La Réserve fédérale américaine (Fed) a autorisé, mardi 31 août, l’achat par le fonds souverain chinois China Investment Corporation (CIC) de 10 % des droits de vote de la banque d’affaires américaine Morgan Stanley. Le conseil des gouverneurs de la Fed « a approuvé la demande de CIC pour racheter jusqu’à 10 % des droits de votes de Morgan Stanley », écrit-elle dans un communiqué. La demande avait été déposée début août.
CIC, comme toute entreprise ou banque étrangère, devait recevoir l’approbation de la Fed pour prendre une part de 5 % ou plus dans une banque américaine. Ce fonds souverain, à la tête de 300 milliards de dollars d’investissements, a été créé en 2007 dans le but de faire fructifier à l’étranger les massives réserves de change chinoises, qui s’élevaient à un montant record de 2 454 milliards de dollars fin juin. Ses placements sont essentiellement des actifs aux rendements sûrs mais peu élevés, comme les titres de dette du Trésor américain. le monde
Je viens également de lire cela » En septembre 2008, le Financial Times annonçait déjà que la banque américaine Morgan Stanley et le fonds souverain CIC étaient en discussions concernant une éventuelle cession de 49% du capital de la banque. » la tribune
Comme à la veille du premier effondrement boursier, les chinois viennent à la rescousse des banques occidentales en faillites, serait-ce un signe de plus que le second effondrement est pour bientôt ?
Les chinois ont 2500 milliards de réserve de devise étrangère, ils ont intérêt à utiliser cet argent avant qu’il ne vale plus rien et que les USA soient en cessation de paiement.
Les Emirats arabes unis négocient très durement le contrat d’acquisition de soixante Rafales. Non seulement, ils exigent ce qu’il se fait de mieux en matière aéronautique au prix le plus bas possible, mais ils profitent de l’occasion pour obtenir des à-côtés. Le GIGN, par exemple.
Les Emiratis ont en effet souhaité que les gendarmes d’élite forment leurs propres groupes antiterroristes aux techniques les plus difficiles, comme la libération d’otages à bord d’un avion. Il s’agit de l »un des savoirs-faire les plus spécifiques du « Groupe » et il n’est pas question de le partager complètement… Les discussions, âpres, se sont poursuivies jusqu’en juillet, avec des échanges de délégation entre les deux pays, les Emiratis faisant état d’une menace réelle sur leur pays.
Un compromis semble avoir été trouvé : en cas de prise d’otage à bord d’un avion aux Emirats, c’est le GIGN qui interviendrait directement, à charge pour les Emirats d’assurer le transport des hommes du Groupe…
Comme on le sait, la France et les Emirats arabes unis sont liés par un accord de défense et la France possède désormais une base permanente dans ce pays. secretdefense.blogs.liberation.fr
Cette information est franchement délirante, plutot que d’enseigner les techniques contre les prise d’otages, l’état français préfère risquer la vie des membres du GIGN pour que dassault aviation puisse faire des bénéfices, c’est surréaliste.
Les choses ont bien changé en trente ans, avant nous posions nos conditions, aujourd’hui c’est nous qui nous aplatissons…
Dans ces temps troublés de loi gayssot, arsenal orwelien nous renvoyant à
l’inquistion criant : » croit en la shoah ou va en prison « , il est une chose
très troublante.
Si en France nous disons que les juifs étaient surreprésentés chez les cadres
bolchéviques des années 20 et 30, c’est directement l’accusation
d’antisémitisme.
On entendrait » oui, c’est la vieille rengaine hitlérienne « , ou que sais je
encore.
Pourtant, dans la presse israelienne, sever ploker a écrit un article
dépassionné, un peu comme si un historien français écrivait dans le Monde un
papier sur les massacres de l’armée française en Algérie entre 1830 à 1848, dans son
article intitulé » les juifs de staline » , il nous explique calmement que :
» Nous ne devons pas oublier que certains des plus grands meurtriers des temps modernes étaient juifs. »
Chose plus incroyable, Sever Plocker affirme une chose qui d’habitude est associée à la propagande nazi d’adolf hitler, c’est à dire le lien juif/bolchévique, en effet il nous dit :
» En 1934, selon les statistiques publiées, 38,5 pour cent de ceux qui détiennent les postes les plus élevés dans les appareils de sécurité soviétiques étaient d’origine juive. »
Bien entendu de nombreux lecteurs de Ynet ont été choqués par ces révélations, mais comme c’est une réalité historique vérifié et vérifiable, il n’y a pas grand chose à dire si ce n’est prendre acte de cette information sans entrer dans une posture négationniste.
Dans le même style de blocage mental, il y a l’histoire des textos provenant d’une société israélienne (Odigo) et prévenant des attentats du 11/09, cette fois c’est Haaretz qui nous le dit :
» Odigo, le service de messagerie instantanée, affirme que deux de ses travailleurs ont reçus, deux heures avant l’attaque des tours jumelles le 11 Septembre, un message prédisant ces attaques, la société a coopéré avec la police israélienne et américaine, y compris le FBI, en essayant pour trouver l’expéditeur initial du message de prévoir l’attaque. » http://www.haaretz.com/odigo-says
Pourtant, en France, dire cela est passible du crime d’antisémitisme, il n’ a qu’ Éric Laurent qui a osé le dire à la télévision, le serieux de son travail le protégant de toute accusation d’antisémitisme. Précison tout de même qu’aucune suite ou explication n’a été fournie depuis, mieux , l’auteur de l’article fait presque de l’humour en disant :
» C’est peut etre juste quelqu’un qui a fait une blague qui c’est accidentellement
avérée être vrai » !!!!!
Un dernier exemple de la variabilité dans la perception de l’antisémitisme, l’actrice juive américaine Rachel Weisz a dit des choses absolument délirantes sur le controle des juifs à Hollywood. C’est sans ambage qu’elle dit :
Rachel : » Hollywood est dirigé par les juifs.
Quand j’avais 19 ans, un agent américain m’a conseillé de changer mon nom de famille.
Et je lui ai dit : “Pourquoi ? Les juifs dirigent Hollywood de toute façon.”
Il a répondu “Justement”.
Selon sa théorie, tous les gros pontes pensent que le métier d’actrice est réservé aux “shiksas” (gentilles) »
EMMA : De tous les juifs qui ont la haine de soi de par le monde, les pires sont ceux d’Hollywood. Ils ne veulent pas voir d’images d’eux à l’écran.
C’est pour cela que Lauren Bacall devait cacher son identité, et que Winona Ryder a changé son nom d’Horowitz.
RACHEL WEISZ : D’une certaine façon, le métier d’actrice est de la prostitution, et les juifs d’Hollywood ne veulent pas que leurs propres femmes y participent.
Il y a aussi un élément du “Complexe de Portnoy” : ils ont tous envie de belles blondes aryennes.” http://www.indexmagazine.com
Soit Rachel Weisz est stupide et croit la propagande antisémite, soit ce qu’elle dit est vrai, c’est à vous de décider… En revanche je n’ose imaginer ce qui se passerait si un non juif disait cela…..
L’antisémitisme est donc à géométrie variable.
Aujourd’hui l’antisémistisme est une arme violente empéchant toute critique de l’extrémisme juif, parceque comme dans tous les peuples et dans toutes les religions , il y a des extrémistes chez les juifs. Un des derniers exemples en date est l’emprisonnement d’un rabbin extrémiste (pour 2 jours), rabbin qui a compilé toutes les lois talmudique et de l’ancien testament autorisant à tuer des non juifs, fussent ils des femmes ou des bébés innocents.
» Dans cet ouvrage publié au début de l’année, les rabbins Elitzur et Yitzhak Shapira affirment que les non-juifs ne sont pas, « par nature, sujets à la compassion » et que les attaquer « peut freiner leurs inclinations malignes », selon des extraits publiés par le quotidien Haaretz.
Les deux auteurs estiment également qu’il peut être licite de tuer les bébés et les enfants des « ennemis d’Israël car il est clair qu’ils nous porteront préjudice lorsqu’ils auront grandi ».
ON m’a plusieurs fois accusé d’antisémitisme lorsque j’ai parlé de ces lois, curieusement on ne me dit plus rien lorsque ces mêmes personnes lisent l’article d’Haaretz….
Il est donc légitime de se demander pourquoi seuls des juifs peuvent critiquer les juifs extrémistes et tout aussi légitime de se demander si cette particularité ne risque pas de poser des problèmes aux juifs et aux non juifs.
Parcequ’il est indéniable que cette posture interdisant toute critique des juifs extrémistes par des non juifs ne peut être qu’une source de tension, instaurant de fait une distorsion dans la perception de la réalité, distorsion qui ne pourra qu’ à terme s’effondrer et mener à des excès dont nous devons absolument nous protéger
Un nouveau rapport récemment publié affirme que le président des US, Barack Obama, est une création de la CIA, sa vie clandestine soulevant une cascade de questions.
Une interview par Press TV de Wayne Madsen, un journaliste d’investigation et ancien employé de l’Agence Nationale de Sécurité.
Le journaliste d’investigation et ancien employé de l’Agence de Sécurité Nationale, Wayne Madsen, dit qu’Obama, de même que sa famille, dont ses parents, son beau père, et sa grand-mère, avaient des liens avec la CIA et d’autres riches élites tels les familles Rothschild et Rockefeller.
Madsen a rassemblé un long document en trois parties avec preuve concluante et documentation que Barack Obama Sr, Stanley Ann Dunham (la mère d’Obama) Lolo Soetoro ( le beau père indonésien d’Obama ) et Barack Obama lui-même avaient tous des liens étroits avec la CIA et la communauté du renseignement plus large. Madsen a utilisé des bases de données accessibles publiquement pour son travail sur Obama.
Les supporters d’Obama ont fait très attention pour que son histoire personnelle reste cachée en dissimulant tout ce qui concerne sa scolarité au lycée, au collége, son passeport, et son certificat de naissance. Barry Soetoro c’est un nom d’emprunt pour Barack Obama et c’est ce nom qui a été enregistré à l’école Fransiskus Assisi de Jakarta en Indonésie.
Press TV a interviewé Madsen, l’auteur du rapport sur la connection d’Obama avec la CIA. Ci-dessous la transcription de cette interview.
Press TV : Wayne, s’il vous plait, faites nous un rapide résumé de ce que vous avez trouvé lors de votre enquête.
Madsen : En fait tous se sont focalisé sur le certificat de naissance d’Obama et je pense que la Maison Blanche est satisfaite. Je pense qu’il est né à Hawaii. Je ne pense pas qu’il y ait là bas quelque chose sur son certificat de naissance mais il y a quelque chose là bas sur ses antécédents plein de trous.
Même dans le livre qu’il a écrit, il a dit qu’il avait travaillé après avoir obtenu son diplôme de Colombia en 1983 pour une société. En fait il se trouve que celle-ci était Business International Corporation, une société qui utilise des journalistes comme couverture, cela vient du fils du fondateur de la société Eldridge Haynes.
On voit aussi Obama voyager au Pakistan d’Indonésie lors de la période où les US renforçaient leur présence contre l’Union Soviétique au cours de la guerre des Mujaheddin en Afghanistan ( Le terme se réfère aux Mujaheddin qui ont combattu l’armée soviétique de 1979 à 1989 date à laquelle les Soviétiques se sont retirés vaincus. Les Soviétiques ont envahi l’Afghanistan en Décembre 1979 pour soutenir le Premier Ministre pro-soviétique alors tout juste élu, Babrak Karmal).
Sa mère se trouvait également au Pakistan après avoir été en Indonésie travaillant pour un certain nombre d’organismes la plupart liés à la CIA. On sait que sa mère, deux ans après un coup d’état sanglant, qui a été facilité par son beau père, Lolo Soetoro, a été rappelée en poste en Indonésie par le Général Suharto.
Sa mère a emmené le jeune Obama là bas à l’âge de 7 ans dans un pays qui venait tout juste d’être secoué par un terrible massacre d’environ 1 million de personnes, pour l a plupart d’origine ethnique chinoise, et des membres vrais ou présumes du parti communiste indonésien.
Je ne prends pas position à gauche ou à droite dans cet argumentaire. J’ai consulté les documents de la CIA ils parlent d’eux- mêmes. Ce n’est pas parce que quelqu’un travaille pour la CIA qui se trouve du même côté politiquement, comme Bill O’Reilly ou Sarah Palin.
En fait, l’international Corporation existait pour entrer en contact avec des dirigeants communistes de par le monde comme le dirigeant de l’Union Soviétique, Kosigin, ou le président Shevchenko de Roumanie, Samuel Mashael du Mozambique. Ils ont aussi pris contact avec le dirigeant de droite Suherto bien sûr et Franscico Franco en Espagne et c’était des tentatives et il y a eu on le sait bien d’autres tentatives de la CIA via le National Student Association. On parle du début des années 60 alors qu’il y avait un important conflit d’influence entre les US et l’Union Soviétique en Afrique et le père d’Obama, Barack senior, faisait partie de cette influence.
Press TV : Wayne, pourquoi la CIA a-t-elle inclus un tel plan élaboré d’avoir deux agents de la CIA se mariant, les parents d’Obama, puis d’avoir un enfant dés le début élevé par la CIA ? Pourquoi, si c’est vrai, la CIA ne pouvait -elle pas avoir quelqu’un former pour faire cela ?
Madsen : en fait cela arrive tout le temps au sein de la CIA. On voit des familles entières grandissant dans la culture de la CIA. Ce n’est pas simplement quelque chose qui est arrivé seulement au président Obama. Mais on voit comment la CIA est présente depuis 1947. On voit la troisième génération actuellement à la CIA, la troisième génération de certaines familles. Donc ce n’est pas quelque chose d’inhabituel.
Et je noterai que lorsqu’Obama a quitté Chicago pour aller au Pakistan, non seulement il était au Pakistan mais il y a été accueilli par de nombreuses familles de hauts responsables dont la famille Soomro. Son ami Soomro a remplacé Pervez Musharraf quand il a démissionné, il l’a remplacé comme président par intérim. Il n’était pas là bas pour simplement faire de la randonnée. Il était là bas accueilli par certaines familles d’élites du Pakistan et à cette époque, le Pakistan était bien sûr une dictature soutenue par la CIA comme là où il a grandi en Indonésie sous Suharto. C’était aussi une dictature soutenue par la CIA.
C’est l’environnement dans lequel il a grandi. On sait maintenant que la CIA avait un programme actif de recrutement au Collége Occidental, et on nous dit qu’il a aussi suivi des cours à Colombia qui étaient pour partie de Brzezinski qui avait été conseiller à la Sécurité Nationale sous le président Jimmy Carter (Zbigniew Brzezinski a été conseiller à la Sécurité Nationale de 1977 à 1981).
On voit tant de liens qu’il nie. Il ne reste plus grand monde actuellement qui peut parler d’Obama. Sa mère est morte très jeune. Son père est mort au Kenya en 1982 dans un accident de voiture. Sa grand-mère, Madelyn Dunham, est morte à Los Angles deux jours avant qu’il soit élu président. Son grand père, Stanley Dunham, est mort également dans les années 90. Il n’y a personne d’autre à interroger que le président Obama, pour obtenir qu’il parle plus clairement et plus précisément sur ses propres antécédents et il ne l’a pas fait même dans le livre qu’il dit avoir écrit.
Press TV : parlez moi de la connection que vous avez trouvé, vous avez écrit un rapport, avec l’actuel Secrétaire au Trésor, Tim Geithner ? Pouvez- vous en dire plus là dessus ?
Madsen : Peter Geithner, le père de Timothy Geithner, le Secrétaire du Trésor US, était en fait responsable du programme grandiose de la Fondation Ford, quand Standley Ann Dunham, sa mère, était en Indonésie.
En consultant les archives de la CIA, j’ai découvert qui était la personne qui était en charge des micros paiements aux paysans à Java où travaillait la mère d’Obama. Sa couverture c’était responsable économique à l’ambassade US à Jakarta. Ce n’était pas son idée. La CIA avait mis en place ce programme depuis 1958, selon un document que j’ai reçu de la mission permanente indonésienne auprès de l’ONU la même année. Donc c’est un programme auquel elle s’est intégrée. Ce n’est pas un programme qu’elle a démarré, pourtant le président lui-même a dit qu’elle avait démarré ce programme. Ce programme était en place et utilisé via l’US Agency for International Development (USAID) largement connue pour être une couverture de la CIA dans les pays du Tiers Monde.
Press TV : que répondez vous aux gens qui disent que c’est une théorie de la conspiration ?
Madsen : en fait ce n’est pas mon boulot comme reporter d’investigation de booster le président Obama. Je mène une enquête sur le Président Obama comme je l’ai fait pour George W. Bush, et Bill Clinton. Le président des Etats Unis n’est pas une sorte de monarque, sur lequel on ne peut enquêter et rapporter ce que l’on a trouvé. On a dans ce pays une longue tradition de journalisme de ratissage allant de Jack Anderson à Andrew Peterson.
Je pense qu’il manque quelque chose actuellement. Si quelqu’un écrit quelque chose dont ne parle pas Chris Mathews ou David Gregory, ou tous les autres discoureurs alors on parle de théorie de la conspiration disant que vous ne soutenez pas le président. Et bien ce n’est pas le boulot d’un enquêteur de soutenir le président. Je sais parfaitement bien que le bureau de presse de la Maison Blanche a dit aux reporters de la salle de presse de la Maison Blanche de ne pas poser de questions sur les antécédents d’Obama sous peine de se retrouver sans laisser passer de presse.
Ma foi, ce ne serait pas étonnant, peu de chose sont laissées au hasard aujourd’hui.
Je ne sais pas trop quoi en penser de cette histoire, mais je pense que si on cherche un peu tout le monde est cousin, si quelqu’un peut m’en dire plus.
Alors que le journal « Haaretz » annonçait vendredi que le Premier ministre Binyamin Netanyahou avait demandé à son homologue russe Vladimir Poutine de stopper la vente de missiles de croisière supersoniques P-800 Yakhont à la Syrie, qui pourraient sérieusement menacer la sécurité des navires de guerre israéliens en Méditerranée, un proche du président Medvedev a affirmé que la Russie comptait aller jusqu’au bout de cette vente. « Moscou a pour habitude te tenir ses engagements », a-t-il ainsi déclaré. guyssen
Il me font rire ces israéliens, » ne vendez pas d’armes à nos ennemis, ils pourraient se défendre » LOL
Quelle bande de branquignole ces juifs extrémistes
La semaine dernière le journal israélien, Haaretz rapportait que le consortium qui détient le contrat du projet de tramway controversé de Jérusalem Est a fait un sondage parmi les habitants (juifs NdT) de la ville pour leur demander si cela les ennuierait que des Palestiniens montent dans le tramway.
Le tramway est construit illégalement dans la partie occupée de Jérusalem – Photo : Anne Paq/Active Still
Le mauvais écho qu’a eu le sondage -qualifié de raciste même par les membres du gouvernement israélien- est un retour des choses ironique. Le géant français du transport Véolia, qui joue un rôle central dans le projet qui renforce l’emprise d’Israël sur Jérusalem Est occupée avait utilisé ce procédé douteux des sondages sur les Palestiniens pour donner une meilleure image à son implication dans ce projet.
Le 20 août Haaretz a révélé que Citypass, la holding dont les transports Véolia et une autre firme française Alstom font partie, a réalisé un sondage parmi les habitants de Jérusalem. Citypass a demandé aux habitants (juifs NdT) si cela les dérangeait que le tramway s’arrête dans des quartiers palestiniens de Jérusalem Est qui est occupée et s’ils voyaient un inconvénient à ce que les passagers, aussi bien juifs que palestiniens, y montent librement « sans subir de contrôle de sécurité ».
Les responsables de la municipalité et le ministère des Transports israéliens ont qualifié les questions posées de « racistes ». Le Directeur Général de la municipalité de Jérusalem, Yair Maayan, a fait un courrier à Citypass dont voici un extrait : « Nous sommes sidérés de voir qu’un consortium commercial privé ose se mêler de ces questions qui ne sont aucunement de son ressort, et ose poser de telles questions racistes et provoquer des luttes et des conflits dans la ville ».
Le tramway de Jérusalem fait partie du « Plan Directeur des Transports à Jérusalem » élaboré par le gouvernement israélien et la municipalité de Jérusalem. Des militants ont fait pression sur Véolia et Alstom à cause de leur participation à ce projet qui a pour but de desservir les colonies israéliennes. La première ligne de tramway relie, en violation des règles internationales, Jérusalem Ouest (peuplée de Juifs NdT) à des colonies illégales établies autour de Jérusalem Est qui est palestinienne et se trouve en Cisjordanie occupée.
Les colonies israéliennes des territoires occupés de la Cisjordanie et l’annexion de Jérusalem Est sont illégales au regard du droit international. Leur illégalité a été confirmée par de nombreuses résolutions de l’ONU ainsi que par l’avis que la Cour Internationale de Justice a rendu au sujet du mur qu’Israël a construit en Cisjordanie occupée. En conséquence les militants soutiennent que Véolia est directement impliqué dans le maintien des colonies illégales de Cisjordanie et l’annexion de Jérusalem Est, la partie palestinienne de la ville. En mai 2006, les transports Véolia ont répondu aux critiques en disant « qu’ils allaient rechercher un avis légal indépendant afin de mieux comprendre la situation ».
La firme s’est offert les services de Ove Bring, professeur émérite de l’université de droit international de Stockholm et du collège national de la défense suédois. Bring a dit à Véolia qu’étant donné que l’occupation d’Israël était illégale, on pouvait présumer que le projet de tramway était illégal aussi. Il a ajouté que la présomption d’illégalité pouvait être levée s’il s’avérait que la population palestinienne profitait du tramway.
Or l’Organisation Palestinienne de Libération (PLO) s’est opposée à la participation de Véolia au projet depuis le début. Dans un communiqué de presse du 11 juillet 2001, la PLO a déclaré que le projet « fait du tort aux Palestiniens et viole ses droits à l’auto-détermination ». En 2005 la PLO a demandé à Véolia de ne pas participer au projet, et en 2007 la PLO a traduit Véolia en justice en France. Les objections ont été présentées à une conférence de presse en novembre 2009 tenue par le comité national (BNC) de BDS (Boycott, désinvestissement and sanctions) qui représente plus de 170 organisations civiles palestiniennes qui a déclaré son opposition au projet.
Véolia n’a tenu aucun compte des objections des organisations palestiniennes. La firme a déclaré sur son site Web que la controverse autour de sa participation au projet était » largement alimentée par quelques ONG (organisations non gouvernementales) pro-palestiniennes et la presse anglo-saxonne et scandinave » (« le trajet du tramways de Jérusalem »).
Pour essayer d’échapper aux accusations des principales organisations palestiniennes, Véolia a commandé toute une série de sondages en 2007 et 2009 pour aller dans le sens que le professeur Bring leur avait suggéré. Véolia s’est vanté de ce que les sondages montraient que la population des quartiers palestiniens occupés de Jérusalem soutenait fortement le projet. Cependant on peut douter de la sincérité de ces sondages car l’entreprise n’a fourni aucun élément sur leur méthodologie, les questions posées ou les caractéristiques des personnes interrogées, et a refusé de clarifier ces questions.
Interrogé par Electronic Intifada, Bring a répondu : « Si Véolia ne veut pas s’expliquer sur l’information qu’ils détiennent, cela ne les met pas en position crédible pour affirmer que le tramway profite à la population palestinienne ».
La mère, âgée de 83 ans, d’un habitant de Jérusalem Est, Ramzi Zaniniri, a été interrogée au téléphone. Elle a accepté de participer au sondage. Mais selon Zaniniri : « Les gens [des quartiers palestiniens] de Shuafat et Beit Hanina, comme ma mère n’ont aucune idée du trajet du tramway, ni s’il va être construit sur de la terre confisquée aux Palestiniens au non ».
2000 mètres carrés de terre appartenant à Mahmoud al-Mashni qui habite à Shuafat ont été confisqués pour le projet du tramway et plus de terre encore sera confisquée pour construire le parking de la gare. « Ce n’est pas bon pour nous, cela profite seulement aux colonies juives » a expliqué al-Mashni à Electronic Intifada au cours d’un interview téléphonique. « Nous n’avons pas les moyens de payer le prix du billet. Un billet coûtera 15 shekels (4 dollars). Nos revenus sont très modestes. Le bus pour aller à Jérusalem Est ne nous coûte que quatre shekels (un dollar) ».
Le 31 janvier 2008, le Jerusalem Post a rapporté que les habitants de Shafat considèrent le tramway plus comme un fardeau que comme un avantage. Abed Dari, un enseignant de Shuafat a dit au journal : « Ils disent qu’ils ouvrent une ligne de tramway pour faciliter la vie des habitants mais nous constatons que cela nous complique la vie. Ici tout le monde a besoin de la grand-route pour aller à Jérusalem mais beaucoup de voies sont bloquées par le tramway. »
Selon al-Mashi, comme le tramway utilise la moitié de la largeur de la route qui traverse Shuafat, il n’est plus possible de traverser la rue. Le trafic est maintenant réduit à deux voies dans chaque direction causant des embouteillages quand les bus ou les voitures s’arrêtent au bord de la route. Aux heures de prière, les voitures stationnent en file près de la mosquée et il ne reste plus qu’une seule voie. »
Véolia a toujours besoin de faire la difficile preuve que le projet de tramway profitera à la population palestinienne et est réalisé avec leur consentement. Car comme le militant palestinien Rifat Kassis a dit à Electronic Intifada : « On ne peut blanchir ce projet illégal grâce à un ’sondage d’opinion’ ou un autre qui peut être réalisé d’une manière sélective et trompeuse dans le but de faire croire que quelques Palestiniens des territoires occupés sont ’contents’ de ce projet clairement colonial qui cimentera l’occupation israélienne et son contrôle sur la ville occupée. » http://nasr-moqawama.blogspot.com un très bon site.
Lol, imaginez la même chose en Afrique du Sud durant l’apartheid, qu’un groupe français fasse un tram qui passe dans les townships et demande aux blancs si ça les dérangeraient que des noirs montent avec eux.
C’est pourtant ce que fait Véolia, elle est belle la France à l’étanger.
Le plus comique étant quand même les occupants sionistes se plaindre de ce sondage, le trouvant raciste. Comme si ils n’étaient pas les premiers responsables dans cette situation.
Mais quel monde d’hypocrite.
Alors que l’Occident s’ingénie à tromper la Russie, le premier-ministre russe Vladimir Poutine a réaffirmé, dans un entretien accordé lundi au quotidien Kommersant, l’actualité de son intervention du 10 février 2007 à la Conférence de Munich sur la politique de sécurité.
« J’estime que mon intervention a été utile. Car ce que je disais était et reste absolument vrai. On nous a annoncé une chose et on à fait le contraire. On nous a simplement trompés, au sens propre du terme. Au moment où la Russie retirait ses troupes d’Europe de l’Est, le secrétaire général de l’OTAN nous a déclaré que l’URSS pouvait être sûre que la zone d’influence de l’OTAN ne dépasserait jamais les frontières existantes. A quoi assistons-nous actuellement? Je vois qu’on nous a carrément trompés, de la façon la plus primitive. A propos, force est de constater que dans la grande politique la duperie est monnaie courante, et nous sommes obligés d’en tenir compte », a déploré le premier ministre russe.
Et d’ajouter qu' »il avait très envie de croire » au redémarrage des relations russo-américaines. « J’ai très envie que la relance devienne réalité. Et puis, je m’aperçois que l’administration américaine fait preuve d’une très nette volonté d’améliorer les relations avec la Russie. Malheureusement, il y a aussi autre chose. Par exemple, la Géorgie est en train est en train d’être réarmée. Dans quel but? », s’est interrogé M.Poutine.
Selon le premier ministre, il existe aussi d’autres problèmes dans les relations entre la Russie et les Etats-Unis.
« Nous avons plusieurs fois évoqué notre position concernant le déploiement du bouclier anti-missile en Europe. Il semble que nous avions convenu qu’il n’y aurait pas de missiles en Pologne et que l’installation de radars en Tchéquie était suspendue. Formidable! Mais pratiquement immédiatement après, on nous a annoncé l’intention de déployer le bouclier dans d’autres pays européens. Alors, je vous le demande, ce fameux redémarrage, en quoi consiste-t-il? » a conclu M.Poutine. novosti
Poutine me fait rire, il fait le dur mais en fait il gesticule et ne fait rien de concret.
À sa décharge les fous furieux qui dirigent les USA veulent un conflit nucléaire, ils n’ont pas peur de détruire le monde dans un feu d’artifice qu’ils pensent regénérateur. Que peut donc faire Poutine, si il était vraiment intelligent, sachant que quoiqu’il en soit il sera perdant, il n’a qu’ à donner les secrets des énergies libres, comme cela tous les plans foireux des élites folles tomberaient à l’eau.
Poutine est un âne baté, un collabo du NWO.
Quand vous envahissez un pays, il y a toujours un premier et un dernier soldat.
Le premier homme à la tête de la première unité de l’armée d’invasion américaine qui a atteint la place Fardous, au centre de Bagdad, en 2003 était le Caporal David Breeze du 3ème bataillon, du 4ème régiment de Marines. Et pour cette raison, il m’a fait remarquer qu’il n’était pas un soldat car les Marines ne sont pas des soldats. Ce sont des Marines. Comme il n’avait pas parlé à sa mère depuis deux mois, je lui ai offert mon téléphone satellite pour qu’il l’appelle dans le Michigan. Tous les journalistes savent qu’ils auront droit à une bonne histoire s’ils prêtent leur téléphone à un soldat en guerre. « Allo » a hurlé Breeze, « Je suis à Bagdad. Je vous appelle pour vous dire que je vous aime. Je vais bien. La guerre sera terminée dans quelques jours. A bientôt ».
Et oui, ils disaient tous que la guerre serait finie rapidement mais ils n’avaient pas demandé leur avis aux Irakiens sur cette agréable opinion. Les premiers attentats suicides – un policier en voiture et deux femmes – avaient déjà touché les Américains sur l’autoroute conduisant à Bagdad. Il y en aurait des centaines de plus. Il y en aurait des centaines d’autres en Irak à l’avenir.
Disons-le tout haut :
nous ne partons pas
Aussi nous ne devrions pas être dupes de la farce recréée sur la frontière koweitienne dans les heures suivantes, le départ d’Irak des « dernières unités de combat » deux semaines avant la date prévue, ni des cris infantiles de « Nous avons gagné » de très jeunes soldats, dont certains ne devaient pas avoir plus de douze ans lorsque G. W. Bush a lancé son armée dans cette aventure irakienne catastrophique. Ils laissent derrière eux 50 000 soldats, hommes et femmes, soit un tiers des forces d’occupation US, qui seront attaqués et qui auront de toute manière, encore, à combattre la résistance.
Officiellement, cependant, ils sont là pour entraîner les milices et les tireurs et les plus pauvres des pauvres qui rejoignent la nouvelle armée irakienne dont les commandants savent parfaitement qu’ils ne pourront assurer la défense de leur pays avant 2020. Mais ils seront toujours sous occupation car, il est certain que l’un des « intérêts américains » à défendre est leur présence, concomitamment à celle de milliers de mercenaires armés et indisciplinés, de l’Ouest et de l’Est, qui tirent à tout venant pour garantir la sécurité des diplomates et hommes d’affaires occidentaux.
Aussi disons-le tout haut : nous ne partons pas.
Au contraire, les millions de soldats américains qui ont traversé l’Irak laissent aux Irakiens un fléau qu’ils ont apporté d’Afghanistan : al-Qaïda. Ils y ont importé le virus de la guerre civile. Ils ont contaminé l’Irak avec une corruption sans commune mesure. Ils ont imprimé le sceau de la torture à Abou Ghraib et les honteuses prisons d’Afghanistan. Ils ont confessionnalisé un pays qui, malgré la brutalité du régime de Saddam, avait, jusqu’à présent, rassemblé les sunnites et les chiites.
Le Dawa était « des terroristes »,
maintenant ce sont des « démocrates »
Et parce que les chiites vont immanquablement gouverner cette « démocratie », les soldats américains ont offert à l’Iran la victoire qu’il avait cherchée à obtenir si vainement dans sa guerre contre Saddam en 1980-1988. Les hommes qui avaient attaqué l’ambassade américaine au Koweït dans les mauvais jours, alliés de ceux qui avaient soufflé la base des Marines à Beyrouth en 1983, aident maintenant à gouverner l’Irak. Le Dawa, à l’époque, était « des terroristes » maintenant, ce sont des « démocrates ». C’est drôle comme nous avons oublié les 241 conscrits américains qui ont péri dans l’aventure libanaise. Le caporal Breeze devait avoir, alors, deux ou trois ans.
Ils sont venus, ils ont vu
et ils ont perdu
Le désastre américain d’al-Qaïda en Irak a infecté la Jordanie avec les attentats à Amman, et le Liban de nouveau. L’arrivée des hommes armés du Fatah al-Islam dans le camp palestinien de Nahr al-Bared au nord du Liban, les 34 jours de guerre contre l’armée libanaise et les douzaines de civils morts ont été la conséquence directe du soulèvement sunnite en Irak. Al- Qaïda est arrivé au Liban et l’Irak, sous domination américaine, a réinfecté l’Afghanistan avec les attentats suicide, l’immolateur auto-consacré qui a fait des soldats américains des hommes qui se cachent au lieu d’hommes qui se battent.
Ils réécrivent l’histoire maintenant. Un million d’Irakiens sont morts. Tony Blair s’en moque, ils ne figurent pas, remarquez, parmi les bénéficiaires de sa générosité. Ni d’ailleurs la plupart des soldats américains tués. Ils sont venus, ils ont vu et ils ont perdu. Mais, maintenant, ils disent qu’ils ont gagné. Comme les Arabes, survivant avec six heures d’électricité par jour dans un pays désolé doivent espérer d’autres victoires comme celle-là !
Traduction : Xavière Jardez – Sous-titres « France-Irak Actualité »
* Robert Fisk est le correspondant à Beyrouth du journal britannique The Independent. Il est considéré, à juste titre, par le Financial Times, comme « l’un des plus remarquables reporters de sa génération ». Ouvrages récents : La Grande Guerre pour la civilisation : l’Occident à la conquête du Moyen-Orient (1979-2005), La Découverte, 2005 et Liban, nation martyre, Editions A&R et du Panama, 2007. http://www.france-irak-actualite.com/
Robert Fisk est un grand homme, il a raison, ils ne partent pas d’Irak.
Quand on pense à ce qu’ont vécu les irakiens on se demande bien pourquoi Bush et Blair ne sont pas en prison y attendant d’être pendus.
Suite à l’engagement de Carla Bruni, première dame de France, en faveur de l’Iranienne Sakineh Mohammadi-Ashtiani, condamnée à mort par lapidation par les autorités iraniennes, l’épouse de Nicolas Sarkozy a été traitée de « p… » (prostituée) par le journal iranien Kayhan, très proche du guide suprême de la révolution iranienne, l’Ayatollah Ali Khameini. La télévision d’Etat iranienne, elle-même, critique Carla Bruni, l’accusant de vouloir, par son combat en faveur de Sakineh, « justifier les relations qu’elle avait à l’époque avec Nicolas Sarkozy alors que celui-ci était encore marié à Cécilia ». La réaction des médias iraniens, sous contrôle de l’Etat, est à la mesure du peu d’habitude de la dictature islamique à faire face à la critique. On attend la réaction de la France… guysen
Hahahahaha, c’est excellent le journal dit la vérité sur cette dégénérée de carla bruni, c’est meyssan qui nous dit que cette tarée pose de serieux problèmes de protocole, de nombreuses femmes de président ou de premier ministre ne voulant pas être prise en photo près d’elle, c’est hilarant quand on y pense…
En même temps quand on a passé sa vie à poser nue et qu’on a eu 200 conquètes, je comprends que certaines femmes ne veuillent pas être associées à autant de moralité…
L’information fait aujourd’hui la une de la presse de Dubai et du Koweit : Israel serait sur le point de lancer une attaque contre les dépôts de missiles du Hezbollah en Syrie. Ces sites de stockages, situés en profondeur sur le territoire syrien , contiendraient un arsenal important de missiles longues-portées. Les experts parlent de 40 000 roquettes et missiles incluant les M600 et les Scuds longues portées. Mettant de facto le Goush Dan (zone la plus peuplée d’Israel et le centre économique du pays) à portée du Hezbollah. Fin mai, le site israélien JSS News présentait à titre d’illustration le site de stockage d’Adra dans la banlieue de Damas.
Se référant à des sources militaires occidentales, la presse arabe annonce la mobilisation d’unités blindées israéliennes sur le Golan et à proximité des fermes de Sheba’a. Certains experts estiment que la recrudescence importante de vols de drones israéliens sur ces zones annonce l’imminence d’une intervention (D’après Haaretz, l’armée libanaise a affirmé vendredi qu’un ballon d’observation israélien avait été vu au dessus de Baalbek et des régions montagneuses adjacentes). Selon les informations divulguées, les frappes viseront non seulement les sites de stockages mais également les usines d’armements du Hezbollah sur le sol syrien.
L’armée et la défense anti-aérienne syriennes seraient en alerte maximum. (Début juillet, le Wall Street Journal, révèlait que l’Iran avait fourni à la Syrie un nouveau système de radars sophistiqués dont pourrait également bénéficier le Hezbollah. Le transfert aurait eu lieu l’an dernier et, selon le Wall Street Journal, a été confirmé par plusieurs sources de renseignement américaines et occidentales).
Par ailleurs, le journal libanais Al Liwaa, cité par Haaretz, a révélé vendredi que les américains ont mis l’état major libanais directement en garde via l’équipe de George Mitchell . En cas de nouvel incident de frontière, Israël envisagerait la destruction de l’ensemble de l’infrastructure militaire libanaise, bases militaires et centres de commandes et contrôles compris . Temps de l’opération estimé par les américains: 4 heures.
Enfin, le think tank indépendant “Council on Foreign Relations” a publié le mois dernier un rapport de Daniel C. Kurtzer, ancien ambassadeur américain en Israël et en Egypte, intitulé “A third lebanon war”. Une troisième guerre du Liban. Ce rapport prend acte du renforcement important de l’arsenal du Hezbollah depuis 2006 et souligne que si la frontière israélo-libanaise n’a jamais été aussi calme au cours des 10 dernières années, l’hypothèse d’une troisième guerre du Liban dans un délai de 12 à 18 mois est fortement envisageable.
A lire sur NanoJV : Selon le rapport Kurtzer une troisième guerre du Liban semble inéluctable dans un délai de 18 mois. http://nanojv.wordpress.com/
Je ne sais pas du tout comment les syriens réagiraient si ils se faisaient bombarder, je ne pense pas que ce soit un déclencheur de conflit régional mais c’est surement ce qu’espèrent les israéliens et les américains..
On Aug. 6, the US Defense Security Cooperation Agency, DSCA, informed Congress of the sale to Israel of 60 million gallons of unleaded gasoline, 284 million gallons of JP-8 aviation jet fuel and 100 million gallons of diesel fuel at an estimated cost of two billion dollars. The date is significant, DEBKAfile’s intelligence sources find. Ten days earlier, the Japanese tanker M.Star was attacked in Omani waters of the Strait of Hormuz with 200,000 tons of oil.
Although American experts who examined the vessel, they never attributed the damage to sabotage by Iran or al Qaeda, despite the latter’s claim of responsibility on Aug. 4 While Washington did its best to sweep the incident under the rug, Saudi intelligence were worried enough about the threat inching dangerously close to the Gulf’s oil exporting lifeline to launch an independent investigation of the incident.
Their investigators discovered it was staged by a Saudi terrorist who operates out of Iran under the orders of the Revolutionary Guards. To Riyadh, the episode looked like a blunt warning from Tehran to Washington and its allies about the consequences – not just of a direct strike against Iran’s nuclear facilities, but the possibility of sanctions upsetting the equilibrium of the Islamic regime.
Blockage of the Strait of Hormuz would cut off Israel’s primary source of fuel. Therefore, our sources report, a series of accords, some of them secret, have been transacted to back up America’s standing commitment to keep Israel supplied with its energy needs in the event of armed conflict or crisis on world fuel markets.
In its request to Congress to approve the sale, the DSCA noted:
« The proposed sale of the JP-B aviation fuel will enable Israel to maintain the operational capability of its aircraft inventory. The unleaded gasoline and diesel fuel will be used for ground forces’ vehicles and other equipment used in keeping peace and security in the region. Israel will have no difficulty absorbing this additional fuel into its armed forces. »
DEBKAfile adds: Israel is therefore ready and able to absorb this huge injection of military-purpose fuels.
Tehran published its response through an item on the Tabanak Website on Saturday, Aug. 28. It was headlined in large capitals: ISRAEL ORDERS MASSIVE MLITARY FUEL STOCKS FAR IN EXCESS OF THAT REQUIRED FOR NORMAL OPERATIONS. Our Iranian sources report that this site belongs to Mohsen Rezaei, ex-commander of the Revolutionary Guards and much respected in the highest Iranian military and intelligence circles.
The Iranian site goes on to cite bloggers’ comments, the most quoted of which comes from an anonymous ex-US Air Force officer, who wrote on Aug. 27:
« I explained, as I have in the past, how it would be necessary for the US to supply the massive amounts of fuel need for such a [-n Israeli] strike. If Israel were to strike Iran, Israel would only require the massive amounts of jet fuel and over a billion litres of jet fuel would be more that enough to do the job in practical terms. »
According to DEBKAfile’s military experts, the shelf life of JP-8 jet fuel is not long – no more than six to eight months.
Also Saturday, the Kuwait Al-Rai claimed that Israel is making its last preparations for an attack on the Hizballah missile stores located in Syria close to the Lebanese border, for which an IDF armored division has been called up. debka.com
Yossi beilin a dit que les pourparlers imposés par Obama étaient voués à l’échec, pourtant obama ne prendrait une telle décision en sachant pertinement que cela ne fonctionnerait pas, c’est pour cela que cette initiative n’est la que pour masquer les préparatifs de la guerre et pour faire croire au monde qu’obama veut la paix.
Cette phénoménale livraison de carburant, si elle est vrai, nous donne un autre signal montrant la gravité du moment. Netanyahou ne peut pas faire la paix, son histoire personnelle et sa famille de jobard l’en empèche.
Cela fait des années que iraniens et israéliens se préparent à la guerre, ils ont du échafauder des plans de fou furieux pour se neutraliser mutuellement, la guerre risque d’être surprenante et dévastatrice.
Le chef spirituel du parti Shass, le rabbin Ovadia Yossef, a voué samedi soir, dans son prêche hebdomadaire à Jérusalem, le président palestinien Mahmoud Abbas et son peuple aux gémonies, suscitant une réaction indignée palestinienne.
Le chef spirituel du parti Shass, le rabbin Ovadia Yossef, a voué samedi soir, dans son prêche hebdomadaire à Jérusalem, le président palestinien Mahmoud Abbas et son peuple aux gémonies, suscitant une réaction indignée palestinienne.
« Que tous ces méchants qui haïssent Israël, comme Abou Mazen (le président palestinien Mahmoud Abbas), disparaissent de notre monde! », a lancé le rabbin Yossef dans des propos diffusés dimanche par la radio de l’armée israélienne.
« Que Dieu les frappe de la peste ainsi que ces Palestiniens méchants et persécuteurs d’Israël », a poursuivi le rabbin Yossef, à trois jours de la rencontre entre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et M. Abbas à Washington pour relancer des négociations directes de paix, suspendues depuis 20 mois.
Le porte parole de l’Autorité palestinienne, Ghassan Khatib s’est indigné de cette déclaration qu’il a qualifiée « d’incitation raciste » à la haine, exigeant un désaveu officiel du gouvernement israélien, dans un communiqué.
Il s’est particulièrement alarmé du fait que ces paroles provenaient « d’un dirigeant spirituel d’un parti au pouvoir, à la tête d’un mouvement en charge de l’éducation d’un quart de million d’élèves ».
Le parti religieux ultra-orthodoxe séfarade Shass qui gère un important réseau d’écoles est l’un des piliers de la coalition gouvernementale de M. Netanyahu, avec onze députés sur un total de 120 à la Knesset (Parlement).
Interrogé sur les propos de M. Yossef, le député du Shass Nissim Zeev a tenté d’expliquer qu’en fait ce dernier avait cité le Talmud pour exprimer le voeu que Dieu fasse disparaître les ennemis d’Israël à la faveur de la paix.
Octogénaire, tenu pour un connaisseur exceptionnel de la Torah, le rabbin Yossef a coutume de s’adresser à ses ouailles dans un langage populaire décapant, qui mêle dictons, citations de textes sacrés et blagues aux dépens de ses adversaires.
Au fil des ans, il s’en est pris pêle-mêle avec violence notamment aux Arabes, aux juifs laïcs et ashkénazes, en les affublant de toutes sortes de qualificatifs et en ayant recours à un registre animalier pour les fustiger.
A la fin des années 1980, il s’était prononcé cependant en faveur d’un partage territorial avec les Palestiniens en vue d’une paix susceptible de sauver des vies juives. le matin
Bon avant tout, remarquez le ton très judéophile de l’article de l’AFP, tout est fait pour minimiser les paroles de rabbin fou, disant qu’il s’en est pris à tout le monde, et qu’il a été une fois pour la paix;
La plus belle phrase de l’article est celle la :
» Octogénaire, tenu pour un connaisseur exceptionnel de la Torah, le rabbin Yossef a coutume de s’adresser à ses ouailles dans un langage populaire décapant, qui mêle dictons, citations de textes sacrés et blagues aux dépens de ses adversaires. »
Tranquille quoi, ce rabbin est sympa en fait…. L’AFP est incroyable…
Parceque imaginez une seule seconde qu’un mollah important dise la même chose sur les juifs, ce petit pd de bhl nous ferait une pétition contre la violence et la barbarie des mollah, tous les mongoliens signeraient et à la synagogue ils rigoleraient comme jamais.
J’en ai marre de cette presse manipulatrice et partiale, j’en ai marre de la débilité des gens
qui se laissent manipuler sans broncher.
Alors que les statistiques décevantes pleuvent aux Etats-Unis, laissant craindre une rechute de l’économie américaine en récession, les investisseurs s’alarment d’une configuration rare dans les cours de Bourse : ce «présage d’Hindenburg» indiquerait en effet l’imminence d’un krach boursier.
Chute de 6% l’Eurostoxx 50 en quatre séances. -4,5% sur le Dow Jones. Les marchés boursiers accusent le coup depuis cinq jours après une série d’indicateurs décevants. Mais la dégradation de la conjoncture économique n’explique peut-être qu’en partie la baisse des derniers jours. Une nouvelle phobie agite depuis la mi-août la communauté des analystes techniques, très active dans les pays anglo-saxons: le présage d’Hindenburg. Selon cette théorie basée sur l’observation statistique, lorsque qu’au cours d’une même séance, une grande quantité de valeurs atteint un cours de Bourse au plus haut depuis 52 semaines et qu’un autre groupe de titres s’établit en revanche à un cours plancher de 52 semaines, alors cela présage d’un nouveau krach à Wall Street. Cette configuration a en effet précédé tous les krachs des 25 dernières années. Or ce phénomène rare a été observé le 12 août dernier.
À première vue, l’analyse peut paraître farfelue, mais quand on connait l’influence que peut avoir l’analyse technique sur la prise de décision dans les salles de marché, la question mérite que l’on s’y attarde. Une importance accordée à cette théorie pourrait avoir pour effet de précipiter la chute des marchés par une sorte d’anticipation auto-réalisatrice.
Ce qui s’est passé le 12 août
Le 12 août dernier, dans la même journée au moins 2,9% des valeurs américaines du NYSE ont atteint un pic de 52 semaines, tandis qu’au moins 2,6% des valeurs sont retombées à un plus bas de 52 semaines. Cette configuration, appelée «présage d’Hindenburg», en référence au crash d’un Zeppelin allemand dans le New Jersey en 1937, ferait donc planer un risque d’un effondrement imminent à la Bourse de New York. Pour que le scénario soit validé, il faut cependant que la configuration se reproduise dans les 35 jours qui suivent. Or, si l’on s’en tient à l’analyse de Robert McHugh du site Internet Marketoracle, cela semble avoir été le cas, le 20 août dernier.
Plus inquiétant, c’est ce type de configuration, qui, dans certaines conditions, aurait précédé chacun des krachs des 25 dernières années. C’était le cas avant le krach boursier de l’automne 2008. La figure était également présente quelques semaines avant le krach boursier de 1987. On pouvait l’observer trois séances de Bourse avant la panique d’octobre 1989. Avec cet indicateur, la récession de 1990, la chute des Bourses liée à la faillite du fonds LTCM et les crises asiatiques de 1998, étaient également prévisibles.
Une approche très controversée
En y regardant de plus près le scénario a peu de chances de se réaliser. Pour comprendre cet indicateur, il faut revenir aux sources. La paternité du présage d’Hindenburg revient à Jim Miekka, qui édite un bulletin d’information appelé le Bull & Bear Rapport Sudbury. Mais l’idée même de cet indicateur remonte en fait à plus loin, trouvant ses racines dans un autre indicateur: le high low logic index, décrit par Norman Fosback dans les années 1970. Dans son livre, Stock Market Logic, cet économiste américain a expliqué pourquoi lorsque dans le même temps, un nombre importants d’actions atteint un nouveau sommet et un nombre important touche un plus bas, les marchés ont de fortes chances de baisser. Cela montre en fait que le marché traverse une période de divergences extrêmes, qui n’est généralement pas propice à une future hausse des cours boursiers.
Mais là où Norman Fosback s’était contenté de critères simples, les partisans du présage d’Hindenburg posent une multitude de conditions supplémentaires, qui sont sujettes à interprétation, et qui ne font donc pas l’unanimité. C’est là où le bât blesse. En pratique, il est quasiment inapplicable.
Des indicateurs fiables abondent dans le sens du présage
Quand les cinq conditions nécessaires à la validation du présage d’Hindenburg sont réunies, le krach boursier, défini par une chute rapide d’au moins 15% des indices boursiers dans les quatre mois suivants, aurait alors 30% de chance de se produire. Un raisonnement a contrario suffit à limiter la portée de ce présage: s’il y a 30% de chances qu’un krach se produise, il y en a donc 70% qu’il ne se produise pas! Cette forte probabilité ne permet toutefois pas d’exclure la possibilité d’un krach boursier imminent.
Cette approche va également à l’encontre de la conception classique de l’analyse technique, qui consiste à bannir toute source de subjectivité en analysant le marché à travers des indicateurs simples, non soumis à des conditions multiples, pour tenter de pronostiquer l’évolution des cours dans les semaines à venir. Les analystes techniques recommandent donc d’utiliser toujours les mêmes indicateurs, que les marchés montent ou qu’ils se replient, et notamment l’évolution des moyennes mobiles. Ces indicateurs fiables n’excluent actuellement pas une baisse de 10% à 15% des marchés dans les prochaines semaines, comme le préconise le présage d’Hindenburg.
Les cinq conditions du présage d’Hindenburg
En premier lieu, le quota de valeurs qui franchissent des nouveaux seuils à la hausse ou à la baisse a été abaissé. Pour Norman Fosback il faut un minimum de 5% de valeurs concernées. Or pour le présage d’Hindenburg on exige un seuil beaucoup plus faible, de 2,5%.
De plus, les adeptes du présage d’Hindenburg estiment qu’il doit être interprété à la lumière de plusieurs autres indicateurs, portant les conditions de validité au nombre de cinq. La première condition, la plus importante est celle des plus hauts et plus bas de 52 semaines. La seconde est que la moyenne mobile à dix semaines du Nyse doit être en hausse. En troisième lieu, le McClellan Oscillator (un indicateur de mesure de la volatilité) doit être négatif le même jour. Quatrième condition: la quantité de nouveaux plus hauts de 52 semaines sur les valeurs du Nyse ne doit pas dépasser le double de la quantité des nouveaux plus bas de 52 semaines. Enfin, et c’est la cinquième et dernière condition: le scénario doit se reproduire dans les 36 jours qui suivent la première apparition de cette configuration de marché. le figaro
Si nous vivons un remake de 1929, nous devrions vivre dans quelques mois la seconde phase de l’effondrement économique.
Le savoir à l’avance permet de se préparer mentalement et techniquement à des années difficiles.
Enfant j’adorais l’Histoire, aujourd’hui je la vis, en attendant de la faire, c’est excellent…
A court terme, le marché boursier va probablement baisser… il semble d’ailleurs se renverser ces jours-ci.
Lorsque les actions baisseront, elles entraîneront avec elles les attentes inflationnistes. Cela fera probablement chuter les marchés boursiers des économies émergentes… provoquant peut-être l’éclatement de l’économie chinoise… et précipitant aussi une chute des prix des matières premières ainsi que de la déflation. L’idée d’une « bulle obligataire » disparaîtra. Les gens verront que la « dépression/Grande Récession » est réelle… et permanente. Ils essaieront de se protéger en achetant des bons du Trésor US — ce qui permettra aux autorités américaines de s’endetter de plus en plus.
Ainsi commence le long voyage du monde dans l’abîme.
L’économie américaine deviendra une Economie Zombie, de plus en plus d’activités dépendant des dépenses et du soutien gouvernementaux. Les banques sont déjà des Investisseurs Zombies. Plutôt que de prêter à des entreprises viables qui développent la richesse du monde, elles empruntent à la Fed et leur prêtent de l’argent en retour. Nous verrons les investisseurs privés devenir eux aussi des Investisseurs Zombies — mettant quasiment toute leur épargne dans le papier du Trésor US, tout comme le Japon l’avait fait.
Le Dow chutera vers les 5 000. Les autorités annonceront programme de relance après programme de relance. Les taux d’épargne des ménages fileront vers les 10%. Le chômage passera à 12%… voire 15%. Les rendements obligataires s’effondreront à de nouveaux planchers record. Ben Bernanke menacera de larguer de l’argent par hélicoptère… mais tant que les Etats-Unis suivront un déclin ordonné, il n’osera pas le faire.
En fin de compte, tout le système explosera en une boule de feu spectaculaire — mais pas avant que les investisseurs ne soient pleinement engagés dans les bons du Trésor US. Après avoir subi de gigantesques pertes sur les marchés actions et immobilier, ils pourront finalement être ruinés par ce qu’ils pensaient être les investissements les plus sûrs au monde — les bons du Trésor US basés sur le dollar. suite article intégral chronique agora
Hihihihi, j’aime cet article, l’auteur nous montre le cynisme et la préméditation des élites qui vont plumer tout le monde jusqu’au dernier sous.
Pauvre de nous.
Google confirme qu’il permettra aux utilisateurs de sa messagerie électronique Gmail de faire des appels gratuits à partir de leur ordinateur vers des téléphones
Contrairement à Google Talk, qui connecte les internautes d’un ordinateur à un autre, le nouveau service de Google permet d’utiliser un ordinateur pour joindre quelqu’un qui possède un téléphone traditionnel.
Les utilisateurs de Gmail n’auront qu’à appuyer sur un bouton dans leur messagerie pour accéder à un clavier semblable à celui d’un téléphone.
Fait rare pour les Canadiens, ils auront tout comme les Américains accès à des appels locaux gratuitement, du moins «pour le reste de l’année», indique Google sur son blogue.
Dans un courriel envoyé aux journalistes, une porte-parole de Google Canada indique toutefois que les Canadiens devront peut-être utiliser la version anglaise de Gmail pour se servir de la fonctionnalité.
Comme Skype, Google offre des tarifs réduits pour appeler outre-mer. Un appel en France coûtera à un Canadien 2 cents la minute.
Ceux qui possèdent un compte Gmail verront un petit outil leur permettant de faire des appels apparaître au cours des prochains jours, Google ayant choisi de déployer son nouveau service de manière progressive. cyberpresse
Normalement il devrait avoir des lois qui empèche qu’une entreprise possède plus de 10 % du marché qu’elle convoite, ça fait un peu totalitaire mais ça empèchera tout un tas de problème genre lobbying, corruption, ou entreprise plus puissante qu’un état.
Google, facebook et compagnie sont extrèmement néfastes et dangereux, sans parler des mongoliens qui mettent leurs photos et parlent de leur vie privé sur le net, nos moindres recherches sont stockées, nos mails sont analysés censément pour de la pub, mais il est évident que d’autres algorithmes analysent le sens de nos mails.
Bref, google nous lisait, maintenant il nous écoutera
« Les ventes de logements anciens ont chuté au rythme record de 27% en juillet alors que les effets du crédit d’impôt gouvernemental s’effaçaient, montrant que le chômage menace de saper la reprise économique américaine ».
« Les achats ont chuté à pic, à 3,83 millions d’unités annualisé, le chiffre le plus bas depuis une décennie que ces chiffres sont suivis, et pire que les prévisions les plus pessimistes des économistes interrogés par Bloomberg News, selon les chiffres révélés à Washington par l’Association américaine des agents immobiliers (NAR). La demande de logements individuels est passée à un plus bas de 15 ans, et le nombre de maisons en vente sur le marché a grimpé.
« Le rythme des ventes de logements ancien est à son plus bas depuis qu’on a commencé à suivre des chiffres comparables en 1999. Le groupe des agents immobiliers a révisé les chiffres de ventes de juin à la baisse, à 5,26 millions par rapport à 5,37 millions annoncés auparavant ».
« Les économistes prévoyaient que les ventes chuteraient de 13%. Les estimations d’une étude Bloomberg réalisée auprès de 74 économistes allaient de 3,96 millions à 5,3 millions. Les logements anciens représentent environ 90% du marché ».
« Les achats de maisons individuelles ont également dégringolé de 27%, la chute mensuelle la plus importante des données depuis 1968. Le taux annuel de juillet, à 3,37 millions, était le plus bas depuis mai 1995 ». suite chronique agora
La chute la plus importante depuis 1968, LOL, après pourtant 3 années de crise immobiliere, c’est un puit sans fond, pauvres américains, voir ses mensualités passer de 1000 $ à 2000 ou 2500$ pendant que la maison perdait la moitié de sa valeur…
Un accord de libre-échange entre l’Algérie et l’Iran dans un proche avenir ? Il en a été question dimanche à Téhéran lors d’une rencontre entre le ministre iranien du Commerce Mehdi Qazanfari et l’ambassadeur d’Algérie en Iran, M. Soufiane Mimouni. L’information rapportée par la Fars News Agency (FNA) reste imprécise et évoque un cadre plus général d’un accord de libre-échange entre l’Iran et les pays «africains musulmans».
Le ministre du Commerce iranien s’est fait par contre plus précis sur le souhait de renforcer les relations commerciales entre les deux pays. Pour Mehdi Qazanfari, l’Algérie peut être une passerelle pour un renforcement des liens économiques de l’Iran avec l’Afrique du Nord. Il a estimé que la tenue de salon d’exposition spécialisé, l’ouverture de succursales bancaires ou la création d’une banque commune permettraient de stimuler les relations économiques entre les deux pays. L’ambassadeur algérien a souligné que les relations politiques entre les deux pays étaient très bonnes et a souhaité que les liens commerciaux, faibles actuellement, puissent atteindre un niveau satisfaisant.
L’Iran, en butte à des sanctions économiques imposées par les Occidentaux, tente depuis quelques mois d’ouvrir un horizon africain à son économie. Officiellement – les dernières déclarations à ce sujet sont celles de l’ancien ministre du Commerce El Hachemi Djaaboub -, l’Algérie fait une «pause» en termes de conclusion d’accords de libre-échange. Il n’en demeure pas moins que l’Algérie, qui défend le droit des Iraniens au nucléaire pacifique, ne devrait pas, en théorie, avoir des objections de principe à la conclusion d’un tel accord de libre-échange.
Une relation libre avec l’Iran
Outre le fait que l’Algérie, contrairement à d’autres pays arabes du Golfe et le Maroc voisin, ne relaie pas la campagne occidentale anti-iranienne, il peut exister un intérêt économique évident entre l’Algérie et l’Iran. L’Iran, par exemple, qui dispose d’une des plus grandes réserves de gaz au monde, éprouve des difficultés à les exploiter. L’expérience et l’expertise de Sonatrach dans le domaine gazier pourraient être un atout. Il n’en demeure pas moins que la conclusion d’un accord de libre-échange entre Alger et Téhéran ne serait guère appréciée par les puissances occidentales qui tentent d’isoler l’Iran Mais les relations, bonnes, entre Alger et Téhéran, peuvent aussi servir à lancer d’éventuelles médiations. Les sanctions occidentales ont bien sûr de l’effet sur l’économie iranienne, mais elles n’ont pas d’effets décisifs. Dans les faits, les relations économiques de l’Iran avec les Etats-Unis sont pratiquement nulles depuis la révolution islamique, et les liens avec l’Europe atteindraient, selon Ahmadinejad, les 23 milliards de dollars/an, ce qui ne pèse pas beaucoup sur l’économie iranienne qui est davantage orientée vers l’Asie. Les démarches iraniennes en direction du continent africain participent de la même démarche de réduction de la dépendance à l’égard des Occidentaux. Les rencontres entre officiels Bouteflika a fait trois visites à Téhéran témoignent du fait que l’Algérie refuse que sa relation avec l’Iran soit sous influence étrangère. Mais, au-delà de l’aspect politique fort important, les domaines de coopération dans le domaine spatial, la pétrochimie, l’habitant et l’automobile sont réels. Sans oublier, bien entendu, dans le domaine du nucléaire civil où l’expertise scientifique iranienne est très développée. http://www.lequotidien-oran.com
Espérons que ce soit vrai, ce genre de partenariat devrait être la norme, à la place les pays du golfe et le maroc commercent sans vergogne avec israel.
J’aime bien l’article qui précise que l’Algérie, contrairement à ses voisins, ne répètent pas la propagande anti iranienne. J’aurai toujours du mal avec le pouvoir algérien, ce qu’ils ont fait avec les faux GIA n’est pas que dramatique pour les civils massacrés mais aussi parceque ces méthodes ont préfiguré ce que la CIA a fait quelques anées plus tard avec al quaida. Et c’est encore plus tragique quand on sait que les généraux algériens ont repris les méthodes de contre insurection française….
Enfin bref, c’est du passé, même si c’est dure à accepter, espérons que l’avenir sera meilleur pour l’Algérie et l’Iran.
Le nombre de personnes employées par des entreprises de sécurité privées et travaillant pour le compte de l’administration américaine en Irak va doubler pour atteindre 7.000 après le départ des troupes de combat, a indiqué jeudi le département d’Etat.
Le départ des dernières troupes de combat américaines du pays devrait être compensé en partie par les forces de sécurité irakiennes, mais « nous aurons encore nos propres besoins en matière de sécurité, pour nous assurer que nos diplomates et nos experts en développement sont bien protégés », a expliqué le porte-parole du département d’Etat, Philip Crowley.
Confirmant un article du New York Times, M. Crowley a indiqué à la presse que la plus grande partie des entreprises de sécurité allaient continuer à assurer des missions variées.
« Nous avons des sous-traitants qui gardent notre ambassade, et nous aurons, comme c’est le cas aujourd’hui, des sous-traitants qui nous aident dans nos déplacements, assurent la sécurité personnelle de nos diplomates quand ils se déplacent dans le pays », a dit M. Crowley.
Des responsables du département d’Etat ont également confirmé les chiffres avancés par le New York Times, selon lesquels les employés du secteur de la sécurité privée vont doubler en Irak, passant à 7.000 environ. Il n’y a « pas de chiffre précis » mais « c’est le bon ordre de grandeur », ont-ils dit.
Selon le quotidien new-yorkais, les sous-traitants seront déployés pour défendre cinq installations fortifiées qui resteront opérationnelles après le départ des troupes de combat.
Citant des responsables de l’administration sous couvert d’anonymat, le journal affirme que des agences de sécurité privées seront chargées de la surveillance radar, de la détection de bombes artisanales le long des routes et de vols de surveillance effectués par des drones.
Elles pourraient aussi mettre en place des « équipes de réaction rapide » pour venir en aide à des civils en danger.
La dernière brigade de combat américaine a quitté l’Irak dans la nuit de mercredi à jeudi, laissant derrière elle quelque 56.000 militaires qui devraient se retirer à leur tour d’ici la fin de l’année prochaine.
Le New York Times affirme que 1.200 tâches spécifiques assurées actuellement par les militaires américains ont été identifiées et devront être transférées aux civils américains ou aux autorités irakiennes, ou supprimées progressivement.
Le département d’Etat se prépare à la nouvelle mission de ses représentants et prévoit en conséquence d’acheter auprès du Pentagone 60 véhicules résistant aux mines et de porter sa flotte de véhicules blindés à 1.320. Il prévoit encore de passer d’un avion à trois et de 17 hélicoptères à 29, pilotés par des employés de sociétés privées. afp
Ce sont de véritables petites armées ultra modernes de mercenaires qui sont opérationnelles, dans des mains encore plus mauvaises qu’aujourd’hui ces troupes pourraient être les dignes succésseurs des SS, nous verrons bien mais je crois me souvenir qu’il y a eu de lourdes accusations contre blackwater à la nouvelle orleans, des assassinats un peu trop rapides de réfugiés si je me souviens bien.
La loyauté de ces mercenaires est par définition à géométrie variable, c’est une véritable folie d’avoir autorisé cees armées privées aussi puissantes, c’est un retour au moyen age ou les exercices de souverainetés étaient difficiles pour les états ou royaumes naissant.
Pour l’instant ces armées privées s’entrainent en conditions réels dans les pays musulmans, une fois aguerris ils viendront montrer ce qu’ils savent faire chez nous.
L’ancien ministre Yossi Beilin, sigicnataire de l’Initiative de Genève de 2003, n’attend aucune percée lors de la reprise des négociations entre le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et le président palestinien Mahmoud Abbas le 2 septembre
Figure centrale des accords de paix d’Oslo (1993), signataire de l’Initiative de Genève (le plan de paix alternatif de 2003) et personnalité emblématique du mouvement israélien pour la paix, l’ex-ministre israélien Yossi Beilin ne croit pas que la reprise des négociations directes entre Israéliens et Palestiniens porteront leurs fruits.
Pourquoi vous montrez-vous
tellement sceptique?
Yossi Beilin: Etant donné mon engagement en faveur du dialogue israélo-palestinien, le sommet prévu le 2 septembre à Washington devrait me faire sauter de joie, mais ce n’est pas du tout le cas. En fait ce qui se passe actuellement m’énerve profondément. Je trouve que l’administration américaine commet une erreur historique, qu’elle se conduit de manière irresponsable en poussant [le premier ministre israélien] Benyamin Netanyahou et [le président palestinien] Mahmoud Abbas à s’asseoir à la même table.
Certes, à court terme, il s’agit d’une victoire diplomatique. Barack Obama aura réuni les deux leaders à la même table avec la caution du président [égyptien] Hosni Moubarak et du roi Abdallah de Jordanie. Mais que se passera-t-il d’iciäquelques mois lorsque tout le monde se rendra compte que les deux parties au conflit n’ont rien à se dire? Car c’est bien de cela qu’il s’agit: les Israéliens et les Palestiniens n’attendent pas la même chose de ces négociations. Les Américains les ont donc forcés à négocier sur une base erronée. D’un côté, Benyamin Netanyahou ne veut parler que de sécurité en obligeant en préambule l’Autorité palestinienne (AP) à reconnaître le «caractère juif» de l’Etat hébreu. A contrario, Mahmoud Abbas espère ouvrir les dossiers sensibles et régler les questions de fond: les frontières, la division de Jérusalem, le partage de l’eau, l’évacuation de la Cisjordanie, etc. On constate d’emblée qu’Israël et l’AP ne sont pas sur la même longueur d’onde.
– A quoi attribuez-vous l’«erreur historique» de Barack Obama?
A son inexpérience?
– Je ne comprends pas l’administration Obama. La politique de George Bush avait le mérite d’être clair: elle consistait à dire «amen» à tout ce que faisait Ariel Sharon. Mais avec Barack Obama, c’est autre chose et je m’attendais à mieux. Je ne doute pas de sa bonne volonté et de son désir de voir la situation s’améliorer, mais quelque chose ne va pas.
– L’idée d’un accord de paix permanent dans un délai d’un an que vient de lancer la secrétaire d’Etat Hillary Clinton semble pourtant séduisante…
– Bien sûr que l’idée est intéressante. Si les partenaires en avaient vraiment l’envie, la paix pourrait d’ailleurs être réglée en quelques mois puisque tous les paramètres en sont connus de longue date. Ces conditions prévoient par exemple la création d’un corridor de libre circulation entre la Cisjordanie et la bande de Gaza. Mais peut-on l’envisager alors que le Hamas, qui ne participe pas au processus de paix et qui refuse de reconnaître le droit à l’existence d’Israël, est au pouvoir dans cette enclave?
Les mêmes conditions prévoient également l’organisation d’un un échange territorial entre Israël, qui garderait ses grands blocs de colonies en Cisjordanie, et l’AP qui reçevrait des lopins de terre israélienne en compensation. Or, ces zones – dont le contour a déjà été dessiné – sont situées autour de la bande de Gaza et elles doivent y être intégrées. Ce qui est également impensable pour le moment.
Si, par miracle, les négociations annoncées devaient donner des résultats concrets et si Israël acceptait de faire des concessions majeures, l’accord serait inapplicable sur le terrain en raison de la désunion des Palestiniens.
– Que proposez-vous alors?
– Il faut songer à envisager un accord intérimaire au lieu d’un accord permanent. Il serait transitoire et ne réglerait que quelques questions seulement. Cette solution ne me plaît guère et les Palestiniens n’en veulent pas non plus car ils craignent de voir l’intérimaire durer éternellement. Mais il n’y a pas d’autre alternative si nous voulons éviter de nous retrouver avec un nouvel échec du processus de paix sur les bras.
– Croyez-vous à la reprise
des violences?
– Non, parce que les Palestiniens ne le veulent pas. Du moins, pas pour le moment. En revanche, lorsque le processus du 2 septembre va commencer à s’embourber, le Hamas va s’en donner à cœur joie contre Mahmoud Abbas en l’accusant de s’être fait berner. Quant à ce dernier, je le connais. Je le sais capable d’annoncer sa démission s’il se rend compte que ce nouvel épisode du processus de paix ne mène à rien. Après tout, il a déjà annoncé qu’il ne se représenterait plus pour un nouveau mandat et il n’a plus rien à perdre. La menace de démission est l’une des rares cartes dont il dispose encore pour pousser Benyamin Netanyahou à discuter sérieusement.
– Pensez-vous que l’AP quittera vraiment la table des négociations si Israël ne prolonge pas le moratoire de dix mois sur les constructions dans les colonies de Cisjordanie qui expire le 26 septembre?
– Je crois qu’il ne se passera rien le 26 septembre. Benyamin Netanyahou évitera de faire déclarations tonitruantes. Il adoptera un profil bas, mais son gouvernement autorisera la reprise des chantiers privés (de 400 à 500 maisons et appartements) interrompus par le moratoire sur les colonies. En revanche, il n’y aura plus de constructions publiques et les Palestiniens s’en accommoderont peut-être si les discussions progressent dans le cadre d’autres dossiers. le temps.ch
Certes les palestiniens sont divisés mais le gouvernement netanyahou l’est également, que ce soit lieberman :
» Le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a réaffirmé, hier, son scepticisme au sujet d’un accord de paix avec l’Autorité palestinienne, à huit jours de la reprise de négociations directes à Washington, qu’il a qualifiées d' »événement festif ».
« Nous avons connu beaucoup d’événements festifs de ce genre. De Madrid à Annapolis, nous en avons vu d’innombrables et en voici un autre », a déclaré à la radio publique israélienne Lieberman, en référence aux précédentes conférences ou négociations de paix israélo-palestiniennes. » suite lapresse.tn
ou le ministre de l’interieur, elie yshai :
Le ministre de l’Intérieur Elie Yshai a estimé ce jeudi que le processus de paix, qui redémarrera dans les prochains jours, n’a aucune chance d’aboutir. « Les Palestiniens ne sont pas prêts à reconnaitre Israël et pensent que tant qu’Israël ne sera pas détruit, un Etat palestinien ne pourra pas voir le jour », a-t-il ainsi affirmé lors d’une visite à Shomria, une localité établie pour accueillir les expulsés juifs de la Bande de Gaza en 2005. juif.org
C’est sure que les négociations vont marcher !!! le gouvernement est uni !!!!
Les juifs extrémistes ne veulent pas la paix, c’est toujours le fort qui décide de faire la paix.
Soit disant au passage, Abbas n’est plus président depuis janvier 2009…..
4/09/2008 – Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad rencontre le rabbin Moshe Ber Beck à New York. Le rabbin est membre de Neturei Karta, un mouvement ultra-orthodoxe et anti-sioniste. (REUTERS/Brendan McDermid)
25.000 juifs vivent en Iran. C’est la population juive la plus importante au Moyen-Orient en dehors d’Israël. Les Iraniens juifs ne sont ni persécutés ni maltraités par l’Etat, en fait, la constitution iranienne les protège. Ils sont libres de pratiquer leur religion et de voter aux élections. Ils ne sont ni arrêtés ni fouillés à des checkpoints, ils ne sont pas brutalisés par une armée d’occupation, et ils ne sont pas parqués dans une colonie pénale densément peuplée (Gaza) où ils sont privés des moyens de survie de base. Les Iraniens juifs vivent dans la dignité et jouissent des avantages de la citoyenneté.
Les médias occidentaux diabolisent le président iranien Mahmoud Ahmadinejad. Ils le traitent d’antisémite et de «nouvel Hitler». Mais si ces affirmations sont justes, alors pourquoi la majorité des juifs d’Iran ont-ils voté pour Ahmadinejad aux dernières élections présidentielles? Se pourrait-il que la plupart de ce que nous savons sur Ahmadinejad ne soit qu’une rumeur sans fond et de la propagande?
Voici un extrait d’un article paru à la BBC :
«Le bureau [d’Ahmadinejad] a récemment donné de l’argent pour un hôpital juif de Téhéran. C’est l’un des quatre seuls hôpitaux caritatifs juifs au monde et il est financé par la diaspora juive – quelque chose de remarquable en Iran où même les organisations locales d’aide ont des difficultés à recevoir des fonds de l’étranger de crainte d’être accusés d’être des agents étrangers.»
Quand Hitler a-t-il jamais fait des dons aux hôpitaux juifs?
L’analogie avec Hitler est une tentative désespérée de laver le cerveau des Américains (et des Européens, ndlr). Elle ne nous dit rien sur ce qu’est vraiment Ahmadinejad.
Les mensonges sur Ahmadinejad ne sont pas différents de ceux sur Saddam Hussein ou Hugo Chavez. Les Etats-Unis et Israël essaient de créer des justifications pour une nouvelle guerre. C’est pourquoi les médias font dire à Ahmadinejad des choses qu’il n’a jamais dite. Il n’a jamais dit qu’il voulait «rayer Israël de la carte.» C’est une autre fiction. L’auteur Jonathan Cook explique ce que le président iranien à réellement dit :
«Ce mythe a été recyclée sans fin depuis une erreur de traduction d’un discours d’Ahmadinejad d’il y a près de deux ans. Des experts en farsi ont vérifié que le président iranien, loin de menacer de détruire Israël, citait un discours antérieur de feu l’Ayatollah Khomeiny, dans lequel il affirmait aux soutiens des Palestiniens que ‘le régime sioniste de Jérusalem disparaîtrait dans les pages du temps’.»
«Il ne menaçait pas d’exterminer les juifs ni même Israël. Il comparait l’occupation des Palestiniens par Israël à d’autres systèmes de gouvernement illégitimes, dont le règne est terminé, dont celui des Shah qui ont jadis dirigé sur l’Iran, l’Afrique du Sud d’apartheid et l’empire soviétique. Néanmoins, cette traduction erronée a survécu et prospéré parce qu’Israël et ses soutiens l’ont exploitée pour leurs propres desseins de propagande grossière.»
(« Israel’s Jewish problem in Tehran », Jonathan Cook, Counterpunch, 3 août 2007)
Ahmadinejad ne représente aucune menace pour Israël ou pour les Etats-Unis. Comme n’importe qui au Moyen-Orient, il veut juste un répit dans l’agression US-Israël.
Voici ce qu’on trouve sur Wikipedia :
«Le département d’Etat américain s’est plaint de discriminations contre les juifs en Iran. Selon son étude, les juifs ne peuvent pas occuper des postes élevés au sein du gouvernement et sont empêchés de siéger dans la magistrature et les services de sécurité et de devenir chefs d’établissement public. L’étude indique que les citoyens juifs sont autorisés à obtenir des passeports et de voyage à l’extérieur du pays, mais souvent ils se voient refuser le permis de sorties multiples normalement délivré aux autres ressortissants. Ces allégations formulées par le Département d’Etat américain ont été condamnées par les juifs iraniens. L’Association des juifs de Téhéran a déclaré dans un communiqué, ‘Nous, Iraniens juifs, condamnons les affirmations du Département d’Etat US sur les minorités religieuses iraniennes, annonçons que nous sommes totalement libres d’exercer nos devoirs religieuses et que nous nous ressentons aucune restriction quant à l’exercice de nos rites religieux.’»
Qui croire ? Les juifs vivant en Iran ou le département d’Etat américain fauteur de trouble ?
Il y a 6 boucheries kasher, 11 synagogues et de nombreuses écoles hébraïques à Téhéran. Ni Ahmadinejad ni aucun autre responsable gouvernemental iranien n’a tenté de les fermer. Jamais. Les Iraniens juifs sont libres de voyager (ou de se déplacer) en Israël s’ils le souhaitent. Ils ne sont pas mis en prison par une armée d’occupation. Ils ne sont pas privés de nourriture et de médicaments. Les enfants ne grandissent pas avec des troubles mentaux provoqués par le traumatisme de la violence sporadique. Leurs familles ne sont pas détruites par des hélicoptères de combat tournoyant au-dessus des plages. Leurs soutiens ne sont pas écrasés par des bulldozers ni touchés à la tête par des balles en caoutchouc. Ils ne sont pas asphyxiés par les gaz lacrymogènes ni tabassés lorsqu’ils manifestent pacifiquement pour leurs libertés civiles. Leurs dirigeants ne sont ni traqués ni tués dans des assassinats ciblés.
Roger Cohen a écrit un essai très sérieux sur le sujet pour le New York Times. Il a dit :
«Je préfère peut-être les faits aux paroles, mais je dis que la réalité de la courtoisie iranienne envers les juifs nous en dit plus sur l’Iran – son raffinement et sa culture – que tous les discours incendiaires. C’est peut-être parce que je suis juif et que j’ai rarement été traité, constamment, avec autant de chaleur qu’en Iran. Ou peut-être ai-je été impressionné par le fait que la fureur sur ce qui s’est passé à Gaza, affichée sur les murs et claironnée à la télévision iranienne, n’a jamais débordé en insultes ou en violences contre les juifs. Ou peut-être est-ce parce que je suis convaincu que la caricature de «Mollah Fou» de l’Iran et l’assimilation de tout compromis avec lui à Munich 1938 – une position populaire dans certains cercles juifs américains – sont trompeuses et dangereuses.»
(« What Iran’s Jews Say », Roger Cohen, New York Times, 22 février 2009)
Tout n’est peut-être pas parfait pour les juifs qui vivent en Iran, mais leur situation est meilleure que celle des Palestiniens qui vivent à Gaza. Bien meilleure. http://e-s-g.blogspot.com/
Encore une gifle pour les bien pensant, les juifs vivent heureux en Iran et pourtant on veut nous faire croire que l’Iran déteste les juifs.
C’est marrant de voir la distorsion entre la propagande juive et la réalité.
Cet article est capital pour comprendre la manipulation sioniste au niveau mondial, c’est d’ailleurs comique que les gens croient ceux qui tuent et massacrent depuis 60 (en palestine) plutot que l’Iran qui n’a jamais attaqué personne.
Enfin bref, faites tourner cet article, les gens doivent savoir qu’on leur ment et qu’ils se trompent de camp, l’ennemi c’est le juif sioniste et non l’arabe sunnite ou le perse chiite.
Le chef de l’Etat français, Nicolas Sarkozy a villipendé la République islamique d’Iran lors de son traditionnel discours aux ambassadeurs de France à l’étranger, ont rapporté les médias français.
Selon lui, Téhéran « alimente la violence et l’extrémisme dans la région. Mais surtout, il représente aujourd’hui la principale menace à la sécurité internationale dans un domaine majeur, la prolifération » nucléaire, a-t-il également affirmé.
Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois tenté de justifier les sanctions imposées à la RII pour son programme nucléaire. Or, Téhéran a maintes reprises annoncées le caractère pacifique de ses activités nucléaires, confirmées d’ailleurs par de nombreux rapports de l’AIEA.
Et de préciser : « Qu’on me comprenne bien : la France est favorable au développement, dans le strict respect des normes internationales, de l’électricité d’origine nucléaire. C’est pourquoi elle salue le démarrage de la centrale de Buscher dont le combustible est et sera en totalité fourni par la Russie. Le problème est naturellement ailleurs.
Il y aura bientôt un an, à Pittsburgh, avec Barack Obama et Gordon Brown, nous avions révélé l’existence du site nucléaire clandestin que l’Iran construisait pour ses activités proliférantes. J’avais alors dit qu’il faudrait imposer à l’Iran des sanctions s’il ne changeait pas de politique. Nous y sommes. Le Conseil de sécurité, les Etats-Unis, l’Union européenne, d’autres encore, ont pris des mesures robustes, et même sans précédent s’agissant des Européens. Il était grand temps.
Car chacun connaît les conséquences graves d’une politique qui laisserait l’Iran poursuivre sa course nucléaire : ce serait la prolifération généralisée dans la région, ou l’intervention militaire ; en tous cas une crise majeure ».
Et d’ajouter : « Nous allons donc mettre en œuvre ces sanctions avec détermination et j’appelle tous les pays à faire de même. On dit parfois que les sanctions ne marchent pas, voire qu’elles mènent à la guerre. C’est faux. Elles échouent quand elles sont trop faibles ou n’ont pas d’objectif clair.
Le nôtre est simple : faire comprendre à l’Iran que ses choix ont un coût élevé et croissant, et qu’il existe une alternative : l’engagement de négociations ; mais des négociations sérieuses, concrètes, allant au cœur du sujet. L’Iran y est-il prêt ? Nous verrons en septembre, quand Mme Ashton et les Six rencontreront les négociateurs iraniens et que le dialogue s’engagera à Vienne sur la fourniture d’uranium pour le réacteur civil de Téhéran ».
Sarkozy a souhaité qu’ « un bon accord soit trouvé dans les mois qui viennent, que l’Iran respecte le droit, que les préoccupations internationales soient levées. Celles des voisins de l’Iran doivent être prises en compte et ils devront être consultés sur tout accord ».
Toutefois, il a souligné que « si un accord crédible ne pouvait être conclu, alors l’isolement de l’Iran s’accroîtrait inexorablement. Face à une menace qui se préciserait, il faudrait aussi nous organiser pour protéger et défendre les Etats qui se sentiraient menacés ». almanar
Et voila ce que dit shimon perez le président israélien :
Pérès : Israël et le monde entier sont sous la menace nucléaire de l’Iran
Le président israélien Shimon Pérès a rencontré mercredi le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Yukiya Amano. Il a affirmé que non seulement Israël mais le monde entier sont sous la menace nucléaire de l’Iran. Selon lui, il est impossible d’établir une distinction entre les programmes nucléaires d’un pays et la nature de son régime dirigeant. Il a prié son hôte à ne pas minimiser les appels à l’extermination d’Israël et à la négation de la Shoah »sans précédent » du président iranien Ahmadinejad. guysen
De Gaulle en vomirait si il voyait ce qu’est devenu la France, notre pays.
La France n’existe plus diplomatiquement parlant, nous sommes qu’une caisse de raisonnance des désidératas sionistes.
Vous savez, la guerre est malheureusement inévitable, les juifs extrémistes sont aux manettes dans de nombreux pays, on se demande bien pourquoi d’ailleurs, et ce sont eux qui dictent l’agenda mondiale.
L’ouverture d’une base militaire française (la première depuis des dizaines d’années ) à Abu Dhabi est loin d’être anodine, c’est parceque une guerre est PROGRAMMÉE contre l’Iran que nous sommes présent à 250 kilomètres des cotes iraniennes, il serait d’ailleurs comique de voir la réaction de la France si l’Iran établissait une base militaire en Algérie….
Enfin bref, notre grand malheur provient du fait que la population a été maraboutée, ils ne comprennent rien et gobent la PROPAGANDE anti Iran comme des enfants qui croient au père noel, c’est pathétique quand on y pense.
Pourtant l’invasion de l’Irak et son cortège de mensonges plus gros les uns que les autres ne date que de 7 ans et tout le monde sur terre sait que les prétextes américains pour envahir ce pays étaient totalement fallacieux, pourtant ils ne font pas le lien avec ce qui est dit aujourd’hui sur l’Iran, c’est pour moi quelque chose de difficilement compréhensible….
Regardez ce que l’on peut lire sur le site juif JSSnews
» De nos actions et de nos décisions dépend la face du monde que nous pouvons changer. Nous sommes une épine dans les desseins des USA et un risque pour les Sino/ Russes. La volonté du monde qui tente de nous délégitimer n’est pas le fruit du hasard et force est d’admettre que jamais dans l’histoire de notre pays nous avions été confrontés à une telle situation. Nous gênons aussi bien nos ” alliés “, nos ” amis” que nos ennemis. Tout le monde veut nous faire taire et tous les moyens sont bons à cette fin.
Désinformation, mensonges, manipulations de l’Onu, pressions abjectes, chantages, embargo, terrorisme. La responsabilité qui pèse sur Bibi est énorme et il le sait. Mes amis, Bolton en prononçant ces mots n’a fait que mettre en avant qu’il nous appartiendra –et à nous seuls- de décider de l’avenir de ce monde ! » jssnews
Ces gens sont très dangereux, ils pensent qu’ils sont les seuls à décider de l’avenir de notre monde.
Critiquer ces gens est une nécéssite, nous nous devons d’expliquer aux gens le problème juif.
Si on vous dit » oui mais c’est bon, on connait ce discours, les juifs ont souffert comme jamais pendant la guerre »
ne répondez pas que la shoah est un mythe, les gens sont trop maraboutés pour comprendre, mais dite un truc dans le genre : » si un enfant a été battu dans sa jeunesse, le laisseriez vous tuer des gens sans rien dire parcequ’il a beaucoup souffert »
Ce n’est pas parceque les juifs ont souffert que nous devons nous abstenir de les critiquer et les combattre.
Pensez y et expliquez le aux gens, les extrémistes juifs nous mènent à l’abime, rien n’est plus vrai.
Un responsable du Ministère de la Justice irakien estime que les forces américaines sont derrière l’évasion de 4 chefs d’Al-Qaïda de la prison Al-Karkh. Dans une interview avec le quotidien irakien « Al-Sabah », l’inspecteur en chef, au sein du Ministère de la Justice irakien, Amin Abdulqader Al-Assadi, a affirmé que les forces américaines auraient été impliquées, dans l’évasion de certains responsables du réseau Al-Qaïda, du camp Cropper, retransformer en prison Al-Karkh. « Pour des raisons toujours inconnues, les forces américaines ont empêché, mercredi dernier, l’entrée d’une équipe d’inspecteurs, dans cette prison. », a-t-il ajouté. Ce responsable de l’appareil judiciaire irakien a également estimé que le plan d’évasion aurait été planifié d’avance; or, « aucun incident n’a été rapporté, pendant les 5 derniers jours avant la fuite, c’est-à-dire, depuis que les forces irakiennes ont reçu le contrôle de la prison Al-Karkh », a-t-il également précisé. http://french.irib.ir
Rien d’étonnant la dedans, les USA créent leurs ennemis de manière directe, en Afghanistan c’est pareil, plusieurs fois des talibans ont été parachutés… Et les talibans n’ont pas d’aviation !!!!
L’Iran ne constitue plus une menace pour la Turquie (MGK)
Ankara a décidé de retirer l’Iran des pays constituant une menace pour la Turquie dans son nouveau document de politique de sécurité nationale, populairement connue comme « la constitution secrète » turque, c’est ce qu’a rapport, ce lundi, le journal Milliyet.
Le Conseil de sécurité nationale (MGK) va adopter un document en ce sens lors de sa réunion en octobre, qui n’identifiera plus l’Iran, pays voisin de la Turquie, comme « une menace privilégiée », selon le journal.
Le nouveau document qui remplace le précédent rédigé en 2005, évoque le programme nucléaire controversé de Téhéran tout en répétant la thèse de la diplomatie turque qui prône un Proche-Orient dénucléarisé, en allusion à “Israel”.
Le MGK, un organe consultatif composé des dirigeants du gouvernement et de l’armée qui trace notamment les grandes lignes de la politique étrangère, n’était pas joignable pour commenter cette information.
La Turquie, membre non-permanent des Nations unies, a suscité une interrogation de ses alliés sur son cap diplomatique, notamment des Etats-Unis, lorsqu’elle a voté « Non » à de nouvelles sanctions contre Téhéran, adoptées par le Conseil de sécurité en juin. almanar
Très très bien tout ça, que les alliances se reforment de manière saine, voila une décision intelligente.
Les USA et israél poussent à la division du monde musulman, les traitres sont partout mais espérons que les pays musulmans laics, sunnites et chiites s’allient et fassent preuve d’unité, à la fois dans la protection de leur culture et des visées stratégiques
Cette interview est édifiante, tout ce que nous avions grace aux informations non officielles est confirmé par ce militaire, sur la fin de sa vie il n’a pas eu peur de dire la vérité, et la vérité est loin d’être belle.
Une fois de plus la manipulation a été énorme, les médias ont crée l’agression Serbe de toute pièce et les ont fait passer pour des barabres alors qu’ils ont été attaqués et ne faisaient que se défendre, ça me rappelle quelque chose…
L’Allemagne est le principal instigateur de la destruction de la Yougoslavie, précison aussi que Meyssan disait exactement la même chose que ce Général, malheureusement, depuis son livre sur le 11/09 Thierry Meyssan est tout simplement INTERDIT d’antennes en France, rien que ça, et après on va emmer l’Iran sur la liberté d’expression…
Je vous conseille également de lire » comment le djihad est arrivé en europe » de Jurgen Elsasseur, c’est une mine d’or pour comprendre l’action des differents intervenants .
Regardez également ce documentaire, il est très interessant
La société de sécurité américaine Xe, mieux connue sous son ancien nom de Blackwater, va payer une amende de 42 millions de dollars pour avoir violé les règles d’exportation en vendant notamment des armes à l’Afghanistan, a rapporté vendredi le New York Times.
Xe est parvenu à un accord avec le département d’Etat pour verser cette amende, a précisé le quotidien américain sur son site Internet, citant une porte-parole du groupe. Interrogé par l’AFP, un porte-parole du département d’Etat a dit ne pas pouvoir fournir de «confirmation immédiate».
Selon le journal, l’ex-Blackwater a violé les règles d’exportation en vendant illégalement des armes en Afghanistan, en proposant d’entraîner des troupes dans le sud du Soudan et en entraînant des policiers taïwanais au tir d’élite.
Le New York Times précise que Blackwater a exporté des armes automatiques et d’autres équipements militaires destinés à son personnel. Dans un cas, la société a délibérément cherché à cacher ce trafic en dissimulant les armes dans des caisses de nourriture pour chiens destinées à l’Irak, selon l’article.
Les enquêteurs ont cherché à savoir si les armes exportées par Blackwater ne se retrouvaient pas sur le marché noir en Irak. Selon le journal, la Turquie se serait plainte auprès des Etats-Unis après que des armes se furent retrouvées entre les mains de rebelles kurdes du PKK.
Autres procédures en cours
En acceptant de payer l’amende, la société échappe à des poursuites judiciaires et peut continuer à obtenir des contrats de l’Etat, a souligné le journal, qui précise que l’accord ne couvre par d’autres procédures en cours devant la justice américaine.
Parmi ces procédures qui restent en cours, le New York Times cite des poursuites contre cinq anciens dirigeants de la société, dont son ancien président, Erik Prince, pour détention d’arme illégale et d’obstruction à la justice. Il évoque aussi une tentative de corruption de fonctionnaires irakiens et les poursuites contre deux anciens employés d’une filiale pour le meurtre de deux civils afghans à Kaboul en 2009.
Blackwater a défrayé la chronique lorsque cinq de ses agents ont été accusés par la justice américaine d’avoir tiré sur des civils irakiens désarmés lors d’une fusillade qui avait fait 17 morts le 16 septembre 2007 à Bagdad. La justice américaine a abandonné les poursuites fin 2009.
Blackwater a été banni d’Irak à la suite de cette fusillade mais continue à travailler pour le département d’Etat et la CIA en Afghanistan, où le président Hamid Karzaï a décidé de renvoyer les sociétés de sécurité étrangères à la fin de l’année.
Selon des documents de justice dont l’AFP s’est procuré copie mercredi, Erik Prince a pour sa part quitté les Etats-Unis pour Abou Dhabi. Ancien membre des forces spéciales de la Marine américaine, proche du parti républicain, Erik Prince, 51 ans, avait fondé en 1997 Blackwater USA, qui est devenue la plus grande entreprise de sécurité privée utilisée par les Etats-Unis en Irak.
Il avait pris en 2009 ses distances avec son entreprise affirmant avoir été lâché par les autorités américaines après leur avoir rendu service dans leur guerre contre le terrorisme. liberation
Déja, honte aux journalistes de libération, Blackwater n’est pas une société de » sécurité » mais ce sont des mercenaires, les mots ont un sens, il faut donc utiliser le mot mercenaire.
Ces gens sont une grande menace, puisqu’ils se vendent aux plus offrant leur opportunisme est extrèmement dangereux.
Et apres les USA veulent extrader victor Bout pour des pratiques similaires, les USA sont les champions du monde de l’hypocrisie.
Bref, des bons malsains dans un monde de malsains
Le potentiel haussier des marchés ? Quel potentiel haussier des marchés ? De moins en moins de futurs retraités cotisent pour leurs vieux jours… c’est haussier, ça ? Les investisseurs institutionnels ont moins de fonds à gérer et c’est l’ensemble de la mécanique boursière qui s’enraye.
Peu d’observateurs l’ont noté, car le marché ne s’intéresse plus aux performances des entreprises, mais à la réaction qu’aura le marché – c’est-à-dire lui-même – face à ses performances. Avec un seul objectif : se blottir bien au milieu du troupeau.
9 Américains sur 10 n’épargnent plus pour la retraite
Finalement, c’est simple, la Bourse. La population augmente, les gens consomment, les entreprises font des bénéfices croissants et offrent des occasions de placement attrayant pour les fonds de pension — qui doivent gagner l’argent des rentes pour davantage de retraités etc. Ca, c’est dans le meilleur des cas et ça s’appelle les Trente Glorieuses. Sauf qu’elles sont terminées, ces fameuses années d’après-guerre. La croissance de la population a beaucoup ralenti dans les pays développés et l’effet d’entraînement basique qu’elle générait s’est simplement grippé.
Vous voulez d’autres preuves que ce que je dis est exact ? Selon une étude de l’Investment Company Institute de Washington portant sur les années 2007 et 2008, neuf Américains sur dix ne mettent plus d’argent de côté pour leur retraite.
Pire encore, le pourcentage d’individus qui dépose de l’argent sur leur plan d’épargne personnalisé continue à reculer : de 11% en 2007 il a atteint 9,4% en 2008. Bien sûr, des facteurs ponctuels expliquent en partie cette évolution : la mauvaise tenue de l’économie et des marchés en 2007-2008, des règles qui évoluent selon la situation du futur retraité. Suite money week
Vous pouvez être sure que l’automne va etre très tendu sur les marchés, comme en 1929 ou c’est deux années plus tard que l’effondrement réel a eu lieu c’est à dire en 1931. Aujourd’hui c’est la même chose, après septembre/octobre 2008 , voila septembre/octobre 2010 qui se profile comme fortement baissier, les derniers chiffres du chomage et de l’immobilier US sont catastrophiques, et voila que sur France 24 et Bloomberg, des intervenants nous préparent à à un second effondrement boursier.
Bref, nous savons que l’économie occidentale est structurellement en défaut, c’est juste que l’effondrement est long car tout est fait pour repousser au plus tard possible la prochaine capitulation, qui sera cette fois définitive…
Bref, campagne et autonomie sont les seules solutions pour ne pas trop souffrir.
Rachel Weisz est aussi très célèbre pour ses rôles dans La Momie, Eragon, Stalingrad (où elle incarne une juive bolchévique innocente et persécutée) …
Le journaliste anglaise Emma Forest a interviewé l’actrice pour la revue new-yorkaise Index Magazine (suivez notre regard). Nous remercions Honoré, un lecteur, pour ses extraits d’interview traduits de l’Anglais :
“RACHEL WEISZ : Et mon nez, il semble qu’il soit … juste vraiment trop grand.
EMMA : Vous venez de dire tout à l’heure, au magasin, que vous vous trouviez trop juive.
Est-ce contraignant pour une actrice d’être perçue comme étant trop “ethnique” ?
RACHEL WEISZ : Eh bien, je crois comme vous que nous nous sentons juifs, mais que nous pouvons échapper à la catégorie “exotique”.
Nous sommes pour ainsi dire des juifs déguisés.
Ces stéréotypes culturels du juif avec un grand nez crochu et un visage charnu déteignent sur nous.
C’est terrible à admettre, n’est ce pas.
EMMA : Jackie Mason plaisante sur le fait qu’aucune femme juive ne veut paraitre juive :
“Un petit air Italien, un petit air Russe, peut-être un brin Espagnol ?’”… “Vous avez l’air juif !”
RACHEL WEISZ : Hollywood est dirigé par les juifs.
Quand j’avais 19 ans, un agent américain m’a conseillé de changer mon nom de famille.
Et je lui ai dit : “Pourquoi ? Les juifs dirigent Hollywood de toute façon.”
Il a répondu “Justement”.
Selon sa théorie, tous les gros pontes pensent que le métier d’actrice est réservé aux “shiksas” (gentilles) [ndlr : un dérivé de « souillures » en hébreux].
EMMA : De tous les juifs qui se détestent de par le monde, les pires sont ceux d’Hollywood. Ils ne veulent pas voir d’images d’eux sur l’écran.
C’est pour cela que Lauren Bacall devait cacher son identité, et que Winona Ryder a changé son nom d’Horowitz.
RACHEL WEISZ : D’une certaine façon, le métier d’actrice est de la prostitution, et les juifs d’Hollywood ne veulent pas que leurs propres femmes y participent.
Il y a aussi un élément du “Complexe de Portnoy” : ils ont tous envie de belles blondes aryennes.”
C’est toujours intéressant de lire les juifs intégristes quand ils font dans la franchise … Des propos qui méritent bien d’être archivés … Il est vrai, très justement, que de nombreux acteurs et actrices américains d’origine juive intégristes n’ont pas de nom qui aide à deviner qu’ils le sont. Et pourtant, si vous vous renseignez ne fut-ce qu’un petit peu, vous allez tomber de très haut … On vous laisse réfléchir sur le point commun qu’il y a entre, par exemple, des acteurs tels que Daniel Craig, Natalie Portman, Sarah Jessica Parker, Tom Hanks, Sophie Marceau, Harison Ford, Sandra Bullock, Sylvester Stalone, Sarah Michelle Gellar ou même Jean-Claude Van Damme (à moitié ou un quart) … Sans parler des convertis ou futurs convertis comme Leonardo Di Caprio … Il est probablement vraisemblable, cependant, qu’on retrouve plus de juifs intégristes parmi les comédiens masculins que féminins …
Qu’il y ait à Hollywood de nombreux acteurs sionistes, c’est un fait, mais ce n’est pas le problème le plus dramatique. Le plus grave, c’est la proportion de sionistes qui se trouvent derrière la caméra : producteurs, réalisateurs, scénaristes, etc … Le problème se situe en particulier parmi les producteurs, car nous savons qu’ils sont en réalité les véritables auteurs des films américains (le cinéma d’auteur à Hollywood, ce n’est pas trop cela …). Les juifs représentent 2% de la population américaine et 0,002% de la population mondiale. Est-ce qu’il est normal et légitime que des juifs sionistes, vu leur petit nombre qui ne représente pas grand chose dans la population américaine et encore moins de la population mondiale, fassent la pluie et le beau temps à Hollywood, industrie culturelle de masse qui s’est imposée partout sur terre ? Et encore, nous ne parlons que de cela … En langage médical, ce problème porte un nom : parasitisme ou cancers.
C’est édifiant ce que ces deux nana racontent, les biens pensant maraboutés vont être perdus, » on nous aurait menti » Hé oui, les juifs vous mentent et vous manipulent chaque jour et pourtant vous les protégez…Quelle stupidité quand même.
Il y a un gros problème juif, que cela vous plaise ou pas, certaines personnes me font rire, ils trouvent que je fais une fixation sur les juifs, c’est faux, ce sont les juifs qui font une fixation sur les goyim, moi je ne fais que mettre en exergue leur influence néfaste sur notre civilisation.
L’autorité palestinienne et l’entité sioniste se seraient entendues pour baisser le son de l’appel à la prière (azâne) de toutes les mosquées situées dans les villes et villages de la Cisjordanie, suite à des plaintes portées par des colons vivant en Cisjordanie.
Selon le quotidien israélien Yediot Aharonot, qui a qualifié de « nuisible » le son de l’appel à la prière, surtout celui d’AlFajr ( l’aube), cette décision a été prise entre des membres de « l’Administration civile » affiliée à l’Armée israélienne, et des ministres palestiniens et des hommes de religion, et mise à exécution la semaine passée.
Selon le quotidien arabophone qui paraît à Londres, AlQuds AlArabi, de surcroit, toutes les mosquées devraient respecter un texte unifié pour tous les appels, tandis que ceux du vendredi devraient émaner d’une seule mosquée dans chaque village ou localité.
Pour sa part, le Hamas a accusé l’Autorité palestinienne de mener une guerre contre l’Islam.
« Ce que les médias sionistes ont propagé sur un accord entre l’autorité de Fatah à Ramallah et l’occupation, pour baisser le son de l’azâne, dans les mosquées de la Cisjordanie, pour ne pas gêner les usurpateurs sionistes, montre que la guerre qu’elle ( l’AP) mène ne se limite plus aux résistants, mais s’en prend aussi à la religion islamique » a déclaré le porte-parole du mouvement Sami Abou Zahri.
Selon Abou Zahri, les mesures convenues ne se limiteront pas à la baisse du son de l’appel à la prière. Le Hamas accuse l’AP de démettre de leur fonction un grand nombre d’appeleurs à la prière (muezzin) , d’imams de mosquées, de prêcheurs et de laisser un millier de mosquées en Cisjordanie sans imam et sans muezzins.
« Tout imam, appeleur ou autre employé d’une mosquée, n’est pas remplacé s’il va à la retraite. Ou s’il l’est, il est substitué par des personnes non compétentes », a conclu Abou Zahri.
Pour sa part, le ministre palestinien du legs et des affaires religieuses, a démenti en bloc l’information du Yediot Aharonot, l’accusant de vouloir ternir l’image de l’Autorité palestinienne, et de vouloir creuser le fossé entre la direction palestinienne et le peuple.
« Je suis personnellement responsable des mosquées, et aucune réunion ne s’est tenue avec l’Autorité ou avec moi personnellement », a assuré Al-Habbache. almanar
C’est tellement dingue que j’en reviens pas, ces tarés de juifs extrémistes colonisent la cisjordanie et en plus demandent aux palestiniens de faire moins de bruit…
Le culot juif dans toute sa splendeur….
L’Institut national finlandais pour la santé (THL) a recommandé mardi la suspension de l’usage du vaccin Pandemrix contre la grippe H1N1 dans l’attente des conclusions de l’enquête sur l’augmentation des cas de narcolepsie infantile constatée cette année.
« Actuellement, nous ne faisons pas face à une épidémie (de grippe), il n’y a donc pas un besoin immédiat de vaccination. En outre, la majorité de la population est protégée contre le virus de la grippe porcine soit par vaccination soit pour avoir déjà contracté la grippe porcine », souligne le THL.
L’Institut a reçu jusque-là des rapports concernant six cas d’enfants frappés de narcolepsie après avoir reçu le vaccin, ce qui est conforme aux statistiques annuelles sur la narcolepsie. Neuf autres cas pourraient être liés à la vaccination.
La Suède a également lancé des investigations sur l’éventuelle propension du Pandemrix, produit par le laboratoire pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline, à provoquer ces accès irrésistibles de sommeil.
Mais le lien de cause à effet est loin d’être prouvé, les études prendront plusieurs mois et les médecins rappellent que le virus H1N1 lui-même peut induire la narcolepsie.
Dans l’Union européenne, environ 30 millions d’individus ont été vaccinés avec le Pandemrix.
La Suède a acheté 18 millions de doses de Pandemrix, suffisamment pour offrir deux injections à ses 9,3 millions d’habitants.
Selon le THL, plus de 2,5 millions de Finlandais ont été vaccinés contre la grippe H1N1 et environ 750 d’entre eux ont fait part d’effets secondaires (généralement fièvre, maux de tête, toux). romandie
LOL, les vaccins endorment !
En même temps on le savait déja….