Dans ce message, rendu public samedi, les évêques et patriarches orientaux affirment qu’il « n’est pas permis de recourir à des positions bibliques et théologiques pour en faire un instrument pour justifier les injustices ».
Israël ne peut pas s’appuyer sur le terme de « Terre promise » figurant dans la Bible pour « justifier le retour des juifs en Israël et l’expatriation des Palestiniens », a déclaré samedi au Vatican l’archevêque de Newton (Etats-Unis) Mgr Cyrille Salim Bustros.
« On ne peut pas se baser sur le thème de la Terre promise pour justifier le retour des juifs en Israël et l’expatriation des Palestiniens », a dit le président grec-melkite de la commission pour le message du synode pour le Moyen-Orient lors d’une conférence de presse.
Dans ce message, rendu public samedi, les évêques et patriarches orientaux affirment qu’il « n’est pas permis de recourir à des positions bibliques et théologiques pour en faire un instrument pour justifier les injustices ».
« Pour nous, chrétiens, on ne peut plus parler de Terre promise au peuple juif », terme qui figure dans l’Ancien testament, car cette « promesse » a été « abolie par la présence du Christ ». Après la venue du Jésus, « nous parlons de Terre promise comme étant le royaume de Dieu », qui couvre la Terre entière, et est un « royaume de paix, d’amour, d’égalité (et) de justice », a-t-il expliqué.
« Il n’y a plus de peuple préféré, de peuple choisi, tous les hommes et toutes les femmes de tous les pays sont devenus le peuple choisi », a ajouté le prélat.
Il a par ailleurs mis en avant deux problèmes dans la solution préconisée par la communauté internationale et le Vatican d’instituer un Etat juif et un Etat palestinien pour résoudre le conflit au Proche-Orient.
Dans le cadre d’un Etat juif, il s’est inquiété du risque d’exclusion « d’un million et demi de citoyens israéliens qui ne sont pas juifs mais arabes musulmans et chrétiens ». Pour lui, il vaudrait mieux parler d' »un Etat à majorité juive ».
La question du « retour des déplacés palestiniens » est « aussi très grave », a-t-il ajouté. « Quand on va créer deux Etats, il va falloir résoudre ce problème », a affirmé Mgr Bustros. http://www.lepoint.fr
L’Eglise est bien gentille avec les extrémistes de la secte des fous furieux, elle nous a habitué à bien mieux !!!!
Bref, c’est très bien quand même de dire que les histoire de peuple élus sont des conneries
N’oubliez pas que chrétiens et musulmans croient en Dieu mais que c’est Dieu qui croit dans les juifs, la différence est fondamentale pour comprendre le problème.
Les juifs extrémistes pensent que la Bible est un cadastre, quand j’y pense je rigole fort !!!!!
Les américains pacifient le cyberespace et le font savoir. Comme à l’époque du far-West. Les US aligneront d’ailleurs bientôt des cyber-snipers (cyber-tireurs d’élite) pour dézinguer les attaquants en temps réel.
Faire de la veille et lancer des alertes c’est bien beau, mais l’US Cyber Command veut passer aux travaux pratiques et distribuer des châtaignes. Il faut dire qu’il y a du pain sur la planche. L’armée américaine supervise 7 millions d’ordinateurs, reliés en 15000 réseaux répartis sur plusieurs dizaines de pays. 90 000 personnes (on recrute) travaillent à plein temps à la maintenance du joujou.
Pour la petite histoire, la défense américaine gère le plus grand réseau internet privé de la planète, baptisé NIPRNET (pour Non-Classified Internet Protocol Router Network). Sont reliés au réseau non classifié : les militaires, les agents gouvernementaux, les sous-traitants de la défense etc. NIPRNET peut aussi sous certaines conditions communiquer avec le web classique.
Mais le nec plus ultra ce sont les deux réseaux secrets virtuels qui se rajoutent à NIPRNET. Les communications secrètes de l’armée américaines et alliées circulent ainsi via SIPRNET (Secret Internet Protocol Router Network). SIPRNET correspond en fait à un niveau de classification moyen, utilisé pour les infos opérationnelles et tactiques : ordres de mouvements de troupes, petites opérations de combats, debriefing, inventaires…
Et puis au dessus de SIPRNET, s’ajoute le niveau top secret pour l’élite: le Joint Worldwide Intelligence Communications System ou JWICS (*) dont le cryptage est assuré par la NSA, la National Security Agency. Des alliés comme l’Australie, le Royaume-Uni et le Canada sont connectés à certains modules de JWICS qui permet d’échanger non seulement des données cryptées mais aussi par exemple d’organiser des vidéoconférences protégées. Les systèmes d’informations des aéronefs sont également connectables à ce réseau ultrasecret dans le cadre de la network centric warfare (guerre info-centrée).
Tout irait pour le mieux, si en 2008, comme le Pentagone vient de le reconnaître, un logiciel malveillant baptisé agent btz, ne s’était immiscé dans le réseau secret en semant un début de panique. La contamination informatique s’est probablement opérée sur une base américaine en Irak, par le biais d’un périphérique de stockage (clé USB ou disque externe). La technique utilisée par Stuxnet ne date donc pas d’hier. Puis le ver, ”l’agent btz”, s’est propagé à tout le réseau, jusque paraît-il aux données concernant l’avion furtif dernier cri F35 (dont 20 modèles sont destinés à Israël).
Plus de peur que de mal en réalité (comme pour Stuxnet au passage), certains militaires faisant remarquer que faire rentrer le ver dans le réseau secret est une chose, exfiltrer et récupérer des informations en est une autre puisque le réseau est par définition cloisonné. Donc en théorie, pas possible comme dans le cas de Stuxnet de transmettre les données volées en passant un coup de fil à un serveur de contrôle en Malaisie ou au Danemark. Il n’empêche que l’incursion de l’agent btz a refroidi l’ambiance et provoqué une cascade de réactions avec en point d’orgue le lancement en mai dernier du USCYBERCOM.
Anecdote croustillante, les américains ont glissé un “mystérieux” code alphanumérique de 32 caractères dans un anneau du logo d’USCYBERCOM (cf. illustration de l’article). Pour faire un peu de marketing, les militaires ont ensuite, via la presse, lancé un défi un défi de potache aux internautes: chiche de décrypter le code. Les bons experts ont tout de suite reconnu un banal Hash Md5 ( le chiffrement et le décodage peuvent se faire en ligne , en une seconde, aussi simplement que l’on convertit des dollars en euros).
Las, certains ”spécialistes” européens ont pris la chose au premier degré, et se sont creusés les méninges pendant de longues minutes, ou plus, pour enfin trouver la signification du petit code (voir les traces hilarantes de la -très brève- quête du graal sur les forums. Digne de “myrtus”). Le code déchiffré est en fait la raison d’être de USCYBERCOM dont voici la quintessence: «… mener des opérations militaires à large spectre dans le cyberespace, afin de rendre possible des actions dans tous les domaines et d’assurer une liberté d’action américaine et alliée dans le cyberespace, tout en empêchant que nos adversaires fassent de même».
Pour donner un coup de pouce supplémentaire à USCYBERCOM , le departement américain de la sécurité intérieure (**) et le DoD (ministère de la défense US), viennent de passer le 13 octobre dernier un accord de cyber sécurité pour la protection des infrastructures informatiques sensibles, civiles et militaires.
Un volet de l’accord implique la NSA en charge de la protection des systèmes nationaux, de la collecte d’informations afférentes partout dans le monde et de la préparation de…cyber-réponses musclées. En complément de ce dispositif gouvernemental, des scénarios d’alliances sont en place notamment dans le cadre de l’OTAN (voir les déclarations qui interviendront lors du prochain sommet du 19 novembre au Portugal).
Et puis, last but not least, un programme intégré associe l’excellente DARPA, l’agence des projets spéciaux et le nec plus ultra de l’industrie de sécurité américaine. Ce partenariat public-privé est baptisé « Enduring Security Framework ». La Darpa apporte entre autres le « National Cyber Range »; une simulation d’internet, comme un bac à sable permettant à l’armée américaine de tester ses solutions avant de les lancer dans le cyberespace.
Au delà des menaces sur l’appareil militaire américain (sabotage des systèmes de communication, de la logistique et des transports, des capacités de frappes) les cyber attaques sont également perçues comme une épée de Damoclès sur l’économie américaine. L’alimentation en électricité, les réseaux financiers ou encore les transports sont au centre des préoccupations. Mais pas seulement. William J. Lynn, du ministère de la Défense, évoque ainsi en terme très forts, la menace sur la propriété industrielle américaine. Ce serait dit-il : ”le vol du principe vital de notre économie”. Bien vu. A suivre.
(*) On a donc comme dans les textes, 4 niveaux de connaissance : le p‘shat (internet), le remez (NIPRNET), le drash (SIPRNET) et le sod (JWICS).
(**)”Homeland security” qui comprend entre autres la direction science et technologie et les services secrets US. http://nanojv.wordpress.com/
Tout ça pour dire que lorsque le système plantera, on saura qui est coupable
Suite au lancement d’un appel d’offres pour l’achat de deux porte-hélicoptères pour la Marine russe, la Russie a suspendu les négociations sur l’achat de navires français de classe Mistral, a annoncé Ivan Gontcharenko, chef de la délégation russe au salon Euronaval-2010 du Bourget, en banlieue parisienne.
« A ce jour, les négociations sur l’achat de Mistral sont suspendues. Nous avons ordre de suspendre les négociations une fois l’appel d’offres lancé », a indiqué M.Gontcharenko qui occupe le poste de directeur adjoint de l’agence russe d’exportation d’armements Rosoboronexport.
Le responsable a en outre ajouté que les pourparlers pourraient être relancés en cas de feu vert des autorités russes.
Le ministère russe de la Défense a lancé mardi un appel d’offres à huis clos pour l’achat de deux porte-hélicoptères pour la Marine russe.
Initialement, la Russie avait l’intention d’acheter à la France un porte-hélicoptère de type Mistral et d’en construire elle-même trois autres sous licence. Mais fin juillet, le président français Nicolas Sarkozy a annoncé l’adoption du schéma « 2+2 » prévoyant la fourniture par la France de deux navires clefs en main et la construction de deux autres en Russie.
Début août, la Russie a annoncé son intention de lancer un appel d’offres international pour l’achat de deux porte-hélicoptères de cette classe. http://fr.rian.ru
Vous savez, les bateaux que sarko a dit qu’ils étaient vendus…
C’est les coréens qui vont nous damer le pion, on est des ânes, on devrait arreter de vendre des armes !!
La dislocation des Etats par la promotion de l’ethno-régionalisme est un moyen permettant la digestion plus rapide des nations par les tenants de l’oligarchie mondialiste. L’éclatement de la Tchécoslovaquie et de la Yougoslavie au cours de la décennie 1990 ; les tensions internes en Espagne, l’agonie de la Belgique ou, sur d’autres continents, les tentatives de démembrement des Etats comme le Soudan et le soutien intéressé apporté aux tenants de l’indépendance tibétaine rentrent parfaitement dans la logique du solve et coagula si utile à la mystique du nouvel ordre mondial. Un monde émietté et interchangeable doit naître de la matrice babéliene.
En fait, le processus fut véritablement expérimenté, pareil à un test en laboratoire, au lendemain de la Première guerre mondiale lors de la rédaction du Traité de Versailles. En dehors des condamnations drastiques infligées à l’Allemagne en 1919, peu de personnes savent qu’une partie du Traité de Versailles servit de tremplin à la protection des groupes ethniques en Europe. Du fait de la disparition de l’Autriche-Hongrie et de la naissance de nouveaux Etats comme la Pologne, de multiples ethnies s’opposaient au cœur de l’Europe centrale. Il s’en suivit la rédaction d’un mémorandum qui, sous les ors de la galerie des glaces de Versailles, devint la magna carta censée régenter ces différents peuples. Ce texte fut l’œuvre de l’organisation maçonnique juive, les B’nai B’rith1, avec le soutien bienveillant du président Wilson. Il est d’usage de parler de complot dès que l’on aborde des sujets ayant trait à ce type d’organisation. Des âmes charitables nous rappellent sans cesse que le peuple étant souverain, ce genre d’arguments ne vaut pas tripette. L’affirmation sans relâche de ces « vérités » par les médias officiels conduit à reléguer de nombreuses personnes éprises de vérité mais sourdes aux incantations de Big brother dans la catégorie des « demeurés ».
Que le lecteur se rassure. Pour une fois, Big brother va prendre un solide uppercut dans les dents. En effet, nous présentons un document unique à la fin de cet article ; le seul texte expliquant les préparatifs et la mise en forme des travaux des B’nai B’rith : la thèse de Nathan Feinberg écrite en 1929 intitulée La question des minorités à la Conférence de la paix de 1919-1920 et l’action juive en faveur de la protection des minorités. Possédant le document original, nous estimons faire œuvre de salubrité publique en permettant la diffusion sur la toile de ce travail universitaire remarquable qui – de plus – est facile à lire. Bref, que tout le monde en profite.
Cependant, nous devons continuer sur notre lancée. En effet, les B’nai B’rith n’hésitèrent pas à coopérer avec les mouvements pangermanistes dans les années 1920. En effet, sous l’égide du chancelier Gustav Stresemann, il se mit en place un « Congrès des nationalités » chargé de promouvoir l’émancipation des groupes ethniques en Europe en liaison avec la Société des Nations (SDN). Ce congrès exerça ses talents de 1925 à 1938 sous la direction d’Ewald Ammende. Ce dernier est l’auteur d’un ouvrage exceptionnel consistant à recenser dans les moindres détails tous les groupes ethniques en Europe centrale complété par une étude sur les Catalans et les Basques. Ce livre paru en 1931 est le fruit d’une coopération étroite entre dirigeants issus de différentes nationalités. Il est intéressant de noter qu’Ewald Ammende remercie le représentant juif, Léo Motzkin, chargé du chapitre consacré au judaïsme2. Or, c’est le même Léo Motzkin qui présidait le groupe de travail dans la rédaction du « Mémorandum » dans le cadre du Traité de Versailles et sous la direction des B’nai B’rith.
Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, le « Congrès des nationalités » mua pour se transformer en une « Union fédéraliste des communautés ethniques européennes » (UFCE ou Föderalistische Union europäischen Volksgruppen, FUEV). En effet, c’est au Palais de Chaillot à Paris que le Breton Joseph Martray lança un Congrès, en avril 1949, en présence de nombreux groupes ethniques (Catalans, Frisons, Basques, …) et de divers hommes politiques européens dont un certain François Mitterrand3. Suite au succès de ce Congrès, il fut décidé de créer l’UFCE en novembre 1949 à Versailles afin de promouvoir l’idéal ethnique. C’est à partir de 1956 que les autorités politiques allemandes apportèrent leur soutien financier par l’intermédiaire de son ministère des Affaires étrangères4. L’UFCE se doit d’être connue car c’est elle qui est à l’origine des grands textes en faveur de la promotion de l’ethnicisme en Europe : la charte des langues régionales ou minoritaires et la convention-cadre pour la protection des minorités.
Les dirigeants de l’UFCE en liaison avec de nombreux juristes allemands et autrichiens élaborèrent tout un corps de doctrine incarné par ces documents susnommés en étroite coopération avec les élites politiques allemandes. C’est sous l’égide d’Alfons Goppel (ministre-président du Land de Bavière) en 1984, du Comte Franz Ludwig von Stauffenberg en 1988 puis de l’avocat Siegbert Alber en 1993 et ancien président de la Paneurope Allemagne5, institut mondialiste par excellence, que le projet prit forme. Ces trois personnages entourés de collaborateurs réputés réussirent à imposer dans le droit européen – malgré quelques échecs au début – tout le programme ethno-linguistique.
En fait, c’est à partir de 1988 que ce programme commença à s’imposer. Nous présentons des documents inédits en langue allemande provenant des archives de l’UFCE ; mais qui peuvent rendre service aux germanophones :
Le discours de présentation de l’avocat Herbert Kohn lors du Congrès de l’UFCE à Anvers en 19886 lançant la résolution 192 (1988)7 permettant la mise sur orbite de la Charte des langues régionales ou minoritaires.
Le discours du juriste autrichien, Theodor Veiter, qui présidait le groupe de travail élaborant la résolution 192 (1988) dont le rapporteur était Herbert Kohn. Theodor Veiter a lui aussi prononcé le discours à ses côtés lors du Congrès de l’UFCE à Anvers8.
Le discours de l’avocat Siegber Alber en 1993 lors du congrès de l’UFCE à Flensburg9. C’est lui qui réussit à donner la forme finale au programme ethniciste permettant ensuite sa mise en forme définitive dans le cadre des instances européennes.
Enfin, nous présentons deux lettres envoyées par les instances de l’UFCE à l’auteur confirmant l’action des personnages susmentionnés10.
La matérialisation de ces textes dans la législation européenne doit son existence à l’action de Rolf Gossmann, en particulier la convention-cadre pour la protection des minorités. De nombreux rapports ont été rédigés décrivant l’évolution de ces travaux. Nous ne présentons qu’un exemple de ce travail où figure le nom de Rolf Gossmann11. Véritable figure de proue en faveur de ces textes ethnicistes, cet homme était au cours de la décennie 1990 l’agent intermédiaire entre le gouvernement allemand et l’UFCE. En fait, c’était un haut fonctionnaire travaillant au ministère de l’Intérieur allemand. Son action était d’autant plus grande que lui et ses successeurs contribuent en liaison avec l’UFCE à soutenir une centaine de mouvements régionalistes et indépendantistes en Europe dynamitant l’unité des nations européennes. Le rapport de l’UFCE lors du Congrès à Haderslev en 1999 présentant la liste de ces mouvements indépendantistes européens le prouve sans ambages12. De part ses activités, Rolf Gossmann a été en mesure de nouer des liens les plus divers avec des mouvements indépendantistes, en particulier kossovar, comme le montre le congrès de l’UFCE à Pörtschach en 199713.
Tout ce travail d’arrière-fond en faveur de la promotion ethnique va de pair avec le développement du régionalisme promu là aussi par les autorités allemandes. La charte européenne de la démocratie régionale promouvant l’émancipation politico-financière des régions aux dépens des Etats s’appuie à l’origine sur un document rédigé en 1997 par un député socialiste allemand, Peter Rabe, au Land de Basse-Saxe14. Ce travail de sape ethno-régionaliste ne peut que favoriser le nouvel ordre mondial car ces entités en formation contournent l’autorité nationale pour traiter directement avec les lobbies anglo-saxons et consorts à Bruxelles. Recevant en 2000 la plus haute distinction en faveur du renforcement de l’Union européenne, le Prix Charlemagne, le président Clinton (eh, oui !) s’est plu à souligner la régionalisation de l’Europe15. Dans cette relation à trois – régions, Etats, Union européenne – comme pour toute relation humaine, il y a un élément en trop. Dans cette construction, c’est l’Etat pris dans un étau entre l’autorité supranationale de Bruxelles et la montée en puissance des prérogatives régionales qui se retrouve court-circuité.
Ce phénomène, c’est Bart de Wever, président du mouvement indépendantiste flamand la NVA, qui l’a parfaitement compris. Avec justesse, il a résumé cette évolution par cette formule lapidaire : « La Belgique finira par s’évaporer entre l’Europe et les régions ». Suite aux élections du 13 juin 2010, la Belgique n’arrive pas à former un gouvernement (pour le moment) pour le plus grand plaisir des indépendantistes flamands. En fait, la NVA colle parfaitement à la logique mondialiste. Catalogué à droite voire à l’extrême-droite, il est intéressant de noter que ce parti est membre à part entière du parti européen « les Verts/Alliance libre européenne » de Daniel Cohn Bendit16. Figure de proue de l’idéologie mondialiste, les Verts de Cohn Bendit sont alliés à l’Alliance Libre Européenne qui regroupe une trentaine de partis régionalistes indépendantistes. Ce sont les Verts/ALE qui sont les auteurs d’une carte de 2004 représentant une Europe décomposée ethniquement17. Cet engagement de la NVA en faveur de la disparition des Etats européens est d’autant plus fort que le président de l’Alliance Libre Européenne (ALE) n’est autre qu’Eric Defoort co-fondateur de la NVA et bras droit de Bart de Wever18. Elu président de l’ALE19 en mars 2010, il s’est plu à confirmer dans un discours sa volonté de renforcer les prérogatives ethno-régionalistes20. Les multinationales soucieuses de rabaisser les Etats ont dû applaudir à tout rompre.
Que peut-on dire à la présentation de ces documents et acteurs annonçant cette mutation planétaire. Ce n’est pas fini. Nous ne sommes qu’au début d’un basculement complet. La crise économique et financière alliée aux revendications ethno-régionalistes est la voie royale pour conduire à la mise en forme d’une gouvernance mondiale. « Agitez le peuple avant de s’en servir » comme le résumait si bien le diplomate Charles-Maurice de Talleyrand. Destruction des Etats, formation d’unités régionales continentales, mise en forme d’un Parlement mondial dans le cadre d’une Assemblée planétaire des Nations Unies (APNU)21, refonte complète du système financier, monnaie planétaire (appelée par certains « Bancor ») et banque centrale mondiale en bout de course, comme le recommande un rapport du FMI du 13 avril 201022, sont les objectifs déclarés d’une oligarchie qui semble sur le point de gagner. Que les lecteurs soucieux de combattre le nouvel ordre mondial connaissent nos ennemis. Il faut impérativement lire pour agir, ne pas nous diviser sur des sujets futiles ; l’ennemi n’attend que cela. L’espérance est une vertu. La nouvelle Babel échouera car le mondialisme est un messianisme pressé. A nous d’empêcher sa naissance.
Pierre Hillard, pour Mecanopolis
Auteur de « La décomposition des nations européennes », avec le sous-titre « De l’union euro-atlantique à l’Etat mondial » 2è Edition, François-Xavier de Guibert, 2010. http://www.mecanopolis.org
Très bon ça, Pierre Hillard assure, cette loge juive est d’une importance capitale pour qui veut comprendre la situation actuelle, j’ai acheté il y a peu » Mystères et Secrets du B’naï B’rith » d’emmanuel Ratier, bouquin que je vous conseille vivement.
Allez sur le site de Mecanoplis, il y a les liens pour lire les documents, lisez les vraiment, vous devez savoir ce qui se trame, vous devez en être sure pour ensuite l’expliquer aux gens. Il faut faire comprendre aux gens la réalité du monde.
Bon, contrairement à ce que veut nous faire comprendre le Pouvoir, vous ne devez absolument pas avoir peur d’écrire des insultes sur internet, écoutez on n’est pas en union soviétique ou en Chine, on ne va pas en prison quand on se plaint violement des autorités, c’est franchement totalement démentiel, on avait déja entendu nadine morano traquer une internautes qui l’avait insulté dans un commentaire, ais la ça dépasse l’entendement.
C’est parceque ça dépasse l’entendement qu’il ne faut pas s’y soumettre, vous comprenez, c’est de la science fiction cette histoire, les gendarmes n’ont pas été menacés, cet homme n’avait pas à aller en prison.
Cette histoire m’énerve énormément, avec ce genre de dynamique, on ne pourra plus critiquer l’Autorité, au final internet nous perdra…
EXCLUSIF: Un leader d’Al-Qaïda a dîné au Pentagone quelques mois seulement après les attaques du 9/11 je pense de plus en plus que ces djihadistes sont des juifs déguisés… puisque seul israel profite réellement de l’islam radical.
Par Catherine Herridge
Publié le 20 octobre, 2010 | FoxNews.com
Anwar Al-Awlaki est peut être le premier Américain sur la liste d’assassinat ou de capture de la CIA, mais il a aussi été invité à un déjeuner des gradés de l’armée au Pentagone dans les mois qui ont suivi les attaques terroristes du 11 septembre 2001, a appris Fox News.
Des documents obtenus en exclusivité par Fox News, incluant une entrevue que le FBI a mené après la fusillade de Fort Hood en Novembre 2009, stipulent que Awlaki a été amené au Pentagone dans le cadre de la sensibilisation des militaires à la communauté musulmane au lendemain des attentats.
Cliquez ici pour lire une partie des documents. (en anglais)
L’incident a été signalé par une employée actuelle du département de la Défense, qui s’est manifestée et a dit aux enquêteurs qu’elle avait aidé à organiser la réunion après avoir vu Awlaki parler à Alexandrie, en Virginie
L’employée a « participé à cette conversation, et bien qu’elle soit arrivée en retard, elle se rappelle avoir été impressionnée par cet imam. Il a condamné Al-Qaïda et les attentats terroristes. Au cours de son exposé, il a été « harcelé » par les membres de l’auditoire et a bien tenu le choc », dit un document.
Selon les documents, obtenus dans le cadre d’une enquête en cours de l’unité spéciale « Fox Nouvelles Reporting », il y avait une pression à l’intérieur du département de la Défense pour tendre la main à la communauté musulmane.
« A cette époque, le secrétaire de l’Armée de terre (édité) était impatient d’avoir une présentation par un musulman modéré. »
En outre, Awlaki « était considéré comme un membre « prometteur » de la communauté islamique. Après sa sélection, Aulaqi (Awlaki) a été invité et a participé à un déjeuner au Pentagone au secrétariat du bureau de l’armée du conseil du gouvernement. »
Awlaki, un Yéménite-américain qui est né à Las Cruces, N.M., a été interviewé au moins quatre fois par le FBI durant la première semaine suivant les attentats en raison de ses liens avec les trois pirates de l’air Nawaf al-Hazmi, Khalid al-Mihdhar et Hani Hanjour. Les trois pirates de l’air étaient tous à bord du Vol 77 qui a percuté le Pentagone.
Awlaki est maintenant censé se cacher au Yémen après qu’un lien ait été établi entre le tireur présumé de Ft. Hood le Major Nidal Malik Hasan, qui a envoyé un e-mail à Awlaki avant l’attaque.
Des sources ont indiqué à Fox News qu’Awlaki, qui est un ancien aumônier musulman à l’Université George Washington, a rencontré le jour de Noël le poseur de bombe Umar Farouk Abdulmutallab au Yémen, et a été l’intermédiaire entre le jeune Nigérian et l’artificier. Il a également dit qu’Awlaki avait inspiré le présumé poseur de bombe de Times Square Faisal Shahzad.
Apparemment, aucune des informations du FBI sur Awlaki n’a été partagé avec le Pentagone. L’ancien Secrétaire de l’Armée Tommy White, qui a dirigé l’armée en 2001, a dit qu’il n’avait pas le moindre souvenir du déjeuner ou d’un quelconque contact avec Awlaki.
« S’il s’agissait d’un déjeuner à l’office du conseil du gouvernment, je n’aurais pas forcément été présent », dit-il.
Le Pentagone n’a fourni aucune explication sur la raison pour laquelle un homme, maintenant sur la liste d’assassinat ou de capture de la CIA, s’est retrouvé à un dîner spécial pour la sensibisation des musulmans.
Après des demandes répétées de commentaires sur le processus d’examen qui a débuté le 13 Octobre, un porte-parole de l’Armée a insisté mercredi que le déjeuner n’avait pas été organisé par l’Armée. « L’armée n’a trouvé aucune preuve qu’elle avait parrainé ou participé à l’événement décrit dans ce rapport, » a dit le porte-parole Thomas Collins.
Collins a également noté que le document du FBI faisait référence à « l’office du conseil du gouvernment », mais devait se lire « bureau du conseil général. »
Collins a déclaré qu’il croyait que l’événement était parrainé par le bureau du secrétaire à la Défense. Une porte-parole là-bas a dit qu’elle allait examiner la question et recontacterait Fox News.
Un ancien agent du FBI de haut rang a déclaré à Fox News qu’au moment où Awlaki est allé déjeuner au Pentagone, il y avait une grande « arrogance » concernant le processus de contrôle du Pentagone.
« Ils ont sélectionné les personnes sur des critères politiques et ont fait preuve d’indifférence à l’égard des conseils de sécurité et d’intelligence des autres », a déclaré l’ancien agent.
Des extrémistes juifs déguisés en djihadistes manipulent le monde entier, les américains suivent parceque al quaida sert ses intérêts stratégiques.
Ils ont créé un ennemi imaginaire afin que chrétiens et musulmans s’entretuent.
C’est quand même délirant qu’un futur dirigeant d’al quaida ait été invité à un lunch au pentagone, tout en ayant été interrogé 4 fois sur ses liens avec les censés pirates de l’air du 11/09 !!!!
» Awlaki was apparently interviewed at least four times by the FBI in the week after the September 11 attacks because of his links to the three hijackers. » http://www.dailymail.co.uk
the only way to fight a moral war is the jewish way : destroy their holy sites.
Kill men, women and children ( and cattle)
The jewish way !!!!
J’arrete pas de rire quand je vois ça, vous vous rendez compte comme ce rabbin est fou, ça dépasse l’entendement des paroles comme ça, les rabbins nazis se lachent en ce moment j’espère que ça ne signifie pas qu’il va se passer quelque chose grave, c’est comme si ils encourageaient bibi à faire l’impensable.
LOL, même les bovins doivent y passer… ça montre bien qu’ils nous considèrent comme des animaux …
Le classement 2010 de la liberté de la presse de Reporters sans frontières (RSF) est tombé. Et la France avec, au 44ème rang sur 178 pays classés. Entre la Papouasie Nouvelle Guinée et Chypre. En 2002, elle occupait la 11ème place…
Si 13 pays européens dominent le classement (dans les 20 premiers), « l’écart continue de se creuser entre les bons et les mauvais élèves », et certains se retrouvent à l’Ouest : Grèce (70e), Bulgarie (70e), Roumanie (52e), Italie (49e). Au rythme où les choses évoluent (33 places de perdues en 8 ans), la France fera bientôt son apparition dans ce peloton de queue. « Violation de la protection des sources, concentration des médias, mépris et même impatience du pouvoir politique envers les journalistes et leur travail, convocations de journalistes devant la justice »… tout y passe.
« La honte »
En France, « l’année 2010 a été marquée par plusieurs agressions contre des journalistes, des mises en examen, des violations ou tentatives de violations du secret des sources et surtout un climat lourd de défiance envers la presse. La majorité présidentielle a eu des mots très menaçants, parfois insultants, envers certains médias. Ces déclarations ont eu une résonance mondiale et, dans beaucoup de pays, le gouvernement français n’est plus considéré comme respectueux de la liberté d’information » a déclaré François Julliard, secrétaire général de Reporters sans frontières. D’où la prochaine campagne de presse, révélée par Rue89, qui détourne la photo officielle du président de la république. Avec pour sous-titre : « la honte ».
Le trio infernal est composé de l’Erythrée, de la Corée du Nord et du Turkménistan, suivis de près par l’Iran, la Birmanie, la Syrie, le Soudan, la Chine, le Yemen et le Rwanda.
Rebuts de presse
« Si elle ne se ressaisit pas, l’Union européenne risque de perdre son statut de leader mondial dans le domaine du respect des droits de l’homme. Comment pourra-telle alors se montrer convaincante lorsqu’elle demandera aux régimes autoritaires de procéder à des améliorations ? » questionne RSF. En même temps, elle le demande de moins en moins, tout se tient.
Les codes ultra-secrets qui permettent au président des Etats-Unis de déclencher une frappe nucléaire ont disparu pendant « des mois » alors que le président Bill Clinton était à la Maison Blanche, écrit dans ses mémoires son ancien chef d’Etat-major.
Connus sous l’appellation familière du « biscuit », les codes permettant l’usage de l’arme nucléaire sont supposés être en permanence à la disposition du président et sont placés sous la responsabilité d’un de ses collaborateurs.
« A un moment sous l’administration Clinton –et à ce jour, à ma connaissance, ceci n’a jamais été révélé– les codes ont disparu pendant des mois », écrit le général à la retraite Hugh Shelton, dans ses mémoires qui viennent de paraître, sous le titre « Without Hesitation: The Odyssey of an American Warrior » (Sans hésitation: l’odyssée d’un guerrier américain ».
L’aide du président chargé de garder le « biscuit » –qui se présente comme carte digitale– l’a égaré en 2000, raconte le général, ex-chef de l’Etat-major interarmes.
Quand un responsable du Pentagone est venu le voir un jour à la Maison Blanche pour la confirmation des codes –une procédure de routine qui se déroule tous les mois– l’aide en question l’a congédie en lui assurant que le président Clinton les avaient en sa possession et qu’il était accupé par une réunion urgente.
« Ce petit jeu s’est poursuivi, sans que le président Clinton n’en soit informé, j’en suis sûr », poursuit le général, jusqu’au moment où il fallut remplacer les codes par un nouveau jeu, ce qui est fait tous les quatre mois.
« A ce moment-là, nous avons découvert que l’aide n’avait aucune idée de l’endroit où se trouvaient les anciens codes, parce qu’ils avaient disparu depuis des mois », révèle le général dans son livre.
« Le président ne les avait jamais eus, mais il pensait, j’en suis certain, que son aide les avait avec lui, ainsi qu’il était prévu », ajoute le général.
Le désastre découvert, le général Shelton s’est rué dans le bureau du secrétaire d’Etat à la Défense de l’époque, William Cohen, en lui lançant: « Vous n’allez pas le croire !.. »
Les procédures ont été modifiées après l’incident et la crainte de voir l’affaire révélée à la une de la presse ne s’est jamais matérialisée.
L’épisode démontre aux yeux du général qu’aucun système n’est à l’abri d’une erreur humaine: « Vous pouvez faire tout ce que vous voulez et croire que votre système est infaillible, quelqu’un trouvera toujours le moyen de le faire foirer d’une manière ou d’une autre ».
Un autre livre, publié plusieurs années auparavant, racontait un incident similaire, mais le datait de 1998 et du jour qui suivit la révélation du scandale Monica Lewinsky.
Son auteur, le lieutenant-colonel à la retraite Robert Patterson, assurait que Bill Clinton, et non son aide, avait perdu les codes. http://www.romandie.com/
Bien évidement, il y a un cohen dans l’histoire, trève de plaisanterie, cette histoire défie l’entendement, je me demande même si c’est vrai, vu que clinton a été vilipendé comme personne par les cercles néo conservateurs, peut être est ce une manière de taper sur le démocrate obama, j’en sais rien, mais j’ai vraiment du mal à croire que les codes nucléaires aient pu être égarés, à la limite qu’ils aient été volés je veux bien quoique ce soit encore plus fou dans les conséquences.
Souvenons nous que le 11/09 les » terroristes » ont communiqué des codes de communications top secret, allez savoir si ces deux affaires ont un lien.
En fait les USA sont à la ramasse, ils se font piller de toutes parts, se font voler des technologies, les codes secrets nucléaires, je me demande comment ce pays tient encore debout, c’est extrèmement grave comme situation, ça veut dire que c’est une mafia qui dirige le pays.
L’autorité fédérale américaine de régulation des géants du financement de l’immobilier Fannie Mae et Freddie Mac a annoncé jeudi leur avoir imposé des « tests de résistance » qui ont montré qu’ils pourraient avoir encore besoin de 215 milliards de dollars d’aide publique.
À l’issue de ce test mené selon les critères imposés par la Banque centrale (Fed) aux 19 plus grandes banques du pays, l’Administration fédérale du financement du logement (FHFA) a estimé que les deux entreprises devraient avoir besoin de 73 à 215 milliards de dollars d’ici à 2013. Ces sommes s’ajouteraient aux 148 milliards de dollars déjà tirés par « Fannie » et « Freddie » sur la ligne de crédit que le Trésor leur a accordée en mars 2009, qui est illimitée depuis décembre.
Vers une réforme de statut
La FHFA a souligné dans un communiqué avoir établi trois projections différentes pour l’évolution des prix de l’immobilier. « Ces projections sont destinées à donner aux responsables politiques et à l’opinion publique des estimations utiles pour se représenter les résultats potentiels du soutien des contribuables à Fannie Mae et Freddie Mac », a indiqué le directeur de l’autorité de régulation, Edward DeMarco. L’estimation est bien supérieure à une autre publiée en septembre par le Bureau du budget au Congrès, qui tablait au pire sur 30 milliards de dollars de dépenses du budget de l’État fédéral d’ici à 2013.
Le gouvernement doit présenter d’ici à janvier un projet de loi pour réformer le statut de Fannie Mae et Freddie Mac, deux groupes qui avaient été placés sous tutelle publique en septembre 2008 après avoir soutenu une demande de prêts immobiliers insolvables, encouragé par le gouvernement qui voulait faire grimper le taux de propriété. http://www.lepoint.fr/
La lente descente au enfer de l’économie US continue, quasiment 400 milliards de dollars pour sauver ces deux sociétés, je ne comprends pas pourquoi ces deux boites ne sont pas mises en faillite, ils devraient plutot utiliser cet argent pour dédommager les investisseurs au lieu de combler ce puit sans fond.
Un certain nombre de colons juifs extrémistes terroristes a tenté de kidnapper un enfant palestinien de 3 ans dans la ville d’Al Khalil en Cisjordanie. Les sources de sécurité du colabo abbas ont affirmé que les colons ont tenté d’enlever le bébé, Mustafa Qafisha dans la vieille ville, mais la mère et les voisins les ont empêché et ont été eux-mêmes agressés par les colons juifs fascistes.
Jeudi dernier, un jour après cette tentative d’enlèvement, les troupes de mercenaires terroristes juifs sionistes ont enlevé une fillette de 4 ans et sa mère alors qu’elles se dirigeaient vers l’école maternelle. Ceci s’est passé dans la même ville d’Al Khalil.
Aucun jour ne passe sans qu’il y ait rapt et kidnapping d’enfants, de femme ou simplement d’étudiant palestinien… tous les jours, les forces d’occupation juifs sionistes tuent un palestinien… quelques soit l’âge, les juifs sionistes ne se lassent pas d’assassiner des palestiniens. C’est le passe temps préféré des juifs sionistes… c’est le sang qui les attire tel des requins.
Le jeudi 14 octobre 2010, Un jeune garçon a été battu par des juifs sionistes extrémistes terroristes à el Quds. Au lieu d’arrêter les terroristes juifs sionistes, les forces d’occupation sioniste ont enlevé le jeune garçon Ayman al Ghawi, et l’ont interrogé pendant des heures… puis, lui ont ordonné de quitter son domicile et sa banlieue pendant 15 jours.
Si c’est vraiment vrai (ce qui a l’air d’être le cas), c’est tellement malsain que j’en reviens pas, qu’est ce que ces colons dégénérés sataniques voulaient faire de cet enfant ?
Depuis le début de la crise économique, en 2008, la plupart des analystes ont bien compris, sans oser le proclamer encore, que l’ancien paradigme : « le sort de l’humanité, individuel et collectif, s’améliore tous les jours grâce à la science, à la démocratisation et la croissance économique » est mort. Il faudrait vraiment faire preuve d’un optimisme qui confine au pathétique pour oser croire que la situation pourrait miraculeusement se retourner avec « quelques efforts » et « concessions », ou encore que les mesures de rigueur mises en place dans tous les pays pourraient inverser la situation. Au mieux, nous gagnerons quelques années avant le chaos. La question n’est donc plus de se demander si notre civilisation est en train de s’écrouler, puisque c’est l’évidence même, mais de savoir quand et comment.
Nous retiendrons trois scénarios, partant du principe que la crise de 2008 n’était que l’élément déclencheur – symptôme de la fin d’un cycle – et que les prochaines lignes de catastrophes qui entraîneront une détérioration générale et irréversible de l’humanité se produiront très rapidement.
Néanmoins, du pire peut naître le meilleur, et un chaos incontrôlable pourrait laisser place, non pas à un nouvel ordre mondial, mais à un nouveau monde.
Scénario du « chaos rampant »
En deux ou trois ans,l’économie étasunienne et européenne s’effondre et entre dans une sévère récession. Le chômage réel atteint 20% et le niveau de vie général baisse de 30 %. La crise en Europe dépasse en ampleur celle de 1929. La criminalité n’est plus maîtrisée et les ghettos de démunis et zones-refuge pour les classes fortunées explosent. Les forces de l’ordre, débordées, font face à une « guerre civile rampante ». Des attentats dont on ne sait jamais trop qui sont les commanditaires réels deviennent répétitifs, toutefois sans qu’ils ne donnent lieu à l’utilisation d’armes de destruction massive. Cet affaiblissement de l’économie des États-Unis et de l’Europe a évidemment un impact très négatif sur le reste de l’économie mondiale qui, cependant, n’entre pas en récession. Mais continue de croître – néanmoins très lentement – grâce, notamment, à la locomotive chinoise. Toutefois, au niveau mondial comme aux plans étasunien et européen, la corde ne rompt pas. La situation, bien que gravissime, demeure sous contrôle. Une situation de crise généralisée durable s’installe. La civilisation actuelle se maintient,dans la douleur, mais elle résiste. L’effondrement est redouté mais repoussé aux calendes grecques. La croissance démographique de la population planétaire connaît un sérieux coup de frein, du fait de la progression généralisée de la mortalité. La fragilité de cet immense ensemble bancal n’est pas si grande qu’elle puisse précipiter sa chute. En 2020, le pire est évité. Pourtant,aucune mesure sérieuse n’est prise, aucune leçon n’est tirée. Le destin accorde à la tragédie un acte de plus.
Scénario du « chaos contrôlé »
Les mêmes éléments et les mêmes causes que ceux évoqués lors du scénario précédent sont à l’oeuvre, mais ils se produisent plus brutalement et leur enchaînement, leur concomitance, on des conséquences beaucoup plus sévères et s’étendent au monde entier. La récession économique est bien plus sévère que précédemment : le niveau de vie chute de 50%. La guerre civile dans plusieurs pays d’Europe n’est plus « larvée », mais se reconnaît comme telle. Tous les paramètres demeurent les mêmes, mais ils s’aggravent. La paupérisation atteint, à l’échelle planétaire, des niveaux astronomiques – surtout dans le tiers-monde. L’ordre mondial utilise ce chaos, qu’il contrôle parfaitement, de sorte à accélérer l’interruption du processus démocratique et étendre son contrôle total, notamment par l’application généralisée des biotechnologies. On assiste à une déstabilisation psychologique de l’humanité qui, jusque dans l’inconscient collectif, a des effets dévastateurs. La population humaine régresse rapidement et permet la mise en place d’une société 20/80, à savoir celle dans laquelle le travail de 20 % de la population mondiale sera suffisant pour soutenir la totalité de l’appareil économique de la planète ; les 80 % restant étant superflus et destinés à disparaître.
Scénario du « chaos incontrôlable »
Une rupture fractale se produit,la corde casse. L’édifice de la civilisation mondiale n’a pu résister. Les facteurs précédemment décrits connaissent une intensité encore plus accentuée. Comme un jeu de dominos,tout s’écroule. Le basculement survient entre 2012 et 2015,mais le naufrage met dix ans à s’accomplir. La population mondiale se réduit drastiquement. Elle passe de six milliards à un milliard et continue de décliner à grande vitesse. Les causes en sont simples : l’effondrement des approvisionnements alimentaires et en eau potable,ainsi que la fin de l’accès aux médicaments dû à la cessation des industries pharmaceutiques et des structures médicales. Vers 2050, l’espèce humaine se stabilise à un peu moins de 300 millions d’êtres humains. Les survivants fuient les villes et les mégapoles en masse et se rendent dans les campagnes pour vivre d’agriculture vivrière et d’artisanat, car toutes les industries se sont arrêtées. Une fantastique et brutale régression technique commence.
Les impératifs de subsistance, de protection et de prédation sont la loi générale, donc la guerre. Des féodalités se créent et de nouveaux rapports politiques s’instaurent, assez semblables à ce qui existait au Moyen Âge. C’est en quelque sorte une répétition du passé, mais selon une modalité différente, l’Histoire étant un éternel retour approximatif. Une nouvelle humanité commence alors à naître partout, fondée sur des bases radicalement nouvelles. Les hommes qui auront survécu seront-ils moins heureux que leurs parents et ancêtres ? Certainement plus.
Néanmoins le désespoir n’est pas de mise. La fin de notre civilisation pourrait être une bonne nouvelle, même si elle s’accomplira bientôt dans la détresse et la douleur. Après les ténèbres qui commencent,viendra la lumière – l’histoire humaine est loin d’être terminée. Se préparer à la catastrophe et à la renaissance, c’est se transformer soi-même de l’intérieur. Un nouveau monde pourrait naître sur les ruines de l’ancien et, peut-être, le mieux que nous ayons à faire est de précipiter le basculement de l’ordre actuel.
Clovis CASADUE, pour la revue FLASH
Publié sur Mecanopolis avec l’aimable autorisation de Jean-Emile Néaumet, directeur de la rédaction. mecanopolis
C’est bien mais ça manque d’imagination, on ne retournera pas au moyen age, il va y avoir la fausse invasion extra terrestre, n’oublions pas que le faux règne grace à la télé , nous allons voir l’invasion à la télé comme nous l’avons vu dans les films, nous sommes mûrs, le piratage des films a permis que des centaines de millions de personnes en asie et en afrique ont vu les grosses productions hollywoodiennes.
Ceux qui oeuvrent au NWO vont user de technologies qui vont bluffer les gens et puis rien qu’avec la télé, les falsifications sont très aisées.
En tout cas, il va y avoir du spectacle… et la mort de milliards de personnes est une nécessité pour les élites folles, cela est réellement une certitude.
– La poursuite de la colonisation israélienne en Cisjordanie n’a pas d’impact sur les garanties de prêts que les Etats-Unis accordent à l’Etat juif, dont le Trésor américain a annoncé jeudi l’augmentation.
A l’issue d’une rencontre du Groupe de développement économique mixte américano-israélien à Jérusalem, le ministère a indiqué que le total des garanties de prêts accordées par Washington à Tel-Aviv s’élevait à 3,481 milliards de dollars au 1er octobre.
Cela signifie que la tranche de 333 millions de dollars de garanties supplémentaires au titre de l’exercice budgétaire américain 2010, clos le 30 septembre, a été allouée.
Washington attend « de recevoir un rapport du gouvernement d’Israël début 2011 indiquant si celui-ci a rempli en 2010 les conditions permettant le déblocage de la tranche de garanties de prêt de 333 millions de dollars au titre de l’exercice 2011 », ajoute le ministère dans un communiqué.
Ces garanties permettent à Israël d’emprunter sur les marchés à taux préférentiels en bénéficiant de la garantie de remboursement de l’Etat américain.
Les conditions mentionnées par le Trésor sont d’ordre économique.
De par la loi américaine, ces garanties, dont l’Etat juif ne s’est pas servi depuis 2004, ne peuvent être utilisées pour soutenir des activités dans les territoires occupés depuis la guerre des Six Jours (1967).
Les Etats-Unis peuvent les réduire « d’un montant égal au montant alloué ou estimé avoir été alloué par l’Etat d’Israël » à des activités que le président américain jugerait « incompatibles avec les objectifs » définis dans l’accord conclu avec l’Etat juif: la colonisation des Territoires palestiniens.
Le gouvernement américain a imposé des réductions à ces garanties pour la dernière fois en 2005, sous le président George W. Bush.
Le gouvernement du président américain Barack Obama, qui ne cesse d’appeler Israël à la retenue en matière de colonisation, a jusqu’à présent refusé d’en faire autant.
La publication du communiqué du Trésor a coïncidé avec la parution, en Israël, d’une enquête du mouvement La Paix Maintenant selon laquelle la colonisation a connu une forte impulsion depuis l’expiration, le 26 septembre, d’un moratoire de 10 mois sur la construction de logements israéliens en Cisjordanie (hors Jérusalem-Est, zone de la Ville sainte annexée par Israël).
L’Autorité palestinienne, qui refuse de poursuivre les négociations avec l’Etat juif reprises pendant l’été tant que la construction continue dans les colonies, a aussitôt appelé les Etats-Unis à réagir au « défi flagrant » du gouvernement israélien.
Les garanties de prêt ne sont qu’une part minime de l’aide américaine à Israël.
Selon un rapport du Centre de recherche du Congrès américain (CRS) publié en septembre, Israël est « le plus gros bénéficiaire de l’aide internationale américaine en données cumulées depuis la seconde guerre mondiale ».
« Depuis 1985, les Etats-Unis ont octroyé à Israël des subventions de près de 3 milliards de dollars par an », ajoute ce rapport. romandie
3 milliards par ans pour 6 millions d’habitants, c’est sympa, alors qu’ils ont donné 10 milliards au pakistanais en 7 ans, et cela pour un pays de près de 200 millions d’âmes.(source)
Je viens de voir sur France 24 que la colonisation est 4 fois plus intense aujourd’hui qu’avant le début du gel, ces tarés ratrappent le temps perdu….
Et donc en plus de se faire voler du pognon par le super ghetto, les usa se porte garant pour les prêts !!!
Je comprends que les israéliens dansent !!!
Enquête primée par Projet censuré 2010
Obama nomme des officiers corrompus à la tête des armées
par Robert Parry*, Andrew Hughes, Allan Nairn, Roxana Tiron
Les responsables de la Défense nommés par Barack Obama sont ceux là mêmes qui ont commis les pires crimes et les pires malversations sous les administrations précédentes. En fait de changement, seul le discours est nouveau, les pratiques, elles, sont anciennes. Le plus surprenant est l’indifférence qui a accompagné la clôture de l’enquête financière sur la disparition de 3400 milliards de dollars et la promotion des responsables du plus gigantesque détournement de fonds de l’histoire.
Le vice-président Joe Biden (à gauche), le Secrétaire de la Défense Robert Gates (à l’extrême droite) et autres gradés militaires états-uniens écoutant au président Barack Obama au Pentagone. (Janvier 2009)
Le maintien par Obama du républicain Robert Gates au poste de secrétaire à la Défense est sans égal historique. C’est en effet la première fois qu’une administration entrante du parti d’opposition (en l’occurrence démocrate) maintient un ministre de l’administration précédente (républicaine). Ayant remplacé Donald Rumsfeld qui s’opposait à une nouvelle escalade du conflit en Irak, Gates a été, pendant les deux dernières années de la présidence Bush, l’architecte de la vague de renforts (« surge »).
Obama a confié les principales responsabilités de la défense et du renseignement à des personnalités incarnant à maints égards les pires aspects de la politique de sécurité nationale états-unienne des trente dernières années.
Ses choix contredisent ses principaux arguments de campagne sur le « renseignement politisé » et le « manque de transparence ». Les « décennies d’expérience » tant louées de ces responsables sont parsemées de fautes éthiques, de mensonges au Congrès et surtout de « conflits d’intérêts » sous la forme d’allées-et-venues régulière entre le gouvernement et le complexe militaro-industriel.
Obama avait bien promis de ne pas confier de postes gouvernementaux élevés (ou importants) aux lobbyistes, mais cela ne l’a pas empêché de désigner d’anciens lobbyistes ou conseillers de sociétés faisant affaire directement avec le Pentagone.
Toute la carrière de Robert Gates a consisté à porter haut et mettre en œuvre les idées néo-conservatrices, et il s’est d’ailleurs montré critique vis-à-vis du plan d’Obama pour le retrait gradué des troupes d’Irak.
Il débuta comme officier de renseignement sous Nixon, mais, comme l’indique la chronique de Robert Parry [1], c’est en tant que haut responsable de la CIA dans les années 80, sous l’administration Reagan, qu’il brisa l’échine au concept de renseignement objectif auparavant si cher à la division analytique de l’agence d’espionnage.
Dans son récent ouvrage Failure of Intelligence : The Decline and Fall of the CIA (Echec du renseignement : décadence et chute de la CIA), l’ex-analyste Melvin A. Goodman décrit Gates comme « l’officier du service action ayant dirigé l’adaptation de la production de renseignement aux desiderata politiques de la Maison-Blanche, sous l’administration Reagan ». Analyste en chef sous la direction de William Casey, Gates « a supervisé le premier « bidonnage de rapports » institutionnalisé à la CIA dans les années 80, en mettant l’accent sur la nécessité de retoucher le renseignement ayant trait à l’Union soviétique, à l’Amérique centrale et au Sud-Ouest asiatique », assure Goodman, et ceci dans le but de justifier les dépenses militaires croissantes et le soutien actif des États-Unis à des guerres périphériques sanglantes constituant l’axe principal de la politique extérieure de Reagan.
Son audition de confirmation pour le poste de directeur de la CIA, sous George H. W. Bush (père) en 1991, fut le théâtre d’un défilé d’officiers de l’agence dévoilant publiquement des histoires « de la maison » selon lesquelles ce personnage avait corrompu le métier du renseignement.
Gates est en outre soupçonné d’être en lien avec les mensonges servis au Congrès sur les opérations secrètes Iran-Contra, au milieu des années 80, obstacle qui l’empêcha d’accéder à la direction de la CIA à la mort de Casey, en 1987. C’est également lui qui fut chargé de fournir à Saddam Hussein, pendant la guerre entre l’Irak et l’Iran, des armes chimiques, munitions et autres équipements.
Gates a un temps siégé au conseil de direction de la Science Applications International Corporation (SAIC), qui déclara des bénéfices de 7,5 milliards de dollars pour 2005. La SAIC est active à tous les niveaux, de la collecte de renseignement à la reconstruction de l’Irak, pour le compte du Pentagone.
Le 21 janvier 2009, Obama signait un décret fixant des règles éthiques plus rigoureuses et interdisant notamment que des postes gouvernementaux soient attribués à des lobbyistes ayant exercé auprès de la même administration dans les deux dernières années.
Corruption au Pentagone
A peine deux jours plus tard, le 23 janvier, la Maison-Blanche faisait savoir que ses nouvelles règles d’éthique dure ne s’appliquaient pas au sous-secrétaire à la Défense, William Lynn, qui avait été vice-président pour les opérations et stratégies gouvernementales du géant de la défense Raytheon et avait fait du lobbying pour cette société privée jusqu’en juillet 2008.
Raytheon est le cinquième fabricant d’armes des Etats-Unis par ordre d’importance. Il vend des radars, missiles, munitions en tous genres, systèmes spatiaux et autres technologies pour une valeur de 18 milliards de dollars par an [2]. Le sénateur républicain pour l’Iowa, Charles Grassley, s’est opposé énergiquement à la nomination de Lynn, alléguant « des pratiques douteuses qui, de toute évidence, ne servaient pas l’intérêt public », lorsqu’il exerçait à l’inspection des finances du Pentagone sous l’administration Clinton.
Pour l’année fiscale 1999, le département de la Défense faisait état de la « disparition » de 2300 milliards de dollars, auxquels s’ajoutaient 1100 milliards pour l’année 2000. Au total donc, 3400 milliards de dollars versés par le contribuable sont partis en fumée sous l’œil vigilant de William Lynn, qui se trouve maintenant au cœur du tourniquet unissant le département de la Défense et le complexe militaro-industriel [3].
En sa qualité de directeur financier du département de la Défense, Lynn était responsable de toute l’administration et de l’information budgétaire. Il avait en outre sous sa responsabilité la publication soumise à audit des états financiers, ce qu’il ne fit pas alors qu’il était en poste, et ces derniers n’ont toujours pas été publiés.
Robert Hale a été maintenu à son poste de sous-secrétaire à la Défense (inspection des Finances) après avoir été secrétaire assistant à l’Air Force, chargé des contrôles financiers, entre 1994 et 2001. Aux côtés de Lynn, il était responsable de la gestion des fonds du département de la Défense.
Hale est en outre « gestionnaire financier certifié Défense », spécialisé dans l’achat, ce qui lui fait entretenir des relations privilégiées avec le complexe militaro-industriel.
L’écrivain Andrew Hughes fait remarquer que : « À eux deux, ces postes ont dilapidé assez d’argent du contribuable pour financer quatre fois le programme de stimulation de l’économie mis en œuvre par Obama, et voilà qu’ils sont à nouveau responsables de la supervision des acquisitions au département de la Défense »
’attentat survenu le 11 septembre 2001 au Pentagone n’a pas été dirigé contre le bureau du secrétaire à la Défense. La cible était située dans une aile opposée du bâtiment. L’explosion a détruit les archives financières et tué les controlleurs financiers chargés d’identifier les bénéficiaires du détournement de fonds le plus important de l’histoire.
Mensonges au Congrès
L’amiral Dennis Blair, choisi par Obama pour diriger le Renseignement national, qui supervise les 16 agences de renseignement, fut commandant des forces militaires du Pacifique sous Clinton [4]. A ce poste il joua un rôle essentiel lors de l’occupation du Timor oriental par l’Indonésie en 1998, après la chute du dictateur Suharto soutenu par les États-Unis.
En 1999, lorsque les militaires indonésiens semèrent la terreur parmi la population pour faire échec aux réformes démocratiques, le département d’Etat des États-Unis et Clinton envoyèrent Blair exiger du général indonésien Wiranto qu’il mette fin aux massacres.
Loin de s’acquitter de cette mission, l’amiral Blair informa le général qu’il bénéficiait du soutien total des États-Unis. Les atrocités, dans lesquelles le gouvernement était impliqué, montèrent d’un cran. Blair mentit alors au Congrès, déclarant que la violence n’était le fait que de petites unités, alors que les hauts commandements militaires indonésiens se livraient à toutes sortes d’exactions : enlèvements, massacres et tortures. Dans les faits, Blair soutint le général Wiranto et le massacre de civils indonésiens, contre les ordres du Congrès qu’il désinformait.
Blair est un des membres de la Commission trilatérale. Il siégeait à la direction de Earl Dodge Osborne (EDO), une société sous-traitante pour le programme F-22 Raptor. Il a également participé à la direction de Tyco International, qui fabrique de petits composants électroniques utilisés pour le F-22 et d’autres pièces à usage militaire. On l’a vu enfin à la direction de Tridium, une société fabricante de satellites.
En 2006, Blair a dû démissionner de la présidence de l’Institute for Defense Analysis (Institut pour l’analyse de la défense, IDA) pour cause de « conflits d’intérêts ». Il faut dire que l’IDA était en train d’évaluer pour le Pentagone le programme F-22.
Alors qu’il était aux ordres de Blair, l’ex-général quatre étoiles James L. Jones a été désigné à la tête de l’Agence de la sécurité nationale. Jones fut non seulement commandant de l’OTAN et commandant du corps des Marines, il est en outre membre de la Commission trilatérale. Il a prêté ses services aux conseils de direction de Chevron, Boeing et Invacare Corp (qui produit du matériel médical pour le Pentagone) jusqu’en décembre 2008. [5] Jusqu’à janvier 2009 il était consultant auprès de Cross Match Technologies, une compagnie de biométrique travaillant avec le Pentagone et le FBI. Il a par ailleurs siégé au conseil de direction de MIC Industries, qui a mis au point la « Ultimate Building Machine », un dispositif mobile de construction, utilisé uniquement en Irak et en Afghanistan, servant à déployer rapidement les structures d’acier des installations militaires.
Tout récemment, Jones a été nommé président de l’Institute for 21st Century Energy (Institut de l’Energie pour le XXIè siècle), think tank dépendant de la Chambre de commerce des Etats-Unis.
Mise à jour de Robert Parry (de ConsortiumNews.com)
Au sujet du fameux « danger de conserver Robert Gates à son poste » : celui-ci se trouve être lourd de signification. Cette décision prise par Obama juste après son élection était le signe évident que sa politique de sécurité nationale ne s’écarterait pas fondamentalement de celle de son prédécesseur. Elle révélait aussi qu’Obama n’avait pas la moindre intention de remettre en question la désinformation de Washington, distillée au fil des décennies précédentes à dominante républicaine, depuis l’implication-clé de Gates dans plusieurs scandales, y compris l’Iran-Contra et la politisation du renseignement de la CIA, deux facteurs qui préparaient les désastreuses décisions prises par Bush ces dix dernières années. En conservant Gates, Obama a indiqué qu’il éviterait les débats susceptibles d’engager les États-Unis dans une voie drastiquement différente. Dans les faits, Obama cédait au statu quo.
Depuis la publication de l’article, les intentions d’Obama ne sont que plus évidentes. Si, au niveau du discours, il prend ses distances par rapport au style belliqueux de Bush, il maintient dans les faits la substance de cette politique, avec Gates et les autres opposants à un retrait rapide d’Irak, partisans du renforcement de la présence militaire étrangère en Afghanistan. Obama refuse même d’aborder les responsabilités des anciens chefs de Gates, tout comme le président Clinton avait caché sous le tapis les scandales dans lesquels avaient trempé Gates et les administrations Reagan-H. W. Bush.
Gates personnifie l’angélisme permanent régnant dans le microcosme de Washington, du moins vis-à-vis de lui-même, au point que les médias affichent avec un certain naturel leur manque d’intérêt pour faire la lumière sur les méfaits passés ou présents du personnage. Gates était l’une des coqueluches du tout-Washington du temps de Reagan-Bush, et il le reste.
Lorsque Gates fut désigné secrétaire à la Défense par George W. Bush (fils) en novembre 2006, les médias se trompèrent du tout au tout sur le sens de cette décision. On a cru alors que la désignation de Gates était le signe de l’acceptation par Bush du plan du Groupe d’études sur l’Irak et donc du désamorçage de la guerre. En réalité, Gates était bien plus belliqueux que Donald Rumsfeld.
Mais les journalistes de renom n’ont jamais rectifié le tir : ils ont continué de nous peindre un Gates couleur de rose. L’émission « 60 minutes » de CBS a brossé tout récemment un portrait de Gates dans lequel on évoquait sa « profonde préoccupation personnelle pour les troupes », même si toute sa carrière a fait le lit des guerres déclenchées par George W. Bush, fils, (essentiellement par la voie de la corruption des services analytiques de la CIA), et que son soutien aveugle à l’escalade Irakienne a envoyé à la mort plus de mille soldats états-uniens supplémentaires.
Les éléments d’information critiques sur Gates continuent de nous parvenir, essentiellement en provenance de fonctionnaires de la CIA ayant travaillé avec lui par le passé et voyant en lui un ambitieux consommé. Par exemple, l’ex-analyste de la CIA Melvin A. Goodman consacre une part importante de son livre Failure of Intelligence : The Decline and Fall of the CIA au rôle de Gates dans le crépuscule de la tradition « sérieuse » de la CIA, qui cessa de rechercher du renseignement fiable pour fournir celui qui répondait aux désirs des responsables politiques des États-Unis. Cette tradition disparut dans les années 80, lorsque Gates dirigea les services analytiques et où le renseignement fut « poli » dans le style requis par les idéologues de l’ère Reagan.
Mise à jour de Andrew Hughes (de Global Research)
Depuis la publication de l’article, en février 2009, les médias n’ont pas écrit une seule ligne au sujet de ce gigantesque hold-up de deniers publics. En fait, celui-ci a été éclipsé par une autre escroquerie non moins grave, dissimulée sous l’atour dénommé « résoudre la crise du crédit ». Les montants de cette dernière affaire représentent presque cinq fois les 3400 milliards subtilisés par le département de la Défense.
Le 7 mai 2009, William Lynn et Robert Hale rendaient public le budget de la Défense proposé pour 2010, accroissant les dépenses d’environ 4 % pour atteindre 663,8 milliards. Ceci dans une période où la population s’appauvrit sous l’effet du chômage croissant, où les programmes sociaux fédéraux et ceux des 50 Etats sont en repli, et où la richesse passe des foyers étasuniens au cartel financier et bancaire de Wall Street.
Ce qu’il faut retenir de l’article original est moins la disparition des 3400 milliards de dollars du département de la Défense que le fait que ces malversations étaient monnaie courante dans une administration hors de contrôle. Et même si l’occupant de la Maison Blanche a changé, ces vols de fonds publics par le gouvernement se poursuivent.
Lorsque nous écoutions les discours de campagne d’Obama en 2008, et qu’il mettait l’accent sur l’importance de l’Afghanistan en tant que nouveau front de la « guerre contre la terreur », une guerre floue, interminable et surtout impossible à gagner, il était évident que ces discours, portés aux nues par les grands médias, étaient inspirés par le programme de Zbigniew Brzezinski et le Projet pour un nouveau siècle américain (la plate-forme idéologique de George W. Bush). Le paquet n’avait fait que changer d’emballage, avec un nouveau personnage et son slogan : « Des changements crédibles »
Depuis la publication de mon article, les événements ont montré qu’aucun engagement n’a été pris pour s’assurer de la fiabilité de la comptabilité des caisses publiques. Aucune enquête n’a été diligentée sur les milliards évaporés, aucune question n’a été posée sur ce méfait commis sous l’égide de Donald Rumsfeld, de William Lynn et de Robert Hale. Le département de la Défense a augmenté ses dépenses. La guerre s’est intensifiée en Afghanistan, et les puissances intermédiaires des États-Unis dans la région ont déstabilisé le Pakistan. Obama est responsable de l’assassinat de centaines de civils pakistanais par les drones Predator pilotés à distance par des agents de la CIA. Les promesses de mettre un terme à la guerre d’Irak ont été cyniquement ignorées, ou plutôt recyclées dans le double discours politique.
Tout ces discours tendent à prouver que le gouvernement et l’industrie militaire agissent en symbiose pour défendre leurs propres intérêts : un appât du gain et une soif de pouvoir portés à un niveau jamais vu dans l’histoire de l’humanité. Nul ne peut écarter d’un revers de main la corruption dénoncée dans l’article, qui révèle avec le recul sa véritable nature et la manière dont se tisse la toile qui unit le système.
Ce système s’est considérablement renforcé au fil des décennies et il s’est protégé contre toute enquête sérieuse ou toute retombée inquiétante : le département de la Défense a fait en sorte de coopter les sociétés en charge de l’information, via les acquisitions de ces médias par les grands groupes d’armement, et en y plaçant des employés du Pentagone et de la CIA.
Le système a donné des preuves éclatantes de sa solidité lorsque Donald Rumsfeld s’offrit le luxe de déclarer, le 10 septembre 2001, en conférence de presse publique, sans avoir à craindre de réaction, que des 2300 milliards de dollars s’étaient évaporés, qu’il n’y aurait pas d’enquête et que les responsables ne seraient pas jugés. On a pu constater la même arrogance à propos de scandale de la torture, du scandale de l’aide d’urgence offerte aux banquiers, du scandale de la guerre d’Irak et de l’avancée de la vague policière constituée par le département de la Sécurité de la patrie pour ranger sous l’étiquette de « terroriste » toute personne en désaccord avec la politique du gouvernement ou attachée à la Constitution des États-Unis.
Il est essentiel et urgent d’engager une enquête sur les milliards ayant disparu du département de la Défense, prélude à d’autres enquêtes ultérieures sur la corruption manifeste du gouvernement des États-Unis. C’est le seul moyen de regarder la réalité en face, de réfuter les mensonges des grands médias et de comprendre que la corruption menace de détruire ce qu’il reste de la Constitution, de la confiance publique et de la liberté réelle.
Robert Parry
Journaliste à l’Associated Press et Newsweek, Robert Parry a été un des principaux enquêteurs sur l’affaire dite de l’Irangate sous la présidence Reagan. Déçu par la futilité et l’incurie des journalistes de la presse anglo-saxonne, il a fondé en 1995, avec Robert Solomon, le magazine d’investigation Consortium News et réalisé des documentaires sur les tractations secrètes autour de la libération des otages en Iran (October Surprise), les narcotrafiquants politiques soutenus par l’administration US (Contra-Coca), l’influence grandissante de la secte Moon à Washington ainsi que l’ascension de la famille Bush et les manipulations électorales lors de l’élection 2000. Il est notamment l’auteur de Secrecy & Privilege : Rise of the Bush Dynasty from Watergate to Iraq et de Lost History : Contras, Cocaine, the Press & ’Project Truth’. » http://www.voltairenet.org
Article très intéressant, et dire que la France est alliée avec ces mafio-fascistes.
Donc, vous avez bien compris, des gens ont volé 3400 milliards de dollars, on ne rève pas, c’est bien cela. Et ces mêmes gens ont bombardé les bureaux des comptables, c’est très cohérent en même temps…
Bizarrement, l’article ne fait pas mention du rabbin Dov Zakheim, qui lui aussi est pleinement impliqué dans le pillage de l’économie US mais aussi dans le 11/09
lisez http://forum.reopen911.info/p237308-dov-zakheim.html http://www.voltairenet.org/article14781.html
Toutes les écoles de la localité brésilienne de Porto Alegro vont devoir enseigner des programmes sur la Shoah, en réaction à plusieurs agressions de néo-nazis et de skinheads contre des juifs dans la ville. Le projet de loi relatif à l’instauration de ces nouveaux programmes scolaires a également découlé de la polémique qui a éclaté après une déclaration de l’archevêque de Porto Alegro. Ce dernier a soutenu que davantage de chrétiens que de juifs avaient péri dans l’Holocauste mais que ces données ne sont pas publiées »car les juifs contrôlent les médias ». Il s’était par la suite excusé. guysen
Après la Chine et la Russie, voila que le Brésil tombe dans le piège de la religion shohaesque, c’est fou et ça m’énerve.
Il est probable que dans le NWO, la shoah sera enseignée de partout sur terre, une sorte de prison mentale pour la terre entiere.
Crois en la shoah ou va en prison sera la devise.
L’English Defence League (EDL), une organisation britannique d’extrême droite opposée à « l’islamisation » de l’Angleterre et qui est en contact avec l’organisation Tea Party aux Etats Unis, a invité à Londres ce mois-ci le rabbin Nachum Shifren, un activiste du Tea Party, pour parler du code de la sharia, a rapporté le Guardian de dimanche.
Shifren, qui est candidat aux prochaines élections sénatoriales de mi-mandat aux Etats Unis, affirme que la communauté juive britannique devrait soutenir l’EDL.
« La communauté juive est paralysée par la crainte, exactement ce que veut la majorité des agitateurs musulmans extrémistes. Les Anglais sont en pointe dans cette guerre – et c’est une guerre. Un des objectifs de cette visite est de mettre fin à l’idée dans la communauté juive selon laquelle on ne peut pas coopérer avec l’EDL, ce qui est inepte, » a-t-il dit. http://www.jpost.com/ http://mounadil.wordpress.com/
PS : c’est marrant, il y a la traduction de l’article précédent sur ce blog, blog qui est très bien d’ailleurs.
Une preuve de plus que ce n’est pas juste une alliance de circonstance, ce sont les juifs extrémistes qui poussent à la guerre civile en europe. Ces sionistes sont dans tous les coups tordus, c’est dingue.
Ne soyons pas islamophobes, cela profite aux juifs extrémistes et nous poussent à la guerre civile.
Je me demande bien quand est ce que les gens vont comprendre la malsainité et le coté diabolique de cette secte destructrice.
En tout cas, quand cela arriverra, ils risquent de ramasser comme jamais ils ont ramassé…
Le ministre britannique des Finances, George Osborne a défendu ce mercredi 20 octobre son plan d’austérité devant les députés de la Chambre des communes. Des mesures choc pour redresser une économie chancelante.
Sur le banc des conservateurs, encadré par son Premier ministre David Cameron et son vice-Premier ministre le libéral démocrate Nick Clegg , le jeune ministre des Finances britanniques George Osborne s’est longuement expliqué à la Chambre des communes répondant aux questions des députés dans une ambiance souvent houleuse. Il a d’abord rappelé le contexte dans lequel ce plan d’austérité est mis en œuvre par le gouvernement de coalition : « Le précédent gouvernement avait hérité d’une situation en or et nous héritons de la pire situation économique qu’un gouvernement ait jamais connu et malheureusement nous devons faire avec. Nous travaillons, nos deux partis ensemble, pour sortir de ce marasme créé par d’autres et notre objectif, notre but ultime est une économie prospère et durable et des finances publiques assainies pour les Britanniques ».
Le déficit de la Grande-Bretagne représente -11% du Produit intérieur brut (PIB), le plus élevé des pays du G7, et il continue à s’aggraver. Cela justifie ce plan d’austérité sans précédent pour le Premier ministre David Cameron qui affirme ne pas avoir d’autre choix pour sauver son pays de la faillite.
Des arbitrages difficiles
Le plan d’austérité était connu dans ces grandes lignes mais avant d’être présenté ce mercredi 20 octobre 2010 dans son intégralité il a fait l’objet d’âpres discussions. Chaque ministère tentant de sauver ses meubles. Il n’y aura plus de bonus pour les membres des cabinets ministériels, plus de limousine et de chauffeurs, des effectifs à la baisse et les budgets pour les campagnes publicitaires ou les services de communication sont tout simplement supprimés. Les musées, les bibliothèques les centres artistiques et même la BBC passent au régime sec. Le secteur de l’éducation n’est pas épargné, les écoles devraient s’en sortir mais pas les universités et toutes les activités parascolaires. Une compensation : à l’initiative des libéraux-démocrates 7 milliards sont investis sur quatre ans pour aider les élèves les plus pauvres du primaire à l’université.
George Osborne reconnait que certaines décisions ont été très difficiles. Et tout d’abord la suppression de 490 000 emplois dans le secteur public en quatre ans. Cela représente 8% des effectifs. Les conservateurs espèrent que 2% d’emploi en plus dans le privé compenseront ces pertes mais plusieurs économistes estiment que ces départs entraineront des licenciements presque aussi nombreux dans le secteur privé. Le relèvement de l’âge légal du départ à la retraite de 65 à 66 ans d’ici dix ans pour les hommes comme pour les femmes alors que les femmes peuvent actuellement s’arrêter de travailler à 60 ans est également un durcissement de la politique lancée par le précédent gouvernement travailliste.
Autre sacrifice le budget de la protection sociale
Les coupes budgétaires les plus contestées sont celles qui concernent les dépenses sociales : aides au logement, allocations aux handicapés ou allocations vieillesse, seul le service de santé publique est épargné.
Le choc risque d’être brutal pour l’économie britannique. Trop brutal pour l’opposition qui dénonce un pari dangereux car ce sacrifice ne suffira pas à venir à bout du déficit. Le ministre des Finances George Osborne espère que ces économies, combinées à des hausses d’impôts, qui devraient rapporter 35 milliards d’euros parviendront à faire tomber rapidement le déficit public sous la barre des 10% rfi
Une fois de plus on nage en plein délire, prés de 10% de tous les foctionnaires vont disparaitre, déja que le service pubic n’était pas leur fort…
En plus ça ne servira à rien, la situation économique en occident est ingérable, les fondamentaux sont absent pour une réelle reprise et la compétition mondiale bien trop exacerbée pour que nous puissont nous imposer.
The sole purpose of non-Jews is to serve Jews, according to Rabbi Ovadia Yosef, the head of Shas’s Council of Torah Sages and a senior Sephardi adjudicator.
“Goyim were born only to serve us. Without that, they have no place in the world – only to serve the People of Israel,” he said in his weekly Saturday night sermon on the laws regarding the actions non-Jews are permitted to perform on Shabbat.
According to Yosef, the lives of non-Jews in Israel are safeguarded by divinity, to prevent losses to Jews.
“In Israel, death has no dominion over them… With gentiles, it will be like any person – they need to die, but [God] will give them longevity. Why? Imagine that one’s donkey would die, they’d lose their money.
This is his servant… That’s why he gets a long life, to work well for this Jew,” Yosef said
“Why are gentiles needed? They will work, they will plow, they will reap. We will sit like an effendi and eat.
That is why gentiles were created,” he added.
Yosef’s Saturday night sermons have seen many controversial statements from the 90-year-old rabbi. In August, Yosef caused a diplomatic uproar when he wished a plague upon the Palestinian people and their leaders, a curse he retracted a few weeks later, when he blessed them along with all of Israel’s other peace-seeking neighbors. http://www.jpost.com/JewishWorld
Bibi aime Rabbi Ovadia Yosef….
C’est bon de lire ça, c’est bon de voir un rabbin nous rappeler l’essence même du judaisme, ce prisme si particulier, cette distinction infinie, cette psychopatholgie de la différence.
Il y a surement parmis vous des gens qui vont dire » oui mais c’est un rabbin extrémiste « , hey bien non, c’est un rabbin qui fait preuve de franchise, il nous dit ce que les autres rabbins n’osent dire, de peur de reprendre des coups, re parcequ’il n’y a que depuis 60 ans qu’ils n’en prennent plus.
Comment voulez vous discuter avec des gens qui , non pas vous disent qu’ils croient en Dieu, mais que Dieu croit en eux. Ces pauvres gens pensent réellement qu’ils nous sont superieurs, c’est vraiment quelque chose qui me dépasse, ils vivent dans le mythe le plus absolu, celui qui se veut conquérant.
Le seul extrémisme de ce rabbin est sa franchise, ne confondez pas tout, ne croyez pas les menteurs qui vous diront qu’il ne représente pas le judaisme.
Il est tellement imprégné des livres sacrés juifs qu’il nous en résume l’essence.
Ne confondez pas également la violence conjoncturelle de Coran et du Nouveau Testament avec cette violence structurelle propre au judaisme et ses livres.
N’oubliez pas l’histoire de la torah du roi, c’est important pour comprendre la situation aujourd’hui.
israel est une théocratie, comprenez le, les juifs qui y vivent pensent que Dieu l’a donné à Moise, c’est stupéfiant quand on y pense.
Itshak Tonik, officier responsable de la radio de l’armée israélienne, Galei Tsahal (« les ondes de Tsahal »), a tenu a se distancer des propos prononcés sur ses ondes par la journaliste de radiotélévision Merav Mikhaeli, dans le cadre du 60e anniversaire de la station.Elle avait dit « que les femmes israéliennes devaient cesser d’envoyer leurs fils à l’armée, alors que Tsahal occupe des terres palestiniennes depuis 40 ans ». Tonik a dû affirmer « que les propos de Mikhaeli ne sont pas acceptables et n’auraient pas dû être prononcés, à fortiori sur la station de Tsahal, qui encourage le service militaire ». Il a précisé également « que Merav Mikhaeli n’était plus employée de Galei Tsahal depuis des années et ne représentait en aucune manière la station, » après que son intervention ait fait exploser les standards téléphoniques de la station. Merav Michaeli avait pris part à un vol de reconnaissance organisé par le mouvement israélien « Shalom Ahshav », au dessus de la Judée-Samarie avec d’autres personnalités. http://www.guysen.com/
Enfin quelqu’un de censé dans ce pays, rien d’étonnant que cela fasse un scandale dans le super ghetto, dire la vérité, ça fait toujours mal.
Selon le journal saoudien Al-Medina, le Premier ministre israélien Binyamin Netanyahou aurait accepté d’élargir Marwan Barghouti, le chef des Tanzim emprisonné à vie en Israël pour le meurtre de plusieurs Israéliens dans des attentats, en échange de la libération de Guilad Shalit. Le médiateur allemand Gerhard Konrad aurait ainsi informé le Hamas qu’Israël est prêt à inclure Barghouti dans la transaction mais se refuse à relaxer d’autres détenus apparaissant sur la liste présentée par l’organisation terroriste http://www.guysen.com
Espérons que ce soit vrai, Barghouti sera essentiel pour la réconciliation nationale.
Ce traitre de Abbas va peut être se suicider, par honneur, LOL, j’avais oublié que cet homme n’a aucun honneur, avec sa tete de merlan frit ou de chien battu.
Je suis quand même assez septique sur la volonté de bibi à faire en sorte que les palestiniens se réconcilient, ce n’est pas dans son intérêt.
« L’établissement, entre les deux guerres mondiales, car il faut remonter jusque là, l’établissement d’un foyer sioniste en Palestine et puis, après la deuxième guerre mondiale, l’établissement d’un Etat d’Israël, soulevaient, à l’époque, un certain nombre d’appréhensions. On pouvait se demander, en effet, et on se demandait même chez beaucoup de juifs, si l’implantation de cette communauté sur des terres qui avaient été acquises dans des conditions plus ou moins justifiables et au milieu des peuples arabes qui lui étaient foncièrement hostiles, n’allait pas entraîner d’incessants, d’interminables frictions et conflits. Certains même redoutaient que les juifs, jusqu’alors dispersés, qui étaient restés ce qu’il avaient été de tout temps, un peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur, n’en viennent, une fois qu’ils seraient rassemblés dans le site de leur ancienne grandeur, à changer en ambition ardente et conquérante les souhaits très émouvants qu’ils formaient depuis dix-neuf siècles : l’an prochain à Jérusalem.
Cependant, en dépit du flot tantôt montant tantôt descendant des malveillances qu’ils provoquaient, qu’ils suscitaient plus exactement, dans certains pays et à certaines époques, un capital considérable d’intérêt et même de sympathie s’était accumulé en leur faveur, surtout, il faut bien le dire, dans la chrétienté ; un capital qui était issu de l’immense souvenir du Testament, nourri par toutes les source d’une magnifique liturgie, entretenu par la commisération qu’inspirait leur antique malheur et que poétisait chez nous la légende du Juif errant, accru par les abominables persécutions qu’ils avaient subies pendant la deuxième guerre mondiale, et grossi depuis qu’ils avaient retrouvé une patrie, par leurs travaux constructifs et le courage de leurs soldats. C’est pourquoi, indépendamment des vastes concours en argent, en influence, en propagande, que les Israéliens recevaient des milieux juifs d’Amérique et d’Europe, beaucoup de pays, dont la France, voyaient avec satisfaction l’établissement de leur Etat sur le territoire que leur avaient reconnu les Puissances, tout en désirant qu’ils parviennent, en usant d’un peu de modestie, à trouver avec leurs voisins un modus vivendi pacifique.
Il faut dire que ces données psychologiques avaient quelque peu changé depuis 1956, à la faveur de l’expédition franco-britannique de Suez on avait vu apparaître en effet, un Etat d’Israël guerrier et résolu à s’agrandir. Ensuite, l’action qu’il menait pour doubler sa population par l’immigration de nouveaux éléments, donnait à penser que le territoire qu’il avait acquis ne lui suffirait pas longtemps et qu’il serait porté, pour l’agrandir, à saisir toute occasion qui se présenterait. C’est pourquoi, d’ailleurs, la Vème République s’était dégagée vis-à-vis d’Israël des liens spéciaux et très étroits que le régime précédent avait noués avec cet Etat, et s’était appliquée au contraire à favoriser la détente dans le Moyen-Orient. Bien sûr, nous conservions avec le gouvernement israélien des rapports cordiaux et, même, nous lui fournissions pour sa défense éventuelle, les armements qu’il demandait d’acheter. Mais, en même temps, nous lui prodiguions des avis de modération, notamment à propos des litiges qui concernaient les eaux du Jourdain ou bien des escarmouches qui opposaient périodiquement les forces des deux camps. Enfin, nous nous refusions à donner officiellement notre aval à son installation dans un quartier de Jérusalem dont il s’était emparé et nous maintenions notre ambassade à Tel-Aviv.
Une fois mis un terme à l’affaire algérienne, nous avions repris avec les peuples arabes d’Orient la même politique d’amitié, de coopération qui avaient été pendant des siècles celle de la France dans cette partie du monde et dont la raison et le sentiment font qu’elle doit être aujourd’hui une des bases fondamentales de notre politique extérieure. Bien entendu, nous ne laissions pas ignorer aux Arabes que, pour nous, l’Etat d’Israël était un fait accompli et que nous n’admettrions pas qu’il fût détruit. De sorte qu’on pouvait imaginer qu’un jour viendrait où notre pays pourrait aider directement à ce qu’une paix fût conclue et garantie en Orient, pourvu qu’aucun drame nouveau ne vînt la déchirer.
Hélas ! Le drame est venu. Il avait été préparé par une tension très grande et constante qui résultait du sort scandaleux des réfugiés en Jordanie, et aussi d’une menace de destruction prodiguée contre Israël. Le 22 mai, l’affaire d’Aqaba, fâcheusement créée par l’Egypte, allait offrir un prétexte à ceux qui rêvaient d’en découdre. Pour éviter les hostilités, la France avait, dès le 24 mai, proposé aux trois autres grandes puissances d’interdire, conjointement avec elle, à chacune des deux parties d’entamer le combat. Le 2 juin, le gouvernement français avait officiellement déclaré, qu’éventuellement, il donnerait tort à quiconque entamerait le premier l’action des armes, et c’est ce que j’avais moi-même, le 24 mai dernier, déclaré à Monsieur Eban, ministre des Affaires étrangères d’Israël, que je voyais à Paris. “Si Israël est attaqué”, lui dis-je alors en substance, “nous ne le laisserons pas détruire, mais si vous attaquez, nous condamnerons votre initiative. Certes, malgré l’infériorité numérique de votre population, étant donné que vous êtes beaucoup mieux organisés, beaucoup plus rassemblés, beaucoup mieux armés que les Arabes, je ne doute pas que le cas échéant, vous remporteriez des succès militaires, mais ensuite, vous vous trouveriez engagés sur le terrain et au point de vue international, dans des difficultés grandissantes, d’autant plus que la guerre en Orient ne peut pas manquer d’augmenter dans le monde une tension déplorable et d’avoir des conséquences très malencontreuses pour beaucoup de pays, si bien que ce serait à vous, devenus des conquérants, qu’on en imputerait peu à peu les inconvénients.”
On sait que la voix de la France n’a pas été entendue. Israël, ayant attaqué, s’est emparé, en six jours de combat, des objectifs qu’il voulait atteindre. Maintenant, il organise sur les territoires qu’il a pris l’occupation qui ne peut aller sans oppression, répression, expulsions, et il s’y manifeste contre lui une résistance, qu’à son tour il qualifie de terrorisme. Il est vrai que les deux belligérants observent, pour le moment, d’une manière plus ou moins précaire et irrégulière, le cessez-le-feu prescrit par les Nations unies, mais il est bien évident que le conflit n’est que suspendu et qu’il ne peut y avoir de solution sauf par la voie internationale.
Un règlement dans cette voie, à moins que les Nations unies ne déchirent elles-mêmes leur propre charte, doit avoir pour base l’évacuation des territoires qui ont été pris par la force, la fin de toute belligérance et la reconnaissance réciproque de chacun des Etats en cause par tous les autres. Après quoi, par des décisions des Nations unies, en présence et sous la garantie de leurs forces, il serait probablement possible d’arrêter le tracé précis des frontières, les conditions de la vie et de la sécurité des deux côtés, le sort des réfugiés et des minorités et les modalités de la libre navigation pour tous, notamment dans le golfe d’Aqaba et dans le canal de Suez. Suivant la France, dans cette hypothèse, Jérusalem devrait recevoir un statut international. Pour qu’un tel règlement puisse être mis en oeuvre, il faudrait qu’il y eût l’accord des grandes puissances (qui entraînerait ipso facto celui des Nations unies) et, si un tel accord voyait le jour, la France est d’avance disposée à prêter sur place son concours politique, économique et militaire, pour que cet accord soit effectivement appliqué. Mais on ne voit pas comment un accord quelconque pourrait naître non point fictivement sur quelque formule creuse, mais effectivement pour une action commune, tant que l’une des plus grandes des quatre ne se sera pas dégagée de la guerre odieuse qu’elle mène ailleurs. Car tout se tient dans le monde d’aujourd’hui. Sans le drame du Vietnam, le conflit entre Israël et les Arabes ne serait pas devenu ce qu’il est et si, demain, l’Asie du Sud-Est voyait renaître la paix, le Moyen-Orient l’aurait bientôt recouvrée à la faveur de la détente générale qui suivrait un pareil
événement. » http://www.france-palestine.org
Un grand homme, mesuré et travaillant pour la France.
jeudi 14 octobre 2010 à 0H01
En plein dans les gencives!
par Gérald Larose
Après avoir renié ses engagements, après avoir abandonné son rôle traditionnel de médiateur et après s’être littéralement moqué de l’institution, il avait eu le front de poser sa candidatue au Conseil de sécurité de l’ONU. Devant autant d’arrogance les 193 pays auraient pu se contenter de lui faire un doigt d’honneur. Mais non! Ils l’ont rossé totalement. En plein dans les gencives!
Le Canada a déchiré sa signature sur le protocole de Kyoto; les pays un peu soucieux de l’environnemnt ne l’ont pas trouvé drôle.
Le Canada s’est enchainé corps et âme à Israël; les pays désireux de voir une paix durable émerger du conflit le plus grave de la planète l’ont définitivement écarté comme contributeur à la solution.
Seul pays occidental à ne pas avoir rapatrié son ressortissant de Guantanamo, un enfant soldat de surcroît, le Canada n’hésite plus à abandonner à leur sort ses citoyens issus de l’immigration aux prises à l’étranger avec des procédures judiciaires; les pays qui le croyaient champion de la défense de droits de l’homme ont déchanté.
Devenu pays belligérant, ayant diverti une partie de son aide étrangère vers des activités offensives, le Canada, aux yeux de plusieurs pays pacifistes, s’est disqualifié comme force de paix et acteur de la solidarité internationale.
Ayant réduit sensiblement le nombre de pays à aider, prévilégiant des zones plus rentables économiquement comme celle de l’Amérique latine au détriment de l’Afrique, les pays les plus pauvres se sont sentis abandonnés et trahis par le Canada.
Etc. Etc.
Au niveau international le Canada fut!
En environnement, en droits humains, en solidarité internationale et en option têtue pour la paix, le Canada n’est plus le Canada. Il n’est surtout plus le Québec. Il est devenu un pays voyou. Les Canadiens ne le savaient peut-être pas. La communauté internationale s’est chargée de le leur faire savoir magistralement. En lui préférant un pays à peine plus populeux que le Québec mais beaucoup moins grand, moins riche, moins outillé et géo-politiquement moins bien placé que lui.
Il tombe sous le sens qu’indépendant, comme pays d’Amérique du Nord, mis en compétition avec le Canada, dans les mêmes circonstances, le Québec l’aurait facilement emporté. À défaut, il se fait beurrer.
—
La perte du vote du Canada à l’ONU: recul de sa renommée internationale
par CJPMO
Mondialisation.ca, Le 13 octobre 2010
Canadiens pour la justice et paix au Moyen-Orient
La piètre performance internationale du Canada sur la question des changements climatiques, la réduction de l’aide versée à certains États africains et son soutien aveugle envers Israël ont été cités comme des facteurs ayant nui à sa candidature pour un siège au Conseil de sécurité de l’ONU.
Le 12 octobre 2010, le Canada a échoué à obtenir un siège au Conseil de sécurité de l’ONU. Après être arrivé en dernière place lors des deux premiers tours de scrutin, le Canada a retiré sa candidature, laissant le Portugal être nommé au cinquième et dernier siège disponible. C’est la première fois dans l’histoire de l’ONU que le Canada ne réussit pas à remporter un siège au Conseil de sécurité alors qu’il prend part à la course. Beaucoup pensent que cette défaite est le reflet d’une renommée internationale ternie suite à la politique étrangère du gouvernement actuel.
Le Canada avait mis de l’avant sa candidature pour l’un des deux sièges attribués à la zone « Europe occidentale et autres pays », mais il a perdu face à l’Allemagne et le Portugal. En fait, le Canada a préféré se retirer de la course après les deux premiers tours de scrutin, au moment embarrassant où il est devenu clair qu’il ne réussirait pas à obtenir un siège. Le Canada a pourtant exercé de fortes pressions pour une place au Conseil de sécurité ces derniers mois: Harper a récemment prononcé deux discours à l’ONU et beaucoup espéraient que cela constituait une garantie virtuelle que le Canada obtiendrait un siège. Mais d’autres ont affirmé que sous les conservateurs de Harper, la politique étrangère du Canada a endommagé sa réputation et sa renommée à travers le monde. La piètre performance internationale du Canada sur la question des changements climatiques, la réduction de l’aide versée à certains États africains et son soutien aveugle envers Israël ont été cités comme des facteurs ayant nui à sa candidature.
Canadiens pour la justice et la paix au Moyen-Orient (CJPMO) estime que la politique étrangère du Canada vis-à-vis la Palestine et Israël est clairement un facteur déterminant ayant conduit à sa défaite à l’ONU. Alors que le Canada était traditionnellement considéré comme une puissance moyenne constructive, capable de négocier de bonne foi entre les parties, le gouvernement Harper est devenu inconditionnellement favorable à Israël. « Le monde a confirmé ce que nous craignions depuis un certain temps – que le Canada ne se fait plus l’étendard des droits universels de l’homme », a déclaré Thomas Woodley, le président de CJPMO. « Lorsque le Canada suggère que la destruction du Liban par Israël en 2006 est une réponse mesurée, lorsque le Canada rejette les conclusions alarmantes des organisations des droits de l’homme concernant Israël, il n’est pas surprenant que les membres de l’ONU votent de la façon qu’ils l’ont fait », continue Woodley.
Des spécialistes de l’ONU ont rejeté l’affirmation du gouvernement selon laquelle les commentaires récents de l’opposition libérale, Michael Ignatieff, aurait fait dérailler la candidature du Canada à l’ONU. CJPMO et d’autres ont suivi le recul du Canada sur la scène internationale ces dernières années, un recul en partie causé par sa prise de position partiale sur les questions du Moyen-Orient. Le Canada devra maintenant attendre encore 10 ans avant de pouvoir demander une place au sein du corps le plus prestigieux de l’ONU.
#####
Pour plus d’informations, veuillez communiquer avec:
Patricia Jean
Canadiens pour la justice et paix au Moyen-Orient
Téléphone: 450-812-7781 begin_of_the_skype_highlighting 450-812-7781 end_of_the_skype_highlighting ou 438-380-5410 begin_of_the_skype_highlighting 438-380-5410 end_of_the_skype_highlighting
Courriel CJPMO – Site Web CJPMO
CJPMO est un collaborateur régulier de Mondialisation.ca. Articles de CJPMO publiés par Mondialisation.ca
—
vigile.net:
La claque de face qui fait mal
Le Canada derrière les portes fermées du conseil de sécurité
Sauver la face ou sauver le pays ?
François Munyabagisha
Tribune libre de Vigile
mercredi 13 octobre 2010
Se sauver, pour « sauver la face » ! Voilà comment peindre l’ancien champion onusien du maintien de la paix dans le monde. A s’y méprendre, Harpeur et les conservateurs précipitent le pays dans la délinquance humanitaire extrême, voire dans la déliquescence brutale. Son discours farcis d’angélisme nous endort, et nous fait avaler à petites gorgées la potion recroquevillante. Avec Harper.
La claque était prévisible.
Le gouvernement Harper nous l’a cyniquement commandée. Il a cru que le monde se serait aligné à la résurgence de la barbarie militariste à peine voilée, telle que pratiquée par l’empire anglo-américain, hélas le monde n’est pas dupe. Ce gouvernement est tombé des nuages. De Stephen Saint-Laurent à P. Eliot Trudeau en passant par Lester B. Pearson, le Canada s’est mérité une place au podium des grandes nations. Sous Chréstien et Martin, je ne sais pas dire si le Canada s’est maintenu sur son orbite ou s’il s’en est légèrement écarté. Le fait est que sous Trudeau, le Canada était distinct des USA, et sous Harper c’est le Québec qui se voudrait distinct du Canada.
Un feu qui couve depuis longtemps.
Sous Harper, le Canada n’est plus le Canada. Si Harper ou sa vision reste, il faudra renommer ce pays. Harper, ce n’est pas que du conservatisme extrême. Je saurais m’accommoder des conservateurs moralisateurs, après tout ce qui compte c’est l’harmonie de vie. Hélas, harper est le fossoyeur de concitoyens canadiens comme l’Albertain Ronald Allen Smith dans le couloir de la mort aux Usa, ou Omar Khadr dans celui de la dégradation humaine à Gauantanamo. Et bien d’autres cas tenus à l’ombre des projecteurs médias.
La dignité humaine et le respect des droits humains sont cyniquement bafoués par Harper et ses ministres, à tel point que le Canada a rejoint les rangs de pays délinquants. Rien qu’à se remémorer le drame de Droits et Démocratie au milieu duquel son président Rémy Beauregard a perdu la vie. C’était en 2008. Manifestement, Droits et Démocratie, un organisme public non partisan de veille sur l’état des droits humains, devait déranger les conservateurs s’il n’était aligné à leur vision. Bien d’organismes humanitaires, non partisans, se sont du jour au lendemain vus couper les vivres par le gouvernement Harper, parce qu’ils venaient en aide aux victimes des guerres de colonies au moyen orient. De mémoire, rappelons le cas de KAIROS qui aide les Palestiniens à survivre du joug leur imposé par Israël. La coupe à blanc n’a pas été dirigée uniquement vers l’action humanitaire. La culture, l’environnement et l’information peignent un tableau noir sur le drapeau du Canada. Comme si cela seul ne devait suffire, Harper n’a nommé à la diplomatie que des ministres doués pour faire rire de nous. « C’est la faute à l’opposition ! », a lâché l’honorable Lawrence Cannon tentant d’expier son échec. Souvenons-nous du passage de Peter Mackey au sommet de Naïrobi sur le réchauffement climatique en 2006, et de la déclaration de Harper faite à Kampala la veille du sommet de Bali (Kyoto II) en 2007, qualifiant d’erreur le protocole de Kyoto. Etcetera.
En 2006, je criais et écrivais que Boisclair était moins séparatiste que Harper http://www.pressegauche.org/spip.ph… « Au Canada, alors que les souverainistes québécois peinent à rallier des concitoyens à une cause séparatiste, un homme et son gouvernement, démocratiquement portés au gouvernail fédéral, réussissent avec brio à clarifier et tonifier la perception québécoise de « société distincte » et le désir de souveraineté. Ces jokers du séparatisme ne sont pas ceux que d’aucuns s’imagineraient. Ce n’est ni Boisclair, ni Duceppe, ni Parizeau ni Luc Merville. Prônant le militarisme à l’américaine et la franchisation (franchising) d’Ottawa sous influences de Washington, Harper engage une partie de la nation dans la désillusion et la négation des valeurs canadiennes et québécoises, au point de placer le pays à la croisée des chemins. Je ne ferais pas allusion à la guerre des « faucons » Américains en Afganistan ou en Irak, ni à celle de leurs cousins israéliens au Liban, tellement ces barbaries nous sont lointaines et inexplicables comme le rejet par le seul Canada de Harper, de la motion du Conseil de Sécurité condamnant l’extension des colonies juives en territoires occupés. Une voix contre sur 47, la voix du Canada ! Ça n’a rien de canadien, ça sens plutôt l’américain. Pendant que les Québécois et une large majorité de Canadiens des autres provinces réclament sans espoir le règlement du déséquilibre fiscal, pendant que partout au Canada la pauvreté gagne inexorablement du terrain et met en périr l’espoir des jeunes et des retraités, Harper vide généreusement les coffres fédéraux dans les gouffres du militarisme ».
Entre le vrai et l’ivraie.
La politique étrangère du Canada est peut être plus vraie que diplomatique sous l’actuel régime, mais elle met le pays à poils, et ca ne peut être que très dommageable. L’espoir des peuples n’a pas de prix. Et c’est payant de semer l’espoir. Le Canada n’a sûrement jamais été strictement pacifiste, mais il aura été cette voix de l’humanité lointaine que tout le monde entendait et appréciait. Le Canada qui détenait les technologies du nucléaire, s’abstenait de toute course aux armes de destruction massive. En échange, le monde nous ouvrait les bras, heureux de faire affaires avec le Canada. Et, en plus des excédents commerciaux importants, le Canada est devenu le havre de la paix. Des peuples déchirés par la barbarie y trouvent refuge, dans l’espoir de laisser derrière eux leurs stupides différends. Ainsi, des Hutu et Tutsi, des Serbes et des Croates, etc., à l’instar des Juifs et des Palestiniens, revivent sans heurts dans un même cœur de Canadiens.
Mais, voici que Harper prône le parti pris, et choisit ses camps. En agitant sa casquette pro-israélienne, il aliène au Canada la sympathie des pro-la-paix. Pire, il ouvre la porte aux sentiments d’adversités pour qu’ils nous rattrapent au galop.
La gifle d’aujourd’hui devrait nous ouvrir la conscience de nous-mêmes. Elle n’est nullement adressée aux conservateurs, de toute façon la sécurité pour eux c’est Israël, l’Angleterre et les États-Unis. A se demander d’ailleurs quelle mouche les a piqués pour qu’ils demandent à siéger au Conseil de Sécurité ! Après Trudeau, le cœur du Canada a changé, ou plutôt le Canada a été mal représenté dans le monde. Dans les situations catastrophiques et chaotiques que notre monde ait connues, le Canada n’aura pas été à la hauteur des attentes. L’annonce initiale de 100 mille dollars d’aide aux victimes du tsunami en 2004, en dit long sur notre fonds d’empathie et de solidarité envers autrui. Haïti. L’implication la même année du Canada dans le départ du président Jean-Bertrand Aristide, l’élan suiviste et lymphatique de secours après les tremblements en janvier 2010, se passent de tout commentaire. Peut-on passer sous silence le rôle ou l’apparente absence de rôle du Canada dans les tragédies qui ont détruit le Rwanda, l’Irak, que sais-je encore ? L’on ne peut excuser l’inaction, ou l’erreur de jugement qui mène à prendre parti de celui qui mène le jeu. Dans ces deux pays, le Canada a joué des basses dans la partition des USA. Peut-on savoir pour quels intérêts que le rôle traditionnel n’aurait protégé, et qui en est imputable ? Non, inutile et sans importance ! Car, il y a des secrets d’états que l’état lui-même doit ignorer, notamment ceux des individus corrompus à l’égoïsme. Trente ans plus tard, d’autres après nous sauront comment le blason du Canada a terni. Si hier le Canada pouvait trahir son drapeau blanc hissé au plus haut des mas, qu’en est-il maintenant qu’il est en berne, disons même jeté à la poubelle !?
Pour tout ce qui précède, les citoyens québécois ou canadiens qui avons à cœur l’héritage de Stephen Saint-Laurent et Lester B. Pearson, sommes interpellés. Sont également interpellés tous les élus et toutes les gens d’influences, afin qu’ils recentrent leurs visions sur l’importance pour le Canada, pour le Québec et le monde, de la paix et la solidarité entre les peuples. http://pascasher.blogspot.com Surement un des meileures blog sur la secte.
Bey voila, bien fait pour Harper, peut etre les occidentaux comprendont ils que soutenir les juifs extrémistes ne paye pas.
Les jours du super ghetto (merci george) sont comptés, soyons en sure.
Hahahaha, c’est trop bon, le gars a été vraiment excellent, d’un coup il se lève et lui dit qu’il n’est pas le bienvenue , la première personne a dit quelque chose complètement fou, guilad shalit ne parlerait pas le français, j’en reviens pas.
Quel abruti ce delanoe quand même.
Les putes à sionistes me débecte, mon pays est dans de mauvais drap avec es gens comme ça, mais n’ayons crainte, bientot le retour de baton pour tous ces traitres.
C’est l’Histoire qui veut ça, 3000 ans que ça dure…
Israël se met décidément le monde artistique à dos. Après, les Pixies, les Klaxons et Gorillaz, c’est au tour du metteur en scène britannique Mike Leigh (Naked en 1993, Secrets et mensonges en 1996, Be happy en 2008), d’annuler une visite, prévue fin novembre à l’école de Cinéma et Télévision Sam Spiegel de Jérusalem. Pendant ce séjour, il devait rencontrer des étudiants et des enseignants palestiniens en cinéma. Il a expliqué sa décision dans une lettre adressée à Ronen Schorr, le directeur de l’école.
Choqué
«J’ai toujours éprouvé des réserves concernant ma venue, en particulier après le catastrophique raid (de la marine israélienne) contre la flottille» en partance pour forcer le blocus israélien de Gaza, qui fait neuf morts en mai, neuf Turcs, parmi les passagers d’un ferry, écrit-il. «Depuis lors, les agissements de votre gouvernement vont de mal en pis, et je suis de plus en plus mal à l’aise à propos de ma visite. Si elle devait se confirmer, elle apparaîtrait sans nul doute comme un soutien implicite de ma part à Israël», a-t-il expliqué.
Mike Leigh, 67 ans, qui est juif, se dit notamment choqué par la non reconduction du moratoire de 10 mois sur la colonisation juive en Cisjordanie expiré le 26 septembre. En outre, il fustige un projet de loi contraignant les candidats non juifs à la citoyenneté israélienne de prêter allégeance à «l’Etat juif et démocratique d’Israël». «A présent, ce projet de loi sur le serment d’allégeance est la goutte d’eau qui fait déborder le vase», explique-t-il encore. «Je ne peux pas venir, je ne veux pas venir, je ne viens pas», a-t-il ajouté.
Ce projet d’amendement de la loi sur la citoyenneté, adopté il y a deux semaines par le gouvernement de Benjamin Netanyahou, vise plus particulièrement les Palestiniens qui cherchent à s’installer en Israël par voie de mariage avec des ressortissants arabes israéliens. http://www.20minutes.fr
C’est bien que des artistes se désolidarisent d’israel, peut être que les gens comprendront comme ça !
Le boycotte des artistes est une pièce fondamentale dans la lutte contre israél, les gens étant un peu mongolien, si il voit leur idole dire qu’israél est un pays criminel, ils répèteront…
C’est la première personne politique qui parle publiquement de cette loi inique de 1973 et cela doit être noté.
Il y a quelques jours, elle en avait déja parlé mais elkabbach était rapidement passé à autre chose, tu m’étonnes, il ne veut pas que ces potes de la synagogue arrete de nous plumer….
C’est très con que seul le front national parle de cette méga fraude, avec la pensée unique qui zombifie les cerveaux vous allez voir que les idiots utiles vont dire que cette loi est bonne puisque le front national la
dénonce !!!