Posts Tagged ‘voleurs’

Fin des chèques dans le monde, et les cartes bleues aussi sont en sursis, l’avenir c’est la puce dans les téléphones.

novembre 28, 2009

SCOOP DU TIMES DE LONDRES: MORT PROGRAMMEE DU CHEQUE A L’ECHELLE MONDIALE
du 23 au 25 novembre 2009 : Amis lecteurs, en lisant cette info du Sunday Times de Londres, j’en suis resté glacé d’éffroi: « les banques anglaises ont préparé des plans pour cesser d’accepter les chèques et de demander aux clients de les remplacer par un paiement par carte ou virement ». En effet, le chèque ne leur rapporte rien, contrairement à la Visa ou au virement. Robert Watts écrit que certains Anglais, scandalisés, ont mis en place une campagne pour « sauver les chèques », « une méthode vieille de 300 ans pour payer ». Mais les banques, elles, ont déjà tout calculé, puisque dans 777, j’ai rapporté les propos du patron de Visa, datant d’il y a 5 ans déjà (!!!) disant qu’à partir de 2012, on ne pourra pas payer en liquide le marchand de journaux… ceux qui voudront payer en liquide pourront le faire mais avec une pénalité ce sera plus cher donc… tout le monde aura intérêt à payer en Visa! Et voyez: le Times a expliqué hier que le chèque sera totalement banni d’ici 2017. En 2018, les milliards de transactions à l’échelle du globe seront donc faites à 95% par carte et 5% par virement. TOUT EST MIS EN PLACE pour que chaque achat puisse rapporter entre 2 et 5% aux banques. Avec 6 milliards d’habitants, vous voyez ce que cela va donner. Et ce sont bien sûr les petits qui vont le plus souffrir: « Britain’s 4,8 million small companies fear the expense of having to install card-processing machines. ‘We would strongly oppose any move by the banks to get rid of the chequebook’, said Stephen Alambritis, head of public affairs at the Federation of Small Businesses ». Lire le timesonline de Londres et la vision de Jean dans 777, la chute du Vatican et de Wall Street. Revue de Presse par Pierre jovanovic © http://www.jovanovic.com 2008-2009

Et oui, petit à petit un monde sans cash se profile, après les chèques, et il est possible que le support carte bleue disparaisse au profit de système de puce installé dans les téléphones, montres ou portables.
Des RFID qui communiquent entre elles sans support spécifique dédié, elles seront partout et enregistreront tout ce que nous faisons.
lisez par exemple cela :
 » CASH is accelerating down the path to extinction as new technologies threaten to mark the end of loose change within a decade.

Bank and credit union bosses say cash won’t be alone, with wallets and credit cards also likely to disappear too.

They told The Advertiser’s round table forum that cash and cards will be replaced by computer chips embedded in mobile phones, watches or other portable devices.

The Advertiser: Future of cash round table »

Australian Central chief executive Peter Evers believes cash will be replaced for most transactions in five-to-seven years.

« Cash will disappear as there will be other forms of carrying cash, stored value in your phone or whatever it might be. It will transfer automatically, » he said. »
article intégral de news.com
traduction google

En plus des économies, du réglèment des problèmes de masse monétaire et autre soucis des banques centrales, c’est le controle de tout les flux financiers personnels qui est visé, et ceux qui refuseront ce controle devront vivre en marge de tout services de l’état et ne pourront pas acheter dans les magasins.
Bien sure, il y aura des fraudeurs, des fausses puces, des faux crédits, mais peu de personnes y auront accès et cela sera fortement puni.Et même si c’est pas trop mon délire, c’est vrai que la comparaison avec le texte de l’apocalypse de jean et la marque de la bête nécessaire pour acheter est assez troublante.
Avec les dégénérés qui nous gouvernent, rien n’est impossible, je les vois bien jouer sur les symboles de la bible pour faire flipper la population.Et si en plus, ça a un coté pratique, c’est encore mieux !!

Les Etats Unis (Socialistes) d’Amérique. lol, mais vrai

octobre 11, 2009

communist_usa-flag.1253025302

Sanctuaire de la libre entreprise, du « laissez-faire » et du « marché à toujours raison » il y a peu, les Etats-Unis ont fait un virage à 180 degré et sont devenus sous la contrainte de la crise hyper interventionniste.

Voici les quelques points forts de cette intervention à coup de milliards de dollars :

290 milliards pour recapitaliser les banques (augmenter leurs fonds propres afin d’absorber les pertes de leur portefeuille de prêts, pouvant être portés à 3 200 milliards en prêts d’urgence ou pour assurer les dépôts des particuliers en cas de faillite de banques.

Obama dans son jardin de la Maison-Blanche (AFP)

-Jusqu’à 2 000 milliards pour acheter les actifs toxiques (crédit hypothécaire) et les produits dérivés (assurance couvrant les éventuelles pertes sur le marché obligataire).

-183 milliards pour renflouer la compagnie d’assurances AIG lourdement engagée dans les produits dérivés et incapable d’honorer ses engagements, vue le montant des pertes accusées par ses « souscripteurs ».

– 83 milliards pour l’industrie automobile suite à la quasi-faillite de General Motors.

– 1 900 milliards dans Fannie Mae et Freddie Mac pour racheter les crédits hypothécaires détenus par ces sociétés qui sont les plus grosses du monde dans ce domaine spécifique, plus 50 milliards pour aider à redessiner les crédits que ces deux firmes ont accordé afin d’éviter que des millions de familles finissent expulsées de leur domicile.

– 4 800 milliards injectés pour ranimer le marché monétaire (crédit à court terme) vital pour l’économie. C’est sur ce marché que se financent les banques et les entreprises.

Aujourd’hui l’Etat fédéral est le premier banquier du pays. 90% des prêts hypothécaires, 60% de GM, 80% de AIG appartiennent désormais à l’Etat. Ces dépenses publiques de soutien industriel, de garantie et de financement des marchés financiers assurent 26% du PNB, un seuil qui n’avait pas été atteint depuis la Seconde Guerre Mondiale.

La majeure partie de ce plan a été mise en place par Georges Bush dans les dernières semaines, juste avant de quitter la Maison-Blanche. Barak Obama a ajouté le volet automobile.

Le virage pour les Républicains est spectaculaire. Après avoir clamé sur tous les toits pendant des années que l’ « Etat est la source des problèmes », une fois mis le dos au mur par la crise, ils ont découvert que l’Etat est le prêteur de dernier ressort pour sauver le privé.

La contradiction est qu’apparente. Au contraire des libéraux classiques du 19ième siècle qui faisaient du respect de l’équilibre budgétaire, les « néo-libéraux » de la fin du 20ième siècle ont opté, sous prétexte de soutenir la croissance, pour une politique systématique de transfert, à un niveau où on peut parler de pillage, des ressources publiques dans des mains privées.
crise vous avez dit crises

ça fait du bien que ces chiffres soient rappellés.
C’est l’état fédéral à travers a FED qui détient une bonne partie de l’économie US.C’est incroyable malsain quand on n’y pense.
Rien à dire de plus, tout est écrit dans l’article.C’est mathématique.

Le taux de défaut des prêts logés dans les titrisations d’immobilier commercial pourrait dépasser les 7 % d’ici fin 2009, selon la société d’analyse Reis

septembre 10, 2009

bombe-economie-magazine-347931

L’état de santé du marché de l’immobilier commercial n’en finit pas de se détériorer sous l’effet de la crise financière et économique. Outre-Atlantique, le taux d’impayés de plus de 90 jours sur les prêts commerciaux est ressorti à 2,88 % au deuxième trimestre, contre 1,18 % un an plutôt, selon Real Estate Econometrics. Sur la période janvier-mars 2009, il était de 2,25 %. Selon la société d’étude sectorielle, les défauts pourraient bondir à 4,1 % à la fin de l’année. Une estimation qui inquiète puisqu’elle s’approche des 4,6 % enregistrés lors de la crise des Savings & Loans de 1992 qui avait été solutionnée par la création de Resolution Trust, véhicule destiné à liquider les prêts non performants et immobiliers d’établissements insolvables.

L’immobilier commercial américain risque d’entraîner dans sa chute le compartiment des titres adossés à des prêts hypothécaires commerciaux (CMBS) qui pèse 700 milliards de dollars. De fait, la société d’analyse Reis table sur un taux de défaut des prêts logés dans les portefeuilles d’actifs des titrisations dépassant les 7 % d’ici fin 2009.

En Europe, sur la période avril-juin, Moody’s a rapporté un taux d’arriérés de moins de 90 jours de 2,9 %, contre 1,3 % au trimestre précédent. Le nombre de prêts ayant subi un défaut est ressorti à 35 au deuxième trimestre, contre 17 au dernier trimestre 2008. Côté notations, la situation ne fait qu’empirer pour les CMBS. Au deuxième trimestre, Moody’s a passé en revue, avec possible dégradation, un total de 139 tranches incluses dans 53 titrisations réalisées en zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). A la fin de la période, l’agence a abaissé 87 tranches au sein de 27 transactions. Alors que la plupart des transactions concernées sont d’origine britannique, certaines tranches ont été même rétrogradées de… treize crans !

De plus, de multiples événements et facteurs, de natures fondamentale et technique, sont venus fragiliser le marché européen des CMBS. La chute drastique des prix des propriétés et le bond des taux de vacance lié aux défauts des occupants exercent actuellement une pression à la baisse des loyers. La situation actuelle, aux yeux de SG CIB, est celle « d’une période d’intense stress pour les cash-flows des actifs sous-jacents qui sont destinés à rembourser les titres de CMBS ».
excellent article agefi

Les dominos continuent à tomber,et une fois encore la titrisation agit comme un cheval de troie,logé dans les comptes de milliers de banques.Les défauts sur les cartes de crédit se situent entre 7,5 et 13% ! vous vous rendez compte,et c’est 4,83% des comptes des particuliers qui sont en retard de plus de 30 jours.

Et dites vous que comme les chiffres du chomage,toutes les données économiques sont arrangées pour ne pas faire paniquer les acteurs financiers et la population.Mais c’est tout de même un officiel de la FED qui a dit que le véritable taux de chomage était de 16% .

Les USA sont en train de s’auto-détruire,en septembre 2008 le système s’est cassé,de manière irréversible,il suffit de voir ce qu’a fait la Fed pour sauver les meubles,jamais dans toute l’histoire,autant d’argent n’ a été imprimé en si peu de temps,et cela va avoir des conséquences imprévisibles,c’est peut être cela que veut dire greenspan ,quand il parle d’une crise differente à venir.

C’est fou quand même ce décalage entre la réalité de la situtation et les infos que l’on entend.Christine lagarde a même dit au moment ou les marchés s’effondraient en septembre dernier « il n’y a pas de lien entre la finance et l’économie réel « ,toute ma vie je m’en souviendrai !

Lisez aussi cet article cyberpresse ,c’est également sur l’immobillier commercial,et les défauts de paiement records des emprunteurs sur les crédits immobiliers :  » Entre les premier et deuxième trimestres, les retards de paiement de plus de 30 jours sur des prêts contenus dans des titres adossés à des prêts hypothécaires commerciaux a augmenté de 2,04 points à 3,89%», a indiqué la MBA.

C’est, et de très loin, le taux le plus élevé depuis que la MBA publie ces chiffres, c’est-à-dire depuis 1996.  »

La crise est loin d’être terminé,regardez ce que dit Moddy’s :  » Les perspectives sont les pires dans les titres adossés à des prêts pour l’immobilier d’entreprise, marché où «les défauts de paiement, la valeur des biens et d’autres mesures de performance sous-jacente se sont considérablement détériorés». Pour ces titres, Moody’s prévoit des difficultés «en 2010 et 2011 « .

Ne croyez pas les infos,ils vont faire diversion avec la grippe parcequ’ils savent que l’économie sombre

Pour dire les choses simplement : nous pensons qu’une transition majeure est en cours. Il n’y aura pas de reprise authentique — ni maintenant… ni jamais,dit Bill Bonner

septembre 3, 2009

EconCollapseCover

L’été est terminé. Le rebond est peut-être fini lui aussi.

* C’est la rentrée. Plus de longs déjeuners. Plus d’après-midi passés à peindre des fenêtres. Plus de soirées al fresco.

* Nous en revenons à notre tâche solitaire — vous narrer le déclin et la chute de l’économie américaine (et occidentale, par extension)… et de l’empire anglo-américain.

* Avant ça, il faut noter que le Dow Jones a perdu pas mal de points cette semaine. Est-ce que ça pourrait marque le début de la fin pour le rally ? Oui, ça pourrait. Devriez-vous sortir des actions américaines ? Oui, vous devriez.

** Maintenant, revenons-en à nos chroniques du déclin…

* On apprend que la Floride a enregistré une baisse de sa population pour la première fois en 60 ans. « Le chômage grimpe en flèche », rapporte Etats-Unis Today. « La Floride est juste derrière la Californie en termes de saisies hypothécaires ».

* Oui, cher lecteur, les états américains ensoleillés ont quelques soucis…

* La Floride a perdu un total net de 58 000 habitants cette année… pour la première fois depuis les années 40.

* Pourquoi donc ? Nous avons une supposition. La Floride est une région où vont les gens pour leur retraite. C’est là qu’ils vont quand ils cessent de produire et commencent à consommer. Le premier secteur d’activité de l’état était l’immobilier… c’est-à-dire construire des maisons pour les consommateurs !

* Mais un virage a été franchi. On trouve moins de gens ayant de l’argent à consommer. Et ceux qui en ont le gardent dans leurs poches. Nous avons même vu un article dans le Wall Street Journal expliquant que les gens se coupent eux-mêmes les cheveux pour économiser. Ils restent également sur place, au lieu de déménager en Floride. Cette dernière a donc besoin de moins de maisons… et de moins de gens pour en construire.

* Ensuite, les statistiques sur les revenus américains nous apprennent que le ménage américain moyen a moins de dépenses discrétionnaires qu’à tout autre moment ces 50 dernières années. Pourquoi ? Les Américains n’ont plus d’argent parce qu’ils l’ont déjà dépensé ! A présent, ils en paient le prix. Et il faudra des années — peut-être 10, peut-être plus — avant qu’ils n’aient remboursé leurs dettes jusqu’à des niveaux plus confortables. En attendant, ils sont plus pauvres qu’à tout autre moment depuis les années Eisenhower.

* Pour dire les choses simplement : nous pensons qu’une transition majeure est en cours. Il n’y aura pas de reprise authentique — ni maintenant… ni jamais. Ce n’est pas pour autant que l’économie mondiale est condamnée à la misère et aux ténèbres perpétuelles. Pas du tout. En revanche, elle est condamnée à une longue période d’ajustement… avec du chômage élevé, une récession par intervalles… et des efforts désespérés de la part des autorités pour revenir à la bonne vieille époque des années de bulle.

* Sauf qu’on ne peut pas revenir en arrière. C’est comme si l’économie avait joué à la roulette russe… et que le pistolet avait fini par partir — la bulle de dette a explosé. Une fois que la balle avait quitté le barillet, la partie était terminée. Une reprise ? Oubliez ça. L’ancienne économie ne va pas rebondir ; elle est morte.

* Tout de même, ce n’est pas parce qu’une chose est désespérée qu’elle est impopulaire. Les autorités luttent contre la correction à chaque pas. Ils soutiennent des entreprises mortes vivantes… et gardent en vie des banques-zombie en les nourrissant du sang des contribuables. C’est vampirique… c’est un véritable film d’horreur !

* Mais les vampires votent ! Et partout où les autorités portent le regard, elles trouvent un contributeur financier, un lobbyiste ou un électeur… et ils veulent tous du A+… Ils se tournent vers la Fed pour avoir une transfusion qui leur permettra de continuer à vivre au niveau auquel ils se sont habitués…

* Exactement ce à quoi il fallait s’attendre, en d’autres termes. Et avec une telle quantité de dettes dans le système, les autorités cherchent désespérément à faire grimper les niveaux d’inflation. Elles doivent augmenter l’IPC pour persuader les consommateurs de dépenser de l’argent plutôt que d’en épargner. Sinon, le pays risque de tomber dans le piège de la déflation — la chose même que Bernanke avait juré d’éviter. Elles continueront donc sur cette voie — vers l’inflation — jusqu’à ce qu’elles atteignent leur but. Et elles appuieront de plus en plus sur l’accélérateur monétaire, jusqu’à ce qu’elles finissent par rentrer dans un arbre. Une fois encore, c’est prévisible.

* Alors où est la surprise ? Nous sommes sur le chemin de la destruction, c’est clair. Mais il pourrait être bien plus long que le pensent la plupart des gens.
la chronique agora

Et oui,il a des signes qui ne trompent pas ;  » La Floride a perdu un total net de 58 000 habitants cette année… pour la première fois depuis les années 40 « .
Et cela en est un,et c’est très signifiant même.

 » L’ancienne économie ne va pas rebondir ; elle est morte  » , et  » Nous sommes sur le chemin de la destruction, c’est clair. Mais il pourrait être bien plus long que le pensent la plupart des gens. »
Je ne vois pas comment on ne peut être plus claire.

Enfin bref,les bourses vont s’effondrer de nouveau cette année,et ce sera pire que l’année passée,regarder plus bas,il y a un graphique qui montre la longue descente au enfer de l’indice Dow Jones.

Protégez vous.