de combat, les avions d’assaut et les bâtiments de guerre. novosti
Je pense que par illogique le ministre voulait dire complètement con, stupide, et significatif du peu de leadership et de volonté russe.
Medvedev est un faible.
La Maison Blanche a salué mercredi la décision du président Dmitri Medvedev d’interdire la livraison de missiles S-300 à l’Iran, estimant qu’elle illustrait la coopération entre les Etats-Unis et la Russie « au profit de la sécurité mondiale ».
« La Maison Blanche accueille très favorablement le décret signé par le président russe Medvedev qui interdit la livraison d’armes sophistiquées à l’Iran, dont les S-300 », a déclaré le porte-parole du conseil de sécurité nationale, Michael Hammer.
« Nous pensons que le président Medvedev a fait preuve de qualités de dirigeants en faisant en sorte que Téhéran soit fidèle à ses obligations internationales, du début jusqu’à la fin », a ajouté M. Hammer dans un communiqué depuis New York, où le président Barack Obama doit participer à l’Assemblée générale des Nations unies.
De même source, cette décision « continue à démontrer comment la Russie et les Etats-Unis coopèrent étroitement au profit de nos intérêts mutuels et de la sécurité mondiale ».
M. Medvedev, qui entretient avec M. Obama des relations chaleureuses, a interdit mercredi la livraison de missiles S-300 à l’Iran, en application d’une résolution de l’ONU en juin sur nouvelles sanctions contre Téhéran.
La Russie avait déjà « gelé » cette livraison en juin, peu après l’adoption de la résolution de l’ONU en raison du programme nucléaire controversé de la République islamique.
Outre les S-300, la livraison à l’Iran de chars, d’avions et d’hélicoptères de combat, ainsi que de bâtiments de guerre est également proscrite par le décret du Kremlin.
L’Europe, les Etats-Unis et Israël s’étaient élevés contre ce contrat, car le système perfectionné de missiles, équivalent du système Patriot américain, permettrait à Téhéran de défendre efficacement ses installations nucléaires en cas de frappes aériennes. romandie
et URGENT S-300: Medvedev interdit le transfert à l\'Iran
Voila, c’est officiel , Medvedev a décidé de ne pas livrer les missiles, peut être le seront ils secrètement, mais je doute. Les américains, une fois de plus ne manque pas de cynisme en parlant de » sécurité mondiale ».
De simple missile de défense anti aérienne, une ancienne génération en plus puisque la Russie vend des S-400 à l’étranger et pourtant les iraniens n’y ont pas droit, les pauvres, les russes leur mènent la vie dure.
Medvedev est un traitre, j’espère qu’il a obtenu beaucoup en contre partie, mais je doute, surement le droit de vendre des missile terre-mer à la Syrie, c’est super !
Le Président américain Barack Obama a déclaré qu’une guerre entre l’Iran et Israël ou une attaque contre l’Iran ne constituent pas la voie idéale pour résoudre la crise nucléaire avec Téhéran.
Lors d’une réunion diffusée par la chaine télévisée CNN, Obama a affirmé : « Nous sommes toujours ouverts aux solutions diplomatiques. Nous ne pensons pas qu’une guerre entre Israël et l’Iran ou les options militaires contre l’Iran seront la solution idéale à ce problème. Toutefois, nous gardons toutes les options à la table ».
La République Islamique a maintes fois menacé de riposter durement à toute attaque contre elle, et de frapper toutes les bases militaires américaines présentes dans la région du golf almanar
Et Ahmadinejad dit plus ou moins la même chose :
Ni les Etats-Unis ni Israël n’attaqueront l’Iran
Les Etats-Unis n’ont pas de motifs et Israël manque de forces pour attaquer l’Iran, c’est pour cela que le scénario militaire des événements est peu probable, a affirmé mardi le président Mahmoud Ahmadinejad dans une interview à la chaîne de télévision anglophone Russia Today.
« Il est absolument évident que les Etats-Unis ne sont pas en mesure de déclencher une nouvelle guerre. Dans les discussions, ils ne privilégient pas la logique, mais la coercition. Du point de vue de la logique, les Etats-Unis n’ont aucune raison d’attaquer l’Iran, d’autant plus que les conditions ne sont pas réunies pour lancer une telle opération », a-t-il déclaré.
« Cependant, si la guerre éclate contrairement à toute attente, nous serons en mesure de nous défendre. Mais nous estimons que rien ce genre ne se produira », a affirmé le président iranien.
Interrogé sur l’éventualité d’une attaque israélienne contre Téhéran, M.Ahmadinejad a dit: « Israël est un Etat très petit, si bien que nous ne le prenons même pas en considération. Ils sont trop faibles pour agresser l’Iran et ils comprennent que toute attaque de leur part entraînerait la destruction d’Israël ». novosti
C’est marrant de voir les deux présidents dire plus ou moins la même chose.
Ahmadinejad a un super sens de l’humour » « Israël est un Etat très petit, si bien que nous ne le prenons même pas en considération. Ils sont trop faibles pour agresser l’Iran et ils comprennent que toute attaque de leur part entraînerait la destruction d’Israë «
Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a appelé mardi à un rapprochement économique avec l’Iran en dépit des pressions occidentales en faveur de mesures de rétorsion contre Téhéran, sous prétexte de ses activités nucléaires.
« Pourquoi ne pouvons-nous pas établir avec l’Iran un mécanisme de commerce sans restrictions similaire à celui que nous avons avec l’Europe? Je ne vois pas personnellement de raison à ce que nous ne puissions pas le faire », a déclaré M. Erdogan au cours d’un forum d’affaires turco-iranien à Istanbul.
« Si nous nous dépêchons de finaliser les pourparlers sur un accord de commerce privilégié (…) nous pouvons atteindre 30 milliards de dollars d’échanges bilatéraux en cinq ans. Nous devons le faire », a-t-il ajouté, cité par l’agence de presse Anatolie.
La Turquie a affirmé en juillet qu’elle appliquerait les sanctions votées par l’ONU contre l’Iran mais pas celles, supplémentaires, décidées par les Etats-Unis et l’Union européenne.
Ankara est lié à l’UE par un accord d’union douanière et a entamé avec elle des négociations d’adhésion en 2005.
M. Erdogan a indiqué que le niveau des échanges bilatéraux avec l’Iran était d’environ 10 milliards de dollars actuellement, consistant pour l’essentiel en achat de gaz iranien par la Turquie.
« Il y a beaucoup de choses que nous pouvons donner à l’Iran », a-t-il souligné, insistant sur les « opportunités uniques » offertes par la proximité géographique des deux pays.
La Turquie, seul membre de l’Otan à la population très majoritairement musulmane, entretient de bonnes relations avec son voisin iranien.
Membre temporaire du Conseil de sécurité de l’ONU, elle a voté en juin contre les sanctions frappant l’Iran, affirmant privilégier la voie diplomatique.
En mai, elle avait présenté avec le Brésil et l’Iran une proposition d’accord sur un échange de combustible nucléaire iranien en territoire turc.
Cette initiative a été ignorée par les grandes puissances. almanar
et aussi
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Différend AIEA Iran : Le Mouvement des Non Alignés Soutient L’Iran, Son DG Amano Sérieusement Contesté
Dans une déclaration au ton ferme des représentants du Mouvement des Non Alignés (MNA – NAM) à l’AIEA ont soutenu la position de l’Iran sur le contentieux des inspecteurs de l’AIEA et se sont dit préoccupés par le dernier rapport de l’AIEA sur l’Iran disant qu’il « s’écartait du langage standard de vérification ».
« le NAM note avec inquiétude les possibles implications d’un éloignement du langage standard de vérification dans le résumé du rapport du Directeur Général ( Yukio Amano) « selon la déclaration. Celle-ci a été lue lors de la réunion du conseil des gouverneurs de l’AIEA de la part de plus de 100 états membres du NAM.
La déclaration du NAM coïncide avec une autre déclaration faite par la représentante des US à l’ONU, Susan Rice, qui a soulevé le problème du rejet par l’Iran de deux inspecteurs de l’AIEA, lors de la réunion de mercredi du Comité de Sanctions sur l’Iran du Conseil de Sécurité.
Citant le regret exprimé par l’AIEA du veto mis par l’Iran à deux inspecteurs qui « entrave » le travail de l’Agence atomique en Iran, Rice, comme les envoyés occidentaux réunis lors du Conseil des gouverneurs de l’AIEA , a appelé l’Iran à respecter ses « obligations internationales ».
Néanmoins il se peut que les choses soient entrain de s’inverser et que l’Iran soit entrain de prendre le dessus dans ce différend. Ceci du fait de la déclaration du NAM qui remet en question le rapport de l’AIEA de même que la déclaration d’Amano faite après. Celui-ci a demandé à l’Iran d’expliquer sa décision d’interdire deux inspecteurs qui ont été accusés par l’Iran d’avoir fourni de fausses informations et d’avoir remis leurs conclusions à l’AP ( Associated Press) selon le représentant de l’Iran à l’AIEA, Ali Asghar Soltanieh. Ce dernier a dit à l’auteur de cet article que l’AIEA doit enquêter sérieusement sur le problème des fuites dans les médias ajoutant que l’AP avait confirmé qu’elle avait reçu les informations de l’AIEA.
« Le directeur général a signé un chèque en blanc aux inspecteurs en déclarant qu’ils les soutenaient à 100% quand en fait il devrait dire qu’il les soutient tant qu’ile effectuent leur travail correctement » a dit Soltanieh.
Un soutien qui tombe à pic pour l’Iran cette déclaration du NAM qui récuse Amano en lui rappelant que l’Iran est dans son droit légal de faire objection à certains inspecteurs et qui plus est n’a pas à « justifier » son refus.
C’est peut être l’expression la plus forte de soutien à l’Iran par le NAM, représentant quelque 118 nations, et cela pourrait mettre Amano et les représentants occidentaux à l’AIEA sur la défensive.
En plus de soulever le problème des bombes nucléaires israéliennes et l’enquête de l’AIEA sur un site soit disant nucléaire de la Syrie qui a été bombardé par Israël en 2007, la déclaration de 22 pages du NAM critique sévèrement Amano pour avoir accepté pour argent comptant des informations fournies par les services de renseignements occidentaux sur les activités nucléaires de l’Iran.
Elle rappelle que par le passé l’AIEA avait confirmé avoir peu ou pas de « capacité pour authentifier » de telles informations. Elle conteste également l’inclusion par Amano dans le rapport d’ »informations sensibles » sur l’Iran et lui demande de s’abstenir de cette pratique tout en soutenant la position de l’Iran que les informations fournies sur son centre d’enrichissement d’uranium connu sous le nom de Fordow correspondait aux inspections sur site faite par l’AIEA.
Une autre question soulevée par la déclaration du NAM c’est que l’AIEA n’a pas réussi jusqu’à présent à fournir de « clarification » sur ses déclarations dans ses rapports successifs que bien qu’elle continue de confirmer le non détournement du matières nucléaires déclarées de l’Iran, l’agence reste incapable de confirmer que celles-ci «sont pour une activité pacifique ».
Aux vues de l’absence de toute preuve de diversion des matières nucléaires pour des activités militaires clandestines, les déclarations de l’AIEA s’écartent des activités de vérification de l’AIEA. C’est-à-dire selon l’Article II de l’accord de sauvegarde AIEA-Iran, le seul objectif de l’accord c’est de « vérifier le non détournement des matières nucléaires déclarées ».
Comme l’ont fait remarquer à maintes reprises les responsables nucléaires iraniens, la demande de l’AIEA à l’Iran c’est de « prouver du négatif » c’est-à-dire la non existence d’une activité de prolifération cachée ce qui revient à faire une « demande ambigüe » à la fois difficile à satisfaire et, le plus important, allant bien au delà de l’accord en question.
Selon Soltanieh, le fait que le directeur général de l’AIEA ait exagéré la question des deux inspecteurs est déroutante alors même qu’il y a déjà un accord en place pour le remplacement par deux autres inspecteurs. La réponse pourrait se trouver dans l’absence de véritable preuve encore moins «de fumée» pour corroborer les accusations occidentales et israéliennes contre l’Iran les obligeant ainsi à monter cette histoire en épingle.
Quant à l’accusation de l’AIEA comme quoi l’Iran ne peut pas unilatéralement se retirer de l’accord subsidiaire avec l’AIEA, à la fois Soltanieh et le directeur de l’Organisation à l’Energie Atomique de l’Iran, Ali Akbar Salehi, ont expliqué que comme le parlement iranien n’a pas ratifié l’accord subsidiaire, cela veut dire qu’il n’a jamais été adopté par l’Iran autorisant l’Iran à s’en tenir à l’accord de sauvegarde précédent de 1974.
Faisant écho à la déclaration du NAM qui attire l’attention sur la distinction à faire entre « obligation légale » et « mesures volontaires » tel le Protocole Additionnel, Soltanieh a rejeté catégoriquement l’accusation que l’Iran n’avait pas respecté l’une de ses obligations. Il cite dans le rapport le fait que l’AIEA ait admise elle-même avoir fait plus de 36 inspections à l’improviste du centre d’enrichissement de Natanz depuis 2007.
Grâce à un nouvel élan en faveur de l’Iran à l’AIEA résultant de la position du NAM et les faiblesses évidentes des attaques de l’AIEA contre l’Iran à propos des inspecteurs refusés, Téhéran est maintenant sur le point de pousser encore plus l’AIEA sur la défensive à propos de l’échange de combustible nucléaire. Cela a été proposé par l’AIEA elle-même en Octobre dernier, et pourtant ignoré dans le dernier rapport d’Amano sur l’Iran.
Sur ce sujet à la fois l’AIEA et le groupe de Vienne (les US la Russie et la France) gardent un silence inhabituel sur le sujet malgré les informations comme quoi la plus grande partie des questions techniques ont été résolues au cours du dialogue en cours entre l’Iran et l’agence.
On rapporte que Moscou fait pression pour qu’il y ait de nouvelles discutions multilatérales avec l’Iran, exhortant la Maison Blanche à reprendre son approche « de discussion avec l’Iran » ce que pourrait faire la Maison Blanche alors que l’un des trois randonneurs retenus en Iran, Sara Should, a été relâchée.
Le Président Obama a bien accueilli ces nouvelles et par conséquent une partie de la glace du front Iran US pourrait fondre précurseur d’une diplomatie nucléaire portant ses fruits à l’automne.
Si cela se fait, cela dépend de multiples facteurs, l’un d’eux dépendant entièrement de l’AIEA de son tout nouveau directeur et de sa capacité à orienter l’agence vers une direction neutre. Sinon, les voix internationales critiquant sa façon de s’occuper de la question de l’Iran iront en s’amplifiant remettant en question la crédibilité de l’agence.
Kaveh L Afrasiabi – 17/09/2010 – Copyright Asia Times online
Kaveh L Afrasiabi, PhD, est l’auteur de “ After Khomeini: New Directions in Iran’s Foreign Policy “(Westview Press) . Il est également l’auteur de “Reading In Iran Foreign Policy After September 11 » (BookSurge Publishing , October 23, 2008). Son dernier livre “ Looking for rights at Harvard,” est désormais disponible.
Traduction Mireille Delmarre. planete non violence
Deux articles pour montrer que seul l’occident sionisé fait pression réellement sur l’Iran, le mouvement des non alignés représente plus de 100 pays, ce n’est pas rien. Il est logique que la Turquie veuille de bonnes relations avec l’Iran, c’est son voisin, avec une population similaire et des atouts énergétiques, géographiques ainsi que des visées stratégiques convergents.
L’occident n’a jamais abandonné sa posture coloniale.
Pas de guerre en Iran, stop aux manipulations des extrémistes juifs.
Gloire à l’Iran, une des rares nations dans le monde qui reste digne et indépendante.
L’ex-Premier ministre britannique Tony Blair accuse l’Iran de développer une arme nucléaire et estime qu’il n’y aurait pas d’alternative à une offensive militaire s’il persistait dans cette voie, dans une interview à la BBC à l’occasion de la sortie de son autobiographie.
Il serait « totalement inacceptable » que l’Iran tente de se doter de l’arme nucléaire, estime le représentant du quartette pour le Proche-Orient. Il ne pourrait y avoir « d’autre alternative » à l’usage de la force militaire « s’ils continuaient de développer des armes nucléaires ».
« Je dis que je pense qu’il est totalement inacceptable pour l’Iran d’avoir une installation nucléaire militaire, et je crois que nous devons être prêts à les contrecarrer, y compris militairement ».
« Je crois qu’il n’y a pas d’alternative s’ils continuent de mettre au point des armes nucléaires. Ils doivent recevoir le message haut et fort ».
L’Iran assure que son programme nucléaire est à usage exclusivement civil mais Téhéran est sous le coup de sanctions internationales après plusieurs condamnations par le Conseil de sécurité de l’ONU, qui soupçonne la République islamique de chercher à se doter de l’arme atomique. le figaro
Ce gars la est irrécupérable, il est déja responsable de crime de guerre en Irak et voila qu’il vient l’ouvrir pour nous faire sa propagande sioniste, c’est incroyable, cet homme est une plaie, il devrait être pendu.
ça craint quand même qu’il dise cela, j’espère que c’est du bluff…
Suite à l’engagement de Carla Bruni, première dame de France, en faveur de l’Iranienne Sakineh Mohammadi-Ashtiani, condamnée à mort par lapidation par les autorités iraniennes, l’épouse de Nicolas Sarkozy a été traitée de « p… » (prostituée) par le journal iranien Kayhan, très proche du guide suprême de la révolution iranienne, l’Ayatollah Ali Khameini. La télévision d’Etat iranienne, elle-même, critique Carla Bruni, l’accusant de vouloir, par son combat en faveur de Sakineh, « justifier les relations qu’elle avait à l’époque avec Nicolas Sarkozy alors que celui-ci était encore marié à Cécilia ». La réaction des médias iraniens, sous contrôle de l’Etat, est à la mesure du peu d’habitude de la dictature islamique à faire face à la critique. On attend la réaction de la France… guysen
Hahahahaha, c’est excellent le journal dit la vérité sur cette dégénérée de carla bruni, c’est meyssan qui nous dit que cette tarée pose de serieux problèmes de protocole, de nombreuses femmes de président ou de premier ministre ne voulant pas être prise en photo près d’elle, c’est hilarant quand on y pense…
En même temps quand on a passé sa vie à poser nue et qu’on a eu 200 conquètes, je comprends que certaines femmes ne veuillent pas être associées à autant de moralité…
Le percutant webzine israélien en français JSS news, se fait l’écho d’une inquiétude croissante au sujet du déploiement récent de missiles anti-aériens russes en Abkhazie. Et si comme l’affirme Debkafile, proche des milieux de renseignements, le dispositif russe visait avant tout à barrer à la route d’un éventuel raid israélien sur l’Iran? Tous les éléments sont en effet réunis pour alimenter cette suspicion. A commencer par le communiqué de presse goguenard de “l’excellente” agence de presse iranienne Press TV (en anglais) qui fait remarquer, citant des observateurs, que l’armée de l’air géorgienne se résume à …7 aéronefs inoffensifs.
Confirmé par Vladimir Socor, top-analyste pour la Jamestown Foundation, think tank géopolitique indépendant, qui reconnaît que la Géorgie n’a pas d’armée de l’air et n’a pas l’intention de s’en doter. En conséquence, les systèmes anti-aériens ultrasophistiqués russes pour l’instant stationnés en Abkhazie ne visent pas des objectifs géorgiens. Par ailleurs, la Russie disposait déja depuis deux ans d’une base anti-aérienne près de Gali dans les montagnes du sud de l’Abkhazie. Alors ?
L’expert constate que l’avancée des S300 sur l’échiquier ferme non seulement aux américains et à l’OTAN un couloir aérien sur l’axe Mer Noire, Géorgie, Sud Caucase, mais verouille aussi une ligne d’ accès à l’Afghanistan et à l’Asie Centrale. En fait, le mouvement s’inscrit selon l’expert dans une stratégie plus générale d’hégémonie russe sur la région pour les 4 prochaines décennies.
A commencer par la Mer Noire avec l’extension des droits maritimes consentis par l’Ukraine – au prix de contorsions constitutionnelles- jusqu’en 2047. Dans le même esprit la Russie envisage de réactiver l’ex-base navale soviétique de Tartous en Syrie. Plus fort, le stationnement de troupes russes en Arménie -placée également sous parapluie de S300- a été prolongé à l’horizon 2049 après renégociations. Selon Vladimir Socor, la Mer Noire est de facto désormais placée sous condominion russo-turc. Avec pour premier effet d’avoir circonscrit les exercices de l’OTAN (Operation Active Endeavor) à la Méditerranée en bloquant leur extension à la Mer Noire.
Socor poursuit magistralement dans le Georgiandaily en ligne, en énumérant la série d’opérations initiées par la Russie autour de la Géorgie pour s’assurer un contrôle régional absolu. Il raconte les avions sans pilotes, d’origine israélienne, abattus par les russes dans le ciel géorgien pendant l’été 2008. Puis l’embargo sur les drones et les armements en direction de la Géorgie exigé par la Russie auprès d’Israël. Avec un argument de choc: la menace en cas de refus de livrer des S300 à l’Iran et des missiles au Hezbollah. L’expert conclut sur les récentes rumeurs de livraison de S300 à l’Azerbaïdjan orchestrée selon lui par Moscou afin de calmer Bakou et de rétablir un semblant d’équilibre avec Erevan. Pour Socor le but du déploiement en Abkhazie est donc avant tout une nouvelle manifestation de l’hégémonie russe sur le Sud Caucase.
En tout état de cause le mouvement russe ne devrait pas rassurer totalement Téhéran. Certains analystes américains font valoir qu’Israël aurait certes pu en raison de ses relations très étroites avec Tbilissi, envisager des frappes préventives sur l’Iran à partir de bases géorgiennes. Mais cette option n’est pas la seule. L’Iran avait en effet manifesté quelques inquiétudes récemment quant à d’éventuelles activités militaires en provenance de l’Azerbaïdjan chiite situé directement au contact de sa frontière Nord et allié stratégique d’Israël et des USA. Comme une faille dans le dispositif, aggravée par Moscou qui, in fine, maintient l’embargo sur les S300 à destination de l’Iran tout en faisant miroiter une vague ligne de protection dans le sud Caucase. Les promesses (surtout non formulées) n’engagent que ceux …etc. http://nanojv.wordpress.com/
Il y a quelques jours j’ai été surpris par ce positionnement d’une batterie S-300 en Abkhazie, j’ai immédiatement pensé que cela pouvait êrte une menace pour un quelconque bombardement de l’Iran passant par la Géorgie. Meyssan nous dit que les multiples volte face russes sur la livraison des batteries S-300 montre les profondes dissensions entre Medvedev le concilliant et Poutine l’intransigeant, quoiqu’il en soit la Russie est profondément affaiblie et manque d’une véritable visée stratégique.
Que donc penser de ces missiles S-300 en Abkhazie, malheureusement ce ne sont que des gesticulations désordonnées d’une partie du pouvoir russe, aujourd’hui dans la configuration de ce pouvoir bicépahle antagoniste, jamais la Russie ne participerait à une guerre contre les israéliens pour protéger les iraniens.
Et c’est bien dommage….
Combien de fois ai je lu sur des forums des mongoliens appelant, voir se languisant une prochaine guerre en Iran, c’est quelque chose que j’ai réellement du mal à comprendre, que des juifs agitateurs le disent je comprends, ils sont malades, mais quand je lis des commentaires de français non sionistes dire qu’il faut bombarder ce pays, ça me dépasse, les iraniens ne nous ont rien fait, ils ne sont en rien une menace pour les interêts français.
Ces idiots racistes sont avant tout des putes, les putes des juifs extrémistes, il faudrait une épuration en France, il faudrait emprisonner ou executer les traitres à la nation, ceux qui font passer les interêts mortifères israéliens avant la volonté d’un vivre paisible en France. Ces agiteurs, ces faiseurs de guerres doivent être neutralisés, parceque si la France participe à la guerre contre l’Iran, vous pouvez être sûre que des attentats seront commis dans notre pays et l’iran ne sera pas responsable, ce sera sarkozy et sa clique talmudo-sioniste en porteront la paternité, comme à Karachi d’ailleurs…
Bref, même si les médias sont tous pour un conflit avec l’Iran, tentez d’expliquer à vos proches la folie d’une telle action.
D’ici quelques semaines, surement deux mois, le blog va servir à fédérer les individus motivés à agir dans le réel et tenter de batir un embryon de résistance, parceque les deux années qui viennent vont être extrèmement difficiles nous ne pourrons pas rester les bras croisés.
Les Gardiens de la révolution iranienne ont réussi à se procurer 4 systèmes de missiles S-300 secrètement, alors que la Russie avait finalement refusé de vendre à Téhéran ses systèmes de défense anti-aérienne, a annoncé l’agence de presse iranienne Fars. Deux de ces systèmes ont été transférés depuis le Bélarus, et les deux autres sont de provenance inconnue. La possession iranienne de ces systèmes de missiles compliquera la tâche à l’armée de l’air israélienne en cas d’attaque contre les sites nucléaires iraniens. juif.org
J’espère que c’est vrai, c’est tout de même surprenant, à moins que ce soit la Russie qui ait fonctionné de la sorte, ce qui serait moins étonnant. Livrer les S-300 grace à une tierce personne, histoire de casser les couilles aux USA et à israel. Je pense que l’autre pays qui a fourni les missiles est la Chine.
C’est très bien, j’espère que cela préfigure un soutient militaire plus important à l’Iran.
De toute façon même si toute la planète est soumise aux USA, ils trouveront toujours un prétexte pour attaquer un pays, je comprends donc que certain resiste même si au final ça ne sert à rien.
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a proposé lundi un dialogue « face à face » avec Barack Obama et affirmé que l’Iran était prêt à un « dialogue de haut niveau » avec les Etats-Unis, pays avec lequel Téhéran n’entretient plus aucune relation depuis plus de 30 ans
« Je dois me rendre en septembre à New York pour participer à l’Assemblée générale des Nations unies. Je suis prêt à m’asseoir avec M. Obama, face à face, d’homme à homme, pour parler librement des questions mondiales devant les médias pour voir la solution qui est la meilleure », a déclaré M. Ahmadinejad à l’occasion d’un congrès des Iraniens vivant à l’étranger.
« Le gouvernement américain a déclaré récemment qu’il était prêt à dialoguer (…) à un niveau plus élevé. Très bien. Nous sommes aussi en faveur du dialogue et prêt à dialoguer à un niveau plus haut sur la base du respect mutuel et de la dignité », a-t-il ajouté en faisant référence au contentieux opposant les Occidentaux à l’Iran sur son programme nucléaire controversé.
L’Iran et les Etats-Unis n’ont pas de relations diplomatiques depuis trente ans. En octobre 2009, le sous-secrétaire d’Etat américain avait participé aux négociations de Genève sur le nucléaire dans le cadre du dialogue entre l’Iran et les pays du groupe des Six (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie, Chine, Allemagne).
Mais l’absence de résultat à propos de l’échange du combustible nucléaire a empêché la poursuite de ces discussions.
La déclaration du président Ahmadinejad intervient alors que les Etats-Unis ont fait pression sur leurs partenaires du groupe des Six pour adopter une nouvelle résolution au Conseil de sécurité pour renforcer les sanctions internationales.
Mais le président Ahmadinejad a prévenu que le dialogue devra être basé sur le respect mutuel.
« Si vous croyez que vous allez brandir un bâton et dire que nous devons accepter tout ce que vous dites, cela ne se produira pas », a-t-il ajouté à l’attention des Occidentaux. Ces derniers « ne comprennent pas que les données ont changé dans le monde », a-t-il estimé.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté le 9 juin une résolution renforçant les sanctions internationales contre l’Iran, soupçonné malgré ses démentis de chercher à se doter de l’arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil. Cette initiative a été rapidement suivie par l’adoption de sévères sanctions unilatérales par les Etats-Unis et l’Union européenne.
De nouvelles discussions sur le dossier nucléaire sont toutefois envisagées en septembre entre Téhéran et les puissances du groupe des Six, ainsi qu’entre l’Iran et les pays du groupe de Vienne (Etats-Unis, Russie, France) sur la question plus spécifique d’un éventuel échange de combustible nucléaire.
M. Ahmadinejad a également affirmé que les nouvelles sanctions n’auront aucun effet sur la détermination de l’Iran à poursuivre son programme nucléaire.
« Ils (les Occidentaux) adoptent des résolutions. Combien en ont-ils adopté jusque-là ‘ Quatre ‘ Vous pouvez adopter autant de résolutions que vous voulez pour avoir 4.000 résolutions », a-t-il affirmé.
M. Ahmadinejad a dénoncé le soutien des Etats-Unis à Israël. « Vous soutenez un pays qui a des centaines de bombes atomiques et vous dites que vous voulez stopper l’Iran qui pourrait éventuellement avoir la bombe un jour. Vous ne faites que vous discréditer dans le monde », a-t-il déclaré, en répétant que l’Iran « ne voulait pas avoir la bombe atomique ».
« M. Obama donne trop d’importance aux sionistes. En fin de compte, (le sionisme, ndlr) n’est qu’un parti politique, qui contrôle les médias, les partis politiques et l’argent. (Les sionistes) ne sont pas importants, ce sont les nations qui sont importantes dans le monde », a-t-il dit l\'express
Il est vraiment excellent ce Ahmadinejad, un » face à face » qu’il propose à Obama, cela pour bien montrer que ce n’est pas obama qui décide mais les extrémistes juifs.
» Mais le président Ahmadinejad a prévenu que le dialogue devra être basé sur le respect mutuel.
« Si vous croyez que vous allez brandir un bâton et dire que nous devons accepter tout ce que vous dites, cela ne se produira pas », a-t-il ajouté à l’attention des Occidentaux. Ces derniers « ne comprennent pas que les données ont changé dans le monde », a-t-il estimé. »
La République Islamique est une grande nation, sans les sanctions qui datent de 30 ans, ce pays serait une réelle puissance économique et politique dans la région.
La guerre contre l’Iran risque de gravement dégénérer, les perses sont fiers et rancuniers, souvenez vous des attentats en France après que le contrat qui liait l’Iran à notre pays dans le cadre d’eurodif a été rompu, si nous les attaquons, il y aura des dizaines d’attentats en occident , sans compter que le moyen orient risque de plonger dans l’apocalypse.
Vous remarquerez que nos médias sont à l’unisson avec les torchons anglo saxon sionisés qui poussent à la guerre, la difference de traitement avec la seconde guerre du Golfe est vraiment troublante, sauf quand on sait qui dirige les médias….
Espérons que cette rencontre ait lieu, que les USA comprennent qu’une guerre contre l’Iran serait extrèmement contre productive pour leurs propres intérêts.
La mainmise des juifs extrémistes sur les affaires du monde est proprement incroyable.
L’armée américaine a établit des plans pour attaquer l’Iran a déclaré dimanche 1er août l’amiral Mike Mullen chef de l’Etat major combiné, même s’il pense qu’une frappe contre les installations militaires et nucléaires de la République islamique serait sans doute une mauvaise idée.
Mike Mullen qui occupe le poste le plus important de l’armée américaine a souvent prévenu qu’une attaque de l’Iran aurait des conséquences sérieuses et des effets dans tout le Moyen-Orient. Mais dans le même temps, l’Amiral souligne que le risque d’un Iran disposant d’une arme nucléaire est «inacceptable», même s’il n’a jamais précisé quel est des deux risques le plus important.
«Je pense que les options militaires ont été sur la table et le restent» a déclaré le chef de l’Etat major combiné sur la chaine de télévision NBC. «C’est l’une des options à la disposition du président. A nouveau, j’espère que nous n’en arriverons pas là, mais c’est une option importante et qui est bien comprise».
Le mois dernier, Michael Hayden, ancien directeur de la NSA (National Security Agency) et de la CIA (Agence centrale de renseignements) soulignait que l’option militaire devenait de plus en plus probable.
Peu de temps après les déclarations dimanche 1er août de l’Amiral Mullen, le chef adjoint des Gardiens de la Révolution iranien a déclaré qu’il y aurait une importante réponse militaire iranienne en cas d’attaque américaine. Yadollah Javani a prévenu que la sécurité dans le Golfe Persique ne serait plus assurée «si les Américains commettent la plus petite erreur. La région du Golfe Persique est stratégique. Si la sécurité de cette région est mise en danger, ils souffriront également de pertes et notre réponse sera ferme».
L’Iran a aussi menacé à plusieurs reprises d’attaquer Tel Aviv en cas de bombardements israéliens ou américains.
Le Président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, a déclaré la semaine dernière «ils (les Etats-Unis et Israël) ont décidé d’attaquer au moins deux pays de la région dans les trois prochains mois».
Pour certains commentateurs, cela est le signe que la pression monte sur l’Iran, notamment celle des sanctions économiques décidées unilatéralement par les Etats-Unis, l’Union Européenne, le Canada et l’Australie.
Une étude publiée par le American Foreign Policy Council souligne à la fois que la politique de la main tendue de l’administration Obama à l’égard de Téhéran et celles des sanctions internationales n’ont abouti à aucun résultat et que les Etats-Unis et leurs alliés se retrouvent avec le choix d’un Iran disposant de la bombe atomique ou d’avoir à bombarder l’Iran. Le American Foreign Policy Council propose une troisième possibilité une intense guerre économique contre la République islamique dont l’économie est vulnérable et fragile. slate
Lol, en gros il nous dit, » on n’a pas envie, mais on est obligé de faire la guerre » c’est exactement cela puisque ce sont ces juifs extrémistes qui poussent à la guerre, c’est ce qu’oliver stone a voulu dire il y a quelques jours avant de se rétracter devant les inquisiteurs juifs.
En plus, niveau logique je ne comprends pas très bien, il nous dit : si l’iran a la bombe on fait la guerre
Lol,la dissuasion ne fonctionne plus en 2010, voire mieux, le conflit nucléaire est recherché.
Les paroles de Mullen sont tout de même ambigues, il n’ pas l’air très enchanté de déclencher cette guerre.
L’organisme iranien chargé de surveiller les élections accuse Washington d’avoir versé un milliard de dollars aux chefs de l’opposition et de leur avoir promis 50 autres milliards pour renverser le régime islamique, rapporte mercredi l’agence Ilna.
D’après le chef du Conseil des gardiens de la Constitution, l’ayatollah Ahmad Jannati, Washington aurait versé un milliard de dollars aux « meneurs de la sédition » lors des violentes manifestations qui ont suivi la réélection controversée du président Mahmoud Ahmadinejad en juin 20090.
« J’ai obtenu des documents montrant que les Américains ont versé un milliard de dollars aux meneurs de la sédition via leurs agents saoudiens, qui sont actifs dans les pays de la région », a déclaré M. Jannati, cité par Ilna.
Selon lui, les Saoudiens s’exprimant pour le compte de Washington auraient promis « 50 autres milliards de dollars » aux leaders de l’opposition si ceux-ci parvenaient à « renverser l’ordre établi ».
« Les meneurs de la sédition ont organisé des émeutes avec l’aide des Américains et étaient certains qu’avec l’aide des Etats-Unis, la Révolution s’effondrerait », a-t-il poursuivi.
Sous la direction de l’ayatollah Jannati, le Conseil des gardiens avait approuvé la réélection de Mahmoud Ahmadinejad pour un second mandat de quatre ans au terme de la présidentielle de 2009.
Sa réélection a été contestée par les chefs de l’opposition Mir Hossein Moussavi et Mehdi Karoubi qui ont dénoncé un scrutin « frauduleux ».
Leurs affirmations ont déclenché à Téhéran et dans d’autres villes iraniennes de violentes manifestations.
Des affrontements ont fait des dizaines de morts et des centaines de blessés, et des milliers de personnes ont été arrêtées au cours de ces violences qui se sont poursuivies plusieurs mois après le scrutin.
Plusieurs hauts responsables iraniens, dont le guide suprême Ali Khamenei, ont accusé Washington et Londres d’avoir déclenché les violences post-électorales. AFP
Nous n’avons pas de preuves, mais ça n’est pas étonnant, les USA sont coutumiers de telles méthodes.
De hauts responsables américains ont annoncé jeudi qu’ils allaient se rendre prochainement en Chine, au Japon, en Corée du Sud et aux Emirats arabes unis afin de leur demander de respecter les sanctions imposées à l’Iran par le Conseil de sécurité de l’ONU en raison de son refus de cesser ses activités nucléaires sensibles.
Les mesures visent notamment les institutions iraniennes accusées d’être impliquées dans le programme nucléaire de Téhéran et ses activités de développement de missiles.
Les responsables ont précisé qu’ils préviendraient Pékin, en particulier au sujet des nouvelles sanctions américaines, européennes, canadiennes et australiennes visant à punir les sociétés étrangères qui font des affaires dans le secteur iranien de l’énergie. La Chine a de vastes besoins énergétiques et réalise de larges investissements en Iran. nouvel obs
Vous allez voir que ces pressions vont marcher, ces cons de chinois vont se faire tout petit et accepter la guerre moyennant de juteux contrats avec le nouveau régime iranien à la solde de l’occident. Personne ne prendra la défense de l’Iran militairement et les pressions politiques ne servent à rien, souvenons nous de la guerre d’Irak, le monde entier était contre mais la guerre a bien eu lieu, et cette fois ce sera encore mieux, il n’y aura pas d’opposition à la guerre….
La Russie juge « inacceptables » des sanctions contre l’Iran adoptées hors du cadre de l’ONU, a déclaré mardi le ministère russe des Affaires étrangères, réagissant à l’approbation lundi des sanctions de l’Union européenne et du Canada contre Téhéran et son secteur énergétique.
La Russie juge « inacceptables » des sanctions contre l’Iran adoptées hors du cadre de l’ONU, a déclaré mardi le ministère russe des Affaires étrangères, réagissant à l’approbation lundi des sanctions de l’Union européenne et du Canada contre Téhéran et son secteur énergétique.
« Nous jugeons inacceptable l’utilisation de sanctions unilatérales ou collectives hors du cadre du régime de sanctions du Conseil de sécurité de l’ONU », a déclaré le ministère russe dans un communiqué.
« Nous devons constater avec regret que toutes les dernières mesures de l’Union européenne et des Etats-Unis pour accroître la pression sur l’Iran montrent leur mépris des principes du travail commun », a ajouté la diplomatie russe.
L’Europe et le Canada ont adopté lundi des sanctions d’une ampleur sans précédent contre l’Iran et son secteur énergétique pour pousser Téhéran à reprendre les négociations sur son programme nucléaire controversé. tribune de genève
et
La Chine « désapprouve les sanctions unilatérales » de l’UE contre l’Iran
La Chine « désapprouve les sanctions unilatérales » prises par l’Union européenne envers l’Iran pour pousser Téhéran à reprendre les négociations sur son programme nucléaire controversé, a déclaré vendredi un porte-parole du ministère des Affaires étrangères. « La Chine désapprouve les sanctions unilatérales prises par l’Union européenne contre l’Iran. Nous espérons que les parties concernées continueront à s’en tenir à la voie diplomatique et résoudront de manière appropriée ce problème à travers les discussions et les négociations », a indiqué le porte-parole du ministère, Mme Jiang Yu, dans un communiqué publié sur le site internet du ministère. L’UE a adopté lundi des sanctions d’une ampleur sans précédent contre l’Iran et son secteur énergétique. La Russie, qui fait montre pourtant d’une irritation croissante face à l’entêtement de Téhéran sur son programme nucléaire, les a également dénoncées mardi. « Nous jugeons inacceptable l’utilisation de sanctions unilatérales ou collectives hors du cadre du régime de sanctions du Conseil de sécurité de l’ONU », a déclaré mardi le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué. le monde
Comme d’habitude chinois et russes parlent, mais ne font rien, ils ont peur des USA et ses technologies futuristes. Cela fait des mois que la russie nous dit que ces sanctions sont inacceptables, pourtant ces sanctions sont bien la et la Russie ne fait rien. Poutine et Medevedev sont eux aussi des marionnettes…
Des responsables américains et israéliens devaient se rencontrer hier pour aborder la crise du nucléaire iranien et les sanctions économiques destinées à forcer Téhéran à renoncer à ses ambitions, a indiqué une source diplomatique américaine hier. Robert Einhorn, le conseiller spécial du département d’Etat américain à la lutte contre la prolifération nucléaire et au contrôle des armements, a indiqué jeudi à la commission de la Supervision et de la Réforme de l’Etat de la Chambre des représentants que les Etats-Unis étaient « en contact étroit avec les Israéliens ».
« En fait, cet après-midi nous avons une rencontre avec une équipe de hauts responsables israéliens pour parler de l’Iran et des sanctions », a dit Einhorn, sans précisions sur l’identité des responsables israéliens. « Ils constituent une importante source d’informations. Nous coopérons sur des questions de renseignement avec beaucoup de pays amis dans le monde, mais le renseignement israélien est particulièrement bon », a-t-il dit.
Interrogé sur cette rencontre, le porte-parole du département d’Etat Philip Crowley a répondu: « Il semble que cela soit une rencontre de la Maison Blanche ». La Maison Blanche ne répondait pas jeudi après-midi à une demande de commentaire sur cette rencontre. le figaro
Ces chiens préparent bien la guerre, cela fait des mois qu’ils se rencontrent pour discuter de la guerre à venir.
C’est fou de voir une grande guerre prendre forme….
L’Iran a signé un contrat d’un milliard d’euros avec une compagnie turque pour la construction d’un gazoduc qui exportera chaque jour 60 millions de m3 de gaz d’ici trois ans en direction de l’Europe, a rapporté samedi la presse locale.
« Le contrat pour la construction d’un gazoduc de 660 kilomètres s’élève à 1 milliard d’euros » (1,3 milliard de dollars) et « a été signé en présence des ministres du Pétrole et de l’Energie iranien et turc », rapporte le journal Arman, citant un communiqué du ministère iranien du Pétrole.
Le vice-ministre iranien du Pétrole, Javad Ouji, par ailleurs directeur de l’entreprise publique National Iranien Gas Company, a signé l’accord avec une le groupe privé turc ASB, selon la même source.
« Avec la construction d’un nouveau gazoduc, notre pays sera capable d’exporter 50 à 60 millions de m3 de gaz par jour vers ce pays (la Turquie) et l’Europe dans trois ans », a affirmé M. Ouji, selon la même source.
La Turquie reçoit déjà quotidiennement entre 15 et 18 millions de m3 (entre 529 et 635 pieds cubes) de gaz via un gazoduc reliant Tabriz, ville du nord-ouest iranien, à Ankara.
L’accord sur le nouveau gazoduc intervient alors que l’Union européenne s’apprête à suivre les Etats-Unis en finalisant la semaine prochaine des sanctions renforcées, visant notamment les industries gazières et pétrolières iraniennes. Ces sanctions s’ajoutent à celles déjà décidées par l’ONU début juin en raison du programme nucléaire controversé de Téhéran.
L’UE prévoit notamment d’interdire de nouveaux investissements, de l’assistance technique et des transferts de technologies, d’équipements et de services liés à ces secteurs, notamment pour le raffinage et la liquéfaction de gaz. romandie
Ce n’est pas un petit contrat, la turquie se fout des sanctions et c’est très bien, même sans les occidentaux l’Iran pourra se développer c’est aussi très bien. Jec crois que la société brésilienne petrobas possède de solides compétences dans le forage, ils pourront toujours s’entendre. Avec ces sanctions les européens se tirent une balle dans le pieds, les iraniens sont fiers et rancuniers, ils disent d’ailleurs mettre sur une liste les sociétés qui participe au boycott et ne plus jamais travailler avec elles…
L’ancien président cubain Fidel Castro ne croit pas que le président américain Barack Obama ait la capacité ou l’intention de stopper un conflit armé avec l’Iran qui déboucherait selon lui sur une catastrophe nucléaire.
« Malheureusement, dans tous les éléments de la réalité que je perçois je ne vois pas la moindre possibilité » que le sens commun prévale et qu’on évite la guerre, une réalité qu’ « Obama ne pourra pas modifier et n’a montré à aucun moment la décision de le faire », affirme le dirigeant cubain dans un article publié sur le site internet Digital Cubadebate.
Castro, qui aura bientôt 84 ans et qui a quitté le pouvoir à la suite d’une grave maladie, a consacré neuf articles à ce sujet, publiés depuis le 1er juin, et a abordé ces questions au cours de ses cinq apparitions publiques en dix jours.
« Je pense qu’il serait beaucoup plus réaliste que nos peuples se préparent à affronter cette réalité. C’est en cela que réside notre unique espoir ».
L’article a été publié quelques heures après un message adressé à l’ancien président sud-africain Nelson Mandela, dans lequel il l’exhorte à maintenir l’Afrique du Sud à l’écart des bases militaires des Etats-Unis et de l’Otan.
Fidel Castro souligne que l’Iran a réussi a fabriquer 20 kilos d’uranium enrichi à 20% « suffisants pour construire une bombe nucléaire, ce qui affole davantage ceux qui ont pris récemment la décision de l’attaquer ».
Cette guerre nucléaire « sera la dernière de la préhistoire de notre espèce », prédit-il par ailleurs. afp
En disant cela de cette manière, il nous fait comprendre que les USA sont sous la coupe des juifs extrémistes.
Son message est extrémement négatif, il nous dit quand même que la guerre est une certitude et que la seule option est de s’y préparer pour ne pas trop en souffrir, c’est super….
La guerre est une certitude, il suffit de bien connaitre l’histoire et l’influence de certain pour comprendre que nous allons au chaos. Je suis en train de lire un livre sur l’influence des franc maçons et des juifs extrémistes depuis plus de deux siècles, je vous conseille de le lire, même si il y a surement à boire et à manger, rien ne vous empèche de comparer et de vérifier ce qui est dit. Un chose m’a interpellé, ce n’est pas la première fois que je lis dans ce genre d’ouvrage, dont certain ont quasiment 1 siècle, que les juifs sont en fait des khazars convertis au judaisme, et en faisant quelques recherche je suis tombé sur des textes de rabbin qui disaient aussi la même chose, en fait shlomo sand a simplement démocratisé cette idée connue de quelques initiés. La honte sioniste, aux sources du sionisme et de ses ravages dans le monde.
Le ministre russe de l’Energie, Sergueï Shmatko et le ministre iranien du Pétrole Masud Mir-Kazemi se sont rencontrés mercredi à Moscou, et ont signé un certain nombre de contrats d’importance stratégique majeure, l’un d’eux portant sur la livraison à l’Iran de carburants et de produits dérivés du pétrole.
Les formules insérées dans les contrats signés ne laissent aucune place au doute: « la Russie et l’Iran ont l’intention d’intensifier leur coopération, tant dans le domaine de l’approvisionnement, les échanges et la commercialisation du gaz naturel, des carburants et des produits pétrochimiques ».
Plus que cela, Moscou a également aidé Téhéran à contourner l’embargo imposé par Washington sur les institutions bancaires et les compagnies d’assurances qui doivent accompagner les transactions commerciales. Les deux ministres ont notamment prévu la création d’une banque commune aux deux pays, et qui sera chargée de financer les transactions prévues par les contrats signés.
En cela, Moscou brise non seulement de manière ouverte et totale l’embargo décidé par les Etats-Unis sur le produits pétroliers à destination de l’Iran – et qui avaient déjà commencé à porter ses fruits sur l’économie iranienne – mais défie également Washington, pour voir si les Américains se risqueront à prendre des mesures contre les institutions bancaires ou les sociétés russes qui seront impliquées dans ces transactions commerciales. En effet, dans le texte signé par Barack Obama le 2 juillet dernier, il est clairement stipulé « que les Etats-Unis ne coopéreraient plus avec des sociétés ou des banques étrangères qui effectueront des transactions commerciales avec l’Iran dans le domaine pétrolier ». A la suite de cela, la plupart des grandes compagnies d’assurances et pétrolières (BP) ainsi que les grandes banques européennes avaient annoncé « qu’elles se mettaient au diapason de la décision américaine ».
Selon des observateurs de la vie politique russe, c’est le Premier ministre Vladimir Poutine qui se trouve derrière ce virage stratégique russe et qui a téléguidé en coulisses toute l’action du ministre russe de l’Energie, car c’est Poutine qui a la haute main sur la politique énergétique russe.
Le Président Obama se trouve désormais face à un dilemme: s’il tient parole, il risque de provoquer une crise dans les relations avec la Russie, ce qu’il ne souhaite pas. Mais s’il cède, il diffusera au monde entier le message que « l’embargo peut être rompu par qui le souhaite », ce qui fera la joie des nombreuses compagnies pétrolières appartenant à des pays limitrophes de l’Iran, en Asie ou dans la Caucase, et qui se feront un plaisir de commercer avec Téhéran.
Mais le sauvetage de l’Iran ne vient pas que depuis Moscou. Dans les marchés pétroliers, des rumeurs de plus en plus précises indiquent que la Chine et la Turquie sont également sur les rangs pour venir au secours du régime des Mollahs. Selon des images satellites, de longs convois de camions-citernes se pressent aux frontières du Kurdistan avec l’Iran, au nord de l’Irak pour entrer en Iran et livrer du carburant, malgré la présence au Kurdistan de nombreuses troupes américano-irakiennes. Alors si les Etats-Unis n’arrivent pas à faire respecter l’embargo dans des zones où ils sont maîtres, que dire du reste du monde?!!
La diplomatie hypocrite russe se révèle ici sous toute sa splendeur, car de tels gestes politiques et économiques ne s’improvisent pas et semblent préparés de longue date, alors que de l’autre côté, le Président Dimitri Medvedev déclarait encore lundi « que l’Iran était très proche de la possession de l’arme atomique ».
Ces derniers développements de la politique russe, s’ils entrent dans les faits, montreraient aussi, hélas, l’échec du Premier ministre israélien Binyamin Netanyahou, qui depuis son entrée en fonction tente de convaincre la communauté internationale d’intensifier les sanctions contre l’Iran.
L’embargo américain semblait être la première mesure prise depuis des années, et qui semblait « faire mal » au régime iranien, et voilà que Moscou vient sauver Téhéran et tourner Obama en ridicule. http://www.israel7.com
Vraiment délirant le ton de l’article, on dirait que l’auteur pleure.
Les russes ont une diplomatie totalement schyzophrénique, ils doivent subir de grosses pressions des juifs extrémistes et des américains, je me demande même si il n’y a pas une divergence importante entre Medvedev et Poutine, j’ai l’impression que medvedev est un nouveau Eltsine, en même temps Poutine ferme sa gueule depuis 11 ans maintenant, que ce soit pour le Koursk ((documentaire, merci vladi), les attentats dans le caucase téléguidés de Londres, les bases US en asie centrale, l’héroine afghane qui ravage la population russe et j’en passe, Poutine n’a pas fait grand chose.
Aujourd’hui, je pense que si la Russie a signé ces contrats avec l’Iran, c’est parceque la Chine, le Pakistan, la Turquie, le Vénézuéla et d’autres ont déja annoncé vouloir poursuivre leur collaboration économique avec la République Islamique. La russie a beaucoup investi en Iran, c’est gazprom qui aide à contruire le fameux gazoduc iran-pakistan et qui devait se prolonger jusqu’en Inde, suite aux tensions avec le Pakistan et les pressions US, l’Inde s’est moins impliquée dans le projet sans se retirer. À terme le gazoduc iran-pakistan-inde-chine existera et sera bénéfique pour la région, bien sûr ce serait bien mieux que les énergies libre soient utilisées…
Un signal important sera la mise en marche effective de la centrale nucléaire de Buscher en aout, si les russes tiennent parole, la centrale ne pourra plus être bombardé quoique je crois que même aujourd’hui la bombarder serait gravissime, il y a déja le combustible.
Une attaque israélienne sur l’Iran déclencherait une guerre qui durerait des années, c’est ce que dit une université anglaise, voila un article :
Une attaque israélienne contre les installations nucléaires iraniennes entraînerait une longue guerre et n’empêchera sans doute pas l’Iran d’acquérir des armes nucléaires à terme, selon une déclaration faite par un groupe de recherche jeudi.
L’Oxford Research Group, qui promeut des solutions non-violentes aux conflits, a déclaré qu’une action militaire doit être écartée en réponse aux ambitions nucléaires de l’Iran.
« Une attaque israélienne contre l’Iran serait le début d’un conflit prolongé qui aurait peu de chances d’empêcher l’acquisition éventuelle d’armes nucléaires par l’Iran, et pourrait même l’encourager, » indique le rapport.
Le conseil de sécurité des Nations Unies a imposé un quatrième train de sanctions à l’Iran le mois dernier sur son programme nucléaire, que l’Occident soupçonne de cacher une course a l’arme nucléaire secrète. L’Iran affirme qu’il veut obtenir l’énergie nucléaire exclusivement à des fins pacifiques.
Le rapport, rédigé par Paul Rogers, professeur d’études de la paix à l’université de Bradford, a déclaré qu’une action militaire américaine contre l’Iran semble peu probable, mais que les capacités d’Israël ont augmenté.
« Les avions de combats à longue distance acquis auprès des Etats-Unis, combinés à l’amélioration de la flotte des avions ravitailleurs, le déploiement de drones à longue portée et la disponibilité probable d’installations de soutien dans le nord de l’Irak et en Azerbaïdjan, tous cela accroît le potentiel d’Israël pour une action contre l’Iran, » a-t-il dit.
Les dirigeants palestiniens ne parlent généralement que de laisser toutes les options sur la table, même si le premier ministre adjoint israélien, Moshé Yaalon, a déclaré en mai qu’Israël avait la capacité de frapper l’Iran.
Israël est largement soupçonné d’avoir le seul arsenal nucléaire du Proche Orient. L’état juif ne confirme ni ne dément.
Le rapport d’Oxford estime qu’il pourrait prendre entre trois et sept ans à l’Iran pour développer un petit arsenal d’armes nucléaires, si elle décide de le faire. Il dit qu’il n’existe aujourd’hui aucune preuve irréfutable qu’une telle décision a déjà été prise par la dictature islamique.
Toute attaque israélienne serait axée non seulement sur la destruction des cibles nucléaires et de missiles, mais toucherait également les usines, les centres de recherche et même les laboratoires universitaires pour endommager l’expertise scientifique iranienne, selon le rapport.
Cela risque de provoquer de nombreuses victimes civiles, est-il ajouté.
L’action militaire se fonderait aussi sur le bombardement direct de cibles dans Téhéran, et probablement sur des tentatives de tuer des technocrates qui sont responsables des programmes nucléaires et de missiles de l’Iran.
Les réponses de l’Iran à une attaque israélienne pourraient consister à se retirer du traité de non-prolifération, et pourrait ensuite prendre des mesures rapides pour produire des armes nucléaires dans le but de dissuader toute nouvelle attaque.
Elles pourraient également inclure des attaques de missiles sur Israël, la fermeture du détroit d’Ormuz pour faire monter les prix du pétrole, et des attaques paramilitaires ou à l’aide de missiles sur les installations pétrolières occidentales dans le Golfe.
Après une première attaque, Israël pourrait avoir à lancer des frappes aériennes régulières pour empêcher l’Iran de développer des bombes atomiques et des missiles à moyenne portée. « La réponse iranienne serait également sur le long terme, en inaugurant une longue guerre avec des ramifications régionales et globales, » a déclaré Rogers. http://www.juif.org/defense-israel
Et oui, une telle attaque serait catastrophique, les iraniens se vengeraient pendant des années, ils ont la rancoeur tenace les perses…
Le monde est sur un fil, avec la quantité de dégénéré qui sont à des postes permettant de faire basculer le système, estimons nous heureux que la 3 ième guerre mondiale n’ait pas déja éclaté…