La Banque centrale allemande reproche à la Banque centrale européenne, sous influence française, d’avoir racheté un trop grand nombre de dettes grecques.
Les relations entre la France et l’Allemagne n’ont pas fini d’être tendues. Et ce en dépit des déclarations de Nicolas Sarkozy, qui avaient martelé il y a une semaine qu’il n’y avait pas de désaccord avec l’Allemagne sur la réforme de l’euro. Il y a deux semaines, la Banque centrale européenne annonçait le rachat d’obligations souveraines et privées, et notamment des dettes grecques, et ce, pour accompagner le plan d’aide de 750 milliards d’euros, crée par les Etats membres de la zone euro. Une mesure que n’a pas du tout apprécié la Bundesbank, la banque centrale allemande d’émission qui n’hésite pas à parler de «complot français» qui porte atteinte aux intérêts de l’Allemagne.
Les banques françaises les plus exposées à la crise grecque
Le journal allemand Der Spiegel rapporte dans son édition de lundi que la BCE a déjà racheté 40.000 millions d’obligations dont 25.000 millions de dettes grecques, causant «une irritation importante» de la Bundesbank. L’Allemagne, par la voix de sa chancelière Angela Merkel ou du patron de la Deutsche Bank, n’a jamais caché ses doutes quant à la capacité de la Grèce de rembourser ses dettes. En février dernier, plusieurs grandes banques allemandes avaient décidé de ne plus souscrire de nouvelles obligations de l’Etat grec, inquiètes de la situation financière du pays.
Les banques françaises ont pour 51 milliards d’obligations grecques et les banques allemandes en ont pour 31 milliards d’euros. La France va payer 5,5 milliards et l’Allemagne va payer 8,4 milliards d’euros de prêts garantis par l’Etat. On se souvient qu’après cette mesure l’indépendance de la BCE avait sérieusement été remise en cause… par l’Allemagne, puisqu’elle avait toujours clamé qu’en dépit de la situation financière plus que compliquée de la Grèce, elle ne rachèterait pas d’obligations grecques. Autrement dit, des produits qu’aucun investisseur ne voulait. La BCE avait martelé son indépendance.
Rencontre Sarkozy-Merkel le 7 juin
Nul doute que les marchés financiers ne tarderont pas à spéculer sur cette nouvelle tension franco-allemande, dont Nicolas Sarkozy et Angela Merkel pourront discuter le 7 juin à l’occasion d’une rencontre pour discuter d’une coordination des positions de la France et de l’Allemagne, en vue du prochain Conseil européen et des sommets du G8 et du G20 prévus fin juin au Canada. Pour l’heure, on est encore loin de la mise en place d’une gouvernance économique au sein de l’Union européenne. le figaro
Nous n’avons pas sauvé la Grèce, nous avons sauvé les banques françaises et les allemands payent plus que nous pour donc sauver nos banques, tu m’étonnes qu’ils l’aient mauvaise.
De toute façon cet accord pour sauver la grèce ne sera pas appliqué pleinement, les allemands vont s’y opposer et l’espagne, l’Italie et nous n’aurons pas les moyens de le faire
De l’or, des provisions, un chalet, un terrain, un jardin, un puit, quelques panneaux solaires et surtout plusieurs armes à feu, voila ce qu’il faut avoir pour se prémunir d’un déraillement de l’histoire.
(vous trouvez pas qu’ils ont vraiment des gueules de démons?)
On savait que l’une des grandes forces de l’iPhone tenait à la diversité de ses applications. Certains des utilisateurs de l’iPhone avaient déjà l’habitude de réciter leurs offices religieux quotidiens grâce à l’application « iSiddour ». Ceux-là seront certainement ravis de savoir que leur téléphone favori peut désormais faire office de véritable kippa.
Tout a été pensé par Uri Keldar et sa société Stuart Rubin. Pour “ces moments où vous avez besoin d’une kippa et que vous n’en avez pas”, l’application iKippa offre tout d’abord à leurs utilisateurs le choix entre plusieurs motifs de kippa, avant de la placer sur votre tête. Excepté le samedi, cette application aurait du bon selon le rabbin Shimon Hurowitz : “Puisque tout ce qui recouvre la tête peut servir de kippa, dans ce cas, cette application est admissible.”
Shimon Hurowitz n’est pas dupe cependant : “ Cela peut effectivement fonctionner dans la mesure où vous avez un objet matériel – l’iPhone – sur votre tête. Et non parce que l’application vous propose une kippa virtuelle !”.
Certes, Stuart Rubin n’en est pas à une excentricité près. Déjà, l’application iGavolt permettait quasiment d’avoir une grand-mère juive virtuelle dans le creux de votre poche . Au cas où les sempiternelles “Pourquoi tu ne m’appelles plus ?” ou encore “Comme tu as maigri » vous manqueraient.
Enfin, pour Hanouca, il est possible d’allumer un « shamash » fictif et les bougies d’une Menora virtuelle grâce à l’application iMenora. Celle-ci affiche automatiquement le nombre correct de bougies à allumer par jour et entonne les prières après l’allumage. Après les bougies, l’application “Super Dreidel” diffuse la traditionnelle musique de Hanouca et permet de jouer en famille ou entre amis (jusqu’à 8 joueurs) à la toupie. Merci Stuart Rubin ! guysen
J’ai rarement aussi rigolé de ces gens !!!!
Une kippa virtuelle grace à l’iphone, LOL j’imagine un vieux juif religieux avec un iphone attaché sur la tete en train de prier devant le mur des lamentations !!!!( et accessoirement de faire la manche en même temps, je l’ai vécu et j’avais été scié!!! )
Des médias américains ont évoqué des concessions que leur administration a offertes aussi bien aux Russes qu’aux Chinois afin de les rallier à un durcissement des sanctions contre l’Iran.
Selon le New York Times, deux concessions principales ont été relevées s’agissant de la Russie: la première consistant à suspendre les sanctions que les États-Unis ont imposé à une agence gouvernementale pour l’exportation des armements et trois sociétés russes qui avaient livré de la haute technologie et des armements à l’Iran.
Selon le journal, la deuxième concession accordée par les Américains a été d’admettre que Moscou puisse honorer son contrat conclu en 2005 avec Téhéran, prévoyant la vente d’un système de missiles anti aérien S300. Sa livraison a été reportée pour mille et mille prétextes exprimés par le Kremlin, après avoir fait l’objet de sollicitations et de pressions aussi bien américaines qu’européennes et israéliennes pour l’en dissuader.
Les auteurs de l’article du journal américain ont tenu à mettre l’accent sur la nouvelle approche du président Obama a l’encontre de Moscou, après des années de suspicions bilatérales. Ils ont relevé entre autre la signature d’un traité de non prolifération nucléaire ainsi que la réanimation d’un accord de collaboration nucléaire civil entre les deux pays, gelé suite aux événements de Géorgie.
La restructuration du bouclier anti missile en Europe fait également partie des gestes de bonne volonté adressés à Moscou.
Sachant que des sénateurs américains démocrates et républicains ont violemment mis en cause ces concessions, reprochant à l’administration d’Obama d’avoir plus donné que pris.
Dans le volet chinois, c’est le Times qui a perçu également des concessions américaines dans le but d’obtenir son feu vert pour de nouvelles sanctions contre Téhéran. Il en signale l’engagement du gouvernement américain de s’abstenir de sanctionner les sociétés chinoises, en cas de sanctions américaines unilatérales votées contre les partenaires commerciaux de Téhéran.
Alors que l’analyste d’un journal chinois intitulé Global Times indique que Pékin a obtenu un engagement que ses intérêts dans les secteurs économique, financier et énergétique iraniens ne seront jamais atteints, au cas où des sanctions américaines et européennes sont consenties.
Et de conclure finalement que les sanctions qui seront votées au Conseil de sécurité seront nettement allégées par rapport à ce qu’elles auraient du être, au bon gré des Israéliens qui ont insisté à plusieurs reprises sur des sanctions paralysantes contre la République islamique, touchant particulièrement ses exportations de pétrole et de carburants, principaux sources de rentrées en devises étrangères. almanar
Et dans le même genre de nouvelle positive pour l’Iran :
La Chine prête un milliard d’euros à la mairie de Téhéran
La Chine a accordé un prêt d’un milliard d’euros pour financer plusieurs projets de la mairie de Téhéran, signe de la participation croissante de Pékin dans l’économie iranienne, a rapporté dimanche l’agence Fars.
« Le prêt d’un milliard d’euros accordé par la Chine est devenu opérationnel », a déclaré Hossein Mohammad Pourzarandi, adjoint du maire de Téhéran pour les questions financières.
Il a ajouté que le prêt devra être remboursé « sur trois ou quatre ans ».
L’argent sera utilisé pour financer plusieurs projets de développement de la capitale, notamment un important tunnel de plusieurs kilomètres qui doit permettre de faire la jonction entre deux autoroutes situées dans l’est et l’ouest de la ville.
Profitant du durcissement de l’embargo économique et financier occidental, la Chine a renforcé ces dernières années sa présence en Iran, dont elle est devenue en 2009 le premier partenaire économique.
La Chine est notamment devenue le principal investisseur étranger dans le secteur pétrolier et gazier iranien, alors que les compagnies occidentales ont progressivement quitté l’Iran, frappé de diverses sanctions internationales à cause de son programme nucléaire controversé. http://www.leparisien.fr
Lol, j’aime bien ce que sont devenues les sanctions paralysantes !!!!
Chacun y va de son petit business, des missiles S-300 pour les russes, ou des des sociétés chinoises exemptées de toutes sanctions, c’est dingue !
Et si la Chine prete 1 milliard de dollars à l’Iran, c’est qu’ils pensent que le régime tiendra….
Les juifs extrémistes vont devenir chèvre, surtout après ce qui c’est passé hier :
Traité de non-prolifération nucléaire: isolé, Israël se sent lâché par les Etats-Unis :
» Le soutien sans précédent des Etats-Unis à l’accord de la Conférence de suivi du Traité de non-prolifération (TNP), qui montre du doigt les activités nucléaires de l’Etat hébreu, inquiète fortement Israël même si les officiels s’abstiennent de critiquer ouvertement Washington.
Furieux, Israël a fustigé « l’hypocrisie » de l’accord adopté vendredi, qui ne mentionne pas l’Iran, et annoncé qu’il ne participerait pas à sa mise en oeuvre portant sur la création d’une zone exempte d’armes nucléaires au Proche-Orient.
La Conférence de suivi du TNP a adopté par consensus une déclaration finale prévoyant notamment la tenue en 2012 d’une conférence internationale pour un Moyen-Orient dénucléarisé.
La résolution singularise l’Etat hébreu, affirmant qu’¨il importe qu’Israël adhère au traité et place toutes ses installations nucléaires sous les garanties globales de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) ».
C’est la première fois que le programme nucléaire israélien, sur lequel les autorités maintiennent volontairement le flou, est ainsi exposé sur la scène internationale.
Les Etats-Unis ont voté en faveur de l’accord, approuvé à l’unanimité. Le président Barack Obama a salué un accord « équilibré et réaliste » tout en se disant « fortement » en désaccord avec le fait de singulariser Israël.
En Israël, médias et analystes considèrent le vote américain comme un véritable « camouflet ».
« Washington a « sacrifié Israël à son intérêt global de limiter l’armement nucléaire dans le monde », estime le quotidien Haaretz.
« Le président Barack Obama et son administration ont préféré le succès de la Conférence à Israël », déplore le quotidien de gauche, selon lequel la résolution constitue une « victoire diplomatique pour l’Egypte » qui fait campagne depuis des années pour qu’Israël renonce à l’armement nucléaire qui lui est imputé.
Le Haaretz rappelle qu’en 2005, l’administration du président George W. Bush avait refusé de s’associer à un document enjoignant à Israël de signer le TNP.
Le camouflet américain survient à la veille d’une rencontre à Washington entre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le président américain.
Pour le quotidien gratuit à grand tirage Israël Hayom, proche de M. Netanyahu, le vote américain traduit la « faiblesse d’Obama », soulignant que « les Américains avaient promis aux dirigeants israéliens d’empêcher la signature du texte ».
« Il y a un changement négatif indéniable de la politique américaine » sur le nucléaire israélien, estime le chercheur Eytan Gilboa, qui critique « les contradictions d’Obama puisqu’il applaudit à la fois la résolution et la critique ».
Ce politologue de l’université de Bar Ilan estime que les Etats-Unis « sont en train de perdre leur rôle de leadership à cause de la vision naïve et irréaliste » de leur président.
En revanche, l’ex-directeur général du ministère des Affaires étrangères Alon Liel voit dans la résolution le signe d’un « isolement croissant d’Israël sur la scène internationale », qui va rendre de plus en plus difficile sa campagne pour des sanctions contre l’Iran.
Publiquement, le gouvernement israélien s’abstient de critiquer les Etats-Unis mais un haut responsable a reconnu samedi que « l’administration américaine a changé de politique sur la non prolifération ». « Nous n’avons pas fini de parler de ce sujet », a averti ce dernier.
L’Etat hébreu a conclu une « entente » en 1969 avec les Etats-Unis aux termes de laquelle les dirigeants israéliens s’abstiennent de toute déclaration publique sur le potentiel nucléaire de leur pays et ne procèdent à aucun test nucléaire. En échange, Washington s’est engagé à s’abstenir d’exercer des pressions sur ce dossier.
Les Israéliens n’ont jamais reconnu disposer de l’arme atomique et refusent d’adhérer au TNP. Mais selon des experts étrangers, Israël dispose de 100 à 300 ogives nucléaires. » source
Hahahahaha, c’est excellent, » Israël se sent lâché par les Etats-Unis » LOL , qu’ils les lachent ces chiens galeux de juifs extrémistes et qu’ils se fassent jeter à la mer, hahahahah, je rigole, ils partiront d’eux même, c’est CIA elle même qui le dit.
Je pense qu’il va y avoir la guerre, mais je ne sais pas comment ça va se passer, ni quels seront le rôle des principaux protagonistes, les russes sont comme des girouettes, mais les chinois n’ont pas l’air d’accepter la guerre, mais iront -ils jusqu’à s’impliquer militairement au coté de Téhéran, j’en doute fortement….
Observer avec attention ce qui se passe dans les relations internationales, c’est magnifique, rarement dans l’histoire humaine de tels boulversements se sont produit.
L’objectif de conserver la note AAA de la dette souveraine française est « tendu » et conditionne en partie les décisions sur la réduction des déficits, a déclaré dimanche le ministre du Budget, François Baroin.
La France, qui bénéficie de la meilleure note accordée par les agences de notation, promet de réduire son déficit public dans une proportion et à une vitesse sans précédent depuis au moins un demi-siècle.
De quelque 8% en 2010, le gouvernement prévoit de le réduire à 6,0% en 2011, 4,6% en 2012 et 3,0% en 2013 ou au plus tard 2014.
« L’objectif du maintien de la note AAA est un objectif qui est tendu et qui est un objectif qui conditionne pour partie, en effet, les politiques d’économie que l’on souhaite avoir », a dit François Baroin sur Canal+.
Dans l’entourage de François Baroin, on a ensuite précisé à Reuters que par « objectif tendu », il fallait comprendre « exigeant, qui ne se relâche pas ».
« Pourquoi? Parce qu’au début des années 1980, 80% de l’accès au crédit qui permettait de financer ses projets pour une entreprise, un particulier ou un Etat se faisait auprès des banques ou des banques centrales. Aujourd’hui 80% de l’accès à ces crédits pour financer nos investissements s’effectue auprès du marché », a ajouté le ministre du Budget sur Canal+.
Etre noté AAA permet à la France de financer ses déficits et ses dettes à un coût minime, à peine supérieur à celui exigé de l’Allemagne, la référence en Europe.
Le président Nicolas Sarkozy a annoncé ces derniers jours plusieurs mesures visant à conforter l’objectif de réduction du déficit public.
« Nous devons maintenir notre AAA, réduire notre endettement pour éviter d’être trop dépendant des marchés, et nous devons le faire dans la durée, d’où l’idée de la révision constitutionnelle, pour bien montrer que c’est pas simplement un coup pour rien pour faire plaisir à des marchés, mais vraiment une nouvelle inflexion, une nouvelle tendance, une nouvelle discipline budgétaire française », a ajouté François Baroin.
Le ministre du Budget a confirmé que, dans les prochaines années, « nous n’allons pas toucher aux impôts », sauf à travers des réductions de niches fiscales.
L’ancien premier secrétaire du Parti socialiste, François Hollande, a jugé dimanche que seule une hausse drastique des impôts permettrait d’atteindre 3% de déficit public en 2013.
« On n’atteindra pas les 3% du PIB de déficit en 2013, c’est une illusion. C’est impossible aujourd’hui, sauf à augmenter drastiquement les impôts », a dit le député de Corrèze sur Europe 1, jugeant préférable de fixer cet objectif pour 2015. yahoo.com
Demain, il est probable que nous rigolions un coup avec la bourse….
Baroin nous prépare, la France va perdre son AAA, comme l’Espagne l’a perdu avant hier et comme le Royaume-Unis et les USA le perdront bientôt, on ne vous le dira jamais assez, le système bancaire est mort, submergé par des milliers de milliards de dettes qui ne pourront jamais être payées.
Nos dirigeants nous ont vendu pour quelques poignés de dollars, ces connards ont sabordé 5 siècles de relative prospérité (gagnés sur le dos du reste de l’humanité) en 40 ans. C’est dans les années 70 que tout c’est joué, les décisions comme celles de supprimer l’étalon or ou d’obliger les nations à s’endetter sur les marchés internationaux ont plongé le monde dans le règne de l’argent totalement fictif et du pillage à grande échelle des économies occidentales. La loi Weil sur le regroupement familial de 1976 a également donné un coup de poignard à l’homogénéité nationale et cela sans qu’aucune mesure n’aide les arrivants et les autochtones à pouvoir se connaitre et s’accepter, on ne fait pas venir 10 ou 15 % d’une population profondément différente dans un pays sans que l’État prenne en charge ce mouvement migratoire, au lieu de cela, le FN fût créé, les médias et son chef (le pen) décridibilisèrent toutes les thématiques portées par ce parti, et ce fût terminé, la nation, l’amour de son pays devinrent synonyme de fascisme. On peut dire que Le Pen a obtenu exactement l’inverse de ce qu’il pronait, le système est bien fait….
Bref, nous voila 40 plus tard, profondément divisés, incroyablement ruinés et sans aucune perspective de salut si ce n’est la providence.
Il va nous rester la vengeance envers ceux qui nous ont mené la, c’est une nécessité Historique, et si nous sommes vraiment courageux et audacieux, libre à nous de prendre notre destin en main et créer le monde que nous voulons.
La menace pesait depuis un moment, l’agence de notation Fitch l’a mise en application : la note de l’Espagne a été dégradée, vendredi 28 mai, de AAA, la meilleure note possible, à AA+ ouvrant à coup sûr une période d’incertitude pour une économie espagnole déjà mal en point. La principale raison mise en avant par l’agence est la mauvaise perspective de croissance provoquée par le lourd endettement privé du pays. « La dégradation reflète l’opinion que le processus d’ajustement vers un niveau plus bas d’endettement privé et extérieur va matériellement réduire le taux de croissance de l’économie espagnole à moyen terme », explique-t-elle dans un communiqué. L’Espagne suit donc le chemin du Portugal, qui avait vu sa note abaissée en mars de AA à AA-.
L’agence de notation avait prévenu il y a près d’un mois que plusieurs pays européens, dont l’Espagne, devraient mettre en place « des programmes plus crédibles, étant donné le rythme de la détérioration des finances publiques et les difficultés auxquelles ils font face dans la stabilisation de la dette publique ». Le plan d’austérité adopté par le gouvernement du premier ministre José Luis Zapatero, d’un montant de 15 milliards d’euros pour les années 2010 et 2011, n’a visiblement pas suffi à effacer les doutes de l’agence de notation.
DETTE COLOSSALE
« Un problème de plus », réagit le quotidien espagnol El Pais face à la décision de Fitch, alors que l’agence Standard & Poor’s avait baissé la note de l’Espagne en avril. Jeudi 27 mai, le Parlement espagnol a adopté de justesse un plan de rigueur qui devrait lui permettre d’économiser environ 15 milliards d’euros en 2010 et 2011. Ce plan avait justement été décidé sous la pression des marchés et des partenaires européens et avait failli pousser l’actuel premier ministre espagnol, José Luis Zapatero, à la démission.
Fitch a jugé que ce plan était « ambitieux », mais souligné que les mesures d’ajustement du gouvernement vont nettement réduire le taux de croissance économique à moyen terme, et que la reprise économique sera « timide » et plus lente que celle prévue par le gouvernement espagnol. L’agence précise que le profil de crédit de l’Espagne reste cependant très solide et assure que la perspective de la nouvelle note est stable. Moody’s, autre agence de notation, avait confirmé en février la note AAA pour l’économie espagnole, dont la perspective est qualifiée de « stable ».
Les déficits publics espagnols pèsent actuellement 11,2 % du PIB en 2009. La dette publique devrait atteindre 66 % du PIB à la fin de l’année, soit presque le double de ce qu’elle était en 2007. La privée, elle, regroupe celle contractée par les entreprises, les banques et les ménages, dont l’endettement a doublé depuis 2000, pour atteindre 89 % du PIB. le monde
ET
Hypo Real Estate obtient 10 mds EUR de garanties de l’Etat allemand
La banque allemande Hypo Real Estate, nationalisée l’an dernier pour éviter la faillite, a activé 10 milliards d’euros de garanties publiques supplémentaires, a annoncé vendredi le fonds fédéral de soutien au secteur bancaire (Soffin). le point
On risque de rire lundi à la bourse…
Quoique fassent les pays, les agences de notations les assassinent
Et cela pour le bien de Bruxelles qui étendra ses pouvoirs à tous les pays d’europe
Des tramways de Rotterdam, aux Pays-Bas, vont être équipés d’appareils biométriques capables de détecter les fraudeurs et les fauteurs de trouble. La ville a décrété, il y deux ans, une interdiction de fréquenter ses lignes pour certains usagers. Elle entend passer à l’étape suivante et tester désormais, sur les rames de sa ligne Rotterdam-Sud, des caméras capables de repérer les personnes qui enfreindraient cette interdiction.
Le gouvernement doit approuver, en outre, une demande de la compagnie régionale RET visant à punir d’une amende de 3 800 euros au maximum ou d’une peine de 2 mois de prison, ceux qui, interdits de transport, embarqueraient quand même.
AVERTISSEMENT SILENCIEUX
Pour l’instant, cinq usagers sont frappés d’une interdiction d’emprunter la ligne n°2, rapporte le quotidien NRC Handelsblad. La société va prochainement tester des caméras reliées à un équipement qui analysera des dizaines de points du visage, la distance entre les yeux, la largeur de la mâchoire etc.
Les données seront comparées à celles d’un ordinateur central reprenant les caractéristiques d’usagers turbulents ou qui ne paient pas leur billet. En cas d’infraction constatée, un avertissement silencieux sera envoyé au conducteur.
La société RET, qui gère le réseau, affirme qu’elle ne conservera pas les données enregistrées concernant les autres passagers mais certains politiques entendent obtenir des explications avant le lancement de l’expérience. Une évaluation aura lieu en 2011 et permettra, notamment, de déterminer la marge d’erreur du système. RET affirme qu’elle ne peut utiliser des moyens humains supplémentaires pour assurer la sécurité et estime que ses caméras joueront surtout un rôle préventif.
Le ministre de la justice soutient l’expérience de Rotterdam, à laquelle il entend affecter 100 000 euros. le monde
Des caméras biométriques pour empécher 5 personnes de prendre le metro, elle est bonne celle la !!!!
Le monde de demain va être laid, entre délation et caméra biométrique ou encore la fin de l’anonymat sur le net, on est mal barrés.
J’espère que des citoyens hollandais vont s’opposer fortement à cette intrusion gravissime dans leur vie privée, sous couvert de fraude merdique à 1,5 euro, c’est dingue comme nos sociétés virent ultra sécuritaire alors que rien, aucun problème de sécurité vital n’est en jeu. Si le pays est en guerre et qu’il faut identifier des espions qui menacent la sécurité nationale, à la limite je veux bien, mais là, installer de tels systèmes pour des fraudeurs c’est vraiment ce foutre de la gueule du monde.
Tout le monde sur cette terre est fauché, sauf peut être Lloyd Blankfein, le PDG de Goldman Sachs, quoiqu’il finira peut être plus brisé que fauché par la machine à broyer politique qui est en train de prendre les maux de la planète et de les transformer en une sorte de triste charcuterie destinée à être distribuée aux masses en colère comme un substitut synthétique de pain et de jeux. Appelez cela une obligation d’arbitrage politique synthétique et sans couverture.
Il s’est passé quelque chose la semaine dernière dans le monde et beaucoup de gens l’on ressenti, particulièrement dans les organes de distribution des nouvelles et de fabrication d’opinion, mais ce “ quelque chose” n’a pas été clairement identifié. La macro-escroquerie des orgies mondiales de pyramides financières à la Ponzi est en train d’être découverte par le public qui commence seulement à ce rendre compte que le trou noir qui en est la conséquence va engloutir tout ce qui nous est familier, niveaux de vie, espoirs, rêves sans compter de nombreuses vies. L’action politique va se résumer désormais à une frénésie pour déterminer qui et quoi sera englouti ou survivra dans ce trou noir d’anéantissement. Et tout ceci est en train d’apparaître comme un moment clef de l’histoire humaine.
Et pendant ce temps une énorme tache de pétrole s’étend lentement au fond des eaux du golfe du Mexique, telle une affreuse Moby Dick amorphe mais malicieuse attendant son heure pour couler le Pequod Amérique, ou au moins l’économie de 5 Etats. Dans quelques mois la société BP se demandera pourquoi elle ne s’est pas lancée dans un business facile comme la fabrication de couches culottes plutôt que l’exploration pétrolière, Elle se posera certainement la question de la viabilité de faire quelque business que ce soit lié de près ou de loin avec les Etats Unis, et les Etats µUnis entreront dans une quête sans fin à propos de l’intérêt des forages pétroliers offshore, dont l’avenir avait été assuré par le président Obama lui-même voici seulement quelques semaines.
Dur de voir vos espoirs d’approvisionnement énergétiques futurs s’évaporer au moment même où vos rêves de prospérité future sont aspirés dans un trou noir.
J’ai toujours pensé que les gens du sud des Etats Unis sont les plus dangereux du pays et la catastrophe du Deepwater Horizon ne va pas améliorer ce point de vue lorsque le pétrole va toucher leurs cotes. Cela dit, ils ne sont que marginalement plus dingues que le reste des habitants du pays, et ils se préparent à une extermination massive des sortant dans cette fin d’année électorale. Le spectacle va être grandiose, et vous pouvez être certains que les 10 derniers litres de pétrole des Etats Unis serviront dans quelques années à traîner les capitaines de Wall Street attachés derrière le dernier pickup Sierra GMC dans les plaines de Collier County, en Floride.
Concernant l’Europe, ce qui s’est passé durant les dernières semaines n’est rien de plus compliqué que de se réveiller en se rendant compte qu’on est fauché. Ils ont envoyé leur dernier missile de vœux pieux au monstre envahissant de la dette et le monstre leur a ri au nez. Ils sont maintenant aux fenêtres de leurs bureaux dans le palais bureaucratique de l’euro et se regardent les uns les autres pour savoir qui va être le premier à sauter.
Les Etats Unis, quant à eux, n’ont toujours pas compris. Ce qui a ressemblé pendant longtemps à un jeu de chaises musicales est en train de se transformer à quelque chose qui ressemble à un exercice d’alerte d’incendie chinois, avec l’idée que courir sans but dans tous les sens est un substitut adéquat pour une action réfléchie.
Quoi qu’il en soit, l’Europe et les Etats Unis n’ont plus de munitions ni de missiles. Personne n’a plus les moyens de renflouer ne serait ce qu’un stand de limonade. A partir de maintenant les gouvernements vont commencer à s’effondrer
Tout pari sur l’avenir politique est impossible à chaque fois que la tempête se lève. Il y a des insinuations dans la presse, par exemple, que les communistes vont se révolter et prendre le pouvoir en Grèce. Super idée, la crédibilité de l’espère humaine concernant le communisme ayant disparu dans les toilettes de l’histoire il y a 20 ans. L’opposition en Grèce peut bien vouloir s’appeler communiste, mais qu’entend elle par là ? Il n’y a plus aucun “ moyen de production ” dans un pays dont l’économie n’est constituée que de conducteurs de taxis, de garçons d’étage et de serveurs. Il n’y a aucune richesse à “ redistribuer ”, juste la douleur de la perte économie collective lorsque les touristes cesseront d’atterrir.
Partout ailleurs en Europe, chaque pays est en train de préparer les lits de l’austérité. Les différents publics ne vont pas apprécier de devoir s’y coucher. L’histoire étant le démon transformeur de concepts que l’on sait, je peux imaginer que ce soient les anglais qui éliront des nazis cette fois ci (ou quelque chose qui y ressemble), pendant que les Allemands se retrouveront dans la position bizarre d’être le gardien moral de l’Europe, le seul modèle de “ bon parent ” tentant désespérément de garder un fond de commerce collectif dans une Europe en déliquescence. Les grands personnages historiques viennent toujours d’endroits inattendus, la Corse, le Kentucky. Le prochain grand leader européen est peut être en train de faire ses études au fond d’une école de droit norvégienne inconnue.
Dieu seul sait comment les Européens tireront parti du désordre qui se profile aux Etats Unis. Peut être un certain regret du à l’arrêt du flux de touristes américains. Ma prévision est qu’il se pourrait bien qu’il n’y ait plus de président aux Etats Unis après M. Obama. Les évènements vont s’enchaîner dans un désordre de plus en plus rapide qui fera qu’un général comme Patraeus devra prendre les commandes pour un moment pour empêcher toute réincarnation du Ku Klux Klan de se métastaser de l’Atlantique au Pacifique.
Bien entendu, une fois que les militaires ont pris le pouvoir, il n’y a pas de retour en arrière. Ce ne sera pas la fin de l’empire romain version 2.0, parce que même la gigantesque machine de guerre militaire américaine n’aura plus les moyens de continuer à fonctionner. Au contraire, je m’attends à un éclatement des Etats Unis dans des Etat ou des régions fonctionnellement autonomes, et il est tout à fait possible que même ce niveau de gouvernance soit hors de portée de la dureté économique des années à venir.
Il reste, bien entendu, la vraie bonne question de ce que feront les peuples du reste du monde, – le monde non occidental s’entend -, lorsque l’Ouest dévissera dans l’insolvabilité et la déliquescence.
Les islamistes feront tout ce qu’il est en leur pouvoir pour aggraver les choses, et ils peuvent faire beaucoup de choses, de réduire leur production de pétrole (voire l’arrêter totalement) à provoquer les populations émigrées en Europe à une violence politique ou faire craquer quelques bombes, atomiques ou non.
Les Chinois vont probablement tenter de s’imposer comme les arbitres de l’effondrement de l’Ouest, mais ils seront engloutis dans leur propre gouffre de l’implosion de leur population et de leur manque de matières premières.
Vous pouvez déjà oublier l’Inde : zéro pétrole.
La Russie retrouvera son glorieux isolement et profitera des fumées de méthane de sa toundra.
L’Amérique du Sud appliquera comme d’habitude les mots sages d’un vice-roi du Mexique du XVIII° siècle, qui expliquait ainsi sa méthode d’administration : “ Faire très peu, et le faire lentement ”.
La Grande Crise vient juste d’enclencher la deuxième vitesse. 24Hgold.com
J’aime bien cet article, surtout son ton …
Et oui, nous vivons la fin de l’occident, mais je ne pense pas que les USA vont exploser, je pense plus qu’ils vont se transformer en régime policier et militariste, on verra bien, mais ce qui est sûre c’est que l’occident que nous connaissons va disparaitre.
L’Histoire se déroule sous nos yeux, c’est beau….
La chef de la diplomatie américaine Hillary Clinton a estimé jeudi que les Etats-Unis et le Brésil avaient un « grave désaccord » à propos de la manière de traiter la question du nucléaire iranien, même si les relations bilatérales étaient bonnes dans d’autres domaines.
« Nous sommes en grave désaccord avec la diplomatie brésilienne vis-à-vis de l’Iran », a affirmé Mme Clinton dans une des ses déclarations les plus franches à propos de la façon dont le Brésil, avec la Turquie, tente de résoudre la question du nucléaire iranien.
Le 17 mai, l’Iran a signé à Téhéran avec la Turquie et le Brésil un accord prévoyant l’échange en Turquie de 1.200 kg d’uranium iranien faiblement enrichi (3,5%) contre 120 kg de combustible enrichi à 20% fournis par les grandes puissances, destinés au réacteur de recherche de Téhéran.
Malgré cet accord, le Conseil de sécurité de l’ONU a examiné le 18 mai un nouveau projet de sanctions contre l’Iran, rédigé par les Etats-Unis et approuvé par les autres puissances chargées du dossier (Chine, France, Grande-Bretagne, Russie et Allemagne).
L’Iran est soupçonné de chercher à se doter de l’arme nucléaire sous couvert d’un programme civil, ce qu’il dément.
Mme Clinton a indiqué jeudi avoir dit à son homologue brésilien Celso Amorim: « nous pensons que faire gagner du temps à l’Iran, permettre à l’Iran d’ignorer l’unité internationale qui existe à propos de son programme nucléaire rend le monde plus dangereux et non moins » dangereux.
Le Brésil soutient que de nouvelles sanctions du Conseil de sécurité contre l’Iran auraient comme seule conséquence de conduire à un conflit, a rappelé Mme Clinton.
« Nous ne sommes pas d’accord avec cela, nous pensons que les Iraniens se servent de vous (le Brésil), nous pensons qu’il est temps de saisir le Conseil de sécurité », a-t-elle ajouté.
« Mais notre désaccord ne sape pas notre engagement à considérer le Brésil comme un ami et un partenaire », a dit Mme Clinton. « Nous voulons une relation avec le Brésil qui résiste à l’épreuve du temps ».
Mme Clinton a souligné que le Brésil avait joué un rôle majeur en Haïti lors du séisme du 12 janvier qui a fait plus de 250.000 morts, et aussi dans la promotion d’un accord international contre le réchauffement climatique.
Elle a ajouté que les Etats-Unis et le Brésil jouissaient d’une relation économique « solide ». http://www.romandie.com/
Il ya quelques jours sur France 5, j’ai entendu des « spécialistes » des relations internationales dire dans » c’est dans l’air » que le déplacement de Lula en Iran était une » mission » voulu par les USA, comme si ces gens n’avaient pas encore compris que le monde A CHANGÉ, les pays occidentaux sont dépassés par les évènements, les pays que l’on appelle de manière condescendante » en voie de developpement » sont maintenant développés et surtout ils sont politiquement autonomes et indépendants des occidentaux, du moins s’en croient-ils capables et ils commencent à le montrer.
Voila ce que le Lula a répondu à Clinton :
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a prôné vendredi à Rio une solution négociée à la crise nucléaire iranienne, à l’ouverture du IIIe Forum mondial des civilisations, affirmant que les « arsenaux nucléaires sont obsolètes ».
Le président brésilien a de nouveau insisté sur le sujet du nucléaire iranien et souligné que le Brésil « s’était rendu en Iran en quête d’une solution négociée » à la crise nucléaire avec Téhéran.
Il s’exprimait au lendemain des déclarations de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton selon lesquelles il existe de « sérieux désaccords » entre Washington et Brasilia sur ce dossier.
Lula a considéré comme « obsolètes et dépassés » les arsenaux nucléaires et rappelé que le Brésil « est l’un des rares pays qui prônent le désarmement dans sa Constitution ».
Le Brésil et la Turquie ont négocié un accord tripartite avec l’Iran pour un échange de combustible nucléaire qui a été reçu froidement par les grandes puissances occidentales. La République islamique a dit qu’elle continuerait à enrichir de l’uranium à 20% sur son territoire. romandie
Il n’a pas l’air de vouloir se taire, le Brésil se comporte comme un pays véritablement libre et exerçant pleinement sa souveraineté, je me languis de savoir comment ça va se passer, si le Brésil et la Turquie ne sont pas écoutés, que vont ils faire, vont-ils prendre des mesures de rétorsion ou des sanctions contre les occidentaux. Ce serait fantastique que la Turquie par exemple mette son appartenance à l’Otan dans la balance ou que le Brésil restreigne son commerce avec les USA, le premier partenaire commercial du Brésil est la Chine, c’est quand même marrant….
Il est tout aussi bizare qu’obama ait reporté le vote du congrès sur l’interdiction de vente d’essence à l’Iran :
Les divergences de vue entre la Chambre des représentants américaine et le Sénat ont fait que Barack Obama ordonne le report de l’examen du plan de la sanction des ventes d’essence à l’Iran.
Selon le site Internet Bloomberg, réuni à huis clos, sous la présidence de James Jones conseiller à la sécurité nationale des Etats-Unis, le gouvernement américain a discuté du règlement des divergences entre le Sénat et la Chambre des représentants sur le projet de sanction des ventes d’essence à l’Iran. source
C’est comme une partie de billard avec des dizaines de bandes et des dizaines de boules, il y a des tas d’intérêts, qui peuvent être convergents, ou divergents et cela selon quel pays propose, il y a peu de dogmatisme, c’est un enchevètrement de decisions pragmatiques, et plus il y a d’acteurs, plus le consensus devient impossible et les tensions nécessaire.
L’Iran est au centre d’une véritable guerre mondiale de la diplomatie, et même si des élites folles poussent à la guerre, beaucoup de pays y sont farouchement opposés, espérons que ces derniers arrivent à inverser la vapeur….
First 6 months of 2010, Americans will continue to live in the ‘unreality’…the period between July and October is when the financial fireworks will begin. The Fed will act unilaterally for its own survival irrespective of any political implications …(source is from insider at FED meetings). In the last quarter of the year we could even see Martial law, which is more likely for the first 6 months of 2011. The FDIC will collapse in September 2010. Commercial real estate is set to implode in 2010. Wall Street believes there is a 100% chance of crash in bond market, especially municipals sometime during 2010. The dollar will be devalued by the end of 2010.
Gerald Celente
Terrorist attacks and the « Crash of 2010 ». 40% devaluation at first = the greatest depression, worse than the Great Depression.
Igor Panarin
In the summer of 1998, based on classified data about the state of the U.S. economy and society supplied to him by fellow FAPSI analysts, Panarin forecast the probable disintegration of the USA into six parts in 2010 (at the end of June – start of July 2010, as he specified on 10 December 2000
Neithercorps
Have projected that the third and final stage of the economic collapse will begin sometime in 2010. Barring some kind of financial miracle, or the complete dissolution of the Federal Reserve, a snowballing implosion should become visible by the end of this year. The behavior of the Fed, along with that of the IMF seems to suggest that they are preparing for a focused collapse, peaking within weeks or months instead of years, and the most certain fall of the dollar.
Webbots
July and onward things get very strange. Revolution. Dollar dead by November 2010.
LEAP 20/20
2010 Outlook from a group of 25 European Economists with a 90% accuracy rating- We anticipate a sudden intensification of the crisis in the second half of 2010, caused by a double effect of a catching up of events which were temporarily « frozen » in the second half of 2009 and the impossibility of maintaining the palliative remedies of past years. There is a perfect (economic) storm coming within the global financial markets and inevitable pressure on interest rates in the U.S. The injection of zero-cost money into the Western banking system has failed to restart the economy. Despite zero-cost money, the system has stalled. It is slowly rolling over into the next big down wave, which in Elliott Wave terminology will be Super Cycle Wave Three, or in common language, « THE BIG ONE, WHERE WE ALL GO OVER THE FALLS TOGETHER. »
Joseph Meyer
Forecasts on the economy. He sees the real estate market continuing to decline, and advised people to invest in precious metals and commodities, as well as keeping cash at home in a safe place in case of bank closures. The stock market, after peaking in March or April (around 10,850), will fall all the way down to somewhere between 2450 and 4125 during the next leg down.
Harry Dent (investor)
A very likely second crash by late 2010. The coming depression (starts around the summer of 2010). Dent sees the stock market–currently benefiting from upward momentum and peppier economic activity–headed for a very brief and pleasant run that could lift the Dow to the 10,700-11,500 range from its current level of about 10.090. But then, he sees the market running into a stone wall, which will be followed by a nasty stock market decline (starting in early March to late April) that could drive down the Dow later this year to 3,000-5,000, with his best guess about 3,800.
Richard Russell (Market Expert)
(from 2/3/10) says the bear market rally is in the process of breaking up and panic is on the way. He sees a full correction of the entire rise from the 2002 low of 7,286 to the bull market high of 14,164.53 set on October 9, 2007. The halfway level of retracement was 10,725. The total retracement was to 6,547.05 on March 9, 2009. He now sees the Dow falling to 7,286 and if that level does not hold, “I see it sinking to its 1980-82 area low of Dow 1,000.” The current action is the worst he has ever seen. (Bob Chapman says for Russell to make such a startling statement is unusual because he never cries wolf and is almost never wrong)
Niño Becerra (Professor of Economics)
Predicted in July 2007 that what was going to happen was that by mid 2010 there is going to be a crisis only comparable to the one in 1929. From October 2009 to May 2010 people will begin to see things are not working out the way the government thought. In May of 2010, the crisis starts with all its force and continues and strengthens throughout 2011. He accurately predicted the current recession and market crash to the month.
Lyndon Larouche
The crisis is accelerating and will become worse week by week until the whole system grinds into a collapse, likely sometime this year. And when it does, it will be the greatest collapse since the fall of the Roman Empire.
WALL STREET JOURNAL- (2/2010)
« You are witnessing a fundamental breakdown of the American dream, a systemic breakdown of our democracy and our capitalism, a breakdown driven by the blind insatiable greed of Wall Street: Dysfunctional government, insane markets, economy on the brink. Multiply that many times over and see a world in total disarray. Ignore it now, tomorrow will be too late. »
Eric deCarbonnel
There is no precedence for the panic and chaos that will occur in 2010. The global food supply/demand picture has NEVER been so out of balance. The 2010 food crisis will rearrange economic, financial, and political order of the world, and those who aren’t prepared will suffer terrible losses…As the dollar loses most of its value, America’s savings will be wiped out. The US service economy will disintegrate as consumer spending in real terms (ie: gold or other stable currencies) drops like a rock, bringing unemployment to levels exceeding the great depression. Public health services/programs will be cut back, as individuals will have no savings/credit/income to pay for medical care. Value of most investments will be wiped out. The US debt markets will freeze again, this time permanently. There will be no buyers except at the most drastic of firesale prices, and inflation will wipe away value before credit markets have any chance at recovery. The panic in 2010 will see the majority of derivatives end up worthless. Since global derivatives markets operate on the assumption of the continued stable value of the dollar and short term US debt, using derivatives to bet against the dollar is NOT a good idea. The panic in 2010 will see the majority of derivatives end up worthless. The dollar’s collapse will rob US consumers of all purchasing power, and any investment depend on US consumption will lose most of its value.
Alpha-Omega Report (Trends Forecast)
Going into 2010, the trends seemed to lead nowhere or towards oblivion. Geo-politically, the Middle East was and is trending towards some sort of military clash, most likely by mid-year, but perhaps sooner…At the moment, it seems 2010 is shaping up to be a year of absolute chaos. We see trends for war between Israel and her neighbors that will shake every facet of human activity…In the event of war, we see all other societal trends being thoroughly disrupted…Iran will most likely shut off the flow of oil from the Persian Gulf. This will have immense consequences for the world’s economy. Oil prices will skyrocket into the stratosphere and become so expensive that world’s economies will collapse..There are also trend indicators along economic lines that point to the potential for a total meltdown of the world’s financial system with major crisis points developing with the change of each quarter of the year. 2010 could be a meltdown year for the world’s economy, regardless of what goes on in the Middle East.
Robin Landry (Market Expert)
I believe we are headed to new market highs between 10780-11241 over the next few months. The most likely time frame for the top is the April-May area. Remember the evidence IMHO still says we are in a bear market rally with a major decline to follow once this rally ends.
John P. Hussman, Ph.D.
In my estimation, there is still close to an 80% probability (Bayes’ Rule) that a second market plunge and economic downturn will unfold during 2010.
Robert Prechter
Founder of Elliott Wave International, implores retail investors stay away from the markets… for now. Prechter, who was bullish near the lows in March 2009, now says the stock market “is in a topping area, “predicting another crash in 2010 that will bring stocks below the 2009 low. His word to the wise, “be patient, don’t rush it” keep your money in cash and cash equivalents.
Richard Mogey
Current Research Director at the Foundation for the Study of Cycles- Because of a convergence of numerous cycles all at once, the stock market may go up for a little while, but will crash in 2010 and reach all-time lows late 2012. Mogey says that the 2008 crash was nothing compared to the coming crash. Gold may correct in 2009, but will go up in 2010 and peak in 2011. Silver will follow gold.
James Howard Kunstler (January 2010)
The economy as we’ve known it simply can’t go on, which James Howard Kunstler has been saying all along. The shenanigans with stimulus and bailouts will just compound the central problem with debt. There’s not much longer to go before the whole thing collapses and dies. Six Months to Live- The economy that is. Especially the part that consists of swapping paper certificates. That’s the buzz I’ve gotten the first two weeks of 2010.
Peter Schiff (3/13/2010)
« In my opinion, the market is now perfectly positioned for a massive dollar sell-off. The fundamentals for the dollar in 2010 are so much worse than they were in 2008 that it is hard to imagine a reason for people to keep buying once a modicum of political and monetary stability can be restored in Europe. In fact, the euro has recently stabilized. My gut is that the dollar sell-off will be sharp and swift. Once the dollar decisively breaks below last year’s lows, many of the traders who jumped ship in the recent rally will look to re-establish their positions. This will accelerate the dollar’s descent and refocus everyone’s attention back on the financial train-wreck unfolding in the United States. Any doubts about the future of the U.S. dollar should be laid to rest by today’s announcement that San Francisco Federal Reserve President Janet Yellen has been nominated to be Vice Chair of the Fed’s Board of Governors, and thereby a voter on the interest rate-setting, seven-member Open Markets Committee. Ms. Yellen has earned a reputation for being one of the biggest inflation doves among the Fed’s top players. » Schiff is famous for his accurate predictions of the economic events of 2008.
Lindsey Williams
Dollar devalued 30-50% by end of year. It will become very difficult for the average American to afford to buy even food. This was revealed to him through an Illuminati insider.
Unnamed Economist working for US Gov’t (GLP)
What we have experienced the last two years is nothing to what we are going to experience this year. If you have a job now…you may not have it in three to six months. (by August 2010). Stock market will fall = great depression. Foreign investors stop financing debt = collapse. 6.2 million are about to lose their unemployment.
Jimmy « Doomsday »
DOW will fall below 7,000 before mid summer 2010- Dollar will rise above 95 on the dollar index before mid summer 2010- Gold will bottom out below $800 before mid summer 2010- Silver will bottom out below $10 before mid summer 2010- CA debt implosion will start its major downturn by mid summer and hit crisis mode before Q4 2010- Dollar index will plunge below 65 between Q3 and Q4 2010- Commercial real estate will hit crisis mode in Q4 2010- Over 35 states will be bailed out by end of Q4 2010 by the US tax payer End of Q4 2010 gold will hit $1,600 and silver jump to $35 an oz.
George Ure
Markets up until mid-to-late-summer. Then « all hell breaks lose » from then on through the rest of the year. http://www.morningliberty.com/ merci pierre pour le lien et les autres plus bas. traduction google
Que du bonheur !
quelles perspectives de dingue, ils sont quand même beaucoup à dire que le système va dérailler, et pas mal d’entre eux avaient prévu la crise.
Ecoutez Philippe Dessertine et son livre » Le monde s’en va-t-en guerre », il dit en gros que seuls les pays riches pourront sauver le système (ha bon!) sinon c’est la guerre totale.
Je sais que c’est dure à accepter, mais c’est bien réel, le monde est en pleine restructuration et la guerre viendra valider ou pas cette nouvelle architecture, en parlant de guerre, voila quelques liens sur la situation assez tendue en Corée.
La torpille qui a coulé le navire sud coréen ne serait pas nord coréenne : http://whatreallyhappened.com/ d’ ailleurs les russes demandent des preuves qui soient sûres à 100%, le monde
Citant la possibilité qu’une organisation terroriste s’empare d’armes nucléaires comme une des plus grandes menaces pesant sur la sécurité des Etats-Unis, Barack Obama a persuadé quarante-six pays, lors du récent Sommet de la Sécurité Nucléaire de se mettre d’accord afin de mettre en sécurité le matos nucléaire en vadrouille de par le vaste monde.
Ceux des dirigeants qui étaient venus à Washington auraient pu faire davantage pour éviter une attaque nucléaire, toutefois, s’ils avaient eu la présence d’esprit de demander des comptes au président américain sur ses propres bombes nucléaires égarées…
Certes, le Président Obama peut très bien ne même pas être au courant de l’échec patent des Etats-Unis à sécuriser ses matériels nucléaires et son savoir-faire en la matière contre la prédation de son prétendu « allié le plus intime ». Mais dès lors qu’Obama est désireux de ne même pas « spéculer » quant à la question de savoir quel pays, au Moyen-Orient, peut bien avoir la bombinette, l’on pouvait difficilement s’attendre, de sa part, à reconnaître la manière dont il a bien pu se la procurer.
Dans un récent article du site Antiwar.com, intitulé à très juste titre Les bombes atomiques de l’Amérique égarées en Israe, Grant F. Smith, directeur de The Institute for Research : Middle Eastern Policy (IRMEP) et auteur de l’ouvrage Spy Trade : How Israel’s Lobby Undermines America’s Economy [Le commerce de l’espionnage : Comment le lobby sioniste sape l’économie des Etats-Unis], démontre la manière dont « les Etats-Unis sont une passoire pour l’espionnage nucléaire israélien ».
Le vaste réseau de contrebande massive d’armements mis sur pied par David Ben Gourion aux Etats-Unis dans les années 1940 avait réussi à se doter d’une branche nucléaire en moins d’une décade, indique Smith. L’achat de l’aciérie de la société Apollo Steel Company, en Pennsylvanie, fut financé par David Lowenthal, un ami intime du premier Premier ministre israélien, et ancien membre de la Haganah, précurseur de l’armée israélienne. L’année suivante, le Dr. Zalman Shapiro, président du conseil d’administration d’une organisation sioniste américaine locale, incorporait la Numec (Nuclear Materials and Equipment Corporation) à la société Apollo. Très vite, la Numec recevait d’importantes quantités d’uranium hautement enrichi et de plutonium de la société Westinghouse et de la Marine américaine, à des fins de recyclage nucléaire.
Dans les années 1960, la Commission de l’Energie Atomique [Atomic Energy Commission – AEC] commença à soupçonner des failles en matière de sécurité à la Numec, allant jusqu’à envisager de suspendre ses « élaborations d’armes classées ». En 1965, un audit de l’AEC constata que 220 livres d’uranium hautement enrichi n’étaient pas répertoriées. L’année suivante, le FBI diligenta sa propre enquête, sous le nom de code Project Divert, afin de surveiller le management de la Numec et les nombreux visiteurs israéliens qui y venaient. Néanmoins, le détournement de matières fissiles vers Israël continua de plus belle. Après la visite de quatre Israéliens, dont l’agent du Mossad Rafi Eitan, le 10 septembre 1968, 587 livres supplémentaires d’uranium hautement enrichi avaient disparu.
Toutefois, l’espionnage nucléaire israélien contre les Etats-Unis n’a pas pris fin avec l’accession d’Israël au club nucléaire, à la fin des années 1960. Comme l’a révélé un ex-interprète du FBI, Sibel Edmonds, son réseau de contrebande reçut l’aide cruciale de trois officiels de haut-rang au sein de l’administration George W. Bush. Tous trois avaient des liens étroits avec le complexe militaro-industriel israélien.
D’après notre tireur de signal d’alarme du FBI, Richard Perle et Douglas Feith ont fourni à Marc Grossman, troisième plus haut officiel au Département d’Etat, une liste d’employés de la Défense qui avaient accès à des informations sensibles, dont la technologie nucléaire. Cette liste comportait aussi des détails personnels hautement sensibles, comme les préférences sexuelles, les problèmes avec le jeu ou l’alcool, et ce qu’il leur restait à rembourser de leur emprunt d’accession à la propriété. A la suite de quoi, Grossman refila cette information à des agents israéliens et turcs, qui s’en servaient pour « ferrer » ces officiels du Pentagone. De plus, comme en a témoigné Edmonds lors d’un procès dans l’Ohio, les agents étrangers avaient recruté des agents dormants « dans pratiquement toutes les principales centrales nucléaires des Etats-Unis ».
Israël et la Turquie s’étant emparés de ce qui les intéressait parmi ces secrets chapardés, leurs agents offraient ce qui en restait au plus offrant. Comme l’a dit Edmonds au Sunday Times, à l’American Conservative et au site Military.com, les secrets nucléaires ont été vendus au marché noir, c’est-à-dire là où n’importe qui – y compris quelqu’un appartenant à Al-Qa’ida – pouvait les acheter.
Ainsi, il semblerait que ceux qui crient le plus fort à propos de la menace terroriste – j’ai nommé les néocons tels que Perle, Feith, Grossman et leurs homologues israéliens – sont précisément ceux qui sont en train d’aider les terroriste, fusse indirectement, à acquérir ces armes de destruction tellement convoitées.
Mais pour quelle raison, pourrait-on raisonnablement s’interroger, des agents israéliens aident-ils leurs ennemis supposés à s’emparer de la bombe ?
Eh bien, quel serait le résultat probable, au cas où les pires craintes d’Obama – une attaque nucléaire contre les Etats-Unis ou l’un de leurs alliés devenaient réalité ?
Sans égard aux faits, des pays islamiques – très vraisemblablement l’Iran ou le Pakistan, seraient accusés d’aider les terroristes. Et il n’est nul besoin d’avoir un doctorat ès-théorie des jeux pour prédire ce que serait la réaction de l’Amérique. Les représailles seraient si rapides et si dévastatrices que les malfaiteurs pourraient bien envier le sort des Irakiens après l’invasion de leur pays, victimes, eux aussi, d’une opération de diversion israélienne.
Si, comme Benjamin Netanyahu en personne l’a avoué, les attentats du 11 septembre 2001 avaient été « excellents » pour Israël, alors un 11 septembre nucléaire pourrait être encore meilleur. Tandis que les effets sidérants de cet événement traumatisant, voici neuf ans, ont commencé à se dissiper et que les Américains remettent de plus en plus en question le coût d’une alliance unilatérale, un tel attentat nucléaire pourrait même être jugé, par d’aucuns, indispensable…
Superbe article (et j’en profite pour remercier marcel charbonnier pour toutes ses traductions et articles), qui remet les choses en perspectives, comme d’habitude ce sont les américains qui font ce qu’ils reprochent à certains pays, la prolifération nucléaire. En se laissant voler de la sorte par israél, les USA ont créé un monstre, un monstre qui se retourne contre son créateur, je pense aussi qu’un false flag nucléaire est fort probable, cela arrangerait tout le monde, surtout les israéliens….
Mais il y a du changement dans la politique sécuritaire US, le vocable » guerre contre le terrorisme est définitivement enterré :
» ‘expression symbolise à elle seule les années Bush. « La guerre contre le terrorisme » a été officiellement abandonnée par l’administration Obama. D’un point de vue sémantique, en tout cas. Dans un document rendu public jeudi par la Maison-Blanche, la nouvelle stratégie de sécurité nationale du président Barack Obama désigne spécifiquement Al-Qaeda comme l’adversaire principal des États-Unis et ne fait plus référence à la « guerre contre le terrorisme ».
« Nous chercherons toujours à délégitimer l’usage du terrorisme et à isoler ceux qui y ont recours », indique ce document qui a fait l’objet d’intenses consultations au sein de l’administration Obama depuis seize mois. « Ce n’est pas une guerre mondiale contre une tactique – le terrorisme – ou une religion – l’islam -« , précise le texte. « Nous sommes en guerre contre un réseau spécifique, Al-Qaeda, et ses terroristes affiliés qui appuient les efforts pour attaquer les États-Unis, nos alliés et partenaires », souligne le document. » suite le Point.fr
Cele est très interessant, l’Islam n’est plus l’unique origine du terrorisme, ce sont les individus qui sont dangereux, ce glissement du musulman basané rapidement identifiable à une personne lambda démontre bien que c’est le peuple dans sa totalité qui a toujours été la cible principale dans cette dynamique militaro fasciste de contrôle absolu des populations. Au début, l’ennemi était Ben Laden, aujourd’hui c’est n’importe qui.
Voila la nouvelle stratégie de sécurité nationale américaine, vous allez voir c’est impressionnant :
» Washington s’apprête à dévoiler ce jeudi 27 mai 2010 la nouvelle « stratégie de sécurité nationale », un document qui détaille la manière dont les autorités américaines évaluent les menaces qui pèsent sur les Etats-Unis et dont elles entendent les combattre. Pour la première fois, l’ennemi « de l’intérieur », le terroriste américain où installé aux Etats-Unis est identifié comme une menace sérieuse.
Avec notre correspondante à Washington, Donaig Le Du
C’est peut être l’ennemi le plus difficile à identifier. Un citoyen américain, un immigrant installé depuis longtemps aux Etats-Unis, votre voisin de palier, celui qui n’attire pas les soupçons et qui, un beau jour, commet un attentat.
Le terroriste de l’intérieur fait donc son apparition, pour la première fois, dans la stratégie de sécurité nationale. Il faut dire que les incidents impliquant ce type de menace se sont multipliés ces derniers mois :
A Fort Hood au Texas, lorsqu’un psychologue de l’armée américaine a tué treize soldats en pleine caserne, à l’automne dernier. A New York, en septembre, avec l’arrestation d’un immigré afghan, chauffeur de bus de son état, qui voulait faire sauter le métro. A New York encore, au début du mois, lorsqu’un Pakistanais fraichement naturalisé américain a tenté de faire exploser une voiture piégée en plein cœur de la ville. La menace est diffuse, ce qui la rend d’autant plus dangereuse.
Les experts estiment que le réseau terroriste al-Qaïda est aujourd’hui affaibli, moins en mesure de lancer des attaques spectaculaires. Alors il cherche à recruter des petits soldats, des gens qui peuvent passer inaperçus. Comme cette femme, arrêtée il y a quelques mois alors qu’elle tentait de recruter des militants. Jihad Jane, la blonde aux yeux bleus, issue d’une famille chrétienne. Rien à voir avec l’idée que l’on peut se faire d’un terroriste. rfi
Et voila :
» C’est peut être l’ennemi le plus difficile à identifier. Un citoyen américain, un immigrant installé depuis longtemps aux Etats-Unis, votre voisin de palier, celui qui n’attire pas les soupçons et qui, un beau jour, commet un attentat. »
tout le monde est suspect, tout le monde peut être un terroriste, vous l’aviez surement compris, la guerre contre l’Islam radical n’a été qu’un prétexte pour voter des lois liberticides et créer une structure d’espionnage à très large échelle, et une fois en place, l’ennemi change, il passe d’un arabe avec un turban qui parle ourdou, farsi ou arabe à n’importe qui qui parle anglais, » votre voisin » lol !
C’est marrant la une de courrier international de la semaine dernière était » les nouveaux terroristes »…
Cela fait des années que de nombreuses personnes le disent, un fascisme se met lentement en place, sans que les gens comprennent et c’est grave surtout quand on pense aux conséquences de cette passivité.
Enfin bref, les juifs extrémistes sont gavés d’armes nucléaires et la population américaine dans son ensemble devient suspecte….C’est génial, le grand chaos arrive !!!
La Chine est préoccupée par les problèmes budgétaires de la zone euro. Le niveau de ses réserves en obligations souveraines de la zone euro est sur la sellette.
En raison de la hausse des déficits de certains pays européens comme la Grèce et le Portugal, la Chine est à son tour inquiète. Elle s’interroge sur le montant de ses réserves en obligations souveraines de la zone euro rapporte mercredi soir le quotidien économique Financial Times.
Selon le quotidien, des représentants de l’Administration d’Etat des changes, qui gèrent les réserves du pays, ont rencontré des banquiers étrangers à Pékin ces derniers jours pour discuter de cette question.
Les informations rapportées par le quotidien ont provoqué un renversement de tendance à Wall Street qui a clôturé dans le rouge après avoir évolué une bonne partie de la séance en territoire positif.
L’Administration d’Etat des changes, qui détient selon les estimations 630 milliards de dollars (517 milliards d’euros) d’emprunts d’Etat de la zone euro dans ses réserves, a exprimé des inquiétudes à propos de son exposition aux marchés grec, irlandais, italien, portugais et espagnol, indique le journal.
La composition exacte des 2.400 milliards de dollars de réserves de changes chinoises est un secret d’Etat mais les analystes estiment qu’elles sont constituées pour les deux-tiers d’actifs libellés en dollars et pour le reste d’actifs en euro, en yens et livres sterling.
Le ministère chinois du Commerce a exprimé sa préoccupation ces derniers jours sur l’impact de l’affaiblissement de l’euro sur les exportations. Le Premier ministre Wen Jiabao a déclaré de son côté que la Chine était prête à apporter son soutien aux plans de l’Union européenne et du Fonds monétaire international pour stabiliser la région.
Les craintes de turbulences sur les marchés financiers rendent très improbable une initiative rapide des autorités chinoises, visant par exemple à réduire leurs réserves en euros, ce qui pourrait effectivement réduire leur exposition mais provoquer des dommages collatéraux bien plus graves. la tribune
Les chinois ont démenti :
» La Chine s’en tient à son principe de diversification de ses réserves de changes et, de ce point de vue, l’Europe reste l’une de ses principales destinations en matière d’investissement, a déclaré la banque centrale chinoise dans un communiqué publié jeudi sur son site internet (www.pbc.gov.cn).
La Banque populaire de Chine ajoute que l’article du Financial Times faisant état de la volonté du pays de passer en revue ses réserves en obligations souveraines de la zone euro en raison des inquiétudes au sujet de la dette de cette dernière est sans fondement. » reuters
Bref, tout ça pour dire que c’est la guerre économique, une gigantesque partie de poker menteur à l’échelle de la planète, avec les populations comme mise et le pouvoir mondial comme gain, ça promet…
Selon un de ses anciens agents, l’agence de renseignement américaine a voulu dépeindre dans une vidéo le dictateur irakien comme un homosexuel, juste avant l’offensive de 2003. Un projet parmi beaucoup d’autres qui n’ont jamais vu le jour.
On connaissait déjà les idées insensées imaginées par la CIA dans les années 60 pour assassiner Fidel Castro : faire fumer au Lider Maximo un cigare bourré d’explosifs, ou faire exploser des mollusques lors d’une séance de plongée sous-marine, le sport favori du dirigeant cubain. Quarante ans après, l’agence de renseignement américaine n’a pas perdu son inventivité. Peu avant l’offensive en Irak de 2003, la CIA a mis au point plusieurs scénarios destinés à déstabiliser Saddam Hussein.
L’un d’entre eux consistait à faire passer le dictateur irakien pour un homosexuel. C’est en tout cas ce que prétend un ancien agent, qui s’est confié au Washington Post. Selon lui, l’Iraq Operations Group, la cellule de la CIA chargée spécifiquement de l’invasion américaine, comptait tourner une vidéo montrant Saddam Hussein en plein acte sexuel avec un jeune homme. La CIA comptait ensuite diffuser la séquence au peuple irakien. «Le film aurait eu l’air d’être tourné par une caméra cachée. Avec beaucoup de grain, comme s’il s’agissait d’une bande vidéo secrète d’une relation sexuelle», précise l’ex-employé de la CIA, qui s’exprime sous couvert d’anonymat.
Une autre idée lancée par l’agence de renseignement prévoyait d’interrompre les programmes de la télévision irakienne avec un faux bulletin d’information. Un sosie de Saddam Hussein aurait alors annoncé qu’il abandonnait le pouvoir au profit de son fils Uday, accusé à plusieurs reprises de viol et de torture et craint par la population irakienne. La vidéo aurait été accompagnée de faux messages d’information au bas de l’écran de télévision. Mais l’idée n’a finalement pas été retenue.
Ben Laden qui boit de l’alcool
Ce genre d’expérience avait failli aboutir avec Oussama Ben Laden. Une vidéo aurait bel et bien été tournée, dans laquelle le chef d’al-Qaida, là encore joué par un sosie, boit de l’alcool et se vante de ses conquêtes masculines auprès de ses compagnons, autour d’un feu de camp. Des agents de la CIA, «ceux dont la peau était la plus noire», se seraient prêtés au jeu, détaille la source du Washington Post. Mais la séquence n’a jamais été diffusée.
Si aucun de ces projets n’a vu le jour, c’est, selon un autre employé de la CIA, qu’ils étaient soumis à de très fortes critiques au sein même de l’agence. Le directeur des opérations, James Pavitt, s’est lui-même opposé à la concrétisation de ces plans. «Voir Saddam jouer avec des jeunes garçons n’aurait eu aucune résonnance au Moyen-Orient. Personne n’y aurait prêté attention», assure un autre ex-agent, spécialiste de la région. «Le simple fait d’imaginer de tels stratagèmes démontre une totale incompréhension de la population ciblée. On croit toujours que nos propres tabous sont universels. Ce n’est pas le cas». Selon les anciens employés, la CIA aurait aussi renoncé faute d’argent, l’action militaire en Irak ayant été privilégiée au détriment des opérations secrètes.
Interrogés, les responsables actuels de l’agence n’ont ni confirmé, ni infirmé ces affirmations. «Si ces idées ont pu être évoquées par quelqu’un à un moment, elles n’ont clairement jamais abouti», affirme un cadre de la CIA. le figaro
C’est pas dingue de lire ça :
» Ce genre d’expérience avait failli aboutir avec Oussama Ben Laden. Une vidéo aurait bel et bien été tournée, dans laquelle le chef d’al-Qaida, là encore joué par un sosie, boit de l’alcool et se vante de ses conquêtes masculines auprès de ses compagnons, autour d’un feu de camp. Des agents de la CIA, «ceux dont la peau était la plus noire», se seraient prêtés au jeu, détaille la source du Washington Post. Mais la séquence n’a jamais été diffusée. »
Nous, nous le savons, nous savons que les services secrets sont plein de conneries, mais là, il serait marrant de montrer cet article aux mongoliens qui ne comprennent rien, ne lisent pas et se permettent de nous prendre de haut quand on parle de ce genre de méthodes.
La vidéo a été réalisée, et ils ont fait ça à l’arrache, avec les moyens du bord,(ça, c’est qu’ils disent, mais quand on voit les faux ben laden revendiquant des attentats, c’est évident qu’ils ne sont pas bon). Nous vivons dans le faux, un peu comme au théatre, sauf que les spectateurs croient que c’est la réalité….
Dans une interview accordée au site kurde Rudaw.net (18-05-2010)*, Mahir Kaynak, ancien directeur du MIT (Milli İstihbarat Teşkilat), service de renseignement turc, a déclaré qu’après le retrait des forces américaines d’Irak (et de sa région autonome), les Kurdes irakiens devront choisir entre se rapprocher de la Turquie et le statu quo, c’est-à-dire vivre avec les Arabes qui les haïssent du fait de leur collaboration avec l’ennemi.
Mahir Kaynak pense qu’en cas de sécession du Kurdistan irakien, les Américains reconnaîtront le nouvel Etat, leur but étant, depuis la guerre de 2003, de partitionner l’Irak. Les Kurdes, dit-il, devront alors choisir parmi leurs voisins – Turcs, Perses, Arabes – celui qui correspond le mieux à leur intérêt. Selon lui, un Kurdistan indépendant pourrait – s’il le souhaite – fusionner avec la Turquie. Si c’était le cas, un statut de région fédérale lui serait accordé.
Pour Kaynak, l’existence de cette région fédérale kurde ne modifierait pas le statut des Kurdes de Turquie, population ayant, dit-il, la même origine raciale que les Turcs et ne vivant pas seulement dans le sud-est du pays, mais dans toute l’Anatolie.
La fusion du Kurdistan irakien avec la Turquie déboucherait sur l’entrée du Kurdistan (irakien) dans l’OCDE et un jour, peut être, dans l’Union européenne. Les pays de l’OTAN auraient alors le haute main sur les réserves de pétrole du nord de l’Irak et, surtout, sur le plus important château d’eau du Proche-Orient…
* Exclusive interview with ex-MIT Director on Kurds and KRG, par Bawr Cham http://www.rudaw.net/details.aspx?lang=English&page=articles&c=Exclusive%20Interviews%20&id=22112 france-irak. Gilles munier
C’est un peu osé, mais les choses changent tellement vite, le point de vue de l’ancien directeur des renseignements turcs est quelque peut déstabilisant, mais il faut comprendre que la Turquie se voit comme un état centralisé, jacobin, ça ne m’étonne pas qu’il compare son pays avec la France quant à l’ enseignement des langues régionales….
Le kurdistan irakien rattaché à la Turquie, LOL, l’équilibre de la turquie pourrait être modifié, mais ce serait marrant…
L’industrie, dont l’hémorragie d’emplois a été accentuée par la récession économique, a perdu près de 260.000 emplois en France, dont 113.000 intérimaires, rien qu’entre la mi-2008 et la mi-2009, selon des données publiées jeudi par l’Insee.
Sous l’effet de la crise, « entre mi-2008 et mi-2009, près de 150.000 emplois directs ont disparu dans l’industrie manufacturière, auxquels il faut ajouter la perte de plus de 100.000 emplois intérimaires », précise l’édition 2009 de l’étude de l’Insee sur l’industrie en France.
Plus sensible à la conjoncture, l’emploi industriel a été dans tous les pays « plus durement et plus rapidement » affecté par la crise économique mondiale que l’emploi total.
« En France, le recul de l’emploi industriel direct, tendanciel depuis le début des années 2000, s’est brutalement accéléré en 2008 et plus encore au premier semestre 2009 », avec la perte de 74.000 emplois directs en 2008, près du double de 2007, et de plus de 100.000 au premier semestre 2009.
Entre début 2000 et fin mars 2009, plus d’un demi-million d’emplois salariés directs ont disparu dans l’industrie, de sorte qu’elle ne compte plus que 22,5% des salariés du privé (hors agriculture), sur fond d’externalisation croissante, de gains de productivité ou de délocalisations.
Depuis 2008, c’est « avant tout la baisse importante de l’activité industrielle qui provoque une chute de l’emploi affectant chacun des grands secteurs ».
« Premier levier d’ajustement aux variations d’activité », l’intérim (plus de 40% des emplois dans l’industrie) a subi « de plein fouet les effets de la chute de la production industrielle ».
L’intérim industriel est passé « d’un maximum de 300.000 emplois (équivalents temps plein) fin mars 2008 à 168.000 un an plus tard, minimum historique depuis 1996 », selon l’Insee.
Si toutes les catégories socioprofessionnelles ont été affectées, le repli a été « particulièrement marqué pour les ouvriers non qualifiés, qui constituent la moitié des emplois intérimaires dans l’industrie », indique l’étude.
Outre l’emploi, la baisse de l’activité industrielle a affecté la durée de travail des salariés, en pesant notamment en France sur le recours aux heures supplémentaires.
L’Insee évoque une chute « brutale » du nombre d’heures supplémentaires dans l’industrie au premier trimestre 2009 (-19%), plus que dans l’ensemble du secteur privé. Une baisse qui « s’est poursuivie dans l’industrie alors que le recours aux heures supplémentaires a rebondi pour l’ensemble de l’économie ».
Autre phénomène dû à la récession et à la dégringolade de l’activité industrielle: la proportion d’entreprises éprouvant des difficultés de recrutement a connu « un recul plus brutal que lors de l’éclatement de la +bulle internet+ » en 2001, selon l’étude.
Malgré tout, une part significative d’entreprises industrielles éprouvait toujours des difficultés de recrutement au premier trimestre 2009. source
Voila le tableau, c’est franchement noir, pauvres gens et pauvres familles, je me demande bien ce qu’ils vont devenir.
La chute est tout de même impressionnante, et ces emplois industriels ne seront pas recréés après la crise, il y a même Attali qui nous a pondu un livre (ou un de ses nègres) dans lequel il » prévoit » que nous serons tous ruinés dans 10 ans, en fait c’est juste logique.
Selon des documents d’origine sud-africaine que le quotidien britannique The Guardian s’est procurés, Israël aurait offert en 1975 de vendre des têtes nucléaires à l’Afrique du Sud, encore sous le régime de l’apartheid.
La publication de ces documents, dénichés par Sasha Polakow-Suransky, un universitaire américain auteur d’un livre sur les liens entre Israël et l’Afrique du Sud, confirme des révélations faites peu après la fin du régime de ségrégation raciale par un ancien officier de la marine sud-africaine, Dieter Gerhardt, emprisonné en 1983 pour espionnage au profit de l’URSS. Il avait évoqué à sa libération un accord intitulé « Chalet », passé entre Shimon Pérès et Pieter Willem Botha, respectivement ministres de la défense israélien et sud-africain. Classé top secret, l’accord, qui n’a finalement pas abouti, prévoyait la fourniture de huit missiles à têtes nucléaires à l’Afrique du Sud, ainsi qu’une coopération militaire renforcée entre les deux pays. Mais jusqu’à présent, aucun document écrit n’était venu prouver son existence.
DÉMENTI D’ISRAËL
Ces révélations embarrassent considérablement Israël, qui a d’ores et déjà démenti le contenu de l’article du Guardian, alors que s’ouvrent cette semaine à New York des négociations sur la non-prolifération nucléaire au Moyen-Orient. « Il n’y a pas une once de vérité dans l’article du ‘Guardian’, a déclaré Ayelet Frisch, porte-parole de Shimon Pérès. Nous déplorons que ce journal n’ait pas sollicité la présidence pour obtenir un commentaire. S’il l’avait fait, il aurait découvert que son article est erroné et sans fondement », a-t-elle ajouté. Elle a par ailleurs refusé de se prononcer sur l’authenticité des documents évoqués par Sasha Polakow-Suransky et publiés par The Guardian.
Un peu plus tard dans la matinée, la présidence israélienne a diffusé un communiqué précisant qu' »il n’existait aucun document israélien ou aucune signature israélienne sur un document indiquant que de telles négociations ont eu lieu », poursuit la présidence qui affirme que les conclusions du quotidien sont « fondées sur une interprétation sélective de documents sud-africains et non pas sur des faits concrets ».
L’article met également à mal la position ambiguë d’Israël qui consiste, depuis des décennies, à ne pas nier la présence d’armes nucléaires dans son arsenal, sans toutefois en admettre ouvertement l’existence. Le quotidien britannique souligne en outre que ses informations discréditent le discours, tenu par les dirigeants israéliens, qui consiste à refuser tout accès au nucléaire aux pays jugés peu fiables, comme l’Iran.
L’existence d’armes nucléaires en Israël est avérée depuis 1986 : le britannique Sunday Times avait alors publié des photographies montrant l’intérieur du site nucléaire de Dimona, un site qui aurait produit plus de deux cents ogives nucléaires, et donné des descriptions détaillées des procédés utilisés pour la fabrication d’éléments nucléaires. Mais là encore, aucun document écrit n’était venu corroborer ces informations. le monde
Vous avez vu comment l’article se termine : » Mais là encore, aucun document écrit n’était venu corroborer ces informations. » ça me fait délirer, Vanunu est allé en prison pour rien peut être, et pourquoi vouloir une preuve écrite israélienne quand on lit cet accord sur les ogives nucléaires pour l’Afrique du Sud ?
La journaliste est assez louche, pourquoi finir l’article de cette manière, bref.
Voila donc ces malades mentaux de juifs extrémistes voulant vendre des ogives nucléaires à un régime ultra raciste qui opprime violement des millions de personnes, c’est vrai que les deux états ont une certaine convergence de vue, mais quand même, la prolifération nucléaire c’est pas rien. Ils sont vraiment super hypocrites ces sionistes, ils sont gavés d’armes nucléaires, ont tenté d’en vendre et ils font tout un foin sur l’Iran et son programme nucléaire.
Je regarde pas mal les chaines d’infos et honnêtement, je n’ai pas vu cette info à la télé, LOL
Vivement que les sionistes quittent la Palestine, le peu qui restera devra s’entendre avec la majorité arabe et ils se soumettront et vivront en tant que dhimmi, comme ils l’ont fait depuis la conquète de Jérusalem par les musulmans.
Sinon deux ou trois liens sur ces dégénérés sionistes :
Dans un article publié par le quotidien israélien Haaretz, le journaliste Gideon Levy s’indigne de l’expulsion du Clown Prado, venu pour un festival international de clown en Palestine, comme de celle de nombreux autres étrangers. Il souligne que personne n’est plus dupe des fameuses « mesures de sécurité », systématiquement invoquées, en dehors de tous ceux qui ont choisi de fermer les yeux sur la « fascisation progressive d’Israël ».
Nouvelle révélation qui devrait faire réfléchir sur les facteurs qui ont contribué à la création de l’entité sioniste et la prise de position au sein de l’organisation onusienne : C’est grâce aux pots de vins et au chantage que l’usurpation de la Palestine a été décidée. Sur les 33 états des 46 membres qui formaient de l’Assemblée générale en 1947, nombreux sont les pays qui ont perçu des pots de vin afin d’accorder leurs voix en faveur de la résolution onusienne 181 sur la partition de la Palestine.
Cette divulgation revient à un historien israélien, Benny Morris, l’un des plus « sionisant » de ceux qui furent connus sous l’appellation « les nouveaux historiens israéliens du post-sionisme ». Elle est étayée dans son nouveau livre intitulé « 1948 : l’histoire de la première guerre arabo-israélienne » dans lequel il brosse l’histoire de l’entité sioniste, minée par les mensonges et les fausses croyances. Son approche même celle présentant les images les plus poignantes contre des Palestiniens n’a rien d’un examen de conscience. Elle vise surtout à justifier aux sionistes toutes leurs agressions, au nom de la création de l’entité sioniste.
Quelques jours avant le vote, raconte Morris, les dirigeants du mouvement sioniste étaient particulièrement perturbés. Après avoir décompté les voix des votants, les résultats s’avéraient être en défaveur de la création de l’entité sioniste.
C’est à ce moment que fut prise la décision de puiser dans le machiavélisme : « à ce point là, l’un de ces dirigeants sionistes jugea que les moyens propres de dissuasion n’étaient plus suffisants, et qu’il fallait recourir aux moyens sombres, dont les pots de vin et les autres pressions », écrit Morris, signalant que « les considérations financières ont joué un rôle considérable sur les représentants de pays d’Amérique du sud, dont l’un d’entre eux perçut la somme de 70 mille dollars en contre partie de son vote en faveur de la partition ».
L’historien israélien évoque le cas du Costa-Rica, prétendant qu’il a touché le montant de 45 milles dollars, celui du Guatemala dont le représentant faisait part d’un zèle quelque peu exagéré selon Morris pour le sionisme et qui, « d’après les documents des archives britanniques percevait des sommes de la part de mouvements sionistes américains et était en relation avec une juive ».
Un deuxième procédé tout aussi démoniaque fut également utilisé pour la création « d’Israël », celui du chantage. Selon Morris, il était exercé contre ceux qui refusèrent d’être corrompus: ainsi le Libéria s’est vu menacé de ne plus pouvoir vendre son caoutchouc.
Parmi les parties qui l’exercèrent, en général des hommes d’affaires et d’influence sionistes, est mentionné un certain Samuel Zamouraï dirigeant d’un syndicat américain (la société des fruits unifiée) qui jouissait d’une grande influence dans les Caraïbes.
Ces procédés ne sont certes pas une nouveauté pour le public israélien. Ils ont été mentionnés par des historiens tels Michaël Cohen et Tom Seguev, lequel avait écrit qu’à cette époque, un budget d’un million de dollars a été assigné pour « des opérations spéciales ».
Mais pourquoi Morris, selon lequel ils sont bel et bien légitimes car « la création d’Israël était à l’ordre du jour… et la fin justifie les moyens », les rappelle-t-il à un moment où l’entité sioniste sonne plus que jamais la sonnette d’alarme sur son existence.
« Un pot de vin est meilleur qu’une troisième guerre mondiale que les Arabes menaçaient de déclencher si l’état était proclamé », avait-il glissé durant son entretien avec le Yediot Aharonot.
Les propos peuvent éventuellement suggérer, aux yeux du bourreau, le contentieux présent avec l’Iran, la Syrie, le Hezbollah et le Hamas.
Mais aux yeux des victimes, ils prouvent une fois de plus l’ampleur de l’arnaque, via les instances internationales.
Nous imaginions tous que ça c’était passé comme ça, et ça c’est passé comme ça !
La création d’Israél est un crime contre l’humanité.
Un pays créé grace à la corruption ne peut peut être sain, et les scandales politiques à répétitions sont tout de même assez grave, (viol, grosse somme d’argent, espionnage), israél est pourri de l’interieur…
Nous connaissons pour la plupart le très vieux conte de fées d’Andersen, où deux tisserands promettent à l’empereur le plus beau costume imaginable, sauf qu’il est fait d’étoffe invisible pour ceux qui occupent une position où ils sont inaptes ou « précisément les stupides indécrottables. »
Eh bien, dans ce conte de fées, il s’avère que personne ne veuille admettre son incompétence ou sa stupidité. C’est pourquoi, quand l’empereur se pavane devant ses sujets dans son nouveau costume imaginaire, il faut que ce soit un enfant qui se mette à crier : « Mais il ne porte rien du tout ! » Eh bien, nombre d’entre nous avons déclaré que l’économie mondiale « n’a plus de vêtements » depuis quelque temps maintenant, mais quand le présentateur principal de NBC News le déclare à la télévision nationale, il obtient un peu plus d’attention. Dans sa dernière apparition dans l’Émission Tardive avec David Letterman, Brian Williams de NBC a été interrogé sur la situation financière mondiale. Sa réponse contenait une déclaration épouvantable : « Le monde n’a plus un penny, et l’empereur est à poil. »
On voyait facilement pendant l’interview que Williams était sincèrement commotionné par le drame du marché boursier de jeudi dernier. Mais qui peut le lui reprocher ? Après tout, la plupart de ceux qui suivent les marchés ont été totalement éberlués quand ce dernier a plongé de près de 1000 points en juste moins d’une heure.
Normalement, les réseaux de nouvelles câblés sont beaucoup plus surveillés et bien plus prudents à propos de ce qui est révélé au public. Mais, à l’émission de Letterman, Williams nous a donné un aperçu de ce qu’il pense vraiment de la situation économique mondiale…
« Si je n’étais pas un tantinet trop proche de cela, je quitterais probablement la maison. Mais c’est assez affreux comme ça. »
Comme ça, pourquoi le marché boursier zunien a plongé aussi rapidement jeudi dernier ?
Eh bien, beaucoup en ont rendu responsable un incident de « transaction erronée » ou un « pépin informatique. » D’autres prétendent que la tension due à l’endettement grec a provoqué une brève panique. Il y en a encore d’autres qui voient une chose plus insidieuse en cours, un truc du style Goldman Sachs cherchant à faire disparaître son nom des gros titres des journaux financiers, ou la Réserve fédérale envoyant un message disant que le projet de loi S. 604 (sur l’audit de la Réserve fédérale) ne devrait pas être adopté.
La vérité, c’est que nous ne saurons sans doute jamais ce qui a fait traverser le plancher au marché cette après-midi-là.
Sauf que ça a ouvert la voie à d’autres opérations de renflouage.
Au cours du week-end, les décideurs politiques européens ont dévoilé un programme de prêt sans précédent, presque un billion (mille milliards) de dollars et un programme d’achats d’obligations visant à mettre un terme à la crise de la dette souveraine qui menaçait de briser la confiance en l’euro
La Réserve fédérale est aussi passé à l’acte. Au cours du week-end, la Fed a promis d’inonder le système financier international de dollars zuniens. Les marchés ont vu ça comme le signe d’une « résolution » destiné à entretenir le doute au sujet de l’économie européenne se transformant en crise de confiance mondiale.
Aussi, les investisseurs ont réagi lundi avec exubérance à ces plans de sauvetage. L’indice Dow Jones a gagné ce jour-là 405 points, le plus grand gain moyen en un jour depuis le 23 mars 2009.
Mais avoir plus de renflouages, plus de dette et une inondation de papier-monnaie, ça se fête ?
Non.
La vérité, c’est que la dette et le papier-monnaie dont la valeur baisse continuellement sont quelques-unes des principales causes de la pagaille financière dans laquelle le monde est désormais plongé.
En réalité, le député zunien Ron Paul avertit que le plan annoncé d’un sauvetage européen ne fera qu’amener encore plus de problèmes financiers dans le futur…
Et Ron Paul a raison. Toutes ces opérations de renflouage et toute cette dette feront en fin de compte s’effondrer toutes les monnaies fiduciaires importantes (dont le dollar zunien).
Chose poilante au sujet de ces plans de renflouage, ils ne semblent jamais profiter au simple quidam. Il suffit d’examiner l’économie zunienne. On nous raconte que Wall Street s’est redressé et que les choses reviennent à la normale, et plus que jamais encore le Zunien se retrouve dépendant de l’administration pour survivre.
Le ministère de l’Agriculture a annoncé dernièrement que 39,68 millions de Zuniens, soit un sur huit, étaient inscrits au programme des bons alimentaires en février, une rallonge de 260.000 par rapport au mois précédent.
Presque 40 millions de Zuniens, aux bons alimentaires ?
Comment est-ce arrivé au monde ?
Il était une fois, des anciens qui nous racontaient qu’un jour les choses iraient tellement mal que nous devrions tous faire la queue à la boulangerie.
Eh bien, aujourd’hui les bons alimentaires sont les nouvelles queux devant la boulangerie.
Si vous devez compter sur le gouvernement même pour le pain que vous mangez, dans quel genre de situation passez-vous votre temps ?
La vérité, c’est qu’autrefois la grande classe moyenne zunienne a permis au système de continuer à lentement la broyer dans l’oubli.
Comme jamais auparavant dans notre vie, la richesse est concentrée entre les mains d’« un pour cent de veinards, » pendant que le reste devient rapidement marginalisé.
Ne vous êtes-vous jamais arrêté pour vous demander pourquoi presque tout le monde semble soit fauché, soit endetté jusqu’au cou ?
C’est ainsi même pour les principaux gouvernements du monde. Le gouvernement zunien (le « plus riche » pays du globe) a amassé la plus grande montagne de dette de l’histoire du monde.
Vous savez, Brian Williams a été vraiment d’une précision à en donner la chair de poule quand il a déclaré que « le monde n’a plus un radis. »
Mais, si le monde n’a plus de sous, qui donc en a ?
Les banquiers internationaux.
Mais, sschhhhhut, ne dites rien à personne.
Il suffit de continuer tranquillement à applaudir pendant que l’empereur se promène à poil dans la rue.
Note du traducteur : Ce que dit cet article sans en avoir l’air, c’est tout simplement qu’il n’y a plus d’argent pour alimenter les prêts aux États qui s’endettent. Les fameux investisseurs n’ont aujourd’hui plus assez d’argent pour faire face à la demande des États.
Comment en est-on arrivé là ? C’est très simple. La géniale économie trickle-down a servi à détourner les revenus des États occidentaux dans le gouffre des guerres zuniennes et la poche de l’industrie de guerre et des gangsters de la finance qui mènent le bal.
Plus précisément : Trente ans d’un cirque consistant à délocaliser le travail, à supprimer les barrières douanières entre États non équivalents par leurs coûts de productions, à donner moins de revenus à ceux qui produisent par leur travail, et donc moins de revenu d’États fournis par la TVA des dépenses ordinaires, à donner d’énormes revenus à des non-productifs (ministres, députés, sénateurs, hauts fonctionnaires, alors que leur « travail » pourrait être fait bénévolement par des retraités) et le gros de l’argent à des gens qui, n’en ayant pas besoin, le placent dans l’économie de pacotille de Wall Street et de la City, où il a alimenté une économie à tout casser fictive qui a produit des taxes bien réelles permettant d’alimenter les guerres d’agression.
Voilà où a disparu le vrai argent du travail. Et ce n’est pas juste une vue de l’esprit sur un truc ayant plusieurs faces. C’est la réalité intégrale et incontournable : Des États ont aujourd’hui besoin d’emprunter et personne ne peut plus prêter à hauteur des besoins. Il faudra désormais prendre l’argent qui reste là où il est : chez les riches profiteurs.
On nous parle de reprise en Zunie, mais c’est encore une falsification de la réalité. Cartepilar, un cas très significatif puisqu’il fournit la majorité du matériel des travaux de chantiers, et reflète donc parfaitement l’activité économique, annonce 21% de baisse d’activité en Zunie, en particulier. La presse, qui est complice de la dissimulation de la débâcle, a aussi raconté que General Motor avait remboursé sa dette à l’État zunien. En fait, General Motor a utilisé un autre prêt de l’État dont personne ne parle pour rembourser le prêt dont la presse parle.
Partout en Occident, les autorités pratiquent la Méthode Coué. Elles veulent se persuader que la crise est finie alors qu’elle s’accentue et, du fait qu’elle est à présent insurmontable, qu’elle annonce la fin prochaine de l’establishment occidental criminel. alterinfo
J’aime bien cet article et le commentaire du traducteur, tout est dit.
J’ai entendu Miche Barnier dire aujourd’hui qu’il fallait qu’il y ait plus de convergence entre les économie US et européenne, c’est peut être pour cela que l’euro s’effondre, histoire qu’il y ait parité et convergence des monnaies, mais aussi des économies, et cela ce fait par le bas, les USA se sont effondrés en 2008, il faut que l’europe s’effondre.
– Les Etats-Unis envisagent une sorte de black-out médiatique en interdisant plus de 17 chaînes de télévision moyen-orientales sur leur territoire. Selon l’hebdomadaire Americain Free Press, alors que les Etats-Unis soutiennent financièrement partout dans le monde les médias qui sont actifs dans le sens du tapage propagandiste du régime sioniste et de l’Amérique, les congressistes US essaient de faire passer un projet de loi stipulant un black out concernant les informations qui seraient aux antipodes des politiques américaines. « Les décideurs américains sont d’avis que le public ne devrait pas connaître tous les aspects d’une information pour ne jamais mettre en question l’Amérique et Israël. », toujours d’après Americain Free Press. Le nouveau projet de loi en cours d’adoption au Congrès, interdit plus de 17 chaînes de télévision aux Etats-Unis. http://french.irib.ir source
Honnetement ça m’étonnerait quand même, les USA ne sont pas l’europe, la liberté d’expression est sacrée alors qu’en France, la chaine de télé Al Manar a été interdite en deux temps trois mouvements, en même temps je ne vois pas pourquoi American Free Press dirait des mensonges…
On verra bien, en plus je ne vois pas à quoi ça servirait d’interdire ces chaines, il y a toujours internet, et c’est avouer que l’intégralité du traitement de » l’information » sur le terrorisme est fallacieux….
Prenez des notes, le moment venu ces gens devront rendre des comptes…..
On empoisonne pas des millions de personnes sans le payer d’une manière ou d’une autre…
J’en reviens toujours pas, et Kouchner est dans tous les coups tordus, trafic d’organes, empoisonnement, corruption etc….
Quand je suis confronté à de telle énormité, j’ai honte de ne rien faire,
et vous ?
Les gendarmes de la Sarthe ont été mobilisés plusieurs jours par le vol d’une cagnotte de tombola scolaire. Ils envisageaient même de prendre les empreintes digitales de jeunes élèves pour trouver le coupable…
Finalement, lundi soir, les enfants ont été mis hors de cause: une «empreinte exploitable» s’est révélée être «une empreinte d’adulte», a indiqué à l’AFP le commandant Pascal Julien, qui dirige le groupement de gendarmerie de la Sarthe.
L’empreinte relevée va donc être envoyée au fichier national des empreintes digitales dans l’espoir de résoudre l’énigme du vol, a indiqué le commandant Julien.
L’affaire qui concerne une somme d’environ 250 euros «dérobée dans la classe des CM2 vendredi 7 mai au matin», a déjà suscité une plainte, une palpation des élèves et une fouille des cartables, selon un courrier de l’équipe enseignante de l’école de Saint-Jean d’Assé, une commune d’un millier d’habitants située à une quinzaine de km au nord du Mans.
Le jour du vol, c’est sur les conseils de la gendarmerie que le corps enseignant a effectué une palpation (sans fouille complète) des élèves et fouillé «leurs cartables et casiers», mais sans résultat, précise le courrier adressé aux parents.
Les gendarmes sont venus le lundi suivant sans préavis dire aux enfants qu’une plainte avait été déposée et serait retirée «si la somme complète était rapportée avant la fin de la semaine». Ils ont prévenu qu’à défaut, ils prendraient les empreintes digitale des élèves dès le lundi 17 mai, selon la même source.
L’affaire ayant suscité l’émoi, la direction a organisé une réunion lundi soir avec les parents et les gendarmes pour «expliquer le déroulement d’une enquête et de dédramatiser l’affaire», ont indiqué les gendarmes.
Lors de cette réunion, il a été proposé aux parents que soient prélevées leurs empreintes… Ce qui a été fait, mais aucune ne correspondait à celle relevée sur la boîte de la cagnotte, a précisé le militaire. libération
De mieux en mieux, prendre les empreintes des enfants et des parents d’élèves de manière systématique pour un larçin, c’est du grand n’importe quoi et une grande première, voila le monde de demain, un fichage systématique à la moindre occasion.
Et y’a des abrutis qui disent que c’est une bonne chose, ha, je vous jure, on est pas aidés….
Dans un incroyable entretien accordé hier au quotidien suisse La Tribune de Genève, Alexandre Wohlwend, patron d’Arabesque Wealth Management, est convaincu que l’euro ne survivra pas à la crise actuelle. Mieux que ça, il confirme nos prévisions les plus sombres sur les évènements en cours : pour que la monnaie unique se maintienne, il faudrait aligner au même niveau toutes les économies des pays de la zone euro, ce qui est exactement ce que le pouvoir autoritaire européen est en train de mettre en place avec la mise sous tutelle des Etats concernés.
S’exprimant sans langue de bois, M. Wohlwend explique également que « les États-Unis ont planifié et souhaité la création de l’euro, avec la complicité de la Communauté européenne, pour contaminer l’Europe avec leur concept de mondialisation ».
Comme cet entretien n’est pas disponible sur le site internet du quotidien, nous en plaçons ci-dessous les principaux extraits, ainsi que le fac-similé de la version imprimée.
Alexandre Wohlwend à La Tribune de Genève (extraits) :
Je considère que la constitution de l’Europe autour de la monnaie unique est un non-sens politique, économique et culturel. L’Histoire à montré que toute monnaie plurinationale est vouée a exploser s’il y a des déséquilibres dans les économies qui la partagent. (…)
L’euro n’échappera pas à la règle car les différences culturelles et économiques en Europe son énormes. La crise grecque n’est que le premier symptôme. (…)
Cela pourrait être très rapide. J’estime qu’avant cinq ans les pays européens auront largement commencé à se retirer de la zone euro. (…)
[Le plan de 750 milliards est] une fuite en avant. (…) L’Europe est euphorique car elle est droguée à la dette. Cette solution ne fait qu’augmenter la dose de la drogue en créant encore plus de dettes ! Tout cet argent sera finalement ponctionné auprès des contribuables, ce qui risque d’entrainer une crise sociale importante. (…)
Ce sont les États-Unis qui ont planifié et souhaité la création de l’euro, avec la complicité de la Communauté européenne, pour « contaminer » l’Europe avec leur concept de mondialisation et de profits maximum à court terme. Le problème, c’est qu’ils ont créé un endettement abyssal et démantelé leur industrie, rapidement imités en cela par les États européens. En outre, depuis qu’ils ont séparé le dollar de l’étalon-d’or, ils ont créé de la monnaie à tout va, jusqu’à faire baisser de 98% la valeur du billet vert par rapport à l’once d’or. Le dollar est lui aussi moribond et la disparition de l’euro lui profitera en lui permettant de rester momentanément en vie. (…)
Avec 2200 milliards de dollars que la Chine détient en bons du Trésors américains, chaque chinois possède une créance virtuelle de 15′000 dollars envers les États-Unis. Pour l’instant, il n’est pas dans l’intérêt de la Chine de voir chuter la monnaie américaine ; elle continuera donc à augmenter ses réserves en bons du Trésors, qu’elle finira par utiliser pour acheter des pans entiers de l’industrie américaine. Et fera vraisemblablement de même, dans la foulée, avec les pays occidentaux si ces derniers ne se protègent pas par un retour à leur souveraineté monétaire et territoriale, visant à la reconstruction d’un tissu industriel, seul gagnant d’une stabilité économique à long terme.
Propos recueillis par Emmanuel Barraud, pour la TdG mecanopolis
Bon rien de nouveau pour nous, ça fait des mois qu’on le dit, et comme Asselineau ou Hillard il pointe la volonté US pour la création de l’euro, ce banquier assure, même si il ne parle pas du projet fasciste européen.
Merkel fait plonger les marchés, et annonce de manière à peine voilé son intention de quitter l’europe :
» L’euro est en danger, et si nous ne parons pas à ce danger, les conséquences pour l’Europe sont incalculables et les conséquences au-delà de l’Europe sont incalculables », a déclaré la chancelière conservatrice. « Si l’euro échoue, l’Europe échoue », a-t-elle insisté. » source
Le député Myard l’a clairement compris et le dit :
» Le député UMP Jacques Myard estime jeudi que les déclarations de la chancelière allemande Angela Merkel au journal Le Monde signent « la mort annoncée de l’euro ». Dans un entretien au quotidien daté de mercredi, Angela Merkel affirme que « l’appartenance à la zone euro ne peut donner naissance à une Union faite de transferts financiers ». « Cette déclaration signifie la fin de l’euro car c’est refuser par avance que les zones économiques développées paient pour les zones économiques plus pauvres », affirme Jacques Myard dans un communiqué. « C’est donc la mort annoncée de l’euro! » poursuit-il. « Il ne nous reste qu’une chose à faire: comment organiser calmement la sortie de l’euro? Commençons par l’Allemagne! » source
Et pendant ce temps la, la Chine achète TOUS les ports de Grèce :
“Ils veulent faire du Pirée une porte d’entrée en Europe“, affirme Ta Nea en Une. “Ils“, ce sont les hommes de la China Ocean Shipping Company (Cosco) qui, après avoir racheté une partie du port du Pirée en 2009, “ont exprimé leur intention d’acheter les ports de Thessalonique, Kavala et Alexandroupolis, dans le nord du pays“, explique le quotidien grec.
En outre, constate le journal, le “manager rouge de Cosco“, Wei Jiafu, “s’intéresse au réseau ferroviaire (trains et gares), à l’industrie de la marine marchande, au tourisme, à la construction et à la gestion d’aéroports en Crète et ailleurs“. Le “Capitaine Wei” a ainsi été reçu par le Premier ministre Georges Papandréou, qui espère des investissements à hauteur de 3 milliards de dollars, ajoute Ta Nea. “La Grèce devient la porte d’entrée de la Chine en Europe“, lui fait écho la Süddeutsche Zeitung, qui estime que pour la Grèce, le patron de Cosco “est un rayon d’espoir en ces temps sombres”. Toutefois, le journal remarque avec inquiétude que Cosco pourrait bientôt déplacer son siège européen de Hambourg à Athènes. source
C’est vraiment fou tout ce qu’il se passe, et ça va tellement vite…
Mais ne révons pas trop, tout ce que va gagner c’est une union européenne plus volontariste et plus destructrice de souveraineté, j’espère que l’Europe va exploser, mais j’en doute fortement, on verra bien…
Le Brésil et la Turquie ont écrit ce mercredi 19 mai au Conseil de sécurité des Nations unies pour demander le rejet du projet de résolutions pénalisant Téhéran pour son programme nucléaire. Le Brésil appelle les grandes puissances à « évaluer » l’accord signé lundi 17 mai par l’Iran avec le Brésil et la Turquie.
Cet accord prévoit l’échange en Turquie de 1 200 kilos d’uranium iranien faiblement enrichi (3,5%) contre 120 kilos de combustible enrichi à 20% fourni par les grandes puissances et destiné au réacteur de recherche nucléaire à finalité médicale de Téhéran. Il sera remis incessamment à l’AIEA qui se prononcera sur la validité de l’accord.
Une méfiance continuelle
La Chine, la Russie et la France, tous trois membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, ont jugé « positif » l’accord conclu à Téhéran mais cela n’a pas empêché le Conseil, de mettre au point un nouveau projet de sanctions contre l’Iran. Le groupe des six (les Etats Unis, la France, la Grande Bretagne, la Chine et la Russie) soupçonne Téhéran de chercher à se doter de l’arme nucléaire sous couvert d’un programme civil. Le ministre des Affaires étrangères du Brésil, membre temporaire du Conseil de Sécurité et hostile à de nouvelles sanctions, estime que l’accord conclu à Téhéran constitue « une porte d’entrée d’un processus de discussion plus large ». Pour Brasilia, « ignorer cet accord reviendrait à mépriser la possibilité d’une solution pacifique ». Autrement dit, le Brésil ne participera pas au débat pour une nouvelle résolution sur l’Iran au Conseil de sécurité et ne la votera pas.
La proposition Irano-turco-brésilienne se base sur le fait qu’une fois enrichi à 20 %, l’uranium ne peut plus l’être à un taux supérieur comme à 90 % par exemple, taux d’enrichissement nécessaire pour pouvoir en faire une bombe atomique.
En octobre 2009, le groupe des six avait proposé à l’Iran de livrer 1.200 kg d’uranium à la Russie, que la France enrichisse le minerai et le livre ensuite à Téhéran. L’avantage de cette proposition est la quasi-certitude que l’Iran ne pouvait donc se doter d’une bombe, puisque le pays livrait presque tout son uranium. Depuis, les choses ont changé, les six estiment en effet que l’Iran dispose aujourd’hui quelque 2.400 kg de minerai, et non plus de 1.500 kg. En outre, le jour même de la conclusion de l’accord avec le Brésil et la Turquie l’Iran affirmait son intention de continuer à produire de l’uranium enrichi à 20%. Cette déclaration a été pour Washington l’élément essentiel pour convaincre les membres du Conseil de soutenir une nouvelle résolution.
Pays émergeants contre grandes puissances ?
Téhéran a réagi mercredi 19 mai à la menace d’un durcissement des sanctions de l’ONU. Le pays accuse les grandes puissances de se discréditer. « La question des sanctions est dépassée », a affirmé Ali Akbar Salehi, chef de l’Organisation de l’énergie atomique iranienne, également vice-président. « Elles sentent que pour la première fois les pays émergents peuvent défendre leurs droits sur la scène internationale sans avoir besoin des grandes puissances, et c’est dur à accepter pour elles », a estimé le responsable du programme nucléaire iranien.
Le projet de sanctions contre l’Iran a été soumis au Conseil de sécurité de l’ONU mardi 18 mai dans l’après midi. Il prévoit a que l’Iran ne pourra plus investir à l’étranger dans certaines activités sensibles comme les mines d’uranium et que ses navires pourront être inspectés en haute mer. Le projet interdit aussi la vente à Téhéran de huit nouveaux types d’armements lourds, notamment des chars.
LE BRÉSIL DIT CRAINDRE « UN GRAND RETOUR EN ARRIÈRE »
Avec notre correspondante à Brasilia, Annie Gasnier
Le Brésil poursuit ses efforts diplomatiques, désormais directement auprès du Conseil de sécurité. Le président Lula a déclaré craindre « un grand retour en arrière » si les Nations unies ne prenaient pas en compte l´accord tripartite signé à Téhéran.
Les Brésiliens estiment avoir tenu compte de toutes les positions communiquées avant la visite de leur chef d´Etat en Iran. Ils viennent d´adresser une lettre, signée par les ministres des Affaires étrangères brésilien et turc, aux quinze membres du Conseil de sécurité. Leur précipitation à examiner des sanctions contre l´Iran est critiquée par le chef de la diplomatie, Celso Amorim : « Des membres permanents insistaient, et certains l´ont publiquement dit, que la visite de Lula serait celle de la dernière chance. Il existait donc une attente. Et il est impossible que toutes les personnes aient eu le temps d´analyser le résultat, et que le jour d´après, soit présentée une résolution. En fait, cette attente était purement protocolaire ».
Le Brésil souligne que l´Iran a pour la première fois accepté de s´engager par écrit. L´aboutissement de longues et discrètes discussions. La même discrétion, insiste le ministre, pour parler de Clothilde Reiss à chacune de ses rencontres avec des diplomates iraniens, et qui a contribué à sa libération. RFi
Le négociateur iranien Manouchehr Mottaki pense même qu’il n’y aura pas de sanctions :
MOTTAKI: LA RESOLUTION NE VA PAS ETRE ADOPTEE
Mais, pour le chef de la diplomatie iranienne, Manouchehr Mottaki, « il n’y a aucune chance que la résolution soit adoptée ». « Nous ne prenons pas ces mesures au sérieux, les nations cherchant à imposer des sanctions étant minoritaires », a-t-il dit à la chaîne iranienne Al-Alam.
« Il semble que l’accord de Téhéran est sur la voie de devenir opérationnel », a même dit sur un ton optimiste M. Mottaki. almanar
Les occidentaux tentent de snober le Brésil et la Turquie et la Chine et la Russie jouent sur les deux tableaux, en tout cas, l’accord irano-turquo-bresilien a bel et bien changé la donne, les brésiliens insistant sur le serieux de l’accord.
Je me languis de voir comment ça va se passer…
et on a une piste :
Et bien il semblerait que la résolution ait une majorité, ça vient de tomber, et cela empècherait la livraison des S-300, LOL, comment vont le prendre brésiliens et turques, c’est excellent, en plus les russes auront enfin une bonne raison de ne pas livrer les missiles S-300, je crois que le iraniens ne vont pas apprécier, reste encore la centrale de bushehr, mais les russes en prennent un coup au niveau de leur crédibilité de fourisseur d’arme… source
L’intellectuel juif américain Noam Chomsky a déclaré aujourd’hui avoir été empêché par les autorités israéliennes de se rendre en Cisjordanie, où il doit intervenir devant une université palestinienne.
Noam Chomsky a expliqué à la chaîne de télévision 10 (privée) avoir été empêché d’entrer en Cisjordanie, où il a été invité à donner une conférence lundi à l’université Bir Zeit, près de Ramallah, en venant de Jordanie, au point de passage contrôlé par les Israéliens.
« J’y suis allé avec ma fille et deux vieux amis. Nous nous sommes rendus normalement à la frontière où nous avons tous été interrogés. Ils s’intéressaient particulièrement à moi », a raconté le professeur de linguistique de l’Institut de technologie du Massachusetts (nord-est).
Les gardes-frontières, qui « répercutaient des questions du ministère (israélien) de l’Intérieur », étaient « très polis », a-t-il dit, ajoutant toutefois s’être vu refuser le droit de franchir le poste.
« Le gouvernement n’aime pas le genre de choses que je dis et ils n’ont pas aimé le fait que je ne parle qu’à Bir Zeit et pas aussi devant une université israélienne », a-t-il dit. « Je leur ai demandé s’ils connaissaient un seul gouvernement au monde qui aime les choses que je dis », a-t-il ajouté.
Une porte-parole du ministère de l’Intérieur a déclaré que Noam Chomsky se trouvait toujours à la frontière et pourrait peut-être être autorisé à se rendre en Cisjordanie.
« Nous vérifions la situation avec les responsables des services de sécurité », a déclaré Sabin Hadad à l’AFP. La décision de ne pas laisser le linguiste rentrer immédiatement en Cisjordanie semble relever d’une « sorte de malentendu », a-t-elle dit, ajoutant qu’il ne figurait sur « aucune liste » noire.
Le député palestinien Moustafa Barghouti, à l’origine de la venue du linguiste, a dénoncé un acte illustrant « la nature du gouvernement israélien, qui s’oppose à la liberté d’expression ». Noam Chomsky, 81 ans, est un critique virulent de la politique étrangère américaine. Il a souvent dénoncé l’occupation israélienne des territoires palestiniens. le figaro
On en a pas trop entendu parler à la télé, un état » démocratique » interdit à un philosophe de pénétrer sur son territoire, rien que ça et un juif extrémiste de la knesset dans un cynisme incroyable suggère à Noam Chomsky d’entrer à Gaza par les tunnels :
» Suite aux informations selon lesquelles Israël n’avait pas autorisé l’entrée sur son territoire du célèbre linguiste américain Noam Chomsky, connu pour ses positions anti-israéliennes et antisémites, qui devait participer à une conférence à l’université palestinienne Bir Zeit, le député Othniel Schneller (Kadima) a suggéré au philosophe américain de passer par les tunnels de Gaza et a félicité les autorités israéliennes pour cette décision » source
Quel beau pays israél, une justice rabbinique incroyablement rétrograde, des journalistes en résidence surveillés, des politiques plus corrompus les uns que les autres, des voleurs d’organes, des colons qui pourraient très bien être en hopital psychiatrique, des russes mafieux qui n’ont rien de juifs, bref, que du beau monde….
Pour comprendre que la prospérité ne viendra pas des plans de relance de l’Etat mais des entrepreneurs et de leur prise de risque, cela prendra une génération
L’Union européenne dit sauver la Grèce, ou plutôt l’Etat grec, mais chacun comprend qu’elle sauve ses propres banques. Un mensonge de plus qui renforce la perte de confiance envers les autorités. L’Europe poursuivra son déclin si elle ne change pas complètement d’état d’esprit. «Aujourd’hui, si l’on réinventait l’automobile, elle serait interdite par les autorités parce que quelqu’un montrerait que la voiture peut tuer», déclarait récemment Jürgen Hambrecht, président du conseil d’administration de BASF, lors de l’ISC Symposium de Saint-Gall. La prise de risque semble interdite en Europe. Pourtant la prospérité ne viendra pas des plans de relance d’Etats tous plus ou moins gravement endettés ni d’une politique monétaire créatrice de fausses incitations. Mieux vaut replacer l’entrepreneur dans le rôle de pilote, même si cela prendra une génération.
Pourquoi un entrepreneur aurait-il intérêt à investir en Europe si la moitié du coût du travail part en cotisations sociales? L’OCDE vient en effet de publier une étude fort intéressante * sur les impôts sur les salaires. Ceux-ci englobent les charges patronales et salariales de sécurité sociale et ce que l’on nomme le coin fiscal (tax wedge), c’est-à-dire l’écart entre le coût total de la main-d’œuvre pour l’employeur et ce que le salarié reçoit. Le pire coin fiscal se trouve en Belgique (55,2%), Hongrie (53,4%), Allemagne (49,2%) et France (49,2%).
La Grèce n’est pas loin (41,5%). Les bons élèves, ceux qui tentent d’attirer l’initiative privée,
sont la Nouvelle-Zélande (0,6%), l’Islande (8,6%), le Luxembourg (11,2%), l’Irlande (11,7%).
D’une année à l’autre, la Nouvelle-Zélande fait le plus d’effort
en direction des entreprises (–2,66% en un an), devant la Turquie et la Suède. Par contre, le coin fiscal a augmenté en Suisse, ce qui la place parmi les six pays qui partent dans le mauvais sens…
La Nouvelle-Zélande se met donc en évidence. Sa monnaie a gagné 20% contre le franc en un an en vertu des achats étrangers de ses obligations et de nombreuses implantations d’entreprises. La Chine est devenue son deuxième partenaire commercial, derrière l’Australie, dont le premier marché d’exportation est la Chine. L’ascension de l’Empire du Milieu frappe les esprits. Le pays fait maintenant partie du Top 5 des marchés d’exportation de 11 pays contre seulement 2 en 1990.
Ces classements valent plus que n’importe quel discours de Nicolas Sarkozy ou de José Barroso. Ils montrent qu’il y a des pays qui se battent pour attirer les investisseurs et d’autres qui accusent le marché. Pourtant le marché, c’est l’entrepreneur, le consommateur, chaque individu.
L’accélération du transfert de pouvoir vers l’Asie se lit dans une autre étude, effectuée par Goldman Sachs, qui décrit les cinq principaux marchés d’exportations en 1980, 1990, 2000 et 2008. L’Australie exprime à merveille cette redistribution des cartes. En 1980, ses 4 principaux marchés étaient le Japon, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la Nouvelle-Zélande. En 2008, ils sont remplacés par Japon, la Chine, la Corée et l’Inde. Les Etats-Unis ne sont plus que cinquièmes.
C’est en Europe que l’on observe la plus grande stabilité. L’Allemagne, l’Italie et le Royaume-Uni restent les trois principaux marchés d’exportation de la France. Le Top 5 des partenaires de la Suisse est également stable, à l’exception de l’arrivée en deuxième position des Etats-Unis.
Mais des modifications sont annoncées. En 2012, la Chine dépassera la France comme premier partenaire commercial de l’Allemagne. La part des exportations allemandes vers les pays du BRIC est d’ailleurs passée de 3,9% à 8,4% en huit ans. Pour Siemens ou BMW, les relations avec la France comptent moins qu’avec les pays du BRIC.
Le dernier classement de la compétitivité des pays réalisé par l’IMD, qui sort ce jour, permettra de suivre l’ascension des pays asiatiques et la position des membres de l’eurozone.
Pour sortir de cette logique du déclin, il ne faut pas demander aux hommes de l’Etat de rétablir une situation dont ils sont responsables, selon Patrick de Cazenove, secrétaire général du Cercle Bastiat. Mieux vaut rendre aux privés les services qui leur ont été pris et les laisser gérer, suivant ainsi le conseil de Deng Xiaoping: peu importe qu’un chat soit blanc ou noir s’il attrape la souris.
L’effort requis est considérable. La crise de la dette publique traduit, selon le philosophe Anthony de Jasay, un problème de préférence temporelle: les biens futurs ont moins de valeur que les biens actuels. C’est le symptôme de la carte de crédit et de l’«envole-toi maintenant et paie plus tard». L’apparente irresponsabilité des hommes politiques dans la gestion des retraites, des assurances sociales ou des services publics est plus rationnelle qu’il n’y paraît. Leurs promesses dépendent des votes obtenus lors des élections. Ils laissent supposer que leurs réserves financières sont immenses. Plane ainsi l’espoir d’un possible «envole-toi maintenant et ne paie peut-être pas, ou ne paie jamais». C’est parce que le gouvernement peut emprunter sur l’avenir que l’opposition à son programme dépensier ne rencontre guère d’opposition. Dans les démocraties modernes, le déficit est endémique. Les énormes déficits publics des mauvaises années ne font que succéder aux petits déficits des bonnes années. «Quand une société fonctionne avec une carte de crédit collective, il est difficile d’espérer mieux», selon de Jasay.
La crise de l’Europe, comme la crise bancaire, devrait inciter à sortir de ce cercle vicieux et à se sentir chacun responsable de ses décisions. L’exercice n’est pas impossible. D’ailleurs le nombre de pays qui n’ont pas de problème de dette publique n’est-il pas majoritaire?
C’est bien que des journaux commencent dire la vérité sur les perspectives économiques européennes, il faut que les gens soient au courant pour qu’ils puissent s’organiser, changer leur plan et s’adapter au mieux au 20 années difficiles qui vont suivre…
Les chiffres sont sans appels et j’ajoute que les chinois déposent plus de 2 fois plus de brevets que les américains, les étudiants formés dans les meilleures universités américaines rentrent désormais dans leur pays et participent au renouveau de la Chine, (qui représentait en 1850 30% du PIB mondial), en fait nous n’assistons qu’à un juste retour de choses, la domination occidentale ne s’est construite que par la guerre, le pillage et la mort. Aux pays les plus peuplés, les plus gros PIB, c’est somme toute assez logique….
« Les États possédant l’arme nucléaire, ceux qui l’ont utilisée ou ceux qui ont menacé de l’utiliser devraient être suspendus de l’Agence internationale de l’Energie atomique (AIEA). », affirmait M. Ahmadinejad lors de la Conférence de Téhéran sur le nucléaire le 17 avril 2010. Pour le président iranien, le Traité de non-prolifération nucléaire devrait être révisé par les pays indépendants dépourvus de ce genre d’armement. Toujours à propos du nucléaire, demandant à ce que la structure du Conseil de sécurité de l’ONU soit réformée, il ajoutait : « Un jour, la justice, la paix et la sécurité seront instaurées dans le monde entier grâce aux efforts d’hommes justes et parfaits, et l’arrogance n’y aura aucune place … » Puis, M. Mehmanparast, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a récemment annoncé sur Al-Jazeera que l’Iran poursuivait son programme nucléaire, sans omettre de préciser que les Etats-Unis menaçaient son pays de sanctions depuis trente ans, donc bien avant le lancement même de ce programme. « Même si nous parvenions à un accord avec Washington, ils ouvriraient un nouveau dossier. »
Quant aux Etats-Unis, le dossier sur le nucléaire iranien est bel et bien ouvert et la diabolisation contre l’Iran fait son oeuvre à l’international bon gré, mal gré. Mais, comme nous l’apprend le New York Times, Washington s’interroge sur la politique à adopter pour contrecarrer l’Iran si les tractations diplomatiques venaient à échouer. Stratège reconnu dans son cercle, le Secrétaire à la Défense, Robert M. Gates, fort préoccupé, prévient la Maison Blanche dans un mémorandum de trois pages, que les Etats-Unis n’ont pas de politique réellement élaborée. Fâcheux, car selon leurs prévisions, l’Iran serait capable d’envoyer une bombe sur les Etats-Unis d’ici 2015.
Selon Gates, les Etats-Unis n’ont pas de politique pour contrecarrer l’Iran
Par David E.SANGER et THOM SHANKER, paru dans le New York Times
Publié le 17 avril 2010
WASHINGTON – Selon les responsables gouvernementaux connaissant le dossier, le Secrétaire à la Défense Robert M. Gates a averti les officiels de la Maison-Blanche via un mémorandum secret de trois pages que les États-Unis n’ont pas de politique efficace à long terme pour faire face à l’évolution du potentiel nucléaire iranien.
Selon plusieurs officiels, les analyses hautement classifiées rédigées en janvier pour le conseiller à la sécurité du Président Obama, le Général James L. Jones, sont arrivées tandis que le Pentagone, la Maison Blanche et les services de renseignement travaillaient à développer de nouvelles options pour M. Obama. Il s’agissait d’une série d’alternatives militaires, encore à un stade de développement, à employer si la diplomatie et les sanctions pour obliger l’Iran à changer de cap venaient à échouer.
Les fonctionnaires ayant connaissance de la note auraient uniquement évoqué la stratégie et la politique, et non, apparemment, les sanctions concernant les opérations secrètes contre l’Iran ou la façon de négocier avec les alliés du Golfe Persique.
Un haut fonctionnaire qui, comme d’autres, en raison du caractère sensible de la note a parlé sous réserve de l’anonymat, a décrit ce document comme étant « un avertissement sans frais. » Mais les officiels de la Maison Blanche ne sont pas d’accord sur ce point. Ils insistent sur le fait que durant 15 mois, ils ont mené des plans détaillés envisageant toutes les éventualités sur le programme nucléaire iranien.
Vendredi, lors d’une interview, le Général Jones a refusé de parler de la note. Toutefois, il a dit : « Concernant l’Iran, on fait ce qu’on a dit qu’on allait faire. Le fait que l’on ne révèle pas au monde toute notre stratégie ne veut pas dire que nous n’avons pas de stratégie pour anticiper sur tout le panel des risques – nous le faisons. »
Mais dans sa note, M. Gates a abordé plusieurs sujets, notamment l’absence d’une stratégie efficace que l’Iran pourrait adopter et que plusieurs gouvernements et analystes extérieurs considèrent ainsi : l’Iran pourrait assembler les pièces essentielles à une arme nucléaire – le combustible, les plans et les détonateurs – mais ne pourrait aller jusqu’à assembler une arme totalement opérationnelle.
Dans ce cas, l’Iran pourrait rester signataire du Traité de Non-prolifération Nucléaire tout en devenant ce que les stratèges appellent un Etat à l’armement nucléaire « virtuel. »
Selon plusieurs fonctionnaires, la note appelle également à réfléchir sur la façon dont les Etats-Unis pourraient contenir la puissance de l’Iran si celui ci décidait de produire une arme, et sur la manière de gérer l’éventuelle obtention du combustible ou des armes par des groupes terroristes que l’Iran a soutenus, ce qui pour les officiels, est moins probable.
M. Gates n’a jamais mentionné la note en public. Son porte-parole, Geoff Morrell, a refusé de commenter les détails du document, mais a publié une déclaration le samedi, disant : » Le secrétaire estime que le président et son équipe de sécurité nationale ont dépensé énormément d’efforts et de temps pour envisager et préparer le panel complet des éventualités à l’égard de l’Iran.
Poursuivant sur les phrases jusqu’alors ambiguëes de l’administration – jusqu’ à quel point les Etats-Unis seraient prêts à autoriser le programme de l’Iran – un haut fonctionnaire a décrit la semaine dernière de façon un peu plus explicite qu’il y a une ligne que l’Iran ne serait pas autorisé à franchir.
Le fonctionnaire a déclaré que les Etats-Unis devraient s’assurer que l’Iran ne puisse « acquérir une capacité nucléaire », une étape à laquelle Téhéran pourrait bien parvenir avant de développer une arme sophistiquée. « Cela inclut la possibilité d’ une rupture », a-t-il dit, employant un terme de spécialistes en nucléaire, s’appliquant à un pays qui renonce tout à coup au Traité de non prolifération, et utilisant sa technologie pour élaborer un petit arsenal.
Deux semaines avant environ, dans une interview du New York Times, on avait demandé à Mr Obama s’il faisait la différence entre la capacité nucléaire de l’Iran et (les pays) qui avaient une arme totalement développée. « Je ne vais pas analyser cela maintenant » a t-il dit. Mais il a noté que la Corée du Nord avait été considérée comme un État à potentiel nucléaire jusqu’à ce qu’elle ait rejeté les inspecteurs et, comme il l’a dit, « soit devenue un État nucléaire auto-proclamé. »
M. Gates, préoccupé, a fait allusion aux agences de renseignements qui pourraient passer à côté du signal indiquant que l’Iran a atteint la dernière étape de production d’une arme. Dimanche dernier, au journal télévisé « Meet the Press » de la NBC, il disait : » Si leur politique consiste à aller jusqu’à franchir le seuil, mais sans assembler d’arme nucléaire, comment peut-on dire qu’ils ne l’ont pas assemblée ? Je ne sais vraiment pas comment on pourrait le vérifier. » Mais il a prévenu que l’Iran a rencontré des difficultés de production, disant : » ça va lentement, plus lentement qu’ils ne l’espéraient; mais ils vont dans cette direction. »
M. Gates a tenu un rôle crucial dans la présentation de la stratégie de l’administration; on le connait dans sa carrière pour ses avertissements sévères sur de possibles surprises stratégiques.
Pour certains fonctionnaires, sa note devrait être vue sous cet angle : tel un avertissement pour prévenir un président relativement nouveau que les Etats-Unis ne sont pas suffisamment préparés.
Il a écrit cette note après que l’Iran ait laissé passer le délai de 2009 fixé par M. Obama pour répondre à son offre d’engagement diplomatique.
Ce processus tout comme les efforts visant à porter de nouvelles sanctions contre l’Iran ont été débattues. Les fonctionnaires de l’administration espéraient que les révélations de M. Obama en septembre, disant que l’Iran construisait une nouvelle centrale d’uranium enrichi dans une montagne près de Qom, stimuleraient d’autres nations contre l’Iran, mais les réactions ont été moindres.
Les trois mois suivants ont été consacrés à ce qui s’est révélé être des pourparlers diplomatiques infructueux avec l’Iran concernant le changement d’une grande partie de son uranium faiblement enrichi en combustible pour un réacteur médical à Téhéran. Les négociations échouaient au moment où Mr Gates rédigeait sa note.
La note de M. Gates semble refléter les préoccupations du Pentagone et des militaires sur le fait que la Maison Blanche n’ait pas d’alternatives suffisamment bien préparées au cas où toutes les mesures diplomatiques viendraient à échouer. De son côté, l’Amiral Mike Mullen, Président du Comité des chefs d’Etat-major interarmes, a écrit « une notice d’information pour la présidence » à l’intention de son équipe en décembre pour véhiculer un sentiment d’urgence sur la planification des contingences. Il a prévenu qu’une attaque militaire aurait des « résultats limités », mais il n’a fourni aucun avertissement sur les carences de la politique.
« Si le Président fait appelle à des options militaires, nous devons les tenir prêtes, » écrit l’Amiral.
Les responsables de l’administration, témoignant devant un comité sénatorial la semaine dernière, ont clairement indiqué que les préparatifs étaient en cours. Ce qu’a fait le Général Jones, disant dans l’interview : « Le Président a clairement fait savoir dès le commencement de cette administration que nous devions être prêts à toute éventualité. » « C’est ce que nous avons fait dès le premier jour, parvenant à constituer une coalition des nations pour isoler l’Iran et la presser de tenir ses obligations. »
Durant la même audience devant la commission sénatoriale des forces armées, le lieutenant-général Ronald L. Burgess Jr., directeur de la Défense Intelligence Agency, le général James E. Cartwright, le vice-président du Joint Chiefs of Staff et l’un des officiers militaires les plus expérimentés sur les questions nucléaires ont déclaré que l’Iran pourrait produire du combustible de la catégorie d’une bombe pour au moins une arme nucléaire d’ici un an, mais que deux à cinq ans lui seraient probablement nécessaires pour fabriquer une bombe atomique viable.
L’administration a intensifié les efforts pour contenir l’influence de l’Iran et contrer ses missiles, y compris par la mise en place de batteries anti-missiles Patriot, le plus souvent gérées par les Américains, dans plusieurs États à travers le Golfe Persique. Le Pentagone va également de l’avant avec un plan de défense antimissile régional qui reconfigure l’architecture héritée de l’administration Bush afin de répondre plus rapidement aux intercepteurs sur terre et sur mer.
L’article en explique pas plus que ça, mais la problématique est bien réelle, que vont pouvoir faire les occidentaux et ces tarés de juifs extrémistes pour faire plier l’Iran ?
Le jeu en vaut-il la chandelle, un baril à 400 dollars, une économie mondiale plombée, une rupture totale avec le reste des nations qui ne tolèreront plus l’hégémonie occidentale, Russie et Chine en tête.
Tout ça pour ces chiens galeux de sionistes malsains, espérons que Meyssan ait raison, que l’armée US a la la main haute sur les affaires et que les militaiires US comprendront le caractère suicidaire et vain d’une attaque sur l’Iran.
Maintenant, nous savons tous que certaines élites poussent au conflit, d’intenses tractations doivent avoir lieu en coulisse, le chaos est le but ultime des élites satanistes qui poussent à une gouvernance mondiale autoritaire, vont-elles y arriver, Hillard estime pour sa part qu’il faut compter sur la providence pour que ce projet échoue, et je crois qu’il a raison….
Quoiqu’il en soit, au jour d’aujourd’hui, c’est le flou artistique sur l’Iran, ces gens sont remarquablement habiles en diplomatie, les occidentaux enragent, et ne vous laissez pas manipuler par les médias, si les chinois et les russes participent aux sanctions, c’est que celles ci sont légères et ne gèneront en rien la République Islamique.
L’occident est sur la Fin, reste à savoir comment nous allons accepter cela….
L’Iran sera le pays qui aura déboulonné l’occident après 5 siècles de domination sans partage
ou
L’Iran sera le premier pays à se faire atomiser depuis la seconde guere mondiale, montrant que l’occident a totalement perdu la boule, et qu’lle s’accroche coute que coute à son leadership.
L’échec du remodelage du Grand Moyen-Orient a laissé le champ libre à une nouvelle alliance, celle du triangle Téhéran-Damas-Ankara. La nature ayant horreur du vide, Moscou comble l’espace laissé vacant par Washington. Le vent a tourné et il souffle fort. En quelques mois, c’est tout l’équilibre régional qui a été bouleversé.
La nouvelle donne au Proche-Orient : le triangle Turquie-Iran-Syrie (de gauche à droite, les présidents Gül, Ahmadinejad et Assad).
L’équilibre du Proche-Orient a été entièrement modifié au cours des derniers mois. Tout d’abord, les capacités et les positions de plusieurs acteurs ont changé.
Les forces armées israéliennes, qui avaient enchaîné victoire sur victoire durant des décennies, ne sont plus capables de maîtriser le terrain. Au cours de leur offensive contre le Liban (2006), puis contre Gaza (2008), elle ont montré qu’elles ont accru leur puissance de destruction, mais qu’elles ne parviennent plus à atteindre les objectifs qu’elles se fixent, en l’occurrence détruire le Hezbollah et le Hamas.
En outre, leur arsenal, alimenté autant que de besoin par les Etats-Unis, ne garantit plus leur domination. Leurs chars sont devenus vulnérables aux RPG russes, alors qu’ils formaient l’outil central de leur blitzkrieg. Leur marine est menacée par les missiles sol-mer livrés par la Chine au Hezbollah et désormais dotés des système anti-brouillage qui leur manquaient en 2006. Enfin, leur domination aérienne ne résistera pas longtemps à la prolifération des S-300 russes, en cours de livraison dans la région.
La quasi-indépendance du Kurdistan irakien organisée par les Etats-Unis, le développement économique de ce quasi-Etat sous tutelle israélienne, et le soutien trop visible des USA aux séparatistes kurdes du PKK ont contraint les militaires turcs à un revirement complet. L’Alliance atlantique n’apparaît plus comme la garante de l’intégrité territoriale turque et Israël devient un ennemi.
Si Ankara veille à ménager Washington, le ton n’a cessé de monter avec Tel-Aviv depuis l’algarade opposant Recip Erdogan à Shimon Peres lors du Forum de Davos, à l’incident diplomatique relatif à la série télévisée La Vallée des loups.
Le chaos irakien et la création du quasi-Etat du Kurdistan ont contraint les Etats riverains à se concerter pour se protéger de la contamination. D’autant que Washington a tenté de les déstabiliser tous pour les tenir à l’écart du jeu irakien. Ainsi les Etats-Unis et Israël ont soutenu en sous-main les séparatistes kurdes de Turquie (PKK), ceux d’Iran (Pejak) et ceux de Syrie.
Par conséquent, l’axe Iran-Syrie a fait place à un triangle Iran-Syrie-Turquie. Celui-ci dispose d’une légitimité historique sans équivalent.
Depuis la Révolution islamique, l’Iran est le chef de file des chiites. Après la destruction du Baas irakien par Paul Bremmer, la Syrie est devenue le leader incontesté du camp laïque. Enfin, la Turquie, héritière du califat, est le berceau du sunnisme. A eux trois, ces Etats couvrent la presque totalité du champ politique proche-oriental.
Cette alliance clos le chapitre du Divide et Impera (diviser pour régner), que les puissances coloniales avaient su appliquer pour dominer cette très vaste région. Elle met particulièrement un point final à la Fitna, c’est-à-dire à la guerre civile musulmane entre sunnites et chiites. Déjà le roi Abdallah d’Arabie saoudite avait invité le président iranien Ahmadinejad à faire avec lui le pèlerinage à La Mecque, dont il est le gardien. Mais la Turquie est l’héritière des Ottomans, et à ce titre incarne le sunnisme historique.
De plus, pour Ankara, ce nouveau triangle élargit enfin un horizon bouché par les interminables atermoiements de l’Union européenne.
La dé-baasisation de l’Irak, c’est-à-dire la chasse ouverte contre les anciens cadres administratifs du pays, a provoqué un exode massif. En six ans, plus d’un million d’Irakiens ont été accueillis en Syrie. Cette hospitalité arabe inclut l’accès gratuit sans contrepartie aux établissements scolaires et universitaires ainsi qu’à l’ensemble du système de santé. Dans un premier temps, cette ample vague migratoire a provoqué une grave crise économique dans le pays, mais une fois digérée, elle lui apporte des cadres très qualifiés et une nouveau dynamisme.
Les troubles organisés par les Etats-Unis au Yémen ont contraint la famille royale saoudienne à soutenir la politique du roi Abdhallah d’apaisement avec la Syrie et l’Iran. Par voie de conséquence, le clan libano-saoudien Hariri a été prié de se réconcilier avec le président Bachar el-Assad et de reconnaître la légitimité de l’armement de la Résistance libanaise.
Du coup, le résultat ambigüe des élections législatives truquées —gagnées en voix par la coalition conduite par le général Aoun et le Hezbollah, mais gagnées en sièges par la coalition pro-US formée autour du clan Hariri et de l’extrême-droite chrétienne— a changé de signification et ouvert la voie à un gouvernement d’union nationale. Tandis que des chefs de guerre comme le socialiste Walid Jumblatt opéraient un virage à 180° pour s’aligner sur le sens du vent.
Cependant, cette évolution est fragile, Washington ayant peut-être la possibilité de déstabiliser la nouvelle troïka.
Quoi qu’il en soit, plusieurs tentatives de renversement de Bachar el-Assad par des généraux corrompus ont été éventées avant même qu’ils ne puissent passer à l’acte.
Les multiples attentats orchestrés par la CIA dans les provinces non-persanes d’Iran n’ont pas donné le signal de révoltes séparatistes. Tandis que la révolution colorée, organisée par la CIA et le MI6 à l’occasion de l’élection présidentielle, a été noyée par une marée humaine. Aux quelques dizaines de milliers de contestataires des quartiers nord de Téhéran a répondu une manifestation monstre de 5 millions de personnes.
Enfin, Washington semble dans l’incapacité d’user une nouvelle fois du Gladio pour instaurer une dictature militaire en Turquie. D’une part parce que la nouvelle génération de généraux turcs n’est plus arc-boutée au kémalisme et d’autre part parce que le gouvernement démocrate-musulman de l’AKP s’est appliqué à démanteler l’Ergenekon (version actuelle du Gladio turc).
Washington et Tel-Aviv peuvent aussi monter des dossiers mensongers pour justifier d’actions militaires.
Ainsi ont-ils laissé entendre depuis 2007 qu’Israël aurait découvert et bombardé un centre de recherche militaire nucléaire en Syrie et que l’Iran conduirait un vaste programme de même nature. Plus récemment, les mêmes puissances ont accusé la Syrie d’avoir fait entrer des Scud au Liban.
Toutefois ces imputations ne résistent pas plus à l’analyses que celles délivrées par le secrétaire d’Etat Colin Powell au Conseil de sécurité des Nations Unies à propos des prétendues armes de destruction massive irakiennes. Les diverses inspections de l’AIEA n’ont mit en évidence que des activités civiles, et la force de maintien de la paix des nations Unies au Liban a démenti la présence de Scud dans le pays.
La nouvelle donne au Proche-Orient : le triangle Turquie-Iran-Syrie (de gauche à droite, les présidents Gül, Ahmadinejad et Assad).
Le 23 février 2010, Bachar el-Assad répond aux injonctions d’Hillary Clinton et défie Barack Obama en recevant Hassan Nasrallah et Mahmoud Ahmadinejad.
L’entrée en scène de la Russie
La perte d’influence des Etats-Unis est si palpable que le général David Petraeus, commandant en chef du Central Command a sonné l’alarme à Washington. A ses yeux, le jeu joué par les Israéliens non seulement en Palestine, mais surtout en Irak, a plombé les projets états-uniens dans la région.
Plus encore, l’enlisement des GI’s en Irak et en Afghanistan en fait des otages de la Turquie, de la Syrie et de l’Iran, seuls en mesure d’apaiser les populations révoltées.
Dans une complète inversion des rôles, l’allié stratégique du Pentagone est devenu un boulet, tandis que ses ennemis régionaux sont ses boucliers.
Prenant acte de l’échec du remodelage US du Grand Moyen-Orient, Moscou s’est repositionné sur la scène régionale lors du voyage du président Dmitry Medvedev à Damas et Ankara.
Concernant les conflits avec Israël, la Russie a réaffirmé que le règlement politique devait être fondé sur les résolutions pertinentes de l’ONU (incluant l’inaliénable droit au retour des Palestiniens) et les principes de la conférence de Madrid (restitution des territoires occupés, dont Jérusalem-Est et le Golan syrien, en échange d’un Traité de paix).
En outre, Dmitry Medvedev a confirmé la préférence russe pour la solution à deux Etats. Compte tenu de la présence d’un million d’ex-Soviétiques en Israël, Moscou veut prévenir un exode prévisible en cas de chute du régime sioniste. Dans cette perspective, il a souhaité une réconciliation entre le Fatah et le Hamas, et a rencontré Khaled Mechaal, le leader politique de la Résistance palestinienne, alors même que celui-ci est qualifié de « terroriste » par les Etats-Unis. Il s’agit bien d’un pas décisif de la Russie : le président Medevedev avait refusé par trois fois de recevoir M. Mechaal de passage à Moscou, il a cette fois eu une entrevue avec lui, et qui plus est à Damas. A cette occasion, le président russe a souligné l’urgence croissante de la situation humanitaire à Gaza et déploré le désintérêt de Washington à résoudre ce drame.
Enfin, faisant allusion aux menaces israéliennes de bombarder les convois d’armes passant de Syrie au Liban, il a mis en garde Tel-Aviv contre une escalade de la tension.
La Russie soutient le rapprochement politique et économique en cours entre l’Iran, la Syrie et la Turquie. Les trois Etats leaders au Proche-Orient sont entrés dans une phase d’intense coopération. En quelques mois, ils ont ouvert leurs frontières et libéralisé leurs échanges à marche forcée. Leurs économies bloquées par les années de guerre ont été soudainement ventilées. La Russie entend ne pas rester à l’écart de cette nouvelle zone de prospérité. Immédiatement, Ankara et Moscou ont abrogé la nécessité de visas pour leurs ressortissants. Ainsi un Turc peut entrer sans formalité en Russie alors qu’il n’y est toujours pas autorisé ni aux USA, ni dans l’Union européenne, bien que la Turquie soit membre de l’OTAN et candidate à l’UE.
Moscou a créé des instances permanentes de concertation à haut niveau, aux plans diplomatique et économique, avec Damas et avec Ankara, qui contrastent avec la politique des Etats-Unis.
En début d’année, la secrétaire d’Etat US, Hillary Clinton, avait sommé la Syrie de prendre ses distances avec la Résistance. Pour toute réponse le président Bashar el-Assad s’était immédiatement affiché aux côtés de son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad et du secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah et avait signé un document ironiquement qualifé de « Traité de distance réduite ». La rencontre avait été improvisée de sorte que Khaled Mechaal n’avait pas eu le temps de s’y rendre, mais le Hamas était associé à la démarche.
Mettant ses menaces à exécution, le président Barack Obama a répliqué en reconduisant pour deux ans des sanctions économiques contre la Syrie.
Rosatom et Atomstroyexport, qui terminent la construction d’une centrale nucléaire civile en Iran (Bushehr) et sont en discussion pour de nouvelles, en construiront une autre en Turquie pour 20 milliards de dollars. Elle devrait être inaugurée dans sept ans. Un projet similaire est à l’étude en Syrie. Le manque d’électricité, dans une région qui a souffert des bombardements israéliens, est le principal handicap au développement économique. Du point de vue proche-oriental l’empressement russe à construire ces centrales n’est pas tant imputable à un appétit commercial qu’à une volonté de donner aux peuples concernés le moyen d’accélérer le développement économique que les Occidentaux leur ont si longtemps interdit.
En outre Stroitransgaz et Gazprom vont assurer le transit du gaz syrien vers le Liban, Beyrouth étant empêché par son voisin israélien d’exploiter ses importantes réserves off shore.
Au plan militaire, la Russie a pris livraison de sa nouvelle base navale en Syrie. Celle-ci lui permettra de rétablir l’équilibre en Méditerranée dont elle est plus ou moins absent depuis la dissolution de l’URSS. Elle a également confirmé la prochaine livraison de missiles S-300 à Téhéran afin de protéger l’Iran des menaces de bombardement états-uniennes et israéliennes.
Tout en stigmatisant les provocations iraniennes, les diplomates russes ont répété qu’ils ne croient pas aux accusations occidentales à propos de prétendus programmes nucléaires militaires iranien ou syrien. Alors que le protocole des Etats riverains de la Caspienne ne prévoit qu’une fourniture d’armes à l’Iran si celui-ci était attaqué, le président Medvedev a évoqué une possible intervention directe de la Russie et mis en garde les Etats-Unis contre une guerre en Iran qui dégénérerait en Troisième Guerre mondiale. Sur ce fondement, il a apporté son soutient au projet de dénucléarisation de la région, c’est-à-dire de démantèlement de l’arsenal nucléaire israélien. L’affaire vient d’être portée devant l’AIEA.
En octobre 2009, la Turquie et l’Arménie établissent —enfin— des relations diplomatiques. L’espace caucasien s’ouvre pour Ankara (de gauche à droite les présidents turc et arménien, Gül et Sargsyan).
Moscou attache une importance particulière à aider la Turquie à régler ses contentieux séculaires avec la Grèce et l’Arménie, incluant les conflits de Chypre et du Haut-Karabagh. De la sorte, Ankara pourrait s’éloigner définitivement de Tel-Aviv et de Washington et reprendre sa complète indépendance. Des pas importants, mais insuffisants, ont été accomplis par le président Abdullah Gül vis-à-vis d’Erevan. Passant outre 95 ans de haine, la Turquie et l’Arménie ont établi des relations diplomatiques. D’autres avancées devraient suivre vis-à-vis d’Athènes avec la bénédiction du patriarche orthodoxe Cyril Ier de Moscou. De ce point de vue, la visite de Recip Erdogan en Grèce est un événement historique qui relance le processus de réconciliation en Mer Egée, amorcé dans les années 30 et interrompu par la Seconde Guerre mondiale.
Les présidents russe et turc, Dmitry Medvedev et Abdullah Gul. Les ennemis de la Guerre froide deviennent partenaires pour stabiliser « le Proche-Orient et le Caucase ».
Bouleversant la stratégie US en Mer Noire et dans la Caspienne, Ankara a accepté un gigantesque investissement russe pour la construction d’un pipe-line reliant Samsun à Ceyhan. Il devrait permettre d’acheminer le pétrole russe de la Mer Noire vers la Méditerranée sans avoir à emprunter les détroits, impropres au transit de matières polluantes. Identiquement, Ankara étudie sa possible participation au projet de gazoduc russe South Stream. Si celle-ci devait être confirmée, elle rendrait inutile le projet concurrent des Etats-Unis et de l’Union européenne, Nabucco.
En définitive, le soutien russe garantit la pérennité du triangle Téhéran-Damas-Ankara face à l’hostilité des Etats-Unis et de l’Union européenne. L’équilibre stratégique du Proche-Orient vient de basculer. L’onde de choc pourrait se propager au Caucase.
Thierry Meyssan voltairenet.org
C’est effectivement un basculement dans les relations internationales, nous voyons l’ordre post seconde guerre mondiale voler en éclat et l’Iran y joue un grand rôle, et dire que nos médias prétendent que l’Iran est isolé sur la scène internationale….
Alors que c’est l’inverse, l’Iran démontre que de nombreux pays dans le monde soutiennent la République Islamique d’Iran dans sa marche d’émancipation des puissances occidentales.
L’occident n’a pas à dire comment les pays de monde doivent se développer, et l’argument de la sécurrité est totalement fallacieux, puisque ce sont ces mêmes occidentaux qui sont parties prenantes ou responsables de quasiment tous les conflits dans le monde.
Les occidentaux et les cons de sionistes doivent ronger leur frein, les iraniens ne se laissent pas faire, et plus nous tentons de les affaiblir, plus l’occident est désemparé, c’est excellent…..
Meme si je ne pense pas que le Califat puisse renaitre, il est vrai qu’une alliance entre l’Iran, la Syrie, la Turquie et le Liban donne une certaine homogénéité géographique d’un tel ensemble, il faudrait maintenant que l’Arabie Saoudite et l’Egypte lache également les USA pour que l’ensemble du moyen orient se désolidarise de la tutelle occidentale. Suivons la trajectoire d’El Baradeï, il pourrait être un homme clé en Égypte et pour le reste du moyen orient.
Continuons à suivre la situation, c’est l’Histoire qui se déroule sous nos yeux, et cela change très vite…
Le Brésil souhaite participer avec la Turquie aux négociations du groupe 5+1 (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU et l’Allemagne) sur le dossier nucléaire iranien, a indiqué mardi à Madrid un conseiller du président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva. Il serait « normal et souhaitable » que le Brésil et la Turquie, qui ont négocié lundi avec Téhéran une offre d’échange d’uranium iranien en Turquie puissent participer aux négociations des grandes puissances, a déclaré à la presse Marco Aurelio Garcia, conseiller du président brésilien. « Je crois qu’il serait normal qu’au moins une bonne partie des négociations soient ouvertes » à ces deux pays, a déclaré le conseiller pour les affaires étrangères du président Lula. le monde
Et bey voila, l’acte fondateur d’un monde multipolaire, deux pays emergents veulent discuter d’égal à égal avec les membres du conseil de sécurité, c’est magnifique !
Les iraniens ont une fois de plus assez bien joué, en impliquant le Brésil et la Turquie pendant la réunion du G15 de Téhéran, ils ont ouvert un boulevard à l’impliquation concréte des anciens pays du tiers monde dans les relations internationales , c’est un véritable renversement de situation qui sera enseigné à l’école.
Les sanctions paralysantes tant vantées par les sionistes et les français n’existeront pas, et il semblerait que le Brésil ne veuille même pas discuter de sanctions légères, c’est dingue.
La réaction chinoise a été très positive:
» La Chine a applaudi l’accord signé par l’Iran, le Brésil et la Turquie concernant l’approvisionnement en combustible du réacteur de recherche iranien, a déclaré mardi Ma Zhaoxu, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
Selon cet accord signé lundi, l’Iran enverra la majorité de son uranium faiblement enrichi en Turquie en échange de combustible enrichi à 20% pour alimenter son réacteur de recherche à Téhéran.
La Chine espère que cet accord encouragera une résolution pacifique du dossier nucléaire iranien, a indiqué M. Ma lors d’une conférence de presse régulière. » source
» La chine a applaudi » LOL, ils sont marrant ces chinois, ils disent à quel point ils sont heureux de l’accord, l’hégémonie occidentale se dilue chaque jour dans un monde ou nous sommes moins nombreux, vieux et endettés.
C’est palpitant, même si il y a des sanctions, elles seront très légères et ne poseront aucun véritable problème, en revanche, ils n’ont pas intérêts à faire faux bond aux turques et aux bresiliens, ils seraient définitivement isolés et cela pourrait ralentir l’accès des nouvelles puissances aux responsabilités mondiale.
L’Islam est comme un miroir déformant de cet occident qui est en phase terminale d’autodestruction, la terreur que les occidentaux ressentent , la terreur de l’avenir est transformé en peur du terrorisme, le manque de foi total en tout, y compris en Dieu…. Cette burqua est symptomatique de ce que les occidentaux, en fin de course, sont en train de se masquer, ils sont tous masqués, ils sont tous eux recouverts d’une burqua mentale pour se cacher, c’est comme si l’islam était pourl’occidental la caricature de ses propres tares
ou
» arretez avec la dignité des femmes, ces femmes sont plus dignes que les votres » !!!
» Si la femme se voile, c’est son rapport à Dieu, ça n’a rien avoir avec les autres, c’est son rapport personnel à
Dieu »
Les politiques français confondent piété et extrémisme, c’est dingue, quel manque de culture !
J’ai même entendu emmanuelli dire qu’il ne fallait pas que la France fasse de la finance islamique, que ce n’était pas notre culture
Bref, sur ce coup la Nabe assure comme un chef, ils sont tous sciés sur le plateau, ce qu’il dit est très censé, les politiques ne comprennent rien, ils mélangent tout et poussent les gens à se détester. Il y a surtout une méconnaissance du fait religieux, beaucoup de français ne savent pas ce que cela signifie croire en Dieu, et on est mal barrés, parceque Dieu est de retour dans la société.