Archive for the ‘Bouleversement géostratégique’ Category

TRAHISON du HAMAS : J’imagine que la pression a du etre intense mais c’est inacceptable

février 24, 2012

Bey voila, le Hamas s’est consumé dans la trahison étant donné qu’ils ne peuvent pas ignorer la réalité du complot contre la Syrie ( saoud : tout dialogue sur la syrie est vain ), bien entendu les milliers de civils qui sont morts est une tragédie mais ils ne sont pas à mettre sur le dos d’Assad, ce sont ces chiens galeux de wahhabites saoudo/qatari les responsables. Cela ne dédouane pas Assad d’une mauvaise gestion économique, sociale et politque du pays mais ce n’est pas pour autant qu’il est légitime de prendre les armes quand le systeme politque ne convient pas. ( parceque sinon cela aurait du commencer chez nous depuis longtemps). Que voulez vous que les autorités syriennes fassent quand des milliers de personnes armées tuent des policiers, des militaires et des civils ? N’importe quel pays enverrait l’armée les tuer, et je ne vois pas en quoi cela est génant.

Les questions essentielles sont :

Combien d’habitants du quartier baba amro soutiennent les personnes armées qui défient l’armée syrienne ?

Pourquoi les freres musulmans coopèrent avec les wahhabites (autre que pour l’argent et l’aide à prendre le pouvoir) ?

Quels sont les liens ou accords entre les wahhabites ( à quoi joue le qatar) et les américains d’une part et entre les freres musulmans et les américains d’autre part ?

Quid alors du cas de Gaza ( et accesoirement de la Cisjordanie) ? Comment le Hamas réagira quand israel l’allié des saoud sur de nombreux points, attaquera la bande de gaza ?

Maintenant que le Hamas a trahi la Syrie, quelle relation avec l’Iran ? Qui armera le Hamas ?

Je comprends que le Hamas soit dans une position impossible, émanation des frères musulmans, comment ne pas réagir en voyant d’autres frères se faire écraser en Syrie, je comprends que voyant la nouvelle configuration se mettant en place au moyen orient ( islamisme divers : turquie, tunisie, egypte, maroc et peut etre si pas anarchie libye) ils veuillent etre de la partie mais ce que je ne comprends pas c’est pourquoi rejoindre les wahhabites alors qu’ils sont l’essence même de la trahison. Le pragmatisme est une chose, le fourvoiement, la stupidité et la compromission en est une autre.

Les wahhabites pensent oeuvrer pour l’Islam, à défaut de lutter contre israel et l’imperialisme US, ils veulent la totale direction idéologique et politique sur les musulmans et donc éradiquer les seuls qui méritent ce leadership, l’arc iran syrie hezbollah hamas justement parceque ces derniers ne se sont jamais couchés devant les sionistes et les américains. La présence du hamas au sein de cette alliance dépassait le clivage chiite/sunnite et maintenant qu’ils ont trahi, la fitna est totale et la probabilité d’un conflit majeur entre les wahhabites et les mollah devient très élevé. La trahison du Hamas est d’autant plus grave. Le seul moteur du wahhabisme sera une lutte pour la pureté de l’islam et la lutte contre les hérétiques chiites/alaouites et autre nos sunnites.

Voila dépèche de France 24 :

Le Premier ministre du mouvement islamiste palestinien Hamas à Gaza, Ismaïl Haniyeh, a salué vendredi au Caire la quête du peuple syrien pour la « liberté et la démocratie ».

Le Hamas a reçu pendant de nombreuses années le soutien du pouvoir en Syrie face à Israël et son bureau politique est basé à Damas. Mais selon des informations de presse, le chef de ce bureau Khaled Mechaal et les autres responsables de l’instance ne résident plus en permanence à Damas.

« Je salue le peuple héroïque de Syrie qui aspire à la liberté, la démocratie et la réforme », a déclaré M. Haniyeh devant une foule de partisans réunis dans la mosquée d’Al-Azhar, pour un rassemblement consacré à « soutenir (la mosquée) Al-Aqsa (à Jérusalem) et le peuple syrien ».

« Ni Iran ni Hezbollah, Syrie islamique. Dégage, Bachar, dégage espèce de boucher », ont plus tard scandé les personnes présentes, tandis que M. Haniyeh restait de marbre.

Des divisions semblent être récemment apparues au sein du Hamas sur la stratégie du mouvement palestinien.

Le régime du président Bachar al-Assad réprime depuis 11 mois dans le sang une contestation populaire sans précédent.

france24

Personne ne m’enleverra de l’esprit que ce soir la juiverie, sioniste ou pas, se fend la poire.
Le plan de Brezinski a été recyclé, au lieu de voir l’iran, la russie et la chine se taper sur la gueule, c’est l’arabie saoudite, l’Iran qui vont s’autodétruire.

Je suis hyper déçu, la juiverie compte les points et la Grande Guerre ne se fait que plus certaine.

La clef est dans l’attitude de la majorité sunnite syrienne, pour l’instant ils ont l’air de soutenir le regime et donc la resistance à la compromission, pour combien de temps ?

Il ya aussi le retour de Poutine, j’ose espérer que sa posture sur la Syrie et ses déclarations de réarmement massif et d’opposition au bouclier anti missile ne sont pas que le fait de sa campagne electorale.

article interessant d' alain gresh sur la syrie

rapport du CIRET avt sur la Syrie : syrie : une libanisation fabriquée

rapport des observateurs de la ligue arabe

ce traitre qatari en israel

elle est belle la future resistance…

L’Iran promet d’attaquer tout pays d’où il sera agressé. Et c’est le but des extrémistes juifs… Faire en sorte que sunnite et chiite s’autodétruisent

février 8, 2012

L’Iran attaquera tout pays dont le territoire sera utilisé pour une intervention militaire contre la République islamique, a déclaré dimanche Hossein Salami, commandant adjoint du Corps des Gardiens de la révolution islamique, cité par les médias occidentaux.

« Tout territoire utilisé par l’ennemi pour des opérations contre la République islamique sera attaqué par nos forces armées », a annoncé le général Salami.

La tension monte entre Téhéran et plusieurs pays occidentaux, Etats-Unis en tête, sur fond de divergences concernant le programme nucléaire iranien.

L’Occident soupçonne l’Iran de chercher à se doter de l’arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément.

Face à la poursuite des activités nucléaires iraniennes, l’Union européenne, deuxième client pétrolier de l’Iran derrière la Chine, a récemment gelé ses importations de pétrole iranien, se joignant aux Etats-Unis pour frapper au cœur de l’économie de la République islamique. L’Iran a à son tour menacé de fermer le détroit d’Ormuz au transit de pétrole.

novosti

Israel rève de voir la République Islamique d’Iran et ces débiles de saoud s’entretuer, un remake de la guerre Iran/Irak, je ne sais pas si l’armée saoudienne a des soldats compétents mais du materiel ça ils en ont ! Je crois avoir lu que la grande majorité des pilotes sont pakistanais et qu’il y a des milliers d’occidentaux pour entretenir et enseigner l’utilisation des systèmes d’armes.
Les puits de pétrole saoudien sont à l’est et les populations y sont chiites, donc double avantage pour l’Iran, la proximité et des personnes sur place. Cette déclaration nous fait comprendre que la Turquie et l’Irak n’accepteront jamais un survol de leur territoire, même si l’Irak n’a pas la possiblité de bloquer les avions israeliens. Reste les supers traitres, les saoud, les plus grands malsains du monde, avec les juifs se sont surement les plus diaboliques sur terre. À cause des saoud l’Islam est mal vue, ce sont ces gens qui financent al quaida, financent des mosqués ultra integristes dans le monde entier sans compter qu’ ils trempent dans tous les traffics.
Les usa sont clairement en train de jouer l’intégrisme sunnite, mais cete fois ce n’est plus justes quelques milliers de combattants, ce sont tous les pays sunnites qui vont se retrouver avec des gouvernement du style frères musulmans/ salafistes et comme ( dans un premir temps) un conflit avec israel ne sera possible à cause de l’accord passé avec les usa ( on vous laisse arriver au pouvoir mais vous jouez le jeux capitaliste et vous n’emmerdez pas israel) le seul ennemi possible sera les chiites. Le Hamas résiste à ces pressions, espérons que cela ne change pas.
C’est pour cela que la Syrie est une pièce majeure dans l’équilibre au moyen orient, si la Syrie est dirigée par les mêmes personnes qu’en libye ou en tunisie, ce sera foutu, le Hezbollah sera isolé et l’Iran sera seul contre tous. Sans parler de la Chine et de la Russie qui seront directement menacé une fois que l’Iran sera tombé. Le plan est d’agiter les musulmans d’asie centrale et de l’ouest de la Chine via un Iran à la solde des USA.

Quand on voit que :

la Nouvelle libye envoie des djihadistes en syrie : http://fr.rian.ru/world/20111129/192174870.html

la Nouvelle tunisie ( avec son premier ministre qui prie tellement qu’il la marque sur le front ) appelle à couper toute relation diplomatique avec la Syrie http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hatNIwYdTZplLppWlLceeG6IWXCQ?docId=CNG.1df4f922fca702148523f709c41b2907.801

la nouvelle egypte, via son parlement à 70% frere musulman et salafiste a décidé de geler tous les contacts avec le parlement syrien. http://fr.rian.ru/world/20120207/193299470.html

Donc, nous pouvons sans conteste affirmer que ces  » révolutions  » ont mis au pouvoir des TRAITRES à la resistance Hezbollah-Syrie-Iran et se couchent comme des putes devant les mensonges et les desiderata des atlanto/sioniste.

Et le but ultime est bien de casser la Résistance, de former un Moyen Orient islamiste, en paix avec israel ( les premiers temps) jouant le jeu du libéralisme et ensuite de se servir de ce néo califat pour agiter les musulmans chinois et d’Asie centrale voire pour créer des guerres entre des pays du moyen orient et la chine et la Russie, mais il y a aussi une variante, en effet, imaginez une attaque israélienne sur gaza, ces nouveaux gouvernements islamistes, poussés par leur population exigeront des represailles contre israel, l’occident ne pouvant laisser tomber israel, un grand conflit entre l’occident et le moyen orient entièrement islamiste sera facile à vendre aux occidentaux.

Donc, tous ces pays sunnites sont completement cons, ils travaillent contre leurs propres interets et cela à plusieurs niveaux, c’est incroyable quand on y pense. Heureusement que le Hamas et le Djihad Islamique tiennent encore la route et rehaussent le niveau des sunnites, il est d’ailleurs incompréhensible que les dirigeants sunnites soient des traitres à ce point, bien quzje comprenne la haine entre chiites et sunnites, le fait que les puits de pétrole soient quasi tous sur des terres pleuplées de chiites, je n’arrive pas à comprendre pourquoi les dirigeants sunnites soient stupides à ce point, c’est pathétique.

L’iran devrait créer des émeutes en arabie saoudite et avoir une politique plus offensive, pour l’instant ils subissent plus qu’autre chose, espérons que cette inaction est volontaire et qu’ils gardent les mauvais coups pour les situations critiques…

Sinon, n’hésitez jamais appeler les rédactions du Monde, du Figaro et de Libé pour vous plaindre de leurs mensonges, quand on voit dans libé la soeur d’un membre important du CNS nous écrire un article sur la Syrie sans qu’il soit averti que cette Ala Kodmani est juge et partie dans la crise syrienne il est obligatoire d’appeler ce journal pour leur dire qu’ils se foutent de la gueule du monde.

Syrie, Turquie, Irak, Iran, Pakistan, Russie : que passa ?

novembre 27, 2011

Ce week end, un flot d’information grave s’accumule.

Au Pakistan, 26 soldats ont été tué et 14 blessés par une frappe de l’OTAN, cette attaque meurtière est celle de trop, voila la réaction pakistanaise:  » A l’issue d’une réunion extraordinaire de ses principaux responsables, le gouvernement pakistanais a par ailleurs ordonné aux Américains de se retirer dans les 15 jours de la base aérienne de Shamsi, située dans le sud-ouest du Pakistan, et a fermé toutes les voies d’approvisionnement de l’Otan en Afghanistan à partir de son territoire. » http://www.lexpress.fr/actualites

Si le Pakistan se tient à ses déclarations c’est un bouleversement stratégique majeur dans la région.
Je me demande si cette attaque n’a pas été volontaire, depuis la  » mort  » de ben laden, les usa ont réduit d’un tiers leur aide au Pakistan , ils veulent se désengager du Pakistan et s’en faire un ennemi.

Aujourd’hui la Ligue Arabe se réunit pour définir des sanctions contre la Syrie, sanctions très dures :
 » Le projet prévoit le « gel de toutes les transactions commerciales gouvernementales avec le gouvernement syrien, à l’exception de produits vitaux dont le peuple syrien pourrait se ressentir ».
Il stipule aussi « le gel des comptes bancaires du gouvernement syrien » dans les pays arabes, et le gel des « transactions financières » avec la Syrie et de « toutes les transactions avec sa Banque centrale ».
Le texte comporte aussi une « interdiction de voyager dans les pays arabes pour des personnalités et responsables syriens » dont la Ligue arabe dressera une liste ultérieurement, précise le document.
Les sanctions prévoient aussi le gel des liaisons aériennes entre les pays arabes et la Syrie et le gel des projets financés par les pays arabes en Syrie. » l'orientlejour.com

Pour autant, dans le même article, on y apprend que :  » L’Irak a fait part de ses réserves sur le projet de décision de la Ligue arabe », a déclaré samedi le ministre irakien des Affaires étrangères, Hoshyar Zebari, ajoutant qu’il était « impossible, du point de vue de l’Irak, d’imposer des sanctions à la Syrie ».
Dès jeudi, le Liban avait fait savoir qu’il ne voterait pas en faveur des sanctions.
Et samedi, le ministre jordanien des Affaires étrangères, Nasser Jawdeh, a demandé que les sanctions soient « compatibles avec les intérêts de chaque Etat », rappelant par exemple que les importations jordaniennes transitaient par voie terrestre par la Syrie.  »

Donc, même si les sanctions sont votées, elles seront appliquées selon les intérets particuliers des membres de la ligue arabe, ce qui en limiterait grandement les effets. L’Irak, par la voie de son president Jalal Talabani déclare que :  » son pays s’opposerait catégorqiuement à toute intervention militaire contre la Syrie. « Il n’est pas question que l’Irak prête main forte à l’Otan face à la Syrie et ce que notre pays demande c’est le soutien aux réformes annoncées par le président Assad  » french.irib

L’Iran est entré dans la danse aujourd’hui en disant : « L’Iran, si jamais il était menacé par une intervention militaire étrangère, prendrait pour cible le bouclier antimissile de l’Otan en Turquie, a averti samedi le général Amir Ali Hajizadeh, commandant des forces aériennes des Gardiens de la Révolution.

« Si nous sommes menacés, nous comptons d’abord prendre pour cible le bouclier de défense antimissile de l’Otan en Turquie. Et ensuite nous nous en prendrons à d’autres cibles », a déclaré le général Hajizadeh, cité par l’agence de presse iranienne Mehr.

Jusqu’ici, des responsables iraniens avaient affirmé à plusieurs reprises qu’en cas d’attaque contre l’Iran, leurs forces armées mèneraient en représailles des frappes de missiles contre Israël.

Les propos sur la Turquie comme cible sont la première déclaration en ce sens de la part du commandement des Gardiens de la Révolution.  » http://www.lalibre.be

La aussi, c’est une déclaration très importante, c’est la première fois que l’iran menace la Turquie. La politique de  » zéro probleme  » avec ses voisins est en train de tourner au fiasco. Au lieu de n’avoir qu’israel comme ennemi dans la région la Turquie va se retrouver isolée, si la syrie, le Liban et l’iran lui sont hostile, tout son flan Sud et Sud Est devra être surveillé, sans parler de sa frontière kurdisto/irakienne qui n’a jamais été vraiment sûre. Je ne comprends absolument pas la politique d’Erdogan, j’aimerai bien savoir ce qu’il lui a été promis pour ce comportement belliqueux envers la syrie. Il semblerait pourtant que la ligne dure d’Erdogan ne soit pas totalement partagée dans son propre gouvernement, un article traduit (comme souvent pour les papiers importants ! )par Djazaïri :  » La Turquie a déclaré que le soulèvement en Syrie est une affaire intérieure de son voisin et qu’elle ne permettra à aucun pays d’intervenir militairement contre la brutale répression per le régime d’une insurrection qui dure depuis huit mois, et a écarté toute possibilité de voir la Turquie militairement impliquée.

« Nous n’enverrons pas de soldats [en Syrie], nous n’interviendrons pas et nous ne permettrons pas et ne créerons pas les conditions pour que d’autres interviennent, » a déclaré le vice premier ministre et porte parole du gouvernement Bülent Arinç à une station de télévision locale, affirmant que toute intervention étrangère créera des divisions non seulement en Syrie mais dans toute la région. Il a ajouté que les incidents en Syrie se développaient suivant des lignes ethniques et que le sectarisme joue également un rôle. » (lisez la suite)

Cette déclaration tranche avec celles d’Erdogan, maintenant qui faut il croire ?

Gilles Munier, citant le canard enchainé nous dit que la dgse entraine et fait transiter des hommes et des armes au Liban et en Turquie :  » Nicolas Sarkozy n’a tiré aucun d’enseignement des conséquences catastrophiques provoquées par l’effondrement du régime libyen. Il s’apprête à reconnaître officiellement le CNS (Conseil National Syrien) qui devrait emménager dans les locaux de l’ambassade, rue Vanneau. Le Canard enchaîné a révélé que des instructeurs du Service action de la DGSE, du COS (Commandement des opérations spéciales) et du MI6 britannique forment les extrémistes armés de l’Armée syrienne libre (ASL) à la guérilla urbaine, au Liban et en Turquie (3). »
Un média iranien citant la presse turque nous dit la même chose :  » A Turkish newspaper has unveiled that French military forces are training armed Syrian rebels to fight the government of President Bashar al-Assad.
According to Milliyet, as cited by IRNA, France has sent its military training forces to Turkey and Lebanon to coach the so-called Free Syrian Army — a group of defectors operating out of Turkey and Lebanon — in an effort to wage war against Syria’s military.  » presstv.ir

Gilles Munier nous parle aussi de flotte russe faisant route vers la Syrie:  » La presse israélienne s’est inquiétée de la présence en Méditerranée de plusieurs navires de guerre russes (1), mais ce n’est rien à côté de ceux qui se profilent à l’horizon (2). Le porte-avions Maréchal Kouznetsov a quitté Mourmansk le 13 novembre. A bord, une trentaine d’avions de chasse et des d’hélicoptères, des missiles à capacité nucléaire d’une portée de 550 km. Le destroyer anti-sous-marin Amiral Chabanenko fait partie de l’escadre qui l’accompagne. Après des exercices en mer de Barentz, le Kouznetsov a pris la direction de la Méditerranée orientale via l’Atlantique nord. Il devrait mouiller à Tartous mi-janvier, où il sera sans doute rejoint par des éléments de la flotte russe de la mer Noire, comme cela a été le cas en 2008 « .

Mais l’information, si elle vrai, qui montre que la tension vraiment palpable est l’envoie par la Russie de système de défense S-300 en Syrie :  » “Les navires de guerre russes qui ont atteints les eaux syriennes ces derniers jours transportaient entr’autre, des conseillers techniques russes qui ont aidé les Syriens à installer tout un réseau de missiles S-300 que Damas avaient reçu ces dernières semaines, dit un article dans le journal de langue anglaise basé à Londres Al Quds-Al Arabi ce Jeudi. Citant des sources en Russie et en Syrie, l’article dit que Moscou voit une attaque occidentale sur la Syrie comme “le dépassement d’une ligne rouge qui ne pourrait être toléré”, rapporte Arutz Sheva. ( israelnationalnews.com ) ( traduit par resistance71

Bon, voila la situation et ce n’est pas rien. Une chose est sûre la déstabilisation de la Syrie va se poursuivre, il faut juste savoir si la Russie va continuer à soutenir coute que coute la Syrie et si la Chine va prendre le Pakistan sous son aile. Si on regarde ces 20 dernières années, la Russie s’est toujours couchée, Irak, Yougoslavie, Serbie, ses anciens satellites dans l’OTAN, Sebastopol à peine sauvée, la libye, même saakashvili est resté en place ! Il serait temps que la Russie tienne tête à l’occident. La Chine doit pertinement savoir que les USA ne payeront jamais leur dette, alors je me demande combien de temps ils vont faire semblant de jouer le jeu….

Personnellement je pense que la Grande Guerre est inévitable, après la Première on a eu la SDN, après la Seconde on a eu l’ONU, après la Troisième on aura surement une sorte de gouvernement mondial.

Sinon, humour européen : » Le Fonds monétaire international (FMI) a préparé un plan de secours de 600 milliards d’euros pour l’Italie au cas où la crise de la dette de ce pays s’aggraverait, a affirmé dimanche le journal italien La Stampa, citant des responsables du FMI. Le prêt envisagé par le FMI, qui atteindrait entre 400 et 600 milliards d’euros, permettrait à l’Italie de disposer d’une fenêtre de 12 à 18 mois pour mettre en place des réductions budgétaires et des réformes économiques destinées à renforcer la croissance » en mettant de côté la nécessité de refinancer la dette », affirme La Stampa.

Le FMI garantirait des taux de 4 à 6 % pour ce prêt, bien inférieurs aux taux obtenus par Rome sur le marché où le taux des emprunts de l’Italie pour les obligations à deux et cinq ans ont dépassé les 7 %. lepoint.fr

600 milliards, lol et combien pour l’Espagne , la France ou bien les USA ???
Vive la dette qui rachète de la dette !!

Pierre Hillard :  » humainement c’est cuit, il faut assurer la relève, transmettre les bonnes idées et attendre la providence… « 

novembre 25, 2011

 » Il faut se préparer psychologiquement à des moments très dures, ou la vie humaine comptera peu, parceque il ne faut pas se leurrer, cette crise va mettre à l’épreuve notre resistance nerveuse. Il faudra savoir lutter et se battre parceque une guerre civil on l’aura tôt ou tard, une guerre tout court on l’aura tôt ou tard parceque ce sera l’effondrement généralisé du système…  »

Hihihihi, et oui il faut regarder les choses en face, même si c’est terrible.
Soral n’est pas d’accord avec Hillard la dessus, soral pense que quoiqu’il en soit les rapports humains induisent une dynamique historico/marxiste qui de fait rend impossible toute tendance irreversible. Je pense qu’il a tort, le degrés d’abrutissement des populations, la totalités des outils de contrôle fermement en main et surtout les stupéfiantes avancés technologiques font que cette fois je ne vois pas d’altrnative à l’asservissement définitif des habitants de la planète. Les trois quart des habitants vont devoir mourir, c’est fou mais c’est certain.

La Russie pourrait être impliquée dans un conflit nucléaire…

novembre 20, 2011

La Russie pourrait se voir impliquée dans un conflit dans lequel des armes de destruction massive seraient utilisées, a déclaré jeudi à Moscou le chef d’Etat-major général russe Nikolaï Makarov, intervenant devant la Chambre civile russe (organe consultatif auprès du Kremlin).
« Si l’on regarde de près ce qui se passe à nos frontières à l’heure actuelle, il devient évident que le risque d’implication de la Russie dans des conflits locaux a augmenté », a indiqué M.Makarov, évoquant les « tentatives d’intégrer l’Ukraine et la Géorgie au sein de l’Alliance atlantique ».
« Et sous certaines conditions, les conflits régionaux risquent de dégénérer en conflits d’envergure avec un possible emploi d’armes nucléaires », a déclaré le général russe.
http://fr.rian.ru

Bon, j’espère que cette déclaration signifie quelque chose de concret, que ce n’est pas une ultime bravade russe. Cette Grande Guerre est inevitable, cela fait 10 000 ans que les hommes se tapent sur la gueule et je ne vois pas pourquoi ça changerait.
Il faut se demander si nous sommes devant un acte pivot dans relations internationales, est ce que pour la première fois depuis la chute de l’union soviétique, la Russie va se confronter militairement via pays interposés à l’occident. C’est la seule question importante à se poser. Avec la Georgie en 2008 nous avons déja eu un élément de réponse même si l’aventure de saakashvili était voué à l’échec.
La Russie n’a pas l’air de vouloir lacher la Syrie et c’est dans des termes dures que la Russie a jugé le raport de l’AIEA sur l’Iran :  » Pour le ministère russe, ce rapport est « une compilation de faits connus, enrobée d’une tonalité politique » et ses interprétations rappellent le recours à de fausses informations des services de renseignements pour justifier l’intervention militaire anglo-américaine de 2003 en Irak. » les echos
L’agence de presse syrienne annonce que des navires russes vont etre déployés sur zone, je ne sais pas quoi en penser.
Que penser de la déclaration de ce général, est ce de sa propre initiative, comment est il perçu par l’armée, les politiques ou la population, je connais pas assez bien la Russie pour y répondre, ce qui est sûre c’est que le contexte laisserait entendre que la Russie, cette fois, ne lachera pas un allié.
Assad, bien sure est inflexible : « la Syrie ne s’inclinera pas » en dépit des pressions croissantes de l’Occident et des Arabes et la multiplication des appels à son départ. Il s’est dit aussi « tout à fait » prêt à combattre et à mourir s’il devait affronter des forces étrangères – « cela va sans dire et c’est indéniable ». l'orientlejour.com
Je ne vois pas comment la situation pourrait s’arranger, à moins que les révoltes reprennent violement en Égypte, bloquant surement de fait toute nouvelle réunion importante de la ligue arabe, au koweit aussi ce n’est pas tout rose, le parlement a été envahi par des milliers de manifestants il y a quelques jours.

Je vous conseille cet article d' El Pais, traduit par Djazaïri. Je tiens à préciser que je suis consterné par la propagande anti Assad ( après celle contre kadhfi) des trois  » grands  » journaux français, plus que la propagande, c’est l’absence totale de débat contradictoire ou d’interview de spécialistes qui ne valident pas la doxa en vigueur. C’est 100% contre Assad dans la presse française ! Pas le choix !

Enfin bref, l’occident continue dans sa longue faillite mais j’ai l’impression que quoiqu’il en soit , tout est sous contrôle, je viens d’apprendre que Mario Monti est le chef d’antenne europe de la
trilateral ! http://www.trilateral.org/ . Il est évident que, vue le temps que prend le système à s’effondrer, des solutions post krach sont déja en place et il est tout aussi évident que le nouveau système sera encore plus mauvais pour les habitants…

Après avoir dit que cette guerre lui avait été imposée, Berlusconi avoue que la  » rebellion  » n ‘est pas le fait d’ un  » soulèvement populaire « . Mieux il dit  » Kadhafi était aimé de son peuple « .

septembre 10, 2011

La rebellion libyenne, qui a renversé le colonel Mouammar Kadhafi, « n’a pas été un soulèvement populaire » mais un acte d' »hommes de pouvoir » décidés à le chasser, a déclaré aujourd’hui le président du Conseil Silvio Berlusconi.

« Cela n’a pas été un soulèvement populaire » comme dans d’autres pays nord-africains, « où un vent de liberté commence à souffler », a déclaré le Cavaliere devant des jeunes de son parti, le Peuple de la liberté, rassemblés à Rome. Au contraire, a-t-il observé, à Tripoli, « des hommes de pouvoir ont décidé de donner vie à une nouvelle ère en mettant Kadhafi dehors ». « Cela n’a pas été un soulèvement populaire parce que Kadhafi était aimé de son peuple comme j’ai pu le constater quand je suis allé en Libye ».

Jusqu’au soulèvement au début de l’année, le président du Conseil italien avait entretenu des rapports étroits avec le régime libyen. La réconciliation avec le régime de Tripoli « m’a apporté la sympathie non seulement de la Libye mais de nombreux dirigeants de pays africains », et « ainsi nous avons pu consolider notre présence, importante pour les fournitures de gaz et de pétrole », s’est-il justifié devant ses jeunes partisans.
figaro

et berlusconi contre la guerre en libye

Comme ça c ‘est dit, un dirigeant de premier plan européen, membre de l’Otan et qui a fini sa carrière politique nous dit que cette guerre a été imposé sur de faux prétextes et mieux, que Khaddafi été aimé de son peuple, on ne peut pas faire mieux dans le démenti.

Voyons comment les civils sont protégés a Syrthe, Bani walid ou Sebha, à la télé on ose nous dire que les combattants a Bani walid étaient une cinquantaine ! J ‘ai trop rigolé quand j’ai entendu ça.
Bientot trois semaines que juppé a dit que c ‘était fini pour Kadhafi, quand Tripoli tombait, il semblerait que même si le Guide ne revienne au pouvoir, le CNT n’arrivera pas à imposer une autorité, allez savoir ce qui va se passer.


Une vraie rockstar

Humour noir : Abdelhakim Belhadj, le nouveau commandant militaire de Tripoli grace à l’ otan, demande des excuses à la CIA et au MI6 pour l’avoir torturé et livré à Kaddhafi…. C ‘est beau la politique !!

septembre 8, 2011

Ancien militant islamiste et opposant au régime Kaddafi, aujourd’hui « héros » de la rébellion, Abdelhakim Belhadj aurait été arrêté en 2004, livré aux autorités libyennes par la CIA et les services secrets britanniques puis torturé. Il réclame aujourd’hui des excuses de la part de ces gouvernements.
Il possède tout de la figure du héros. Abdelhakim Belhaj, président du conseil militaire des révolutionnaires de Tripoli, s’est illustré lors de la bataille pour la libération de la capitale libyenne, en étant le premier à entrer, en tête de sa brigade, dans le quartier général de Mouammar Kaddafi. Un rebelle de la première heure, et qui revient de loin.
En 2004, Abdelhakim Belhadj, militant islamiste et opposant au régime Kaddafi, se ferait appeler « Abdullah al-Sadiq ». En provenance de Kuala Lumpur, l’homme serait arrivé à Bangkok, en Thaïlande, où il aurait été capturé par la CIA, aux côtés de sa femme enceinte. Ces informations proviennent de documents découverts par l’ONG Human Rights Watch dans un immeuble des services secrets libyen à Tripoli, parmi lesquels, un mémorandum émanant de la CIA.
Demande d’excuses
Livré aux autorités libyennes, Abdelhakil Belhadj resta incarcéré pendant 7 années à la prison Abou Selim de Tripoli, fut soumis à la torture, selon ses dires. « On m’a injecté quelque chose, suspendu à un mur par les bras et les jambes et placé dans un conteneur entouré de glace », a-t-il relaté. « Ils ne me laissaient pas dormir et il y avait du bruit constamment. J’ai été régulièrement torturé ».
Abdelhakim Belhadj affirme aussi avoir subi des interrogatoires de la part de services secrets britanniques. « Je suis étonné que les Britanniques aient été mêlés à ce qui a été une période très douloureuse de ma vie », a-t-il regretté. Passé du statut d’ennemi du régime à celui de « héros », l’homme peut aujourd’hui réclamer des excuses, de la part de ceux qui l’ont jadis livré au régime libyen.
« Ce qui m’est arrivé était illégal et mérite des excuses », a-t-il asséné à la BBC. En outre, le militaire aurait confié au quotidien britannique The Guardian qu’il comptait poursuivre devant la justice, les gouvernements britannique et américain.
Conserver des « relations normales »
Parmi les documents retrouvés, figurait également un courrier, dans lequel un haut responsable des renseignements britanniques félicite les Libyens pour l’arrivée d’ « Abdullah al-Sadiq ». « C’est bien le moins que nous pouvions faire pour vous », déclare dans ce texte le responsable britannique à Moussa Koussa, alors chef de l’espionnage du régime Kaddafi, tout en soulignant que la direction de l’opération « était britannique ».
Le Royaume-Uni souhaite répondre de ces accusations en enquêtant sur la coopération présumée de ses services secrets avec Mouammar Kaddafi. « Nous allons nous pencher sur les allégations selon lesquelles le Royaume-Uni serait impliqué dans la livraison de détenus à la Libye », a expliqué un porte-parole de la commission indépendante sur les pratiques des services secrets britanniques. « Nos investigations portent sur le degré d’implication des autorités britanniques et leur connaissance des mauvais traitements aux détenus, y compris le fait de les livrer », a-t-il expliqué, précisant que cette mission était du ressort de la commission.
Jack Straw, le ministre des Affaires étrangères travailliste au moment des faits, a pour sa part défendu sur la BBC l’attitude des gouvernements britanniques successifs. « Non seulement nous n’avons jamais approuvé ces méthodes, mais nous ne nous en sommes jamais rendus complices et n’avons jamais fermé les yeux », a-t-il déclaré.
Pour autant, ces révélations n’ont pas, comme objectif, de mettre à mal les relations de ces Occidentaux avec la nouvelle Libye. Abdelhakim Belhadj souhaite que le pays conserve « des relations normales avec les États-Unis et la Grande Bretagne ».
http://www.jeuneafrique.com

Ce matin en lisant le journal,je me suis pris un fou rire en tombant sur cette info, les mois qui suivent risquent d’être palpitant en libye.

Lisez le le rapport du CIRET-AVT , le resultat d’une mission d’information avec yves bonnet, l’ancien boss de la dst, éric denécé, Directeur du CF2R (Centre français de recherche sur le renseignement) et d’autres, vous verrez c ‘est très bien fait et sans appel, kaddhafi n’ a pas tiré sur le peuple et ce n’ était pas de simple manifestation, c’était aussi une insurrection armée de mafieux, d’étrangers et d’islamistes.
Je ne sais pas trop ce qui se passe avec la famille et la tribu d’ Abdel Fattah Younès, l’ancien chef militaire des traitres assassiné par l’actuel commandant militaire de tripoli et qui se veut chef de la nouvelle armée libyenne, mais j’ai pas l’impression qu’ils veuillent oublier ce meurtre, d’autant qu’il a été gravement torturé.
Les américains ont dit à Sarko  » attaque la libye, et prend les honneurs, nous, on sera quasi invisible, les médias sont déja briefés  » et ce con a dit ou, comme un chien, aidé du démon bhl.
J ‘espère que les libyens vont comprendre ce qui se passe et jeter dehors cette bande de traitres qui ne survivent qu’avec l’otan.
Cela fait bientot trois semaines que Tripoli est tombée et le cnt ne s’y est toujours pas installé, il semblerait qu’ils aient peur de venir…

Question à 1000 milliards de Yen, pourquoi le maire de tokyo, 3 mois après le méga séisme et le terrible tsunami, veut que le Japon développe des armes nucléaires ?

juin 29, 2011

Le controversé gouverneur de Tokyo, Shintaro Ishihara a tenu des propos polémiques en remettant sur le tapis la question de la remilitarisation du Japon.
Ce qu’il demande:
Si le Japon veut être traité comme une nation mature, le Japon doit se doter de l’arme nucléaire,
Le Japon doit devenir une puissance militaire. Sinon, il deviendra un état vassal d’un autre pays,
Le Japon a besoin d’une armée de conscription.
http://networkedblogs.com

Cette intervention est selon moi loin d’ étre anodine, 3 mois après la plus grave catastrophe « naturelle  » que le Japon ait vécu, le gouverneur de Tokyo nous dit que pour étre une nation digne de ce nom et non pas un état vassal, le pays doit posséder l’arme atomique.

Comme il ne fait aucun doute que le Japon est vassalisé par les USA, il est logique de se demander si cette déclaration est liée à la terrible catastrophe du 11 mars 2011.( la date est déja en soit un signe)

Les élites japonaises savent elles que ce séisme est une attaque américaine afin de forcer le Japon à s’aligner toujours plus sur la politique impériale américaine et à continuer à financer sans retour l’économie US ?

Je n’en sais rien mais cette intervention n’est pas gratuite, il faut savoir lire entre les lignes, certains japonais en ont marre d’être soumis, pillés et détruit par ceux qui les ont vaincus il y plus de 60 ans, ça fait cher la défaite….

Des missiles iraniens au Venezuela ? Chiche !!!

mai 24, 2011

Cela pourrait être une nouvelle version de la crise des missiles cubains de 1962. Selon un article publié par un journal allemand, l’Iran aurait l’intention d’installer des missiles au Venezuela. Des missiles qui pourraient atteindre le territoire des Etats-Unis si le projet se réalisait.

L’endroit serait déjà choisi : la péninsule de Paraguaná, située dans le nord du Venezuela. C’est ici que pourrait être installé des missiles iraniens du président Ahmadinejad avec l’accord de son homologue vénézuélien.

Un accord secret entre Hugo Chavez, le président vénézuélien, et le président iranien aurait été conclu au mois d’octobre de l’an dernier. C’est ce qu’affirme le journal allemand Die Welt. Des responsables militaires iraniens sont même venus visiter les lieux début février. Le projet serait dans sa phase de préparation affirme Clemens Wergin, le journaliste qui publie cette information.

« J’ai des sources au sein de services secrets occidentaux », confirme Clemens Wergin et il ajoute : « Je ne peux pas dévoiler de détails sur ces sources. Mais après la publication de mon article, un responsable diplomatique américain m’a confirmé que des gouvernements dans la région sont au courant de ces faits ».

Pour l’instant personne n’a confirmé officiellement cette menace. De même ni Caracas, ni Téhéran ne se sont exprimés. Cette information a cependant été reprise par plusieurs publications en Amérique du Sud ainsi qu’aux Etats-Unis.

Si elle s’avère réelle, la tension pourrait monter d’un cran entre les Etats-Unis et les deux pays en question.
rfi

Allez savoir si c’est de la propagande, j ‘espère que non, le plus plus beau serait que le regime iranien possède la bombe atomique et les vecteurs necessaires pour l’envoyer sur la cote Est !! En même temps, les autorités US ( enfin les Mafia au pouvoir )
sont tellement démentes qu’une bombe atomique lancée sur New York les arrangerait !!!

Ce qui est sûre c ‘est que le temps passe, plus l’Iran et d’autres nations ont accès à des technologies qui risquent dre remmettre en cause l’avancé technologique occidentale, le tout est de savoir si les usa ont établi et conservent une rupture technologique les mettant à l’abri de toute attaque, il restera toujours une approche assymétrique, quelques individus bien motivés et intelligents peuvent facilement déstabiliser un pays. Si par exemple ben laden haissait réellement les usa et qu’il avait envoyé des avions kamikazes le 11/09, ce n’est pas des batiments symboliques qui auraient été touchés mais des centrales nucléaires, dans ce cas la, oui un petit nombre de personnes peut concretement mettre un pays en grande difficulté. Imaginez 3 ou 4 accidents de l’envergure de fukushima, entre 10 et 15 réacteurs et leurs piscines à l’air libre. Mais non, ben laden a décidé de faire dans le symbolique, n’importe quoi !

Bref, on verra bien pour les missiles iraniens au vénezuéla, même si cette info fait très propagande !!

Ahmadinejad: l’Occident a des plans pour provoquer la sécheresse en Iran

mai 20, 2011

Les pays occidentaux ont élaboré des plans pour provoquer la sécheresse en Iran, a affirmé jeudi le président iranien Mahmoud Ahmadinejad lors de l’inauguration d’un barrage dans le centre du pays.

Les dirigeants iraniens accusent quotidiennement les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, de multiples complots pour affaiblir leur pays, qu’il s’agisse de perturber son économie, son développement scientifique, son unité, son indépendance, son système politique, sa culture ou ses relations internationales.

Les pays occidentaux ont élaboré des plans pour créer de la sécheresse dans certaines parties du monde, notamment en Iran, a dit le président iranien en déplacement à Arak (centre), cité par l’agence officielle IRNA.

Selon des rapports sur le climat dont l’exactitude s’est vérifiée, les pays européens utilisent des équipements spéciaux pour faire pleuvoir les nuages (sur l’Europe) et empêcher les nuages de pluie de parvenir dans la région (du Moyen-Orient) notamment en Iran, a-t-il ajouté.

Il a également rappelé, selon IRNA, un article d’un responsable politique occidental non identifié qui aurait, selon lui, prédit pour les trente prochaines années des sécheresses dans certaines régions s’étendant de la Turquie et l’Iran jusqu’à l’est de l’Asie.

Les régions évoquées par l’article de ce politicien occidental incluent des pays dont la culture et la civilisation inquiètent (les Occidentaux), a relevé M. Ahmadinejad à l’appui de sa démonstration.

L’Iran a connu plusieurs périodes de sécheresse ces dernières années.
romandie

On va encore le traiter de fou, mais il est fort probable qu’il ait raison ! Un peu de secheresse, un peu de spéculation et hop, les gens ne peuvent plus acheter à manger et c’est la révolution….
En revanche il semble qu’il y ait de gros problèmes au sein du pouvoir iranien, Ahmadinejad et le guide de la révolution serait brouillés, comme je ne sais pas ce qui se passe, je ne me hasarderai pas à dire quoique ce soit, mais selon moi c’est Khamenei qui dirige le pays et ahmadinejad ne devrait pas s’opposer aux mollahs, maintenant quid des pasdaran ? Vers qui vont ils aller ?
Obtenir des informations non propagandiste au sujet de l’Iran est quasiment impossible, c’est dommage j’aimerai bien comprendre ce qui se passe !!!

Bref, le moyen orient est en ébullition, hier obama a dit que la Palestine devrait exister sur les frontière de 67, les israéliens ont hurlé et s’y sont ouvertement opposés !! Maintenant, c’est sûre, obama va se faire assassiner !!!

Notons que les espagnoles s’inspirent directement du mouvement de protestation des pays arabes et occupent depuis plusieurs jours une grande place à Madrid

Et voila que le gouvernement veut interdire ces manifestation pour cause d’élection !!!!!
le monde

Photos aériennes HD de la centrale de Fukushima….. On dirait qu’elle a été bombardée….

avril 11, 2011


Damaged Unit 3, left, and Unit 4 (Air Photo Service Co. Ltd., Japan)


Unit 4, left, and Unit 3 (Air Photo Service Co. Ltd., Japan)


Damaged Unit 3 of the crippled Fukushima Dai-ichi nuclear power plant


Damaged Unit 3 of the crippled Fukushima Dai-ichi nuclear power plant in Okumamachi, Fukushima Prefecture


Damaged Unit 4


From top to bottom: Unit 1, Unit 2, Unit 3 and Unit 4. (Air Photo Service Co. Ltd., Japan)


damaged Unit 4, left, and Unit 3


From left: Unit 1, partially seen; Unit 2, Unit 3 and Unit 4. (Air Photo Service Co. Ltd., Japan)


From right to left: Unit 1, Unit 2 and Unit 3. (Air Photo Service Co. Ltd., Japan)


From right to left: Unit 1, Unit2, Unit 3 and Unit 4. (Air Photo Service Co. Ltd., Japan)

source

Et on nous dit qu’après une telle explosion l’intégrité des réacteurs et des piscines de stockage sont indemnes !!!!

Ce qui me gène avec cette catastrophe c’est que c’est arrivé un 11….
Sachant que ces dégénérés satanistes aiment jouer avec les chiffres, je me demande si ce tremblement de terre et ce tsunami n’ont pas été créés volontairement…
le nom de la centrale est aussi peut être un indice, fukushima est proche d’un fuck-ushima, ça me fait penser à l’opération de la CIA à Pont-Saint-Esprit avec l’empoisonnement au LSD.
Les lieux touchés sont avant tout des zones agricoles, ce qui a grandement limité le nombre de mort (quand on voit que c’est près de 600 kilomètres de cotes qui ont été touchés, 30 000 morts et disparus c’est beaucoup mais pas énorme non plus.)

Maintenant, allez savoir pourquoi, les USA auraient fait cela, à moins que la Chine possède également cette technologie.
Ou alors c’est la Nature-Cosmos qui est responsable :

Ma foi, je n’en sais rien.
Pauvres japonais en tout cas.

Libye : révolte populaire, guerre civile ou agression militaire ?

mars 14, 2011

Depuis trois semaines, des affrontements opposent les troupes fidèles au colonel Kadhafi à des forces d’opposition issues de l’est du pays. Après Ben Ali et Moubarak, Kadhafi sera-t-il le prochain dictateur à tomber ? Ce qui se passe en Libye est-il semblable aux révoltes populaires en Tunisie et en Egypte ? Comment comprendre les frasques et les retournements de veste du colonel ? Pourquoi l’Otan se prépare-t-elle à la guerre ? Comment expliquer la différence entre un bon Arabe et un mauvais Arabe ? Dans ce nouveau chapitre de notre série Comprendre le monde musulman, Mohamed Hassan répond aux questions d’Investig’Action…

Interview : Grégoire Lalieu & Michel Collon

Après la Tunisie et l’Egypte, la révolution arabe aurait-elle gagné la Libye ?
Ce qui se passe actuellement en Libye est différent. En Tunisie et en Egypte, le manque de libertés était flagrant. Mais ce sont les conditions sociales déplorables qui ont véritablement poussé les jeunes à la révolte. Tunisiens et Egyptiens n’avaient aucune possibilité d’entrevoir un avenir.

En Libye, le régime de Mouammar Kadhafi est corrompu, monopolise une grande partie des richesses et a toujours réprimé sévèrement toute contestation. Mais les conditions sociales des Libyens sont meilleures que dans les pays voisins. L’espérance de vie en Libye est plus importante que dans le reste de l’Afrique. Les systèmes de santé et d’éducation sont convenables. La Libye est d’ailleurs l’un des premiers pays africains à avoir éradiqué la malaria. Même s’il y a de fortes inégalités dans la répartition des richesses, le PIB par habitant est d’environ 11.000 dollars. Un des plus élevés du monde arabe. Vous ne retrouvez donc pas en Libye les mêmes conditions objectives qui ont conduit aux révoltes populaires en Tunisie et en Egypte.

Comment expliquez-vous alors ce qui se passe en Libye ?

Pour bien comprendre les événements actuels, nous devons les replacer dans leur contexte historique. La Libye était autrefois une province ottomane. En 1830, la France s’empara de l’Algérie. Par ailleurs, le gouverneur égyptien Mohamed Ali, sous tutelle de l’Empire ottoman, menait une politique de plus en plus indépendante. Avec, d’une part, les Français en Algérie et, d’autre part, Mohamed Ali en Egypte, les Ottomans craignaient de perdre le contrôle de la région : ils envoyèrent leurs troupes en Libye.

A cette époque, la confrérie des Senoussis exerçait une influence très forte dans le pays. Elle avait été fondée par Sayid Mohammed Ibn Ali as Senoussi, un Algérien qui, après avoir étudié dans son pays et au Maroc, alla prêcher sa vision de l’islam en Tunisie et en Libye. Au début du 19ème siècle, Senoussi commençait à faire de nombreux adeptes, mais n’était pas bien perçu par certaines autorités religieuses ottomanes qu’il critiquait dans ses prêches. Après un passage en Egypte et à la Mecque, Senoussi décida de s’exiler définitivement en Cyrénaïque, dans l’est de la Libye.

Sa confrérie s’y développa et organisa la vie dans la région, y percevant des taxes, résolvant les conflits entre les tribus, etc. Elle possédait même sa propre armée et proposait ses services pour escorter les caravanes de commerçants passant par là. Finalement, cette confrérie des Senoussis devint le gouvernement de fait de la Cyrénaïque, étendant même son influence jusque dans le nord du Tchad. Mais ensuite, les puissances coloniales européennes s’implantèrent en Afrique, divisant la partie sub-saharienne du continent. Cela eut un impact négatif pour les Senoussis. L’invasion de la Libye par l’Italie entama aussi sérieusement l’hégémonie de la confrérie dans la région.

En 2008, l’Italie a versé des compensations à la Libye pour les crimes coloniaux. La colonisation avait été à ce point terrible ? Ou bien Berlusconi voulait se faire bien voir pour conclure des accords commerciaux avec Kadhafi ?

La colonisation de la Libye fut atroce. Au début du 20ème siècle, un groupe fasciste commença à diffuser une propagande prétendant que l’Italie, vaincue par l’armée éthiopienne à la bataille d’Adoua en 1896, devait rétablir la primauté de l’homme blanc sur le continent noir. Il fallait laver la grande nation civilisée de l’affront infligé par les barbares. Cette propagande affirmait que la Libye était un pays sauvage, habité par quelques nomades arriérés et qu’il conviendrait aux Italiens de s’installer dans cette région agréable, avec son paysage de carte postale.

L’invasion de la Libye déboucha sur la guerre italo-turque de 1911, un conflit particulièrement sanglant qui se solda par la victoire de l’Italie un an plus tard. Cependant, la puissance européenne ne contrôlait que la région de la Tripolitaine et devait faire face à une résistance tenace dans le reste du pays, particulièrement dans la Cyrénaïque. Le clan des Senoussis y appuyait Omar Al-Mokhtar qui dirigea une lutte de guérilla remarquable dans les montagnes. Il infligea de sérieux dégâts à l’armée italienne pourtant mieux équipée et supérieure en nombre.

Finalement, au début des années trente, l’Italie de Mussolini prit des mesures radicales pour éliminer la résistance. La répression devint extrêmement féroce et l’un de ses principaux bouchers, le général Rodolfo Graziani écrivit : « Les soldats italiens étaient convaincus qu’ils étaient investis d’une mission noble et civilisatrice. (…) Ils se devaient de remplir ce devoir humain quel qu’en fût le prix. (…) Si les Libyens ne se convainquent pas du bien-fondé de ce qui leur est proposé, alors les Italiens devront mener une lutte continuelle contre eux et pourront détruire tout le peuple libyen pour parvenir à la paix, la paix des cimetières… ».

En 2008, Silvio Berlusconi a payé des compensations à la Libye pour ces crimes coloniaux. C’était bien sûr une démarche intéressée : Berlusconi voulait bien se faire voir de Kadhafi pour conclure des partenariats économiques. Néanmoins, on peut dire que le peuple libyen a terriblement souffert du colonialisme. Et parler de génocide ne serait pas exagéré.

Omar Al-Mokhtar

Comment la Libye gagna-t-elle son indépendance ?

Pendant que les colons italiens réprimaient la résistance en Cyrénaïque, le chef des Senoussis, Idriss, s’exila en Egypte pour négocier avec les Britanniques. Après la Seconde Guerre mondiale, l’empire colonial européen fut progressivement démantelé et la Libye devint indépendante en 1951. Appuyé par la Grande-Bretagne, Idriss prit le pouvoir. Pourtant, une partie de la bourgeoisie libyenne, influencée par le nationalisme arabe qui se développait au Caire, souhaitait que la Libye soit rattachée à l’Egypte. Mais les puissances impérialistes ne voulaient pas voir se développer une grande nation arabe. Elles appuyèrent donc l’indépendance de la Libye en y plaçant leur marionnette, Idriss.

Le roi Idriss répondit-il aux attentes ?

Tout à fait. A l’indépendance, les trois régions qui constituent la Libye – la Tripolitaine, le Fezzan et la Cyrénaïque – se sont retrouvées unifiées dans un système fédéral. Mais il faut savoir que le territoire libyen est trois fois plus grand que la France. A cause du manque d’infrastructures, les limites de ce territoire n’ont pu être clairement définies qu’après l’invention de l’avion. Et en 1951, le pays ne comptait qu’un million d’habitants. De plus, les trois régions nouvellement unifiées avaient une culture et une histoire très différentes. Enfin, le pays manquait de routes permettant aux régions de communiquer. En fait, la Libye était à un stade très arriéré, ce n’était pas une véritable nation.

Pouvez-vous préciser ce concept ?

L’Etat-nation est un concept lié à l’apparition de la bourgeoisie et du capitalisme. En Europe, durant le moyen-âge, la bourgeoisie capitaliste souhaitait développer son commerce sur une échelle aussi large que possible, mais était freinée par toutes les contraintes du système féodal. Les territoires étaient morcelés en de nombreuses petites entités, ce qui imposait aux commerçants de payer un grand nombre de taxes pour livrer une marchandise d’un endroit à un autre. Sans compter les divers privilèges dont il fallait s’acquitter auprès des seigneurs féodaux. Toutes ces entraves ont été supprimées par les révolutions bourgeoises capitalistes qui ont permis la création d’Etats-nations avec de grands marchés nationaux sans entraves.

Mais la nation libyenne a été créée alors qu’elle était encore à un stade précapitaliste. Elle manquait d’infrastructures, une grande partie de la population était nomade et impossible à contrôler, les divisions étaient très fortes au sein de la société, l’esclavage était encore pratiqué… De plus, le roi Idriss n’avait aucun projet pour développer le pays. Il était totalement dépendant des aides US et britanniques.

Pourquoi la Grande-Bretagne et les Etats-Unis le soutenaient-ils ? Le pétrole ?

En 1951, le pétrole libyen n’avait pas encore été découvert. Mais les Anglo-Saxons avaient des bases militaires dans ce pays qui occupe une position stratégique pour le contrôle de la mer Rouge et de la Méditerranée.

Ce n’est qu’en 1954 qu’un riche Texan, Nelson Bunker Hunt, découvrit le pétrole libyen. A l’époque, le pétrole arabe se vendait aux alentours de 90 cents le baril. Mais le pétrole libyen était acheté à 30 cents le baril tellement ce pays était arriéré. C’était peut-être le plus misérable d’Afrique.

De l’argent rentrait pourtant grâce au pétrole. A quoi servait-il ?

Le roi Idriss et son clan, les Senoussis, s’enrichissaient personnellement. Ils redistribuaient également une partie des revenus pétroliers aux chefs des autres tribus pour apaiser les tensions. Une petite élite s’est développée grâce au commerce du pétrole et quelques infrastructures ont été construites, principalement sur la côte méditerranéenne, la partie la plus intéressante pour commercer avec l’extérieur. Mais les zones rurales dans le cœur du pays restaient extrêmement pauvres et des tas de miséreux s’amassaient dans des bidonvilles autour des cités. Cela a continué jusqu’en 1969, quand trois officiers ont renversé le roi. Parmi eux, Kadhafi.

Comment se fait-il que la révolution soit venue d’officiers de l’armée ?

Dans un pays profondément marqué par les divisions tribales, l’armée était en fait la seule institution nationale. La Libye n’existait pas en tant que telle sauf à travers cette armée. A côté de ça, les Senoussis du roi Idriss possédaient leur propre milice. Mais dans l’armée nationale, les jeunes Libyens issus des différentes régions et tribus pouvaient se retrouver.

Kadhafi a d’abord évolué au sein d’un groupe nassériste, mais lorsqu’il a compris que cette formation ne serait pas capable de renverser la monarchie, il s’est engagé dans l’armée. Les trois officiers qui ont destitué le roi Idriss étaient très influencés par Nasser. Gamal Abdel Nasser était lui-même un officier de l’armée égyptienne qui renversa le roi Farouk. Inspiré par le socialisme, Nasser s’opposait à l’ingérence des puissances néocoloniales et prônait l’unité du monde arabe. Il nationalisa d’ailleurs le canal de Suez, jusque là géré par la France et la Grande-Bretagne, s’attirant les foudres et les bombardements de l’Occident en 1956.
Le panarabisme révolutionnaire de Nasser avait eu un effet important en Libye, notamment dans l’armée et sur Kadhafi. Les officiers libyens auteurs du coup d’Etat de 1969 suivirent le même agenda que Nasser.

Quels furent les effets de la révolution en Libye ?

Kadhafi avait deux options. Soit laisser le pétrole libyen aux mains des compagnies occidentales comme l’avait fait le roi Idriss. La Libye serait alors devenue comme ces monarchies pétrolières du Golfe où l’esclavage est encore pratiqué, où les femmes n’ont aucun droit et où des architectes européens peuvent s’éclater à construire des tours farfelues avec des budgets astronomiques qui proviennent en fait des richesses des peuples arabes. Soit suivre une voie indépendante des puissances néocoloniales. Kadhafi a choisi cette deuxième option, il a nationalisé le pétrole libyen, provoquant la colère des impérialistes.

Dans les années 50, une blague circulait à la Maison Blanche, au sein de l’administration Eisenhower qui se développa ensuite en véritable théorie politique sous Reagan. Comment distinguer les bons des mauvais Arabes ? Un bon Arabe fait ce que les Etats-Unis lui disent. En échange, il reçoit des avions, est autorisé à déposer son argent en Suisse, est invité à Washington, etc. Eisenhower et Reagan nommaient ces bons Arabes : les rois d’Arabie Saoudite et de Jordanie, les cheikhs et émirs du Koweït et du Golfe, le Shah d’Iran, le roi du Maroc et bien-sûr, le roi Idriss de Libye. Les mauvais Arabes ? Ceux qui n’obéissaient pas à Washington : Nasser, Kadhafi, Saddam plus tard…

Tout de même, Kadhafi n’est pas très…

Kadhafi n’est pas un mauvais Arabe parce qu’il fait tirer sur la foule. On fait la même chose en Arabie Saoudite ou au Bahreïn et les dirigeants de ces pays reçoivent tous les honneurs de l’Occident. Kadhafi est un mauvais Arabe parce qu’il a nationalisé le pétrole libyen que les compagnies occidentales considéraient – jusqu’à la révolution de 69 – comme leur appartenant. Ce faisant, Kadhafi a apporté des changements positifs en Libye, au niveau des infrastructures, de l’éducation, de la santé, de la condition des femmes, etc.

Bon, Kadhafi renverse la monarchie, nationalise le pétrole, s’oppose aux puissances impériales et apporte des changements positifs en Libye. Pourtant, quarante ans plus tard, c’est un dictateur corrompu, qui réprime l’opposition et qui ouvre à nouveau les portes du pays aux compagnies occidentales. Comment expliquer ce changement ?

Dès le départ, Kadhafi s’est opposé aux grandes puissances coloniales et a généreusement soutenu divers mouvements de libération dans le monde. Je trouve qu’il a été très bien pour ça. Mais pour être complet, il faut aussi préciser que le colonel était anticommuniste. En 1971 par exemple, il fit dérouter vers le Soudan un avion transportant des dissidents communistes soudanais qui furent aussitôt exécutés par le président Nimeyri.

En fait, Kadhafi n’a jamais été un grand visionnaire. Sa révolution était une révolution de nationaliste bourgeois et il a instauré en Libye un capitalisme d’Etat. Pour comprendre comment son régime est parti à la dérive, nous devons analyser le contexte qui n’a pas joué en sa faveur, mais aussi les erreurs personnelles du colonel.
Tout d’abord, nous avons vu que Kadhafi était parti de rien en Libye. Le pays était très arriéré. Il n’y avait donc pas de gens éduqués ou une forte classe ouvrière pour appuyer la révolution. La plupart des personnes ayant reçu une éducation faisaient partie de l’élite qui bradait les richesses libyennes aux puissances néocoloniales. Evidemment, ces gens n’allaient pas soutenir la révolution et la plupart d’entre eux quittèrent le pays pour organiser l’opposition à l’étranger.

De plus, les officiers libyens qui ont renversé le roi Idriss étaient très influencés par Nasser. L’Egypte et la Libye prévoyait d’ailleurs de nouer un partenariat stratégique. Mais la mort de Nasser en 1970 fit tomber le projet à l’eau et l’Egypte devint un pays contre-révolutionnaire, aligné sur l’Ouest. Le nouveau président égyptien, Anouar al-Sadate, se rapprocha des Etats-Unis, libéralisa progressivement l’économie et s’allia avec Israël. Un bref conflit éclata même avec la Libye en 1977. Imaginez la situation dans laquelle se trouvait Kadhafi : le pays qui l’avait inspiré et avec lequel il devait conclure une alliance capitale devenait soudainement son ennemi !

Un autre élément contextuel a joué en défaveur de la révolution libyenne : la baisse importante du cours du pétrole dans les années 80. En 1973, dans le cadre de la guerre israélo-arabe, les pays producteurs de pétrole décidèrent d’un embargo, faisant grimper en flèche le prix du baril. Cet embargo provoqua le premier grand transfert de richesses du Nord vers le Sud. Mais dans les années 80, eut lieu ce qu’on pourrait appeler une contre-révolution pétrolière orchestrée par Reagan et les Saoudiens. L’Arabie Saoudite augmenta considérablement sa production de pétrole et inonda le marché, provoquant une chute radicale des prix. Le baril passa de 35 dollars le baril à 8 dollars.

L’Arabie Saoudite ne se tirait-elle pas une balle dans le pied ?

Cela eut en effet un impact négatif sur l’économie saoudienne. Mais le pétrole n’est pas le plus important pour l’Arabie Saoudite. Sa relation avec les Etats-Unis prime avant tout, car c’est le soutien de Washington qui permet à la dynastie saoudienne de se maintenir au pouvoir.

Ce raz-de-marée pétrolier eut des conséquences catastrophiques pour de nombreux pays producteurs de pétrole qui s’endettèrent. Et tout cela se produisit dix années seulement après la montée au pouvoir de Kadhafi. Le dirigeant libyen, parti de rien, voyait en plus les seuls moyens dont il disposait pour construire quelque chose, fondre comme neige au soleil avec la chute des cours du pétrole.
Notez également que cette contre-révolution pétrolière accéléra la chute de l’URSS, alors empêtrée en Afghanistan. Avec la disparition du bloc soviétique, la Libye perdait son principal soutien politique et se retrouva très isolée sur la scène internationale. Isolement d’autant plus grand que l’administration Reagan avait placé la Libye sur la liste des Etats-terroristes et imposé toute une série de sanctions.

Qu’en est-il des erreurs commises par Kadhafi ?

Comme je l’ai dit, ce n’était pas un grand visionnaire. La théorie développée autour de son livre vert est un mélange d’anti-impérialisme, d’islamisme, de nationalisme, de capitalisme d’Etat et d’autres choses encore. Outre son manque de vision politique, Kadhafi a d’abord commis une grave erreur en attaquant le Tchad dans les années 70. Le Tchad est le cinquième plus grand pays d’Afrique et le colonel, considérant sans doute que la Libye était trop petite pour ses ambitions mégalomaniaques, a annexé la bande d’Aozou. Il est vrai qu’historiquement, la confrérie des Senoussis exerçait son influence jusque dans cette région. Et en 1935, le ministre français des Affaires étrangères, Pierre Laval, voulut acheter Mussolini en lui proposant la bande d’Aozou. Mais finalement, Mussolini se rapprocha d’Hitler et l’accord resta lettre morte.

Kadhafi a néanmoins voulu annexer ce territoire et s’est livré à une lutte d’influence avec Paris dans cette ancienne colonie française. Finalement, les Etats-Unis, la France, l’Egypte, le Soudan et d’autres forces réactionnaires de la région, ont soutenu l’armée tchadienne qui mit en déroute les troupes libyennes. Des milliers de soldats et d’importantes quantités d’armes furent capturés. Le président du Tchad, Hissène Habré, vendit ces soldats à l’administration Reagan. Et la CIA les utilisa comme mercenaires au Kenya et en Amérique latine.

Mais la plus grande erreur de la révolution libyenne est d’avoir tout misé sur les ressources pétrolières. En effet, les ressources humaines sont la plus grande richesse d’un pays. Vous ne pouvez pas réussir une révolution si vous ne développez pas l’harmonie nationale, la justice sociale et une juste répartition des richesses.
Or, le colonel n’a jamais supprimé les discriminations ancestrales en Libye. Comment mobiliser la population si vous ne montrez pas aux Libyens que, quelque soit leur appartenance ethnique ou tribale, tous sont égaux et peuvent œuvrer ensemble pour le bien de la nation ? La majorité de la population libyenne est arabe, parle la même langue et partage la même religion. La diversité ethnique n’est pas très importante. Il était possible d’abolir les discriminations pour mobiliser la population.

Kadhafi a également été incapable d’éduquer le peuple libyen sur les enjeux de la révolution. Il n’a pas élevé le niveau de conscience politique de ses citoyens et n’a pas développé de parti pour appuyer la révolution.

Pourtant, dans la foulée de son livre vert de 1975, il instaure des comités populaires, sorte de démocratie directe.

Cette tentative de démocratie directe était influencée par des concepts marxistes-léninistes. Mais ces comités populaires en Libye ne s’appuyaient sur aucune analyse politique, aucune idéologie claire. Ce fut un échec. Kadhafi n’a pas non plus développé de parti politique pour appuyer sa révolution. Finalement, il s’est coupé du peuple. La révolution libyenne est devenue le projet d’une seule personne. Tout tournait autour de ce leader charismatique déconnecté de la réalité. Et lorsque le fossé se creuse entre un dirigeant et son peuple, la sécurité et la répression viennent combler le vide. Les excès se sont multipliés, la corruption s’est développée de manière importante et les divisions tribales se sont cristallisées.

Aujourd’hui, ces divisions resurgissent dans la crise libyenne. Il y a bien sûr une partie de la jeunesse en Libye qui est fatiguée de la dictature et qui est influencée par les événements en Tunisie et en Egypte. Mais ces sentiments populaires sont instrumentalisés par l’opposition dans l’est du pays qui réclame sa part du gâteau, la répartition des richesses étant très inégale sous le régime de Kadhafi. Bientôt, les véritables contradictions vont apparaître au grand jour.

On ne sait d’ailleurs pas grand-chose sur ce mouvement d’opposition. Qui sont-ils ? Quel est leur programme ? S’ils voulaient vraiment mener une révolution démocratique, pourquoi ont-ils ressorti les drapeaux du roi Idriss, symboles d’un temps où la Cyrénaïque était la province dominante du pays ? Ont-ils demandé leur avis aux autres Libyens ? Peut-on parler de mouvement démocratique lorsque ces opposants massacrent les Noirs de la région ? Si vous faites partie de l’opposition d’un pays, que vous êtes patriotique et que vous souhaitez renverser votre gouvernement, vous tentez cela correctement. Vous ne créez pas une guerre civile dans votre propre pays et vous ne lui faites pas courir le risque d’une balkanisation.

Selon vous, il s’agirait donc plus d’une guerre civile résultant des contradictions entre clans libyens ?

C’est pire, je pense. Il y a déjà eu des contradictions entre les tribus, mais elles n’ont jamais pris une telle ampleur. Ici, les Etats-Unis alimentent ces tensions afin de pouvoir intervenir militairement en Libye. Dès les premiers jours de l’insurrection, la secrétaire d’Etat Hillary Clinton a proposé d’apporter des armes aux opposants. Dans un premier temps, l’opposition organisée sous le Conseil National a refusé toute ingérence des puissances étrangères, car elle savait que cela jetterait le discrédit sur son mouvement. Mais aujourd’hui, certains opposants en appellent à une intervention armée.

Depuis que le conflit a éclaté, le président Obama a dit envisager toutes les options possibles et le sénat US appelle la communauté internationale à décréter une zone de non-vol au-dessus du territoire libyen, ce qui serait un véritable acte de guerre. De plus, le porte-avion nucléaire USS Enterprise, positionné dans le golfe d’Aden pour combattre la piraterie, est remonté jusqu’aux côtes libyennes. Deux navires amphibies, l’USS Kearsage et l’USS Ponce, avec à leur bord plusieurs milliers de marines et des flottes d’hélicoptère de combat, se sont également positionnés dans la Méditerranée.

La semaine passée, Louis Michel, l’ancien commissaire européen au Développement et à l’Aide humanitaire de l’Union Européenne, s’est demandé avec force sur un plateau de télévision quel gouvernement aurait le courage de défendre devant son parlement la nécessité d’intervenir militairement en Libye. Mais Louis Michel n’a jamais appelé à une telle intervention en Egypte ou à Bahreïn. Pourquoi ?

La répression n’est-elle pas plus violente en Libye ?

La répression était très violente en Egypte, mais l’Otan n’a jamais positionné des navires de guerre le long des côtes égyptiennes pour menacer Moubarak. On l’a tout juste appelé à trouver une issue démocratique !

Pour la Libye, il faut être très prudent avec les informations qui nous parviennent. Un jour, on parle de 2.000 morts et le lendemain, le bilan est revu à 300. On a aussi dit dès le début de la crise que Kadhafi avait bombardé son propre peuple, mais l’armée russe, qui surveille la situation par satellite, a officiellement démenti cette information. Si l’Otan se prépare à intervenir militairement en Libye, nous pouvons être sûrs que les médias dominants vont diffuser la propagande de guerre habituelle.

En fait, la même chose s’est passée en Roumanie avec Ceausescu. Le soir du réveillon de Noël 1989, le premier ministre belge Wilfried Martens a fait un discours à la télévision. Il a prétendu que les forces de sécurité de Ceausescu venaient de tuer 12.000 personnes. C’était faux. Les images du fameux charnier de Timisoara ont également fait le tour du monde. Elles étaient censées démontrer la violence aveugle du président roumain. Mais il s’est avéré plus tard que tout cela était une mise en scène : des cadavres avaient été sortis de la morgue et placé dans des fosses pour impressionner les journalistes. On a aussi dit que les communistes avaient empoisonné l’eau, que des mercenaires syriens et palestiniens étaient présents en Roumanie ou bien encore que Ceausescu avait formé des orphelins pour en faire des machines à tuer. C’était de la pure propagande pour déstabiliser le régime.

Finalement, Ceausescu et sa femme furent tués après un simulacre de procès qui dura 55 minutes. Bien sûr, tout comme Kadhafi, le président roumain n’était pas un enfant de chœur. Mais que s’est-il passé depuis ? La Roumanie est devenue une semi-colonie de l’Europe. La main d’œuvre bon marché y est exploitée. De nombreux services ont été privatisés au profit des compagnies occidentales et sont hors de prix pour une grande partie de la population. Et maintenant, chaque année, des tas de Roumains vont pleurer sur la tombe de Ceausescu. La dictature était une chose terrible, mais depuis que le pays a été économiquement détruit, c’est pire !

Pourquoi les Etats-Unis voudraient-ils renverser Kadhafi ? Depuis une dizaine d’années, le colonel est devenu à nouveau fréquentable pour l’Occident et a privatisé une grande partie de l’économie libyenne au profit des compagnies occidentales.

Il faut analyser tous ces événements à la lumière des nouveaux rapports de force dans le monde. Les puissances impérialistes sont en déclin alors que d’autres forces sont en plein essor. Récemment, la Chine a proposé de racheter la dette portugaise ! En Grèce, la population est de plus en plus hostile à cette Union Européenne qu’elle perçoit comme une couverture de l’impérialisme allemand. Les mêmes sentiments se développent dans les pays de l’Est. Par ailleurs, les Etats-Unis ont attaqué l’Irak pour s’emparer du pétrole mais au final, seule une compagnie US en profite, le reste étant exploité par des compagnies malaisiennes et chinoises. Bref, l’impérialisme est en crise.

Par ailleurs, la révolution tunisienne a fortement surpris l’Occident. Et la chute de Moubarak encore plus. Washington tente de récupérer ces mouvements populaires, mais le contrôle lui échappe. En Tunisie, le premier ministre Mohamed Ghannouchi, un pur produit de la dictature Ben Ali, était censé assurer la transition et donner l’illusion d’un changement. Mais la détermination du peuple l’a contraint à démissionner. En Egypte, les Etats-Unis comptent sur l’armée pour maintenir en place un système acceptable. Mais des informations me sont parvenues confirmant que dans les innombrables casernes militaires disséminées à travers le pays, de jeunes officiers s’organisent en comités révolutionnaires par solidarité avec le peuple égyptien. Ils auraient même fait arrêter certains officiers associés au régime de Moubarak.

La région pourrait échapper au contrôle des Etats-Unis. Intervenir en Libye permettrait donc à Washington de briser ce mouvement révolutionnaire et d’éviter qu’il ne s’étende au reste du monde arabe et à l’Afrique. Depuis une semaine, des jeunes se révoltent au Burkina-Faso mais les médias n’en parlent pas. Pas plus que des manifestations en Irak.

L’autre danger pour les Etats-Unis est de voir émerger des gouvernements anti-impérialistes en Tunisie et en Egypte. Dans ce cas, Kadhafi ne serait plus isolé et pourrait revenir sur les accords conclus avec l’Occident. Libye, Egypte et Tunisie pourraient s’unir et former un bloc anti-impérialiste. Avec toutes les ressources dont ils disposent, notamment les importantes réserves de devises étrangères de Kadhafi, ces trois pays pourraient devenir une puissance importante de la région. Probablement plus importante que la Turquie.

Pourtant, Kadhafi avait soutenu Ben Ali lorsque le peuple tunisien s’est révolté.

Cela montre à quel point il est faible, isolé et déconnecté de la réalité. Mais les rapports de force changeants dans la région pourraient modifier la donne. Kadhafi pourrait changer son fusil d’épaule, ce ne serait pas la première fois.

Comment pourrait évoluer la situation en Libye ?

Les puissances occidentales et ce soi-disant mouvement d’opposition ont rejeté la proposition de médiation de Chavez. Ce qui laisse entendre qu’ils ne veulent pas d’issue pacifique au conflit. Mais les effets d’une intervention de l’Otan seront désastreux. On a vu ce que cela a donné au Kosovo ou en Afghanistan.

De plus, une agression militaire pourrait favoriser l’entrée en Libye de groupes islamistes qui pourraient s’emparer d’importants arsenaux sur place. Al-Qaïda pourrait s’infiltrer et faire de la Libye un deuxième Irak. Il y a d’ailleurs déjà des groupes armés au Niger que personne ne parvient à contrôler. Leur influence pourrait s’étendre à la Libye, au Tchad, au Mali, à l’Algérie… En fait, en préparant une intervention militaire, l’impérialisme est en train de s’ouvrir les portes de l’enfer !

En conclusion, le peuple libyen mérite mieux que ce mouvement d’opposition qui plonge le pays dans le chaos. Il lui faudrait un véritable mouvement démocratique pour remplacer le régime de Kadhafi et instaurer la justice sociale. En tout cas, les Libyens ne méritent pas une agression militaire. Les forces impérialistes en déroute semblent pourtant préparer une offensive contre-révolutionnaire dans le monde arabe. Attaquer la Libye est leur solution d’urgence. Mais cela leur retomberait sur les pieds.

Source : http://www.michelcollon.info

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Mohamed Hassan* est un spécialiste de la géopolitique et du monde arabe. Né à Addis Abeba (Ethiopie), il a participé aux mouvements d’étudiants dans la cadre de la révolution socialiste de 1974 dans son pays. Il a étudié les sciences politiques en Egypte avant de se spécialiser dans l’administration publique à Bruxelles. Diplomate pour son pays d’origine dans les années 90, il a travaillé à Washington, Pékin et Bruxelles. Co-auteur de L’Irak sous l’occupation (EPO, 2003), il a aussi participé à des ouvrages sur le nationalisme arabe et les mouvements islamiques, et sur le nationalisme flamand. C’est un des meilleurs connaisseurs contemporains du monde arabe et musulman.
http://www.michelcollon.info/

Voila toute une série d\'article innteressant sur la situation en Libye.

Libye: interdire le survol nécessite d’étudier une implication de l’Otan, assure Fillon

février 28, 2011

Le Premier ministre François Fillon a indiqué lundi qu’interdire le survol de la Libye pour empêcher des massacres impliquait de « réfléchir » à une « implication de l’Otan », et estimé qu’il fallait étudier « toutes les solutions » pour inciter Mouammar Kadhafi à quitter le pouvoir.
« Nous étudions toutes les solutions pour faire en sorte que le colonel Kadhafi comprenne qu’il doit s’en aller. (…) Je sais qu’on évoque des solutions militaires, ces solutions font l’objet d’évaluation de la part du gouvernement français », a affirmé M. Fillon sur RTL.
« J’ai entendu plusieurs observateurs expliquer qu’il fallait par exemple interdire le survol du territoire libyen. C’est une option qui est étudiée », a-t-il poursuivi.
Mais, selon le chef du gouvernement français, une telle décision « ne peut être prise que sur la base d’une décision du conseil de sécurité des Nations unies (…) et ne peut l’être que dans le cadre d’une opération conjointe avec des grands pays ».
« Personne aujourd’hui en Europe n’a les moyens tout seul de réaliser cette opération. Il faudrait donc impliquer l’Otan et je pense là qu’il y a une réflexion à avoir », a avancé le Premier ministre.
« Est-ce que l’Otan doit être impliquée dans une guerre civile au sud de la Méditerranée? C’est une question qui pour le moins mérite d’être réfléchie avant d’être lancée », a-t-il souligné.
Selon le New York Times, les Etats-Unis et ses alliés européens envisagent d’interdire tout survol de la Libye pour empêcher le massacre de civils par l’aviation libyenne fidèle au dictateur Mouammar Kadhafi.
D’après le quotidien, citant un haut responsable de l’administration américaine ayant requis l’anonymat, aucune décision n’a encore été prise.
http://www.lesechos.fr

Castro en a parlé tout de suite, je ne pensais pas que ce soit possible mais il semblerait que cette option existe réellement. De la à voir l’Otan occuper la Libye, je doute fortement.
On verra bien, je ne sais plus trop quoi penser de ces révolutions, en Tunisie, les gens ne se laissent pas faire, ils continuent de manifester, c’est très bien, ils veulent purger la Tunisie de tous ceux qui ont aidé ben ali à régner. En Egypte, depuis que j’ai appris que les inititateurs de la révolte ont été formés par les serbes qui ont renversé Milosevic et qu’ils sont financés par des fonds américains, je suis assez perplexe et surtout déçu, tous ces pauvres gens sont en train de se faire manipuler, espérons qu’ils soient assez lucide.
Pour la Libye c’est sûre que kadhafi est un dingue, le soutenir est impossible mais doit on soutenir une révolution si l’on sait que c’est une machination.

Réserves de pétrole US gigantesques et faillite des pays arabes producteurs de pétrole: voila le programme, avec un baril à 200 $

février 27, 2011

Rapport du gouvernement US sur les réserves de Bakken

Putain, si c’est vrai, laissez tomber le bordel à venir dans nos vies….

La Russie continuera à livrer des missiles à la Syrie et à l’Iran.

février 26, 2011

La Russie entend remplir son contrat de livraison de missiles de croisière à la Syrie, malgré les condamnations d’Israël, a déclaré samedi le ministre russe de la Défense Anatoli Serdioukov cité par les agences russes.

« Le contrat est dans sa phase de réalisation », a déclaré M. Serdioukov.

La signature de ce contrat en vue de fournir des missiles Yakhont à la Syrie remonte à 2007. Rien n’a été livré pour l’instant.

Le montant du contrat qui prévoit la livraison de 72 missiles de croisière s’élève à 300 millions de dollars, selon les médias.

Ces ventes d’armes russes à la Syrie, dont les liens avec l’Iran sont étroits, inquiètent les Etats-Unis et Israël qui redoutent que celles-ci ne se retrouvent aux mains du Hezbollah libanais.

En septembre, Israël les avait fermement dénoncées. Les médias israéliens soulignaient alors que cela pourrait mettre en danger les navires de la marine israélienne au large des côtes libanaises au cas où ces missiles seraient transférés par la Syrie au Hezbollah.

L’armée syrienne dispose essentiellement de matériel soviétique vieillissant.

Les médias russes reviennent régulièrement sur un contrat présumé de livraison de chasseurs intercepteurs MiG-31 avec la Syrie – en dépit de plusieurs démentis côté russe-, suscitant l’inquiétude d’Israël qui reste officiellement en guerre avec Damas.

Le MiG-31, considéré comme l’un des meilleurs avions de combat, peut voler par tous les temps, et est armé de missiles d’une portée de plus de 200 km capables d’atteindre simultanément 24 cibles différentes.

La Russie tente de préserver les livraisons de ses équipements militaires au Moyen-Orient malgré les révolutions et les soulèvements sociaux qui secouent la région.

Une source russe chargée des exportations d’armes a indiqué cette semaine que la chute de certains régimes pourrait causer des pertes de 10 milliards de dollars à la Russie au titre de contrats non-honorés.

M. Serdioukov a pour sa part reconnu que les soulèvements pourraient pousser la Russie à abandonner plusieurs de ses clients dans la région.

« Il est probable que nous perdions » des contrats, a souligné le ministre.

« Mais, j’espère que les principaux contrats de livraison (d’équipements) militaires seront honorés », a-t-il ajouté.

La Russie a aussi « une très longue liste » d’armes qu’elle compte vendre à l’Iran en dépit de l’annulation du contrat de livraison à Téhéran de missiles S-300, a déclaré cette semaine le directeur de l’agence russe chargée de la coopération militaro-technique, Mikhaïl Dmitriev.

Cette coopération peut notamment inclure les systèmes de missiles sol-air TOR-M1 auparavant fournis à Téhéran et « d’autres systèmes de défense antiaérienne qui ne sont pas interdits par les sanctions internationales, selon M. Dmitriev.
romandie

et

La Russie veut vendre des armes à l’Iran

La Russie a « une très longue liste » d’armes qu’elle compte vendre à l’Iran malgré les sanctions et en dépit de l’annulation du contrat de livraison à Téhéran de missiles S-300, a déclaré le directeur de l’agence russe chargée de la coopération militaro-technique dans une interview jeudi. Mikhaïl Dmitriev a souligné dans un entretien au quotidien Kommersant que la coopération militaire entre les deux pays n’avait pas cessé et que la Russie cherchait à vendre à l’Iran des armes qui ne violeraient pas les sanctions internationales.

« La coopération militaro-technique n’a jamais cessé. La résolution de l’ONU est lourde, elle interdit beaucoup de choses. Mais il y a des directions où on peut avancer », a estimé Mikhaïl Dmitriev. Cette coopération peut notamment inclure le service des missiles sol-air TOR-M1 auparavant fournis à Téhéran ou « d’autres systèmes de défense antiaérienne qui ne sont pas interdits par la résolution », a-t-il poursuivi. « Nous avons préparé une liste (…), elle est très longue », a-t-il souligné. Les Etats-Unis et Israël ont régulièrement affirmé, ces dernières années, ne pas exclure une frappe militaire contre l’Iran, accusé par les Occidentaux, malgré ses dénégations, de chercher à se doter de l’arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil.
http://www.europe1.fr

Il me font rire les malades qui occupent la Palestine quand ils se plaignent :  » nos ennemis achetent des armes  » lol.
J’espère que la totalité des yakhont iront aux Hezbollah et que la flotte israélienne sera coulée, ces missiles ont l’air d’être extrèmement rapide et efficace

Cette déclaration n’est pas anodine, les russes ont du être vexés par les américains alors ils se vengent.
C’est normal en même temps que la syrie, l’iran , le hezbollah ou le hamas aient droit à des armes sophistiqués, c’est ça la guerre.
Après les révolutions , les guerres…

La CIA dit cette après midi que moubarak s’en va, manque de bol il reste avec le soutient des saoud qui se propose de remplacer les usa dans l’aide financière allouée à l’égypte !!!

février 10, 2011

Donc, voila la CIA qui nous dit que Moubarak va partir ce soir :

« Probabilité élevée » de démission de Moubarak, selon le chef de la CIA

Le directeur de la CIA, Leon Panetta, a estimé jeudi qu’il existait d’après ses informations une « probabilité élevée » pour qu’Hosni Moubarak démissionne de la présidence égyptienne dans la journée. La télévision d’Etat égyptienne a annoncé que le président s’exprimerait dans la soirée.

S’adressant au Congrès à Washington, M. Panetta n’a pas précisé quels éléments permettaient à l’agence américaine du renseignement d’arriver à cette conclusion.

Il a cependant estimé que le départ d’Hosni Moubarak, au pouvoir depuis près de 30 ans, aurait une influence « significative » sur la capacité de l’Egypte à réaliser une « transition ordonnée » du pouvoir.

A bord de l’avion présidentiel américain Air Force One, le porte-parole de la Maison Blanche n’a pas confirmé l’analyse du chef de la CIA mais a affirmé que Barack Obama suivait la situation et avait reçu le conseiller à la sécurité nationale Tom Donilon avant de partir dans le Michigan dans la matinée. « Je ne sais pas ce qui va sortir de ce qui se passe (en Egypte) », a ajouté Robert Gibbs.

L’armée égyptienne a affirmé jeudi à la télévision nationale que le président satisferait les exigences des manifestants, dont la première est qu’Hosni Moubarak parte.
nouvel obs

Intense journée dans les chancelleries ! Trop bon ce qui se passe, Moubarak envoie chier les américains et reste en place. Cette après midi des officiers ont dit aux egyptiens  » l’armée va prendre les choses en main, nous sommes avec le peuple « , les gens ont donc penser que hosni partirait ce soir, la déception et le ressentiment vont être grand.

Le plus dingue est de voir une sorte de front saoudo egyptien contre les USA, en effet, moubarak a longuement parlé avec le roi d’arabie saoudite qui l’aurait convaincu de rester, quitte à payer le milliard et demi de dollars à la place des usa.

Moubarak : les saoudiens menacent Obama

Le régime saoudien a menacé de soutenir Hosni Moubarak si l’administration Obama poussait le président égyptien vers la sortie.

C’est ce que révèle aujourd’hui le journal britannique « Times of London ». Le roi d’Arabie Saoudite aurait appelé directement Barack Obama le 29 Janvier dernier à la Maison-Blanche. Il lui a demandé de ne pas humilier Moubarak et l’a prévenu qu’il viendrait personnellement à la rescousse du gouvernement egyptien si les Etats-Unis retiraient leur aide annuelle d’1,5 milliards de dollars.

L’allié le plus proche des Etats-Unis dans le Golfe a clairement dit à Obama que Moubarak devait rester au pouvoir jusqu’à la transition en douceur vers un système plus démocratique qui lui permettrait de partir avec dignité. Selon une source proche du roi Abdallah : « Le roi et Moubarak ne sont pas seulement des alliés, ce sont des amis proches. Il ne veut pas voir son ami perdre le pouvoir en fuyant et en étant humilié. »

L’Egypte étant en plein chaos, l’Arabie saoudite reste objectivement le seul allié américain dans la région. Cela pourrait expliquer l’apparente paralysie de Barack Obama ces derniers jours sur le sujet égyptien. Et si les militaires égyptiens ont, dans un premier temps, joué le jeu de la neutralité, il semble que les choses ont évolué ces derniers jours. Le « Times of London » affirme que l’armée égyptienne aurait capturé et torturé des milliers d’opposants au régime en place. Il est vrai que plusieurs centaines de personnes ont été déclarés manquantes selon leurs proches.
http://www.amerique24.com/

J »espère que ça ne va pas dégénérer en guerre civile cette histoire, obama ne pourra pas compter sur ces  » alliés » israélien et saoudien pour forcer moubarak à partir.

Demain risque d’être assez tendu.

Clinton Ambassador Meeting: Unprecedented Mass Meeting Of Top Envoys… bizarre, bizarre.

février 10, 2011

Secretary of State Hillary Rodham Clinton is convening an unprecedented mass meeting of U.S. ambassadors.

The top envoys from nearly all of America’s 260 embassies, consulates and other posts in more than 180 countries will be gathering at the State Department beginning on Monday. Officials say it’s the first such global conference.

The gathering comes at a time of crisis in Egypt that could reshape dynamics in the Middle East, fallout from leaked diplomatic documents and congressional calls for sweeping cuts in foreign aid.

Although the meeting has been called to discuss U.S. foreign policy priorities for 2011, officials say Clinton plans to meet personally with ambassadors from front-line states to hear about developments on the ground. Officials also expect that specific concerns about the WikiLeaks revelations will be raised.
http://www.huffingtonpost.com/ via france internelle

Ma foi allez savoir ce que ça signifie, l’Égypte, un effondrement economique, un maxi attentat, la fausse attaque ovni, peut être un futur grand dicours d’obama pour nous donner les energies libres et les traitements contre le cancer, LOL !!

Franchement je n’en sais rien, mais si c’est vraiment une première c’est que ça devait être sacrément important, à moins que clinton innove dans un délire mégalomaniaque.

WikiLeaks : les réserves saoudiennes de pétrole peut-être surévaluées

février 9, 2011

Les réserves de pétrole de l’Arabie saoudite, en raison d’estimations surévaluées, pourraient s’avérer insuffisantes pour éviter à terme l’envolée des cours du baril, selon des documents diplomatiques révélés par le site WikiLeaks et publiés mercredi par le quotidien The Guardian.
Selon un de ces télégrammes diplomatiques américains, daté de décembre 2007, Sadad al-Husseini, ancien responsable de l’exploration de la compagnie nationale saoudienne Aramco, a indiqué à des diplomates en poste à Ryad que l’Arabie saoudite avait exagéré le niveau de ses réserves.
Alors qu’Aramco aurait annoncé détenir des réserves totales de 716 milliards de barils, M. al-Husseini avait « réfuté cette analyse », estimant ces chiffres « surévalués de 300 milliards de barils », les réserves réelles étant donc de 40% inférieures, selon le câble diplomatique.
Interrogé par l’agence Dow Jones Newswires, Sadad al-Husseini a cependant affirmé mercredi avoir été mal cité par les diplomates américains, affirmant « n’avoir aucun doute sur l’exactitude des chiffres officiels publiés par Aramco ».
L’Arabie saoudite possède des réserves prouvées de pétrole de 265 milliards de barils, selon l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), ce qui les place parmi les premières de la planète.
Le chiffre de 716 milliards de barils évoqué dans le câble américain correspond « au total du pétrole présent dans le sous-sol » saoudien, y compris les hydrocarbures non exploitables, a précisé à Dow Jones M. al-Husseini.
« Une fois que la moitié des réserves prouvées aura été exploitée, un fort recul de la production s’ensuivra, qu’aucun effort ne sera capable d’endiguer », avait également déclaré aux diplomates américains l’ancien responsable d’Aramco, pour qui ce tournant pourrait intervenir d’ici 2020, d’après les télégrammes cités par le Guardian.
« Il est possible que les Saoudiens n’aient pas des réserves aussi florissantes que ce qu’on estime parfois. Ensuite, le calendrier pour (accroître) la production n’est pas aussi librement modulable que ce qu’Aramco et les optimistes aimeraient faire croire », commentaient les diplomates.
« Nous nous demandons si les Saoudiens ont encore le pouvoir de faire descendre les cours mondiaux du brut sur une période prolongée » en augmentant rapidement leur production en cas d’envolée des prix, insistait un autre câble américain révélé par WikiLeaks, envoyé de Ryad en juin 2008.
Toujours selon les documents de WikiLeaks, M. al-Husseini avait par ailleurs estimé en 2007 qu’Aramco serait incapable d’atteindre en 2009 la capacité de production totale de 12,5 millions de barils par jour (mbj) qu’elle visait alors, manquant des infrastructures nécessaires, et qu’il lui faudrait dix ans pour atteindre ce niveau.
Or, selon l’Agence internationale de l’Energie (AIE), l’Arabie Saoudite atteignait cependant en décembre 2010 une capacité de production totale de 12,10 mbj.
afp

Plus de 60% du pétrole extrait par l’Arabie Saoudite, premier producteur mondial provient d’un seul gisement, celui de ghawar et ce champ est bientot à sec…
Lisez cet article sur Ghawar.

Une fois de plus wikileaks enfonce des portes ouvertes, tout le monde sait que le pétrole conventionnel a passé son pic de production, pour les pétroles non conventionnels je n’en sais rien, il semblerait qu’il y en ait pour quelques années de plus. Par exemple on nous dit que le Brésil a découvert un des plus grand gisement au monde de pétrole conventionnel, en haute profondeur, estimation 30 milliards de barils, c’est à dire une année de consommation mondiale…. Et c’est une des plus grande découverte de ces dernieres decennies…
Pour comprendre la réalité sur le monde du pétrole, ses mensonges genre les faux choc pétroliers, les mises au point sur la consommation énorme de pétrole pour les nouvelles technologies, lisez la  » face cachée du pétrole  » ce livre est une mine d’or.
Il y a toujours la théorie du pétrole abiotique mais ça c’est une autre histoire.
Il y a un deni energétique, c’est à dire une distorsion technologique entre les possibilités techniques de nouveaux systèmes energetiques et la pauvreté technologique dans laquelle nous baignons, rendez vous compte que depuis l’invention de la machine à vapeur, il n’y a eu aucune rupture technologique dans la manière de créer de l’énergie, faire chauffer de l »eau qui fait tourner une turbine, c’est aujourd’hui encore le cas d’une centrale nucléaire.
Ma théorie c’est que les systèmes de propulsions novateurs ne sont pas proposés parcequ’ils équiperont les faux vaisseaux spatiaux lors de la fausse attaque extra terrestre, en plus bien entendu et avant tout afin de maintenir une structure géostratégique instable mais utile aux grandes puissances et une organisation sociale qui pérénise une variante de l’esclavagisme en érigeant le travail et l’utilisation de ressources energétiques chères comme modèle économique exclusif.
Ils en sont à raser des montagnes entières, sur des dizaines de kilomètres pour obtenir du charbon comme dans Appalaches,

idem pour les sables bitumeux au canada.

Et maintenant il y a les gaz de schistes avec des forages tous les 200 mètres sur des kilomètres avec injection de tonnes d’eau de de produits chimiques.

Voila un doc en 7 parties, Danger gaz de schistes

Sinon, sur le peak oil, un rapport de l’armée allemande sur les dangers structuraux liés à une rarefaction du
pétrole :

‘Peak Oil’ : rapport cinglant de l’armée allemande révélé par Der Spiegel
Une étude de la Bundeswehr évoque une menace pour la pérennité de la démocratie et de l’économique mondiale ! Mise en garde terrible, qui vient après celles du Pentagone et du département de l’énergie à Washington, de la Lloyd’s et de Chatham House à Londres…
Des analystes de l’armée allemande décrivent les conséquences dévastatrices d’un choc pétrolier permanent induit par un déclin des sources principales d’or noir, déclin dont ils jugent l’imminence plausible, selon un rapport révélé par le site de l’hebdomadaire allemand Der Spiegel le 31 août (version en anglais).
Le département d’analyse du futur, une division du centre pour la transformation de la Bundeswehr, avertit qu’il existe « une certaine probabilité pour que le Peak Oil se produise aux alentours de l’année 2010, et qu’il ait des conséquences sur la sécurité dans un délai de 15 à 30 ans ».

[L’expression ‘peak oil’, ou ‘pic pétrolier‘ désigne le moment historique incertain (et cependant proche, dirait-on) à partir duquel les extractions de pétrole deviendraient incapables de satisfaire entièrement la demande mondiale, faute de réserves suffisantes de pétrole conventionnel encore exploitables.]

[Après les départements de la défense et de l’énergie américains, après la Lloyd’s et Chatham House en Grande-Bretagne, l’armée allemande vient s’ajouter à la liste des institutions majeures qui ont manifesté en 2010 leur inquiétude à l’égard d’une possible imminence du peak oil. D’après Washington, des bouleversements radicaux pourraient intervenir très rapidement. Selon les documents du département de l’énergie et du Pentagone mis au jour sur ce blog, il est possible que dès 2015, il manque l’équivalent de la production de l’Arabie Saoudite pour faire face à la demande de l’économie mondiale.]

Le rapport de la Bundeswehr souligne à plusieurs reprises qu’une flambée du prix du brut provoquée par une insuffisance chronique des extractions mondiales aurait des conséquences gigantesques sur l’économie et la politique. « A moyen terme, le système économique global et chaque économie de marché nationale pourraient s’effondrer », écrivent les analystes. « Des pénuries de biens vitaux », notamment de nourriture, pourraient apparaître, ajoutent-ils. Le pétrole intervient directement ou indirectement dans la production « de 95 % des biens industriels », rappelle Der Spiegel.
D’après les chercheurs militaires allemands, dirigés par le lieutenant-colonel Thomas Will, une « alternative envisageable » à une telle « défaillance partielle ou complète des marchés » serait la mise en place « d’une politique de rationnement ».

Der Spiegel note que l’étude de la Bundeswehr « s’inquiète pour la survie de la démocratie elle-même ». L’hebdomadaire allemand de référence analyse, en citant le rapport :
« Des parties de la population pourraient percevoir le bouleversement déclenché par le peak oil “comme une crise systémique générale”. Cela créerait “de la place pour des alternatives idéologiques et extrémistes aux formes existantes de gouvernement”. Un fractionnement de la population affectée est jugé probable et pourrait conduire “dans des cas extrêmes à des conflits ouverts”. »
Les auteurs du rapport estiment que « les Etats qui dépendent des importations de pétrole » seront obligés « de montrer plus de pragmatisme à l’égard des pays producteurs ». Par exemple, l’Allemagne pourrait devoir assouplir son attitude à l’égard de la Russie, et être au contraire plus exigeante vis-à-vis d’Israël, afin de ménager les pays pétroliers arabes.
Ni le ministère de la défense allemand, ni le lieutenant-colonel Will n’ont souhaité répondre aux questions du Spiegel, précise l’hebdomadaire.

[La révélation de ce rapport de la Bundeswehr pourrait marquer un tournant majeur dans l’évolution du débat sur le peak oil, qui passe toujours sous le radar de l’opinion publique.
Le problème est pourtant posé depuis 1998 par quelques hommes du sérail, tels que l’Irlandais Colin Campbell et le Français Jean Laherrère, des ingénieurs et géologues pétroliers de très haute réputation. Cependant jusqu’à aujourd’hui, aucune source institutionnelle suffisamment proéminente n’a osé en assumer ouvertement les implications vertigineuses.
L’évolution des diagnostics affichés (ou dissimulés, en l’occurrence) par l’Agence internationale de l’énergie est, hélas, éclairante.
L’enjeu, c’est la capacité de nos institutions à faire face à un problème plus grand qu’elles et plus fort que nos moyens techniques : en un mot, tellurique.]
http://petrole.blog.lemonde.fr.

À qui va profiter la rarefaction du pétrole, une situation de crise mondiale nécessitera une réponse mondiale…

Présentation du Tavistock institute. Ou comment l’âme humaine est anéantie.

février 9, 2011

L’institut Tavistock de Londres fut créée en 1920 à Tavistock Square comme clinique psychiatrique (la « Clinique Tavistock »), par Cyril Burt (1883-1971), expert en recherches sur le para-normal, et Hugh Crichton-Miller (1877-1959), vice-président de l’Institut « C.G. Jung » de Zürich.

En 1921, le onzième duc de Bedford, marquis de Tavistock, donna à l’Institut un siège où furent menées des recherches sur les psychoses traumatiques par bombardement sur des rescapés de la première guerre mondiale. Il s’agissait d’identifier, avec des critères scientifiques, le « seuil de rupture » de la résistance d’un être humain soumis à des sollicitations limites. Le projet était patronné par le Bureau pour la Guerre psychologique de l’armée britannique sous le commandement du psychiatre John Rawlings Rees.

En 1932 un réfugié d’Allemagne, Kurt Lewin, spécialiste en « dynamique des groupe », c’est-à-dire de techniques de manipulation de l’individu inséré dans un groupe, visant à lui faire acquérir une nouvelle personnalité et de nouvelles valeurs, devint directeur de l’Institut Tavistock. Lewin était le fondateur de la Clinique psychologique de Harvard, qui devait jouer un rôle essentiel pour convaincre les Américains à entrer en guerre contre les Allemands.

L’institut Tavistock, qui se développa comme le centre par excellence des recherches psychiatriques, fort de ses succès obtenus dans les deux guerres mondiales, changea en 1947 son nom en « Tavistock Institute for Human Relations ». Grâce aux financements de la Rockefeller Foundation et à des présences américaines qualifiantes, le nouvel Institut travaillait en synergie avec les Britanniques, notamment avec le vice-directeur de la Clinique Tavistock, déjà mentionné plus haut, J.R. Rees, co-fondateur de la Fédération mondiale de la Santé mentale1. Rappelons au passage que Rees eut pour étudiant un personnage, réfugié d’Allemagne, qui devait faire aux Etats-Unis une brillante carrière : Henry Alfred Kissinger.

Le but déclaré de l’Institut était, – et reste à ce jour -, d' »appliquer les idées et les méthodes des sciences sociales à des problèmes de politique et de pratique », en développant des projets pour l’organisations des institutions, de l’industrie, du commerce, de la santé publique et de l’instruction. Un champ d’action multidisciplinaire qui va de l’anthropologie à l’économie, à la conduite organisationnelle, aux sciences politiques, à la psychanalyse2, à la psychologie et à la sociologie.

Dans la période immédiate de l’après-guerre, le problème auquel l’Institut Tavistock entendant donner une réponse efficace était la transposition dans les sociétés civiles de cette branche de la psychiatrie appliquée avec succès au cours de la seconde guerre mondiale, grâce essentiellement à l’oeuvre de John J. McCloy (un membre important de la Banque Kuhn & Loeb et de la Fondation Ford), et de William Paley (membre du B’nai B’rith, de la Pilgrims’ Society, de l’Ordre de Saint Jean de Jérusalem et du C.F.R.)3.

Le projet était ambitieux : appliquer directement au corps social les résultats de ces études sur le « point de rupture », mis au point au cours des deux guerres mondiales, pour détruire toute résistance psychologique dans l’individu et le mettre à la merci du Nouvel Ordre Mondial4.

L’un des plus étroits collaborateurs à l’époque du Tavistock Institute fut Max Horkheimer, l’un des pères de l' »Ecole de Frackfort », fondée par la Fabian Society et qui traitait de sociologie et de psychologie marxiste. C’est de cette école que sortit Herbert Marcuse, qui joua un rôle de premier rang pour préparer la révolution culturelle de 1968 et le « saut de paradigme »5 qui en dériva. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, l’Ecole se transféra aux Etats-Unis, où elle poursuivit ses travaux sous la direction du Comité Juif Américain (A.J.C.). La guerre étant finie, Max Horkheimer contribua, avec Ignaz Bubis, à réintroduire en Allemagne le B’nai B’rith, la haute maçonnerie réservée aux seuls Juifs6.

Dans les années 60 ce fut en Tavistock qui, en collaboration avec les services secrets anglais, pilota l’expérience de la diffusion et de l’emploi de la drogue, surtout de la drogue produite artificiellement, le LSD7, dans le cadre de ce phénomène socialement déstabilisant, qui fut appelé « contre-culture ». Grâce aux larges subventions de la Fondation Ford, du Centre Britannique d’Etude sur l’Environnement, du Ministère de la Défense britannique, de l’Université de Harvard et du Conseil des Recherches en Sciences Sociales de Grande Bretagne. L’un des personnagles plus en vue de contre-culture de la drogue était Gregory Bateson, le père des hippies californiens, l’un des cinq savants de pointe du Tavistock qui effectuaient des expériences d »ingénierie sociale » avec usage de la drogue.

A l’époque, le R.I.I.A. se trouvait sous la direction de l’ex-directeur du fameux, « Observer » – propriété de la famille Astor – Andrew Shonfield (Bilderberg, Trilatérale), membre du Conseil d’Administration du Tavistock Institute et président du Conseil des Recherches en Sciences Sociales que nous avons mentionné.

Signalons qu’en 1967, sous la direction de Shonfield, qui dirigeait le groupe de psychologues du Tavistock, Ronald David Laing, publia un livre intitulé « The Politics of Experience », qui faisait l’apologie de la schizophrénie et de la drogue, dans lequel il affirmait que « la démence est l’unique forme de santé. »8

De nos jours, le Tavistock est sorte de laboratoire sophistiqué pour le contrôle sociale du R.I.I.A., sorte de voie du milieu entre un centre d’études psychiatriques et un centre de recherches militaires, qui publie un mensuel intitulé « Human Relations » (Ed. Plenum Press). L’objectif primaire du Tavistock, en dernière analyse, est la recherche des modalités pour provoquer « des mutations des paradigmes cultures » dans les sociétés humaines, par l’instauration de « climats sociaux perturbés » ou la manipulation des « dynamiques occultes de groupes. »

A titre d’étude, un cycle de conférences s’est tenu près l’Institut Tavistock en 1989 sur le thème : « Le rôle des Organisations non gouvernementales pour affaiblir les Etats Nationaux9 », dont les actes furent publiés en 1991 dans la revue « Human Relations ».

Le Tavistock Institute s’appuie sur des porte-voix comme la Ditchley Foundation, depuis sa fondation, et sur des sociétés de pensée comme le Club de Rome et les Cercles Bilderberg avec lesquels il collabore étroitement.

Le Tavistock dispose en outre d’un réseau américain qui comprend le Stanford Research Institute, fondé en 1946, consultant de multinationales du calibre de la Wells Fargo des Rothschild, de la Bank of America ou de la Betchel Corporation. Il exerce en outre une influence déterminante sur l’Association Nationale pour l’Instruction des Etats-Unis. Font partie de ce même réseau l’Esalen Institute, centre d’irradiation du mouvement New Age, le Centre for Strategic Studies de la Georgetown University de Washington (le C.S.I.S., auquel appartiennent les figures emblématiques de Kissinger et Brzezinski), l’Hudson Institute, spécialisé dans la politique de défense et assimilées.

Mais la véritable tête de pont Tavistock aux Etats-Unis est représentée par le grand « pensoir » américain, la Rand Corporation, constituée comme rempart du R.I.I.A., et donc du C.F.R., pour le contrôle de la politique américaine à tous les niveaux, relations internationales, armements, programmes spatiaux, politique intérieure, etc…

Le réseau de contrôle de la pensée de l’individu et des comportements collectifs visant à créer, avec le soutien des grandes Fondations, la pensée unique fondant une nouvelle échelle de valeurs « politically correct », s’est irradiée en quelques décennies – comme chacun le voit – dans tout l’Occident en s’imposant de façon inaperçue dans les politiques des Etats, dans le système d’éducation, dans le monde bancaire et des affaires, dans les habitudes, suscitant les états d’esprit indispensables pour tous les niveaux, flûte enchantée de l’AUTORITE pour conduire les peuples dans l’Ère de synthèse, vers la formidable homologation à l’idéologie de la Gnose.

1. En 1940, Rees définissait les objectifs de la psychiatrie en ces termes : « Nous devons viser à nous infiltrer dans chaque activité éducative de la vie nationale[…]. Nous avons lancé une offensive très fructueuse dans bon nombre de professions. Les deux plus faciles sont naturellement l’enseignement et l’Eglise ; les deux plus difficiles sont la justice et la médecine » (John Rawlings Rees, M.D. « Strategic Planning for Mental Health », « Mental Health 1 », n°4, oct. 1940, pp. 103-104).
2. Devant le siège du Tavistock Institute, au n°30 de Tabernacle Street à Londres, trône une statue de Sigmund Freud.
3. Eric Trist – Hugh Murray, « The Social Engagement of Social Science : A Tavistock Anthology », Philadelphia, The University of Pennsylvania Press, 1990, p.5.
4. L’in des objectifs est la destruction de l’agriculture traditionnelle fondée sur l’autosuffisance. L’agriculteur indépendant, en effet, est une menace pour le Nouvel Ordre Mondial globalisé. Tous doivent dépendre de tous et personne ne peut déroger à cette règle, surtout pas les autoproducteurs. De là la dépendance toujours plus lourde de l’agriculteur à l’égard de l’industrie, du marché qui fixe capricieusement les prix des récoltes, des prêts des banques pour l’achat de machines coûteuses et d’équipements nécessaires.
5. Paradigm shifts, ou l’étude de comment les mentalités collectives et les valeurs sociales communes peuvent changer – objet des recherches de « l’Ecole de Francfort. »
6. M. Blondet, « En Bosnie comme au Liban : Guerres programmées par les psychiatres ? », dans « Studi cattolici », septembre 1993, n° 391.
7. L’acide lysergique fut développé par la Sandoz AG, maison pharmaceutique suisse, propriété de la S.G. Warburg de Londres.
8. R.D. Laing, « the Politics of Experience & The Bird of Paradise », London, Penguin Books, 1990. Cf. E.I.R., « Dope, Inc », Washington D.C., 1992, p.285.
9. Ibid, A propos des O.N.G., le B’nai B’rith Jacques Attali dans son « Dictionnaire du XXIeme siècle », Roma, éd. Armando, 1999, écrit que celles-ci se substitueront à la dissolution des Etats, des partis, des syndicats, « embryon des futures organisations internationale » (p.196).

SOURCE :

Texte extrait du lire « Maçonnerie et sectes secrètes : Le côté caché de l’Histoire. »

Un lien externe à propos du Tavistock Institute : Tavistock The Best Kept Secret in America.
http://www.dicopsy.com/ Il y a des liens sur l’article original.

Un exemple de ce qui se dit dans ces réunions

 » Il convient d’abord de détruire les anciens équilibres et valeurs poue rendre les relations fluides. De nouveaux équilibres et valeurs peuvent alors être établis qui seront consolidés de manières durables par l’autorégulation, la rééducation devient de l’autorééducation, LE MONDE EST CENSÉ SE TRANSFORMER EN UNE SOCIÉTÉ POST NATIONALE ET MULTIETHNIQUE SANS FRONTIÈRE CODIFIÉE.
Les participants de conférences macy pensent pouvoir fournir les outils et les plans de constructions nécessaire à l’avènement de ce nouvel ordre mondial.
Des machines à calculer nouvelles et plus rapides ainsi qu’une théorie des systèmes et des modèles cybernétiques grace auxquels tous les domaines de la science, de la culture et de la politique pourront être controlés et dirigés, cela doit permettre la programmation d’un homme nouveau, d’un homme anti autoritaire.  »

Le plus grave étant que ce projet de destruction de l’âme humaine a pleinement réussi.
Vous devez comprendre que nous vivons dans un système organisé de manière scientifique, une dictature psychologique totalisante, englobant tous les champs de la vie.
Comment ça se fait que le projet de quelques scientfiques ( juifs en majorité mais bon ça ne veut rien dire, hein ?) ait aussi bien fonctionné ?
En plus de la validité théorique, (ils auraient pu se tromper), il y a donc eu tout un système de relais concret et volontariste de la dite théorie, des courroies de transmission entre ces  » outils  » et leurs applications dans le réel.
Ce qui implique un encadrement, une coordination et un suivi dans le temps entre l’élaboration de la théorie et son application, c’est à dire un complot.
Ce que nous appelons  » culture  » est en réalité la résultat d’une opération d’ingénierie sociale à une très vaste échelle.
Si il y a 50 ans, des tarés se sont réunis pour créer des systèmes visant à avilir l’homme, il est indéniable que cela continue aujourd’hui…

Il faudrait savoir comment s’articule les liens entre ceux qui créent les schémas théoriques et ceux qui les appliquent.
Si quelqu’un a des infos sur ceux qui sont à l’origine de la télé réalité, comment ont été créé les premières émissions, quels ont été les intervenants et leurs liens avec des organismes comme le tavistock institute.
Maintenir l’humanité en esclavage nécessite un immense travail, le hasard n’a que très peu de place dans le spectacle qui nous est servi chaque jour.

Dans le même genre de manipulation mentale à dominante scientifique, le neuro marketing

http://www.dailymotion.com/video/xe061p_neuromarketing-des-citoyens-sous-in_news

Obama n’utiliserait pas son droit de véto lors du vote de la condamnation d’Israël pour les implantations.

février 2, 2011

Obama n’utiliserait pas son droit de véto lors du vote de la condamnation d’Israël pour les implantations.

Israël et les Etats-Unis sont prêts à une confrontation si le Président Barack Obama maintient son refus d’utiliser son droit de véto contre la résolution arabo-palestinienne soumise au Conseil de sécurité de l’ONU condamnant Israël pour sa politique d’implantation en Cisjordanie et Jérusalem-Est, comme l’indiquent des sources proches de Washington.

Si Obama n’utilise pas son droit de véto, il serait le premier président américain à laisser une condamnation anti-israélienne passer au Conseil de sécurité ; les constructions en Cisjordanie, et même dans Jérusalem Est que ce soit dans la vieille ville ou même dans les nouveaux quartiers juifs deviendraient illégales, comme toutes les actions municipales, de police et militaires dans tous ces lieux.

Cette situation mettrait les relations d’Israël avec les Etats Unis, l’ONU et l’Union Européenne dans une crise profonde. En laissant faire une telle condamnation, Obama encouragerait les Palestiniens et les états arabes hostiles à continuer à utiliser le conseil de sécurité de l’ONU pour saper la légitimité d’Israël et reconnaîtrait même un état palestinien unilatéral dans les frontières de 1967 sans négociations.

La Maison Blanche à Washington maintient une façade de normalité dans ses relations avec le gouvernement Netanyahu. La semaine dernière, deux hauts fonctionnaires américains – Dennis Ross, le conseiller personnel du Président sur l’Iran et le Moyen-Orient et Fred Hof, l’adjoint de George Mitchell conseiller sur la Syrie et le Liban, sont arrivés à Jérusalem avec une nouvelle proposition :

L’administration d’Obama et le gouvernement Netanyahu mettraient au point les mesures de sécurité qui pourraient être incorporé dans un traité de paix potentiel avec les Palestiniens et ainsi faciliter le chemin vers un accord sur les frontières. Cependant, certaines sources indiquent qu’en refusant de mettre son veto à une condamnation palestinien sur les implantations, Obama dicte a priori les frontières futures d’Israël qu’aucun parti Israélien ne saurait accepter. Même le parti Kadima pourtant prêt à un traiter, ne pourrait accepter ce tracé, parce qu’il entraînerait un retour à la situation d’avant la guerre de1967, une des plus dangereuse de l’histoire d’Israël.

Chaque gouvernement israélien depuis 1967 s’est absolument engagé à obtenir des frontières sûres et défendables dans le cadre d’accords négociés.

Le ministre de la Défense Nationale Ehud Barak semble avoir pris une tactique complètement différente de celle poursuivie par Washington

Il a maintenu la semaine dernière qu’une de ses raisons principales de diviser le parti travailliste était un développement dramatique au cours des pourparlers avec un certain groupe palestinien qu’il a refusé d’identifier.

Barak a soutenu qu’avec un parti travailliste faisant tanguer le bateau, le gouvernement n’était en mesure de profiter de « l’occasion historique » pour le progrès des négociations. Dans la conversation avec des confidents, le ministre de la Défense Nationale a dit qu’il avait persuadé le Premier ministre Binyamin Netanyahu et même le Ministre des Affaires Etrangères Avigdor Lieberman que la chance qui se présentait était trop bonne pour la manquer.

A son avis, le trio qu’il a constitué, est la seule force politique solide capable d’apporter une conclusion heureuse. C’est dans cette perspective qu’il a été donc enclin à supporter les attaques et les critiques lancées contre lui par ses anciens collègues travaillistes.

Mais personne à Washington ou Jérusalem n’a été capable de confirmer quoi que ce soit sur ce développement palestinien auquel Barak s’est référé.
Source DEBKA
http://www.europe-
israel.org

Je ne sais pas trop quoi en penser, debka est une officine de propagande sioniste, j’espère que c’est vrai même si je doute. J’adore la phrase de l’article  » Obama encouragerait les Palestiniens et les états arabes hostiles à continuer à utiliser le conseil de sécurité de l’ONU pour saper la légitimité d’Israël et reconnaîtrait même un état palestinien unilatéral dans les frontières de 1967 sans négociations. » Lol genre  » ils vont utiliser le droit, ça ne va pas  » !!! Les israéliens flippent…

Ce qui laisserait penser que c’est possible, les récentes démissions de personnalités juives de premier plan de l’administration obama, je pense aussi que les révolutions dans les pays arabes se sont pas du tout du gout d’israel, elles risquent de couper le peu de légitimité d’israel auprès de certains pays arabes collaborateurs.

Par exemple, la tunisie :

Israël : «On est désolé du départ de notre ami Ben Ali »

Le vice-Premier ministre israélien a affirmé que ce qui s’est passé en Tunisie aura des conséquences fâcheuses sur Israël (..), ajoutant dans son entretien, accordé à la Radio israélienne, que le danger est que le même scenario tunisien pourrait être réédité dans d’autres pays arabes, limitrophes avec Israël, ce qui pourrait nuire à ses intérêts de manière directe.

Le vice-Premier ministre israélien a exprimé son appréhension que le monde connaisse une situation très délicate et il dit : « Ce qui s’est passé en Tunisie pourrait mener à une forte recrudescence au pouvoir de manière démocratique dans d’autres pays arabes, ce qui constituerait une menace à la sécurité d’Israël. Cela, parce que dans ce cas là, « il se pourrait que des régîmes élus démocratiquement et qui détestent Israël, auront un impact important sur la menace de la sécurité d’Israël.»

Le même orateur a parlé des intérêts communs existant entre Israël et quelques pays arabes, affirmant que la présente coopération entre Israël et les États arabes, sur les plans sécuritaire et le renseignement, qu’elle soit directe ou indirecte, est précédée par « une pensée commune contre les courants islamistes extrémistes » Le responsable israélien a déclaré que « c’est avec une très grande inquiétude que j’ai suivi les affrontements en Tunisie, surveillant l’évolution des faits en Tunisie » Il a ajouté qu’il a même tenu des séances d’ordre sécuritaire et politique au sein du gouvernement israélien afin de suivre le cours des événements en Tunisie, avec des responsables israéliens présents en Tunisie et avec les grands chefs des ressortissants juifs en Tunisie. »

La dixième chaîne de télévision israélienne a rapporté que des responsables israéliens avaient émis « leur crainte pour le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali et pour l’avenir de son régime quelques jours avant sa fuite vers l’étranger. »

La même chaîne a indiqué : « Israël considérait Ben Ali comme l’un des plus importants présidents des pays arabes, soutenant secrètement sa politique dans la région. » Elle a ajouté : « la fuite du président tunisien, le vendredi dernier, à destination de Djeddah en Arabie Saoudite, à cause de la révolte populaire, a fait que les milieux politiques israéliens s’inquiètent de la venue d’un autre président qui changera la politique tunisienne, et verra Israël comme un ennemi et non pas comme un pays ami, comme le considérait Ben Ali auparavant.. »
http://www.echoroukonline.com

C’est pas beau de lire ça !! Les juifs extrémistes perdent les traitres qui laissent croire au monde que des régimes arabes peuvent avoir de bon rapport avec israel.

Regardez ce que disait un dirigeant israelien le 27 janvier :

israël mise sur le maintien du régime du président Hosni Moubarak en Egypte, ébranlé par une vague de manifestations, écartant à ce stade toute remise en cause des accords de paix entre les deux voisins. “Nous assistons à un tremblement de terre au Moyen-Orient. Mais nous croyons que le régime est assez fort et que l’Egypte va surmonter la vague actuelle de manifestations”, a affirmé jeudi à des journalistes étrangers un ministre du gouvernement Netanyahu qui a requis l’anonymat. “Moubarak n’est pas Zine El Abidine Ben Ali. Il y a une énorme différence. Le régime égyptien, y compris l’appareil de la Défense, dispose de racines solides”, a estimé ce membre du cabinet.
http://www.juif.org
Ils flippent, ils flippent les sionistes dégénérés

Pourtant, les USA osent le mot transition, ce qui signifie qu’ils lachent moubarak, le contraire de ce que souhaite les circoncis du 8 ieme jours :

Égypte: les USA veulent une transition

Hillary Clinton, la chef de la diplomatie américaine, a estimé aujourd’hui que le président égyptien Hosni Moubarak n’avait pas encore fait assez de pas vers la démocratisation de son pays, se prononçant pour « une transition en bon ordre ».

« Nous souhaitons voir une transition en bon ordre. Nous demandons instamment au gouvernement Moubarak, qui est toujours au pouvoir […], de faire ce qui est nécessaire pour faciliter ce genre de transition ordonnée », a-t-elle déclaré sur la chaîne CBS.

« Bien sûr que non », a-t-elle répondu plus tôt à une journaliste de la chaîne ABC qui lui demandait si les changements politiques annoncés ce week-end par Hosni Moubarak étaient suffisants.

« C’est le début », a-t-elle développé: « C’est à peine le début de ce qui doit se passer, un processus menant à des mesures concrètes pour aboutir aux réformes démocratiques et économiques que nous avons réclamées, et dont le président Moubarak lui-même a parlé dans son discours » vendredi.

Hillary Clinton, omniprésente dans les émissions politiques du matin aux États-Unis, a par ailleurs assuré sur CNN que l’administration Obama « ne fait pas campagne pour quelque issue politique que ce soit », soulignant que le destin de l’Egypte devait demeurer entre les mains du peuple égyptien.
le figaro

C’est pourtant clair !!! Les usa lachent moubarak, alors les juifs extrémistes qui occupent la palestine ont changé de disques et pris acte de la décision US de soutenir un changement de régime, alors voila que maintenant ils posent leurs conditions !!!, c’est vraiment des malades !!!, j’endandais un analyste à la télé dire que l’armée egyptienne devait discuter des modalités du changement avec les américains mais aussi israel !

Lisez cet article, c’est assez délirant comme les israeliens sont mentalement malade :

Israël a appelé mardi la communauté internationale à « exiger » de tout gouvernement égyptien le respect du traité de paix avec l’Etat hébreu, selon un communiqué du bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu.

Israël a appelé mardi la communauté internationale à « exiger » de tout gouvernement égyptien le respect du traité de paix avec l’Etat hébreu, selon un communiqué du bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu.

« Israël considère que la communauté internationale doit exiger de tout gouvernement égyptien qu’il respecte le traité de paix avec Israël », a indiqué le communiqué, soulignant qu' »il est dans l’intérêt d’Israël de préserver la paix avec l’Egypte ».

L’Egypte a conclu en 1979 un accord de paix avec Israël en échange du retrait, réalisé en 1982, de tous les territoires égyptiens conquis par l’armée israélienne durant la guerre de juin 1967.

Si cette paix, contestée par une partie importante de l’opinion égyptienne, et qui a isolé Le Caire dans le monde arabe dans les années 1980, a toujours été « froide », se limitant à des relations diplomatiques, elle a résisté à deux guerres au Liban (1982 et 2006), deux intifadas palestiniennes (1987 et 2000) et aux échecs successifs du processus de paix israélo-palestinien.

« Israël est une démocratie et encourage le progrès de la démocratie au Moyen-Orient. Mais si cela permet à des forces extrémistes d’exploiter le processus démocratique pour prendre le pouvoir et faire avancer leurs buts antidémocratiques — et nous l’avons déjà vu en Iran et ailleurs–, les résultats seront dommageables pour la paix et la démocratie », a averti M. Netanyahu.

Les dirigeants israéliens agitent le spectre d’un régime à l’iranienne en Egypte depuis qu’une révolte populaire sans précédent menace le pouvoir du président Hosni Moubarak.

Le président israélien Shimon Peres a ainsi relativisé l’intérêt d’élections libres dans des pays où des pouvoirs autoritaires seraient renversés, mettant en garde contre l’avènement d’un régime islamiste extrémiste en Egypte.

« Si, au lendemain des élections, on a une dictature religieuse extrémiste, à quoi bon ces élections démocratiques? », s’est-il interrogé avant de rencontrer la chancelière allemande Angela Merkel, en visite en Israël.

« La démocratie ne peut commencer et finir avec les élections. La véritable démocratie commence le lendemain des élections en garantissant les droits de l’Homme et en se préoccupant du bien-être des citoyens », a ajouté M. Peres.

« Il y a un grand consensus sur la question de savoir comment le processus politique peut évoluer en Egypte et on ne peut qu’espérer que tout se déroule pacifiquement », a estimé de son côté Mme Merkel.

« Nous avons tous eu de l’estime pendant des décennies pour l’engagement de Moubarak en faveur de la paix » mais « il y a manifestement en Egypte des problèmes qui sont apparus au grand jour et qui n’étaient pas connus jusqu’ici avec tant de netteté », a-t-elle reconnu.

Selon les médias israéliens, M. Netanyahu a rencontré mardi les chefs du renseignement et des services de sécurité ainsi que les membres du cabinet de sécurité, qui regroupe les ministères stratégiques. Cet échange annuel était prévu de longue date mais il a été largement dominé par la situation en Egypte, ont précisé les médias.

Un haut responsable du gouvernement a confirmé que le Premier ministre avait eu des « consultations concernant la sécurité » mais s’est refusé à en dire plus.
http://www.lepoint.fr

Selon peres (qui vient de perdre sa femme, je suis content qu’il soit triste ) plus de 200 millions d’arabes n’ont pas le droit à la démocratie parceque 5 millions de juifs extrémistes occupent la palestine, c’est magnifique !
En disant cela, peres avoue que c’est israel qui bloque toute paix dans la région puisqu’aucun regime démocratique n’est possible, il est normal que les arabes, les perses et autres musulmans du moyen orient votent pour ceux qui critiquent israel et qui revendiquent un mode vie islamique. Ce n’est pas parceque nous en occident, sous les coups de boutoirs de qui vous savez, nous n’avons plus aucune tradition au sens large du terme que nous ne devons pas accepter que des gens croient en des choses superieures à la materialité. Il nous montre aussi qu’israel est le seul  » pays  » à nous parler d’extrémisme musulman comme menace alors que quasiment tous les pays appellent au changement et s’en réjouissent et ne me parlez pas de realpolitk genre les israeliens sont aux prises avec les islamistes ils savent, ils ne savent rien, ils mentent, manipulent et tuent, c’est tout ce qu’ils savent faire.
L’islamisme n’est pas une menace, le judaisme si.

Donc, cette difference dans l’appréciation des révolutions tunisienne et égyptienne par les USA et israel montre que l’entité sioniste n’était pas au courant des intentions US, que le pays risque de perdre le peu de bon rapport avec des pays arabes et on peut se demander quel est le message qu’obama envoit aux tarés de tel aviv en les coupant d’alliés arabes comme cela.

L’entité sioniste appelle Moubarak à mater la révolte égyptienne des Jeunes

janvier 31, 2011

1/01/2011
Des responsables politiques et militaires israéliens ont exprimé leur étonnement vis-à-vis de l’appel de l’administration américaine et des pays européens « de ne pas réprimer les manifestations en Egypte » .
Ils ont estimé que « le soulèvement populaire pourrait aider les Frères musulmans à parvenir au pouvoir, ce qui obligera l’armée israélienne à se réorganiser en cas du renversement du régime égyptien », rapporte le CPI.

Un ancien chef d’une filière de renseignements militaires, Aharon Zeevi Farkash a déclaré à la radio israélienne : « Je ne comprends pas la position des États-Unis et des pays européens ni leurs revendications pour la démocratie en Egypte », ajoutant que « les manifestants égyptiens doivent être matés pour qu’ils cessent leur révolte face au régime égyptien, l’allié numéro arabe de l’entité sioniste ».

«Je suis surpris de voir comment les pays occidentaux ne sont pas conscients des tensions entre les sunnites, qui veulent résoudre les problèmes par la négociation, comme le (président Hosni) Moubarak, et les chiites qui veulent résoudre les problèmes à travers la résistance armée », a-t-il déploré.

Farkash a estimé qu’il était encore prématuré de parler d’un coup d’Etat en Egypte.

Cela dit, le CP a rapporté que des manifestants égyptiens ont confirmé devant les caméras que les forces de sécurité égyptiennes ont tué plusieurs protestataires par des balles d’origine américaines et ont asphyxié des centaines d’autres avec du gaz lacrymogène made in Israël.
almanar

« Israël » presse Washington et l’Europe de soutenir Moubarak

31/01/2011 « Israël » a fait parvenir un message secret aux Etats-Unis et à des pays européens leur demandant de soutenir la stabilité du régime égyptien d’Hosni Moubarak en butte à une vague de contestation, c’est ce qu’a rapporté, lundi, le quotidien Haaretz.

Dans ce message, les responsables israéliens soulignent qu’il est de « l’intérêt de l’occident » et de « l’ensemble du Moyen Orient de maintenir la stabilité du régime en Egypte », a ajouté journal.

« Il faut en conséquence freiner les critiques publiques à l’encontre du président Hosni Moubarak », a souligné ce message envoyé à la fin de la semaine, selon le journal.

La radio militaire, qui a repris cette information, a estimé que cette initiative constitue une critique à l’encontre des Etats-Unis et des pays européens qui sont embarrassés, devant l’opinion public, de soutenir le régime du président Moubarak.

Haaretz, citant des responsables officiels israéliens, a également indiqué que le ministère des Affaires étrangères avait émis des directives destinées à une dizaine d’ambassades « clés » aux Etats-Unis, au Canada, en Chine en Russie et dans plusieurs pays européens.

Ces directives demandent aux ambassadeurs de souligner auprès de leurs interlocuteurs « l’importance de la stabilité de l’Egypte » et de faire passer ce message le plus rapidement possible.

Jusqu’à présent, les dirigeants israéliens ont adopté un profil bas à propos de la vague de manifestations en Egypte. Netanyahu a ordonné à ses ministres de s’abstenir de faire des déclarations.

Lui même s’est contenté d’affirmer dimanche qu’ « Israël » voulait préserver la dite paix avec l’Egypte ainsi que « la stabilité et la sécurité régionale ».

« La paix avec l’Egypte dure depuis plus de trois décennies. Notre objectif est que cela continue », a ajouté Netanyahu.

Le président de la commission de la guerre et des Affaires étrangères du parlement Shaoul Mofaz a pour sa part affirmé lundi à la radio publique que « notre intérêt suprême est de conserver l’accord de paix ce que le président Moubarak a fait pendant les trente dernières années ».

« Il faut également examiner attentivement la conduite de l’administration américaine. Les Etats-Unis ont fait comprendre que leur soutien inconditionnel à un de leurs alliés (Moubarak) se résume en fait à un soutien très partiel », a également souligné M. Mofaz.

L’Egypte a conclu en 1979 un accord dit de paix avec « Israël ».
almanar

Au moins c’est dit !! la vidéo est stupéfiante !! les egyptiens ne doivent pas voter, voila la position israélienne, le culot de ces gens me fera toujours rire !!!!
Donc, les pays arabes n’ont pas le droit à la démocratie parceque israel ne le veut pas, tranquille quoi !

La monnaie chinoise accélère son internationalisation

décembre 15, 2010

Il s’échange chaque jour dans le monde l’équivalent de 400 millions de dollars en yuans.

C’est la nouvelle coqueluche des marchés. Le yuan s’arrache dans le monde. Après avoir lancé, au cours de l’été dernier, un programme visant à permettre aux entreprises chinoises d’exporter et d’importer en yuans, Pékin, qui a également autorisé les banques étrangères à investir sur son marché obligataire, affichait fin 2009 un maigre bilan: seulement 527 millions de dollars d’opérations commerciales avaient été libellés en monnaie locale au bout de six mois.

Mais, depuis, l’attrait pour le yuan, qui reste sous l’étroit contrôle du gouvernement, a littéralement explosé. Au premier semestre, le volume du commerce extérieur chinois effectué dans cette monnaie a atteint 10,3 milliards de dollars. Chaque jour, 400 millions de dollars sont échangés en yuans sur les 4000 milliards de dollars de transactions quotidiennes enregistrées dans le monde. En 2015, les échanges dans cette monnaie pourraient atteindre 3000 milliards de dollars par an, selon la Banque de la construction chinoise.

«C’est un changement majeur dans le paysage de la finance internationale», prédit Norman Chan, patron de la Banque centrale de Hongkong. McDonald’s et Caterpillar ont été les premières entreprises étrangères non financières à émettre des obligations en yuans, marquant selon Standard Chartered «le début d’une nouvelle source de financement pour les groupes internationaux qui veulent lever des capitaux pour leurs opérations en Chine».

Payer les matières premières
Mercredi matin, le yuan sera, pour la première fois de son histoire, échangeable sur le marché des changes à Moscou. Un juste retour des choses puisque le rouble l’avait été sur le marché chinois fin novembre. L’opération n’est pas innocente. La Chine, qui cherche des matières premières partout dans le monde, va pouvoir les payer dans sa propre monnaie en même temps qu’elle fournira à la Russie des biens et des services facturés en yuans. Et Pékin compte bien réitérer l’expérience en Afrique, en Amérique latine et dans tous les pays riches en pétrole et en gaz.

En internationalisant progressivement leur monnaie, les Chinois stimulent les échanges avec les pays qui les intéressent le plus et cherchent à attirer des investisseurs sur leur marché obligataire. Selon certains analystes, entre 20% et 30% de leurs importations (130,4 milliards de dollars en novembre) pourraient être réalisées en yuans dans les prochaines années.

Mais le président russe Dmitri Medvedev ne s’y trompe pas, c’est aussi un moyen de «contrebalancer le poids du dollar et de l’euro». La deuxième puissance économique mondiale derrière les États-Unis n’est «pas encore à sa place sur le marché des changes», juge un banquier de Hongkong. Elle veut peser sur la réforme du système monétaire qui se prépare dans le cadre du G20 et doit laisser, selon le président, Nicolas Sarkozy, un rôle «éminent mais pas exclusif» au billet vert.

En attendant, cette convertibilité limitée du yuan permet à Pékin de tâter le terrain de ses voisins sans remettre en question son contrôle du développement économique du pays
http://www.lefigaro.fr

Et dans le même genre :

Inde-Chine : le face-à-face des géants d’Asie

Wen Jiabao, premier ministre chinois, et Manmohan Singh, son homologue indien, le 30 octobre dernier au sommet de l’Asie de l’Est, au Vietnam.

400 entrepreneurs chinois accompagnent Wen Jiabao en visite d’État à New Delhi.

«Pragmatisme», tel est le maître mot des relations entre l’Inde et la Chine. C’est dans cet esprit que New Delhi accueille aujourd’hui le premier ministre chinois, Wen Jiabao, pour une visite d’État de deux jours. À la veille de son arrivée, les deux géants asiatiques semblaient déterminés à mettre entre parenthèses leurs contentieux politiques afin de renforcer leurs liens commerciaux. Alors que la crise continue de secouer les États-Unis et l’Europe, l’Inde et la Chine font figure de locomotives économiques de la planète. Et elles représentent à elles deux près d’un tiers de la population mondiale.

«Cette visite est très importante. La Chine est le plus grand partenaire commercial de l’Inde», relève Vishnu Prakash, le porte-parole du ministère indien des Affaires étrangères. Wen Jiabao est accompagné de 400 chefs d’entreprise, la plus forte délégation de businessmen chinois qui se soit jamais déplacée à l’étranger. Elle ne repartira pas les mains vides. Des accords d’un montant global de 20 milliards de dollars devraient être signés avec des entreprises indiennes dans des secteurs aussi divers que la production énergétique et la pharmacie. Quant au commerce bilatéral, il a explosé en cinq ans. De moins de 20 milliards de dollars en 2005, il s’établit actuellement à 60 milliards de dollars. «On peut s’attendre à une annonce visant à doubler ce chiffre à 120 milliards à l’horizon 2012», affirme Srikanth Kondapalli, sinologue à l’université Jawaharlal Nehru de Delhi.

Traité de libre-échange
Le ton avait été donné dès lundi. À deux jours de la visite de Wen, la Fédération indienne des chambres de commerce et d’industrie (Ficci) avait organisé un séminaire sur le potentiel économique Inde-Chine dans le «nouvel ordre mondial». Invités d’honneur: Zhang Yan, l’ambassadeur de Chine en Inde, et Nirupama Rao, la secrétaire aux Affaires étrangères de New Delhi. Le diplomate chinois a lancé une véritable bombe en suggérant d’entamer des négociations en vue d’un traité de libre-échange entre les deux pays. Pékin ne prend pas beaucoup de risques: Delhi a enregistré en 2007-2008 un déficit commercial de 16 milliards de dollars face à la Chine; il n’était que de 1 milliard en 2001-2002… Les Indiens cherchent à avoir davantage accès au marché chinois.

Les deux pays semblent déterminés à ne pas laisser des querelles vieilles de cinquante ans mettre en péril la vigueur de leurs liens économiques. Pourtant, les relations diplomatiques sino-indiennes se sont considérablement détériorées depuis la dernière visite de Wen Jiabao en Inde au printemps 2005. Le problème des frontières n’a toujours pas été réglé et la Chine continue de réclamer 90.000 km2 de l’Arunachal Pradesh, un État indien situé au nord-est du pays.

Pékin a aussi abandonné sa traditionnelle neutralité sur le conflit indo-pakistanais à propos du Cachemire, défendant ouvertement Islamabad dans ses revendications. Enfin, la rivalité Inde-Chine s’est déplacée dans l’océan Indien: du Bangladesh à la Birmanie, en passant par le Sri Lanka et le Pakistan, Pékin construit des bases navales, et l’Inde se sent encerclée par ce «collier de perles» chinois, comme l’appellent les analystes. Depuis 2005, l’Inde s’est considérablement rapprochée des États-Unis. En 2008, Delhi et Washington ont conclu un pacte sur le nucléaire civil qui n’a pas manqué d’irriter Pékin. Ce n’est pas un hasard si la Chine vient d’offrir au Pakistan de construire deux réacteurs nucléaires civils supplémentaires (elle lui en a déjà fourni deux). Wen Jiabao se rendra d’ailleurs directement de Delhi à Islamabad vendredi matin.
http://www.lefigaro.fr

On comprend pourquoi le Pakistan est à feu et à sang, ce pays empèche la Chine et L’ Inde de s’entendre et de former une vaste zone regroupant avec l’ensemble du sous contient indien pres de 3 milliards de personnes.
N’empèche que la délégation chinoise est la plus importante qui se soit jamais déplacée, c’est peu dire.
Quand ces deux la se regrouperont dans une zone de libre échange, notre petite UE fera bien rire.

Hahahaha, trop bon les Grecs tapent un ancien ministre lors d’une manifestation !! Super bientot les lynchages !!!! En plus nous on sait qui aller chercher…..

décembre 15, 2010

Journée « contre l’austérité » à Athènes – 15 décembre

Journée de grève contre la rigueur en Grèce, violences à Athènes

Transports publics, aériens et maritimes étaient paralysés mercredi en Grèce à l’occasion d’une nouvelle journée d’action contre la politique d’austérité, qui a donné lieu à des violences dans le centre d’Athènes.

Sur la place Syntagma, des manifestants ont lancé des cocktails Molotov sur deux grands hôtels et la police est intervenue à coups de gaz lacrymogènes pour les disperser. Il y a eu une dizaine d’interpellations et trois blessés.

Alors qu’une manifestation rassemblant 20.000 personnes atteignait le Parlement, environ 200 manifestants s’en sont pris à l’ancien ministre conservateur des Transports, Kostis Hatzidakis, qui quittait l’enceinte.

Les manifestants ont pourchassé l’ancien ministre en criant «Voleurs! Honte à vous !» Ils lui ont lancé des pierres et l’ont frappé à coups de bâton.

Kostis Hatzidakis, le visage en sang, a pu trouver refuge dans un immeuble voisin.

Les syndicats de la fonction publique et du secteur privé ont appelé à la mobilisation contre le projet de budget 2011 que le Parlement examinera la semaine prochaine et qui prolonge l’effort réclamé aux Grecs.

Le mouvement de grève s’inscrit dans le cadre d’une nouvelle journée d’action à l’échelle européenne avant le sommet européen de jeudi et vendredi.

«Nous devons signifier au gouvernement que nous n’accepterons pas des mesures qui ne mènent qu’à l’appauvrissement et au chômage», a dit à Reuters Ilias Iliopoulos, secrétaire général du syndicat de la fonction publique ADEDY.

PAS DE CHANGEMENT DE CAP EN PERSPECTIVE

Mercredi matin, les navires sont restés dans les ports, les rues bouchées du centre d’Athènes avaient l’allure de parkings géants et les chaînes de télévision et les radios ne donnaient plus d’informations en raison de la grève des journalistes.

Les hôpitaux et ministères fonctionnaient au ralenti tandis que nombre de salariés du secteur privé sont restés chez eux.

«C’est bien que les gens descendent dans la rue. Ils nous ont pris nos droits. La patience a ses limites, nous avons des enfants et des prêts à rembourser», a dit George Mihalopoulos, employé de banque de 57 ans, qui attendait le début de la manifestation à Athènes.

Le gouvernement socialiste de Georges Papandréou, qui a dû accepter ce plan de rigueur en échange d’une aide financière de 110 milliards d’euros de l’Union européenne et du FMI, dispose d’une majorité confortable au Parlement, et les manifestations ne devraient pas le faire dévier du cap de l’austérité.

ADEDY réclame «le retrait du mémorandum d’accord avec l’UE et le FMI et l’abandon des politiques contre les travailleurs».

Tard mardi soir, les députés se sont mis d’accord sur un ensemble de réformes du marché du travail, dont une réduction des salaires dans les entreprises publiques de transports et une limitation de la négociation collective, les accords d’entreprise primant désormais sur les accords de branche.

Dès mardi, les conducteurs de bus, visés par l’austérité salariale, ont manifesté dans Athènes pour dénoncer les «voleurs». Leur mouvement de grève, entamé lundi, doit se poursuivre jusqu’à jeudi.

«En raison du vote d’hier (mardi) soir, qui crée les pires relations sociales de l’histoire en Grèce, nous mènerons de nouvelles actions après les vacances», a dit le secrétaire général d’ADEDY.

http://juralibertaire.over-blog.com

Putain comment c’est beau ! Vivement que ça arrive à toute notre ploutocratie merdique, je les vois trop ces malsains se faire lyncher en ville, dans leur maison, à la campagne, jusqu’à l’aéroport on les poursuivra !
Vous avez surement compris que nous vivons une des periodes les plus intense que l’Humanité ait eu à vivre, ça veut dire que votre vie va être profondément chamboulée, pour ne pas dire plus.
Une chose importante va s’imposer à vous, le choix.
Vous allez devoir choisir ce que vous allez faire, allez vous participer, allez vous vous mettre en danger, allez vous prendre la mesure de la situation et agir en conséquence ?
C’est exaltant ! Nous vivons et allons vivre pendant au moins 20 ans un lent déclin économique couplé à une baisse du niveau de vie et à un espionnage intensif sur plusieurs niveaux.
Et ce qu’il faut avoir en tête constamment c’est que cette situation est la volonté d’une clique de dégénérée sataniques, ses sbires et ses idiots utiles.

Il va falloir rendre justice, sans procès bien evidemment, leurs crimes étant indéfendables.
Rien qu’en France, il y a des dizaines de milliers de personnes qui devront aller prématurément demander à Dieu quoi faire de leur âme.
Pendant la Terreur, ce sont plus de 40 000 personnes qui ont été soient guillotinées soient tuées sommairement et 500 000 emprisonnées, et il y avait 30 millions d’habitants…

À certain moment, une nation doit se purger, et c’est le moment.
Ceux qui nous ont mené dans le mur vont se retrouver la tete dans le mur, je me souviens avoir lu que pendant la révolution française, une des méthodes pour tuer des prêtres était que deux hommes le porte et se serve de sa tete comme un belier mais dans un mur de pierre…

On trouvera bien un truc dans le genre à faire !

Les États-Unis face à une «énorme» menace de cyberattaques

novembre 18, 2010

La menace contre les réseaux informatiques aux Etats-Unis, déjà «considérable», sera «énorme» à l’avenir et doit être à la fois gérée par les militaires et les agences civiles, a estimé mardi le secrétaire américain à la Défense Robert Gates

«Il y aura une énorme menace à l’avenir et il y a actuellement une menace considérable. Et c’est simplement la réalité à laquelle nous devons faire face», a affirmé le chef du Pentagone, interrogé sur la menace pour les réseaux informatiques lors d’une conférence organisée par le Wall Street Journal.

Le Pentagone a renforcé la sécurité informatique des réseaux militaires et espère faire de même pour les industriels de la défense, a-t-il ajouté.

Les moyens pour lutter contre les attaques cybernétiques sont concentrés dans les mains des militaires et de la très secrète Agence de sécurité nationale (NSA), ce qui soulève des questions d’ordre juridique quant au respect des libertés et à la vie privée, a concédé le ministre.

«La seule défense dont les États-Unis disposent dans le monde virtuel est la NSA. Nous ne pouvons la reproduire pour les affaires intérieures», notamment faute de temps et d’argent, a-t-il argué.

Le Pentagone et le département à la Sécurité intérieure américain ont conclu en octobre un accord visant à améliorer la protection des réseaux informatiques qui clarifie les rôles de chacun et permet de créer des passerelles entre la NSA, qui dépend du Pentagone, et le département de la Sécurité intérieure

Il prévoit notamment que des responsables de la Sécurité intérieure puissent demander à la NSA d’intervenir pour protéger les réseaux civils.
cyberpresse

Comprenez que les seuls bénéficiaires d’une destruction du système informatique mondial seront les tenant de ce système en faillite, c’est justement parceque les banques sont en faillite et plus globalement l’économie occidentale qu’une méga cyber attack les arangerait énormément, n’oublions jamais que le 11/09 est aussi une fantastique opération pour cacher des délits d’initiés gigantesques.
Bientot le grand plantage….

Soros : La Chine dirigera le Nouvel Ordre Mondial

novembre 18, 2010

Le milliardaire globaliste, George Soros, a déclaré lors d’une interview avec le Financial Times, que la Chine supplantera les Etats-Unis en tant que leader du Nouvel Ordre Mondial et que l’Amérique ne devrait pas résister au déclin du pays alors que le dollar s’affaiblit, le niveau de vie chute, et qu’une nouvelle devise globale est en train d’être introduite.

Interrogé sur quel sujet Obama devrait discuter lors de sa visite en Chine le mois prochain, Soros a affirmé, « Il serait temps parce que je pense que vous avez vraiment besoin d’inclure la Chine dans la création d’un Nouvel Ordre Mondial et d’un ordre financier mondial, » ajoutant que la Chine était un membre réticent du FMI, qui n’a pas assez contribué.

« Je pense que vous avez besoin d’un Nouvel Ordre Mondial que la Chine doit faire partie du processus de sa création et ils doivent en payer le prix, ils doivent le posséder comme les Etats-Unis possèdent… l’ordre actuel, » a déclaré Soros, ajoutant que le G20 était un pas dans cette direction.

Soros a dit qu’il y avait un envol des devises à l’étranger, et c’est pourquoi le prix des produits, notamment l’or et le pétrole, étaient généralement en hausse. Il a également déclaré qu’un déclin orchestré du dollar était « souhaitable » et que le système entier a besoin d’être reconstitué sur une devise globale.

« Vous avez besoin d’un nouveau système de devise et en fin de compte les Special Drawing Rights (SDRs) vous donnent les éléments pour le construire et je pense qu’il est peu réfléchi de la part des Etats-Unis de résister à l’utilisation plus large des Special Drawing Rights, ils pourrait être très utile maintenant quand vous avez un déficit global de la demande, vous pourriez en fin de compte créer à l’international une devise par les Special Drawing Rights, » a dit Soros, expliquant que c’était déjà en cours après que le FMI ait injecté une attribution de Special Drawing Rights (SDRs) équivalents à $250 milliards dans l’économie globale.

Soros a également déclaré que les pays plus riches transféraient déjà leur richesse à des pays plus pauvres par l’intermédiaire des SDRs, avec le FMI payant la moitié des coûts de transaction.

Soros a dit que le monde devra passer par « un ajustement douloureux » après le déclin du dollar et l’introduction d’une devise globale. Lisant entre les lignes, il a essentiellement menacé de tuer complètement le dollar si les Etats-Unis n’adhéraient pas à la devise globale.

Soros prédit que la Chine deviendra le nouveau moteur de l’économie globale, remplaçant les États-Unis, et que ceci ralentira la croissance économique et réduira les niveaux de vie. Soros a caractérisé les Etats-Unis comme une entrave à l’économie globale en raison du dollar en baisse.

Voici la vidéo de l’interview de Soros:


http://infoguerilla.fr

Un article de l’année passée qui reste d’actualité, sans parler des délires globalistes du membre de la secte, la Chine, redevenant ce qu’elle a toujours été, c’est à dire une grande puissance, va passer de laboratoire du NWO à celui de donneur d’ordre.
L’ajustement par le bas sera catastrophique pour les occidentaux, nous allons vivre plusieurs décennies de déclin.

Les Etats-Unis refusent la présence de la Turquie et du Brésil dans les prochaines négociations avec l’Iran

novembre 15, 2010

La secrétaire d’État américaine Hillary Clinton dans une décision égoïste a rejeté la présence de la Turquie et du Brésil dans le cadre des prochaines négociations entre les États occidentaux et l’Iran l’Iran.
Elle a affirmé que les discussions ne devaient avoir lieu que dans le cadre du Groupe 5+1.

Mme Clinton a déclaré mercredi que seuls les représentants des États composant le groupe 5 +1 doivent assister à la première série de discussions avec l’Iran.

Elle a également déclaré que la date et le lieu des négociations devraient être fixés par la Haute représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères, Catherine Ashton, au nom du groupe 5+1.

Le chef du dossier nucléaire iranien, Saïd Jalili, a proposé aux six grandes puissances une rencontre à Istanbul le 23 novembre ou le 5 décembre, a indiqué mardi une source diplomatique européenne.

L’Iran et le groupe 5+1 composé des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France, de la Russie, de la Chine et e l’Allemagne ont affirmé en octobre leur volonté de reprendre les discussions interrompues en octobre 2009 .

Plusieurs sources diplomatiques ont estimé que la dernière initiative de la secrétaire d’Etat américaine allaient à l’encontre des normes internationales qualifiant ses déclarations de mercredi comme une entrave à la reprise la tenue des pourparlers.

S’exprimant sur la question, un diplomate a déclaré au correspondant de l’IRNA à Vienne, que « les États-Unis ne cessent de parler de la communauté internationale se demandant si la Turquie et le Brésil sont ou pas membres à part entière de la communauté internationale ». Il a ajouté ironiquement qu’il s’agissait peut-être d’une communauté virtuelle internationale découverte par les États-Unis.
http://www.alterinfo.net

Et wé les masques tombent, le sujet est bien trop serieux pour isael pour que turcs et bresiliens donnent leur avis.

Réduction du budget militaire : les USA capitulent ?

novembre 15, 2010

La Commission de la Maison Blanche pour la réduction du déficit budgétaire propose de diminuer le budget du Pentagone de 15%. Il se chiffre actuellement à près de 700 milliards de dollars. En cas d’adoption de la réforme, beaucoup de projets prometteurs de dernières décennies aboutiraient directement à la poubelle.

Les candidats à l’élimination

Le corps de l’infanterie de marine des Etats-Unis risque d’être le plus affecté, car malgré son auréole élitaire, c’est l’une des armes les plus pauvres. Les ‘’ marines ‘’ pourraient être privés du futur chasseur à décollage vertical F-35B, du véhicule blindé de combat d’infanterie IFV et de l’avion hybride de transport MV-22 (croisé entre un avion de transport et un hélicoptère).

En cas d’approbation de la proposition de la commission, d’autres unités militaires souffriront également. Ainsi, les commandes de chasseurs F-35A et de F-35C destinés respectivement à l’armée de l’air et à la marine américaine pour les cinq prochaines années seront divisées par deux. Au cours de cette période, le Pentagone envisageait d’acquérir en tout jusqu’à 350 chasseurs F-35 toutes versions confondues. Compte tenu du retard pris dans la mise en œuvre du programme Joint Strike Fighter (JSF), dans le cadre duquel le F-35 est fabriqué, et des réductions budgétaires proposées, plus de 250 appareils devraient être soustraits au nombre prévu.

De plus, la possibilité de réaliser intégralement le programme JSF, dans le cadre duquel les trois versions du F-35 sont élaborées, est remise en question.

L’abandon du F-35B et la réduction de la commande de F-35A et C sont d’autant plus susceptibles de faire grimper le prix du chasseur. Vu que son prix a atteint 150 millions de dollars l’unité, après une autre augmentation brutale (et brutale, dans les conditions de la réduction considérable du nombre des appareils commandés, elle le sera sans aucun doute), le F-35 risque de revenir plus cher qu’un F-22 (350 millions de dollars). Etant donné que le F-22, équipé de deux turboréacteurs, a des capacités bien supérieures, la production du F-35 deviendrait inutile.

Un nouvel armement : les rêves se heurtent à la réalité

Le début manqué du programme JSF, qualifié de plus en plus souvent d’échec, est conditionné par de nombreux facteurs et, avant tout, par un facteur de risque technique trop élevé.

Le ‘’ clou ‘’ du programme consistait dans la création d’un avion de combat commun pour l’armée de l’air, la marine et l’infanterie de marine dans trois versions sensiblement similaires. Cela aurait pu permettre de réduire à la fois les dépenses de production et d’exploitation.

La version pour l’infanterie de marine, le F-35B, un appareil à décollage vertical, est l’un des plus risqué du point de vue de la faisabilité du projet, et le plus cher des trois versions du F-35. L’échec de l’avion avait été programmé à l’avance en raison de la différence entre le cahier des charges formulé par les militaires et les capacités technologiques de l’industrie. Toutefois, personne n’a tenu compte de l’avis de ceux qui, au stade de la conception, déclaraient qu’à l’étape actuelle du développement, l’élaboration d’un tel appareil avait toutes les chances de rester dans le tiroir. Ni le Pentagone, ni l’industrie militaire n’ont voulu perdre le gros lot de 330 milliards de dollars sous la forme du programme d’un chasseur de nouvelle génération pour les Etats-Unis et leurs alliés.

Mais les lois du développement technologique, à l’instar des lois de la physique, ne sont pas impactées par la décision des grandes compagnies et du ministère de la Défense de les ignorer, malgré les avertissements timides venus ‘’ d’en bas. ‘’ Au final, la mise en œuvre du programme prend de plus en plus de retard, et le coût de l’avion a été multiplié pratiquement par trois par rapport aux 50-60 millions de dollars annoncés au départ, et, de toute évidence, continuera à grimper.

Lockheed Martin, l’un des principaux concepteurs, a fait laconiquement remarquer au cours d’une discussion concernant les problèmes du F-35: ‘’ Ils voulaient des avions avec les performances suivantes : la furtivité, un seul propulseur, une suspension interne, le décollage vertical, et leurs exigences ont été satisfaites. ‘’

La même philosophie était à la base de nombreux autres programmes d’avenir pour l’armée américaine, qui font aujourd’hui l’objet de restriction budgétaire. Cela concerne les appareils de combat IFV et les appareils hybrides de transport MV-22 cités ci-dessus, et le programme ambitieux Future Combat System (FCS), dans le cadre duquel il était prévu de créer toute une famille de nouveaux appareils et d’armement pour l’armée américaine. Toutes ces conceptions créées ‘’ à la limite ‘’ des capacités technologiques ont un indice de risque technique particulièrement élevé : elles sont généralement très coûteuses et souffrent de ‘’ maladies infantiles ‘’ qui surviennent aux moments et aux endroits les plus inattendus.

Toutefois, ces appareils de combat ne présentent pas d’avantages décisifs en termes de capacités opérationnelles par rapport aux générations précédentes.

Ainsi, la majorité des spécialistes mettent en doute la capacité du F-35, dans un combat aérien, de prendre le dessus sur les chasseurs russes de la génération 4++ Su-30 et Su-35 qui se distinguent par une fiabilité enviable ainsi que par une charge utile et une autonomie de vol bien supérieures.

Retour à des générations antérieures ?

Dans les conditions des problèmes financiers et de la nécessité à préserver les emplois, il serait naturel pour les Etats-Unis de revenir à la production des appareils des anciennes générations. Ainsi, au lieu du F-35, il est prévu d’acquérir des lots supplémentaires de chasseurs F-16 et F/A-18. Au lieu des appareils hybrides MV-22, l’infanterie de marine devrait recevoir des hélicoptères traditionnels SH-60 et CH-53. Cela permettrait d’économiser de l’argent. Les économies réalisées sur les hélicoptères, selon certaines sources, permettraient de réduire les dépenses de plus d’un milliard de dollars, et de conserver à la fois les emplois dans l’industrie.

Toutefois, il est clair que la réduction considérable des dépenses pour de nouveaux appareils au profit des anciens ne permettra pas aux Etats-Unis d’abaisser notablement les dépenses militaires, qui ne sont pas du tout épuisées par le budget du Pentagone.

Afin de réaliser des économies notables, les Etats-Unis doivent effectuer des coupes dans le budget des opérations militaires en Afghanistan, ainsi que dans celui du financement des forces militaires locales et du grand nombre d’instructeurs et de conseillers en Irak. Au cours des dix dernières années, plus de 1.000 milliards de dollars ont été dépensés pour ces campagnes, tandis que les dépenses n’ont pas cessé, et ne cessent pas, d’augmenter.

La pression financière, couplée au déroulement pas franchement réussi de la campagne afghane, a indiscutablement une incidence sur la décision de l’administration américaine, à savoir rester ou partir. Il est difficile de dire si cette pression sera suffisante pour contraindre les Etats-Unis à retirer leurs troupes d’Afghanistan.

On peut dire avec certitude que le retrait des troupes, accompagné de la suspension des projets prometteurs pour l’armée américaine, aura un impact très négatif sur l’image des Etats-Unis en tant que leader du monde occidental, et sera la meilleure preuve de la profondeur de la crise actuelle.

La Congrès et la Maison Blanche en sont certainement conscients. Mais que peut-on faire pour sauver la face, sans parler de la régularisation de la situation dans l’ensemble? La question reste ouverte.

Par Ilia Kramnik, RIA Novosti
novosti

Ne nous méprenons pas, même si cette baisse devient effective, les technologies des black project mais aussi le cyber command et autre méthodes asymétriques et non conventionnelles permet aux USA de surclasser toute autre nation.
Mais cela démontre tout de même que la situation financière est vraiment critique, même en imprimant 900 milliards ils ne s’en sortent pas….

Darfour : guerre entre Israël, Chine et Etats-Unis

novembre 10, 2010

En 2005, un rapport d’experts de l’ONU démontre qu’il n’y a pas de génocide au Darfour ; pourtant, George Bush, Elie Wiesel et George Clooney aux USA et Bernard Kouchner, Bernard-Henri Lévy et le collectif Urgence Darfour en France, font campagne contre le  »génocide des Noirs » au Darfour. Selon eux, le président Al-Bashir et les Arabes du Soudan exterminent les Noirs du Soudan. Ils demandent la la tête d’Al-Bashir et soutiennent le procureur de la Cour Pénale Internationale (CPI), Monsieur Moreno-Ocampo, qui a lancé un mandat d’arrêt contre le président du Soudan. Au terme de deux années d’enquête aux USA, au Canada, en France et au Soudan et après avoir réuni des documents officiels et confidentiels des services de renseignement américain et européens, l’auteur met en évidence les vraies raisons de la campagne judiciaire et médiatique anti-Al-Bashir. Le président du Soudan a en effet choisi la Chine comme partenaire commercial privilégié pour exploiter ses richesses pétrolières convoitées par les Etats-Unis et les multinationales ; il soutient la cause palestinienne et a même participé à la guerre du Kippour en 1973 dans l’armée égyptienne contre Israël ; il s’est opposé farouchement aux deux agressions contre l’Irak. Tout ceci ne lui a jamais été pardonné, ni par les Etats-Unis, ni par Israël et ses amis, qui accusent le Soudan de soutenir le terrorisme. Pourtant, l’auteur prouve que le Soudan a proposé aux Américains de leur livrer Ben Laden et qu’ils ont refusé. Le Soudan a également livré à la France le célèbre terroriste Carlos ; l’auteur rapporte dans le livre le témoignage exclusif de Carlos sur les circonstances de son arrestation à Khartoum (capitale du Soudan) par les agents des services de renseignement français. Avec des révélations sur la moralité douteuse du procureur Ocampo, le rôle des lobbies pro-américains et pro-israéliens dans ce dossier, les ingérences étrangères au Soudan, l’action des forces rwandaises au Darfour au service des Américains, ce livre apporte une compréhension claire des méthodes utilisées aujourd’hui pour déstabiliser le continent africain, empêcher son développement et piller ses richesses. L’auteur démontre que les slogans en faveur des  »droits de l’homme et de la démocratie » masquent en réalité une action acharnée des lobbies pro-israéliens pour renverser le régime d’Al-Bashir.
egalité et réconciliation

C’est bon ça !
Toujours les mêmes !!!

Les Etats-Unis « au bord du gouffre »

novembre 10, 2010

L’agence d’évaluation financière chinoise Dagong a sévèrement critiqué mardi les Etats-Unis et leur banque centrale (Fed), et abaissé la note de dette de ce pays, dont elle estime la solvabilité « au bord du gouffre ». L’agence a abaissé la note de « AA » (« qualité de crédit très élevée » selon son échelle) à « A+ » (« qualité de crédit élevée »), avec une perspective « négative ».

Dans un rapport disponible sur son site internet et extrêmement pessimiste sur la première économie mondiale, Dagong justifie l’abaissement de la note des Etats-Unis par « la détérioration de leur capacité de remboursement et le recul très fort de l’intention de l’Etat fédéral de s’acquitter de sa dette ».

Baisse délibérée du dollar
L’agence juge que Washington, avec la décision de la Fed de se lancer dans une politique de création monétaire, fait délibérément baisser la valeur du dollar, décision qui « va dans la direction opposée des intérêts des créanciers ».

Diminuer la dette par la dévaluation
« Par essence, la dépréciation du dollar choisie par l’Etat américain indique que la solvabilité de celui-ci est au bord du gouffre, et qu’il souhaite par conséquent diminuer sa dette par une dévaluation, conformément à la volonté nationale », ont affirmé les analystes de Dagong.

Risques imprévisibles
Selon eux, « les Etats-Unis pourraient être confrontés à des risques imprévisibles pour leur solvabilité sous un an ou deux ».

Récession de long terme
Pour l’économie du pays, ils tablent sur « une récession de long terme ».

L’opinion de Dagong tranche radicalement avec celle des trois grandes agences de notation américaines, Moody’s, Standard and Poor’s et Fitch, qui attribuent aux Etats-Unis la meilleure note possible (« AAA »). (belga/7sur7)
http://www.7sur7.be

Que dire si ce n’est LOL !!!!
On peut aisément comprendre la décision chinoise après les 900 milliards d’argent imprimé par la FED, je comprends toujours pas comment le dollar tient encore la route.

Les trois scénarios du chaos à venir

octobre 21, 2010

Depuis le début de la crise économique, en 2008, la plupart des analystes ont bien compris, sans oser le proclamer encore, que l’ancien paradigme : « le sort de l’humanité, individuel et collectif, s’améliore tous les jours grâce à la science, à la démocratisation et la croissance économique » est mort. Il faudrait vraiment faire preuve d’un optimisme qui confine au pathétique pour oser croire que la situation pourrait miraculeusement se retourner avec « quelques efforts » et « concessions », ou encore que les mesures de rigueur mises en place dans tous les pays pourraient inverser la situation. Au mieux, nous gagnerons quelques années avant le chaos. La question n’est donc plus de se demander si notre civilisation est en train de s’écrouler, puisque c’est l’évidence même, mais de savoir quand et comment.

Nous retiendrons trois scénarios, partant du principe que la crise de 2008 n’était que l’élément déclencheur – symptôme de la fin d’un cycle – et que les prochaines lignes de catastrophes qui entraîneront une détérioration générale et irréversible de l’humanité se produiront très rapidement.

Néanmoins, du pire peut naître le meilleur, et un chaos incontrôlable pourrait laisser place, non pas à un nouvel ordre mondial, mais à un nouveau monde.

Scénario du « chaos rampant »
En deux ou trois ans,l’économie étasunienne et européenne s’effondre et entre dans une sévère récession. Le chômage réel atteint 20% et le niveau de vie général baisse de 30 %. La crise en Europe dépasse en ampleur celle de 1929. La criminalité n’est plus maîtrisée et les ghettos de démunis et zones-refuge pour les classes fortunées explosent. Les forces de l’ordre, débordées, font face à une « guerre civile rampante ». Des attentats dont on ne sait jamais trop qui sont les commanditaires réels deviennent répétitifs, toutefois sans qu’ils ne donnent lieu à l’utilisation d’armes de destruction massive. Cet affaiblissement de l’économie des États-Unis et de l’Europe a évidemment un impact très négatif sur le reste de l’économie mondiale qui, cependant, n’entre pas en récession. Mais continue de croître – néanmoins très lentement – grâce, notamment, à la locomotive chinoise. Toutefois, au niveau mondial comme aux plans étasunien et européen, la corde ne rompt pas. La situation, bien que gravissime, demeure sous contrôle. Une situation de crise généralisée durable s’installe. La civilisation actuelle se maintient,dans la douleur, mais elle résiste. L’effondrement est redouté mais repoussé aux calendes grecques. La croissance démographique de la population planétaire connaît un sérieux coup de frein, du fait de la progression généralisée de la mortalité. La fragilité de cet immense ensemble bancal n’est pas si grande qu’elle puisse précipiter sa chute. En 2020, le pire est évité. Pourtant,aucune mesure sérieuse n’est prise, aucune leçon n’est tirée. Le destin accorde à la tragédie un acte de plus.

Scénario du « chaos contrôlé »
Les mêmes éléments et les mêmes causes que ceux évoqués lors du scénario précédent sont à l’oeuvre, mais ils se produisent plus brutalement et leur enchaînement, leur concomitance, on des conséquences beaucoup plus sévères et s’étendent au monde entier. La récession économique est bien plus sévère que précédemment : le niveau de vie chute de 50%. La guerre civile dans plusieurs pays d’Europe n’est plus « larvée », mais se reconnaît comme telle. Tous les paramètres demeurent les mêmes, mais ils s’aggravent. La paupérisation atteint, à l’échelle planétaire, des niveaux astronomiques – surtout dans le tiers-monde. L’ordre mondial utilise ce chaos, qu’il contrôle parfaitement, de sorte à accélérer l’interruption du processus démocratique et étendre son contrôle total, notamment par l’application généralisée des biotechnologies. On assiste à une déstabilisation psychologique de l’humanité qui, jusque dans l’inconscient collectif, a des effets dévastateurs. La population humaine régresse rapidement et permet la mise en place d’une société 20/80, à savoir celle dans laquelle le travail de 20 % de la population mondiale sera suffisant pour soutenir la totalité de l’appareil économique de la planète ; les 80 % restant étant superflus et destinés à disparaître.

Scénario du « chaos incontrôlable »
Une rupture fractale se produit,la corde casse. L’édifice de la civilisation mondiale n’a pu résister. Les facteurs précédemment décrits connaissent une intensité encore plus accentuée. Comme un jeu de dominos,tout s’écroule. Le basculement survient entre 2012 et 2015,mais le naufrage met dix ans à s’accomplir. La population mondiale se réduit drastiquement. Elle passe de six milliards à un milliard et continue de décliner à grande vitesse. Les causes en sont simples : l’effondrement des approvisionnements alimentaires et en eau potable,ainsi que la fin de l’accès aux médicaments dû à la cessation des industries pharmaceutiques et des structures médicales. Vers 2050, l’espèce humaine se stabilise à un peu moins de 300 millions d’êtres humains. Les survivants fuient les villes et les mégapoles en masse et se rendent dans les campagnes pour vivre d’agriculture vivrière et d’artisanat, car toutes les industries se sont arrêtées. Une fantastique et brutale régression technique commence.

Les impératifs de subsistance, de protection et de prédation sont la loi générale, donc la guerre. Des féodalités se créent et de nouveaux rapports politiques s’instaurent, assez semblables à ce qui existait au Moyen Âge. C’est en quelque sorte une répétition du passé, mais selon une modalité différente, l’Histoire étant un éternel retour approximatif. Une nouvelle humanité commence alors à naître partout, fondée sur des bases radicalement nouvelles. Les hommes qui auront survécu seront-ils moins heureux que leurs parents et ancêtres ? Certainement plus.

Néanmoins le désespoir n’est pas de mise. La fin de notre civilisation pourrait être une bonne nouvelle, même si elle s’accomplira bientôt dans la détresse et la douleur. Après les ténèbres qui commencent,viendra la lumière – l’histoire humaine est loin d’être terminée. Se préparer à la catastrophe et à la renaissance, c’est se transformer soi-même de l’intérieur. Un nouveau monde pourrait naître sur les ruines de l’ancien et, peut-être, le mieux que nous ayons à faire est de précipiter le basculement de l’ordre actuel.

Clovis CASADUE, pour la revue FLASH

Publié sur Mecanopolis avec l’aimable autorisation de Jean-Emile Néaumet, directeur de la rédaction.
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C’est bien mais ça manque d’imagination, on ne retournera pas au moyen age, il va y avoir la fausse invasion extra terrestre, n’oublions pas que le faux règne grace à la télé , nous allons voir l’invasion à la télé comme nous l’avons vu dans les films, nous sommes mûrs, le piratage des films a permis que des centaines de millions de personnes en asie et en afrique ont vu les grosses productions hollywoodiennes.
Ceux qui oeuvrent au NWO vont user de technologies qui vont bluffer les gens et puis rien qu’avec la télé, les falsifications sont très aisées.

En tout cas, il va y avoir du spectacle… et la mort de milliards de personnes est une nécessité pour les élites folles, cela est réellement une certitude.