Après être intervenus à la suite du séisme du 12 janvier qui a fait plus de 222.500 morts, des soldats américains resteront encore dans un avenir indéfini en Haïti, a déclaré jeudi 25 février l’ambassadeur des Etats-Unis dans ce pays, Kenneth Merten.
« Il y a à peu près 6.500 soldats en Haïti pour le moment. Il y en avait 20.000 pour l’effort d’urgence au lendemain du 12 janvier », a déclaré Kenneth Merten lors d’un entretien à l’AFP.
« Ce qui est envisagé maintenant, c’est qu’il y ait de plus en plus d’agents de l’USAID (l’Agence américaine pour le développement international) sur le terrain et de moins en moins de troupes. Au fur et à mesure (les soldats) vont partir. De mon point de vue, il faudra que certains éléments des troupes américaines restent ici pour l’avenir », a ajouté l’ambassadeur, qui s’exprimait en français.
Kenneth Merten a écarté l’idée d’une mise sous tutelle étrangère d’Haïti, avancée par exemple par le député français Jacques Myard (UMP) dans les jours qui ont suivi le tremblement de terre.
« Je ne vois aucune raison d’avoir une mise sous tutelle du pays. On travaille depuis longtemps, avant le départ (en 1986 du dictateur) Jean-Claude Duvalier, pour un Etat démocratique en Haïti. Je crois que s’il y a aujourd’hui l’opinion de prendre en main l’Etat haïtien, cela voudrait dire que tout ce qu’on a fait auparavant n’a aucune valeur », a déclaré le diplomate américain.
Tensions entre français et américains
A propos des tensions qui sont apparues entre la France et le dispositif américain chargé du fonctionnement de l’aéroport de Port-au-Prince, l’ambassadeur s’est dit « très très satisfait de la coopération qui existe entre toutes les nations ».
« Je crois que tout le monde est bien conscient que les besoins sont vraiment sérieux. Ce n’est pas le moment de discuter de problèmes qui ne sont pas vraiment importants », a-t-il dit.
En ce qui concerne l’incident des « enfants volés » par un groupe de chrétiens américains, Kenneth Merten a remarqué que « le processus légal a marché plus ou moins comme il faut ».
« Nous sommes obligés de nous assurer qu’un ressortissant américain est bien traité selon la loi locale, qu’il ne soit pas victime d’abus et qu’il ait un avocat », a ajouté l’ambassadeur.
Huit des dix Américains qui tentaient de faire sortir d’Haïti un groupe de 33 enfants après le séisme ont été libérés la semaine dernière par la justice haïtienne. Les deux autres seront libérées au plus tard jeudi, a déclaré mardi à l’AFP l’un de leurs avocats. nouvel obs
De quoi donner de l’eau au moulin à un tremblement de terre provoqué, vous verrez que dans un an on trouvera du pétrole à Haïti.
C’était prévisible, on n’envoit pas autant de soldats pour rien, sinon 220 000 morts c’est énorme pour un pays de 10 millions d’habitants, c’est horrible, 10 à 15 % de la population de port au prince a disparu brutalement.
Les autorités auraient du laisser l’assureur faire faillite, c’est un puit sans fond, déja 180 milliards de fond public
L´économie britannique face à une restructuration
Un rapport sur l’avenir de l’économie britannique prévoit des changements structurels fondamentaux résultant de la récession et d’une croissance faible pour les 5 prochaines années. Le rapport intitulé « Transition » a été rendu public lundi par la firme internationale de comptables BDO et le Centre pour les études de l’avenir.
Selon le rapport, les forces conductrices de ces changements continueront bel et bien d’agir après la fin officielle de la récession, et les conséquences seront permanentes et considérables. Le rapport prévoit que les entreprises britanniques auront à subir un changement structurel douloureux afin de s’adapter au nouvel ordre mondial après la récession. Le rapport inclut également un avertissement donné par des économistes, selon ces derniers le risque d’une récession à double pic est élevé.
LOL, en gros les Britanniques sont foutus
L\'Amerique sous la menace d\'une crise grecque
L’Amérique pourrait bien un jour prochain se retouver dans la même situation que la Grèce. Le Midwest ne sera pas recouvert de ruines anciennes et les Texans ne troqueront pas leur hamburger pour de la feta. Je veux dire que la crise financière grecque est comparable à ce que pourraient connaître les Etats-Unis dans quelques années s’ils continuent à faire les mêmes erreurs que les Grecs au cours des dix dernières années.
Et passeulemnt les USA, mais aussi UK, france, espagne, italie, japon et meme Allemagne, quand on en est à s’endetter pour payer les intérêts des prêts précédents, c’est que c’est foutu, et nous en sommes là… Freddie mac perd encore bcp d\'argent
» L’organisme américain de refinancement hypothécaire Freddie Mac a fait état mercredi d’une perte nette part du groupe de 6,47 milliards de dollars au quatrième trimestre, et de 21,55 milliards sur l’année, mais n’a pas demandé d’aide supplémentaire au gouvernement. »
la aussi, ils auraient du laisser faire faillite, mais les chinois ne voulaient pas en entendre parler, on verra bien…
La dette française devrait rester longtemps à des niveaux record
La France mettra 20 ans à retrouver un niveau de dette publique équivalent à celui d’avant la crise, selon le scénario le plus favorable figurant dans un rapport de la Délégation à la prospective du Sénat.
LOL, 20ans !
La Knesset sioniste a approuvé le « projet de la loi concernant la Nakba » qui stipule d’imposer une peine contre toute personne qui exprime sa tristesse ou deuil dans les territoires palestiniens occupés en 1948, le 15 mai de chaque année, car cette journée indique à la Nakba palestinienne.
La radio sioniste a déclaré, le mardi 23/2, que cette loi vise à imposer des amendes contre les personnes qui annoncent le deuil pour commémorer la Nakba palestinienne ou refusent de reconnaître le caractère juif de l’entité sioniste, ou insultent les symboles de l’état de l’occupation parce que les sionistes ont fait du 15 mai 1948, la journée de la création de l’entité sioniste sur les territoires palestiniens. ism
Mon Dieu, de mieux en mieux, interdit d’être triste !!!!!!
C’est une loi d’essence soviétique, c’est ahurissant, les arabes ne pourront plus commémorer la catastrophe de 48, c’est littéralement incroyable, les juifs extrémistes continuent dans la négation de l’existence même des palestiniens.
Je me souviens un documentaire sur les colons ou un extrémiste juif à qui le journaliste demandait ce qu’il pensait des palestiniens lui a répondu » les palestiniens, ça n’existe pas »
C’est exactcement cela, Bibi a même annoncé dimanche (21 février) sa décision d’inscrire le Caveau des Patriarches et le Tombeau de Rachel, à Bethléem au patrimoine de l’Etat d’Israël,
Lorsque je suis allé en israél et dans les territoire occupé, Hébron est la ville qui m’a le plus marqué, déja, vous seriez stupefait de voir les visages des habitants, beaucoup sont blancs avec des yeux bleus, lorsque j’ai demandé au guide pourquoi, il m’a dit que ce sont les descendants des européens des croisades !!!!
Ensuite, je ne comprenais pas pourquoi il y avait des filets au dessus des rues, en fait c’était pour protéger les palestiniens des jets de pierres ou des poubelles venant des maisons des colons….
Il faut se souvenir qu’Igal Amir l’assassin de Rabin venait de cette colonie et de cette école religieuse.
Les israéliens font tout ce qu’ils peuvent pour empécher un reglement équilibré du conflit, ils ne peuvent s’empécher de foutre la merde, de provoquer les palestiniens.
Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est le tombeau des Patriarches : wikipédia
Et voila un article qui avance l’idée que les prisoniers palestiniens subissent des experiences médicales et sont empoisonnés volontairement, causant une augmentation des cancers.
» The Israeli occupation forces have been accused by a Palestinian Researcher of carrying out « thousands of experiments on Palestinian prisoners every year » which have lead to an increase in the number diagnosed with cancer. The specialist in Palestinian prisoners’ affairs, Abdul Naser Ferwana, himself a former prisoner of the Israelis, claims that « more than five thousand experiments using serious drugs put prisoners’ lives at risk ».
According to Ferwana’s research, dozens of former prisoners have been diagnosed with cancer months and even years after their release; some have died while others are living with the disease. He believes that the experiments prisoners have been exposed to in prison are the direct cause of the high incidence of cancer in this section of the population. Deliberate medical neglect by the prison authorities also cannot be ruled out, he added. » source
Plusieurs villes se mettent à utiliser leurs caméras de vidéosurveillance pour lutter contre le stationnement gênant. Si elle peut surprendre, la démarche est légale.
Fini, le petit café vite fait sur le zinc en surveillant sa voiture en double file du coin de l’œil ? Finies les supplications à un contractuel qui «a déjà commencé à rédiger son procès-verbal», mais qui finit souvent- par lâcher prise ? Dans plusieurs villes de France en effet, c’est un œil beaucoup plus implacable qui surveille désormais les automobilistes mal garés : la vidéosurveillance.
A Valenciennes, dans le Nord, le concept est tout récent. Depuis janvier, les 42 caméras originellement destinées à faire baisser la délinquance dans le centre-ville sont également utilisées pour lutter contre le stationnement gênant. D’un côté, un automobiliste indélicat qui boit son café avec sa voiture en double file donc, et de l’autre un agent assermenté qui constate l’infraction, zoome sur la plaque d’immatriculation, et envoie le procès-verbal à l’adresse indiquée sur la carte grise. Bilan : en un mois, une centaine de contraventions ont été dressées.
«Une efficacité inéluctable»
Les policiers valenciennois se sont inspirés de leurs collègues de Draguignan, dans le Var, où l’expérience existe depuis deux ans. «Il est presque impossible de lutter contre le stationnement gênant avec une présence policière», affirme au figaro.fr le directeur de la Police municipale, Gérard Jobey. Résultat? «Une efficacité inéluctable», selon lui, avec 538 verbalisations en 2009 et un seul contentieux.
Pionnière en la matière, la police de la ville se concentre uniquement sur le stationnement en double file, «une plaie dans le Sud» plaisante Gérard Jobey. Accessoirement, les voitures garées sur des places réservées aux handicapés ou des emplacements gênants pour la circulation font aussi l’affaire. «Dans la mesure du raisonnable», assure le policier. «Notre but n’est pas de traquer le petite bête», insiste-t-il.
Dispositif légal
(DR)
Les infractions liées au stationnement sont les seules qui soient légalement répréhensibles par ce biais, comme l’explique au figaro.fr Rémy Josseaume, juriste et président de la commission juridique de l’association «40 millions d’automobilistes» : «A partir du moment où il n’existe pas d’appareil spécifiquement homologué pour constater un stationnement gênant, on peut se servir de la vidéosurveillance.» Comme il existe des «radars feu rouge» par exemple (système de détection automatique de franchissement des feux), un PV ne pourra donc pas être envoyé à un automobiliste pour un feu rouge brûlé si l’infraction est constatée par le biais d’une caméra. Selon le spécialiste, en ce qui concerne spécifiquement le stationnement, «l’œil d’une caméra ou l’œil d’un agent, légalement, il n’y a pas de différence». Reste que les autorités doivent conserver pendant un an la preuve de l’infraction (la photo prise par la caméra de surveillance) pour pouvoir la présenter en cas de contestation.
Pour l’heure, la méthode reste marginale. Cannes l’a mise en place en octobre dernier. A Paris, la préfecture de police indique que «ce n’est ni en place ni prévu pour l’instant». Mais le pionnier de Draguignan, Gérard Jobey, assure qu’«une trentaine de villes l’a contacté pour s’informer» sur les bienfaits d’une telle utilisation de la vidéosurveillance. le figaro n
On s’enfonce de plus en plus dans une surveillance insidieuse et automatique, les caméras installées pour la surveillance se transforment en caméras qui donnent des PV, c’est un palier de plus, des délinquants on passe à une voiture mal garée.
Etre surveillé en permanence est le signe d’un état totalitaire, la technologie au service du fascisme, rien ne pouvait être pire.
The world’s most powerful investors have been advised to buy farmland, stock up on gold and prepare for a “dirty war” by Marc Faber, the notoriously bearish market pundit, who predicted the 1987 stock market crash.
The bleak warning of social and financial meltdown, delivered today in Tokyo at a gathering of 700 pension and sovereign wealth fund managers.
Dr Faber, who advised his audience to pull out of American stocks one week before the 1987 crash and was among a handful who predicted the more recent financial crisis, vies with the Nouriel Roubini, the economist, as a rival claimant for the nickname Dr Doom.
Speaking today, Dr Faber said that investors, who control billions of dollars of assets, should start considering the effects of more disruptive events than mere market volatility.
“The next war will be a dirty war,” he told fund managers: « What are you going to do when your mobile phone gets shut down or the internet stops working or the city water supplies get poisoned?”
His investment advice, which was the first keynote speech of CLSA’s annual investment forum in Tokyo, included a suggestion that fund managers buy houses in the countryside because it was more likely that violence, biological attack and other acts of a “dirty war” would happen in cities.
He also said that they should consider holding part of their wealth in the form of precious metals “because they can be carried”.
One London-based hedge fund manager described Mr Faber’s address as “excellent, chilling stuff: good at putting you off lunch, but not something I can tell clients asking me about quarterly returns at the end of March”.
Dr Faber did offer a few more traditional investment tips, although their theme fitted his general mode of pessimism.
In Asia, particularly, he said, stock pickers should play on future food and water shortages by buying into companies with exposure to agriculture and water treatment technologies.
One of Dr Faber’s darker scenarios involves growing military tension between China and the United States over access to limited oil resources.
Today the US has a considerable advantage over China because it has free access to oceans on both coasts, and has potential energy suppliers to the north and south in Canada and Mexico.
It also commands an 11-strong fleet of aircraft carriers that could, if necessary, secure supply routes in a conflict situation.
China and emerging Asia, meanwhile, face the uncertainty of supplies that must travel from the Middle East through winding sea lanes and the Malacca bottleneck.
American military presence in Central Asia, Dr Faber said, may add to the level of concern in Beijing.
“When I tell people to prepare themselves for a dirty war, they ask me: “America against whom?” I tell them that for sure they will find someone.”
At the heart of Dr Faber’s argument is a fundamentally gloomy view on the US economy and its capacity to service a growing mountain of debt.
His belief, fund managers were told, is that the US is going to go bankrupt.
Under President Obama, he said, the country’s annual fiscal deficit will not drop below $1 trillion and could rise beyond that figure.
Arch bears have predicted that US debt repayments could hit 35 per cent of tax revenues within ten years.
Dr Faber believes that the ratio could easily hit 50 per cent in the same time frame. Timesonline traduction google
Il est vraiment impayable ce Faber, dire ça devant des dirigeants de hedge funds : » La prochaine guerre sera une guerre sale», a t-il dit aux gestionnaires de fonds: «Que ferez vous lorsque votre téléphone mobile tombera en panne, qu’internet cesse de fonctionner ou que l’eau de la ville sera empoisonné? LOL
On pourrait le prendre pour un dingue mais il est compétant, prévenir une semaine avant le Krach de 1987 est assez fort, il est aussi un des rares à avoir annoncé la crise bancaire, du coup prenons le au sérieux…
Sérieusement, VOUS DEVEZ ABSOLUMENT L’ÉCOUTER, si vous ne voulez pas ou ne pouvez pas aller à la campagne dès maintenant, pensez et organisez une solution de replis, pensez surtout à la nouriture, je vous renvoie aux sites que vladi a laissé en commentaire ici.
L’Histoire est chaotique, et nous sommes tombés dans une époque extrèmement dangereuse, pensez y vraiment et tirez en les conclusions, mais sachez que les probabilités pour que nous vivions des moments très difficiles dans les 4 à 5 années qui viennent sont très importantes, l’envisager est un gage de santé mentale et d’une volonté de vivre.
je ne le vous dirai jamais assez, étudiez l’Histoire, ça fait 10 000 que les civilsations naissent et meurent, c’est une dynamique que rien n’arrete.
Two of these blocks can power an American home, while one will suffice for a European home. A stack of 64 can power a small business. What is this magical box and where can you get one?
It’s the Bloom Box, essentially a power plant in a box, and it claims to be the latest breakthrough in clean energy technology. You can’t get one yet, but K.R. Sridhar, founder of Bloom Energy, says there will be one in every American home in five to 10 years.
Sridhar has been developing the technology for the past 10 years, and its all been kept relatively under wraps. The company made their first public appearance on 60 Minutes on Sunday, in an exclusive interview with Lesley Stahl preceding the company’s official launch this Wednesday.
Sridhar invented a new kind of fuel cell that is entirely self-sufficient. He feeds oxygen into one side of a cell while fuel is supplied to the other side. The two combine, forming a chemical reaction that produce electricity.
Is it too good to be true? Some, like Michael Kanellos, editor-in-chief of the Web site GreenTech Media, think the cost will be too high to maintain its production on a large scale.
Several big name companies have already signed on, though. Google was the first to sign up for a Bloom Box, and other big names such as Walmart and FedEx have also come on board, touting its efficiency.
La société américaine de nouvelles technologies, Bloom Energy, a présenté mercredi en Californie une pile à combustible. Bien que de nombreux détails soient encore flous,le gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger, a présenté cette technologie comme capable de « révolutionner l’industrie énergétique ».
Une pile au sable
La Bloom box présentée par la jeune société de la Silicon Valley, Bloom Energy, utilise une technologie connue depuis le 19ème siècle, à savoir qu’il s’agit d’une pile à combustible. C’est un moyen de créer de l’électricité par une réaction électro-chimique associant l’hydrogène et l’oxygène.
En ce qui concerne la Bloom box, l’innovation ne vient donc pas réellement du moyen de produire l’énergie, mais plutôt du combustible utilisé, ainsi que de la volonté de produire la box en série. Le co-PDG de Bloom Energy, K. R. Sridhar a expliqué lors de sa présentation que la base de cette technologie « était tout simplement le sable ».
Concrètement, la Bloom Box ressemble à une carte de visite fabriquée à base de silicium, l’élément majeur entrant dans la composition du sable. Le choix du sable est justifié par » sa présence en abondance et ses propriétés scientifiques », compatibles avec la fabrication d’une pile à combustible.
Plusieurs « serveurs » produisant de l’électricité et fabriqués grâce à cette technologie ont été présentés mercredi. Baptisés « Bloom Boxes » et de la taille d’un frigo, ils ont été testés en secret en Californie par plusieurs grandes entreprises dont eBay, Wal-Mart ou Coca Cola.
Google compte déjà parmi les clients de la start-up californienne et lui a déjà commandé quatre serveurs, installés au siège de Mountain View, en Californie. Cependant, K. R. Sridhar a estimé qu’il faudrait une décennie pour que la technologie soit suffisamment mûre pour équiper les foyers.
Une solution d’avenir ?
La Bloom box est présentée comme un générateur d’énergie 60% plus propre que les centrales électriques à charbon. Une énergie durable puisque produite directement sur le lieu de son utilisation et ne générant aucun frais de transport.
L’autre avantage majeur serait le coût de l’énergie ainsi produite. L’électricité produite par Bloom Energy coûterait 9 centimes par kilowatt/heure, contre 14 ou 15 centimes facturés par les fournisseurs d’électricité classiques, aux États-Unis.
Les entreprises qui ont d’ores et déjà testé la Bloom box confirment cette tendance à l’économie. Selon Google, Fedex et Wal-Mart, la box leur aurait fait économiser plus d’une centaine de milliers de dollars sur leurs factures d’électricité. Une économie qui viendrait avantageusement compenser le coup de revient des serveurs testés par ces entreprises, qui coûtent entre 700 000 et 800 000 dollars (soit 500 000 à 600 000 euros).
Si les experts sont pour le moment plus mesurés et ne sont pas convaincus que le coût de l’énergie produite par la Bloom box soit effectivement moindre, ils admettent cependant que la technologie a un potentiel intéressant. Ils s’accordent également sur le fait que l’électricité ainsi produite est plus écologique et va dans le sens du développement durable, qui est à l’heure actuelle une priorité.
En revanche, de l’avis du rédacteur en chef de GreenTech Media, Michael Kanellos, il faudra très certainement attendre plus qu’une décennie pour voir un tel système alimenter les maisons en électricité. http://www.sudouest.com article de 20minutes assez sympa aussi
L’article de futura science est un peu mieux
Elle a été choisie par eBay, Fedex et Google. L’entreprise qui l’a créée, Bloom Energy, vient d’en montrer un modèle réduit, plus petit qu’un carton à chaussures. Alimentée avec du méthane ou un carburant quelconque, elle pourrait fournir l’électricité d’une maison. Mais dans une dizaine d’années seulement et, d’ailleurs, personne ne sait vraiment comment elle fonctionne. Réponse ce soir !
Le reportage du magazine 60 Minutes de CBS fait un tabac sur le Web et, depuis, le buzz s’amplifie. On y voit K. R. Sridhar présenter à la journaliste sa désormais célèbre Bloom Box, un cube noir d’une quinzaine de centimètres de côté. L’homme est le patron de Bloom Energy, une entreprise de la Silicon Valley qui existe depuis huit ans mais se paie le luxe de ne révéler à peu près rien de ses activités. Son site Web se réduit à une page et, jusqu’à aujourd’hui (24 février), montre un compte à rebours se terminant ce soir, à peu près à 19 h, en heure française.
La Bloom Box est une pile à combustible. Si on suit les explications de K. R. Sridhar données au magazine de CBS, l’élément de base est une plaque de céramique (« faite à partir de sable »), de quelques millimètres d’épaisseur, recouverte sur les deux faces par une couche d’un enduit coloré, vert d’un côté et noire de l’autre, dont la composition est secrète.
Un empilement de ces éléments forme l’unité de base d’une Bloom Box. Alimentée par un carburant quelconque capable de fournir de l’hydrogène sur l’une des faces de chaque plaque (côté vert) et par de l’oxygène (côté noir), elle produit de l’électricité et de l’eau. Il s’agit donc d’une pile à combustible, plus précisément à électrolyte solide (SOFC, solid oxide fuel cell). Par rapport aux piles déjà existantes, la fabrication serait peu coûteuse, le rendement excellent et la production fiable dans le temps.
Un mystère entretenu
Les chiffres manquent cruellement pour se faire une idée des performances et donc de l’intérêt de l’engin. K. R. Sridhar affirme qu’une plaque à trois couches produit « suffisamment d’électricité pour alimenter une ampoule électrique » et que l’unité de base d’une Bloom Box (le cube noir) contenant 64 plaques serait capable de fournir l’énergie à un bar-restaurant (un « coffe shop »).
Intox ou innovation ? K. R. Sridhar n’est pas un inconnu ni un inventeur farfelu. Son projet s’appuie sur une étude qu’il a lui-même conduite pour la Nasa pour mettre au point un appareil capable de produire de l’oxygène aux astronautes d’une mission longue et de l’hydrogène destiné à leurs véhicules d’exploration, par exemple sur Mars. Après l’abandon de ce programme, Sridhar a compris que son système pouvait fort bien fonctionner dans l’autre sens pour devenir une pile à combustible.
La jeune entreprise a su convaincre plusieurs investisseurs, qui ont injecté 400 millions de dollars. L’un d’eux, John Doerr, du cabinet de capital risque Kleiner Perkins, est célèbre pour avoir aider à la création d’Amazon, de Google et de Netscape. La Bloom Box existe déjà, en grand modèle, et peut s’obtenir moyennant 700.000 à 800.000 dollars (520.000 à 600.000 euros environ). L’engin est volumineux et l’intérieur doit être chauffé à mille degrés. Rien n’est dit sur le coût final de l’électricité obtenu. Mais Google et eBay s’en sont déjà équipés. Le second affirme que ses cinq installations, connectées il y a neuf mois, lui ont déjà fait économiser 100.000 dollars d’électricité.
K. R. Sridhar le promet : dans cinq à dix ans, une petite Bloom Box ne coûtera que 3.000 dollars (environ 2.200 euros). Une fois branchée à l’alimentation de la maison, adieu les factures EDF… Il ne reste plus qu’à voir vraiment la machine à l’œuvre et à en consulter les spécifications techniques complètes. http://www.futura-sciences.com
Bon, honnetement c’est stupéfiant, un objet plus petit qu’une console X box produit assez d’énergie pour une maison ! Ce qui sidérant c’est que le projet soit aussi avancé, de grosses sociétés l’utilisent déja et cela fonctionne.
De tels systèmes sont géniaux dans la mesure ou les gens seront déconnectés du réseau, les poussant à une autonomie de fait.
Le problème réside justement ici, nous savons tous que ce genre d’invention n’est pas du gout de l’élite, l’accès à l’énergie est le nerf de la guerre, souvenez vous que le banquier Morgan Stanley avait stoppé le financement des travaux de Tesla, arguant que l’on ne pouvait pas mettre de compteur !!!
Je suis malheureusement perplexe quant à l’avenir de cette invention,, cela fait 150 ans que tous ces systèmes d’énergie libre sont systématiquement écartés, en effet si chaque foyer peut produire son énergie hors du réseau, les guerre pour le pétrole et le gaz n’auraient plus de raison d’être, plus besoin de centrales nucléaires polluantes et dangereuses, plus besoin de construire des barrages qui défigurent la nature détruisant l’équilibre biologique d’un cour d’eau.
Bref, ce serait révolutionnaire, le peuple serait libre, l’accès à l’énergie ne serait plus un problème, l’oppression des élites ne pourrait plus s’exercer…
2000 euros pour être indépendant, c’est génial, nos élites avides de pouvoir accepteront elles de perdre l’ultime outils de controle.
La négation de l’Holocauste est désormais illégale et passible de trois ans de prison en Hongrie, après le vote lundi d’un amendement au Parlement modifiant le Code pénal.
La motion, présentée par les socialistes au pouvoir, a été adopté par 197 voix pour, 1 contre et 144 abstentions.
La loi punit la négation publique de l’Holocauste, ou sa présentation comme un événement sans importance. Jusque là, une conception large de la liberté d’expression ne faisait pas tomber de telles déclarations sous le coup de la loi.
Les socialistes avaient invité des survivants de l’Holocauste à cette session du parlement, la dernière avant les élections législatives du mois d’avril.
Le plus grand parti de l’opposition de droite, le Fidesz — qui formera selon tous les sondages le prochain gouvernement — avait voulu faire adopter un amendement pour punir d’une façon identique la négation des crimes commis par les dictatures communistes, mais les députés ont rejetés cette proposition.
Près de 600.000 Hongrois d’origine juive sont morts durant l’Holocauste.
Le pays abrite encore l’une des plus grande communauté juive d’Europe, comprenant entre 60.000 et 100.000 personnes. http://fr.ejpress.org/article/36303
Une nation de plus qui passe sous la coupe du terrorisme intellectuel des extrémistes juifs pleurnicheurs, le crime de la pensée ultime, celui qui mène en prison, nier la shoah.
Encore une fois ce sont des socialistes qui sont responsables d’une telle loi, ce n’est pas étonnant, criminaliser la pensée a toujours été leur fort, et ils ont été pris en flagrant délit de deux poids deux mesures puisqu’ils ont refusé de punir la négation des crimes communistes, autrement plus meurtrier que la shoah, puisque les régimes communistes ont tué près de 100 millions de personnes.
Le volume des échanges commerciaux dans le monde a enregistré l’an dernier un recul de 12% en raison de la crise, un chiffre sans précédent depuis 1945, a annoncé mercredi le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) Pascal Lamy.
« Le commerce mondial s’est contracté de 12% en 2009, son repli le plus fort depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale », a-t-il déclaré lors d’une conférence organisée par un centre de réflexion européen à Bruxelles, le European Policy Center.
Cette baisse de 12% est aussi supérieure aux plus récentes prévisions de l’OMC, qui tablait encore début décembre sur un repli de 10%.
La contraction sans précédent des échanges mondiaux est une conséquence de la récession économique qu’ont connue les grands pays industriels l’an dernier, suite à la crise financière.
Cette situation rend aux yeux de M. Lamy d’autant plus impératif de relancer les négociations dites du cycle de Doha sur la libéralisation des échanges mondiaux et de les boucler d’ici la fin de l’année.
Il est « économiquement impératif de les conclure » cette année, a-t-il dit.
Les négociations sont au point mort depuis des mois en raison notamment de l’absence notoire d’implication des Etats-Unis.
Ce cycle de négociations a débuté en 2001 et a mis l’accent sur le démantèlement des obstacles au commerce pour les pays pauvres. Mais les échéances fixées pour conclure les pourparlers ont été manquées à plusieurs reprises le parisien
Quand je repense à septembre et octobre 2008, je me dis que nous somme vraiment passés à coté d’un Krach complet, d’une faillite totale du système bancaire, que l’économie mondiale se contracte de 12 % l’année d’après démontre bien la violence du choc.
-12% LOL
Depuis 1980, l’industrie française a détruit près de 2 millions d’emplois. Un document de Bercy estime que, entre 2000 et 2007, 63 % de ces destructions sont le fait de la concurrence internationale. Une étude que le ministère de l’Economie assume mal.
quelques jours de la présentation de son projet de « nouvelle politique industrielle », Nicolas Sarkozy a sans doute eu vent du document de travail publié par la très sérieuse Direction générale du Trésor et de la politique économique (DGTPE). Si le Président, qui se rêve comme le meilleur opposant à la « France sans usine », avait encore des doutes sur l’ampleur de la tâche qui l’attend, les résultats de cette étude ont dû définitivement les dissiper. En 1980, l’industrie au sens large avec ses services attachés, comme l’intérim, employait 6 millions de personnes. 27 ans plus tard, elles n’étaient plus que 4,6 millions. Et à peine 4,1 millions, selon nos calculs à la fin de l’année 2009. 2 millions d’emplois détruits purement et simplement. La faute en revient à la désindustrialisation en marche dans le pays depuis le double choc pétrolier des années 80 et la politique de désinflation de la décennie suivante. Ce phénomène s’est accéléré une première fois depuis 2000, avec la montée des délocalisations dans les pays émergents comme l’analyse l’étude et une seconde depuis la crise de 2007.
MONTÉE DE LA CHINE
« Sur la période 2000-2007, 63 % des destructions d’emplois, soit 282 000 postes temps pleins s’expliquent par la seule concurrence étrangère, contre moins de 45 % sur l’ensemble de la période d’étude », précise Lilas Demmou, l’auteur de l’étude, interrogée par Marianne2. En gros, le rythme des destructions est deux fois plus intense entre 2000 et 2007, un peu moins de 70 000 par an, qu’entre 1980-2000…Et l’économiste de préciser dans son étude: « 104 000, soit 23 % des destructions observées seraient imputables à la concurrence des pays émergents. » Traduction: 2 emplois détruits sur 5 le sont à cause de la Chine et des autres pays dits émergents. Pour le reste, il convient de regarder en direction des pays développés comme l’Allemagne qui a poursuivi, durant les 5 dernières années, une politique de compétitivité pénalisante pour ses concurrents — dont la France.
Mais le mouvement de transfert de la production industrielle dans les pays émergents ne fait que s’amplifier. Depuis juin 2007, on est passé de 70 000 destructions d’emplois annuelles à 120 000. Christian Estrosi, ministre de l’Industrie et auto-proclamé ministre des ouvriers, a beau faire le pompier. Ses interventions ici et là sur les projets de fermetures de sites des grands noms de l’industrie arrivent toujours trop tard. De la raffinerie de Total à Dunkerque au site de production d’écrans plats de Philips à Dreux, les plans des multinationales sont déjà depuis longtemps sur les rails.
En 30 ans, ces firmes ont muté. Elles ne daignent conserver un outil de production dans les pays développés qu’aux termes d’une analyse de coûts sophistiqués. Elles n’acceptent désormais de produire en France que sur la base de rendements hyper-importants, et par conséquence très peu gourmands en emplois. Regardons dans le détail l’analyse de la DGTPE: pour un milliard d’euros de production industrielle, l’industrie employait 18 500 personnes en 1980, elle n’en emploie plus que 3 900 aujourd’hui. Soit un rapport de 1 à 4,5, deux fois plus vite que les salaires et le PIB !!! Pour cet effort de productivité les salariés n’ont donc perçu qu’une infime partie de cette richesse. Ils ont surtout du assumer la précarisation de leur emploi ou, pire, son transfert dans d’autres pays.
Alors où est passé l’essentiel de ce gain de productivité engendré par cette formidable redistribution des cartes ? Une étude de la banque Natixis lève une partie du voile : 56 % des exportations de la Chine, le nouvel «atelier du monde», sont à créditer aux comptes des multinationales. Ainsi, l’organisation de la globalisation, depuis les choix des pays de production, jusqu’aux lieux de consommation, en passant par les filiales off shore où sont logés l’essentiel des profits, est-elle pensée pour leur plus grand avantage, et in fine, celui de leurs actionnaires.
Dans son étude la DGTPE le dit à mot couvert. Les Echos, le quotidien économique de référence, n’ont voulu retenir qu’une conclusion tronquée en forme de plaidoyer pro-domo de la globalisation: « la concurrence en provenance des pays à bas salaires n’explique donc qu’une part limitée de la détérioration de l’emploi industriel » ! Pourtant Lilas Demmou, l’auteur de l’étude, conclut, elle, très différemment dans un langage cependant très pudique : « il apparaît (…) une accélération des destructions d’emplois imputables à la concurrence étrangère dans la dernière décennie. » Plus clair, dans la novlangue de Bercy, tu meurs. marianne
Voila ce qui arrive quand on supprime les frontières et les taxes douanières, voila ce qui arrive quand on met en concurence des européens avec le reste du monde, je me demande encore comment nos politiques ont pu nous vendre ce projet merdique appelé Union Européenne sans que les gens comprennent la finalité du projet.
La mondialisation est le projet des élites et des multinationales, ce sont les seuls à en avoir profiter, il suffit de constater l\'augmentation phénoménale
du patrimoine des 1% les plus riches ces 15 dernières années.
Le truc c’est que les gens qui ont mis en place ce système ne sont pas stupides, ils savaient pertinement que les conséquences seraient catastrophiques pour les occidentaux, que les populations s’appauvriraient inexorablement et qu’à terme le leadersphip économique et politique basculerait vers l’Asie.
Une quarantaine d’officiers turcs de haut rang ont été interrogés mardi par la justice sur leur implication présumée dans un complot visant à renverser le gouvernement islamo-conservateur. L’état-major des armées a réagi mardi aux arrestations en indiquant dans un communiqué avoir convoqué une réunion extraordinaire de tous les généraux et amiraux des forces armées pour évaluer l’affaire. Il a qualifié la situation « sérieuse ».
Dix-sept généraux à la retraite et quatre amiraux en activité figurent parmi les 49 militaires interpellés lundi en Turquie et conduits à Istanbul pour interrogatoires, une offensive judiciaire d’une ampleur inédite dans les milieux militaires, autrefois intouchables. L’ex-chef de l’armée de l’air, le général Ibrahim Firtina, et l’amiral Özden Örnek, ex-commandant de la marine, ont notamment été arrêtés. Ces deux hommes devraient être entendus mercredi par des procureurs, selon les médias.
Les suspects, dont au moins dix ont été interrogés par des procureurs mardi, sont accusés d’avoir cherché à créer le chaos en faisant exploser des bombes dans des mosquées pour déclencher une prise de contrôle par les militaires dans le cadre d’une opération baptisée Balyoz (masse de forgeron). Le plan Balyoz, fomenté en 2003, avait été révélé en janvier par un journal libéral. L’état-major avait alors rejeté les accusations de volonté de putsch et dénoncé une campagne de dénigrement, mais avait néanmoins reconnu une existence à ce plan, évoquant un « scénario » de wargame préparé en 2003.
La Commission européenne s’est déclarée « très préoccupée » par ces « sérieuses accusations » de complot militaire en Turquie et a réclamé que l’enquête à l’encontre des officiers turcs soit « exemplaire », a indiqué une porte-parole.
À l’issue de leur interrogatoire, l’ensemble des suspects devraient comparaître devant un tribunal d’Istanbul chargé d’examiner toutes les allégations de complot en vue d’un coup d’État. Les militaires sont soupçonnés de « tentative de renverser le gouvernement par la force » et d' »appartenance à une organisation illégale » à cette fin, écrit la presse.
Arrestation de personnalités connues pour leur opposition au gouvernement
L’arrestation des militaires, dans un pays où l’armée se considère comme la garante du régime laïque, a attisé les tensions entre partisans du gouvernement du Parti de la Justice et du développement (AKP, issu de la mouvance islamiste) et l’opposition. Le chef de l’opposition laïque, Deniz Baykal, a vu dans cette dernière opération une volonté du gouvernement de prendre une « revanche politique » sur l’armée.
Le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan s’est refusé à tout commentaire. Il a déclaré lundi que le gouvernement se préparait à réviser le système judiciaire et la Constitution hérités d’un putsch militaire intervenu en 1980. L’armée turque, qui a démis quatre gouvernements depuis 1960, a vu ses prérogatives diminuer après des réformes du gouvernement AKP (au pouvoir depuis 2002) visant à aligner le pays sur les normes européennes. L’armée a vu son image ternie à la suite d’enquêtes sur des conspirations présumées contre le gouvernement.
Des officiers, mais aussi des universitaires et des journalistes, figurent parmi les 200 prévenus d’une procédure judiciaire controversée engagée en 2007 contre un réseau, Ergenekon, qui aurait cherché à renverser le gouvernement. La procédure, saluée à ses débuts comme une avancée démocratique, a perdu de sa crédibilité quand les arrestations se sont étendues à des personnalités connues pour leur seule opposition au gouvernement, accusé de vouloir islamiser la Turquie. La plupart des cadres de l’AKP étaient membres d’un parti pro-islamiste interdit par la justice en 2008 après avoir été chassé du pouvoir par l’armée l’année précédente.
Tiens, tiens, il faudrait montrer cela aux tarés qui s’insurgent quand on leurs dit que le 11/09 est un false flag,
» n’importe quoi , comme si les américains pouvaient tuer leurs propres concitoyens » qu’ils disent, et pourtant…
Ces généraux voulaient commettre des attentats dans des mosquées et tuer les fidèles, ça me rappelle quelque chose….
Autant de hauts gradés interpellés et déja 8 inculpés de complot et tentative de coup d’état, rien que ça.
Même si il parait évident que l’AKP se venge de l’armée, je ne pense pas que ces accusations soient inventées.
Il y avait déja eu Ergenekon , et l’armée remet ça.
La situation peut vite dégénerer, l’armée est une institution très importante en Turquie, elle est présente dans de nombreux secteurs économiques et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle ne porte pas l’AKP dans son coeur.
La fin du Califat a été une catastrophe, et c’est l’armée, infiltrée par les loges maçonniques au début du siècle dernier qui sont responsables, cela a été un coup de maitre, le dépecage de l’empire pouvait commencer.
Nous verrons bien, la Turquie est une pièce importante dans la partie de poker menteur qui se joue au moyen orient, ça ne m’étonne guère que cette affaire tombe maintenant, la tension monte…
]…[
Soyons lucides, la situation géopolitique au Proche-Orient n’a pas été sans conséquence sur les tensions au sein de notre société.
– Je pense aux tensions qui ont accompagné l’opération « Plomb durci ».
– Vous évoquez aussi les menaces que fait peser le régime iranien sur la paix mondiale. C’est une préoccupation pour chacun. C’est une crainte plus grave encore pour Israël.
Je rappellerai, comme l’a fait le Premier Ministre François Fillon, l’attachement de la France à la sécurité d’Israël et à la reconnaissance de sa légitimité.
La France n’acceptera pas que l’Iran se dote de l’arme nucléaire.
Les tensions internationales peuvent être le prétexte d’actes et de comportements antisémites. Elles ne les justifieront jamais.
Je vous le dis avec la plus grande solennité : la Justice réagira sans faiblesse contre tout acte de nature antisémite.
La sanction de tout acte antisémite est l’une des exigences de ma politique pénale.
Aucun acte antisémite ne restera sans réponse.
La circulaire de politique pénale envoyée en novembre dernier à tous les procureurs généraux est sans ambiguïté.
Je demande que tout auteur d’actes antisémites soit poursuivi et fasse l’objet de réponses pénales systématiques et adaptées.
Aujourd’hui, le taux de réponse pénale s’élève à plus de 85%.
Je veux aller plus loin.
Aller plus loin, c’est d’abord améliorer la prévention.
– En amont, il faut renforcer le dialogue entre l’institution judiciaire et la communauté juive.
J’ai demandé aux procureurs généraux et aux procureurs de la République de mieux communiquer au plan local, avec les institutions représentatives de la communauté juive.
Je souhaite que l’intervention de la justice, la nature des réponses pénales et la fermeté de la répression fassent l’objet d’un dialogue constructif.
Les procureurs vous tiendront informés des actions menées.
Les instances représentatives pourront faire remonter leurs préoccupations et leur analyse des situations locales.
En aval, je souhaite que les procès puissent jouer un rôle pédagogique.
Le procès FOFANA a montré que les règles de publicité devant la cour d’assises des mineurs devaient êtes assouplies.
Je sais que le CRIF s’est beaucoup engagé sur ce point.
La proposition de loi adaptant les règles de publicité devant la cour d’assises des mineurs a été adoptée cette semaine. Elle viendra prochainement devant le Sénat.
Je veux cibler l’action de la justice sur la lutte contre les discriminations.
Je n’accepte pas que des personnes, responsables associatifs, politiques ou simples citoyens, appellent au boycott de produits au motif qu’ils sont kasher ou qu’ils proviennent d’Israël.
Je souhaite que le parquet fasse preuve de davantage de sévérité à ce sujet.
J’ai donc adressé une circulaire aux parquets généraux, leur demandant d’identifier et de signaler tous les actes de provocation à la discrimination.
J’entends que tous les auteurs d’actes soient poursuivis dès qu’ils auront été identifiés et notamment quand les appels auront été faits sur Internet.
A cet égard, je salue la détermination du parquet dans l’affaire de l’individu qui avait appelé au boycott de produits israéliens par voie d’affichettes dans un centre commercial de Mérignac.
Ses réquisitions ont été suivies dans la condamnation prononcée par le tribunal correctionnel de Bordeaux le 10 février dernier.
L’action du parquet de Bordeaux illustre ma détermination dans la lutte contre l’antisémitisme.
Mesdames et Messieurs,
Tout sera fait pour que les Juifs de France se sentent en sécurité dans leur pays.
Tout sera fait pour que la communauté juive puisse se retrouver autour de ses traditions et de ses rites, au sein de la communauté nationale.
]…[ suite article du Crif
Incroyable discours de cette abrutie de MAM, elle confirme que la France est la pute d’Israél, pour qui elle se prend pour dire que l’Iran n’a pas le droit à l’arme atomique ?
Le plus délirant étant sa prise de position sur le boycott des produits israéliens, cette conne fait la police pour ces juifs extrémistes, c’est dingue, je vous rappelle que le boycott est un choix personnel et non violent, vouloir interdire le boycott des produit israélien est totalement illégal, en filigrane cela revient à CRIMINALISER L’ANTISIONISME, c’est ahurissant.
J’en ai marre de voir mes dirigeants se coucher devant ces malades de juifs extrémistes, c’est dramatique pour la France.
Here’s a war game involving Iran, Israel and the U.S. that shows how unintended consequences can spin out of control:
With diplomacy failing and precious intelligence just received about two new secret Iranian nuclear facilities, Israel launches a pre-emptive strike against Tehran’s nuclear complex. The strike is successful, wiping out six of Iran’s key sites and setting back its suspected quest for a bomb by years.
But what happens next isn’t pretty.
The U.S. president and his National Security Council try to keep the crisis from escalating. That sours U.S.-Israeli relations, already stressed by the fact that Israel didn’t inform Washington in advance of the strike. The White House tries to open a channel for talks with Iran, but is rejected.
Instead, Iran attacks Israel, both directly and through its proxies in Lebanon and the Gaza Strip. It misinterprets U.S. actions as weakness and mines the Straits of Hormuz, the world’s chief oil artery. That sparks a clash and a massive U.S. military reinforcement in the Persian Gulf.
This recent war game conducted at the Saban Center for Middle East Policy, part of the Washington-based Brookings Institution, a center-left think tank, appears to dampen hopes for a simple solution to Iran’s real-world nuclear challenge.
The lesson is « once you start this, it’s really hard to stop it, » said Kenneth Pollack, a former White House and CIA official who oversaw the simulation.
Pollack and others who participated in the day-long exercise late last year are quick to point out that war games are imperfect mirrors of reality. How Iran’s notoriously opaque and fractious leadership would react in a real crisis is particularly hard to divine.
But the outcome underscores what diplomats, military officers and analysts have long said: even a « successful » airstrike on Iran’s nuclear facilities — setting the program back by two to four years — could come at a tremendous, unpredictable cost.
« It’s … an option that has to be looked at very, very, very carefully, » a senior European diplomat said Friday. « Because we know what the results could be, and they could be disastrous. » He requested anonymity to speak more frankly on the sensitive issue.
Tensions over Iran’s nuclear program rose again this week after the U.N.’s nuclear watchdog reported that the country could be secretly developing a nuclear warhead to be placed atop a ballistic missile. Additionally, Iran has begun enriching uranium closer to the purity level needed for use in a nuclear weapon.
Israel, which sees Iran as a direct threat, has refused to rule out military force, although officials there say they are counting for now on diplomatic pressure. There have even been hints from Sunni Arab states, particularly Saudi Arabia, that they would look the other way in the event of a strike on Shiite Iran, a historic adversary.
Yet one of the Brookings war game’s major conclusions is that Israel could pay dearly for an attack on Iran.
By the end of the simulation, eight days after the fictitious Israeli strike, Israel’s prime minister, under heavy domestic pressure, is forced to launch a 48-hour air blitz in southern Lebanon to halt rocket attacks from Hezbollah, the militant group sponsored by Iran. Israeli officials know the blitz is unlikely to achieve its objectives, and prepare a larger, costlier operation in Lebanon, including ground forces.
Israel’s relations with the United States, its most important ally, are damaged. To avoid damaging them further, Israel bows to intense U.S. pressure and absorbs occasional missile strikes from Iran without retaliating.
Some members of the « Israeli » team nonetheless felt that setting back Iran’s nuclear program « was worth it, even given what was a pretty robust response, » said one participant. He asked that his name not be used, because under the game’s ground rules, participants are supposed to remain anonymous.
Jonathan Peled, an Israeli embassy spokesman, declined comment on the war game or its outcome.
« All we can say is that Iran constitutes a threat not only to Israel but to the region, to the US and to the world at large, and therefore should be addressed without delay by the international community, first and foremost through effective sanctions, » he said.
The Brookings war game was one of three simulations regarding Iran’s nuclear program conducted in December. The other two, at Harvard University and Tel Aviv University, reportedly found that neither sanctions nor threats dissuaded Tehran from its suspected nuclear weapons ambitions.
In the Brookings game, three teams of experts, including former senior U.S. officials, played the Israeli, Iranian and American leadership. They assembled in separate rooms at the think tank’s Washington headquarters. Israeli and U.S. « officials » communicated with each other, but not with the Iranians.
One of the simulation’s major findings was how aggressively the Iranians responded to the attack — more aggressively, some participants felt, than they would in real life — and how Washington and Tehran, lacking direct communication, misunderstood each other.
Iran did not retaliate directly against the United States or U.S. troops in Iraq or Afghanistan. But it struck back at Israel, then attacked Dharan in eastern Saudi Arabia, then began mining the Straits of Hormuz.
« There would be almost no incentive for Iran not to respond » with force, said another participant, a member of the Iranian team. « It was interesting to see how useful it was for Tehran to push the limits. »
Without knowing it, Iran’s last two actions crossed U.S. « red lines, » prompting an American military response.
« No one came out on top — (but) arguably the Iranians, » the Iran team member said.
The Tehran regime was also able to crush its domestic political opposition. source traduction google
Je comprends mieux le comportement des dirigeants iraniens : » venez nous attaquez qu’ils disent » ! LOL
Les iraniens savent que même si ils subissent des destructions importantes, Israél et l’occident payeront le prix fort, une sorte de dissuasion non nucléaire est installée, l’Iran n’est pas l’Irak, ses moyens de rétorsions sont importants et multiples.
Couler la 6ieme flotte dans le golfe persique, bloquer Ormuz, ses missiles, le Hezbollah et le Hamas, sont ses armes les plus connues, il y aura aussi des attentats, souvenez du contentieux d’eurodif qui c’est soldé par des attentats à Paris.
Enfin bref, ce n’est pas pour rien qu’Israél et les USA hésitent autant avant de les bombarder, il y a également une question de calendrier, il faut faire coïncider les créations de chaos, lorsque l’économie deviendra ingérable l’attaque tombera à point.
Le Fonds monétaire international (FMI) a déclaré lundi avoir envoyé, à la demande de la commission de l’Union européenne (UE), un émissaire à Athènes pour aider la Grèce à gérer la crise budgétaire.
« A la demande de la commission de l’UE et à l’invitation des autorités grecques, un membre du personne du Fonds est à Athènes cette semaine pour fournir de l’assistance à une équipe de la commission de l’UE », a indiqué le FMI dans un communiqué, sans donner plus de précisions.
Plus tôt dans la journée, la commission de l’UE a démenti tout plan prévoyant une aide financière de 20 milliards d’euros (27,3 milliards de dollars) à la Grèce.
Selon l’hebdomadaire allemand Der Spiegel, l’Allemagne cherche à rallier d’autres membres de la zone euro pour fournir à la Grèce, lourdemment endettée, une aide financière de l’ordre de 20 à 25 milliards d’euros. source
et
Selon l’hebdomadaire allemand Der Spiegel, les aides de la zone euro en faveur de la Grèce pourraient atteindre « entre 20 et 25 milliards d’euros » d’après les « premières réflexions du ministère allemand des Finances ». Berlin dément. Athènes va bientôt envoyer une lettre à la Commission européenne, pour se justifier sur les montages financiers qui lui ont permis de « maquiller » l’état de ses comptes publics aux yeux de l’Union européenne.
Selon l’hebdomadaire allemand Der Spiegel, les aides de la zone euro en faveur de la Grèce pourraient atteindre « entre 20 et 25 milliards d’euros » d’après les « premières réflexions du ministère allemand des Finances ». La part de financement de chaque pays se calculerait en fonction de la part qu’il détient dans le capital de la banque centrale européenne (BCE).
L’Allemagne devrait ainsi contribuer à hauteur de presque 20% de ces aides composées en partie de crédits et de garanties, soit l’équivalent « de quatre à cinq milliards d’euros » souligne Der Spiegel. Berlin a démenti ces informations. la tribune
N’importe quoi, on continu à empiler des dettes sur des dettes, les contribuables allemands vont mal le prendre, l’Allemagne ne pourra pas venir en aide à toute l’Europe, à moins que le but ultime soit la faillite de l’Allemagne, faillite qui signerait la fin définitive de l’Europe.
Le FMI n’est pas une solution non plus, on sait tous ce qui arrive à ceux qui appellent le FMI à la rescousse, la situation est inextriquable.
Les Grecs devraient sortir de l’Europe, récuperer les bénéfices de leur marine marchande (spolié par l’europe), quitter l’euro et et négocier la transformation de la dette en monnaie nationale.
C’est possible, quand un état souverain veut quelque chose, il le fait.
L’Union Européenne est la pire des chose qui soit arrivée à l’Europe, des nations qui ont mis des siècles à se constituer, qui se sont battues jusqu’à la mort pour cette souveraineté ont abandonné leur indépendance contre rien de concret, juste du vent et des méga problèmes….
Even as the American economy shows tentative signs of a rebound, the human toll of the recession continues to mount, with millions of Americans remaining out of work, out of savings and nearing the end of their unemployment benefits.
Economists fear that the nascent recovery will leave more people behind than in past recessions, failing to create jobs in sufficient numbers to absorb the record-setting ranks of the long-term unemployed.
Call them the new poor : people long accustomed to the comforts of middle-class life who are now relying on public assistance for the first time in their lives – potentially for years to come.
Yet the social safety net is already showing severe strains. Roughly 2.7 million jobless people will lose their unemployment check before the end of April unless Congress approves the Obama administration’s proposal to extend the payments, according to the Labor Department. suite article du NYT, via contre info
Cela fait des mois que je vous le dis, les chomeurs ne retrouveront pas d’emplois, ce n’est pas une recession, ni même une dépression, c’est la fin de l’occident tout simplement.
1492-2012, cinq siècles de domination occidentale se termine, et comme dans toute fin d’hégémonie, nous courons à la catastrophe globale.
Révisez vos classique, fin de l’emprire Romain, chute des dynasties chinoises, destruction de l’empire Ottoman, sauf que cette fois, l’effondrement ne sera pas limité à une zone géographique donnée, c’est l’ensemble du système mondial qui va sombrer.
Nous vivons des moments Historiques, même si c’est exaltant (façon de parler!) des centaines de millions d’habitants vont souffrir comme jamais, et cette fois les occidentaux seront également touchés, nous ne verrons pas la Fin à la télé par écran interposés, il vous suffira de regardez par la fenètre de chez vous….
« Une délégation israélienne de haut niveau quittera Israël à la fin du mois pour Beijing pour des discussions politiques, économiques et sécuritaires avec d’importants responsables chinois. La question centrale des discussions sera le programme nucléaire iranien et la demande israélienne de sanctions contre Téhéran.
La délégation, dirigée par le ministre des affaires stratégiques Moshe Yaalon, et le gouverneur de la Banque Centrale d’Israël Stanley Fischer, a été décidée par le premier ministre Benyamin Netanyahou alors que les discussions s’intensifient entre les six puissances sur la possibilité de nouvelles sanctions contre l’Iran. La Chine est considérée comme l’adversaire le plus ferme à des sanctions, suivie par la Russie. Fischer et Yaalon seront accompagnés par des représentants du ministère des affaires étrangères et de la défense. La délégation rencontrera des responsables du ministère des affaires étrangères chinois et du ministère du trésor.
Les délégués mettront l’accent auprès de leurs homologues sur l’importance d’arrêter les efforts iranien d’acquérir des armes nucléaires, en vue d’éviter une déstabilisation du Proche Orient et une course aux armes nucléaires à travers la région. La délégation discutera aussi des possibilités d’accroître la coopération économique entre Israël et la Chine.
Le gouvernement Netanyahou a jusqu’ici quelque peu négligé la Chine dans ses efforts diplomatiques pour stopper le programme nucléaire iranien. Netanyahou et le ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman n’ont pas visité la Chine, et n’ont pas tenu de discussions significatives avec des responsables chinois sur la question iranienne, se concentrant sur les Etats-Unis, la Russie, la France, le Royaume Uni et l’Allemagne.
La Chine a d’importants intérêts économiques en Iran, une grande partie du marché énergétique chinois étant tributaire des importations de pétrole iranien. D’un autre côté, Israël a demandé à plusieurs reprises des sanctions sur le pétrole iranien et la vente de pétrole raffiné à l’Iran.
Entre temps, l’administration américaine tente de convaincre des autres états du Golfe de fournir la Chine en pétrole à des prix inférieurs à ceux demandés par l’Iran. Une offre a déjà été faite par l’Arabie Saoudite mais n’a pas encore été acceptée par les chinois.
Plus tôt ce week-end, le ministère des affaires étrangères a publié une déclaration en réponse au dernier rapport de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique, qui déclarait soupçonner l’Iran de tenter de produire des armes nucléaires. La déclaration dit : « l’Iran continue de violer systématiquement les résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies et de l’AIEA. La communauté internationale et ses institutions doivent commencer à imposer des sanctions effectives sur l’Iran aussi tôt que possible, pour lui faire comprendre le prix lourd qu’il y aurait à payer pour continuer à développer son programme nucléaire. » anti-imperialisme.com
C’est une info importante, c’est tout de même étrange que ces tarés de juifs extrémistes déplacent une délégation jusqu’en Chine pour tenter de manipuler les chinois.
En plus c’est du beau monde, j’aimerai bien être une mouche pour entendre les conversations entre les sionistes et les communistes.
Je crois me souvenir avoir lu dans un bouquin de gordon thomas que les services secrets israéliens et chinois avaient volé ensemble des secrets nucléaires américains, mais à part cela je ne connais absolument pas la nature des contacts entre la Chine et israel, j’espère que la presse chinoise ou israélienne nous relatera ces dicussions.
L’économie américaine évolue vers une société de services vivant principalement de la consommation privée financée par le crédit. Ce constat n’est pas nouveau, mais il est intéressant de le reconsidérer dans le contexte de la crise économique actuelle.
Le graphique ci-dessus montre l’évolution de l’emploi dans l’industrie depuis 1941. L’industrie américaine se plaint que beaucoup de mesures administratives poussent les industries manufacturières à se délocaliser à l’étranger : la Chine devient “l’établi” des Etats-Unis.
Cependant, en République Populaire, les salaires sont beaucoup plus bas, et le renminbi est sous-évalué. Ainsi, les Etats-Unis ne sont plus en mesure d’être concurrentiels au niveau international.
Depuis des décennies, aux Etats-Unis, l’endettement dans les secteurs non financiers, augmente plus rapidement que le PIB. En effet, la production de 1 dollar de croissance de PIB nécessite de 4 à 5 dollars de nouvelles dettes. Il n’y a donc pas l’ombre d’un espoir d’assister à un déclin de la dette. On assiste même à un rachat de la dette gouvernementale par la banque centrale qui, à cet effet, n’hésite pas à faire tourner la planche à billets.
Si on tient compte des secteurs financiers, l’endettement total se situe, depuis le milieu 2008, à plus de 350% du PIB. Pendant la Grande Dépression ce pourcentage était “seulement” de 250%. A cette époque, un processus d’ajustement douloureux avait conduit à une diminution de la dette totale de l’économie américaine à environ 100% du PIB.
Un tel ajustement, dans des proportions encore jamais atteintes, est toujours d’actualité pour l’économie américaine. Il serait totalement illusoire de penser que la dette totale pourrait encore augmenter comme elle l’a fait pendant ces 10 dernières années, autrement dit, que la courbe bleue du graphique ci-dessus puisse continuer tranquillement son ascension : ce serait la porte ouverte à l’inflation.
Conclusion : Le déclin de la compétitivité des Etats-Unis sur la scène internationale et leur endettement croissant sont deux choses incompatibles avec la fonction de monnaie de référence mondiale du dollar. moneyweek
Hahahaha, encore du graphique de dingue !
Pauvres américains, j’en connais un paquet qui vont jeter leur avion sur les impots ou qui vont détruire à coup de buldozer leur maison, jusqu’au jour ou le Président ou des banquiers malsains seront assassinés.
Pensez qu’il n’y a pas le RMI ou du chomage pendant 18 mois aux USA, en revanche il y a deja un américain sur 8 qui mange grace au bon alimentaire, les pauvres, ils vont devenir dingues, surtout en voyant les bénéfices des banques.
Espérons que les américains seront plus courageux que les européens et qu’ils n’auront pas peur de se venger de ceux qui les ont appauvri.
Cette décision c’est pour ne pas rendre l’argent aux gens de manière » légale » lorsque le système financier sombrera.
Le bank holiday est pour bientot, l’attaque contre l’Iran ou une grosse faillite seront les deux déclencheurs principaux, tout le monde le sait mais personne ne s’en fait, c’est comique.
Dites à votre famille et à vos proches de réellement sortir l’argent des banques, elles sont en faillites, c’est une certitude.
ZORRO ET LA BNP
du 22 au 24 février 2010 : Dans un titre très fort, l’économiste JP Chevalier, un cavalier dans la nuit qui vend ses analyses entre 5.000 et 10.000 euros, a titré : BNP: Pas de panique, on coule! et il explique qu’au « 31 décembre 2009, le total des dettes se montait à 1977 milliards d’euros, soit 24,6 fois le montant des capitaux propres qui s’élevaient à 80 milliards d’euros ce qui représentait 4,1% du total des dettes. Les ratios de la BNP étaient donc totalement hors normes car µ doit être inférieur à 12,5, ou, autre formulation, le ratio Tier doit être supérieur à 8% ». Notre lecteur Mr Arfeuille nous fait le résumé sur la Société Générale et la BNP, « deux gigantesques bombes à retardement ». Et on comprend pourquoi les banques veulent garder votre argent à tout prix:
– Total des dettes réelles SG : 1000 milliards d’euros.
– Capitaux propres réels SG: 23,3 milliards d’euros.
– Ratio d’endettement µ SG: 42,9. Le total des dettes représente 42,9 fois le montant des capitaux propres.
– Pourcentage SG des capitaux propres par rapport aux dettes : 2,3 %.
Vous voyez !!!! elles sont en faillites, elles ont changé les règles comptable pour repousser l’échéance
UN HOMME DETRUIT AU BULLDOZER SA MAISON SAISIE
du 22 au 24 février 2010 : Des réactions de plus en plus radicales aux US, comme cet homme qui a décidé d’exploser sa jolie maison afin que les banques et les impôts n’aient plus rien à saisir. Triste spectacle que voilà dans une tragédie qui se déroule aux US sans que les politiques ne lèvent un seul doigt. Obama a bien trahi les Américains. A ce sujet, cette semaine 4 banques rasées par la crise, la La Jolla Bank, la George Washington Savings Bank, Orland Park, IL, la The La Coste National Bank, La Coste, TX et la Marco Community Bank à Marco Island, FL.
Leçon de libéralisme : aux Etats-Unis, le gain moyen des 400 plus hauts revenus a augmenté de 36% en 2007, pour atteindre 345 millions de dollars, contre 263 en 2006. Ensemble, ces 400 ménages ont perçu 185 milliards de dollars, chiffre comparable au PIB du Chili. Depuis 1993, les revenus de cette tranche ont été multipliés par 8 en dollars courants. Et le taux d’imposition effectif est passé de 29% en 1995 à 16,6% en 2007. Les trois quarts de ces gains proviennent de plus values. — Note de bas de page sur la rémunération et l’accumulation du capital : « si un seul franc (de 1914) avait été placé à 5 % et à intérêts composés au début de l’ère chrétienne, il fournirait aujourd’hui à chaque habitant de la planète sept lingots d’or d’un volume égal à celui du globe terrestre. » – Jacques Duboin – Les Yeux Ouverts, 1955.
Le revenu des américains les plus riches a augmenté de façon phénoménale entre 1992 et 2007, alors que leur taux d’imposition chutait dans le même temps, indiquent les statistiques récemment publiées par l’administration des impôts (IRS).
Les chiffres ont été publiés sur le site Web de l’IRS en décembre 2009, sans rencontrer beaucoup d’écho, car ils n’ont été accompagnés d’aucune annonce. L’existence de ce document n’a été connue que lorsque Tax Analyst, une publication spécialisée dans le domaine fiscal, l’a découvert et a écrit à ce sujet sur son site web, tax.com, jeudi dernier. [1].
Ce rapport indique que le revenu moyen des 400 familles ayant les plus hauts revenus, exprimé en dollars de 1990, est passé de 17 à 87 millions de dollars, soit une multiplication par cinq en termes réels. Pendant ce temps, le pourcentage du revenu national total qui est allé à ces 400 familles a triplé, passant 0,52% en 1992 à 1,59% en 2007.
Les données montrent que ces familles ont vu leurs revenus augmenter de 31% uniquement entre 2006 et 2007, tandis que le revenu moyen de chaque famille atteignait 345 millions de dollars [ soit environ 945 000 dollars par jours – ndlr ].
Les sommes perçues par ce groupe ont plus que doublé par rapport à 2001, où ses membres avaient reçu en moyenne 131,1 millions de dollars. En 1993, les 400 déclarations de revenus les plus élevées étaient en moyenne de 46 millions de dollars. Ce qui signifie que, en dollars courants, les gains moyens de ce groupe ont été multipliés par huit entre 1993 et 2007.
Parallèlement, le taux d’imposition effectif sur ce groupe – c’est-à-dire le montant réellement versé aux impôts – est tombé à 16,6%, chiffre le plus bas enregistré par l’IRS depuis 1992.
Les Démocrates au Congrès ont tenté de faire porter le blâme aux réductions d’impôts décidées par l’administration Bush. Mais les chiffres de l’IRS montrent que le taux d’imposition effectif sur les 400 plus hauts revenus a de fait baissé plus rapidement durant la dernière partie des mandats de Clinton qu’à tout autre moment ultérieur.
Le taux d’imposition effectif a atteint un point culminant de près de 29% en 1995. À la fin de l’administration Clinton, ce taux était tombé à 22%. La tendance s’est poursuivie sous l’administration Bush, avec un taux d’imposition effectif tombant encore de 6 points de pourcentage entre 2001 et 2007.
L’administration Bush a réduit la taxe sur les gains en capital de 5 points de pourcentage, la faisant passer à 15 pour cent, en 2003. Mais cette politique de Bush n’a été que la continuation des lois adoptées sous l’administration Clinton, lorsque les taxes sur les plus-values ont été abaissées de 28 à 20% pour les tranches supérieures de revenu.
Les hauts revenus ont perçu un revenu total de 138 milliards de dollars en 2007. Ce chiffre est plus important que le PIB annuel de la plupart des pays du monde, et est presque aussi élevé que le PIB du Chili. Sur ce montant, ce groupe n’a acquitté que 23 milliards de dollars d’impôts.
Si les 400 plus hauts revenus avaient été imposés en 2007 au taux de 1995, ils auraient dû payer un montant supplémentaire de 18,4 milliards, suffisant pour couvrir le déficit 2010 du budget de l’Etat de Californie.
Environ les trois quarts du revenu pour les contribuables de cette tranche d’impôt proviennent de gains en capital, qui ont été taxés à 15 pour cent, alors que le revenu classique est imposé à un taux de 35% pour la tranche supérieure.
Les 400 premières familles ont payé des impôts moins élevés comparativement aux 1% des contribuables aux revenus les plus élevés. En 2005, le Congressional Budget Office a constaté que ce 1% dans son ensemble avait un taux d’imposition de 19,7%.
Les 20% des foyers situés autour de la médiane des revenus sont imposés en moyenne à 12,5%, en y incluant les prélèvements de la Sécurité sociale, qui sont négligeables pour les plus riches.
Le rapport de l’IRS sur ces 400 ménages les plus aisés a d’abord été publié régulièrement sous l’administration Clinton, mais l’administration Bush a mis fin à cette pratique, comme le rappelle sur Tax.com l’article de Cay Johnston, professeur de droit fiscal à l’Université de Syracuse. L’administration Obama a repris la publication de ces chiffres, et les données de 2006 ont été publiées il y a un an.
Johnston note également qu’« au moins trois gestionnaires de fonds spéculatifs ont reçu 3 milliards de dollars en 2007. » Il ajoute que « seuls 33 des 400 plus hauts revenus ont eu un taux d’imposition effectif de 30 à 35%, qui est le taux maximum de l’impôt fédéral. »
Les données corroborent en outre les conclusions largemment médiatisées des économistes Thomas Piketty et Emmanuel Saez, qui ont montré que les deux tiers des augmentations de revenu entre 2002 et 2007 sont allés aux 1% les plus riches ; et que les revenus perçus par cette tranche ont augmenté 10 fois plus rapidement que ceux des 90% les moins payés. Piketty et Saez ont constaté que la part des revenus perçue par la tranche du 1% supérieur était en 2007 la plus importante depuis 1928.
La publication de ces derniers chiffres survient au moment où a Maison Blanche et le Congrès appellent sans cesse à effectuer des coupes dans les programmes sociaux afin d’équilibrer le budget. Le gouvernement fédéral, nous dit-on, a été ruiné par la « débauche » de programmes sociaux et la proportion atteinte par les aides sociales.
Mais les chiffres les plus récents montrent que c’est le contraire qui est vrai. Ce sont les riches qui ont ruiné l’Etat, avec l’entier concours des deux partis qui sont tous deux favorables aux grandes entreprises.
Par Andre Damon, wsws.org traduction contre info
C’est pathétique comme le peuple s’est fait enflé, les graphiques sont surréalistes, et qu’il n’y ait plus personne qui me dise que taxer les ultra riches n’est pas la solution à tous les problèmes.
Parcequ’en plus de faire rentrer de l’argent dans les caisses de l’état, en empéchant que des fortunes colossales ne se constitituent, c’est la corruption de ces élites sur les affaires de l’état qui est diminuée.
Franchement c’est à gerber, le capitalisme spéculatif s’est imposé et a remporté la partie, les conséquences seront pires que les méfaits portant horrible du communisme.
Capitalisme et communisme mènent à la même chose, l’accaparement des richesses par une élite et l’esclavage mental fondé sur le travail.
Les réserves de la Chine en devises étrangères ont atteint le chiffre de 2 400 milliards de dollars US, ce qui, d’après des médias étrangers, représente 30,7% des réserves mondiales en devises.
Il se dit aussi que, avec la reprise de l’économie mondiale en 2009, les réserves chinoises connaîtront une augmentation significative. D’après les statistiques, les réserves de la Chine en devises étrangères comptent pour 30,7% du total mondial. Les pays du Groupe dit BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) sont au tout premier plan, avec 3 310 milliards de dollars, soit 42,3%, alors que les pays du G7 n’en détiennent que 1 240 milliards.
Il est également établi que les réserves chinoises en devises ont augmenté de plus de 23% en 2009, représentant ainsi près de deux fois le total des réserves en devises des pays du G7. En tant que membre du G7, le Japon détient à lui seul environ 1 000 milliards, ce qui le place au deuxième rang des pays détenteurs.
D’après l’enquête, sept pays d’Asie figurent parmi les dix plus gros détenteurs de devises. En ce qui concerne les Etats-Unis, avec 45,4 milliards de dollars en réserves, ils ne détiennent que 2,4 milliards de plus que le Nigeria (43 milliards de dollars). source
Les chinois se pavoisent, l’article est délirant, avec ces chiffres l’occident est humilié, c’est vraiment marrant.
En même temps, quand une nation détient 30% des réserves mondiale de devise, c’est plutot normal qu’elle l’utilise comme vecteur de puissance.
Et voila que la situation se renouvelle, l’asie reprend sa place avec la chine et l’inde en tête, logique, c’est une question de population, et d’ici 2050 les deux milliards d’africains seront également présent.
Si les occidentaux n’étaient pas profondément tarés, ils accepteraient cette nouvelle distribution des cartes, mais l’histoire a clairement montré que les occidentaux ont détruit le monde à partir de 1492, il suffit de voir qui a fait les frontières sur tous les continents, c’est nous et ça veut tout dire !!!!
Je soupçonne donc fortement qu’un plan existe pour déstabiliser ou faire la guerre au monde entier, et surtout dépeupler à grande échelle la population mondiale.
Il faudrait faire des études pour comprendre pourquoi la psyché occidentale est omnibulée par la création d’un
sur-homme naissant de massacre et de souffrance, mais j’ai ma petite idée …
Bref, l’asie possède le cash du monde entier, j’adore la fin de l’article, c’est une violente glifle aux USA
» D’après l’enquête, sept pays d’Asie figurent parmi les dix plus gros détenteurs de devises. En ce qui concerne les Etats-Unis, avec 45,4 milliards de dollars en réserves, ils ne détiennent que 2,4 milliards de plus que le Nigeria (43 milliards de dollars). » LOL
Mais on va leur voler leur argent, vous allez voir…
SUPER, C’EST EXCELLENT
Voila notre avenir, simplissité et efficacité, cela dans le respect de la nature, que demander de plus, copier cette vidéo et d’autres de la playlist, c’est important, un mythe de plus qui tombe, jardiner n’est pas difficile, tout le monde peut le faire et tendre vers l’autosuffisance.
C’est une histoire assez étonnante que relaient plusieurs médias anglo-saxons ce vendredi : une école en Pennsylvanie espionnait ses étudiants via webcam. Une plainte a été déposée. Et tout ça, à cause d’une photo qui a été jugée « inapproprié »…
L’an dernier, un district d’une banlieue de Philadelphie décidait d’équiper tous les étudiants de ses écoles d’ordinateurs portables. Fournis par l’école, les « students » ne pouvaient installer de programmes à l’utilisation commerciale, illégale ou « inappropriée ». Mais ce que les autorités n’avaient pas expliqué aux étudiants trop heureux de recevoir un ordinateur flambant neuf, c’est qu’il existait un petit programme indiscret. En cas de vol, un logiciel caché peut être activé à distance pour … photographier l’auteur du larcin. La Harriton High School a poussé le bouchon un peu plus loin…
Plainte collective
Et visiblement, l’école comptait utiliser ce logiciel pour punir les étudiants. Un certain Blake Robbins a été convoqué par l’assistant du directeur pour y être puni pour « comportement inapproprié », preuve à l’appui : une photo prise par la webcam de l’ordinateur… Ni une, ni deux, le jeune homme a porté plainte au nom de tous les étudiants qui avaient reçu un portable pour « violation de la vie privée ». Les autorités de ce district de Pensylanie « prennent le chose très au sérieux », d’après le Philadelphia Inquirer. Le journal indique également que le programme espion a été désactivé ce jeudi 18 février.
Dernière chose : on ne connaît pas le contenu de la photo prise par le portable de Blake Robbins… rtbf
Tranquille quoi, l’école vous offre un ordinateur portable et ensuite ils vous espionnent, vous écoutent et vous regardent, c’est dément.
C’est beau la technologie intrusive, hier j’ai vu » l’oeil du mal « , c’est un peu pourri, mais je trouve assez sympa l’idée d’un méga orinateur doté d’une I.A qui scanne en temps réel toute les communications et toutes les caméras de surveilance, et qui permet de faire de profils d’actions, je suis persuadé que cela existe, surement pas aussi efficace, mais assez pour être extrèmement dangereux.
Normalement, il faudrait au minimum rendre nos cartes bleues, payer le plus possible en liquide, et utiliser un moteur de recherche qui ne stocke pas toutes nos recherches, mais l’idéal serait de ne plus du tout utiliser internet, ou d’y naviguer de manière totalement anonyme, ce qui peut aussi attirer l’attention, enfin bref, nous sommes un peu cerné…
As a record amount of U.S. citizens are struggling to get by, many of the largest corporations are experiencing record-breaking profits, and CEOs are receiving record-breaking bonuses. How could this be happening, how did we get to this point ?
The Economic Elite have escalated their attack on U.S. workers over the past few years ; however, this attack began to build intensity in the 1970s. In 1970, CEOs made $25 for every $1 the average worker made. Due to technological advancements, production and profit levels exploded from 1970 – 2000. With the lion’s share of increased profits going to the CEO’s, this pay ratio dramatically rose to $90 for CEOs to $1 for the average worker.
As ridiculous as that seems, an in-depth study in 2004 on the explosion of CEO pay revealed that, including stock options and other benefits, CEO pay is more accurately $500 to $1.
Paul Buchheit, from DePaul University, revealed, « From 1980 to 2006 the richest 1% of America tripled their after-tax percentage of our nation’s total income, while the bottom 90% have seen their share drop over 20%. » Robert Freeman added, « Between 2002 and 2006, it was even worse : an astounding three-quarters of all the economy’s growth was captured by the top 1%. »
Due to this, the United States already had the highest inequality of wealth in the industrialized world prior to the financial crisis. Since the crisis, which has hit the average worker much harder than CEOs, the gap between the top one percent and the remaining 99% of the US population has grown to a record high. The economic top one percent of the population now owns over 70% of all financial assets, an all time record.
As mentioned before, just look at the first full year of the crisis when workers lost an average of 25 percent off their 401k. During the same time period, the wealth of the 400 richest Americans increased by $30 billion, bringing their total combined wealth to $1.57 trillion, which is more than the combined net worth of 50% of the US population. Just to make this point clear, 400 people have more wealth than 155 million people combined.
Meanwhile, 2009 was a record-breaking year for Wall Street bonuses, as firms issued $150 billion to their executives. 100% of these bonuses are a direct result of our tax dollars, so if we used this money to create jobs, instead of giving them to a handful of top executives, we could have paid an annual salary of $30,000 to 5 million people.
So while US workers are now working more hours and have become dramatically more productive and profitable, our pay is actually declining and all the dramatic increases in wealth are going straight into the pockets of the Economic Elite.
Bey voila l’explication définitive aux problèmes économiques d’aujourd’hui, c’est consternant, vous vous rendez compte 400 américains possèdent plus que 155 millions d’américains, je n’arrive pas à comprendre que personne ne s’en prennent à ces 400 pilleurs esclavagistes.
C’est pire que de la servitude volontaire, c’est du masochisme, les concepts d’indignation, de courage, de justice ont totalement disparu, c’est vraiment incroyable, la passivité est le maitre mot de notre civilisation.
Plus dure sera l’explosion, même si parfois je doute, en effet j’ai comme l’impression que le niveau de sophistication du controle mental est si élaboré que la prise de conscience et l’action qui en découle soit rendu impossible, nous verrons bien.
Techniquement les 1% les plus riches qui détiennent la grande majorité des richesses sont responsables de la pauvreté, c’est normal qu’il ne reste que des cacahuetes à la population, ce qui n’est pas normal c’est que la population ne se révolte pas contre cela.
Cette richesse a été volée, les gens travaillent comme des dingues et ils n’ont rien, c’est l’élite qui capte la création de richesse, il suffit de voir les bénéfices des grosses banques ou de certaines grosses entreprises et cela sans compter la spéculation qui créee l’argent par magie, souvenez vous des programmes de trading qui gagnent à tout les coups.
Si tout ce passe bien, et que l’établissement d’un NWO fasciste échoue, les livres d’histoires diront que nous étions les derniers des esclaves, comme je suis un optimiste qui croit en l’homme, j’aime me dire que la population est empoisonnée, que c’est pour cela qu’elle ne réagit pas.
Entre les chemtrails, le prozac ou le lithium dans l’eau et le tittytainment, les gens sont endormis, nous le voyons chaque jour qui passe…
Le ministre canadien adjoint des Affaires étrangères, Peter Kent est très clair dans ses propos: “toute attaque militaire contre Israël sera considérée comme une attaque contre le Canada”. C’est l’Iran qui va faire la tête avec ce commentaire d’amitié et de fraternité avec Israël… L’Europe (hormis l’Allemagne et l’Italie qui ont déjà fait pareil), devrait en prendre bonne note !
Cette petite phrase, saluée par la plupart des journaux canadiens, n’annonce pas clairement toute la couleur mais est tout de même importante.
Dans une interview publiée le 12 février dans Shalom Life – à propos de la menace iranienne – Kent a déclaré: «Le Premier ministre Harper le dit très clairement depuis quelque temps et le répète régulièrement. Ce n’est un secret pour personne mais il faut que tout le monde soit bien avertit. Toute attaque contre Israël serait considéré comme une attaque sur le Canada.”
Cette formulation – qui va au-delà des précédents commentaires de Stephen Harper envers Israël – évoque également l’article 5 du traité de l’OTAN qui dit qu’”une attaque armée contre l’une ou plusieurs [parties] des signataires serait considérée comme une attaque contre tous les signataires.”
Dans une interview parue dans le quotidien The Globe and Mail, Kent a quand même refusé de dire si cela signifie que le Canada est prêt à adhérer à une guerre contre un pays qui a attaqué Israël.
Dans le même temps, Kent a voulu être encore plus clair: “il ne s’agit pas là de belles paroles. Ottawa ne bluffe pas avec cela! Il n’y a pas de traité militaire entre Israël et l’Iran, mais je pense que le premier ministre est très clair… Nous serons toujours là pour nos alliés et amis ! Israël est notre ami, n’ayez aucun doute dessus. N’ayez aucun doute également sur le degré d’engagement du Canada. Et j’espère que tout agresseur potentiel comprend bien ce que nous disons.”
Au bureau du Premier Ministre Harper, on confirme les propos dits en 2008 par le chef du gouvernement «Ceux qui menacent Israël menacent aussi le Canada, car, comme l’a montré la dernière guerre mondiale, une guerre nourrie par la haine, nous sommes tous victimes de ces tragédies. Et nous devons combattre cela partout ou ce type de haine se cache.” http://jssnews.com/2010/02/17/attaquer-israel-cest-attaquer-le-canada/
C’est pathétique d’entendre cela, les juifs extrémistes ont réussi à les manipuler aussi, c’est comme si tout l’occident avait défendu bec et ongle l’apartheid d’Afrique du Sud.
À croire que les sionistes jetent des sorts, c’est dingue !
Les protocoles de sion est peut être un faux, mais ça colle à la réalité d’aujourd’hui….
Sinon, le Canada est un vaste pays très peu peuplé, peut être pourrait il acceuillir tous les juifs du monde, les palestiniens et les musulmans seraient très heureux
Evidence now available from various sources, including recently declassified U.S. State Department documents, shows that the Taliban regime led by Mullah Mohammad Omar imposed strict isolation on Osama bin Laden after 1998 to prevent him from carrying out any plots against the United States.
The evidence contradicts the claims by top officials of the Barack Obama administration that Mullah Omar was complicit in Osama bin Laden’s involvement in the al Qaeda plot to carry out the terrorist attacks in the United States on Sep. 11, 2001. It also bolsters the credibility of Taliban statements in recent months asserting that it has no interest in al Qaeda’s global jihadist aims.
A primary source on the relationship between bin Laden and Mullah Omar before 9/11 is a detailed personal account provided by Egyptian jihadist Abu’l Walid al-Masri published on Arabic-language jihadist websites in 1997.
Al-Masri had a unique knowledge of the subject, because he worked closely with both bin Laden and the Taliban during the period. He was a member of bin Laden’s Arab entourage in Afghanistan, but became much more sympathetic to the Afghan cause than bin Laden and other al Qaeda officials from 1998 through 2001.
The first published English-language report on al-Masri’s account, however, was an article in the January issue of the CTC Sentinal, the journal of the Combating Terrorism Center (CTC) at West Point, by Vahid Brown, a fellow at the CTC.
Mullah Omar’s willingness to allow bin Laden to remain in Afghanistan was conditioned from the beginning, according to al-Masri’s account, on two prohibitions on his activities: bin Laden was forbidden to talk to the media without the consent of the Taliban regime or to make plans to attack U.S. targets.
Former Taliban Foreign Minister Wakil Ahmed Muttawakil told IPS in an interview that the regime « put bin Laden in Kandahar to control him better. » Kandahar remained the Taliban political headquarters after the organisation’s seizure of power in 1996.
The August 1998 U.S. cruise missile strikes against training camps in Afghanistan run by bin Laden in retaliation for the bombings of two U.S. Embassies in East Africa on Aug. 7, 1998 appears to have had a dramatic impact on Mullah Omar and the Taliban regime’s policy toward bin Laden.
Two days after the strike, Omar unexpectedly entered a phone conversation between a State Department official and one of his aides, and told the U.S. official he was unaware of any evidence that bin Laden « had engaged in or planned terrorist acts while on Afghan soil ». The Taliban leader said he was « open to dialogue » with the United States and asked for evidence of bin Laden’s involvement, according to the State Department cable reporting the conversation.
Only three weeks after Omar asked for evidence against bin Laden, the al Qaeda leader sought to allay Taliban suspicions by appearing to accept the prohibition by Omar against planning any actions against the United States.
« There is an opinion among the Taliban that we should not move from within Afghanistan against any other state, » bin Laden said in an interview with al Jazeera. « This was the decision of the Commander of the Faithful, as is known. »
Mullah Omar had taken the title « Commander of the Faithful », the term used by some Muslim Caliphs in the past to claim to be « leader of the Muslims », in April 1996, five months before Kabul fell to the Taliban forces.
During September and October 1998, the Taliban regime apparently sought to position itself to turn bin Laden over to the Saudi government as part of a deal by getting a ruling by the Afghan Supreme Court that he was guilty of the Embassy bombings.
In a conversation with the U.S. chargé in Islamabad on Nov. 28, 1998, Wakil Ahmed Muttawakil, Omar’s spokesman and chief adviser on foreign affairs, referred to a previous Taliban request to the United States for evidence of bin Laden’s guilt to be examined by the Afghan Supreme Court, according to the U.S. diplomat’s report to the State Department.
Muttawakil said the United States had provided « some papers and a videocassette, » but complained that the videocassette had contained nothing new and had therefore not been submitted to the Supreme Court. He told the chargé that the court had ruled that no evidence that had been presented warranted the conviction of bin Laden.
Muttawakil said the court trial approach had « not worked » but suggested that the Taliban regime was now carrying out a strategy to « restrict [bin Laden’s] activities in such a way that he would decide to leave of his own volition. »
On Feb. 10, 1999, the Taliban sent a group of 10 officers to replace bin Laden’s own bodyguards, touching off an exchange of gunfire, according to a New York Times story of Mar. 4, 1999. Three days later, bodyguards working for Taliban intelligence and the Foreign Affairs Ministry personnel took control of bin Laden’s compound near Kandahar and took away his satellite telephone, according to the U.S. and Taliban sources cited by the Times.
Taliban official Abdul Hakeem Mujahid, who was then in the Taliban Embassy in Pakistan, confirmed that the 10 Taliban bodyguards had been provided to bin Laden to « supervise him and observe that he will not contact any foreigner or use any communication system in Afghanistan, » according to the Times story.
The pressure on bin Laden in 1999 also extended to threats to eliminate al Qaeda’s training camps in Afghanistan. An e-mail from two leading Arab jihadists in Afghanistan to bin Laden in July 1999, later found on a laptop previously belonging to al Qaeda in and purchased by the Wall Street Journal , referred to « problems between you and the Leader of the Faithful » as a « crisis ».
The e-mail, published in article by Alan Cullison in the September 2004 issue of The Atlantic, said, « Talk about closing down the camps has spread. »
The message even suggested that the jihadists feared the Taliban regime could go so far as to « kick them out » of Afghanistan.
In the face of a new Taliban hostility, bin Laden sought to convince Mullah Omar that he had given his personal allegiance to Omar as a Muslim. In April 2001 bin Laden referred publicly to having sworn allegiance to Mullah Omar as the « Commander of the Faithful ».
But al-Masri recalls that bin Laden had refused to personally swear such an oath of allegiance to Omar in 1998-99, and had instead asked al-Masri himself to give the oath to Omar in his stead. Al-Masri suggests that bin Laden deliberately avoided giving the oath of allegiance to Omar personally, so that he would be able to argue within the Arab jihadi community that he was not bound by Omar’s strictures on his activities.
Even in summer 2001, as the Taliban regime became increasingly dependent on foreign jihadi troop contingents, including Arabs trained in bin Laden’s camps, for its defence against the military advances of the Northern Alliance, Mullah Omar found yet another way to express his unhappiness with bin Laden’s presence.
After a series of clashes between al Qaeda forces and those of the Islamic Movement of Uzbekistan (IMU), the Taliban leader intervened to give overall control of foreign volunteer forces to the Tahir Yuldash of the IMU, according to a blog post last October by Leah Farrall, an Australian specialist on jihadi politics in Afghanistan.
In Late January, Geoff Morrell, the spokesman for Defence Secretary Robert Gates, suggested that the United States could not negotiate with Mullah Omar, because he has « the blood of thousands of Americans on his hands, » implying that he had knowingly allowed bin Laden’s planning of the 9/11 attacks.
*Gareth Porter is an investigative historian and journalist specialising in U.S. national security policy. The paperback edition of his latest book, « Perils of Dominance: Imbalance of Power and the Road to War in Vietnam », was published in 2006. source traduction google
Le mythe de la grande menace islamiste continu de prendre l’eau, voila donc que le mollah Omar était suspicieux envers ben laden et a tenté de le controler, il devait être au courant de son double jeu et se méfiait des conséquences.
C’est une information très importante, et une fois de plus les médias français ne font pas leur travail.
La situation est très complexe, et personne en France ne tente d’expliquer aux gens, nous n’avons droit qu’à de la basse propagande.
Tous les combattants musulmans sont mis dans le même sac, ils sont tous dangereux, ils veulent tous détruire l’occident selon nos médias, pourtant Gareth Porter nous indique le contaire.
Cela confirme qu’il y a des faux talibans (psyops US) et des vrais talibans, ou plutot qu’il existe une mouvance djihadiste aux ordres ou manipulée par les USA et qui oeuvrent uniquement pour perpétuer cette guerre contre le terrorisme, permettant aux USA d’intervenir ou ils veulent.
Dire qu’il faut regarder les médias russes pour apprendre cela, c’est dingue, et c’est surtout honteux.
– Des scientifiques proposent de rendre les nuages plus brillants ou de fertiliser les océans afin de contrecarrer le réchauffement climatique, mais l’idée de jouer avec l’atmosphère inquiète ceux qui soulignent l’immaturité de la géo-ingénierie.
La conférence annuelle de l’American Association for the Advancement of Science (AAAS) à San Diego (Californie), le plus grand rassemblement scientifique du monde, a été l’occasion pour les deux camps d’exposer leurs points de vue.
« L’ingéniérie climatique à grande échelle n’a jamais été éprouvée et peut être dangereuse, mais son potentiel technique existe », résume David Keith, professeur de science de la Terre à l’Université de Calgary au Canada.
Les options étudiées sont multiples mais l’une des principales consisterait à placer des particules de cuivre ou du sulfate dans la haute atmosphère pour créer un écran réfléchissant les rayons du soleil et par conséquent faire baisser la température.
Les scientifiques se sont inspirés des nuages d’acide sulfurique des éruptions volcaniques, de puissants déflecteurs solaires.
« Nous devrions éviter (….) de nous précipiter (dans cette voie) et prétendre que nous savons réparer la mécanique atmosphérique », a jugé James Fleming, professeur de science à l’Université du Maine.
Il souligne que la géo-ingénierie n’est par une panacée contre l’accumulation des gaz à effet de serre mais seulement un moyen d’en minimiser les effets.
Et son collègue Martin Bunzl, professeur de climatologie à l’Université Rutgers, met en garde sur la tentation de jouer aux apprentis sorciers en insistant sur les limites des modèles informatiques pour mesurer tous les effets des techniques de géoingéniérie.
En agissant sur les nuages, les scientifiques risquent de perturber les précipitations comme la mousson en Asie, a-t-il averti.
Selon lui, le danger est qu’en perturbant ce phénomène météorologique, la production agricole se retrouve chamboulée, affectant jusqu’à deux milliards de personnes.
Phil Rasch, climatologue au ministère américain de l’Energie, a affirmé qu' »aucun des chercheurs travaillant aujourd’hui dans la géoingéniérie ne pense que le temps est venu de mettre en pratique cette nouvelle approche ».
Il a présenté à San Diego une technique, basée sur un modèle informatique, visant à injecter des particules de sel marin dans les nuages pour les rendre plus brillants afin qu’ils réfléchissent davantage les rayons du soleil dans l’espace.
« La plupart des chercheurs croient qu’il y a un intérêt à explorer ce champ d’étude pour comprendre son potentiel et ses risques », a poursuivi Phil Rasch.
« Nous en savons beaucoup plus aujourd’hui, nos outils de recherche sont bien meilleurs et nous avons une plus grande expérience du système atmosphérique terrestre », a-t-il fait valoir.
Pour Ken Caldeira, de la Carnegie Institution, il est impératif d’investir dans la géo-ingénierie qui pourrait bien être le seul moyen dont disposera l’humanité d’ici plusieurs décennies pour refroidir artificiellement une planète devenue trop chaude.
« Le réduction des émissions de CO2 seule ne va pas entraîner de refroidissement de la Terre au cours de ce siècle, peut-être au-delà », a-t-il estimé.
« Que va-t-on faire si d’ici 20, 30 ou 40 ans, les températures du globe sont trop élevées pour que les récoltes puissent pousser normalement dans les régions tropicales, menaçant de famine des millions de personnes? », s’est interrogé ce scientifique. romandie
C’est marrant, quand je parle de cela avec des gens, ils me prennent pour un dingue alors que des tas de scientifiques se réunissent en colloque pour debattre de la modification volontaire du climat, ces scientifques parlent de choses qui n’existent pas….
Même ces chiens du CFR en parle, ce qui me fait penser que le stade de projet est dépassé.
Je vous invite à lire cet article » cet azur qu’on nous vole : les chemtrails en Suisse. chemtrailsfondationweber2005
C’est édifiant et assez flippant, le projet Deep Shield serait responsable de la mort de 40 millions de personnes par an et durerait 50 ans !
Lisez vraiment cet article, c’est complètement dingue.
Ces gens sont taré, ils prennent la terre pour une simple éprouvette et font des experiences sans aucun recul, c’est gravissime.
Nous devons les empécher, c’est la vie de nos enfants et petits enfants qui est en jeu.
La Russie est opposée à des sanctions paralysantes à l’encontre de l’Iran au sujet de son programme nucléaire controversé, a rapporté vendredi l’agence de presse Interfax, citant le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Riabkov.
« Le terme de ‘sanctions paralysantes’ contre l’Iran est totalement inacceptable pour nous. Les sanctions doivent avoir pour but de renforcer le régime de non-prolifération », a déclaré M. Riabkov cité par Interfax.
« Nous ne pouvons certainement pas envisager de sanctions qui seraient interprétées comme une punition contre l’ensemble du pays et sa population pour certaines actions adoptées ou non », a expliqué M. Riabkov.
La position de la Russie sur le problème nucléaire iranien reste inchangée, a-t-il martelé. « Nous avons toujours été favorables à la résolution des problèmes concernant le programme nucléaire iranien par le dialogue et, si possible, par des interactions avecl’Iran », a-t-il précisé.
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu, en visite en Russie plus tôt cette semaine, a estimé que des « sanctions paralysantes » devaient être imposées immédiatement à l’encontre du secteur de l’énergie iranien.
M. Riabkov a également confirmé que la Russie honorerait son contrat de livrer des systèmes de défense anti-aérienne S-300 à l’ Iran.
L’Iran a conclu il y a plusieurs années avec la Russie un accord pour l’achat de systèmes S-300, mais la Russie a connu des retards dans la livraison de ces missiles anti-aériens.
Le système S-300 est un système mobile avancé capable de se déplacer à plus de 2 km par seconde pour abattre des aéronefs et missiles de croisière avec une portée de jusqu’à 150 km.
Les États-Unis et Israël ont tenté de persuader la Russie de ne pas vendre ce système de missiles à l’Iran car il pourrait contrecarrer des tentatives pour cibler les installations nucléaires de ce pays avec une frappe aérienne. source
Les chinois ont l’air de sous entendre que les juif extrémistes n’ont pas réussi à faire invalider la vente des
S-300, en effet le journal s’exprime au passé, il y est écrit » … ont tenté de persuader » et non pas » .. tentent de persuader « , comme si les pressions n’avaient servi à rien et que la Russie avait décidé d’honorer les contrats, c’est d’ailleurs ce que disent les russes, mais bon, ça fait 5 ans qu’ils disent qu’ils vont les livrer. Selon certains journaux, les modules auraient déja été livrés, manquerait que les missiles ….
Je ne sais pas à quoi jouent les russes, en 10 jours ils ont dit ok nous livrons les missiles, ensuite, non nous ne livrons pas et enfin ok nous livrons… C’est vraiment cheloud, rien ne les obligeait à déclarer le jour de la visite de netanyahou qu’ils reportaient la livraison des S-300, surtout si c’est pour dire le contraire trois jours plus tard.
Et surtout, les russes s’opposent à des sanctions paralysantes , tout comme la Chine et le Brésil et cela a son importance, en ce moment le Brésil est membre du conseil de sécurité de l’ONU.
Les occidentaux sionisés iront-ils jusqu’à passer en force et tenter un vote, espérant que la Chine et la Russie ne mettent pas leur véto.
Parti comme c’est parti, les » sanctions dures ou paralysantes » n’auront pas fait long feu, les juifs extrémistes vont devoir changer de stratégie, mais comme il semblerait qu\'israél n\'ait pas les moyens d\'attaquer l\'Iran seul, ils vont insister pour nous embarquer dans cette guerre.
Allez savoir ce qui c’est passé depuis le départ de netanyahu, en tout cas russes et chinois sont aujourd’hui sur la même ligne : Pas de sanctions dures contre l’Iran, cela changera t-il dans le temps, honnetement je ne sais plus quoi penser, rien n’a l’air véritablement certain pour les russes, mais Israél et les USA sont plus que motivés, il leur faut cacher l’étendu du désastre économique et mettre sur le dos de l’Iran l’effondrement à venir, si ormuz est fermé, le pétrole va exploser et donnera le coup de grace à nos économies chancelantes, et déstabilisera grandement la Chine, carton plein pour les déstabilisateurs….
Démence pure !, galerer à sortir son propre argent de la banque, c’est un comble, et que dire de cette histoire de paiement en liquide superieur à 1500 euros interdit, putain de fasciste, c’est dingue, ils emmerdent les petites gens alors que tous ces mafieux politiques se gavent sans vergogne, c’est hallucinant et rageant, on veut faire de vous des robots, révoltez vous….
Whaou, ça c’est du chiffre, c’est la berezina in England, c’est triste pour les gens, vous vous rendez compte 30% de boutiques vides, mon dieu comme c’est grave, je ne comprends pas comment le Royaume tient encore debout, et je comprends mieux le virage totalitaire big brother qui pousse les enfants britanniques à la délation, dans 20 ans ce pays ressemblera à la roumanie soviétique….
Un acte de désespéré, j’espère que cela va se multiplier et que la prochaine fois ils s’en prendront à des banquiers bien malsains, il faut que les gens comprennent qui est responsable de leurs malheurs et il faut qu’ils aillent se venger, ils ne faut pas que les gens se suicident sans emmener avec eux ceux qui sont responsables de leur sort.
Plus de 60 millions de téléphones mobiles hors d’usage, le réseau Internet en panne, la fermeture de Wall Street pendant une semaine, le réseau électrique hors service dans une partie du pays… Les conséquences de l’opération Shockwave laissent songeur.
Ce mardi 16 février, les Etats-Unis ont simulé à Washington une cyberattaque. L’opération s’est déroulée de 10 heures à 22 heures. Dans le scénario imaginé par les services de sécurité américains et le Bipartisan Policy Center, la paralysie d’une partie du pays est causée par une simple application pour smartphones conçue pour les fans d’une équipe scolaire de basket-ball.
Ce spyware a permis le vol de mots de passe et l’interception d’e-mails grâce auxquels les pirates ont pu infecter Internet, entraînant la perturbation de nombreux services et administrations. L’enjeu de cette simulation était de voir quels moyens les autorités peuvent mettre en œuvre pour enrayer la crise.
Un ancien fonctionnaire dans le rôle du président
D’anciens hauts fonctionnaires issus des partis républicain et démocrate participaient à ce jeu grandeur nature. La Situation Room, la pièce ultrasécurisée de la Maison Blanche où le président gère les crises, avait été reconstituée pour l’occasion. Une fausse chaîne d’information en continu couvrait même l’événement pour plus de réalisme.
La simulation a révélé le manque de préparation de la plus grande puissance mondiale face à une guerre de ce type. En outre, des problèmes constitutionnels ont été soulevés. Alors que les joueurs voulaient mettre en quarantaine tous les téléphones mobiles du pays pour éviter la propagation du spyware, ils ont réalisé que la Maison Blanche n’avait pas ce pouvoir légalement.
Plus inquiétant : durant toute la simulation, les services secrets et la sécurité intérieure ont été incapables d’identifier l’origine de l’attaque. Dans ce jeu grandeur nature, l’infection est partie d’un serveur hébergé en Russie. Le programme à l’origine de tous ces maux a quant à lui été développé au Soudan.
A l’issue de l’opération, certaines questions sont encore sans réponse. Dans cette simulation, des maisons ont été détruites par l’explosion de stations électriques et de gazoducs. Jusqu’à présent, aucun lien de cause à effet n’a pu être mis en évidence avec l’infection du réseau Internet.
Une simulation publique
Les Etats-Unis ont l’habitude de procéder à ce genre de simulation. Mais, pour la première fois, la presse était invitée à suivre l’opération, dont le déroulé devrait être disponible prochainement sur CNN.
« Les gens ont du mal à appréhender les menaces », a déclaré au Washington Post John McLaughlin, ancien membre de la CIA qui a joué ici le rôle du directeur de l’intelligence service. « C’est seulement après le 11 Septembre que les gens ont pu s’apercevoir que cela était possible. L’utilité de la simulation sera d’aider les gens à visualiser [la menace] ». source
Depuis que les USA ont militarisé internet avec un commandement spécifiquement dédié, nous pouvons être sûre que lors de la prochaine guerre, internet sera un champ de bataille, sauvegardez les sites que vous aimez bien et télécharger les vidéos importantes sur you tube et dailymotion.
Voila l’article sur la méga attaque :
Une société de sécurité informatique a révélé mercredi qu’une attaque informatique à grande échelle avait permis de prendre le contrôle de 74.000 ordinateurs dans 196 pays, en particulier les Etats-Unis, le Mexique, l’Arabie Saoudite, l’Egypte et la Turquie.
La société NetWitness a identifié 2.411 organisations visées par ces attaques depuis un an, dont 374 aux Etats-Unis, y compris des administrations fédérales et locales, de grandes entreprises des secteurs bancaire, technologique ou énergétique, ou encore des établissements d’éducation.
Le rapport disponible en ligne de NetWitness indique que les premières données liées à cette attaque remontent à mars 2009, et que les réseaux sociaux sont utilisés comme vecteurs, avec notamment de fausses invitations à télécharger des programmes de sécurité, tandis que ce sont des failles dans les systèmes d’exploitation XP et Vista qui sont exploitées par les malfaiteurs.
Il souligne que le ministère américain de la Défense semble avoir été particulièrement visé, mais que les pirates ont également pu accéder à des transactions bancaires et à des données de propriété intellectuelle.
« Que vous soyez l’une des 500 plus grosses sociétés répertoriées par (le magazine) Fortune, un organisme gouvernemental ou un internaute utilisant une liaison DSL à la maison, vous pouvez être victime », a souligné Adam Meyers, un ingénieur de la société SRA International, cité dans le Wall Street Journal.
Le quotidien a été le premier à faire état de cette attaque dans son édition en ligne mercredi soir.
NetWitness, une société dirigée par un ancien militaire de l’armée de l’air qui fut également responsable de la cyber-sécurité au ministère de la Sécurité intérieure, Amit Yoran, a indiqué au quotidien avoir informé les sociétés visées.
Le Wall Street Journal a évoqué le laboratoire pharmaceutique Merck et les studios Paramount parmi les sociétés visées, précisant que Merck avait fait état d’un seul ordinateur infecté.
Il a indiqué que selon M. Yoran certains signes laissent penser qu’un groupe basé en Europe de l’est est à l’origine de cette attaque, utilisant probablement des ordinateurs basés en Chine.
Ce piratage à grande échelle est révélé un mois après que le géant américain de l’internet Google eut fait état d’attaques « massives » émanant selon lui de Chine, et visant une vingtaine de sociétés au total. A la suite de ces attaques, visant notamment des militants des droits de l’Homme utilisant ses services, Google a menacé de se retirer de Chine s’il ne pouvait pas mettre fin à la censure bridant ses activités. france 24
La société qui rapporte l’attaque, NetWitness, est dirigée par Amit Yoran, un ancien militaire de l’armée de l’air qui fut également responsable de la cyber-sécurité au ministère de la Sécurité intérieure, ce monsieur et sa famille étaient deja impliqué dans 11/09, les américains sont vraiment à la masse de mettre des traitres à des postes si haut placé.
Les juifs extrémistes ont infiltré toutes les administration et ensuite, profitant des réseaux ainsi crées, il ont montés des sociétés dans les domaines de la sécurité informatique et pris comme client le gouvernement.
Trop facile, ils ont fait pareil pour les aéroports, ces juifs extrémistes sont dans tout les secteurs stratégiques, et les états sont tellement stupides qu’ils les emplois, se rendant ainsi à la merci de ces déxasés.
Le net est définitivement dans une mauvaise passe.
L’administration Obama préfère souvent tuer les suspects de terrorisme plutôt que d’essayer de les faire prisonniers, démontre ce dimanche le Washington Post. Ce n’est pas le premier article à ce sujet, on peut compléter ici ou ici, mais le Post fait là une nouvelle synthèse éclairante des dessous de la guerre au terrorisme. Le Washington Post revient en particulier sur la traque d’un leader d’Al-Qaeda en Somalie, en septembre. Les services américains avaient reçu l’information que le kenyan Saleh Ali Nabhan, soupçonné de faire le lien entre Al-Qaeda et ses alliés est-africains, allait traverser en voiture le sud de la Somalie. Les forces américaines avaient le choix de le frapper à distance, par avion. Ou bien tirer depuis des hélicoptères qui pourraient ensuite se poser pour confirmer que la cible avait bien été tuée. Ou encore tenter de le capturer vivant. La Maison Blanche a choisi l’option hélicoptères, raconte le Post, l’un des hélicos se posant brièvement à terre et prélevant l’ADN des victimes pour pouvoir confirmer que Saleh Ali Nabhan a bien été tué.
Ce choix, de tuer plutôt que de prendre le risque de faire des prisonniers, a été fait de nombreuses fois ces derniers mois, souligne le Post: “Le résultat se solde par des douzaines de morts ciblés et aucune indication que des détenus de valeur aient été capturés”.
Par rapport à l’administration Bush, l’équipe Obama a plus souvent autorisé ces raids mortels, pour au moins deux raisons, poursuit le Post: éviter les risques d’incidents, y compris diplomatiques, en tentant des captures à l’étranger, et s’épargner aussi le casse-tête de savoir où mettre les prisonniers. Barack Obama a promis de fermer le camp de Guantanamo et ne sait déjà que faire des 190 détenus qui y restent. Toutes les autres prisons clandestines de la CIA ont été fermées, affirme le Post. En Irak, les suspects arrêtés par l’armée américaine doivent être remis aux autorités locales. En Afghanistan, la prison américaine de Bagram doit passer d’ici la fin de l’année sous l’autorité du gouvernement de Kaboul. Sous l’administration Bush, “il y avait déjà un penchant à “juste abattre le bâtard”, rapporte un agent des services américains cité anonymement par le Post. Mais maintenant il y a une inclination encore plus grande à agir de la sorte”. Le souci des droits de l’homme, qui pousse l’administration Obama à fermer Guantanamo, aurait donc pour conséquence… davantage de tirs à vue. source
Tranquille, les américains se foutent d’avoir des renseignements, ce qui leur plait c’est de foutre la haine aux musulmans, histoire d’alimenter la haine et la guerre.
Quelle difference entre l’attentat qui a tué les 7 agents de la cia et les assassinats par missiles interposés ?
Les américains agissent comme ceux qu’ils qualifient de terroristes, mais il faut préciser que les censés terroristes résistent avant tout contre l’oppression occidentale.
Nous avons des méthodes de barbares, nous sommes les barbares.
Quand Obama disait qu’il voulait fermer guantanamo, il avait ommis de préciser que les prisonniers seraient abattus…