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Les juifs extrémistes tentent de rallier les chinois à la guerre contre l’Iran, les pauvres, ils sont mal barrés avec les chinois…

février 22, 2010

« Une délégation israélienne de haut niveau quittera Israël à la fin du mois pour Beijing pour des discussions politiques, économiques et sécuritaires avec d’importants responsables chinois. La question centrale des discussions sera le programme nucléaire iranien et la demande israélienne de sanctions contre Téhéran.

La délégation, dirigée par le ministre des affaires stratégiques Moshe Yaalon, et le gouverneur de la Banque Centrale d’Israël Stanley Fischer, a été décidée par le premier ministre Benyamin Netanyahou alors que les discussions s’intensifient entre les six puissances sur la possibilité de nouvelles sanctions contre l’Iran. La Chine est considérée comme l’adversaire le plus ferme à des sanctions, suivie par la Russie. Fischer et Yaalon seront accompagnés par des représentants du ministère des affaires étrangères et de la défense. La délégation rencontrera des responsables du ministère des affaires étrangères chinois et du ministère du trésor.

Les délégués mettront l’accent auprès de leurs homologues sur l’importance d’arrêter les efforts iranien d’acquérir des armes nucléaires, en vue d’éviter une déstabilisation du Proche Orient et une course aux armes nucléaires à travers la région. La délégation discutera aussi des possibilités d’accroître la coopération économique entre Israël et la Chine.

Le gouvernement Netanyahou a jusqu’ici quelque peu négligé la Chine dans ses efforts diplomatiques pour stopper le programme nucléaire iranien. Netanyahou et le ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman n’ont pas visité la Chine, et n’ont pas tenu de discussions significatives avec des responsables chinois sur la question iranienne, se concentrant sur les Etats-Unis, la Russie, la France, le Royaume Uni et l’Allemagne.

La Chine a d’importants intérêts économiques en Iran, une grande partie du marché énergétique chinois étant tributaire des importations de pétrole iranien. D’un autre côté, Israël a demandé à plusieurs reprises des sanctions sur le pétrole iranien et la vente de pétrole raffiné à l’Iran.

Entre temps, l’administration américaine tente de convaincre des autres états du Golfe de fournir la Chine en pétrole à des prix inférieurs à ceux demandés par l’Iran. Une offre a déjà été faite par l’Arabie Saoudite mais n’a pas encore été acceptée par les chinois.

Plus tôt ce week-end, le ministère des affaires étrangères a publié une déclaration en réponse au dernier rapport de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique, qui déclarait soupçonner l’Iran de tenter de produire des armes nucléaires. La déclaration dit : « l’Iran continue de violer systématiquement les résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies et de l’AIEA. La communauté internationale et ses institutions doivent commencer à imposer des sanctions effectives sur l’Iran aussi tôt que possible, pour lui faire comprendre le prix lourd qu’il y aurait à payer pour continuer à développer son programme nucléaire. »
anti-imperialisme.com

C’est une info importante, c’est tout de même étrange que ces tarés de juifs extrémistes déplacent une délégation jusqu’en Chine pour tenter de manipuler les chinois.
En plus c’est du beau monde, j’aimerai bien être une mouche pour entendre les conversations entre les sionistes et les communistes.
Je crois me souvenir avoir lu dans un bouquin de gordon thomas que les services secrets israéliens et chinois avaient volé ensemble des secrets nucléaires américains, mais à part cela je ne connais absolument pas la nature des contacts entre la Chine et israel, j’espère que la presse chinoise ou israélienne nous relatera ces dicussions.

Iran, Russie, S-300 et israél

février 17, 2010

Voila que les russes annoncent qu’ils reportent (une nouvelle fois) la livraison ds missiles S300 :

 » La Russie a annoncé mercredi le report dû à des « problèmes techniques » de la livraison à l’Iran de systèmes antimissile S-300, au lendemain de la visite à Moscou du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, selon l’agence Interfax.

« Le retard s’explique par des problèmes techniques. Les livraisons seront effectuées dès qu’ils seront résolus », a déclaré le directeur adjoint du service russe pour la coopération militaro-technique Alexandre Fomine à l’agence Interfax à New Delhi.

Dans une interview accordée au quotidien russe Kommersant publiée mercredi, Netanyahu a estimé qu’en ce qui concerne les ventes d’armes, nous prenons toujours en compte les inquiétudes de toutes les parties et nous attendons que la Russie fasse la même chose ».

Interrogé pour savoir si le dossier des systèmes S-300 avait été évoqué lors de ses discussions avec le président russe, Dmitri Medvedev, Netanyahu a répondu: « les déclarations (de Medvedev) ont été très importantes, mais je ne voudrais pas entrer dans les détails ».

Les pays occidentaux et « Israël » demandent depuis des mois à la Russie de renoncer à livrer ces systèmes à l’Iran, malgré le contrat liant les deux pays à ce sujet. » almanar

Et cela au lendemain de la visite de Bibi le malsain à Moscou avec Medvedev, visite dont le premier ministre israélien dit être  » très satisfait  » :

Le Premier ministre russe et son homologue israélien n’ont pas fait de déclaration officielle à l’issue de leur rencontre au Kremlin ce mardi 16 février 2010. Mais le tête-à-tête entre Vladimir Poutine et Benyamin Netanyahu semble le confirmer : la Russie prend de plus en plus de distance face à son allié iranien.

En visite pour deux jours à Moscou, le chef du gouvernement israélien a rencontré le président Dmitri Medvedev lundi 15 février 2010 et ce mardi 16 février 2010 le Premier ministre Vladimir Poutine. Côté russe, on n’ hésite plus maintenant à évoquer des sanctions contre l’Iran, ce qui était encore tabou, il y a seulement quelques mois.
Le Premier ministre israélien s’est déclaré « très satisfait » de sa visite moscovite. Lundi, Benyamin Netanyahu avait appelé à l’adoption de sanctions efficaces contre l’Iran. rfi

Je ne pense pas que la Russie échange ses bonnes relations avec l’Iran avec un arret des fournitures d’armes israéliens à la Géorgie :

 » Israël n’a pas repris ses fournitures d’armes à la Géorgie, en espérant que la Russie se comportera de la même façon dans des régions instables, a indiqué mardi le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, en visite à Moscou.

« Quant aux fournitures d’armes, nous tenons toujours compte des préoccupations de toutes les parties et espérons que la Russie agira de même dans l’intérêt de la stabilité dans des régions instables », a déclaré M.Netanyahu au quotidien économique russe Kommersant. » http://www.juif.org/go-news-121309.php

En plus de ne pas livrer les missiles S-300, deux articles laissent présager que la Russie va s’engager dans une politique plus agressive envers l’Iran :

 » « La Russie continue de penser que l’Iran devrait coopérer plus activement et plus largement avec l’AIEA et d’autres pays », c’est ce qu’a déclaré la porte-parole, du président russe, Dmitri Medvedev.

Natalia Timakova, a ajouté que la position de Moscou en matière de sanctions restait inchangée. « Si ces obligations ne sont pas remplies (par l’Iran), personne ne peut exclure des sanctions »,
a-t-elle poursuivi.

Ce message a été transmis lundi par M. Medvedev au Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, au cours d’entretiens à Moscou, a souligné Mme Timakova.

Netanyahu avait lui appelé lundi en Russie à l’adoption de « sanctions qui font mal » contre l’Iran.  »
almanar

et aussi :

Le système sol-air S-400 est en mesure d’atteindre les missiles balistiques iraniens, a annoncé mercredi Vladimir Kaspariants, du groupe Almaz-Anteï, concepteur du système, lors d’une réunion au sein d’une brigade de Défense militaro-spatiale déployée à l’est de Moscou.

« Il en est capable », a-t-il répondu, interrogé sur la capacité de cette batterie récente, qui équipe déjà l’armée russe, d’abattre les missiles balistiques de fabrication iranienne
novosti

Pourquoi dire cela, c’est assez troublant, comme si l’Iran était l’ennemi de la Russie.Je ne sais pas trop quoi en penser.

Une autre information venant d’Arabie Saoudite m’a laissé sur le cul :

 » La secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton est sorti satisfaite de ses entretiens lundi 15 février avec les responsables saoudiens dont elle cherche l’appui à de nouvelles sanctions à l’Iran. Ryad a cependant ajouté préferer une « solution immédiate » face à la menace nucléaire de l’Iran.

Des responsables dans l’entourage de Mme Clinton se sont déclarés « très satisfaits » de la teneur des entretiens de la secrétaire d’Etat lundi avec les dirigeants saoudiens sur l’Iran. Mme Clinton a notamment été reçue pendant quatre heures par le roi Abdallah d’Arabie saoudite.

La secrétaire d’Etat américaine arrivée dimanche 14 février dans la région, cherche à obtenir l’appui de l’Arabie saoudite aux efforts des Etats-Unis pour infléchir la position de la Chine, récalcitrante à de nouvelles sanctions visant notamment les Gardiens de la révolution, la puissante armée idéologique du régime iranien.

« Nous examinons cette question à plus court terme car nous sommes plus proches de la menace (…). Nous avons besoin d’une solution immédiate »

Pour sa part, son homologue saoudien, le prince Saoud Al-Fayçal, a indiqué lundi soir lors d’une conférence de presse conjointe que son pays préférait « une résolution immédiate » plutôt que des sanctions, sans autre précision.

Les sanctions sont « une solution à long terme », a estimé le prince. « Nous examinons cette question à plus court terme car nous sommes plus proches de la menace (…). Nous avons besoin d’une solution immédiate », a-t-il ajouté, faisant allusion à une éventuelle attaque américaine ou israélienne contre les infrastructures nucléaires iraniennes.

Interrogé sur le risque de voir l’Iran fermer le détroit stratégique d’Ormuz, par où transite environ 40% du pétrole mondial, le prince Saoud a estimé qu’il s’agirait d' »un acte de guerre » et d’une action « très grave » pour la sécurité régionale et internationale.

Ryad reservé sur un éventuel embargo contre la Chine pour l’obliger à accepter des sanctions contre l’Iran

Mais, le prince Saoud s’est montré réservé concernant la contribution de Ryad, notamment par ses livraisons pétrolières, à des pressions sur Pékin dans le dossier iranien.

La Chine n’a « pas besoin des suggestions » de Ryad, et les Chinois « assument avec sérieux leurs responsabilités au sein du Groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne) et n’ont pas besoin de suggestion de l’Arabie saoudite sur ce qu’ils doivent faire », a-t-il dit.

Les Etats-Unis avaient unilatéralement annoncé mercredi 10 février le renforcement de leurs sanctions contre les Gardiens de la révolution, au lendemain du lancement de la production d’uranium enrichi à 20% par l’Iran,

Selon le secrétaire d’Etat adjoint pour le Moyen-Orient, Jeffrey Feltman, la Chine a « d’importants liens commerciaux » avec le royaume, lequel pourrait mettre à profit ces liens « pour aider à accroître les pressions que ressentira l’Iran ».

Mme Clinton, devait s’entretenir mardi avec le secrétaire général de l’Organisation de la conférence islamique (OCI), Ekmeleddin Ihsanoglu, et rencontrer des femmes saoudiennes, avant de s’envoler pour les Etats-Unis. »

http://www.guysen.com/article_L-Arabie-Saoudite-appelle-a-une-solution-immediate-contre-l-Iran_11990.html

Assez flippant comme papier, les Saoudiens sont vraiment les derniers des traitres, ils veulent et ils disent à haute voix,  » bombarder l’Iran « , c’est pas croyable, ça va mal finir dans la région. En revanche ils ne la ramènent pas trop sur la Chine.

La guerre se rapproche, les nuages s’amoncellent, le président iranien dit qu’Israél attaquera au printemps ou pendant l’été :

 » Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a affirmé ce Mardi qu’ « Israël », se préparait à déclencher une guerre « au printemps ou à l’été », sans toutefois préciser contre qui.
« Selon nos informations, ils [les Israéliens] se préparent à déclencher une guerre au printemps ou à l’été, mais leur décision n’est pas arrêtée », a déclaré Mahmoud Ahmadinejad lors d’une conférence de presse. « Mais la résistance et les pays de la région les écraseront si ce régime imposteur entreprend quelque chose », a-t-il ajouté.

Par ailleurs, le président iranien a averti les grandes puissances qu’elles regretteraient toute nouvelle sanction contre son pays, tout en se disant prêt à échanger avec elles son uranium contre du combustible

« Si quiconque cherche à créer des problèmes à l’Iran, notre réponse ne sera pas comme dans le passé. Nous ferons quelque chose en réponse qui leur fera regretter » l’adoption de sanctions, a indiqué le président lors d’une conférence de presse à Téhéran. »
almanar

La situation actuelle est assurément tendue, la guerre est inévitable.
Le revirement russe m’a fait penser à un article d’un think tank russe traduit par dany Quirion qu’il m’ envoyé il a quelques mois, c’est extrèmement interessant, les russes font partis de la conspiration menant au NWO, souvenez vous de l’interview de larry mac donald, il y explique calmement que les élites US et soviétiques oeuvrent main dans la main à l’établissement d’un NWO autoritaire, capitaliste à l’extrème, c’est à dire un communisme privé.
La Russie est partie prenante du NWO.

Même si l’image d’un « nouvel ordre mondial » reste vague et floue, l’idée principale est assez claire. L’argument central : un seul gouvernement mondial doit être instauré pour contrer le chaos général qui s’installe.

Comme toujours, les politiciens occidentaux en appellent à un « nouvel ordre mondial », une « nouvelle architecture financière mondiale », ou une sorte de «contrôle supranational », qu’ils décrivent comme étant un « New Deal » mondial. Nicolas Sarkozy a été le premier à le dire devant l’Assemblée générale des Nations unies en septembre 2007 (alors que nous étions encore avant la crise).

Ce thème a été repris par Gordon Brown, lors d’une rencontre préparatoire au sommet du G20 à Berlin en février 2009, alors qu’il déclarait qu’un New Deal mondial était indispensable. Nous sommes conscients, a-t-il ajouté, que les flux financiers internationaux sont en cause, [et que] nous ne serons pas en mesure de nous sortir de cette situation uniquement avec l’aide des autorités nationales à elles seules. Nous avons besoin que les autorités et que les organismes de surveillance permettent aux activités des institutions financières d’opérer dans un marché mondial qui soit totalement ouvert. Sarkozy et Brown sont des protégés des Rothschild. Les déclarations faites par certains représentants de « l’élite mondiale » nous indiquent que la crise actuelle est utilisée comme instrument pour provoquer l’aggravation de certains bouleversements sociaux qui entraîneraient l’humanité – plongée dans le chaos et déjà effrayée par le fantôme d’une violence totale – à demander par elle-même qu’un arbitre « supranational » avec des pouvoirs dictatoriaux intervienne dans les affaires du monde.

Les événements suivent le même chemin que la Grande Dépression de 1929-1933: une crise financière, une récession économique, des conflits sociaux, la mise en place de dictatures totalitaires, l’incitation à une guerre pour centraliser le pouvoir et les capitaux entre les mains d’un cercle restreint. Cependant, cette fois-ci, il s’agit de l’exemple typique de l’étape finale au « contrôle stratégique mondial » où un coup décisif doit être donné aux institutions souveraines des États nationaux et qui par la suite, fera place à une transition vers un système de pouvoir privé de l’élite transnationale.

Dès la fin des années 1990, David Rockefeller, l’auteur de l’idée d’un pouvoir privé qui doit remplacer les gouvernements, a dit que nous (le monde) étions à l’aube de changements mondiaux. Tout ce qu’il nous faut, a-t-il ajouté, c’est une crise à grande échelle qui amènera les gens à accepter le nouvel ordre mondial.

Jacques Attali, le conseiller de Sarkozy et l’ancien chef de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), a fait valoir que les élites ont été incapables de faire face aux problèmes monétaires dans les années 1930. Il est effrayé, dit-il, que la même erreur soit répétée à nouveau. Au début, nous allons mener des guerres, a-t-il dit, et laisser 300 millions de personnes périr. Après cela suivront les réformes et un gouvernement mondial. Ne serions-nous pas mieux de penser dès cette étape-ci à un gouvernement mondial, a-t-il alors demandé?

La même chose a été dite par Henry Kissinger: « En dernière analyse, la tâche principale est de définir et de formuler les préoccupations générales de la majorité des pays, ainsi que de tous les grands États à l’égard de la crise économique, compte tenu de la peur collective d’un djihad terroriste. Ensuite, tout cela devrait être réaménagé en une action stratégie… Ainsi, les États-Unis et ses partenaires potentiels se donneront une chance unique de transformer cet instant de la crise en une vision d’espoir. »

Le monde est amené à accepter étape par étape l’idée d’un « nouvel ordre », afin d’éviter de provoquer des événements qui sont susceptibles d’engendrer des protestations universelles contre la détérioration des conditions de vie humaine qui se dirige « sur la mauvaise voie » et qu’elles deviennent incontrôlables. La principale chose que la Première Étape a réussi à franchir était de lancer un vaste débat sur le « gouvernement mondial » et sur «l’inadmissibilité du protectionnisme » en mettant l’accent sur le «désespoir » du modèle de l’État national pour se sortir de la crise.

Cette discussion se déroule dans un contexte où les campagnes d’information font pression tout en contribuant ainsi à intensifier l’anxiété, la peur et l’incertitude. Quelques-unes de ces campagnes d’information sont les suivantes: les prévisions de l’OMC voulant que 1,4 milliards de personnes risquent de sombrer sous le seuil de pauvreté en 2009, un avertissement du directeur général de l’OMC à l’effet que la plus grande dégringolade du commerce mondial dans l’histoire de l’après-guerre soit imminente; une déclaration de Dominique Strauss-Kohn du FMI (un protégé de Nicolas Sarkozy) à l’effet que le krach économique mondial soit imminent, qu’un krach déclenche non seulement de l’agitation sociale mais aussi une guerre, à moins qu’une réforme en profondeur du secteur financier de l’économie mondiale soit instaurée.

Dans ce contexte, l’idée d’introduire une monnaie unique mondiale en tant que pierre angulaire du « nouvel ordre mondial » a été proposée. Les véritables cerveaux de ce projet de longue date demeurent encore inconnus. Notons ici que des représentants de part et d’autres de la Russie sont poussés à l’avant scène. Cela nous rappelle la situation d’avant la Première Guerre mondiale, où les cercles anglo-français qui possédaient des plans bien élaborés pour une nouvelle répartition du monde, en informaient le ministre russe des Affaires étrangères afin d’élaborer un cadre général à l’Entente Cordiale. L’histoire en a retenue le « Sazonov programme », même si la Russie n’a pas joué un rôle indépendant dans cette guerre et que cette guerre était élaborée depuis le début autour du système des intérêts de l’élite financière britannique.

Le 19 mars, Henry Kissinger est venu à Moscou en tant que membre du Comité des Sages [The Wise Men] (James Baker, George Schultz, et autres) et il a eu des entretiens avec les dirigeants russes avant le sommet du G20. Dmitry Trenin, directeur du Centre Carnegie de Moscou et à la fois participant à la dernière réunion des Bilderbergers tenue aux États-Unis, a qualifié cette rencontre comme ayant été un « signe positif ». Le 25 mars, le [journal russe] Moskovsky Komsomolets a publié un article intitulé « La crise et les problèmes mondiaux », par Gavriil Popov (actuellement président de l’Union internationale des économistes), qui parlait ouvertement des sujets qui sont normalement discutés à huis clos.

L’article faisait référence à un parlement mondial, à un gouvernement mondial, à des Forces armées mondiales, à des forces policières mondiales, à une Banque [centrale] mondiale, à la nécessité de placer les armes nucléaires sous contrôle international, de même que les capacités de production d’énergie nucléaire, l’ensemble de la puissance nucléaire, l’ensemble de la technologie de la « guerre des étoiles », les minerais de la planète, l’imposition d’une limite au taux de natalité, un nettoyage génétique de l’humanité, l’encouragement des gens à l’intolérance face à l’incompatibilité culturelle et religieuse, et autres sujets semblables.

Popov a ajouté que les « pays qui n’accepteront pas ces perspectives mondiales devront être expulsés de la communauté mondiale. »

Bien sûr, l’article [du journal] Moskovsky Komsomolets ne dévoile rien de nouveau qui nous permettrait de comprendre la stratégie de l’élite mondiale. Une autre chose est importante. Le déploiement d’un ordre policier totalitaire de même que l’élimination des États nationaux nous sont proposés comme solutions. Qu’ont donc à dire les libéraux, les socialistes de même que les conservateurs qui sont depuis si longtemps considérés comme de « nouveaux fascistes »? Que recommandent-ils comme planche de salut à l’humanité toute entière? Quelqu’un souhaite que ces projets dont il est question deviennent la norme. Dans ce contexte, certaines personnes «dignes de confiance » représentants la Russie ont démontré que la Russie allait devenir la principale victime de la politique du pillage généralisé lorsque le « gouvernement mondial » deviendra réalité.

Le G20 n’a pas abordé les questions relatives à la monnaie de réserve mondiale, ce n’était pas encore le temps pour cela. Le sommet lui-même était un pas de plus vers le chaos, car les décisions prises ne serviront qu’à exacerber la situation socioéconomique ou autrement dit, et tel que le disait Lyndon LaRouche, n’ont pas d’autre but que « d’en finir avec le patient. »

Entre-temps, la crise s’aggrave, et les analystes prédisent une grave période de chômage. Les plus pessimistes prévisions nous viennent de LEAP/Europe 2020, qui les publie mensuellement dans leurs bulletins, et qu’ils ont même publié dans une lettre ouverte adressée aux dirigeants du G20 dans les jours qui ont précédés le sommet de Londres.

Dès février 2006, LEAP était étonnamment précis dans la description des événements à venir de la « crise systémique mondiale », une conséquence directe à la maladie financière engendrée par l’endettement états-unien. Les analystes du LEAP voient les événements actuels dans un contexte de crise générale, qui a débuté à la fin des années 1970 et qui est maintenant dans sa quatrième étape, la dernière et la plus grave, que l’on appelle la « phase de décantation », où débute l’effondrement de l’économie réelle. Selon Frank Biancheri du LEAP, il ne s’agit pas simplement d’une récession, mais de la fin d’un système où le principal pilier, l’économie états-unienne, s’effondre. «Nos yeux voient la fin d’une époque. »

La crise pourra engendrer des conséquences plus sévères. LEAP prévoit une hausse du taux de chômage de l’ordre de 15 à 20% en Europe et qui atteindrait les 30% aux États-Unis. Si le principal problème que représente le dollar US n’est pas résolu, les événements mondiaux vont prendre une tournure dramatique. La chute du dollar pourrait survenir dès juillet 2009 avec le potentiel d’une crise qui perdurera plusieurs décennies déclanchant « une dislocation géopolitique à travers le monde » avec les bouleversements sociaux et des conflits civils, la division du monde en blocs séparés, le retour à l’Europe de 1914, avec des affrontements militaires, etc. Les plus grands troubles civils auront lieu dans les pays où les systèmes de sécurité sociale sont moins développés et où se trouve la plus grande concentration d’armes, soit principalement en Amérique latine et aux États-Unis, où la violence sociale est d’ores et déjà manifeste dans les activités des gangs armées. Les experts ont noté le début d’une fuite de la population états-unienne vers l’Europe, où la menace directe à la vie n’est, pour le moment, pas si grande. Outre les conflits armés, les analystes du LEAP prévoient des pénuries d’énergie, de nourriture et d’eau dans des zones qui dépendent des importations alimentaires.

Les experts du LEAP décrivent le comportement des élites occidentales comme étant totalement inadéquat: « Nos dirigeants n’ont pas réussi à comprendre ce qui s’est passé et, à ce jour, ils fons toujours montrent d’autant d’ignorance. Nous sommes au sein d’une longue période de récession et il est nécessaire de s’engager dans la mise en place de certaines mesures à long terme pour amortir les coups, alors que nos dirigeants ont toujours l’espoir d’éviter une récession prolongée … Tous ont été formés autour du pilier états-unien et ne peuvent pas voir que le pilier est un désastre… »

Tout cela n’est pas connu des leaders de niveau intermédiaire, tandis que les gestionnaires mondiaux de haut niveau sont, au contraire, très bien informés. Ce sont eux qui mettent en œuvre le « chaos contrôlé » et la politique de désintégration généralisée, y compris une guerre civile et la désintégration des États-Unis prévue pour la fin de 2009, un scénario qui est largement discutée par les médias états-uniens et les médias internationaux.

À l’aube des conflits prévues dans différentes régions de la planète, un système est mis en place afin de créer un centre supranational reposant sur une énorme machine punitive totalitaire politique, militaire, juridique et de contrôle électronique de la population. Ce système utilise le principe de gestion de réseaux qui permet d’intégrer dans toute société des structures parallèles à l’autorité qui s’en remettent à des centres de décision et qui sont légalisées par le biais de la doctrine de la prévalence du droit international sur le droit national. La coquille demeure nationale, alors que le pouvoir devient transnational. Jacques Attali appelle cela un « un État de droit planétaire ».

Le centre de décision de l’État de droit planétaire est situé aux États-Unis. Bien que ses fondements aient commencé à apparaître dans les années 1990, la lutte contre le terrorisme qui a suivi les événements du 11 septembre 2001 a engendré des phénomènes radicalement nouveaux. L’adoption du Patriot Act de 2001 a non seulement permis aux Services de sécurité de contrôler la population états-unienne et les suspects étrangers, mais a également accéléré le transfert des responsabilités de l’État entre les mains de compagnies transnationales.

Les activités de renseignement, le commerce de la guerre, le système pénitentiaire et le contrôle de l’information sont en train d’être transférés à des mains privées. Cela se fait par le biais de soi-disant sous-traitance, un phénomène relativement nouveau qui consiste à transférer certaines fonctions à des entreprises privées qui agissent à titre d’entrepreneurs et en s’en remettant à des personnes externes à l’organisation pour trouver les réponses à ses fonctions internes.

En 2007, le gouvernement états-unien a découvert que 70% de ses budgets consacrés aux services secrets étaient dépensés à des contrats privés et que « la bureaucratie des services de renseignements de la guerre froide se transforme en quelque chose de nouveau, où dominent les intérêts des entrepreneurs. » Pour la société états-unienne (le Congrès inclus), leurs activités demeurent confidentielles, ce qui leur permet de s’approprier toujours plus d’importantes fonctions entre leurs mains.

D’anciens employés de la CIA disent que près de 60% de leur personnel de soutien son à contrat. Ces gens analysent la plupart des informations, rédigent les rapports pour ceux qui prennent les décisions au sein du gouvernement, ils maintiennent les communications entre les différents services de sécurité, ils viennent en aide aux [pays ou aux organisations] satellites étrangers et ils analysent les données interceptées. Par conséquent, la National Security Agency (NSA) des États-Unis est de plus en plus dépendante des compagnies privées qui ont accès à des informations classifiées. Pas étonnant, alors, que l’on soit en train de faire du lobbying au Congrès au sujet d’un projet de loi qui soit censé donner l’immunité aux compagnies qui ont collaboré avec la NSA au cours des cinq dernières années.

La même chose arrive actuellement aux compagnies militaires privées, qui assument de plus en plus les fonctions de l’armée et de la police. À grande échelle, cette situation a débuté dans les années 1990 dans l’ex-Yougoslavie, mais les travailleurs à contrat ont été plus particulièrement utilisés notamment en Afghanistan et dans d’autres zones de conflits. Ils ont fait le «sale » boulot, tel que ce fut le cas au cours de la guerre en Ossétie du Sud, où près de 3,000 mercenaires étaient impliqués. Pour le moment, les compagnies militaires privées sont de véritables armées, chacune comptant jusqu’à 70,000 soldats, qui opèrent dans plus de 60 pays, avec des revenus annuels pouvant atteindre jusqu’à 180 milliards de dollars (selon Brookings Institution, USA). Par exemple, plus de 20,000 employés de compagnies militaires privées états-uniennes travaillent en Irak avec le contingent de 160,000 militaires états-uniens.

Le système carcéral privé connaît également une croissance rapide aux États-Unis. Le complexe industriel carcéral, qui utilise les travaux forcés et des pratiques d’exploitation, est en pleine expansion, et ses investisseurs sont basés à Wall Street. L’utilisation de la main-d’œuvre carcérale par des compagnies privées a déjà été légalisée dans 37 États, et elle est utilisée par de grandes compagnies telles que IBM, Boeing, Motorola, Microsoft, Texas Instrument, Intel, Pierre Cardin, et d’autres. En 2008, le nombre de détenus dans les prisons privées aux États-Unis était d’environ 100,000 et il s’accroît rapidement, pareil au nombre total de détenus dans le pays (surtout des Afro-américains et des Latino-américains), lequel est de 2,2 millions de personnes, soit 25% de tous les prisonniers au monde.

Après l’arrivée au pouvoir de Bush, la privatisation du système de transport et de rétention des migrants dans des camps de concentration a commencé. En particulier, une succursale de la célèbre firme Halliburton, Kellog Brown and Root (auparavant dirigée par Dick Cheney), a fait exactement cela.

Les plus grands progrès ont été réalisés au cours des dernières années dans le domaine du contrôle électronique de l’identité des personnes, menés sous le prétexte de la lutte contre le terrorisme. Actuellement, le FBI est en train de créer la plus grande base de données biométriques (empreintes digitales, la numérisation de la rétine, les formes des visages, les formes de cicatrices et leur répartition, la manière de parler, de bouger, etc.) qui contient actuellement 55 millions d’empreintes digitales. Les dernières nouveautés comprennent la mise en place de système de balayage du corps dans les aéroports des États-Unis, le dépistage de la littérature lue par les passagers qui prennent l’avion, et ainsi de suite. Une nouvelle occasion de rassembler des informations détaillées sur la vie privée des gens se retrouve dans la directive de la NSA « N59 », adoptée à l’été 2008, « L’identification et le dépistage biométrique dans le but de renforcer la sécurité nationale », et dans la loi classifiée « la Loi préparatoire au terrorisme intérieur. »

En évaluant la politique des autorités des États-Unis, l’ex-représentant au Congrès et candidat à la présidentielle de 2008, Ron Paul, dit que les États-Unis se transforment progressivement en un État fasciste, « Nous nous approchons non pas d’une forme de fascisme hitlérien, mais d’une forme plus douce, qui se perçoit dans la perte des libertés civiles, lorsque des compagnies s’occupent de tout et … le gouvernement partage le même lit que les grandes entreprises. » Permettez-nous de vous rappeler que Ron Paul est l’un des rares hommes politiques états-uniens qui parlent de la fermeture de l’organisation inconstitutionnelle clandestine, la Réserve fédérale.

Avec l’arrivée au pouvoir d’Obama, l’ordre policier aux États-Unis se ressert de plus en plus, renforçant la sécurité intérieure et la militarisation des institutions civiles. Pourtant, après avoir condamné les atteintes aux libertés individuelles faites par l’administration Bush, Obama a mis son propre personnel sous contrôle total en leur faisant remplir un formulaire de 63 questions qui, pour la plupart, concernent les détails de leur vie privée. En janvier, le président états-unien a signé des projets de loi qui permettront de continuer la pratique illégale d’enlèvement de personnes, de les garder secrètement dans des prisons, et de les déplacer dans des pays où la torture est utilisée. Il a également proposé un projet de loi appelé la loi constituant le Centre d’aide d’urgence nationale, qui prévoit la création de six de ces centres sur des bases militaires des États-Unis dans le but d’aider les personnes qui sont évacuées lors d’une situation d’urgence ou d’une catastrophe, les faisant ainsi passer sous juridiction militaire. Les analystes associent ce projet de loi aux éventuelles perturbations et ils considèrent qu’il s’agit de la preuve que l’administration états-unienne se prépare à un conflit militaire qui pourrait survenir suite à une provocation que l’on est en train de concocter.

Le système de contrôle policier états-unien est activement mis en oeuvre dans d’autres pays, principalement en Europe – grâce à la création de la loi états-unienne d’hégémonie sur son territoire comme moyen de conclure plusieurs accords. La majeure partie des pourparlers étatsuno-européens se sont déroulés sans publicité concernaient la création de la « zone de contrôle de la population » qui se sont tenus au printemps 2008, lorsque le Parlement européen a adopté la résolution qui a ratifié la création d’une zone commune de marché transatlantique et de l’abolition de toutes les barrières aux échanges et aux investissements d’ici 2015. Les pourparlers ont abouti à un rapport classifié établi par les experts de six pays participants. Ce rapport décrit le projet visant à créer « une zone de coopération » dans « les domaines de la liberté, de la sécurité et de la justice. »

Le rapport insiste sur la réorganisation du système de la justice et des affaires intérieures des États membres de l’Union européenne (UE) de manière à ce qu’il ressemble au système états-unien. Il ne concerne pas seulement la possibilité de transférer des données à caractère personnel et de coopération des services de police (qui est déjà en cours de réalisation), mais aussi, par exemple, l’extradition des immigrants originaires de l’UE aux autorités états-uniennes, conformément au nouveau mandat qui a aboli toutes les garanties européennes de procédure d’extradition. Aux États-Unis, la Loi concernant les commissions militaires (Military Commissions Act) de 2006 est en vigueur et elle permet la persécution ou l’emprisonnement de toute personne qui est identifiée comme « ennemie combattant illégalement » par les autorités exécutives et elle s’étend à tous les immigrants en provenance de pays qui ne sont pas en guerre avec les États-Unis. Ils sont persécutés à titre d’« ennemis » sans s’appuyer sur des éléments de preuve, mais parce qu’ils ont été identifiés par les agences gouvernementales. Aucun gouvernement étranger n’a protesté contre cette loi qui a une portée internationale.

Bientôt, ils vont signer l’accord sur la communication des données à caractère personnel, conformément à laquelle les autorités états-uniennes seront en mesure d’obtenir de telles informations personnelles comme les numéros de carte de crédit, les comptes bancaires, les investissements, les voyages ou les communications effectuées par Internet, ainsi que les informations concernant la race, les convictions politiques et religieuses, les coutumes, etc. C’est sous la pression des États-Unis que les pays de l’UE ont introduit des passeports biométriques. Le nouveau règlement de l’UE implique que l’ensemble des citoyens de l’UE devra passer au passeport électronique à partir de la fin juin 2009 jusqu’à 2012. Les nouveaux passeports contiendront une puce qui contiendra non seulement les informations et la photo du passeport, mais également les empreintes digitales.

Nous assistons à la création d’un camp de concentration électronique mondial et les crises, les conflits et les guerres sont utilisés pour le justifier. Tel qu’écrivait Douglas Reed : « Les gens ont tendance à trembler face à un danger imaginaire, mais ils sont trop paresseux pour déceler celui qui est réel. »
source originale
Traduction libre de Dany Quirion pour Alter Info

Reste la Chine, il est possible que si les occidentaux ont fait entrer la Chine dans le club des grandes puissances, c’est que nous les avions autorisé, et cela pour créer l’ennemi de demain, c’est à dire d’aujourd’hui…

Le Mossad s’est lamentablement fait prendre, à 11 contre 1, ils sont forts…

février 17, 2010

Le service secret israélien pourrait être impliqué dans la mort d’un cadre du mouvement palestinien, tué en janvier à Dubaï. La police de l’émirat suit l’affaire de près.
L’assassinat en janvier de Mahmoud al-Mabhouh, cadre du mouvement palestinien Hamas, suscite toujours autant d’interrogations. Deux suspects palestiniens sont interrogés ce mardi à Dubaï, alors que le journal israélien Haaretz suggère que l’élimination pourrait être l’œuvre du Mossad, le service secret israélien.
Al-Mabhouh, 50 ans, avait été le responsable de l’enlèvement au début de la première Intifada palestinienne (1987-1993) de deux soldats israéliens qui ont ensuite été tués, ainsi que de la planification de plusieurs attentats anti-israéliens, selon le Hamas. Il s’était récemment vanté dans une vidéo diffusée par la télévision Al-Jazira d’avoir exécuté des soldats israéliens.
Commando de 11 personnes
Mahmoud al-Mabhouh a été tué le 20 janvier dernier à Dubaï par un commando, dont la rapidité et le professionnalisme ont été soulignés par le chef de la police de l’émirat, le général Dhafi Khalfan. Selon lui, onze personnes portant des passeports européens, dont une femme, sont impliquées dans l’assassinat.
L’équipe était composée d’une personne avec un passeport français, d’une autre avec un passeport allemand, de trois munis de passeports irlandais, dont la femme, et de six détenteurs de passeports britanniques. L’opération n’a pris que 24 heures.
Le général Khalfan a montré à la presse les enregistrements des caméras de surveillance, installées partout à Dubaï, montrant les arrivées et départs du membre du commando ainsi que des séquences sur leur présence dans l’hôtel où a eu lieu l’assassinat.

Le cadre du Hamas a été filé après son arrivée à Dubaï et le commando a réservé une chambre face à la sienne dans son hôtel. « Il a été étouffé après avoir reçu peut-être une décharge électrique », a expliqué le général Khalfan.
Le responsable de la police émiratie n’a pas « exclu une implication du Mossad ou d’autres parties dans l’assassinat ». Cette thèse a les faveurs du Hamas alors qu’Israël observe officiellement le mutisme sur l’affaire. Mais, selon les médias en Israël, c’est avant tout le fait qu’il était un pourvoyeur d’armes important pour le Hamas qui en aurait fait une cible potentielle pour le Mossad.
« Une méthode du Mossad », titre ainsi le quotidien Haaretz, qui tout en évitant de se prononcer sur l’appartenance du commando à tel ou tel service secret relève que les « préparatifs minutieux rappellent les actions du Mossad dans le passé ».
Selon le Daily Telegraph, des sources gouvernementales britanniques ont même indiqué que les détenteurs de passeports irlandais étaient en fait des agents du Mossad. Les médias soulignent tous les difficultés nouvelles qu’affrontent des services secrets du fait de la présence de caméras de surveillance qui risquent de démasquer leurs membres.
De fait, la publication des photos des 11 membres du commando – même grimés – risque de compromettre leurs futures activités.

Le service secret israélien avait déjà mené des opérations spectaculaires d’assassinat de dirigeants palestiniens à l’étranger, dont le bras droit du dirigeant historique Yasser Arafat, Abou Jihad, en avril 1988 lors d’un débarquement à Tunis, et le chef de l’organisation radicale du Jihad islamique Fathi Chakaki en octobre 1995 à Malte.
Mais il s’agit là du premier assassinat d’un responsable palestinien aux Émirats arabes unis, qui n’entretiennent pas de relations avec Israël. Les noms figurant sur les passeports ont donc été transmis à Interpol pour obtenir des mandats d’arrêt.
Dhafi Khalfan avait aussi déclaré le 5 février au quotidien The National d’Abou Dhabi qu’il n’hésiterait pas à lancer un mandat d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s’il s’avère que le Mossad était responsable de l’assassinat. Le Hamas est considéré par Israël et les pays occidentaux comme une « organisation terroriste ».
spyworld

Les systèmes de surveillance se retournent contre les services seccrets, c’est un comble !
Les gars du Mossad se sont fait prendre comme des débutants, même grimés, ces agents sont foutus. Monter une opération à 11 pour tuer une personne, les sionistes doivent se sentir faible, peut être avaient ils peur ?

Dubaï assure en communiquant de la sorte, ils font bien de mettre ça sur le tapis , même si pour l’instant seuls les anglais ont réagi :  » Si le gouvernement israélien a été partie prenante à un tel comportement, il s’agira d’une atteinte importante à la confiance entre Etats », a déclaré M. Campbell. « Si des détenteurs légitimes de passeports britanniques ont été mis en danger, ce sera une honte ». romandie

Sarko a tout de même dit un jour que la création d’Israél était  » une sorte de miracle « …Sanglant le miracle

février 14, 2010

C’est pas dingue ce que dit ce gars, « inconditionel  » de la sécurité d’Israél, nous pouvons dire d’une certaine manière que les français sous sarkozy sont israéliens, je vous dis cela parcequ’il y a quelques années je suis allé en israél et dans les territoires occupés, et à Jérusalem des vendeurs juifs de souvenirs proposaient des tee shirt avec inscrit « Israel c’est 306 millions d’habitants  » allusion à la fusion des interets et de la sécurité américano-sioniste. Maintenant ils pourront dire  » israél c’est 366 millions d’habitants  » !!!!

Historiquement, qu’un petit pays de 6 millions d’habitants parviennent à manipuler autant de pays est stupéfiant. Comment une nation peut elle à ce point partager sa souveraineté, comment la France peut elle à ce point lier son destin à une autre nation, nation raciste, malsaine et sous le coup d’accusation de crime contre l’humanité qui plus est.

Il faut lier le débat sur l’identité national, et l’islamophobie qui s’en dégage à la posture pro sioniste de notre président, pour se rapprocher d’israél, il faut rejeter les musulmans, les deux vont toujours de paire.
Il faut diviser les français, faire croire que le musulman est une menace, une source de problème pour que le français ne bronche pas à la future guerre contre l’Iran, et que mentalement il tombe dans le piège du choc des civilisations.N’oubliez pas que le 11/09 a considérablement rapproché israél de l’occident, les sionistes nous ont transmis la paranoïa des musulmans, ce sont les principaux bénéficiares de la destruction des twin towers.

Israél est un miracle selon Sarkozy, il fallait oser, il n’y a qu’un taré de sioniste convaincu pour dire cela, nier à ce point les palestiniens, c’est fou.

Gaza-Strophe Le jour d’après .

février 13, 2010

Partie 1

Partie 2

Partie 3

Partie 4

Partie 5

Un documentaire qui montre ce que vivent des êtres humains comme vous et moi, qui se font bombarder sans relache.N’oublions pas que les gazaouis ont élu de manière démocratique le Hamas,(alors que Bush a triché par deux fois), et israél impose des sanctions collectives, ce qui est strictement interdit par les conventions de geneve, aucune condamnation puisque les occidentaux récompensent cet état ségrégationiste, en effet on entend qu’Israél pourrait entrer dans l\'OCDE et encore plus grave dans l\'OTAN , et n’oublions pas Javier Solana :  » Israël permettez-moi de le dire, est un membre de l’Union européenne sans être membre de ses institutions.  »

Pour comprendre comment et pourquoi les israéliens sont aussi barbares, regardez Defamation, ce documentaire est d’utilité publique.