Archive for avril 2010

Meurtre de Saïd Bourarach: un silence assourdissant! (Union Juive Fr. pour la Paix)

avril 22, 2010

Sur le meurtre de Saïd Bourarach: Un silence assourdissant!

Union Juive Française pour la Paix, (UJFP)

Voici bientôt deux semaines que Said Bourarach a été passé à tabac et noyé dans le canal de l’Ourcq.

Les six personnes arrêtées (deux ont été relâchées en fin de garde à vue) se sont présentées comme juives, un passeport israélien a été trouvé sur les lieux du crime. Il semble difficile d’exclure toute idée de guet-apens à caractère criminel et raciste. D’ailleurs tous les prévenus ont affirmé pour se défendre que la victime avait proféré des propos antisémites, situant d’emblée sur le terrain du racisme communautaire ce qui venait de se passer.

Certes il faut considérer que la police fait son travail et que l’enquête est en cours. On pourrait même accepter la prudence et la discrétion sur une affaire «sensible», cependant l’absence totale de communication et d’information à tous les niveaux, médias, police, préfecture , justice, ne peut que nous interpeller alors que se posent d’aussi graves questions.

En effet sur le fond d’exclusion, de suspicion permanente, de racisme quotidien encouragé par des propos insultants tenus par des ministres, de bavures policières meurtrières, de soi disant débat sur l’identité nationale chargé d’envenimer l’espace public, dans un tel contexte ne pas interroger la nature raciste du meurtre, imposer un bâillon sur les questions légitimes qui se posent ne peut qu’éveiller la suspicion.

Que personne, du plus haut niveau de l’Etat, de la justice, de la préfecture, de la police, de la municipalité, ne juge important de préciser publiquement que toute la lumière sera faite sur tous les aspects de cette affaire, que s’il y a eu acte raciste il sera puni de façon exemplaire, ni même d’exprimer sa simple sympathie avec la famille de la victime, constitue une véritable provocation.
De plus force est de constater que tous les précédents dont les victimes étaient juives, ont par contre suscité d’immédiates et nombreuses réactions de toute la classe politique, avec un relai médiatique extraordinaire. Chacun se souvient de la ruée générale sur les micros pour des affaires à apparences criminelles et racistes antijuives, avant même d’avoir pu vérifier le moindre fond, ou attendu le début d’une enquête, comme dans la triste affaire du RER ou de l’incendie du foyer social juif, pour assurer la communauté juive du total soutien et de la totale sympathie de la République, et promettre des sanctions exemplaires.

Ce traitement politique et médiatique si différencié selon les appartenances, ne peut qu’encourager les réactions communautaires qu’il prétend combattre, envenimer un profond sentiment d’injustice de «deux poids deux mesures» s’agissant de juifs ou d’arabes, et est de nature à allumer le feu. Il ne peut que cultiver un sentiment de frustration et de colère chez ceux qui sont toujours les présumés coupables, de racisme, de communautarisme, de violence sociale dont ils sont en réalité les principales victimes. Et si la colère devait exploser, serait-il alors opportun de hurler au banditisme, et au racisme …arabe?

L’UJFP tient à manifester à nouveau sa plus profonde sympathie à la famille de Saïd Bourarach, et se tiendra aux côtés de tous ceux qui exigent la vérité et la justice sur Said, de tous ceux pour qui l’égalité et la justice sont le seul garant possible du vivre ensemble.

Bureau National de l’UJFP le 12 avril 2010

L’Arizona vient de donner des pouvoirs exceptionnels aux policiers pour interpeller toute personne à la peau foncée et aux traits latinos….

avril 22, 2010


Des immigrants illégaux, les mains liées, escortés par la police, à Phoenix, Arizona.

L’État adopte une loi controversée sur l’immigration illégale. Les citoyens à la peau foncée et aux traits latinos risquent d’être arrêtés et détenus en Arizona s’ils n’ont pas sur eux des papiers d’identité en règle.

Une nouvelle loi, adoptée cette semaine, permet aux policiers d’interpeller toute personne soupçonnée d’être un immigrant illégal – une première au pays.

Jusqu’ici, la tâche de faire respecter les lois sur l’immigration incombait aux agents fédéraux. Les policiers pouvaient appréhender un immigrant illégal seulement si celui-ci était soupçonné d’avoir commis un crime.

La loi est une victoire pour les groupes anti-immigration qui demandent depuis longtemps un durcissement des mesures pour contrer l’immigration illégale en Arizona. Selon ses détracteurs, la nouvelle législation met en place un «État policier» et encourage le profilage racial.

«L’Arizona est sur le point de mettre en place la loi anti-immigration la plus rigide jamais vue dans ce pays depuis des générations, a dit Chris Newman, directeur de l’Association nationale des travailleurs journaliers. Cette loi est anticonstitutionnelle, malavisée et révoltante. L’Arizona est devenu un laboratoire pour les expérimentations en matière de loi anti-immigration au pays.

L’association des chefs de police de l’Arizona s’est prononcée contre la loi, affirmant qu’elle brisera le lien de confiance entre les policiers et les immigrants. Les agents craignent que des immigrants témoins d’un crime ou d’un accident ne décident de prendre la fuite plutôt que de collaborer avec les autorités.

David A. Selden, avocat spécialisé en immigration, signale que la loi aura surtout pour effet d’enrichir des avocats. «Cette loi est une grande subvention pour les avocats anti-immigration, a-t-il dit dans une sortie publique remarquée. Elle va accorder des fonds publics aux avocats, qui pourront poursuivre les conseillers municipaux, les fonctionnaires, les employés de la librairie, quiconque soupçonné de ne pas rapporter aux autorités la présence d’immigrants illégaux.»

Le projet de loi est revenu à l’avant-plan le mois dernier, après le meurtre du propriétaire de ranch Robert Krentz, trouvé sur ses terres, près de la frontière mexicaine.

La loi a été adoptée par les 35 républicains de la Chambre des représentants, tandis que les 21 démocrates ont voté contre. Des manifestants pour et contre la réforme ont bruyamment manifesté à l’extérieur du Capitole, à Phoenix.

Plus engagés

Des projets de loi semblables sont proposés depuis des années en Arizona, mais l’idée n’était jamais bien loin. Or, avec les primaires républicaines prévues pour le mois d’août, les candidats sont plus engagés cette année.

La loi doit être approuvée par la gouverneure républicaine de l’État, Jan Brewer, qui a le pouvoir d’y imposer son veto. Les partisans comme les opposants estiment que la gouverneure donnera son imprimatur à la nouvelle législation.

De 15 à 20 millions d’immigrants illégaux – des Latinos pour la plupart – se trouvent en sol américain. Ils font des travaux difficiles ou peu valorisants, comme laver la vaisselle ou récolter les légumes dans les champs.

Barack Obama a promis de s’attaquer à la réforme de la loi fédérale sur l’immigration dans les prochains mois. Le président a déclaré que l’expulsion des immigrants illégaux n’était pas une avenue envisageable.

Photo Ross d. Franklyn, associated press

Deux immigrants illégaux escortés par les autorités à Phoenix. L’Arizona vient de donner des pouvoirs exceptionnels aux policiers pour interpeller toute personne à la peau foncée et aux traits latinos.

cyberpresse

Une fois de plus c’est du délire complet, des pouvoirs spéciaux pour controler des « peaux foncées » et des hispaniques, ca va être folklo, les américains  » basanés » ou hispaniques ne vont pas accepter de se faire controler en longueur de journée.
Ils ne s’y prendraient pas autrement pour jeter de l’huile sur le feu et amorcer des émeutes raciales, franchemennt ça craint, les autorités de l’arizona jouent avec le feu, près du tiers de la population est d’origine hispanique …

Combien de pauvres pour faire un riche ?

avril 22, 2010

Entre 2004 et 2009, le nombre des personnes gagnant plus de 500.000 euros net/an a doublé, passant de 6500 à plus de 13.000. Dans le même temps, les personnes en dessous du seuil de pauvreté (900 euros/mois) sont passées de 6 à près de 9 millions.
Statistiquement, 462 pauvres de plus génèrent un nouveau riche.
Cela paraît logique. Il faut bien prendre le pognon quelque part !
Par contre, les très-très pauvres i.e les bénéficiaires des minima sociaux sont restés relativement stables durant cette période, autour de 3.300.000 personnes. Peut-être parce que, pour ne pas trop les voir, on les ventile dans des catégories spécifiques qu’on évite d’additionner ?

Le rêve évanoui de 30 glorieuses

A l’époque, on professait que les écarts entre riches et pauvres allaient se resserrer, au profit d’une classe moyenne appelée à devenir le principal pilier de la société de consommation.
C’était un bien pour les intéressés eux mêmes bien sûr, mais aussi pour une droite réaliste considérant à juste titre que lorsqu’on possède quelque chose et qu’on est couvert de dettes pour longtemps, on est moins enclin à faire la révolution.
Ce fut d’ailleurs, en ce temps là, le commencement de la fin du parti communiste qui refusait d’envisager l’embourgeoisement de sa clientèle, et voulait ne pas voir que la gauche devrait compter désormais plus sur les cols blancs que sur les cols bleus.

Marx avait tout faux !

Il avait prévu l’autodestruction du capitalisme par une production sans cesse accrue de produits inutiles que de moins en moins de gens pourraient acheter, conduisant à la faillite des usines, puis des banques, avec pour conséquence une misère extrême susceptible d’amorcer la révolution. Une vision que semblait confirmer en partie la crise de 1929. Mais les glorieuses sixties allaient infirmer ce déterminisme supposé.
On rêvait à voix haute de patrons qui gagneraient au maximum 15 à 20 fois le salaire d’un manoeuvre, d’ouvriers tous propriétaires de leur pavillon et de leur bagnole, et de salariés actionnaires de leurs entreprises.
On parlait alors de « capitalisme populaire » et il était permis de trouver cela plus prometteur que le hasardeux Grand Soir. La timide participation dans les grandes entreprises trouve là son origine.

Aujourd’hui, on est quand même loin des objectifs assignés à cette réduction des inégalités par la distribution de pouvoir d’achat et d’actions à tous le monde.
Certes, comparé au Burkina, au Bangladesh ou à Haïti, nos pauvres sont des riches ! Mais si l’on recadre dans l’optique de notre civilisation, force est de constater que les belles promesses d’hier ont fini en queue de poisson.
Désormais, plus de la moitié des Français vivent avec moins de 1500 euros par mois.
Le nombre de taudis serait de l’ordre de 600.000 d’après la fondation Abbé Pierre. Environ 200.000 personnes habitent en camping à l’année. Plus heureux avec leur logement précaire que les 100.000 SDF officiellement recensés, dont une proportion croissante de travailleurs très pauvres.

Des riches toujours plus riches

Des écarts de revenus indécents et un affichage arrogant de leur richesse caractérisent désormais les riches décomplexés par le tapage des média et des politiques.
Avant, ces gens là avaient au moins la décence de ne pas cracher à la gueule des pauvres en étalant leur fortune. Paternalisme sans doute, mais ils avaient l’hypocrisie de faire semblant de compatir aux problèmes des plus démunis et ne traitaient pas de minables tous ceux qui ne pouvaient s’offrir une Rolex.

Même s’il est bien vu, parmi les milieux artistiques, de venir verser sa larme de crocodile à la télé, en signant un petit chèque déductible des impôts, comme la baronne d’antan donnait aux bonnes oeuvres, les libéraux continuent de sous-entendre que la richesse serait la juste rémunération d’un mérite supérieur. Hors magouilles, copinages, réseaux, mafias, chantages, renvois d’ascenseur et népotismes, bien entendu.

Vivant entre eux, les riches n’ont plus le sens des réalités.
L’île-de-France rassemble 39 % des foyers fiscaux percevant les revenus les plus hauts de l’hexagone. Ainsi à Neuilly, 6400 foyers fiscaux déclarent plus de 2 milliards d’euros. Battus au hit parade du fric par le 7ème arrondissement de Paris où 5675 foyers ont gagné 2,2 milliards d’euros. Des chiffres à donner le vertige. Et se demander : mais que font-ils donc de tout ce pognon ? Même en roulant en Ferrari, en ayant un yacht de 20 mètres, des fringues super-mode et en bouffant de la langouste et du caviar tous les jours ?

D’après l’INSEE, la valeur du patrimoine moyen des 10% des Français les plus riches a plus que doublé en 10 ans. Malgré l’ISF qui ne semble pas beaucoup les perturber. Ainsi est-il passé de 296.000 euros en 1998 à 450.000 en 2003 et 700.000 en 2008. La bulle immobilière n’explique pas tout. Et tout le monde n’a pas perdu en bourse, non plus !
Quant au patrimoine des 10% des ménages les plus pauvres, il est tombé durant le même laps de temps de 2100 à 1700 euros. Avec le généreux 1,25% du livret A, ils ne sont pas prêts de s’enrichir ceux-là !

Des revenus dépassant l’entendement !

Toujours question chiffres, les dirigeants des plus grandes entreprises peuvent percevoir
avant impôts l’équivalent de 100 à 400 ans de Smic !
Les stars du sport et du spectacle font nettement mieux : Thierry Henry aurait empoché 1 200 ans de SMIC en 2008, et Gérard Depardieu environ 500 ans.
Mais les mieux lotis sont les bénéficiaires de revenus financiers, moins imposés que ceux de l’immobilier, et encore moins taxés en proportion que ceux du travail.

Dans cet autre ordre de grandeur, la femme la plus riche de France Liliane Bettencourt (L’Oréal) aurait perçu 15.700 ans de Smic en 2005 rien qu’en dividendes !
Les revenus du capital atteignent ainsi des dimensions inconnues jusqu’alors.
A peine 1% des Français détient 25 % de la fortune nationale, mais ce 1% ne paye que 20% des impôts. Tranches progressives, où ça ?
Quant aux 10 % des « un peu moins riches » qui possèdent tout de même près de 60% de la richesse nationale, cette minorité privilégiée n’est imposée qu’à un peu plus de 30%. Une charge fiscale très supportable…

A comparer avec les 10% de la population la plus pauvre qui ne perçoit que 3% des revenus globaux et que l’exonération d’IRPP ne dispense pas de payer toutes sortes de taxes et de redevances liées à la consommation courante, nourriture, eau, électricité, chauffage, déplacements, résidence, etc…
Des rentrées d’argent considérables pour l’Etat qui ne s’en vante pas. Car il est plus rentable de taxer de façon « indolore » des millions de pauvres que d’imposer un peu plus les riches.

Un bouclier ? Non, un bunker !

Avec le bouclier fiscal, qui permet aux très riches de recevoir des dons de l’Etat, 16.500 contribuables ont touché en 2009 : 586 millions d’euros, puisés surtout dans les poches des gens à revenus modestes tout juste imposables.
Mais il y a mieux si on peut dire : Les 10% de Français les plus riches déclarent à eux seuls près de 70% des revenus du patrimoine et 80% des revenus financiers tels que plus values, dividendes, stock options, bonus, etc… Et ils bénéficient d’une pléiade d’exonérations, exemptions, subventions et autres niches fiscales.

Tout cela était mieux accepté par le corps social naguère parce que la situation paraissait plus équilibrée : les riches industriels utilisaient une partie de leurs ressources pour amortir et renouveler les machines, améliorer les technologies, développer la production, et au bout du compte créer des emplois en se développant et en se diversifiant.
Cela ne passe plus du tout aujourd’hui dès lors que la race des entrepreneurs authentiques disparaît au profit des gamblers compulsifs d’une économie-casino où l’on tue la poule aux oeufs d’or, en appliquant une méthode digne d’un western : « Prends l’oseille et tire-toi ! »

Des pauvres de plus en plus pauvres

En 2009, l’observatoire national de la pauvreté a relevé une augmentation importante des situations de détresse.
Ainsi, le nombre de personnes disposant de moins de 600 euros/mois atteint les 2 millions. Les emplois précaires avec chômage intermédiaire, les postes à temps partiel, les secteurs où les heures de « présence » ne sont pas toutes rémunérées comme dans la restauration et le télédémarchage, et bien sûr un cumul de ces trois handicaps, fournissent le plus gros des effectifs.

Autres chiffres significatifs : au cours de l’année 2009, le nombre de dossiers de surendettement a augmenté de 15 % passant de 700.000 à plus de 800.000. Tandis que le Secours Populaire a enregistré 25% de bénéficiaires en plus.
Quant aux restos du coeurs, avec près de 100 millions de repas distribués, ils connaissent un « succès » qui traduit la détérioration des conditions de vie dans notre pays.

Tout le monde est également touché : au plan géographique, des populations périurbaines précarisées sont dans le même état de détresse que les petits agriculteurs ruinés et les ruraux au rmi.
Au vu de la répartition des allocataires, il faut cesser de considérer que seuls les immigrés pâtissent d’une détérioration structurelle des infrastructures économiques et sociales, et des a-coups conjoncturels de la crise. Toute personne vivant en France (sauf l’oligarchie politico-financière of course) est assujettie aux mêmes aléas.
Et pour ceux qui s’en sortent pas trop mal, les rescapés des classes moyennes d’antan, il y a l’épée de Damoclès du chômage… Et l’angoisse pour l’avenir de leurs enfants. Avec une multiplication de « Tanguys » de plus en plus tardifs, suite parfois à un intermède d’autonomie qui a mal tourné.

Jeunes et vieux en galères

Avec l’âge pour critère, 2 millions d’enfants de moins de 16 ans vivent dans des familles aux revenus en dessous du seuil de pauvreté, dans 500.000 logements insalubres. Il s’agit souvent de familles monoparentales avec la mère pour pivot et les femmes, à compétence égale, gagnent toujours 40% de moins que les hommes.
Quant aux étudiants, on considère que 200.000 au moins sont contraints à survivre d’expédients pour se donner une chance d’acquérir un diplôme qui ne leur servira pas à grand chose. Mais l’espoir fait vivre… En tout cas, la corrélation entre chômage et/ou très bas revenus et bas niveau de formation a vécu. Des bac + 5 à + 8 sont gardiens de parking, animateurs de cages d’escaliers, ou employé(e)s de service.

Mais si les 15-24 ans ont été à la fin du XXème siècle la tranche démographique la plus touchée par la précarité, le chômage et la grande pauvreté (en partie compensée par les familles qui le peuvent)… Désormais, les plus de 55 ans constituent, du simple fait de la pyramide des âges, un réservoir de nouveaux pauvres qui ne cesse de se remplir… Avec des embauches rares et sous-qualifiées, des retraites déjà faibles pour la plupart, et même pas assurées pour les années à venir, assorties de la nécessité pour certains de reprendre un petit boulot pour survivre.
Une tendance qui ne peut que s’accroître à présent… Mais finira par se résoudre toute seule par la mort des intéressés. Attendons donc. C’est ce que semble se dire cyniquement le pouvoir !Inutile dès lors de taxer les revenus financiers pour sauver les retraites…

Des conséquences désastreuses pour toute la société

Naturellement, cette paupérisation galopante a une incidence sur le moral et la santé des individus : maladies psychosomatiques en augmentation, phénomènes de malnutrition qui réapparaissent, désenchantement, déprimes et gens désabusés.
Cela joue aussi sur la cohésion sociale. Le « chacun pour soi et pour sa famille » gagne du terrain parce qu’il faut avant tout essayer de survivre. Cet objectif prioritaire induit une détérioration des relations de travail ainsi que des soumissions humiliantes, sources de frustrations et de colères.
Il en résulte également un accroissement de l’indifférence à la politique « puisqu’on ne peut rien y faire », une exclusion de la culture et des loisirs autres que la bouillie de la télé, et parfois une perte des repères moraux conduisant la détérioration des relations de voisinage et à la délinquance vermiculaire parce qu’on ne voit pas d’autre issue pour s’en sortir.

Bref, il s’agit d’une lente mais inéluctable implosion sociétale impulsée par la cupidité et la goinfrerie sans limites d’un tout petit nombre.
Maîtres des média conventionnels, ils ont l’impudence d’essayer de faire croire au peuple qu’il n’y a pas d’autre alternative : la nouvelle indigence relative, plus ou moins bien amortie par des transfusions sociales au compte-gouttes, serait une caractéristique incontournable du modernisme à l’heure de l’européanisme et de la mondialisation. Comme on a besoin de « variables d’ajustement » face à la concurrence, on ne peut que limiter un peu la casse chez nous, en évitant surtout de toucher aux privilèges des profiteurs.

Le réalisme commanderait d’accepter cette déliquescence (pas pour tout le monde !) Faute de connaître bien pire encore. Il est à noter que, sur ce point, socialos et sarkozos sont d’accord à 90%. Ou quand les élites se délitent…
C’est triste à dire. Mais avec le recul, l’enquête de Pierre Bourdieu et de son équipe sur l’apparition de la nouvelle pauvreté à la ville, à la campagne, à l’école, à l’usine, au bureau, publiée dans « La misère du monde » (Seuil 1993) nous paraît presque décrire un pays de Cocagne. En comparaison de la situation actuelle.
Pauvre France !
agoravox

Sympa l’article, je ne pensais pas qu’il n’ y avait que 13 000 personnes qui déclarent plus de 500 000 euros par an, honnêtement je n’ai pas l’impression que cela fasse beaucoup de gens à taxer….
En revanche que ce chiffre ait doublé en 5 ans est proprement stupéfiant, et je ne parle même pas des 3 millions de pauvres en plus sur la même periode.

Bref, ce sont des chiffres à savoir pour comprendre que notre société est à la veille d’un bouleversement majeur.

New speed cameras trap motorists from space… Le cauchemar prend forme, espionné en temps réel de l’espace

avril 21, 2010

A new type of speed cameras which can use satellites to measure average speed over long distances are being tested in Britain.


Satellites could track motorists from space if trials prove successful Photo: AFP

The cameras, which combine number plate reading technology with a global positioning satellite receiver, are similar to those used in roadworks.
The AA said it believed the new system could cover a network of streets as opposed to a straight line, and was “probably geared up to zones in residential areas.”

The Home Office is testing the cameras at two sites, one in Southwark, London, and the other A374 between Antony and Torpoint in Cornwall.
The `SpeedSpike’ system, which calculates average speed between any two points in the network, has been developed by PIPS Technology Ltd, an American-owned company with a base in Hampshire.
Details of the trials are contained in a House of Commons report. The company said in its evidence that the cameras enabled « number plate capture in all weather conditions, 24 hours a day ». It also referred to the system’s « low cost » and ease of installation.
The system could be used for « main road enforcement for congestion reduction and speed enforcement », and could help to « eliminate rat-runs » and cut speeds outside schools, it added. It could also reduce the need for speed humps.
The development of speed cameras has raised concerns about expanding state surveillance.
The Home Office said it was unable to comment on the trials because of « commercial confidentiality ».
The AA said it would watch the system “carefully” but it did not believe there was anything sinister. “It is a natural evolution of the technology that is out there,” a spokesman said.
telegraph
traduction google

Tranquille quoi, espionné de l’espace, ça commence avec les excès de vitesse et bientôt ce sera un suivi personalisé, on est vraiment mal barrés, et ça ne m’étonne pas que ce soit des anglais qui soient à l’origine de telles méthodes, ces gens sont parmis les plus dégénérés du monde….

L’Iran propose de désarmer les puissances atomiques, L’Iran de doute de rien, c’est très bien…

avril 20, 2010

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a suggéré samedi la création d’un «organe international indépendant» pour contrôler le désarmement, en ouverture d’une conférence sur le nucléaire à Téhéran.

Accusée de se doter de l’arme atomique, menacée de sanctions, l’Iran se rêve en gendarme du nucléaire mondial. Samedi matin, en ouverture d’une conférence sur la non-prolifération qui se tiendra durant deux jours à Téhéran, Mahmoud Ahmadinejad a proposé la création d’un «organe international indépendant, disposant de pleins pouvoirs donnés par l’Assemblée générale de l’ONU» chargé de superviser le désarmement des pays dotés de l’arme atomique. Le président iranien a également proposé que «les Etats ayant l’arme nucléaire, ceux l’ayant utilisée ou ceux ayant menacé de l’utiliser» soient «suspendus de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), et particulièrement les Etats-Unis».

Selon lui, une révision du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) doit être «effectuée par les pays indépendants ne possédant pas d’armes nucléaires. La présence des pays possédant l’arme nucléaire, particulièrement les Etats-Unis, empêche l’élaboration d’une traité équitable». Pour Mahmoud Ahmadinejad le droit de veto des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, est «antidémocratique, injuste et inhumain». Ce droit «devrait soit être annulé, soit, si certains insistent pour le conserver, être étendu à certains pays d’Amérique latine, d’Asie, d’Afrique et d’Europe afin de réduire ses effets négatifs».

«Criminel atomique»
Si l’Iran affiche une telle détermination sur la question, c’est qu’elle n’envisage officiellement toujours pas de se doter de l’arme atomique. L’enrichissement de l’uranium et le programme nucléaire auraient ainsi des visées purement civiles. Juste avant l’allocution du président iranien, le guide suprême, Ali Khamenei, a réaffirmé que «l’utilisation des armes nucléaires est interdite par l’islam («haram»)». «Seul le gouvernement américain a commis un crime nucléaire. Le seul criminel atomique du monde ment en se présentant lui-même comme opposé à la prolifération, alors qu’il n’a pris aucune mesure sérieuse dans ce domaine», a-t-il dit.

La conférence, à laquelle les pays occidentaux ne sont pas présents, doit discuter pendant deux jours du «désarmement nucléaire, de la non-prolifération et de l’utilisation de la technologie nucléaire à des fins pacifiques», selon les autorités iraniennes. Elle réunit huit chefs de diplomatie (Irak, Syrie, Liban, Oman, Arménie, Turkménistan, Centrafrique et Swaziland) ainsi que des vice-ministres de Russie, du Qatar, des Emirats arabes unis et un «assistant spécial du ministre chinois des Affaires étrangères», selon les Affaires étrangères. Le président de l’Organisation de la conférence islamique (OCI) Ekmeleddin Ihsanoglu et des représentants de l’AIEA et de l’ONU sont également présents.
le figaro

Que dire de cela :

 » Selon lui, une révision du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) doit être «effectuée par les pays indépendants ne possédant pas d’armes nucléaires. La présence des pays possédant l’arme nucléaire, particulièrement les Etats-Unis, empêche l’élaboration d’une traité équitable». Pour Mahmoud Ahmadinejad le droit de veto des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, est «antidémocratique, injuste et inhumain». Ce droit «devrait soit être annulé, soit, si certains insistent pour le conserver, être étendu à certains pays d’Amérique latine, d’Asie, d’Afrique et d’Europe afin de réduire ses effets négatifs» .

L’Iran est un grand pays, leur position est judicieuse et il va de soit que de nombreux pays vont appuyer cette iniative, que ce soit pour le nucléaire ou le droit de véto à l’ONU, il faut également avoir en tête que la République Islamique d’Iran n’est mal vue que par les USA, et l’europe occidentale, le reste du monde a des bonnes relations avec le régime des mollahs.

L’Iran propose d’échanger simultanément le conbustible enrichi à 20% contre celui à 3,5%, la France refuse alors que les USA se disent \" toujours intéressés \".
Entre nous, étant donnée les nombreuses fois ou les occidentaux ont menti à l’Iran sur le nucléaire (eurodif par exemple mais d’autres cas avec d’autres pays) un échange simultané est plus que compréhensible, il faudrait être stupide pour imaginer que l’Iran donnerait prés des 3/4 de la totalité de son combustible plusieurs mois avant de recevoir celui enrichi à 20% !!

Bref, l’Iran n’a pas été invité à la conférence sur le nucléaire à Washigton, qu’à cela ne tienne, la République Islamique organise sa propre réunion avec la présence des russes et des chinois, ainsi que l’AIEA et l’ONU, il faut que les occidentaux comprennent qu’ils ne sont plus les maitres du monde et il faut que les juifs extrémistes qui occupent la Palestine comprennent que leurs jours sont comptés.

En parlant de ces jobars de sionistes, heureusement que les Naturei Karata sont la pour remonter le niveau, ils ont manifesté aujourd’hui contre les 62 ans de la création (malhonnête) d’israel :
 » Quelques centaines de juifs ultra-orthodoxes appartenant à la secte des  »Neitourei Karta » ont manifesté aujourd’hui leur  »deuil » après les 62 ans d’existence d’Israël. Certains s’en sont pris aux forces de l’ordre arrivées sur les lieux pour tenter de préserver l’ordre public. On pouvait également voir des drapeaux noirs brandis. Rappelons que ces individus constituent une infime minorité au sein du public orthodoxe israelien. »
source

Et pour finir, je trouve super marrant qu’israél soit ressenti comme aussi menaçant au niveau mondial que l’Iran et le Pakistan :
Sondage mondial: Seuls 19% jugent Israël positivement dans le monde
Un sondage réalisé dans 28 pays auprès de 29.000 personnes et diffusé par la BBC révèle l’image peu flatteuse dont jouit Israël dans le monde. Seuls 19% des personnes interrogées ont exprimé une opinion positive à l’égard de l’état juif contre 50% qui regardent Israël de façon négative. Les seuls états perçus plus négativement qu’Israël sont l’Iran (15% d’opinions positives contre 56%), le Pakistan (16% d’opinions positives contre 51% négatives). Les États-Unis bénéficient pour la première fois depuis 2005 d’un regain de sympathie, dû d’après les commanditaires du sondage à  » l’effet Obama » (46% d’opinions positives contre 34% négatives).
source

Why is FEMA trying to cover up NLE 10?

avril 20, 2010

Public Intelligence has received a request from FEMA to remove a “For Official Use Only” document regarding the National Level Exercise 2010 (NLE 10), which was scheduled for this coming May. The exercise was to be based on National Planning Scenario 1 which simulates a nuclear detonation in a U.S. city. However, recent political pressure has led to the exercise being “scaled back” according to the Washington Post,, Christian Science Monitor and a variety of other publications. At the behest of Senator Harry Reid (D-NV), the exercise’s Nevada events have reportedly been canceled and the FEMA website now shows no mention of NLE 10.

On top of this, the Obama administration has recently been emphasizing the threat of a domestic nuclear attack. President Obama’s remarks at the Nuclear Security Summit on April 13, 2010 emphasize that the threat of terrorists using nuclear weapons inside of major metropolitan cities is one of the “greatest threats” that the world faces:

Two decades after the end of the Cold War, we face a cruel irony of history — the risk of a nuclear confrontation between nations has gone down, but the risk of nuclear attack has gone up.

Nuclear materials that could be sold or stolen and fashioned into a nuclear weapon exist in dozens of nations. Just the smallest amount of plutonium — about the size of an apple — could kill and injure hundreds of thousands of innocent people. Terrorist networks such as al Qaeda have tried to acquire the material for a nuclear weapon, and if they ever succeeded, they would surely use it. Were they to do so, it would be a catastrophe for the world — causing extraordinary loss of life, and striking a major blow to global peace and stability.

In short, it is increasingly clear that the danger of nuclear terrorism is one of the greatest threats to global security — to our collective security.

NLE 10 concerned itself with exactly this scenario: the detonation of a nuclear device inside of a U.S. city. Las Vegas was to be the epicenter of this hypothetical attack and, if the exercise utilized the same circumstances as National Planning Scenario 1, it would have involved “hundreds of thousands” of casualties, more than 300,000 refugees and ultimately more than 1 million displaced persons.

The unpopularity of such a scenario, regardless of its security benefits, is obvious. What is strange is the attempt that is now being made by FEMA to eliminate references to the exercises and remove from circulation a document that has played an important role in drawing attention to the exercise. As the state of NLE 10 is unclear at the moment, it is difficult to say whether the request is truly motivated by security or whether there is a more dubious intention.
source merci vladi, c’est excellent.
traduction google

Simuler une explosion nucléaire de 10 kilotonnes à Las Vegas, LOL, le sénateur qui a stoppé cet exercice doit savoir comment ça se passe, et il ne veut pas voir sa ville atomisée lors d’un exercice qui vire à la réalité comme cela a été le cas le 11/09 ainsi qu’à Londres en 2005.
Lisez bien les liens, il y a pas mal d’infos complémentaires et importantes.
La FEMA a dépensé des centaines de millions de dollars pour se préparer à un évènement de destruction majeur, lorsqu’il sauront gérer « au mieux » un tel scénario cela se produira…
Et il y aura de grande chance que ce soit l’Iran qui soit désigné comme responsable rendant nécessaire et légitime l’utilisation de l’arme atomique.

Quelques liens…

avril 19, 2010

Ashton-Sarkozy: l\'Iran \"défi numéro 1\"

N’importe quoi de lire ça :
 » La chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton, qui rencontrait aujourd’hui Nicolas Sarkozy à l’Elysée, a insisté auprès du président de la République sur le fait que pour elle, l’Iran était le « défi numéro un aujourd’hui pour la sécurité du monde », a indiqué l’Elysée. »

Le FBI craint le terrorisme local

Et voila, la jonction al quaida-population civile est opérationnelle :
 » Les terroristes agissant seuls (« loups solitaires ») et ceux ayant grandi sur le sol américain font désormais peser sur les Etats-Unis une « menace aussi grande » qu’al-Qaida, a affirmé aujourd’hui le patron du FBI Robert Mueller devant des parlementaires américaines. »
Pauvre de nous…

La France coopérerait aux assassinats politiques perpétrés par le Mossad
Malheureusement, rien d’étonnant, nous sommes totalement sionisés…

Le quatrième fabricant mondial de téléphones a vu ses ventes sensiblement diminuer au premier trimestre 2010 tant en volume (-27,6% sur un an) qu\'en valeur (-19%).

Avec des chiffres pareil on se demande comment ils peuvent faire des bénéfices, et pourtant ils en font…

Goldman Sachs poursuivi pour fraude liée aux «subprimes»
Enfin pourrait on dire, mais je n’ai aucune illusion et en plus le mal a été fait, le système bancaire est cassé.

Les Américains évacuent une vallée afghane

Incroyable, les américains ont compris qu’ils ne pourront pas gagner cette guerre :

 » le général McChrystal a pensé que le jeu n’en valait plus la chandelle. «Cela ne me sert à rien d’aller faire la chasse aux insurgés dans les déserts et les montagnes, nous avait confié le général en septembre dernier. Si je repère un groupe de dix talibans en vadrouille sur une crête, et que j’arrive à en tuer deux, quel sera mon résultat final? Je ne me retrouverai pas avec un groupe de huit insurgés, mais bien plutôt de seize, car quatre cousins de chacune des victimes auront décidé, “par honneur”, de rejoindre la rébellion.»  »

e taux des obligations grecques à 10 ans atteint 7,6% .
 » Dans l’attente des discussions à Athènes, les rendements des obligations d’Etat grecques ont atteint lundi vers 11H00 (09H00 GMT) un nouveau plus haut historique depuis l’entrée du pays dans la zone euro, au-dessus de 7,6%.
A 11H14 (09H14 GMT), le taux de l’obligation d’Etat grecque à 10 ans était à 7,621% contre 7,366% vendredi vers 16H00 GMT, après une pointe à 7,631%.
Le différentiel (« spread ») avec l’emprunt allemand à 10 ans qui sert de référence au marché s’élevait à 455 points de base contre 428 vendredi. Cela signifie que la Grèce doit offrir un surplus de 4,55 points de pourcentage par rapport à l’Allemagne pour emprunter sur les marchés.
La Grèce doit procéder mardi à une nouvelle émission de bons du trésor à trois mois (T-bills) d’un montant de 1,5 milliard d’euros. »

Quand on pense au silence radio des médias sur la gravité du cas grec et surtout la très grande probabilité que cela nous arrive, ça fout les boules, les gens doivent être mis au courant , afin de se protéger, et normalement c’est le rôle des journalistes.

Près d’un million de saisies immobilières aux USA au 1er trimestre, chiffre en augmentation de 16% par rapport à 2009 (via contre info
Pauvres gens, clochardisés par des méga malsains, je ne comprends pas pourquoi les gens ne se révoltent pas, cela prend des proportions ahurissantes.

L’Iran saisit l’ONU à propos du 11-Septembre , c’est pas beau la vie !!!!

avril 18, 2010

Des agences de presse ont fait mention d’une lettre adressée par le président de la République islamique d’Iran, Mahmoud Ahmadinejad, au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, le 13 avril 2010.

Les premières dépêches indiquaient que l’Iran souhaitait l’ouverture d’investigations sur les attentats du 11 septembre 2001 et une condamnation des attentats commis dans le pays par le Jundallah, une organisation terroriste encadrée par l’OTAN.

Cependant, la revue Foreign Policy, éditée par la Brookings Institution, a diffusé sur son site internet ce qu’elle a présenté comme le texte intégral de la lettre iranienne, et qui ne contient pas de demande à propos du 11-Septembre. La presse a alors fait machine arrière.

Il s’agit d’une manipulation qui en dit long sur l’inquiétude des tenants de la version gouvernementale US des événements de 2001.

La lettre authentique, dont nous publions la version anglaise intégrale telle qu’elle nous a été transmise par la présidence iranienne, indique :

« Excellence, on attend au moins que vous désignez un groupe de recherche indépendant en qui les peuples de la région auraient confiance, pour lancer une enquête exhaustive sur les principaux criminels commanditaires des attentats du 11-Septembre en tant qu’excuse principale pour attaquer le Proche-Orient, sur les objectifs de la présence militaire de l’OTAN en Afghanistan et en Irak, sur les méthodes utilisées, et sur les conséquences de leur présence et de leur engagement, dont les résultats seraient présentés à l’Assemblée générale. »

Après consultation avec d’autres Etats membres des Nations Unies, l’Iran a souhaité saisir le secrétaire général, et entend saisir directement l’Assemblée générale si cette première démarche s’avère infructueuse, comme on peut le craindre.

En 2002, Thierry Meyssan avait convaincu la Ligue arabe et le Conseil de coopération du Golfe d’entreprendre une démarche à l’ONU pour faire toute la lumière sur le 11-Septembre, mais ceux-ci avaient finalement renoncé sous la pression des Etats-Unis.

==

« Mahmoud Ahmadinejad’s letter to Ban Ki-moon », Voltaire Network.
voltairenet.org

J’aime de plus en plus Ahmadinejad, il est vraiment excellent….
Le régime sait que la situation est très tendue, ils sont en train de jouer toutes les cartes possible, et il y en a beaucoup….

Les américains et tous les hypocrites menteurs qui couvrent ce méga mensonge doivent se chier dessus, l’Iran n’est pas isolé, de nombreux pays possèdent de très bonnes relations avec la nation iranienne, et ça ne m’étonnerai pas que d’autres pays soutiennent cette iniative….

Les semaines et les mois à venir vont être extrèmement exaltants.

Afghanistan : Karzai, la marionnette qui a coupé ses fils, par Eric Margolis

avril 15, 2010

Le Président Hamid Karzaï s’oppose de plus en plus ouvertement à Washington, qui non seulement refuse mais entrave le dialogue de réconciliation nationale entamé par Kaboul avec les talibans et le Mollah Omar, note le journaliste Eric Margolis, fin connaisseur de la région. Cette querelle reflète selon lui une divergence fondamentale d’intérêts : les afghans, épuisés par trente ans de conflits qui ont ravagé le pays, aspirent à la paix et savent qu’elle ne peut être obtenue sans redonner leur place aux Pashtounes, alors que la coalition emmenée par les USA tient avant tout à s’assurer un contrôle stratégique sur une région riche de ressources. En arrière plan, les puissances régionales ont pleinement conscience des opportunités que leur offrirait un Afghanistan redevenu indépendant. — Le conflit afghan est emblématique de l’impasse et de l’inefficacité d’une vision géostratégique bâtie sur la domination militaire. En choisissant la confrontation, l’occident non seulement inquiète mais il expose aussi ses faiblesses et compromet son avenir. Par la confrontation armée, il s’aliène tous les peuples du monde qui voient jour après jour les civils innocents mourir sous les balles et les bombes de ceux qui se prétendent pourtant les dépositaires de la plus haute exigence morale et revendiquent le privilège de dire le droit. En inquiétant, il incite les dirigeants à rechercher la protection de l’arme nucléaire, comme c’est le cas en Iran, pour éviter à leur peuple le destin terrible de l’Irak, où l’invasion occidentale – qui a très sûrement provoqué plus de morts et de souffrances que le régime pourtant honni de Saddam Hussein – est un crime qui restera de toute évidence impuni. En ne parvenant pas à imposer sa loi, il révèle à tous son destin d’empire sur le déclin dont l’heure de toute puissance est vouée à « disparaitre des pages du temps », pour reprendre une formule célèbre mais si souvent déformée. Tous ensembles, ces facteurs concourent au résultat inverse des objectifs affichés : on assiste à une aggravation des tensions régionales, une dissémination des armements et à une accélération des processus de recomposition dans les relations internationales, les nations émergentes cherchant à se protéger et à s’éloigner d’un centre, affaibli certes, mais qui reste un facteur de désordre et non de stabilisation. Enfin, ce faisant, il se prive de ce qui serait sa capacité d’influence sur les affaires du monde la plus inspirante : une coopération pacifiée entre pairs, qui donnerait, elle, quelques raisons de partager les idéaux des lumières, dont, piètres héritiers, nous offrons aujourd’hui une détestable caricature. Contre Info

Par Eric Margolis, Toronto Sun, 11 avril 2010

Henry Kissinger a déclaré un jour qu’il était plus dangereux d’être l’allié de l’Amérique que son ennemi.

Dernier exemple en date : Hamid Karzai, le président installé par les américain en Afghanistan, qui a de sérieux ennuis avec des patrons à Washington vraiment en colère.

L’administration Obama veut faire porter le blâme pour l’échec américain à vaincre les talibans à un Karzai largement impuissant, qui est un ancien « atout » de la CIA. Washington a accusé Karzaï d’avoir truqué les élections l’an dernier. C’est vrai, mais les États-Unis avaient « pré-truqué » ces élections afghanes en excluant toutes les partis qui s’opposent à l’occupation occidentale.

Washington, qui soutient des dictateurs et des élections truquées dans tout le monde musulman, a eu l’audace de s’en prendre à Karzaï pour cause de corruption et de bourrage des urnes. Et ce au moment où le Pentagone organisait une prise de contrôle totale du Pakistan par les militaires.

L’administration Obama ne cache pas qu’elle souhaite remplacer Karzai. On pourrait presque entendre Washington crier : « piètre marionnette ! »

Karzai a riposté en accusant les Etats-Unis de truquage des élections. Il a demandé à plusieurs reprises aux militaires américains de ne plus tuer tant de civils afghans.

Puis, Karzaï a laissé tomber une bombe, en affirmant que les USA occupaient l’Afghanistan pour dominer la région de la mer Caspienne, riche en énergies, et non en raison des talibans ou de l’inexistante Al-Qaida. Karzai a déclaré que les talibans « résistaient à l’occupation occidentale ». Les États-Unis auront bientôt 100 000 soldats en Afghanistan, plus 40 000 soldats de l’OTAN.

Karzai a même affirmé en plaisantant à demi qu’il pourrait rejoindre les talibans

Washington a eu une attaque d’apoplexie. Une campagne de propagande pernicieuse a été déclenchée contre Karzaï. Le New York Times, l’un des porte-paroles de l’administration Obama, ardent partisan de la guerre en Afghanistan, a appelé au renversement de Karzaï et à son remplacement par un général plus complaisant.

Le pro-américain Peter Galbraith, qui avait été démis de ses fonctions aux Nations Unies à Kaboul, a déclaré aux médias que Karzaï pourrait être à la fois drogué et fou.

Au-delà de cette querelle – qui ne manque pas de comique – il existe une divergence croissante entre les Afghans et Washington. Après 31 ans de conflit, près de trois millions de morts, des millions de réfugiés, et une pauvreté terrible, les Afghans aspirent à la paix.

Durant les deux dernières années, Karzaï et les seigneurs de guerre qui sont ses alliés ont eu des pourparlers de paix avec les Taliban en Arabie Saoudite.

Karzaï sait que le seul moyen de mettre fin au conflit en Afghanistan est de donner sa place à la majorité pachtoune de la nation et à son bras armé, les talibans. Le compromis politique avec les talibans est la seule – et inévitable – solution.

Mais l’administration Obama, mal conseillée par les néoconservateurs de Washington et les tenants de la ligne dure, est déterminée à « remporter » une victoire militaire en Afghanistan (quoi que cela puisse signifier) pour sauver la face en tant que grande puissance et imposer un règlement qui lui laisse le contrôle stratégique sur l’Afghanistan.

Les États-Unis ont donc contrecarré les pourparlers de paix de Karzaï en obtenant du Pakistan – qui a reçu 7 milliards de dollars US – l’arrestation de hauts responsables talibans réfugiés dans le pays qui participaient aux négociations de paix en cours avec Kaboul.

C’était au tour de Hamid Karzaï d’être en colère. Il a alors commencé à défier ouvertement ses patrons américains et à adopter une position indépendante. La marionnette a coupé les fils.

L’audace retrouvée de Karzaï est due au fait que l’Inde et la Chine sont impatientes de prendre la place de la domination US/OTAN/Anglaise sur l’Afghanistan. L’Inde déverse de l’argent, des armes, envoie ses agents en Afghanistan et forme les forces gouvernementales. La Chine, plus discrètement, entre en scène pour exploiter les richesses minières récemment découvertes en Afghanistan, qui sont d’une valeur de 1000 milliards de dollars, affirme Karzai s’appuyant sur une étude géologique effectuée par l’administration US.

La Russie, qui n’a toujours pas digéré sa défaite des années 1980 en Afghanistan, observe les vicissitudes de l’Amérique avec une évidente réjouissance, non dépourvue d’un désir de se venger quelque peu. Moscou a ses propres ambitions en Afghanistan.

J’ai longtemps suggéré que la meilleure option pour Karzaï serait de prendre ses distances avec la tutelle américaine et de demander le retrait de toutes les forces d’occupation étrangères.

C’est une entreprise risquée, certes. N’oublions pas l’avertissement de Kissinger. Karzaï pourrait se retrouver mort. Mais il pourrait aussi devenir un héros national et le meilleur candidat pour diriger un Afghanistan indépendant que tous les groupes ethniques pourraient accepter.

Hélas, les États-Unis continuent de faire la même erreur en recherchant des clients dociles plutôt que des alliés qui soient réellement légitimes et populaires.
Publication originale torentosun, traduction contre info

Excellent article, merci à contre info pour la traduction

 » The Worst of All Worlds « : Fannie and Freddie Losses « Can’t Be Calculated, » Posner Says

avril 15, 2010

Government officials want you to know the cost of the bank bailout is going to be around $90 billion, much less than previously feared. But there is, as The Wall Street Journal put it, « one glaring exception » to this otherwise welcome news: The optimistic tally doesn’t include Fannie Mae and Freddie Mac.

Technically, that’s two glaring exceptions, but let’s not split hairs. The troubled mortgage giants currently enjoy an unlimited line of credit from Uncle Sam, and the CBO projects their investment portfolios — stuffed with subprime and other toxic mortgages — will suffer combined losses of $370 billion through 2020.

« I don’t think it’s time to celebrate [because] the losses inside Fannie and Freddie can’t be calculated, » says Kenneth Posner, author of Stalking the Black Swan. « Not only do we have those [CBO estimated] losses but we still have $5 trillion in mortgage-backed securities that they guarantee and $2 to $3 trillion in debt. All of this is potentially on the U.S. government’s balance sheet until we figure out how to restructure these entities. »

The GSE’s business model is « broken » but their role in guaranteeing mortgages is still critical to the housing market, says Posner, the former head of Morgan Stanley’s financial services research group. « Once they give their stamp of approval, those securities can then be sold and traded with great liquidity in the capital markets. If you shut that down right now, that would be counterproductive. »

Instead of shuttering Fannie and Freddie and putting the nascent housing recovery at risk, he recommends auctioning the mortgage guarantee role to a group of large banks. « Make [banks] pay taxpayers for the right to issue those securities [and] let them do it with their deposits and shareholder equity. »

Of course, that will be politically difficult given the populist backlash against the banking sector after the bailout bonanza of 2008-09, as we discuss in the accompanying video.

But big banks already enjoy the implicit backing of the U.S. government and this plan could potentially cut the official federal deficit by trillions of dollars, Posner says.

« Nothing is going to be easy right now, » but maintaining the status quo « is probably the worst of all worlds, » he says. « You have this broken business model that the government is operating as if Congress had appropriated $7 trillion for direct U.S. government involvement in the mortgage business. »
source
merci vladi

Hahahahaha, 2 à 3 000 milliards de $ de plus à prendre à charge, trop bon, c’est quand que le bateaux coule ?

Nasdaq et S&P 500 continuent leur hausse hallucinante

avril 15, 2010

Oubliez ce que vous savez du rebond poussif de l’économie, que Ben Bernanke ou le FMI sont les premiers à nous rappeler chaque semaine. Répétez 100 fois l’incantation « la tendance est haussière » et vous
gagnerez 100% !

Cette affirmation n’est pas aussi stupide qu’elle en a l’air puisqu’elle est tirée d’une situation bien réelle. Elle soulève toutefois pas mal de questions…

Est-ce que le Nasdaq — qui tutoie à présent les 2 500 points — peut viser 100% de gain en 13 mois et demi ? Il s’agit d’un objectif de 2 540 points, équivalent au zénith des 15 mai et 5 juin 2008.

Réponse : rien ne semble impossible à un indice gouverné par la surliquidité.

L’indice composite alignait ce mercredi une huitième séance de hausse (+1,3% à la mi-journée) sur une série de neuf. Il semblait bien parti pour aligner une septième semaine consécutive dans le vert, avec 15 records annuels depuis le 5 mars dernier.

Un autre décompte sur 10 semaines, en remontant jusqu’au 5 février, nous permet de constater une obnubilation haussière tout aussi impressionnante. On compte en effet un cumul de 32 séances de hausse contre six de stabilité et six de repli. Sur ces dernières, cinq ne dépassent pas 0,7% alors qu’une seule baisse s’est avérée supérieure à 1%… et cela remonte déjà au 23 février dernier.

▪ Nous observons donc un ratio hallucinant de huit journées positives sur 11. C’est-à-dire que le Nasdaq progresse plus de 75% du temps et ne consolide qu’une fois sur sept — soit 15% du temps.

Cela signifie qu’il n’y a aucun point d’entrée pour les retardataires dans le marché, et aucune détente possible des oscillateurs. Ces derniers nous avertissent d’un climat de surachat des indicateurs hebdomadaires seulement comparable à janvier 2004… et qui s’avère bien plus alarmant qu’en octobre/novembre 2007, lors du record inscrit à 2 825 points.

Le Nasdaq n’est plus qu’à 13% de ses sommets de l’époque… comme si les profits n’étaient par exemple inférieurs que de 15% à leurs niveaux record.

Est-ce que les profits du premier trimestre 2010 seront comparables à ceux du second semestre 2007 ? Est-ce que les profits espérés d’ici 2012 seront aussi fabuleux que ceux anticipés au printemps 2007… en tirant une croix sur le plein emploi, la flambée de la consommation ?

▪ Est-il besoin d’ajouter que la croissance américaine, mesurée à 5% fin 2009, est complètement bidon ? Et faut-il préciser que l’Europe pourrait bientôt renouer avec une croissance nulle, suite à la mise en oeuvre des mesures d’austérité dans les pays du « Club Méditerranée » ? Signalons que Bruxelles affichait ouvertement son scepticisme sur les chances de succès du plan portugais ce mercredi

Et nous découvrons régulièrement des études dont les auteurs affirment que les actions ne sont pas chères… puisqu’elles sont encore à 15% ou 20% en moyenne de leurs plus hauts absolus !

Oubliez donc les PER astronomiques de l’automne 2007, oubliez que les profits restent inférieurs de 40% à leurs niveaux du printemps 2008, quand le Nasdaq tutoyait encore les 2 500 points.

Achetez, achetez, achetez, c’est haussier… Et si la hausse actuelle n’a pratiquement pas de racines, c’est pour mieux permettre aux branches de grimper jusqu’au ciel.

Il faut vraiment être le plus irréductible des suiveurs de tendance et faire aveuglément confiance à un automate de passation d’ordres à la milliseconde pour ne pas se préoccuper de la notion de valeur relative du portefeuille… de la soutenabilité des niveaux de cours… ou encore de la déconnexion de la hausse par rapport au rythme réel d’amélioration de l’environnement économique.

▪ Mais tout ce que nous avons décrit plus haut dépasse tellement l’entendement (le nôtre, en tous cas !) qu’il faut bien envisager que les day traders font la tendance en se jurant de la suivre quelles que soient les circonstances. Ils ont totalement omis d’intégrer dans les modèles mathématiques dont sont gavés leurs logiciels de trading les risques d’éclatement de la bulle obligataire, le dernier exemple remontant en effet à janvier 1994.

C’est un précédent fort lointain et « non probant » (irrelevant, diraient nos amis anglo-saxons), puisque les banques centrales resserraient le loyer de l’argent au lieu de promettre des liquidités éternellement gratuites. Elles n’avaient pas non plus dégradé leur bilan en y intégrant un millier de milliards de créances douteuses (comme la Fed depuis 2008).

Et nous voici replongés dans le même genre de processus technique absurde qu’en 2000 ou 2007 : puisque aucun krach des dot.com ou des subprime n’a jamais été observé, il ne saurait être modélisé et inclus comme un motif de limitation des effets de levier.

▪ Pour résumer l’état d’esprit du moment, nous vous livrons ce pur joyau de la pensée unique. Il illuminera votre compréhension du pourquoi et du comment de la hausse qui propulse le S&P vers 1 210 points et lamine le VIX de 15,50%.

Nous retranscrivons sans y retrancher une virgule l’interview accordée par le senior strategist du Credit Suisse Bob Parker aux journalistes de CNBC. Accrochez-vous, ça décoiffe !

« Je ne peux imaginer à l’heure actuelle aucune raison qui motiverait un pullback des marchés ».

« Si vous regardez ce qui va se passer au cours des prochains mois, attendez-vous à des chiffres économiques très forts » (tout le contraire de ce que pronostiquent Ben Bernanke et Dominique Strauss-Kahn… mais ils ne savent pas lire l’avenir comme Bob Parker, pardonnez-leur, NDLR).

« Les profits des entreprises vont continuer d’accélérer à un rythme annuel de 20% dans les pays développés au cours des deux prochaines années » (avec des consommateurs pressurés d’impôts et des salaires bloqués, cela tombe sous le sens, NDLR).

« Les motifs de modération de la hausse sont désormais bien intégrés dans les cours, aussi bien les difficultés de refinancement des Etats que le resserrement de la politique monétaire chinoise » (et Pékin n’est certainement pas confronté à un scénario de bulle du crédit à la japonaise, NDLR).

A tous ceux qui écarquillent les yeux devant des affirmations aussi péremptoires et d’une subjectivité totale, nous disons « prenez garde ».

Votre scepticisme face au dogme haussier risque de vous interdire à tout jamais d’accéder au statut de grand stratège de banque avec salaire à sept chiffres, bonus pharaoniques, voyages en jet privé et admiration sans borne de l’élite de Wall Street !

Pour avoir osé douter de « ceux qui savent et le font savoir », vous ferez pénitence et copierez 100 fois cette quintessence absolue de la pensée économique : « je ne peux imaginer à l’heure actuelle aucune raison qui motiverait un pullback des marchés ».
chronique agora

Les journalistes économiques des grands médias sont en plein délire, c’est assez comique, bientot ils feront des incantations en direct….

Pauvres citoyens, à se faire bourrer le crane de cette manière, heureusement que la chronique agora veille
(même si ils sont à fond dans le système, vous verriez leurs pub, vous tomberiez par terre , genre,  » profitez du Krack mondial ou de la guerre en Iran)

Obama se couche face à Israél et refuse de prendre position sur leurs armes nucléaires, et l’Iran menace de represaille nucléaire les USA….

avril 14, 2010

L ‘histoire dira si le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a eu raison de bouder le sommet de Washington. Comme il le craignait, certains orateurs, notamment un Saoudien, ont effectivement critiqué l’armement nucléaire d’Israël (non signataire du traité de non-prolifération, TNP), mais leurs dénonciations n’ont guère eu plus d’écho que les appels à un Moyen-Orient dénucléarisé lancés tous les ans à l’ONU.

Son absence et son remplacement par le ministre du renseignement, Dan Meridor, ont porté sur la place publique un sujet sur lequel les Israéliens et les Occidentaux observent depuis des décennies une politique d' »ambiguïté délibérée » (ni confirmation ni démenti). La bombe israélienne est maintenant discutée dans les médias sans les ellipses habituelles. « Le secret le moins bien gardé du monde », a résumé le journaliste Jake Tapper, de la chaîne ABC.

Le président Obama a été questionné lundi sur ce qu’une partie du monde voit comme « une hypocrisie » : fermer les yeux sur le programme israélien tout en contestant celui des Iraniens. « En ce qui concerne Israël, je ne vais pas m’exprimer sur leur programme, a-t-il dit. Nous avons encouragé tous les pays à devenir membres du TNP, donc il n’y a pas de contradiction. »

La première mention du programme israélien par un officiel américain a été faite à l’ONU par la négociatrice Rose Gottemoeller, en mai 2009. Le gouvernement israélien s’en était alarmé. Quelques mois plus tard, le secrétaire à la défense, Robert Gates, avait fait froncer des sourcils à Jérusalem, en disant comprendre que les Iraniens veuillent l’arme nucléaire, entourés comme ils l’étaient par des pays qui en sont dotés. A gauche, certains, comme l’association pro-israélienne J Street, plaident pour qu’Israël déclare son programme et sorte de l’ambiguïté
le monde

      Le titre de l’article est en totale opposition avec le contenu de l’article, en quoi est ce la fin des tabous quand on entend :

       » En ce qui concerne Israël, je ne vais pas m’exprimer sur leur programme, a-t-il dit. »

      C’est dingue d’entendre un président américain dire ça, il se décrédibilise immédiatement, je suis consterné j’ai même honte pour lui.

      Et bien sure ces tarés de juifs extrémistes jubilent :

       » Israël s’est félicité mercredi que le président américain Barack Obama soit resté conforme à la position des Etats-Unis à propos de la politique « d’ambiguïté » suivie par l’Etat hébreu sur la question de l’armement nucléaire.

      « La politique d’ambiguïté constitue le fondement de toute la sécurité d’Israël, elle l’a toujours été et continuera à l’être, le président Obama n’a pas demandé d’en changer dans la période actuelle », a affirmé à la radio publique le vice-ministre des Affaires étrangères Danny Ayalon.

      Interrogé sur le souhait exprimé mardi par le président Obama à la clôture du sommet sur la sécurité nucléaire à Washington de voir Israël signer le traité de non-prolifération nucléaire (TNP), M. Ayalon a estimé que cette demande n’était pas pressante.  »
      romandie

      Ils me gavent ces gens, vous n’imaginez pas…

      Dans un autre style de nouvelle, il y a cela, et c’est très fort :

      Nucléaire : la tension monte d’un cran entre les USA et l’Iran
      Le journal iranien Kayhan a dans son édition de lundi évoqué pour la première fois une riposte militaire nucléaire iranienne sur le territoire américain si les USA attaquent l’Iran à l’arme nucléaire. Alors que Téhéran ne dipose pas encore de l’arme atomique, le journal se garde bien d’écrire explicitement que  »les Iraniens » feront exploser des bombes sales dans les grandes villes américaines, mais il se contente de mentionner  »des agents » chargés de cette sombre mission. Il laisse ainsi entendre que l’Iran fournira de l’uranium ou du plutonium à des terroristes pour en fabriquer des bombes radioactives capables d’exploser sur le sol américain.
      guysen

      Hier soir à  » ce soir ou jamais  » un gars a dit qu’il y avait de fait une relation de dissuasion nucléaire avec l’Iran et que nous l’apprendrions bientôt.

      Nous verrons bien mais je ne pense pas que les iraniens bluffent, et j’espère que c’est vrai, comme ça la paix sera possible.

Les trois grandes sources de risque pour la Chine : Risque 1 – Aggravation du déséquilibre mental et psychique de certaines grandes puissances. C’est délirant de lire ça ????

avril 14, 2010

L’Académie des Sciences sociales de Chine vient de publier le 6 avril le « Rapport (2010) sur le développement de la Région Asie-Pacifique », dans lequel il est indiqué qu’à l’heure actuelle, l’environnement sécuritaire de voisinage de la Chine devient de plus en plus complexe et qu’il existe principalement trois grandes sources de risque.

Risque un – Aggravation du déséquilibre mental et psychique de certaines grandes puissances.

Il est déclaré dans le livre bleu qu’en 2009, la Chine s’est hissée à la tête des plus grands pays exportateurs du monde et qu’elle s’approche de la deuxième place mondiale quant à l’ampleur de son PIB (Produit intérieur brut). L’émergence vigoureuse de la Chine déplaît à certaines grandes puissances, qui en tant que détenteurs d’intérêts acquis de l’ordre international, voient cela d’un mauvais œil et elles connaissent un déséquilibre mental et psychique qui s’aggrave de plus en plus, alors que leur conscience idéologique renforce leur sens de prévention contre celle-ci. Cet état d’esprit déséquilibré et ce sens de prévention les amènent à exciter le nationalisme et le chauvinisme, ce qui augmente objectivement les risques de la Chine quant à sa sécurité. Les effets de ce genre de facteurs sont clairement et nettement traduits dans les conflits frontaliers entre la Chine et l’Inde, le litige sino-japonais au sujet de la délimitation de la Mer Orientale ainsi que le contentieux sino-australien en ce qui concerne le cas d’espionnage du Groupe Rio Tinto.

D’autre part, l’ingérence de certaines grandes puissances, en dehors de la région, dans les affaires des régions environnantes de la Chine aggrave sérieusement les risques existants de la sécurité de ces régions.

Risque deux – Méfiance et inquiétude des pays voisins.

Le livre bleu indique que la spéculation de la communauté internationale au sujet de la Chine, de la « menace de la Chine » à la « responsabilité de la Chine » ou bien de la « partie prenante responsable » au G2, tout cela redouble, à un certain degré, la méfiance et l’inquiétude des pays voisins de la Chine à l’égard d’elle. Le terme « G2 » est devenu l’année dernière le point chaud de spéculation de la communauté internationale. En réalité, ce genre de propos non seulement exagère et surestime l’influence de la Chine dans les affaires internationales, mais surtout méconnaît et méprend l’orientation fondamentale de la politique extérieure non hégémoniste de la Chine. Ce qui est plus sérieux, c’est que la méfiance et l’inquiétude de ces pays les amènent à tenter de pousser les puissances de la région et à demander à certaines grandes puissances en dehors de la région à réunir leur force pour faire équilibre ou contrepoids à la Chine. Fin 2009, l’ancien Premier Ministre de Singapour Lee Kuan Yew a appelé les Etats-Unis à s’introduire en Asie pour faire contrepoids à la Chine et le propos qu’il a tenu à cet effet traduit pleinement ce genre de méfiance et d’inquiétude envers la Chine. En ce qui concerne les conflits au sujet de la Mer de Chine Méridionale, on remarque également de semblable tentative des pays concernés.

Choc fortuit mais manipulé venu de l’extérieur.

Dans le contexte actuel où le degré de mondialisation se renforce davantage de jour en jour, les effets de la sécurité non conventionnelle deviennent de plus en plus évident et un événement fortuit qui se produit dans un certain pays ou dans un certain territoire peut devenir le centre d’attention du monde entier. Les pays voisins de la Chine recèlent chacun une grande différence quant à son système politique, sa structure ethnique ou bien le niveau de son développement économique. Dans le domaine de la sécurité non conventionnelle, les risques proviennent de sources nombreuses et différentes. Au cours de l’année écoulée, nous avons constaté de nombreux événements imprévus : le changement soudain du problème nucléaire nord-coréen, l’incident du cas d’espionnage de Rio Tinto, le problème transfrontalier des réfugiés provoqué par le conflit armé entre le gouvernement birman et les minorités nationales de la région Kokang dans le nord du pays, l’incident du 5 juillet créé par la collusion et la complicité entre les séparatistes du Xinjiang et les forces terroristes de l’étranger, … etc. Derrière ces incidents extérieurs qui semblent fortuits, on remarque souvent la participation et la manipulation des forces antichinoises pleines d’hostilités envers notre pays.

Ces dangers latents qui menacent sérieusement la sécurité de la Chine font que notre environnement sécuritaire avoisinant devient de plus en plus grave et complexe et il est décidé en même temps qu’il est impossible pour nous d’adopter de simple contre-mesure de riposte pour dissiper ces différentes espèces de menaces latentes pour la sécurité de notre pays. Le livre bleu insiste que pour assurer la sécurité de notre situation environnante, la mesure que nous devons adopter pour faire face c’est de développer et d’accroître notre propre puissance, de stabiliser les relations sino-américaines, d’étendre nos relations d’amitié et de bon voisinage, d’élargir notre influence sur nos pays voisins, de renforcer notre « puissance douce et souple » et d’améliorer l’image internationale de notre pays.

Risque trois – Notre plus grand risque réside dans le moment opportun pour le retrait en Asie de la politique de stimulation économique.

Il est indiqué dans le livre bleu que la crise financière internationale a dépassé ses moments les plus difficiles, mais qu’il existe toujours de nombreux facteurs indéterminés quant à la perspective d’avenir du redressement de l’économie mondiale. L’économie asiatique joue jusqu’à présent le rôle de meneur dans le processus de relèvement de l’économie mondiale et au moins dans le courant de l’année à venir (2010), sa position demeurera inchangée et il est prévu qu’elle sera toujours la partie la plus rapide dans la croissance économique de notre monde. Confronté à l’espérance optimiste envers l’économie asiatique, il est important pour nous de rester lucide, pondéré et perspicace en concentrant notre attention sur les risques potentiels qui pourraient surgir ultérieurement à tout moment.

Vu à court terme, le plus grand risque auquel est confrontée l’économie asiatique c’est la maîtrise du moment opportun pour le retrait de la politique de stimulation économique. Le redressement en premier de l’économie asiatique a été principalement dû à cette politique appliquée par les gouvernements des pays de l’Asie et une fois le retrait de cette politique, personne ne peut prévoir son résultat et si le processus de relèvement économique pourrait être maintenu. Le moment opportun pour le retrait de la politique de stimulation économique dépend non seulement de l’appréciation de la perspective d’avenir du redressement économique, mais surtout de la possibilité de la continuité de cette politique. Vu seulement du niveau de l’inflation, le risque à affronter par l’économie asiatique en 2010 n’est pas tellement grave. Mais le problème c’est qu’en poursuivant l’application d’une politique de telle ampleur il se peut que les anticipations inflationnistes soient aggravées et intensifiées et que, dans la condition où l’IPC (Indice des prix à la consommation) ne connaît pas une hausse importante, les prix d’actifs s’envolent. En réalité, depuis le début de l’année 2009, les prix d’actifs dans les régions d’Asie ont été en général supérieurs par rapport aux autres régions du monde, comme par exemple la hausse rapide des prix des actions, des prix des logements et même des prix de l’or dans le monde, laquelle est intimement liée aux opérations des investisseurs asiatiques qui voulaient éviter les risques. Comment continuer à appliquer la politique monétaire laxiste et comment empêcher le risque de bulle d’actifs, ce sont des problèmes épineux auxquels doivent faire face les autorités de gestion monétaire de tous les pays de l’Asie.
peopledaily.com

Les points 1 et 2 sont vraiment interessants, les chinois ont clairement compris que nous n’allons pas les laisser devenir une réelle puissance, vous allez peut être me trouver candide mais je crois les dirigeants chinois quand ils disent :

 » ce genre de propos non seulement exagère et surestime l’influence de la Chine dans les affaires internationales, mais surtout méconnaît et méprend l’orientation fondamentale de la politique extérieure non hégémoniste de la Chine  »

Nous fonctionnons avec nos concepts d’occidentaux et nous projetons notre système de pensée aux autres civilisations, il n’y a que l’occident qui revendique un universalisme qu’il s’imagine devoir imposer à autrui avec autant de systématisme.

Je vous l’ai déja dit plusieurs fois mais la Grande Flotte chinoise du début du 15 siècle n’a ni colonisé ni imposée ses idées dans les contrées visitées, alors que nous autres, avec 3 navires et quelques centaines de soldats avons esclavagisé, exterminés et imposés notre religion à des peuples entiers.

Bref, les chinois se préparent à des tensions avec les occidentaux, le plus grave étant que le danger ne vient pas de la Chine mais de l’occident qui a une perception faussée de son déclin, et qui risque de sur-réagir face à cette perte de leadership incontesté.
Lisez cette note du Sénat sur la toute relative augmentation du budget militaire chinois

Deux ultra dégénérés anglais veulent faire arrêter le Pape, on croit réver…

avril 13, 2010

Deux militants britanniques de l’athéisme veulent faire arrêter le pape Benoît XVI pour « crimes contre l’humanité », à l’occasion de sa visite au Royaume-Uni, après les accusations selon lesquelles il aurait couvert les agissements de prêtres pédophiles, a annoncé lundi leur avocat.

Le scientifique britannique Richard Dawkins et l’auteur américano-britannique Christopher Hitchens ont l’intention de saisir la justice britannique et la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye, a indiqué l’avocat de M. Dawkins, Mark Stephens, dans le Guardian de lundi.

Interrogé par l’AFP, M. Dapo Akande, expert en droit international à l’Université d’Oxford, a estimé que cette tentative n’avait « aucune chance » d’aboutir, le pape bénéficiant de l’immunité « en tant que chef d’Etat ».

Le pape « n’est pas au-dessus de la loi », a cependant estimé Christopher Hitchens dans la presse britannique. « La dissimulation institutionnalisée de viols d’enfants est un crime, dans toutes les législations ».

Le Saint-Père est accusé d’avoir couvert les agissements de prêtres pédophiles avant de devenir pape en 2005.

« C’est un homme dont l’instinct a été, quand ses prêtres se sont retrouvés pris sur le fait, de dissimuler le scandale », a déclaré Richard Dawkins au Sunday Times.

Les deux intellectuels sont considérés comme des figures de proue du « nouvel athéisme » qui prône une attitude plus critique vis-à-vis de la religion.

Un juge britannique peut délivrer un mandat d’arrêt contre un étranger en visite au Royaume-Uni. En décembre dernier, l’ex-ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, avait annulé in extremis un voyage à Londres après l’émission d’un mandat d’arrêt à la suite d’une plainte d’associations pro-palestiniennes. Après cet incident, la Grande-Bretagne a promis de réfléchir « d’urgence » à une modification de sa législation.

En 1998, l’ancien dictateur chilien Augusto Pinochet avait été arrêté au Royaume-Uni, mais cela faisait suite à un mandat d’arrêt espagnol et non à une procédure entamée sur le sol britannique.

Me Stephens estime que le pape ne bénéficie pas de l’immunité réservée aux chefs d’Etat car le Vatican n’est « pas un Etat ».

Des experts considèrent que la Cité ne remplit pas certains critères nécessaires pour former un Etat, ne possèdant par exemple pas de véritable population, mais seulement un gouvernement.

« Le Vatican est reconnu en tant qu’Etat par le Royaume-Uni et d’autres Etats », a toutefois souligné Dapo Akande, de l’Université d’Oxford. Une tentative similaire avait déjà échoué il y a deux ans aux Etats-Unis, a-t-il rappelé.

Quant à une procédure devant la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité, elle est « difficile à imaginer », a estimé Adam Roberts, professeur de relations internationales à Oxford.

« Il faudrait des preuves solides que les actes incriminés font partie d’une attaque systématique et répandue contre une population civile. Il est difficile d’imaginer que la CPI considère les abus sexuels des prêtres catholiques comme étant ce genre de crimes », a-t-il indiqué à l’AFP.
le point

Franchement, la décadence et le manque de respect des croyants est hallucinant, l’ambiance contre le Vatican est détestable.
Certains pretres ont commis des actes pédophiles, l’Église , qui fonctionne toujours dans le secret a très mal géré cette situation et n’a pas supprimé les responsabilités de ces pretres. C’est un fait, mais de la à s’en prendre à l’intitution Papale, c’est à dire l’Église dans son ensemble pour crime contre l’humanité c’est du grand n’importe quoi.

L’ambiance contre les croyants, qu’ils soient chrétiens ou musulmans, est malsaine et totalement irrespectueuse, c’est comme si il y avait une sorte d’inquisition laique.
Le matérialisme consumériste athée ne veut aucun concurent, c’est pour cela que ceux qui croient doivent arréter de croire et rentrer dans le rang des mongoliens sans âmes.

Je ne suis pas véritablement croyant, je ne vais ni à l’eglise ni à la mosqué, mais je respecte énormément ceux et celles qui pratiquent leur religion, ces gens ont une force en eux que les athées ont bcp de mal à comprendre.

Je viens de regardez l’emission de Roselmak sur les musulmans fondamentalistes, je m’attendais à bien pire et cela a été un choix judicieux d’aller à Marseille ou les gens sont assez posés.
Bref à un moment un jeune fait ses ablutions et explique qu’il fait attention à ne pas gaspiller l’eau, et cet abruti de roselmak dit un truc du genre  » ha c’est pas pour l’écologie  » !!!!
Voila ou en est le monde, devoir inventer des concepts alors que c’est naturel dans l’esprit des croyants, respecter la nature et ne pas gaspiller l’eau est du simple bon sens.

Bref, ce n’est pas parceque le Vatican est infiltré par des malsains satanico-maçonnique qu’il faut affaiblir la foi des chrétiens en jetant l’opprobre sur le symbole même de l’Église Catholique Romaine, le Pape.

C’est la Foi qui est en jeu, comment voulez vous que des gens aient la foi dans l’Église si son représentant est attaqué comme un vulgaire tyran ou un pro pédophile.

Je e sais pas pour qui roule ces deux jobards, mais ce n’est pas anodin, le NWO doit affaiblir les grandes religions, comme l’Union Soviétique ou la Chine.

La Chine pourrait financer des TGV aux Etats-Unis… On est vraiment mal barrés.

avril 13, 2010

150 ans après que des milliers de chinois aient participé à la construction du réseau de chemins de fer outre-atlantique, la Chine se dit prête à fournir la technologie et les ingénieurs requis à la construction de lignes ferroviaires à grande vitesse sur le continent américain, à en croire le New York Times du 7 avril 2010.

Des accords préliminaires de coopération viennent d’être signés à cet effet entre le gouvernement chinois, l’Etat de Californie et General Electric. Ces accords révèlent, selon le NY Times, « le grand désir chinois de devenir un exportateur majeur de trains rapides, voyageant à plus de 350km à l’heure ».

« Nous sommes les plus avancés dans de nombreux domaines et nous désirons partager avec les Etats-Unis », affirme sans ironie Zheng Jian, directeur des trains à grande vitesse auprès du ministère des Infrastructures ferroviaires et chargé de la planification. D’autres pays concourent à l’appel d’offre de l’Etat californien, notamment la France, l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie et la Corée du sud.

D’après General Electric, dans un contrat avec la Chine, 80% des éléments seraient fabriqués aux Etats-Unis. La Chine brevetterait surtout sa technologie, fournirait ses ingénieurs et produirait 20% du matériel. Une idée pour la Californie serait la reconversion du site de production automobile de GM à Fremont, en vue d’y assembler des trains. General Electric estime que les Etats-Unis d’Obama dépenseront 13 milliards de dollars dans les cinq ans à venir pour des trains à grande vitesse, alors que la Chine prévoit de dépenser 300 milliards de dollars dans ce domaine dans les trois ans à venir seulement !

Cependant, la Chine va plus loin. Au-delà de sa coopération scientifique et technologique, elle propose d’aider au financement des projets. D’après David Crane, haut responsable du rail californien, les représentants chinois font déjà des allées et retours entre Pékin et Sacramento pour expliquer le projet. D’après le Las Vegas Sun du 3 février, la banque import-export chinoise serait même disposée à avancer 7 des 12 milliards de dollars nécessaires pour la réalisation d’une d\'une ligne Maglev (train à sustentation magnétique) reliant la Californie au Nevada.

Pour Lyndon LaRouche, la démarche chinoise n’est pas dépourvue d’intelligence. Selon lui, la Chine dispose désormais d’une excellence technologique que les Etats-Unis ont perdue. A leur façon, les Chinois se démènent pour ouvrir des marchés à leurs exportations.
solidarité et progrès

C’est franchement hallucinant de lire cela, mon Dieu jusqu’ou sont tombés les américains, en même temps c’est bien fait pour eux, ils n’avaient qu’à réfléchir sur le long terme au lieu de se prendre pour des PDG arrivistes et penser aux seuls profits à court terme.

Ce serait quand même une gifle très symbolique si les chinois étaient choisis, en plus les allemands et les japonais , qui développent aussi cette technologie, vont tirer le gueule.

Bref, il s’agit vraiment d’un bouleversement géostratégique, même si la Chine ne l’emporte pas, le simple fait qu’ils puissent proposer cette technologie, les ingénieurs et le financement fini de démontrer qu’à bien des niveaux les chinois sont en train de nous surpasser, en ce moment….
J’ai vu doc sur une société chinoise de la ville de Chongqing (30 millions d’habitans, (la moitié de la france) et 18% de croissance !!!) qui a inventé une machine qui soigne les cancers avec des ultrasons, et un hopital anglais en a acheté un exemplaire.

Le roman de flore Vasseur tape dans le mille, les élites occidentales vont préférer détruire le système que de laisser les chinois ou autres prendre en main la destiné du monde et donc de l’occident.
Nos élites sont vraiment trop connes, elles se sont sabordées elle même, et pour garder la main , un chaos indescriptible sera nécessaire, il pourrait y avoir une autre raison, qu’une évènement catclysmique puisse survenir et que toutes les civilisations soient anéanties.

Je pense lire ce livre pour voir ce que ça donne : L\'Erreur de Darwin, ça parle de méga raz de marée de plusieurs centaines de haut.

J’espère quand dans 10 ou 15 ans, nous pourrons aller à Pékin de Paris sur un Maglev

Humour de l’OMS : Les nouveaux médias ont perturbé la communication sur la grippe H1N1 !!! Et wé, on vous aura bien baisé sur ce coup la, ça ne marche plus de prendre les gens pour des cons….

avril 13, 2010

Twitter, blogs, email… les nouveaux médias ont perturbé la communication autour de la grippe pandémique H1N1, dont l’apparition il y a près d’un an avait mis en émoi le monde entier, ont souligné mardi l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et des experts.

Il y a eu « des informations, des rumeurs, beaucoup de spéculations et des critiques dans de nombreux supports » médiatiques, a rappelé le conseiller spécial pour les grippes de l’OMS, Keiji Fukuda, en revenant sur les difficultés rencontrées par l’organisation dans sa communication sur la pandémie.

Alors que son apparition sur le continent américain en avril 2009 avait mis le monde entier en émoi, et que sa propagation rapide faisait craindre une catastrophe sanitaire majeure, « l’information était bien plus disponible et décentralisée » qu’auparavant, a-t-il relevé.

Si « les médias traditionnels » ont bien sûr relayé les informations des autorités, mais aussi les débats, doutes et polémiques au sujet de la nouvelle grippe, de nombreux nouveaux médias se sont aussi emparés du sujet, a-t-il souligné en évoquant « internet, twitter, les blogs et emails ».

La gestion internationale de la grippe pandémique H1N1 est évaluée depuis lundi à Genève par des experts, alors que les critiques se sont multipliées contre l’OMS, accusée d’avoir exagéré la menace sous l’influence des groupes pharmaceutiques.

Mardi, les experts ont décidé de se pencher plus en détail sur la question de la communication, à propos de laquelle le Dr Fukuda a reconnu qu’il y avait eu de la « confusion », notamment en ce qui concerne la terminologie utilisée à propos du virus et de la pandémie.

Dans un monde de plus en plus « complexe », l’OMS doit apprendre à « anticiper et répondre aux attentes et inquiétudes changeantes des populations », a-t-il souligné.

Un ancien responsable des maladies contagieuses de l’OMS, David Heymann, a lui aussi souligné qu’il y a désormais « un nouveau facteur » à prendre en compte dans la communication sur de grandes crises sanitaires.

« Il est très difficile de corriger les idées erronées » une fois qu’elles circulent sur internet et dans les réseaux sociaux, a-t-il expliqué à l’AFP.
romandie

Margaret Chan avait dit exactement la même chose il y a quelques mois :

« Nous avions prévu qu’il y aurait des problèmes pour produire des vaccins suffisamment rapidement, et c’est bien ce qui s’est passé. Mais nous n’avions pas prévu que les gens décideraient de ne pas se faire vacciner », a déclaré Mme Chan devant le Conseil exécutif de l’OMS réuni depuis lundi à Genève.

Pour la directrice de l’OMS, « les gens ont aujourd’hui accès à un large éventail de sources d’informations » et « l’époque où les responsables de la santé pouvaient donner leurs recommandations (…) et attendre que les populations s’y plient est sans doute révolu ». source

Bref, c’est une grande victoire citoyenne, Dieu benisse internet et les gens qui se sont grandement impliqués dans cette bataille médiatique, nous avons fait reculer l’ampleur de la vaccination et c’est très bien.

Mais nous allons surement le payer très cher, internet va malheureusement être de plus en plus surveillé et de moins en moins libre, mais il y a des millions d’internautes qui trouveront les parades….

Risque de séisme: des Iraniens invités à quitter Téhéran,

avril 12, 2010

Le gouvernement iranien veut encourager quelque cinq millions de personnes à quitter progressivement Téhéran pour réduire l’impact d’un éventuel tremblement de terre, selon le président Mahmoud Ahmadinejad cité dimanche par l’agence Mehr.

«Nous ne pouvons pas ordonner aux gens de vider la cité (…) mais il faut prendre des mesures. Par exemple, on peut donner des prêts à 4% et des terres aux gens qui quittent Téhéran (…) Au moins cinq millions de personnes doivent quitter Téhéran» pour que le pouvoir puisse gérer les conséquences d’un éventuel tremblement de terre, a déclaré M. Ahmadinejad.

L’agglomération téhéranaise, qui compte quelque 14 millions d’habitants avec les villes satellites de la capitale, est située sur plusieurs failles sismiques et tous les experts affirment qu’un éventuel tremblement de terre important pourrait faire des centaines de milliers de victimes.

«Nous ne pouvons pas prévoir quand un tremblement de terre se produira. Mais si un tel événement se produit, comment pourrons-nous gérer les problèmes pour les 13,8 millions de personnes qui habitent dans la province de Téhéran?», a demandé M. Ahmadinejad.

L’Iran compte 74 millions d’habitants, dont «67% vivent dans les villes et 33% dans les villages», a également indiqué M. Ahmadinejad.

Le pays, qui se trouve sur plusieurs failles de la croûte terrestre, est régulièrement secoué par des tremblements de terre parfois meurtriers.

Le dernier séisme majeur en Iran, le 26 décembre 2003, a fait 31 000 morts à Bam, soit près du quart de la population de la ville.
cyberpresse

Whaou, c’est un signe extrèmement mauvais cette déclaration, les mollahs prépareraient ils la population à quelque chose de gravissime, est-ce un prélude à l’évacuation des villes en vue d’un bombardement nucléaire ou l’utilisation d’armes qui provoquent des séismes, en tout cas ce n’est vraiment pas anodin, surtout dans ces temps de très grandes incertitudes.

C’est franchement flippant, et n’augure vraiment rien de bon.

D’autant que je suis tombé sur ça :

L’or noir de Téhéran n’a plus la cote

Selon le site radiozamaneh.com l’Iran a confirmé une baisse significative de ses exportations de pétrole vers la Chine, l’Inde et le Japon. La Chine et le Japon ont réduit leur demande respectivement de 37 % et 11 % depuis le mois de janvier. De son côté, l’Inde aurait cessé toute importation de pétrole en provenance d’Iran. Ainsi le groupe privé Reliance Industries ne renouvellera pas son contrat d’importation de pétrole brut pour l’année 2010. Cette diminution « n’est pas liée aux sanctions, ces pays profitent simplement de la situation », affirme Hamid Hoseini, un officiel iranien. Téhéran est actuellement menacé de nouvelles sanctions liées à son programme nucléaire.
courrier international

mais aussi cela :

Loukoil va mettre fin à ses livraisons de carburant en Iran.

La compagnie pétrolière russe Loukoil va cesser ses livraisons de carburant à l’Iran, a-t-on appris mercredi de sources industrielles.

D’autres firmes telles que Shell ont déjà renoncé à leurs exportations à destination de la République islamique dans la perspective de nouvelles sanctions internationales pour condamner la poursuite de ses activités nucléaires sensibles.

Loukoil, deuxième compagnie pétrolière russe, livrait de 250.000 à 500.000 barils par mois à l’Iran, selon des courtiers. « Il ne s’agit pas d’un fournisseur majeur de carburant pour l’Iran. Mais ils vont arrêter du fait des pressions du siège moscovite », a dit l’un d’eux.

La direction de la compagnie s’est refusée à tout commentaire.

Loukoil exploite 2.000 stations-service aux Etats-Unis, où un projet de loi visant à pénaliser les firmes qui traitent avec l’Iran est à l’étude.
reuters

J’espère que ces sociétés ont simplement peur des sanctions et non qu’elles sont sûres que l’Iran sera bombardé.
Je n’arrive pas à me faire à l ‘idée que les USA vont véritablement bombarder l’Iran, les conséquences seraient incalculables, si ils osent le faire c’est que la situation économique est encore plus grave que ce que nous pouvons imaginer, et que la puissance du lobby est sans faille.

Pauvres iraniens….

Chemtrail, le présentateur météo dit la vérité, incroyable…

avril 12, 2010

C’est exactement ce que dit cet article :

Chronic barium intoxication disrupts sulphated proteoglycan synthesis: a hypothesis for the origins of multiple sclerosis.

The high levels of Ba stemmed from local quarrying for Ba ores and/or use of Ba in paper/foundry/welding/textile/oil and gas well related industries, as well as from the use of Ba as an atmospheric aerosol spray for enhancing/refracting the signalling of radio/radar waves along military jet flight paths, missile test ranges, etc
http://www.ncbi.nlm.nih.gov

Ces épandages de produits chimiques rendent les gens malades, c’est un fait.

Et regardez ce site, il est assez interessant : http://geoengineeringwatch.org/ ainsi que cet article.

Bombing Iran on US-Israel agendas, but nobody has right to allow this – Chief of Staff

avril 12, 2010

The U.S. and Israel will resort to attacking Iran over its nuclear programme if pressed hard enough. That’s according to the Chief of the General Staff of Russia’s Armed Forces. Speaking at a press-conference, he said such hard measures would be devastating for regional and international stability, and cannot be allowed.

Et voila ce que dit Medvedev :

Une attaque israélienne contre l’Iran risque de déboucher sur un conflit nucléaire et sur une catastrophe globale, a estimé lundi le président russe Dmitri Medvedev dans une interview à la chaîne de télévision américaine ABC News.
« Si ce genre de conflit se produit, si une frappe contre l’Iran a lieu, nous devrons nous attendre à toute sorte de suites, dont le recours à l’arme nucléaire (…) ce qui sera une catastrophe globale », a déclaré M.Medvedev interrogé sur les conséquences d’une frappe israélienne contre Téhéran.
« La guerre au Proche-Orient est la pire des solutions, car n’importe quelle guerre emporte des vies humaines, et d’autre part les pays sont si proches les uns des autres qu’aucun Etat ne sera épargné », a expliqué le président russe.
Interrogé sur sa certitude d’un non-recours de Tel Aviv aux armes, Dmitri Medvedev s’est abstenu de répondre et a dit qu’il ne pouvait être sûr que des décisions qui relevaient de sa compétence.
novosti

Honnetement, j’ai du mal à suivre, Obama dit un jour qu’il est possible de bombarder avec des armes nucléaire l’Iran et le lendemain il nous dit que les sanctions ne serviront à rien :  » Le président américain Barack Obama a déclaré dans une interview diffusée vendredi que les sanctions ne garantissaient pas de changement de comportement de l’Iran, mais que la pression internationale pourra être efficace à terme. » source idem pour Robert Gates qui annonce :  » – L’Iran n’a « pas encore » la capacité nucléaire militaire et son programme progresse plus lentement que prévu, a estimé dimanche le secrétaire américain à la Défense Robert Gates. » source

Les américains soufflent le chaud et le froid, je vais finir par prendre au sérieux certaines analyses de Iran resist , c\'est dire !!!

Il se joue une gigantesque partie de poker menteur, et avec ces fous furieux de juifs extrémistes, tout est possible, surtout le pire.

Et n’oublions pas cela :

 » Zbigniew Brzezinski suggests that Barack Obama do more than just refuse to support an Israeli strike on Iran’s nuclear sites — the American president must give the order to shoot down Israeli aircraft as they cross Iraqi airspace  » source

Nous verrons bien

Trafic d’organes : démantèlement d’un réseau israélien impliquant des militaires

avril 12, 2010

Selon « Israël Radio » six israéliens dont un haut-officier de réserve de l’armée israélienne et des avocats ont été arrêtés pour implication dans un réseau organisé de trafic d’organes humains.
Toujours selon des sources médiatiques israéliennes, le réseau a travaillé pendant plusieurs années dans toutes les parties des territoires palestiniens occupés.
C’est l’Unité chargée des enquêtes de fraude dans la région du nord d’ « Israël », qui a démasqué le réseau suite à une plainte déposée par une femme originaire de la ville de Nazareth en Galilée ..
Dans les détails de l’enquête, la femme aurait répondu à une annonce publiée dans un journal local arabe: «demande de rein en échange d’un montant de 100 mille dollars». La femme a affirmé avoir contacté les auteurs de l’annonce, qui lui ont demandé d’effectuer des examens médicaux dans l’un des pays de l’Europe orientale, où son rein a été extrait. Or depuis son retour au pays, elle affirme n’avoir toujours rien reçu.
La police a précisé avoir reçu plusieurs plaintes similaires à celle de la femme ! Une enquête a été ouverte, révélant l’existence d’un réseau secret de trafic d’organes humain impliquant des responsables israéliens et des avocats. La police a indiqué que «le réseau est actif dans toutes les régions d’ « Israël », pas seulement dans le nord, et que ses membres s’adressent directement au grand public via les journaux locaux et les sites internet !
Toujours selon la police israélienne, le montant de l’argent perçu pour les transplantations d’organes varient de cas en cas : pas moins de 120 mille dollars pour une greffe de rein. La majorité des donateurs, sont des gens qui souffrent de situations financière sévères..
Une enquête plus poussée a montré que les donateurs signent de fausses déclarations attestant l’existence de lien de parenté entre le donateur et le patient, condition obligatoire dans les pays qui opèrent ce genre de transplantation.
Après la signature des documents, les dossiers sont classés en fonction du type de sang, et les donateurs sont transférés vers des pays en Europe de l’Est ou les Philippines ou l’Equateur, où ils sont opérés, puis ils retournent en « Israël » après une courte période de repos sans certificat médical, et certains souffrent de complications médicales sans être suivi par une quelconque assistance médicale !
La police a réussi à contacter certains donateurs pour les prévenir qu’ils ont été victimes d’une sale affaire !
almanar

Le journaliste suedois avait donc bien raison !!!
Voila un article sympa du blog(que j’aime bcp) les attentats du 11/09 vus par une conspirationniste qui retrace très bien cette histoire horrible.

Pauvres palestiniens, ces tarés de juifs extrémistes vont jusqu’à leur voler leurs organes quand ils sont morts voire à ne pas payer le  » don  » de personnes pauvres et dans le besoin, c’est fou que l’on puisse être aussi malsain… Ces gens doivent avoir de sacrés problèmes mentaux.

Souvenir : pourquoi les  » terroristes  » du 11/09 avaient les codes secrets de communication présidentiel ?

avril 12, 2010

At 9:03 a.m. Tuesday, as Vice President Dick Cheney was staring at the TV screen, the second hijacked airliner exploded against the Twin Towers. At that moment his Secret Service detail grabbed him and hurried him down to  »PEOC. »

The President’s Emergency Operations Center is an underground facility hardened to withstand blast overpressure from a nuclear detonation. On the way to the tubular structure, Cheney was told that another plane, or a helicopter loaded with explosives, was headed for the White House.

Cheney promptly called the president in Florida, who had just boarded Air Force One, and urged him not to come back to Washington immediately.

In the PEOC, the vice president was joined by Condoleezza Rice, the national security adviser, and Transportation Secretary Norman Mineta, among others. They were told that six commercial aircraft were unaccounted for, all of which were potential missiles. One had supposedly crashed in Kentucky (not true), and another in Pennsylvania (that report of a crash was valid; its passengers or crew, apparently struggling with the hijackers, may have saved the White House).

According to a high White House official speaking to me on background, the airliner that had taken off at Dulles — AA Flight 77 —  »did a 360 » (meaning it changed direction from the White House) and at 9:45 slammed into the Pentagon.

About that time, accounts began coming into PEOC that four international flights were headed toward Washington over the Atlantic and another from Korea. It could not be immediately determined that they were not hostile and part of the terrorist scheme. U.S. fighter aircraft and an Awacs control aircraft were scrambled aloft.

A threatening message received by the Secret Service was relayed to the agents with the president that  »Air Force One is next. » According to the high official, American code words were used showing a knowledge of procedures that made the threat credible.

(I have a second, on-the-record source about that: Karl Rove, the president’s senior adviser, tells me:  »When the president said ‘I don’t want some tinhorn terrorists keeping me out of Washington,’ the Secret Service informed him that the threat contained language that was evidence that the terrorists had knowledge of his procedures and whereabouts. In light of the specific and credible threat, it was decided to get airborne with a fighter escort. »)

After the president put down at an Air Force base in Louisiana and made a tape for broadcast (presumably no satellite was available for a live feed), he was, in Rove’s term,  »pretty antsy » about not being at the center of command.

Bush made clear to Cheney, says my source who was in the bunker, his intense desire to return to Washington immediately. The Secret Service objected strongly. The vice president, a former secretary of defense, suggested Air Force One go to Offutt Air Force Base in Nebraska, headquarters of the Strategic Air Command, with a communications facility where the president could convene the National Security Council.

 »It would have been irresponsible of him to come back, pounding his chest, » says my source,  »when hostile aircraft may have been headed our way. Any suggestion that he should have done so is ludicrous. »

Confession: I made just that suggestion in yesterday’s column, which stimulated two set-it-straight calls. Why didn’t the V.P. make an appearance during that long afternoon in Bush’s stead? The official reason is that Cheney was busy in the basement; the real reason, I think, is that he was unduly concerned it would appear presumptuous.

The most worrisome aspect of these revelations has to do with the credibility of the  »Air Force One is next » message. It is described clearly as a threat, not a friendly warning — but if so, why would the terrorists send the message? More to the point, how did they get the code-word information and transponder know-how that established their mala fides?

That knowledge of code words and presidential whereabouts and possession of secret procedures indicates that the terrorists may have a mole in the White House — that, or informants in the Secret Service, F.B.I., F.A.A. or C.I.A. If so, the first thing our war on terror needs is an Angleton-type counterspy.
Published: September 13, 2001

http://www.nytimes.com

Qui a appelé la maison blanche pour dire que l’avion presidentiel sera la prochaine cible ? qu’est ce qui a été dit de plus que nous ne savons pas ?

 » A threatening message received by the Secret Service was relayed to the agents with the president that  »Air Force One is next. » According to the high official, American code words were used showing a knowledge of procedures that made the threat credible.  »

Et c’est hilarant de lire cela aujourd’hui :  » That knowledge of code words and presidential whereabouts and possession of secret procedures indicates that the terrorists may have a mole in the White House — that, or informants in the Secret Service, F.B.I., F.A.A. or C.I.A. If so, the first thing our war on terror needs is an Angleton-type counterspy.  » quand on sait comment on est qualifié de conspirationniste voire de négationniste quand on pose exactement la même question aujourd’hui !

Le feu dans une annexe de la maison banche est également une information capitale, que j’ai d’ailleurs bcp de mal à retrouver, mais je suis tombé sur ça :
http://www.archive.org/details/abc200109110912-0954, écoutez à 31′ et 40 secondes :  » we have a mysterious black smoke at south west corner of the White House …. »

Il faudrait faire une gigantesque étude psychologico-journalistique pour tenter de comprendre pourquoi autant de personnes resistent à ce que leurs propres yeux voient pourtant clairement.

Bref, 911 was an inside job, avec l’aide de ces malsains du mossad.
L’État n’existe plus en tant que primauté dans l’exercice du pouvoir, ce sont des réseaux qui gravitent de près ou de loin du pouvoir et qui se servent des structures de l’ Autorité pour arriver à leur fin, une sorte de privatisation mafieuse des prérogatives de l’État.

Microchiping included in Healthcare Bill ?

avril 12, 2010

« Buried deep within the over 1,000 pages of the massive US Health Care Bill (PDF) in a “non-discussed” section titled: Subtitle C-11 Sec. 2521— National Medical Device Registry, and which states its purpose as:

“The Secretary shall establish a national medical device registry (in this subsection referred to as the ‘registry’) to facilitate analysis of postmarket safety and outcomes data on each device that—‘‘(A) is or has been used in or on a patient; and ‘‘(B) is a class III device; or ‘‘(ii) a class II device that is implantable.”

In “real world speak”, according to this report, this new law, when fully implemented, provides the framework for making the United States the first Nation in the World to require each and every one of its citizens to have implanted in them a radio-frequency identification (RFID) microchip for the purpose of controlling who is, or isn’t, allowed medical care in their country.
http://waysandmeans.house.gov/media/pdf
http://www.dailypaul.com et http://nyc.indymedia.org, merci à toi Pierre.

Tous les humains seront pucés, c’est dingue, et les gens sont tellement tarés qu’ils seront heureux de le faire.
Le monde que l’on nous prépare est extrèmement malsain, vous allez devoir vous battre pour ne pas être transformés en simple numéro géo-localisable…
Votre liberté vous apartient, saurez vous la défendre ?

Guantanamo : Bush savait que des détenus étaient innocents

avril 11, 2010

Parmi les 742 prisonniers en 2002, « la plupart n’avaient pas été arrêtés par les forces américaines » mais vendus 5.000 dollars par tête aux Etats-Unis selon l’ancien bras-droit de Georges Bush.

Lawrence Wilkerson, l’ancien bras-droit de l’ex-président américain Georges Bush, a affirmé dans une déclaration datée du 24 mars et publiée vendredi 9 avril dans le quotidien britannique The Times, que la majorité des détenus de Guantanamo étaient innocents. Selon lui, ils auraient été détenus pour des raisons politiques.

Parmi les 742 prisonniers que le camp de détention comptait en 2002, « la plupart n’avaient pas été arrêtés par les forces américaines » mais vendus 5.000 dollars par tête aux Etats-Unis, a affirmé le directeur de cabinet de l’ancien secrétaire d’Etat américain entre 2002 et 2005. Et de souligner « qu’aucun élément à charge n’accompagnait le prisonnier », et « qu’il n’y avait pas de moyen de savoir pour quelle raison il avait été arrêté au départ ».

« Une confusion incroyable » entourait Guantanamo

La déclaration de Lawrence Wilkerson vise également plusieurs personnalités, comme l’ancien vice-président Dick Cheney et l’ex-secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld. D’après l’ancien bras droit de Georges Bush, ils savaient tous les deux que la majorité des personnes détenues en 2002 sur la base étaient innocentes mais qu’il était « impossible politiquement de les relâcher ». Les deux hommes n’auraient pas voulu relâcher les « innocents » car cela aurait « révélé la confusion incroyable » qui entourait les conditions à Guantanamo, ajoute-t-il. Le maintien « d’innocents se morfondant à Guantanamo pendant des années était justifié par la guerre contre le terrorisme et le petit nombre de terroristes responsables des attentats du 11 septembre 2001 », poursuit-il.

Autre personne mise en cause, l’ancien président américain Georges Bush. « J’ai parlé au secrétaire Powell des détenus de Guantanamo. J’ai appris qu’il était d’avis que ce n’était pas seulement le vice-président Dick Cheney et l’ex-secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld, mais également le président Bush qui était impliqué dans tout le processus de décision concernant Guantanamo », a indiqué Lawrence Wilkerson dans sa déclaration.

Cette déclaration du colonel a reçu l’appui du général Powell, qui a quitté l’administration Bush en 2005, selon The Times. Selon Lawrence Wilkerson, celui-ci était soucieux de constater que certains détenus de Guantanamo avaient été arrêtés « à l’âge de 12 ou 13 ans », ou « à 92 ou 93 ans ».

Les hommes libérés n’ont pas obtenu gain de cause

Cette déclaration a été produite pour soutenir la plainte pour torture et mauvais traitements que Adel Hassan, un Soudanais détenu dans la base de 2003 à 2007, a déposée devant un tribunal fédéral de Washington. Sa plainte en Habeas corpus, contestation du bien-fondé de sa détention, ainsi que celle de 104 autres anciens détenus de Guantanamo, a été rejetée au début du mois par un juge de la capitale fédérale américaine. Celui-ci a estimé que ces hommes ayant été libérés, leur action en justice s’éteignait.

Le président américain Barack Obama a ordonné la fermeture de la prison sur la base américaine située à Cuba. Mais il n’a pu tenir son engagement, en raison de la complexité politique, judiciaire et humanitaire que cela représente.

Près de 180 personnes sont encore détenues à Guantanamo à l’heure actuelle.
source

On le savait déja, mais la c’est officiel, comme d’habitude, c’est horrible, dees pauvres gens se sont retrouvés attachés et enfermés comme des chiens dans des cages et torturés comme des malades pour extorquer des aveux imaginaires.
Le plus grave étant que guantanamo a favorisé l’opération psychologique mondiale de stigmatisation des musulmans.
On se croirait au moyen age avec les lettres de cachet, et après on ose dire que nous vivons en démocratie.

Un décret militaire menace des Palestiniens d’expulsion massive.

avril 11, 2010

Un nouvel ordre de l’armée visant à empêcher les infiltrations, qui doit entrer en vigueur mardi, pourrait permettre l’expulsion ou l’arrestation de dizaines de milliers de Palestiniens séjournant en Cisjordanie, affirme dimanche le quotidien Haaretz.

L’armée israélienne a confirmé que des « amendements à l’ordre visant à empêcher des infiltrations » avaient été publiés mais a souligné qu’ils ne faisaient que formaliser les procédures existantes et ne justifieraient pas des expulsions massives.

Ce nouvel ordre, dont « la teneur est générale et ambiguë » selon Haaretz, vise notamment les Palestiniens détenteurs d’une carte d’identité avec une adresse dans la bande de Gaza, ou qui sont nés dans ce territoire, ainsi que leurs descendants.

La bande de Gaza est contrôlée par les islamistes du Hamas depuis 2007 alors que la Cisjordanie est restée sous la responsabilité de l’Autorité palestinienne présidée par Mahmoud Abbas.

Israël impose un strict blocus de Gaza qui empêche les Palestiniens originaires de cette enclave de se rendre en Cisjordanie.

Le nouveau décret militaire concerne aussi les Palestiniens nés en Cisjordanie qui ont pour diverses raisons perdu leur statut de résident à la suite par exemple d’un séjour à l’étranger, ainsi que les épouses étrangères de Palestiniens, précise Haaretz.

Jusqu’à présent, les tribunaux civils israéliens empêchaient en général des expulsions de Cisjordanie visant ces personnes.

Mais le décret prévoit que ces dossiers seront désormais soumis à la juridiction de tribunaux militaires: les personnes visées seraient alors jugées en tant « qu’infiltrées », susceptibles d’être expulsées vers le pays ou la région d’où elles sont venues « illégalement ».

Cet ordre, signé le 13 octobre 2009 par le commandant des forces de Cisjordanie, le général Gadi Shamni, doit entrer en vigueur six mois après.

Il prévoit des peines pouvant aller jusqu’à sept ans de prison, assorties d’une amende de 7.500 shekels (1.500 euros).

« L’ordre est le même que celui qui a toujours existé à propos des Palestiniens séjournant illégalement en Judée-Samarie (nom biblique de la Cisjordanie). Il n’y a rien de neuf », a commenté la porte-parole de Tsahal, Avital Leibovitz.

Hamoked, une association israélienne de défense des droits de l’Homme, a appelé l’armée à revenir sur son nouvel ordre, estimant que « la définition d’+infiltré+ pourrait en principe s’appliquer à des gens dont les autorités militaires ne veulent pas du bien, dont des Israéliens et des ressortissants étrangers ».
romandie

Est-ce un prélude au « transfert » que les dirigeants israéliens fantasment chaque nuit, et que les palestiniens craignent comme une seconde Nakba, cette fois définitive.
Bien puant et bien flippant en tout cas, et cela prouve que la collaboration active de Abbas ne sert strictement à rien, cet homme devra être pendu pour haute trahison.

Dieudo dans  » liberez fofana  » !!!!!

avril 9, 2010

Le deux poids deux mesures mis en scène pas Dieudonné, génialissime.

Les banques US ont embelli leurs comptes en travestissant leur dette, et c’est légal…

avril 9, 2010

Les grosses banques américaines ont embelli leurs comptes lors des cinq derniers trimestres en travestissant leur dette, affirme vendredi le Wall Street Journal (WSJ), qui cite des données de la Réserve fédérale de New York, bras financier de la banque centrale américaine (Fed).

Le gotha des établissements financiers de Wall Street (Goldman Sachs, Morgan Stanley, JP Morgan Chase, Bank of America, Citigroup) et treize autre banques ont chacune « sous-estimé le niveau de leur dette à court terme (…) en la réduisant comptablement d’au moins 42% à la fin des cinq derniers trimestres », rapporte le WSJ.

Concrètement, les banques ont d’abord gonflé intentionnellement les chiffres de leur dette en milieu de trimestre, pour ensuite produire à la fin des chiffres beaucoup plus bas, ce qui donne l’impression que les banques sont parvenues à réduire le poids de cette dette.

Cette pratique, légale, vise à éviter la chute de l’action en Bourse et à maintenir des notes favorables auprès des agences de notation sur leur santé financière.

Ce subterfuge vise aussi à rassurer les investisseurs sur le niveau des risques pris par les institutions financières, sous le feu des critiques pour leurs montages financiers complexes ayant entraîné la crise des crédits immobiliers à risque (subprime).

« Nos efforts de gestion des comptes sont conformes aux normes comptables légales », a répondu un porte-parole de Bank of America au WSJ.

L’autorité américaine de régulation des marchés financiers (SEC) enquête actuellement sur cette pratique. Vingt-quatre institutions financières sont concernées.

Ce subterfuge avait été révélé lors de l’effondrement en septembre 2008 de la prestigieuse banque d’affaires américaine Lehman Brothers. Lehman y avait eu recours sous la dénomination « Repo 105 » pour embellir ses comptes et minimiser une colossale dette, qui avait conduit par la suite à sa faillite.
romandie

Et maintenant on fait quoi ?
Vous vous rendez compte de l’importance de la nouvelle, ok, cela fait des mois que nous le savons, mais là c’est méga officiel, le système bancaire repose sur une formidable fraude, et c’est bien l’ensemble des banques importantes qui maquillent leurs comptes. Le plus dingue étant que ce ne soit pas illégal d’augmenter puis de cacher la moitié des dettes d’une entreprise lors des comptes de fin de trimestre. La finance fonctionne sans règles et pourtant ils arrivent quand même à tricher, c’est fou.

Sinon,

Jim Rogers nous annonce que la France, l’Italie, mais aussi les américains possèdent une double comptabilité, voila l’article en entier, c’est très noir, mais malheureusement très réaliste :

 » Il y a peu, nous évoquions ici même les propos pour le moins alarmistes de Jim Rogers sur un effondrement programmé de la livre sterling. Cette fois-ci, c’est un cataclysme économique, social et politique que nous prédit le Cassandre au nœud papillon. À lire ce qui suit, on en vient même à penser que Cassandre était finalement un joyeux farceur comparé Mr Rogers…

Si l’Union européenne et les États-Unis connaissent quelques signes d’amélioration, la crise économique mondiale est loin d’être finie, nous assure-t-il. Et le reste de la planète n’échappera pas à la contagion.

Certes, la Chine semble tirer son épingle du jeu, mais tout n’est pas rose dans l’Empire du Milieu. L’immobilier se porte bien (trop bien ?) dans les régions côtières, mais les industries tournées vers l’export commencent à être asphyxiées par la crise américaine. En Europe, les yeux sont tournés depuis un bon moment vers la Grèce. Goldman Sachs est mis à l’index pour avoir aidé le pays à dissimuler ses difficultés financières.

Mais selon Rogers, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Des nations comme l’Italie et la France tiennent elles-aussi une double comptabilité : la première est officielle et permet à ces États de rester dans la zone euro ; la seconde est officieuse et donne une réelle mesure de leur marasme financier.

Et ce genre de pratiques grises ne concerne pas que l’Europe. Elles ont également cours aux États-Unis et ce, depuis des décennies : « C’est juste la manière dont le monde a toujours fonctionné », explique-t-il. Mais ces pays ne pourront pas éternellement cacher leurs difficultés. Déjà, les populations de Californie, Virginie et du New Jersey affichent leur mécontentement.

Le jour où la vérité se fera jour, Rogers avertit que les remous sociaux vont se multiplier. Et les électeurs auront alors tendance à se réfugier vers les partis les plus extrémistes, nous prédit le sombre oracle, qui décrit un remake cauchemardesque de l’Europe des années 1930 à 1940.

Une crise bien pire que celle de 1929
S’il vous restait un peu d’optimisme, attendez de lire les diagnostics qui suivent de notre bon docteur Rogers.

Les États-Unis auront bien plus de mal à sortir de la crise actuelle qu’ils n’en ont eu pour s’extraire de la récession de 1929. À l’époque, le pays était le bâilleur de fonds de la planète. Aujourd’hui, les USA sont les plus grands débiteurs du globe.

Et encore, les mutations sociales qui ont eu lieu depuis les années 1930 ont sapé un des socles de la croissance américaine : l’éthique du travail de son peuple. En attendant, il nous reste le pétrole me direz-vous ? Et bien non répond Jim ! Les réserves s’épuisent et les prix de l’énergie vont rester très élevés pendant longtemps.

À la limite, si la chance nous sourit un peu, on pourrait – peut-être – assister à une légère baisse des cours du pétrole si, par exemple… le Royaume-Uni faisait faillite !

On le sait, l’homme a déjà prédit l’effondrement de la livre. Réconfortant, l’ami Jim nous annonce que l’euro devrait survivre un peu plus longtemps. Mais à long terme, dans sa forme actuelle, l’euro ne survivra pas. Selon Rogers, sa seule chance serait de ramener les pays de la zone à une dizaine de membres, parmi les plus solides financièrement.

Quoi qu’il en soit, le gouvernement américain n’a guère de mérites à ses yeux. Rogers voit les dirigeants du pays comme de dangereux optimistes qui « espèrent l’intervention d’une bonne fée » pour régler tous leurs problèmes.

Enfin, pour finir sur une note… encore un peu plus sombre, Rogers nous avertit qu’une des crises majeures qui se profile est la pénurie alimentaire… » source

Et bien, que de réjouissance à venir.
Très sérieusement, allez à la campagne et faites des provisions, vous n’imaginez pas comme la situation est tendue, un rien et tout s’effondre.

Jime Rogers, Max Faber, Paul Jorion , le LEAP, et j’en passe nous annoncent le pire, ce ne sont pas des rigolos, ils avaient annoncé la crise de 2007, vous devez les croire et agir en conséquence.

Dernière minute : L’agence de notation Fitch a abaissé de deux crans la note de la dette à long terme de la Grèce, de BBB+ à BBB-, invoquant l’accroissement des « défis budgétaires » auxquels le gouvernement grec doit faire face, a-t-elle indiqué dans un communiqué reçu vendredi à Paris. romandie
Et wé, en route pour la faillite….

Incroyable débilité, le Figaro titre  » Hamid Karzaï serait toxicomane « , il y 3 jours il avait menacé de rejoindre les Talibans et accusé les ccidentaux d’avoir truqué les élections. Rien ne nous aura été épargné.

avril 9, 2010

L’ancien représentant adjoint de l’ONU en Afghanistan, Peter Galbraith, a mis en doute aujourd’hui « l’équilibre mental » du président afghan Hamid Karzaï, suggérant même qu’il pourrait être toxicomane, dans un entretien avec la chaîne de télévision américaine MSNBC.

« Il est coutumier des diatribes, il peut être très émotif, impulsif. En fait, des personnes proches du palais présidentiel disent qu’il a un certain goût pour l’un des produits d’exportation les plus rentables de l’Afghanistan », a-t-il déclaré. L’Afghanistan est le premier producteur et exportateur mondial d’opium.

Prié de préciser son affirmation, l’ancien responsable onusien a répondu: « Il y a des informations en ce sens mais quelles qu’en soient les causes, la vérité est qu’il peut être très émotif ». Les déclarations de Peter Galbraith surviennent en pleine crise de confiance entre Hamid Karzaï et Washington, le président afghan ayant accusé les Etats-Unis d’ingérence dans les affaires de son pays et affirmé que les étrangers avaient participé aux fraudes électorales de l’an dernier.

« La fraude a été organisée par des gens nommés par Karzaï et il en était le bénéficiaire », a ajouté Peter Galbraith, un diplomate américain qui avait été congédié par l’ONU par suite d’une dispute sur la manière de gérer le problème de la fraude électorale et le degré de pression à exercer sur les autorités afghanes. « Cette diatribe continuelle soulève des questions sur son équilibre mental et franchement, c’est une chose qui préoccupe les diplomates à Kaboul, » a-t-il dit.
http://www.lefigaro.fr/

On nage en plein délire, traiter un chef d’état de toxicomane, c’est ahurissant, du coup je me pose des questions sur la véracité de l’information comme quoi le frère de Karzaï serait un gros trafiquant de drogue, le président Afghan prétend que ces accusations sont le résultat de son opposition à la destructions des champs de pavot, parceque selon lui cela mènerait à un soulèvement populaire. source

Bref, c’est dingue, comme d’habitude en même temps.
Lisez cette article de France 24 qui tente d’expliquer un peu la situation, mais c’est bancal…

Il va s’en dire que pendant ce temps la, des tas de femmes et d’enfants meurent sous les bombes.
Quand on pense qu’un missile coute plusieurs centaines de milliers de dollars, au lieu d’envoyer un missile ils devraient utiliser l’argent pour contruire des routes et lancer les bases d’une économie saine.
C’est épouvantable.

L’alliance Chine-Inde est-elle inquiétante ? Tu m’étonnes que c’est inquiétant pour l’occident….

avril 8, 2010

Le dragon chinois et l’éléphant indien se haïssaient. La crise les a quelque peu réconciliés. Faut-il s’en réjouir ? Des deux côtés de l’Himalaya — frontière naturelle qui sépare les deux géants de l’Asie –, la réponse est un oui sans équivoque. Mais dans les pays développés, les réactions restent mitigées.

Certains y voient l’occasion de multiplier leurs opportunités d’affaires ; d’autres, en revanche, craignent que le rapprochement sino-indien n’augure un bouleversement de l’ordre mondial, propre à freiner les échanges entre pays développés et pays émergents. Le mouvement est-il irréversible ?

▪ Deux nouveaux poids lourds sur l’échiquier mondial
Il faut dire que le couple Chine-Inde représente un poids prépondérant sur l’échiquier mondial. En termes démographiques, ces deux pays comptent à eux deux plus du tiers de la population totale (2,4 milliards d’habitants). Sur le plan économique, ils figurent parmi les économies les plus dynamiques du globe et ont enregistré au cours des 10 dernières années un taux de croissance moyen à faire pâlir d’envie : 10,3% pour la Chine, 7,8% pour l’Inde.

Et si, dans un avenir proche, les deux pays réunis parvenaient à produire 50% du PIB mondial ? Audacieuse, une telle hypothèse reste toutefois plausible du fait d’un renforcement significatif des liens commerciaux entre les deux pays depuis l’éclatement de la crise des subprime.

▪ Ennemis hier, partenaires aujourd’hui
Ce n’est pas un hasard si le Premier ministre indien, Manmohan Singh, s’est rendu à Pékin en janvier 2008, soit six mois après le début de la crise de juillet 2007. Il a compris la nécessité pour son pays de renforcer sa coopération avec la Chine, dont l’irrésistible montée en puissance contraste avec la stagnation économique dans les pays développés.

Un partenariat stratégique a alors été signé entre les deux pays, dont leur commerce bilatéral a culminé, à la fin 2008, à un niveau sans précédent : 51,8 milliards de dollars, soit 37% de plus qu’en 2007. « Un miracle », saluait Huanqiu Shibao. Le magazine chinois a relevé par ailleurs, à titre de comparaison, que le volume des échanges sino-indiens n’atteignait que 14 milliards de dollars en 2004, 3,6 milliards de dollars en 2001 et… 264 millions de dollars en 1991.

Bien qu’elle n’ait pas épargné les deux pays, la crise financière d’octobre 2008 a contribué à renforcer leur commerce bilatéral, qui a atteint 43,4 milliards de dollars à la fin 2009. Aujourd’hui, la Chine s’impose comme le deuxième partenaire commercial de l’Inde, après l’Union européenne.

▪ Le pragmatisme l’emporte
A l’heure actuelle, les relations sino-indiennes semblent au beau fixe, alors que, il y a quelques années encore, celles-ci étaient froides, voire conflictuelles. L’explication est simple : les deux pays ne parvenaient pas à effacer de leur mémoire la courte mais sanglante guerre de 1962 qui les opposait pour le contrôle de territoires himalayens. L’armée indienne, qui pensait pouvoir battre les troupes chinoises, avait subi une défaite humiliante.

Depuis, l’Inde estime que la Chine occupe illégalement 38 000 km2 de son territoire, tandis que la Chine revendique l’Etat indien frontalier de l’Arunachal-Pradesh, dans le nord-est du pays. Aujourd’hui, près de cinquante ans après la guerre, face à des impératifs économiques et commerciaux, les deux pays ont fini par adopter l’un envers l’autre une attitude pragmatique, en mettant de côté leurs conflits territoriaux.

▪ Une méfiance réciproque demeure
Pour autant, c’est aller trop vite en besogne que de considérer le renforcement des liens sino-indiens comme une menace pour les flux d’échanges entre marchés développés et marchés émergents. N’oubliez pas que, sous des signes d’accalmie dans les relations sino-indiennes, couvent de multiples tensions politiques et militaires, qui, au moindre incident, risquent de refaire surface.

L’Inde ne cesse en effet de montrer son inquiétude quant à l’intention de l’empire du Milieu de se trouver un pied-à-terre, sur la côte pakistanaise, pour assurer l’approvisionnement de sa flotte. « Il est clair que la Chine veut faire pression sur l’Inde, et limiter l’influence des Etats-Unis sur le Pakistan et l’Afghanistan », commente le quotidien indien The Time of India.

L’Inde voit également d’un mauvais oeil le fait que la Chine apporte son soutien militaire et civil au Pakistan, son voisin avec lequel elle revendique la région du Cachemire depuis 1947.

De son côté, la Chine reproche à l’Inde d’avoir accueilli il y a cinquante ans le dalaï-lama, le chef des Tibétains, qu’elle considère comme un séparatiste notoire. L’empire du Milieu n’apprécie pas non plus que des officiels indiens réclament auprès de leur gouvernement une hausse du budget pour se procurer des avions de combat américains…

Autant de sujets de discorde qui, tant qu’ils ne seront pas résolus, nuiront à un approfondissement réel des relations entre les deux pays. Dans ce contexte, Chine et Inde devront continuer à développer leurs échanges avec les pays développés.

Le rapprochement entre l’Inde et les Etats-Unis depuis quelques années ainsi que le récent réchauffement des relations franco-chinoises en constituent les meilleures preuves.
chronique agora

Tant que nous ne rétablirons pas des taxes aux frontières, le développement de l’asie sera un problème majeur pour l’occident.
Il nous faut absolument détruire cette europe libérale, re-créer un tissu industriel, produire et consommer local, c’est la seule solution pour éviter un lent appauvrissement de l’europe et des USA.
La mondialisation n’a profité qu’aux banques et aux multinationales, les peuples sont soit esclavagisés pour les pays en développement soit appauvris et surveillés dans les pays riches, c’est un zéro pointé, sans compter la destruction fantastiquement rapide de la nature.

Si la Chine et L’Inde s’associent dans un marché commun à l’européenne, ce sera définitivement foutu, tous les acteurs économiques seront asiatiques et nous serons le tiers monde. Nos élites n’accepteront pas cette situation, c’est une évidence, le clash est nécessaire, il ne peut en être autrement.
Nous avons été vaincus à notre propre jeux…., ou plutot nos élites se sont sabordées elles mêmes, dans un soucis de bénéfices à court terme.

Murdoch veut une reproduction très limitée de ses journaux sur internet

avril 8, 2010

Le magnat des médias Rupert Murdoch a annoncé mardi que seuls les titres ou quelques phrases de ses journaux pourraient être reproduits par Google ou Microsoft une fois leurs sites internet devenus payants, refusant que les géants du web utilisent leurs articles «pour rien».

«Nous allons empêcher des gens comme Google, Microsoft ou quiconque de prendre nos informations gratuitement,» a-t-il déclaré dans un entretien avec le journaliste spécialisé Marvin Kalb.

«Je pense que la plupart des journaux dans ce pays vont ériger un péage. À quel niveau, les visiteurs pourront-ils voir le titre ou les premiers paragraphes ou quelques articles, nous verrons», a-t-il dit.

Les revenus publicitaires ont créé «un flot d’or» pour Google, a-t-il poursuivi, «mais les mots en proviennent principalement des journaux. Je pense qu’ils devraient arrêter. Les journaux devraient les obliger à faire leur propre journalisme».

Assurant penser que les moteurs de recherche refuseraient de payer pour reproduire les contenus de presse, il a déclaré que «nous serons très contents s’ils se contentent de publier le titre et une phrase ou deux, accompagnés d’un formulaire d’abonnement».

Le patron de médias a rejeté l’idée que les internautes, habitués à la gratuité des sites d’information, refuseraient de payer: «Quand ils n’auront plus nulle part où aller, ils paieront».

La société News International, filiale du groupe News Corp. de Rupert Murdoch, a annoncé fin mars que les sites du quotidien britannique The Times et de sa version dominicale The Sunday Times deviendraient payants à partir de juin.

Au sein du groupe, le site du quotidien financier américain Wall Street Journal, acquis en 2007, est également payant, une situation qui remonte toutefois bien avant son rachat par Murdoch.

M. Murdoch a par ailleurs jugé que les tablettes électroniques, comme l’iPad d’Apple tout juste lancé, «pourraient représenter le salut des journaux, car vous n’avez pas les coûts de papier, d’impression, de distribution». «Cela ne détruit pas le journal traditionnel, il est juste sous une autre forme», a-t-il jugé.
cyberpresse

Dans 10 ans, nous ne reconnaitrons plus Internet, entre les délires de Murdoch et ceux de Morano (une police internationale du net), et ACTA.

Ceux qui n’auront pas d’argent n’auront pas d’accès à l’information, c’est nul. L’accès à l’information a été révolutioné ces dernières années, ce n’est plus une ou deux sources qui sont consultées, mais des dizaines voire des centaines pour certains d’entre nous, il est hors de question de s’abonner à autant de sites.
Même si le but premier est le profit, je suis persuadé qu’un autre objectif existe, celui de couper l’accès aux informations à une large partie de la société.
Les élites se sont rendus compte que le développement d’internet est une menance pour la paix sociale, même si le net véhicule des quantités astronomiques de conneries, de plus en plus de personnes se servent d’internet pour se forger leurs propres opinions, en croisant les différentes informations et analyses développées dans la presse.

Enfin bref, comme d’hab, une initiative de merde venant de Murdoch.

Les Grecs au guichet pour retirer leur argent

avril 8, 2010

La situation de la Grèce angoisse ses habitants qui auraient déjà retiré auprès des quatre principales banques environ 10 milliards d’euros. Les banques demandent à l’Etat de les aider, au moment où les taux obligataires sont au plus haut.
Sur les seuls deux premiers mois de l’année, les Grecs ont retiré de leurs comptes bancaires environ 4,5 % du total de l’argent dans le système bancaire du pays, d’après la Banque centrale grecque.

Les quatre plus grosses banques grecques – National Bank of Greece, EFG Eurobank, Alpha Bank et Piraeus Bank – déplorent l’évaporation d’environ 10 milliards d’euros des comptes de dépôts, et implorent le gouvernement de les aider, rapporte le Financial Times dans son édition de jeudi.

George Papaconstantinou, le ministre des Finances, a indiqué mercredi que l’ensemble des banques avaient demandé les 28 milliards d’euros restants du plan de soutien financier apporté par l’Etat aux banques au plus fort de la crise en 2008.

Des rendements jamais atteints

Ces appels au secours interviennent alors que les taux d’intérêts grecs ont battu des records cette semaine. Ce jeudi, le rendement (taux) de l’obligation grecque à 10 ans a atteint 7,31%. Un record historique.

Les rendements grecs s’éloignent ainsi du taux de référence, le Bund allemand, le fossé entre les deux se creusant à plus de 400 points de base (4 points de pourcentage).

Les marchés ont réagi au jugement d’Athènes, selon lequel les mesures proposées par le FMI sont trop sévères. «C’est une des raisons, mais il y en a d’autres, comme des investisseurs qui se trouvent forcés de vendre parce que les taux sont maintenant trop élevés», explique Jean-François Robin, analyste chez Natixis.

Certains sont obligés de déboucler leurs positions en partie à cause de la réglementation Bâle II. «Le nombre d investisseurs potentiels a l’achat est ainsi diminué», précise Ciaran O’Hagan, de la Société Générale.

La National Bank of Greece sera «fortement impactée»

En tant que leader sur le marché sur des dépôts, la National Bank of Greece «pourrait être fortement impacté par le mouvement de décollecte qui affecte la Grèce depuis le début le début de l’année», notent les analystes de Natixis dans une note publiée ce jeudi matin, qui dégrade la valeur à «alléger» contre «acheter précédemment» et a ramène son objectif de cours de 19 à 15 euros.

Selon le courtier, la banque est toutefois «la mieux armée pour faire face à la crise grecque avec un ratio core tier 1 (ratio de réserves) de 9,4%, et une forte exposition à la Turquie, dont la performance en 2010 devrait compenser le ralentissement de l’activité en Grèce».

Pas forcément une fuite des capitaux

Pour les stratèges de la Société Générale, ce mouvement de retraits sur les comptes de dépôts ne signifie pas forcément une réelle fuite des capitaux. Depuis le début de 2009, les banques grecques constatent une baisse des dépôts des ménages, dûe à un ralentissement de la croissance de leurs revenus.
source

La Grèce sombre et tout le monde s’en fout, c’est grave, très grave.
Observez bien ce qui se passe en Grèce, c’est ce que nous allons vivre. Le Vice Premier Minsitre Grec a affirmé que le Porrtugal sera le prochain pays et que le scénario de la contagion est réel.source