La police sioniste a libéré un colon deux heures après son arrestation après qu’il ait été accusé d’avoir tué un Palestinien près de la ville de Ramallah, en Cisjordanie occupée il y a de cela deux mois; cela montre le genre de peine prononcée par les autorités de l’occupation contre les sionistes qui tuent froidement des Palestiniens.
La police sioniste a annoncé, le dimanche 11/7 l’arrestation d’un colon sioniste, âgé de 37 ans, qui habite dans la colonie de « Yizhar » installée illégalement sur les terres agricoles près de la ville de Naplouse et qui a été accusé d’avoir tué par balles l’adolescent palestinien, Ayssar Yasser al-Zaben âgé de 15 ans, dans le village de Senjal situé au nord de Ramallah.
Elle a ajouté que le colon sioniste a prétendu qu’il était exposé au lancement des pierres lorsqu’il conduisait sa voiture près du village de Berzeit, à Ramallah, et qu’il a ouvert le feu sur le jeune en le tuant directement.
Des sources palestiniennes ont affirmé qu’un colon sioniste a poursuivi plusieurs adolescents dans ce village, ouvrant le feu directement sur eux sous prétexte qu’ils avaient lancé des pierres sur sa voiture. soutien-palestine.blogspot.com
Dimanche, une entreprise chinoise a publié le premier rapport jamais rédigé par la Chine sur la notation des crédits souverains, document qui évalue 50 pays ; cette société est la première agence de notation non occidentale à évaluer les risques et les crédits souverains du monde entier.
Ce rapport, établi par la Dagong Global Credit Rating Co., Ltd., première agence de notation locale en Chine, est publié au moment où nombreux sont ceux qui reprochent aux évaluations d’agences comme Moody’s Investors Service, Standard & Poors and Fitch Ratings d’être en partie responsables de la récente crise financière mondiale et des malheurs de la crise de la dette grecque.
Le rapport Dagong couvre 50 pays dont le PIB total représente 90% de l’économie totale du monde, et donne, par rapport aux agences occidentales rivales comme Moody’s, Standard & Poors and Fitch, des évaluations nettement différentes pour 27 pays.
Ainsi, par exemple, le Brésil et d’autres économies émergentes ont ils été mieux notés par la société chinoise, qui cite leur stabilité politique et leur forte croissance économique.
Et dans le même temps, des pays comme les Etats-Unis, la France ou d’autres nations développées ont reçu une note bien plus basse dans le rapport Dagong, du fait d’une faible croissance économique et d’un fardeau de la dette en augmentation.
Guan Jianzhong, président de Dagong, a déclaré durant une conférence de presse à Beijing destinée à présenter le premier rapport chinois de notation du crédit souverain, que le système de notation actuel, dirigé par l’Occident, « donne des informations relatives au classement du crédit erronées », et ne réussit pas à refléter les changements qui interviennent dans les capacités de remboursement de la dette.
« Nous voulons faire des classements réalistes et impartiaux et marquer un nouveau début dans la réforme du système mondial de notation, qui est irrationnel », a dit M. Guan.
D’après M. Dagong, les 50 pays ont été notés selon les propres critères de notation de sa société de l’entité souveraine d’un gouvernement central, comme « la capacité à gouverner un pays, la puissance économique, les capacités financières, le régime fiscal et les réserves en devises ».
Dans son rapport, Dagong a ainsi noté la dette gouvernement américain AA avec une perspective négative, note plus basse que le classement le plus haut de l’entreprise, qui est AAA. Il avertit aussi que Washington, ainsi que le Royaume-Uni, la France et d’autres pays, pourraient avoir des problèmes pour trouver plus d’argent si jamais ils laissaient leurs risques fiscaux devenir hors de contrôle.
« Le taux d’intérêt sur les instruments de la dette va augmenter rapidement et le risque de défaillance de ces pays va devenir encore plus grand », dit le rapport.
Dagong a donné à la dette chinoise libellée en Yuans une note « AA-plus » avec des perspectives stables, soit plus haut que le « A1 » de Moody et le « A-plus » de S&P, du fait de sa croissance rapide et de sa dette relativement faible. Et dans le rapport Dagong, la note devises étrangères de la Chine est AAA.
En termes de dette libellée en monnaie locale, la Norvège, le Danemark, le Luxembourg, la Suisse, Singapour, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont reçu la note maximale de AAA. Le Canada, les Pays-Bas et l’Allemagne ont reçu la note « AA-plus ».
D’après le rapport Dagong, le Japon a reçu une note de « AA-moins ».
Dagong a déclaré espérer « briser le monopole » de Moody’s, Standard & Poors et Fitch, dont la réputation a été entachée par leurs bonnes notes accordées à des investissements liés à des prêts, qui ont été responsables de la crise financière mondiale.
Wu Hong, qui a dirigé un groupe de travail pour étudier la notation du crédit et la sécurité nationale en Chine, dit qu’établir ses propres agences de notation de crédit et rejeter l’actuel système international de notation, inéquitable et contrôlé par des entreprises occidentales, est devenu une tendance.
« Cela veut dire que la Chine a une occasion historique de participer à l’élaboration des nouvelles règles de notation internationale », a dit M. Wu, ajoutant que la Chine avait cependant encore beaucoup de chemin à faire pour accroître sa propre influence dans le système de notation du crédit.
De même, les agences de notation occidentales n’ont pas pleinement reconnu la force économique de la Chine, ce qui a eu pour conséquence d’augmenter le coût des emprunts faits par la Chine, a également précisé M. Wu.
L’Association Nationale des Investisseurs Institutionnels sur les Marchés Financiers songe également à établir une autre agence de notation, en coopération avec des banques commerciales chinoises et des compagnies d’assurances chinoises.
Fondée en 1994, Dagong, société privée, offre des notations de crédit et des recherches en analyse de risques pour tous les émetteurs de titres en Chine, et elle compte plus de 500 employés.
Elle conçoit aussi la plupart des instruments locaux liés à la dette et domine le marché chinois de la notation du crédit pour les titres d’entreprises, les titres financiers et les titres de financement structurés. le Quotidien du Peuple en ligne
Il leur manquait plus que ça au chinois, une agence de notation, à mon avis elle sera écoutée….
Paul Jorion répond aux question d’Hélène Ceresole du quotidien grec Avghi. Interrogé sur sa tribune « Des Grèce par dizaines »publiée dans Le Monde, l’économiste réaffirme que de nouvelles crises sont inéluctables et invite à penser un changement de civilisation.
n février, j’avais accordé un entretien à Hélène Ceresole du quotidien grec Avghi. Elle me pose à nouveau quelques questions, cette fois à propos de ma récente chronique dans Le Monde : « Des Grèce par dizaines ». Voici mes réponses.
1. A vous lire, on a l’impression qu’une nouvelle chute est inéluctable. Mais est-ce vraiment le cas ?
Pourquoi ne pas faire confiance aux dires de Trichet, par exemple ou de Dominique Strauss Kahn, quand ils disent qu’il ne va pas y avoir de crise nouvelle ?
Dans le contexte actuel, Mrs. Trichet et Strauss Kahn doivent rendre confiance aux marchés. Ils doivent donc afficher l’optimisme. Mais cet optimisme est justifié ou non. Il est donc impossible de savoir s’ils disent la vérité. Voilà pourquoi on ne peut pas faire confiance aux dires de Mrs. Trichet et Strauss Kahn. On peut au contraire se tourner vers des personnes dignes de confiance mais dont la fonction ne les oblige pas d’être des optimistes systématiques : Martin Wolf, éditorialiste du Financial Times, Mrs. Stiglitz et Krugman, Prix Nobel d’Economie, Simon Johnson, ancien économiste en chef du FMI, Nouriel Roubini, etc. Ils disent tous, comme moi-même, qu’une nouvelle chute est inévitable.
2. Selon vous quelle est la marge de manœuvre pour Athènes face à une crise qui s’aggrave de jour en jour ?
Après bien des hésitations et des marchandages, l’Europe de la zone euro a affirmé sa solidarité avec la Grèce, à condition bien sûr que le plan d’austérité de Mr. Papandréou soit appliqué – plan d’austérité extraordinaire dans tous les sens du terme. L’argent pour aider la Grèce est donc là en principe. Mais si les 750 milliards d’euros mis en réserve devaient être ponctionnés de manière significative pour venir en aide à l’Espagne, et plus particulièrement à ses banques commerciales, la donne serait modifiée. La perspective pour la Grèce de devoir à terme restructurer sa dette dépend donc aujourd’hui essentiellement de la bonne santé du secteur bancaire privé espagnol.
3. Lorsque vous dites qu’il nous faut un changement de civilisation, qu’est-ce que vous entendez par là ?
Je dis dans la chronique du Monde : « Repenser la manière dont se redistribuent les revenus entre un capital à haut rendement et un travail faiblement rémunéré ». Mettre en œuvre ce qu’on aura repensé, cela implique un changement de civilisation.
4. « Des Grèce par dizaines » : est-ce que vous pensez que le cas de la Grèce « se prêtait » à ce que la crise, qui n’avait jamais disparu, comme vous le faites remarquer, reprenne de plus belle en Europe ? Et si ce n’était la Grèce, ce serait, par exemple, le Portugal ou l’Espagne.
Les banques ont entraîné dans leur chute les États. Les plus affaiblis d’entre eux quant à leur dette publique se sont retrouvés les plus exposés. À l’époque de leur entrée dans la zone euro, certains pays ont masqué le niveau de leur dette publique pour satisfaire aux conditions d’entrée. Avec, comme on l’a redécouvert récemment, la complicité enthousiaste de Wall Street et de quelques avatars de Wall Street en Europe comme Deutsche Bank. Au niveau européen, on a fermé les yeux : on a touché du bois. Toucher du bois, c’est de la superstition. Malheureusement, la superstition, ça ne marche pas.
5. Pourquoi, selon vous, l’Allemagne fait preuve de cette suffisance, presque méprisante, au même moment où les Etats-Unis semblent avoir choisi une autre voie ?
La compassion n’est pas la philosophie politique traditionnelle des Etats-Unis. Si leur attitude n’est pas suffisante aujourd’hui ce n’est pas par choix. Les États-Unis sont si mal en point que l’austérité n’est pas pour eux une option envisageable : la déflation qui les menace les précipiterait aussitôt dans une dépression. Si la Chine et l’Allemagne apparaissent aujourd’hui suffisantes, c’est qu’elles ont encore quelque chose à sauver et ont le luxe d’être confrontées à des choix. Ceux qui leur reprochent aujourd’hui leur arrogance n’ont pas de choix : ils doivent résoudre la quadrature du cercle d’une relance dans l’austérité, la fameuse « ri-lance » à la française. Ils en sont réduits à l’humour noir des mauvais calembours.
6. Comment expliquer le fait que les pays émergents s’en sortent mieux face à cette crise ?
Parce qu’il leur reste une industrie. La pseudo-richesse des pays qui se sont spécialisés dans le service financier, comme les États-Unis ou le Royaume-Uni, n’est qu’un amoncellement de reconnaissances de dettes et de paris sur un amoncellement de reconnaissances de dette. Cela marche tant qu’on imagine que l’argent emprunté sera un jour remboursé. Quand les brumes du rêve se dissipent, cela ne vaut plus rien.
7. Quels signes faut-il guetter pour se rendre compte de la gravité de la situation ? La croissance de la Chine, par exemple ? Ou l’emploi aux Etats-Unis ?
Les emplois ne reviendront pas aux États-Unis : l’industrie du crédit n’est pas près de réembaucher, ni la construction – qu’il s’agisse de l’immobilier résidentiel ou commercial, ni l’automobile, ni… Il faut se poser la question honnêtement : quel pourrait être le secteur aux États-Unis qui pourrait créer des emplois ? La « croissance verte » ? Que veut-on dire exactement par là ? Le nettoyage du Golfe du Mexique ? On aimerait ne pas être cruel, mais ce n’est pas facile…
Comme plus rien ne marche, on attribue aujourd’hui à la Chine le rôle de sauver le monde. Du coup tous les yeux sont tournés vers elle et, comme ce fut le cas d’autres nations avant elle, quand elle éternue, le monde s’enrhume. Mais la Chine n’a pas encore de marché intérieur suffisant pour absorber de manière substantielle sa propre production : elle dépend encore essentiellement de ses exportations. Or les nations qui guettent sa bonne santé n’ont plus les moyens de rien lui acheter, elles ne se rendent pas compte que cela ne sert à rien d’observer la Chine : sans leurs achats, la Chine n’est rien.
Les signes qui montrent que la situation est grave ne doivent pas être recherchés en Chine et aux États-Unis : tragiquement, chacun les trouve chez soi. marianne2.fr
Hey oui, on rève, le monde rève, la réalité est niée, les journalistes économiques nous disent » la bourse a pris 6% en une semaine » sans préciser qu’elle avait perdu 6% la semaine passée…
Bref, l’économie est tellement en faillite que les milliardaires donnent leur pognon….
Les aéroports britanniques, allemands et émiratis refusent de ravitailler les avions iraniens en carburant suites aux sanctions unilatérales de Washington contre Téhéran, a annoncé lundi l’agence iranienne ISNA.
« Depuis la semaine dernière, les aéroports britanniques, allemands et émiratis refusent de ravitailler les avions iraniens », a annoncé l’agence citant le porte-parole de l’Association des compagnies aériennes d’Iran Mehdi Alyari.
Selon le porte-parole, « dans ce contexte, l’Iran sera obligé soit de remplir à fond les réservoirs de ces avions de ligne, soit de constituer des stocks de carburant dans des pays tiers ».
« Les transports aériens étant une activité internationale autorisée, toutes les sanctions décrétées contre l’Iran, dont celles du Conseil de sécurité de l’ONU, sans parler des restrictions unilatérales américaines, vont à l’encontre des dispositions internationales sur l’aviation civile et constituent une violation des droits de l’homme », a affirmé M.Alyari.
« Le refus de ravitaillement frappe en premier lieu Iran Air et Mahan Air, deux compagnies iraniennes effectuant le plus grand nombre de vols vers l’Europe », a-t-il conclu.
Fin juin, le Congrès américain a approuvé des restrictions supplémentaires à l’encontre d’entreprises et de personnes physiques iraniennes. Les membres du Congrès ont autorisé la Maison-Blanche à durcir les sanctions contre les compagnies étrangères investissant à la fois dans le secteur énergétique iranien et la production de pétrole aux Etats-Unis. novosti
C’est vraiment du grand n’importe quoi cette histoire, je ne savais pas que les allemands étaient des traitres à ce point, refuser du kérozène à des avions civils, j’hallucine…
Pour Fidel Castro, l’envoi au large de l’Iran d’une flotte de guerre états-unienne et iranienne constitue un danger pour la paix internationale. Dans l’actuelle période de surenchère, le passage à l’acte, c’est-à-dire la guerre, est toujours possible.
Quand Granma publiera ces lignes demain vendredi, le 26 juillet, cette date à laquelle nous nous rappelons toujours avec fierté l’honneur d’avoir résisté aux coups de boutoir de l’Empire, sera fort lointaine, même si à peine trente-deux jours nous en séparent.
Ceux qui décident de chaque pas du pire ennemi de l’humanité — l’impérialisme étasunien, ce mélange de sordides intérêts matériels, de mépris et de sous-estimation des autres habitants de la planète — ont tout calculé avec une précision mathématique.
J’ai écrit dans mes Réflexions du 16 juin : « On nous glisse diaboliquement les nouvelles entre deux matchs de la Coupe du monde de football, de sorte que personne ne s’en soucie… »
La fameuse compétition sportive est entrée dans ses moments les plus passionnants. Pendant quatorze jours, les équipes formées par les meilleurs joueurs de trente-deux pays se sont battus pour accéder aux huitièmes de finale ; viendront ensuite les quarts de finale, les demi-finales et la finale.
Le fanatisme sportif ne cesse de croître, envoûtant des centaines de millions, voire des milliards de personnes dans le monde.
Je me pose une question : combien savent, en revanche, que des bâtiments de guerre étasuniens, dont le porte-avions Harry S. Truman, escorté d’un ou de plusieurs sous-marins atomiques et d’autres navires de guerre dotés de missiles et de canons plus puissants que ceux des vieux cuirassés de la dernière guerre mondiale (1939-1945), ont franchi le canal de Suez en direction des côtes iraniennes ?
Les forces navales yankees sont accompagnées de navires de guerre israéliens équipés eux aussi d’armements de pointe, pour inspecter n’importe quel bateau chargé des exportations et des importations des produits commerciaux dont l’économie iranienne a besoin pour fonctionner.
Le Conseil de sécurité des Nations Unis a, sur proposition des USA soutenus par la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne, voté une dure résolution à laquelle aucun des cinq pays titulaires n’a opposé son droit de veto.
Le Sénat étasunien a voté une résolution plus dure.
Plus tard, l’Union européenne en a voté une autre encore plus dure. Tout ceci a eu lieu avant le 20 juin, ce qui explique pourquoi le président français, Nicolas Sarkozy, s’est rendu d’urgence en Russie pour s’entretenir avec le chef d’État de ce puissant pays, Dmitri Medvedev, dans l’espoir de négocier avec l’Iran et d’éviter le pire.
Il s’agit maintenant de calculer quand les forces navales étasuniennes et israéliennes se déploieront devant les côtes iraniennes afin de s’unir aux porte-avions et autres bâtiments des USA qui montent déjà la garde dans cette région.
Le pire, c’est que, à l’instar des USA, Israël, leur gendarme du Moyen-Orient, possède des avions d’attaque dernier cri et des armes atomiques très modernes que ceux-ci lui ont fournies, ce qui en fait, par sa force de frappe, la sixième puissance nucléaire des huit reconnues à ce titre, dont l’Inde et le Pakistan.
En 1979, l’ayatollah Ruhollah Khomeiny avait renversé le shah d’Iran sans employer une seule arme. Plus tard, les USA imposèrent à ce pays une guerre au cours de laquelle l’Irak employa des armes chimiques — dont ils lui avaient fourni les composants en même temps que les renseignements dont avaient besoin ses unités de combat — contre les Gardiens de la Révolution iranienne. Cuba le sait parce que, comme je l’ai expliqué d’autres fois, elle présidait le Mouvement des pays non alignés. Nous savons bien les ravages causés à la population iranienne. Mahmud Ahmadineyad, le chef d’État iranien actuel, commandait la sixième armée des Gardiens de la Révolution et les Corps des Gardiens dans les provinces occidentales du pays qui supportèrent le gros de cette guerre.
Aujourd’hui, comme voilà trente et un ans, les États-Unis et Israël sous-estiment le million de soldats des forces armées iraniennes, leur capacité de combat terrestre, ainsi que les forces aériennes, maritimes et terrestres des Gardiens de la Révolution.
À quoi il faut ajouter les vingt millions d’hommes et de femmes âgés de douze à soixante ans, choisis et entraînés systématiquement par les diverses institutions militaires, parmi les soixante-dix millions d’habitants du pays.
L’administration étasunienne avait tracé un plan pour déclencher un mouvement politique qui, se fondant sur la soif de consommation capitaliste, aurait divisé les Iraniens et renversé leur gouvernement.
Cet espoir n’est plus qu’une lubie. Il est risible de penser que les bâtiments de guerre étasuniens et israéliens puissent éveiller les sympathies d’un seul Iranien !
J’avais cru au départ, après avoir analysé la situation, que la deuxième guerre coréenne serait le détonateur de la seconde guerre imposée à l’Iran par les USA.
La réalité s’est inversée : la guerre d’Iran déclenchera aussitôt la guerre de Corée.
Les dirigeants nord-coréens, accusés d’avoir coulé le Cheonan, mais qui savent pertinemment que cette corvette a été coulée par une mine que les services de renseignement yankees ont collée à sa coque, ne perdront pas une seconde et agiront dès que l’attaque sera déclenchée contre l’Iran.
Il est tout à fait juste que les supporteurs se passionnent pour la Coupe du monde de football. Moi, je fais mon devoir de mettre notre peuple en garde, en pensant surtout à notre jeunesse pleine de vie et d’espoirs, en particulier nos merveilleux enfants, pour que les faits ne nous prennent pas à l’improviste.
Je souffre de penser à tant de rêves conçus par les être humains et aux créations étonnantes qu’ils ont été capables d’engendrer en seulement quelques milliers d’années.
Quand les rêves les plus révolutionnaires sont en train de se concrétiser et que la patrie se redresse fermement, que j’aimerais me tromper ! voltairenet.org
Le vieux Castro a toute sa tête et j’aime bien son style. Lui aussi, cette flotte américano-israélienne l’inquiète, c’est vrai que le calendrier est propice avec la coupe du monde mais c’est surtout la déliquescence économique et la méga catastrophe dans le golfe du mexique qui risque de précipiter la guerre. C’est une question de domino et de capitaliser une situation critique en en créant une encore plus critique, non pas pour régler le premier problème mais pour générer une dynamique d’acceleration Historique, les occidentaux doivent absolument garder l’initiative. Certains pensent que russes et chinois laissent les USA s’enfoncer dans des décisions stratégiques suicidaires, malheusreusement, l’unique but est la destruction de l’architecture mondiale, les guerres généralisées, les famines et la mort à grande échelle, ces décisions sont donc volontaires et assumées.
Les élites occidentales veulent continuer à régner, rien ne les arretera, nos dirigeants sont aussi tarés que les israéliens, la preuve, ils les soutiennent sans faille.
Dans une interview accordée au site kurde Rudaw.net (18-05-2010)*, Mahir Kaynak, ancien directeur du MIT (Milli İstihbarat Teşkilat), service de renseignement turc, a déclaré qu’après le retrait des forces américaines d’Irak (et de sa région autonome), les Kurdes irakiens devront choisir entre se rapprocher de la Turquie et le statu quo, c’est-à-dire vivre avec les Arabes qui les haïssent du fait de leur collaboration avec l’ennemi.
Mahir Kaynak pense qu’en cas de sécession du Kurdistan irakien, les Américains reconnaîtront le nouvel Etat, leur but étant, depuis la guerre de 2003, de partitionner l’Irak. Les Kurdes, dit-il, devront alors choisir parmi leurs voisins – Turcs, Perses, Arabes – celui qui correspond le mieux à leur intérêt. Selon lui, un Kurdistan indépendant pourrait – s’il le souhaite – fusionner avec la Turquie. Si c’était le cas, un statut de région fédérale lui serait accordé.
Pour Kaynak, l’existence de cette région fédérale kurde ne modifierait pas le statut des Kurdes de Turquie, population ayant, dit-il, la même origine raciale que les Turcs et ne vivant pas seulement dans le sud-est du pays, mais dans toute l’Anatolie.
La fusion du Kurdistan irakien avec la Turquie déboucherait sur l’entrée du Kurdistan (irakien) dans l’OCDE et un jour, peut être, dans l’Union européenne. Les pays de l’OTAN auraient alors le haute main sur les réserves de pétrole du nord de l’Irak et, surtout, sur le plus important château d’eau du Proche-Orient…
* Exclusive interview with ex-MIT Director on Kurds and KRG, par Bawr Cham http://www.rudaw.net/details.aspx?lang=English&page=articles&c=Exclusive%20Interviews%20&id=22112 france-irak. Gilles munier
C’est un peu osé, mais les choses changent tellement vite, le point de vue de l’ancien directeur des renseignements turcs est quelque peut déstabilisant, mais il faut comprendre que la Turquie se voit comme un état centralisé, jacobin, ça ne m’étonne pas qu’il compare son pays avec la France quant à l’ enseignement des langues régionales….
Le kurdistan irakien rattaché à la Turquie, LOL, l’équilibre de la turquie pourrait être modifié, mais ce serait marrant…
Selon des documents d’origine sud-africaine que le quotidien britannique The Guardian s’est procurés, Israël aurait offert en 1975 de vendre des têtes nucléaires à l’Afrique du Sud, encore sous le régime de l’apartheid.
La publication de ces documents, dénichés par Sasha Polakow-Suransky, un universitaire américain auteur d’un livre sur les liens entre Israël et l’Afrique du Sud, confirme des révélations faites peu après la fin du régime de ségrégation raciale par un ancien officier de la marine sud-africaine, Dieter Gerhardt, emprisonné en 1983 pour espionnage au profit de l’URSS. Il avait évoqué à sa libération un accord intitulé « Chalet », passé entre Shimon Pérès et Pieter Willem Botha, respectivement ministres de la défense israélien et sud-africain. Classé top secret, l’accord, qui n’a finalement pas abouti, prévoyait la fourniture de huit missiles à têtes nucléaires à l’Afrique du Sud, ainsi qu’une coopération militaire renforcée entre les deux pays. Mais jusqu’à présent, aucun document écrit n’était venu prouver son existence.
DÉMENTI D’ISRAËL
Ces révélations embarrassent considérablement Israël, qui a d’ores et déjà démenti le contenu de l’article du Guardian, alors que s’ouvrent cette semaine à New York des négociations sur la non-prolifération nucléaire au Moyen-Orient. « Il n’y a pas une once de vérité dans l’article du ‘Guardian’, a déclaré Ayelet Frisch, porte-parole de Shimon Pérès. Nous déplorons que ce journal n’ait pas sollicité la présidence pour obtenir un commentaire. S’il l’avait fait, il aurait découvert que son article est erroné et sans fondement », a-t-elle ajouté. Elle a par ailleurs refusé de se prononcer sur l’authenticité des documents évoqués par Sasha Polakow-Suransky et publiés par The Guardian.
Un peu plus tard dans la matinée, la présidence israélienne a diffusé un communiqué précisant qu' »il n’existait aucun document israélien ou aucune signature israélienne sur un document indiquant que de telles négociations ont eu lieu », poursuit la présidence qui affirme que les conclusions du quotidien sont « fondées sur une interprétation sélective de documents sud-africains et non pas sur des faits concrets ».
L’article met également à mal la position ambiguë d’Israël qui consiste, depuis des décennies, à ne pas nier la présence d’armes nucléaires dans son arsenal, sans toutefois en admettre ouvertement l’existence. Le quotidien britannique souligne en outre que ses informations discréditent le discours, tenu par les dirigeants israéliens, qui consiste à refuser tout accès au nucléaire aux pays jugés peu fiables, comme l’Iran.
L’existence d’armes nucléaires en Israël est avérée depuis 1986 : le britannique Sunday Times avait alors publié des photographies montrant l’intérieur du site nucléaire de Dimona, un site qui aurait produit plus de deux cents ogives nucléaires, et donné des descriptions détaillées des procédés utilisés pour la fabrication d’éléments nucléaires. Mais là encore, aucun document écrit n’était venu corroborer ces informations. le monde
Vous avez vu comment l’article se termine : » Mais là encore, aucun document écrit n’était venu corroborer ces informations. » ça me fait délirer, Vanunu est allé en prison pour rien peut être, et pourquoi vouloir une preuve écrite israélienne quand on lit cet accord sur les ogives nucléaires pour l’Afrique du Sud ?
La journaliste est assez louche, pourquoi finir l’article de cette manière, bref.
Voila donc ces malades mentaux de juifs extrémistes voulant vendre des ogives nucléaires à un régime ultra raciste qui opprime violement des millions de personnes, c’est vrai que les deux états ont une certaine convergence de vue, mais quand même, la prolifération nucléaire c’est pas rien. Ils sont vraiment super hypocrites ces sionistes, ils sont gavés d’armes nucléaires, ont tenté d’en vendre et ils font tout un foin sur l’Iran et son programme nucléaire.
Je regarde pas mal les chaines d’infos et honnêtement, je n’ai pas vu cette info à la télé, LOL
Vivement que les sionistes quittent la Palestine, le peu qui restera devra s’entendre avec la majorité arabe et ils se soumettront et vivront en tant que dhimmi, comme ils l’ont fait depuis la conquète de Jérusalem par les musulmans.
Sinon deux ou trois liens sur ces dégénérés sionistes :
Dans un article publié par le quotidien israélien Haaretz, le journaliste Gideon Levy s’indigne de l’expulsion du Clown Prado, venu pour un festival international de clown en Palestine, comme de celle de nombreux autres étrangers. Il souligne que personne n’est plus dupe des fameuses « mesures de sécurité », systématiquement invoquées, en dehors de tous ceux qui ont choisi de fermer les yeux sur la « fascisation progressive d’Israël ».
Israel is primed for a war on Iran, a deputy to Prime Minister Benjamin Netanyahu said Monday, in a rare break with his government’s reticence as world powers try to talk Tehran into curbing its nuclear plans.
WORLD
By spearheading assaults on guerrillas in neighboring Lebanon and Palestinian territories, the Israeli air force had gained the techniques necessary for any future strikes on Iranian sites, Deputy Prime Minister Moshe Yaalon said.
« There is no doubt that the technological capabilities, which improved in recent years, have improved range and aerial refueling capabilities, and have brought about a massive improvement in the accuracy of ordnance and intelligence, » he told a conference of military officers and experts.
« This capability can be used for a war on terror in Gaza, for a war in the face of rockets from Lebanon, for war on the conventional Syrian army, and also for war on a peripheral state like Iran, » said Yaalon, a former armed forces chief.
Israel, which is assumed to have the Middle East’s only atomic arsenal, bombed Iraq’s nuclear reactor in 1981 and launched a similar sortie in Syria in 2007.
But its veiled threats against foe Iran have been questioned by some independent analysts who see the potential targets as too distant, dispersed, numerous and well-defended for Israeli warplanes to take on alone.
Israel’s leaders rarely use the term « war » while publicly discussing how to deal with Iran, in whose often secretive uranium enrichment, long-range missile projects and hostile rhetoric the Jewish state sees a mortal threat.
OPTIONS OPEN
Officially endorsing efforts by U.N. Security Council powers to step up sanctions against Tehran, which denies having hostile designs, Netanyahu and other senior Israeli officials usually speak obliquely of a need to « keep all options on the table. »
Two other senior Israeli officials said U.S.-led diplomatic pressure should be given a chance. But they voiced misgivings.
« I believe that, by the middle of June, there will be international sanctions that will be watered down, with very low chances of being effective, » Defense Minister Ehud Barak told a closed-door parliamentary committee, according to a spokesman.
« With that said, there is nevertheless importance to such sanctions, because the delay has only served Iran, » he said, adding: « It is very possible that there will be other, more effective sanctions by a specific set of European countries. »
Dan Meridor — another deputy prime minister who, like Yaalon and Barak, belongs to Netanyahu’s inner council — sought to play down Israel’s particular interest in having Iran reined in, calling it a global challenge.
« If in the end of the day, Iran does get nuclear, in spite of what America says and wants, this will have grave implications for world order, the balance of power and the rules of the game, » Meridor told foreign journalists in Jerusalem.
In his address to the Fisher Institute for Air & Space Strategic Studies, Yaalon said Israel was in a proxy war with Iran due to its sponsorship of Lebanon’s Hezbollah guerrillas and the Palestinian Islamic movement Hamas.
« There is no doubt, looking at the overall situation, that we are already in a military confrontation with Iran, » he said. « Iran is the main motivator of those attacking us. reuters traduction google
Toujours aussi va t’en guerre les israéliens, les voila donc prêt pour un conflit avec l’Iran, il est d’ailleurs assez rare que les sionistes le disent aussi ouvertement, en même temps, tout porte à croire que l’entité sioniste veut en découdre avec ses voisins, entre les exercices, les sirenes, les masques à gaz, on peut se poser des questions.
D’autant qu’une fois n’est pas coutume, ces chiens de sionistes se font financer leurs projets militaires par les USA, en effet Obama Obama demande 205 millions de dollars au congrès pour financer le système « Dome d’acier » censé proteger le nord d’israél des roquettes du Hezbollah.
La semaine prochaine aura lieu un novel exercice simulant justement le lancement de dizaines de roquettes ainsi que des tirs de missiles non conventionnel, rien que ça …..
Bref, ces fous furieux de juifs extrémistes n’ont toujours pas compris que la prochaine guerre risque de s’avérer desastreuse pour leur petit état, d’autant que des rapports israélo-américains préconisent que l’entité sioniste fasse la paix avec le Hezbollah justement parceque tsahal ne parviendrait pas à vaincre la milice chiite, ce qui serait catastrophique pour israél. almanar
Les membres du cabinet israélien se sont réunis pour la première fois lundi à Berlin, l’ancien coeur du régime nazi, pour un conseil des ministres conjoint avec le gouvernement allemand mettant en lumière le lien étroit unissant les deux pays six décennies après l’Holocauste.
A l’issue de cette réunion consacrée au programme nucléaire iranien, le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou et la chancelière allemande Angela Merkel ont averti que l’Iran serait confronté à de nouvelles sanctions s’il ne changeait pas de trajectoire.
Le chef du gouvernement israélien a saisi l’occasion de ce rendez-vous pour souligner l’importance de la menace iranienne. « Nous savons » en nous fondant sur « l’histoire récente qu’un régime qui tyrannise son propre peuple tyrannisera le monde », a-t-il lancé.
Les efforts déployés par l’Allemagne pour mettre un frein les ambitions nucléaires de Téhéran ont été évoqués, Mme Merkel déclarant que son pays soutiendrait des sanctions plus dures contre l’Iran s’il ne réduisait pas son programme nucléaire irakien.
Des questions liées à l’environnement, la coopération économique et les efforts visant à relancer le processus de paix au Proche-Orient ont également été évoqués à l’occasion de la visite de M. Nétanyahou et de six de ses ministres, dont ses ministres de la Défense et des Affaires étrangères.
La réunion a commencé à l’issue d’une visite conjointe au mémorial de l’Holocauste à Berlin.
Depuis l’établissement de relations diplomatiques entre les deux pays en 1965, l’Allemagne est peut-être l’allié le plus solide d’Israël en Europe.
Le rendez-vous de lundi a fait suite à une visite historique de trois jours en mars 2008 d’Angela Merkel et de son cabinet destinée à marquer le 60e anniversaire de la création de l’Etat d’Israël. Au cours de cette visite, la chancelière s’était adressée au Parlement israélien en allemand, et avait exprimé sa honte à propos de l’Holocauste. Ce discours de 20 minutes lui avait valu une ovation debout.
Merkel est vraiment trop conne, elle fait comme les américains, elle se laisse manipuler par les extrémistes juifs, après construire gratuitement des sous-marins pour ces malades, voila qu’elle les acceuille dans des conseils de ministres commun !!
La guerre contre l’Iran continue à se préparer :
» A l’issue de cette réunion consacrée au programme nucléaire iranien, le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou et la chancelière allemande Angela Merkel ont averti que l’Iran serait confronté à de nouvelles sanctions s’il ne changeait pas de trajectoire. »
Au moins c’est clair.
Comment nos gourvernement peuvent -ils collaborer avec des criminels de guerre comme nétanyahou ou lieberman, des gens qui sont responsables de la morts de milliers de personnes.
Regardez ce que netanyahou pense d’un accord de paix avec les palestiniens :
Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou s’est prononcé mercredi en faveur d’une présence israélienne en Cisjordanie, même après la conclusion d’un accord de paix avec les Palestiniens.
Il a souligné que les tirs de roquettes aux frontières d’Israël avec le Liban et la Bande de Gaza exigent qu’Israël soit en mesure d’empêcher l’entrée de roquettes dans une entité palestinienne en Cisjordanie.
Les Palestiniens souhaitent créer un Etat indépendant en Cisjordanie, dans la Bande de Gaza et à Jérusalem Est, sans présence israélienne, militaire ou civile. AP. yahoo
Les juifs extrémistes qui occupent la Palestine ne veulent pas la paix, ceux qui disent le contraire sont débiles ou collabos.
Et encore mieux :
The request by Palestinian President Mahmoud Abbas to the United Nations Human Rights Council last year to postpone the vote on the Goldstone report followed a particularly tense meeting with the head of the Shin Bet security service, Haaretz has learned. At the October meeting in Ramallah, Shin Bet chief Yuval Diskin told Abbas that if he did not ask for a deferral of the vote on the critical report on last year’s military operation, Israel would turn the West Bank into a « second Gaza. »
Diskin, who reports directly to Prime Minister Benjamin Netanyahu, threatened to revoke the easing of restrictions on movement within the West Bank that had been implemented earlier last year. He also said Israel would withdraw permission for mobile phone company Wataniya to operate in the Palestinian Authority. That would have cost the PA tens of millions of dollars in compensation payments to the company.
A PA official close to Abbas told Haaretz that Diskin came to the Muqata compound in Ramallah in October with a foreign diplomatic delegation, and that a senior Israel Defense Forces officer made similar threats to other PA leaders at around the same time. Haaretz
Le directeur du renseignement israélien a menacé Abbas de transformer la Cisjordanie en « second Gaza » s’il soutenait le rapport Goldstone.
La demande formulée par le président palestinien Mahmoud Abbas à l’ONU Conseil des droits de l’homme l’an dernier de reporter le vote sur le rapport Goldstone a suivi une réunion particulièrement tendues avec le chef du service de sécurité du Shin Bet, Haaretz a appris. Lors de la réunion Octobre à Ramallah, le chef du Shin Bet Youval Diskin a dit Abbas que s’il n’a pas demandé un report du vote sur le rapport critique sur l’opération militaire de l’an dernier, Israël ferait de la Cisjordanie en une «seconde de Gaza ».
Diskin, qui rend compte directement au Premier ministre Benjamin Netanyahu, a menacé de révoquer l’assouplissement des restrictions à la circulation à l’intérieur de la Cisjordanie qui avaient été mises en œuvre plus tôt l’année dernière. Il a également déclaré qu’Israël se retirerait l’autorisation de compagnie de téléphonie mobile Wataniya à opérer dans l’Autorité palestinienne. Cela aurait coûté à l’Autorité palestinienne des dizaines de millions de dollars en paiements de compensation à l’entreprise.
Un gros plan officiel de l’AP à M. Abbas a déclaré à Haaretz que Diskin est venu au composé Muqata à Ramallah en Octobre avec une délégation diplomatique étrangère, et qu’un haut officier des Forces de défense israéliennes ont proféré des menaces similaires à d’autres leaders PA à la même époque. traduction google
C’est pas beau ça, menacer de transformer la Cisjordanie en second Gaza, ce qui au passage montre bien que ces chiens d’israeliens savent qu’ils font le Mal.Et cela si Abbas soutient le rapport Goldstone, rapport qui accuse Israél de crime de guerre et de crime contre l’humanité.
Et l’Allemagne, la France, les anglais, les USA soutiennent de manière inconditionnelle cet état assassin, en même temps, entre assassins on s’entend bien….
Israël espère commander 2 bâtiments modernes de construction allemande sans les payer, a rapporté vendredi le quotidien Hannoversche Allgemeine Zeitung.
Des sources du gouvernement allemand ont indiqué au journal qu’Israël veut que Berlin finance les corvettes MEKO, une somme qui atteindrait plusieurs centaines de millions €.
Le journal indique que le gouvernement n’a pas encore réagi à la demande d’Israël. Mais des “politiciens influents du nord de l’Allemagne”, là où les chantiers navals souffrent des conséquences de la crise économique, soutiendraient apparemment cette idée afin de donner du travail aux chantiers navals allemands.
Le contrat serait destiné au chantier naval Blohm + Voss de Hanbourg, explique le journal.
Mais le système d’armes principal viendrait des Etats-Unis. Les corvettes deviendraient ainsi un système naval de défense anti-missiles.
Les forces navales israéliennes ont déjà reçu l’aide du gouvernement allemand. Entre 1999 et 2000, 3 sous-marins construit par le chantier naval Howaldtswerken Deutsche Werft avaient été livrés.
Le gouvernement allemand aurait aussi payé les 2 tiers du prix de 2 sous-marins supplémentaires, équipés d’une propulsion à piles à combustible, dont le prix est de 500 millions € pièce. Ils sont actuellement en construction à Kiel et doivent être livrés à Israël en 2012. source
Je vous avez parlé des sous marins il y a quelques semaines, et voila que ces tarés de juifs extrémistes recommencent. Ce sont maintenant deux corvettes qu’ils veulent avoir gratuitement !!!!!!! Putain mais c’est dingue, sérieusement, c’est quoi cette histoire, mais ils sont cons les Allemands ou quoi ? N’allez pas me dire que c’est un geste de contrition ?
» pardon de vous avoir exterminer, on peut vous aider à exterminer si vous voulez « , c’est que ce genre de transaction signifie.
Déja que les juifs extrémistes ont réussi à gratter 5 sous marins pour le prix de la moitié d’un (quasiment), ils ont le culot de demander deux corvettes de plus.C’est inouï comme situation, non mais vous imaginez, je sais pas moi, le Bénin par exemple exiger que la France lui construise sa flotte de guerre ? C’est surréaliste et ça m’énerve au plus haut point.
Donner des armes aux juifs extrémistes, c’est de la folie furieuse.
Le chomage est un argument débile, puisque c’est le gouvernement qui paye, les sous marins et les corvettes n’ont qu’à rejoindre la kriegsmarine, mais en aucun cas les donner à des gens qui tuent et massacrent depuis 60 ans.
Enfin bref, démence pure, pleurnicherie shoahesque et misère morale sont le tryptique de la relation israélo-allemande.
In a little noticed interview with the Daily Beast (presumably little noticed because serious people don’t read the Daily Beast), Zbigniew Brzezinski suggests that Barack Obama do more than just refuse to support an Israeli strike on Iran’s nuclear sites — the American president must give the order to shoot down Israeli aircraft as they cross Iraqi airspace:
DB: How aggressive can Obama be in insisting to the Israelis that a military strike might be in America’s worst interest?
Brzezinski: We are not exactly impotent little babies. They have to fly over our airspace in Iraq. Are we just going to sit there and watch?
DB: What if they fly over anyway?
Brzezinski: Well, we have to be serious about denying them that right. That means a denial where you aren’t just saying it. If they fly over, you go up and confront them. They have the choice of turning back or not. No one wishes for this but it could be a Liberty in reverse.
Contrary to Brezinski’s half-hearted disclaimer that no one wishes for such an outcome, there are plenty on the left who would delight in a pitched battle between the United States and Israel. Democrats in Congress routinely support resolutions affirming Israel’s right to take whatever steps it deems necessary to assure its own national defense. And Obama has at least paid lip service to the concept. But hostility to Israel among the rank and file is very real on the left — and among « realists. »
So conjure the image — the Obama administration sending U.S. aircraft up to protect Iran’s airspace and it’s nuclear installations from an attack by a democracy that is one of America’s closest allies. Unfortunately, this may not be so hard to imagine in Israel, where the number of people who believe Obama is pro-Israel is at just 4 percent — and falling. And given Obama’s (literally) submissive posture to the Saudis, his indulgence of the Iranians, and his simultaneously hard-line approach to Israel, it seems even some of Obama’s supporters can savor the possibility of a « reverse Liberty. » the Weekly standard traduction google
C’est extrèmement important ce que Brezinski a dit,il remet en cause,et de manière direct et violente, l’alliance Américano-Israélienne qui date pourtant de 50 ans.
Honnêtement je suis sur le cul,cela remet en cause tout les paradigmes géopolitiques mondiaux en vigueur depuis Bush père.
Quid de l’Europe à la solde des intérêts sionistes?
Comment va réagir Israél?
Et surtout,qu’est ce qui c’est passé pour que Brezinski annonce cela,qu’est ce qui a changé dans leurs relations pour boulverser à ce point cette alliance qui fonctionnait si bien.
Cette interview de Brezinski est capitale pour qui veut comprendre le monde,ce revirement,abattre des avions israéliens et protéger ainsi l’Iran est à première vue incompréhensible,et pourtant !
Il y quelque jours on m’ a montré cela ,je me demande du coup si ce n’est pas réellement ce qui s’est passé.
Je vous le répète ,ce changement de paradigme est littéralement incroyable,et c’est Brezinski qui l’annonce,niveau serieux,on ne peut faire mieux.
Nous allons voir ce qui va se passer,et honnêtement,je suis assez perplexe,les relations internationales ne sont pas figés,ni dogmatiques,elles sont vivantes et tout est possible,c’est magnifique !
LES USA ABATTANT DES JETS ISRAÉLIENS AFIN DE PROTEGER L’IRAN,il n’y avait que brezinski pour oser dire cela et être pris aux sérieux.
» Une intervention militaire pour empêcher l’Iran d’obtenir l’arme nucléaire n’est pas une option envisageable, a estimé jeudi le général Jean-Louis Georgelin, chef d’état-major des armées françaises.
S’exprimant à Washington en marge d’un discours sur l’OTAN, le général Georgelin a jugé trop risquée une opération militaire contre l’Iran.
« C’est très difficile de planifier une opération militaire en Iran car nous ne sommes pas certains de pouvoir résoudre un problème en une seule fois, et si on échoue en une seule fois, c’est une catastrophe », a-t-il déclaré, s’exprimant en anglais. « Je ne pense pas qu’une option militaire soit toujours envisageable à ce stade ».
« Mon opinion personnelle est que pour l’Iran, je crains que l’option militaire soit probablement derrière nous, et que l’action doive se concentrer, comme l’a dit notre président à plusieurs reprises, sur des pressions financières, économiques et politiques », a ajouté le général Georgelin.
Il a également évoqué l’importance éventuelle d’une collaboration avec Israël « afin de ne pas les laisser frapper seuls, avec tous les risques que cela comporterait ».
Lundi, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a annoncé qu’elle se trouvait dans une « impasse » sur le dossier nucléaire iranien. Selon l’agence onusienne, l’Iran n’a pas suspendu son programme d’enrichissement d’uranium et n’a pas non plus répondu clairement aux questions persistantes sur les dimensions militaires de son programme nucléaire. le nouvel obs
C’est incroybale ce qu’il dit » C’est très difficile de planifier une opération militaire en Iran car nous ne sommes pas certains de pouvoir résoudre un problème en une seule fois, et si on échoue en une seule fois, c’est une catastrophe », a-t-il déclaré, s’exprimant en anglais.
Il dit « nous » ce nazi,et non pas » vous » comme au temps de la guerre d’Irak.C’est très grave car cela confirme,pour ceux qui doutaient encore,que la France participera au massacre des Iraniens.
Avec ce chien galeux de kouchner(qui a soutenu la guerre d’Irak et la soutient encore malgrè le million de mort) et cet autre agent de l’étranger qu’est sarkozy,notre nation n’est plus souveraine et s’engage sur la voie de la guerre.
L’instant est grave,avouer comme cela que c’est L’OTAN qui s’occupera de bombarder l’Iran,en tant que bras armé d’Israél est lamentable.
Je ne comprends pas pourquoi l’Europe suit Israél de cette manière,comme un petit chien,j’en viens à regretter Chirac,c’est dire !
Honnêtement,je pense que l’Iran sera attaqué,tout simplement parceque Israél le veut.Ces gens,quoiqu’on puisse dire sont des manipulateurs et ils arrivent souvent à leurs fins,quelques soient les conséquences.
Si le traité de Lisbonne est appliqué,l’Europe en tant que bloc unifié existera,il y aura un ministre des affaires étrangères Européen,et ce sera trop tard,c’est plus simple de corrompre et de manipuler un acteur plutot que tenter de manipuler 27 états.
L’Europe n’aura pas d’armée propre mais sera un ensemble unifié au service de la guerre,des massacres,et de la mort.
Après 60 ans de paix(relative) et d’une propension à tout faire pour éviter les conflits de part le monde,voila que la tradition guerrière reprend le dessus.C’est un boulversement sans commune mesure dans la stabilité mondiale.
Une fois de plus,la mémoire s’efface,les deux conflits mondiaux,qui avaient détruit toute velléité guerrière sont oubliés.C’est une très mauvaise nouvelle,l’Europe a prouvé de part son histoire sanglante que lorsque les européens font la guerre,ils ne le font pas qu’à moitié.
Le Wall Street Journal a mis en garde le président américain Barack Obama, en déclarant qu’il devait impérativement stopper le programme nucléaire iranien « s’il ne voulait pas devoir subir les conséquences d’une offensive israélienne. » Il a précisé qu’un affrontement militaire serait inévitable si l’Occident ne se décidait pas à agir rapidement.
Dans l’éditorial d’aujourd’hui, le journal a accusé Obama d’avoir gaspillé son temps, au cours des premiers mois de son mandat, à tenter de convaincre Israël de ne pas attaquer les installations nucléaires iraniennes au lieu d’essayer de persuader la communauté internationale de prendre des mesures plus efficaces pour stopper le développement du programme de Téhéran.
Et de souligner dans les colonnes du journal: « Les officiers américains et israéliens avec lesquels nous nous sommes entretenus sont certains qu’un raid israélien pourra porter sérieusement atteinte aux projets des Iraniens, même si certaines installations sont épargnées. » Il a encore souligné que « Téhéran avait constaté la faiblesse des institutions internationales et savait en revanche que seul Israël saurait réagir s’il le faut. »
Et de poursuivre: « Les Iraniens ont compris que l’ONU ne constitue pas pour eux une menace, pas plus d’ailleurs que l’Agence internationale de l’Energie atomique. » L’Occident, pour l’auteur de l’édito, ne souhaite pas non plus intervenir et le président Obama « continue à supplier l’Iran d’entamer un dialogue. »
Et de conclure: « Plus l’Occident et l’Onu feront preuve de faiblesse, plus il semblera évident qu’Israël attaquera. » alter info
C’est super,en gros le WSJ dit qu’il faut faire la guerre sinon il y aura la guerre ,elle est bonne celle encore.À qui s’intéresse un peu aux relations internationales,l’occident ne peut tolérer un acteur régional fort et indépendant,surtout dans les régions pétrolifères du golfe,l’Irak a essayé mais l’a payé et excecivement cher, les pays du golfe se vautrent dans la compromission,le bling-bling,dépensant tout leur argent dans des projets débiles et stériles,enrichissant les occidentaux,exploitant des milliers d’immigrès en les payant une bouchée de pain,et hypothéquant l’avenir des générations à venir de leur propre pays.
Ce n’est pas pour le nucléaire militaire que l’on menace l’Iran,c’est pour le nucléaire civil.L’énergie nucléaire est la moins cher du marché,et si l’Iran développe un réseau dense de centrale nucléaire,en plus de posséder les plus grandes réserves de pétrole et de gaz,alors ce pays deviendrait un exportateur d’energie encore plus puissant .
De toute façon même si les Iraniens ont la bombe ils savent très bien que la moindre velléité d’attaque sur Israél se solderait par la vitrification de leur propre pays,c’est cela le concept de dissuasion.
Ce n’est donc pas la détention de l’arme en elle même qui est problématique,c’est le rapport de force qui sera changé,et cela,Israel,L’Arabie Saoudite,et les USA ne le veulent pas.
Il y a des tas de raisons pour attaquer l’Iran,son pétrole important pour la Chine,sa position stratégique,son indépendance,son régime,son soutient au hezbollah,Israel et sa lubie de la sécurité,le nucléaire,et des tas d’autres encore que l’on imagine même pas tellement le monde du renseignement et les enchevêtrements des intérets croisés des nations sont obscurs.
C’est plus le moment que les raisons qui décideront de l’attaque sur l’Iran,comme par exemple profiter d’un effondrement économique et créer cet arc de crise nécessaire à l’établissement du nouvel ordre mondial.
En tout cas,le WSJ dit vraiment n’importe quoi.Ils sont vendus aux intérêts de la guerre et des massacres.