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Il n’y a pas assez de preuves permettant de déterminer si la vaccination antigrippale est efficace pour prévenir la grippe chez l’adulte en bonne santé,selon la Cochrane collaboration (organisation internationale à but non lucratif, créée en 1993 et qui a pour objectif de « préparer, tenir à jour, et diffuser les revues systématiques sur l’efficacité des thérapeutiques et des stratégies thérapeutiques « .

septembre 3, 2009

Mensonges-gardasil-

En médecine actuellement, la Cochrane collaboration (organisation internationale à
but non lucratif, créée en 1993 et baptisée en l‟honneur de l‟épidémiologiste écossais
Archie Cochrane [1909-1988]) a pour objectif de « préparer, tenir à jour, et diffuser
les revues systématiques sur l’efficacité des thérapeutiques et des stratégies
thérapeutiques ». Quoique ses évaluations – en principe indépendantes – ne soient
pas forcément au-dessus de toute critique, elles sont largement tenues comme parmi
les plus fiables en matière de médicament.
Précisément, et sous l‟impulsion de Th. Jefferson, un épidémiologiste italo-
britannique, la Cochrane collaboration a récemment publié une série assez
systématique d‟évaluations concernant les vaccins antigrippaux : en toute logique et
compte tenu de ce qui vient d‟être rappelé, celles-ci devraient d‟autant plus valoir
pour le dernier mot sur la question qu‟elles sont extrêmement récentes – peu
susceptibles, à ce titre, d‟avoir été rendues obsolètes par des investigations
méconnues.
Or, comparées à l‟activisme promotionnel implacable des autorités sanitaires, leurs
conclusions sont accablantes.
Chez le sujet âgé (65 ans et plus) : “according to reliable evidence the
usefulness of vaccines in the community is modest” (sur la base des données
fiables, l‟utilité des vaccins hors institution est modeste), les auteurs
soulignant par ailleurs que les études disponibles sont, pour l‟essentiel, de
mauvaise qualité et exposées à de nombreux biais.
Chez l‟adulte jeune : “There is not enough evidence to decide whether
routine vaccination to prevent influenza in healthy adults is effective” (il n‟y a
pas assez de preuves permettant de déterminer si la vaccination antigrippale
est efficace pour prévenir la grippe chez l‟adulte en bonne santé). Nul besoin
d‟être épidémiologiste pour prendre la mesure du problème posé par un
vaccin pour lequel sur la base d‟études menées durant 40 ans (la revue
incluant les investigations entreprises de 1966 à 2006), personne n‟a été
capable de fournir la moindre preuve crédible d‟une efficacité préventive. Ce,
d‟autant qu‟en parallèle, les auteurs relèvent que les études disponibles ne
permettent pas non plus d‟évaluer la tolérance du vaccin : d‟où il ressort
qu‟incapables de fournir la moindre preuve crédible quant à l‟efficacité du
vaccin qu‟elles recommandent depuis des années, les autorités sanitaires ne
sont même pas en mesure, non plus, de garantir son innocuité…
Chez l‟enfant : “If immunisation in children is to be recommended as a public
health policy, large-scale studies assessing important outcomes and directly
comparing vaccine types are urgently required.” (S‟il s‟agit de recommander la
vaccination des enfants comme mesure de santé publique, il est urgent
d‟entreprendre des études à grande échelle pour en évaluer les principaux
impacts et opérer des comparaisons directes entre les différents types de
vaccins). Une fois encore, les auteurs remarquent que les données disponibles
– pour insuffisantes qu‟elles soient déjà au regard de l‟efficacité – sont
absolument inutilisables pour vérifier la tolérance. Non sans ironie, ils
s‟étonnent (“surprisingly”) qu‟alors que certains calendriers vaccinaux (USA,
Canada) incluent d‟office la vaccination antigrippale chez les enfants de moins
de 2 ans, une étude seulement soit disponible dans cette classe d‟âge…
Chez les professionnels de santé employés en gériatrie: “There is no
credible evidence that vaccination of healthy people under the age of 60, who
are HCWs caring for the elderly, affects influenza complications in those cared
for” (Il n‟existe pas de preuve crédible que la vaccination des gens de moins
de 60 ans en bonne santé, employés dans des établissements de gériatrie,
modifie les complications grippales des sujets dont ils ont la charge).
Bien sûr, personne n‟est réputé avoir le monopole de la vérité. Mais le moins que l‟on
puisse dire, c‟est que par leur exhaustivité (toutes les études publiées sur une
période de 40 ans), la transparence de leur méthodologie, la convergence de leurs
résultats – pour ne point parler de la déférence accordée, par principe, aux
évaluations de la Collaboration Cochrane –, ces revues tranchent avec l‟assertivité
expéditive des administrations sanitaires ou des « experts » (cf. note 14) quant au
bénéfice – voire à l‟ardente nécessité – d‟une vaccination antigrippale. Dans une
correspondance ultérieure en réponse à des « experts » de l‟administration
américaine (Centers for Disease Control and Prevention, correspondant plus ou
moins à notre Institut de veille sanitaire) qui prétendaient les critiquer, les auteurs de
ces évaluations Cochrane renvoient sèchement leurs contradicteurs dans les cordes :
« finalement, nous nous étonnons que Smith et Shay ne déclarent aucun conflit
d‟intérêt dans la mesure où ils travaillent pour une organisation en charge de
recommander et d‟évaluer des politiques vaccinales. Il s‟agit sans doute du plus
important de tous les conflits » (cf. aussi note 18).
De cette brève revue des données disponibles sur la grippe en général, on peut déjà
tirer les conclusions suivantes :
depuis 1966, les fabricants ne se sont jamais donné la peine de fournir le
minimum de preuves suffisantes quant à l‟efficacité de leurs vaccins
antigrippaux, que ce soit chez les « espèces » traditionnellement protégées
par l‟éthique de la recherche clinique (sujets âgés, enfants, nourrissons :
cf. 2.2.4.3), dans populations réputées à risque (professionnels de santé) ou,
tout simplement, chez les sujets en bonne santé ;
les autorités sanitaires, qui octroient régulièrement les autorisations de mise
sur le marché à ces vaccins antigrippaux, n‟ont jamais exigé des fabricants ce
minimum de preuves ;
que, malgré une telle carence de preuves, lesdits vaccins soient autorisés au
remboursement et qu‟ils fassent même l‟objet d‟une promotion de plus en plus
intensive (notamment chez l‟enfant) place les responsables de ce
remboursement et de cette promotion – les autorités de santé – en situation
patente de conflit d‟intérêts : on n‟attend pas d‟elles qu‟elles reconnaissent
rétrospectivement qu‟elles ont promu et payé des médicaments dont le
rapport bénéfice/risque (cf. 2.2) serait à ce point problématique.
correspondance ultérieure en réponse à des « experts » de l‟administration
américaine (Centers for Disease Control and Prevention, correspondant plus ou
moins à notre Institut de veille sanitaire) qui prétendaient les critiquer, les auteurs de
ces évaluations Cochrane renvoient sèchement leurs contradicteurs dans les cordes :
« finalement, nous nous étonnons que Smith et Shay ne déclarent aucun conflit
d‟intérêt dans la mesure où ils travaillent pour une organisation en charge de
recommander et d‟évaluer des politiques vaccinales. Il s‟agit sans doute du plus
important de tous les conflits » (cf. aussi note 18).
De cette brève revue des données disponibles sur la grippe en général, on peut déjà
tirer les conclusions suivantes :
depuis 1966, les fabricants ne se sont jamais donné la peine de fournir le
minimum de preuves suffisantes quant à l‟efficacité de leurs vaccins
antigrippaux, que ce soit chez les « espèces » traditionnellement protégées
par l‟éthique de la recherche clinique (sujets âgés, enfants, nourrissons :
cf. 2.2.4.3), dans populations réputées à risque (professionnels de santé) ou,
tout simplement, chez les sujets en bonne santé ;
les autorités sanitaires, qui octroient régulièrement les autorisations de mise
sur le marché à ces vaccins antigrippaux, n‟ont jamais exigé des fabricants ce
minimum de preuves ;
que, malgré une telle carence de preuves, lesdits vaccins soient autorisés au
remboursement et qu‟ils fassent même l‟objet d‟une promotion de plus en plus
intensive (notamment chez l‟enfant) place les responsables de ce
remboursement et de cette promotion – les autorités de santé – en situation
patente de conflit d‟intérêts : on n‟attend pas d‟elles qu‟elles reconnaissent
rétrospectivement qu‟elles ont promu et payé des médicaments dont le
racorrespondance ultérieure en réponse à des « experts » de l‟administration
américaine (Centers for Disease Control and Prevention, correspondant plus ou
moins à notre Institut de veille sanitaire) qui prétendaient les critiquer, les auteurs de
ces évaluations Cochrane renvoient sèchement leurs contradicteurs dans les cordes :
« finalement, nous nous étonnons que Smith et Shay ne déclarent aucun conflit
d‟intérêt dans la mesure où ils travaillent pour une organisation en charge de
recommander et d‟évaluer des politiques vaccinales. Il s‟agit sans doute du plus
important de tous les conflits » (cf. aussi note 18).
De cette brève revue des données disponibles sur la grippe en général, on peut déjà
tirer les conclusions suivantes :
depuis 1966, les fabricants ne se sont jamais donné la peine de fournir le
minimum de preuves suffisantes quant à l‟efficacité de leurs vaccins
antigrippaux, que ce soit chez les « espèces » traditionnellement protégées
par l‟éthique de la recherche clinique (sujets âgés, enfants, nourrissons :
cf. 2.2.4.3), dans populations réputées à risque (professionnels de santé) ou,
tout simplement, chez les sujets en bonne santé ;
les autorités sanitaires, qui octroient régulièrement les autorisations de mise
sur le marché à ces vaccins antigrippaux, n‟ont jamais exigé des fabricants ce
minimum de preuves ;
que, malgré une telle carence de preuves, lesdits vaccins soient autorisés au
remboursement et qu‟ils fassent même l‟objet d‟une promotion de plus en plus
intensive (notamment chez l‟enfant) place les responsables de ce
remboursement et de cette promotion – les autorités de santé – en situation
patente de conflit d‟intérêts : on n‟attend pas d‟elles qu‟elles reconnaissent
rétrospectivement qu‟elles ont promu et payé des médicaments dont le
rapport bénéfice/risque (cf. 2.2) serait à ce point problématique.
source

Bon au moins cela a le mérite d’être claire,il faut que vous sachiez que le Docteur Marc Girard n’est en aucun cas opposé de manière dogmatique à la vaccination,il ne fait pas parti des « sectes » anti vaccin comme il les qualifie lui même.
C’est quelqu’un de très mesuré,avec une grande rigueur scientifique et il base son travail sur des analyses scientifiques connu et non partisane.

Et ces études sont claires :

Chez le sujet âgé (65 ans et plus) : “according to reliable evidence the
usefulness of vaccines in the community is modest” (sur la base des données
fiables, l‟utilité des vaccins hors institution est modeste), les auteurs
soulignant par ailleurs que les études disponibles sont, pour l‟essentiel, de
mauvaise qualité et exposées à de nombreux biais.

Chez l‟adulte jeune : “There is not enough evidence to decide whether
routine vaccination to prevent influenza in healthy adults is effective” (il n‟y a
pas assez de preuves permettant de déterminer si la vaccination antigrippale
est efficace pour prévenir la grippe chez l‟adulte en bonne santé). Nul besoin
d‟être épidémiologiste pour prendre la mesure du problème posé par un
vaccin pour lequel sur la base d‟études menées durant 40 ans.

Chez l‟enfant : “If immunisation in children is to be recommended as a public
health policy, large-scale studies assessing important outcomes and directly
comparing vaccine types are urgently required.” (S‟il s‟agit de recommander la
vaccination des enfants comme mesure de santé publique, il est urgent
d‟entreprendre des études à grande échelle pour en évaluer les principaux
impacts et opérer des comparaisons directes entre les différents types de
vaccins).

Chez les professionnels de santé employés en gériatrie : “There is no
credible evidence that vaccination of healthy people under the age of 60, who
are HCWs caring for the elderly, affects influenza complications in those cared
for” (Il n‟existe pas de preuve crédible que la vaccination des gens de moins
de 60 ans en bonne santé, employés dans des établissements de gériatrie,
modifie les complications grippales des sujets dont ils ont la charge).

DONC CEUX QUI VONT SE FAIRE VACCINER SERONT DES COBAYES,l’étude ci dessus explique qu’en AUCUN CAS LA VACCINATION CONTRE LA GRIPPE EST UTILE,c’est écrit noir sur blanc.

POURQUOI L’OMS VEUT NOUS VACCINER SI LA VACCINATION CONTRE LA GRIPPE N’A PAS D’INTERÊT PARTICULIER?

RÉFLECHISSEZ,S’IL VOUS PLAIT,TOUT EST LÀ SOUS VOS YEUX,LA VACCINATION CONTRE LA GRIPPE NE SERT À RIEN,CE N’EST PAS MOI QUI LE DIT C’EST la Cochrane collaboration (organisation internationale à
but non lucratif, créée en 1993 et baptisée en l‟honneur de l‟épidémiologiste écossais
Archie Cochrane [1909-1988]) a pour objectif de « préparer, tenir à jour, et diffuser
les revues systématiques sur l’efficacité des thérapeutiques et des stratégies
thérapeutiques ».

Ne me croyez pas moi,mais croyez ceux dont c’est le travail d’évaluer les médicaments,et eux vous disent que RIEN ne prouve que la vaccination contre la grippe soit efficace.

Ne soyez pas stupide,ne niez pas la réalité,NE VOUS FAITES SURTOUT PAS VACCINER,et si cela devient obligatoire,c’est qu’il y a un gros problème,un très gros problème même,pourquoi vacciner de force des gens avec un produit qui n’a pas fait ses preuves ?
Kids fleeing needles Rense

NE SURTOUT PAS OUBLIER QUE LE 4 JUIN,L’INSTITUT PASTEUR A DIT « IL VA FALLOIR VACCINER TOUT LE MONDE »

août 22, 2009

z4079up0

Va-t-on vers une vaccination systématique de la population contre ce nouveau virus ?

Nous allons être conduit à vacciner tout le monde, au Nord, comme au Sud, dans les pays riches comme dans ceux en voie de développement. Et mon avis est que le plus vite sera le mieux, compte tenu de l’évolution actuelle. Mais il y a des délais incompressibles. L’OMS a donné à tous les laboratoires investis dans les vaccins la souche de virus de base. Si tout va bien, si les rendements sont bons, si cette souche se comporte sans imprévu, il faudra compter quatre à six mois, avant de disposer de vaccins. Par ailleurs, c’est un vaccin nouveau, avec une population naïve, nous ne sommes pas dans des conditions classiques. Il va falloir faire des essais cliniques pour vérifier l’efficacité et l’absence d’effets secondaires. Il faudra sans doute deux doses contre ce nouveau virus. Tout cela prolonge les délais d’obtention. Les travaux de préparation d’un vaccin contre une pandémie liée au H5N1 représentent une aide notable ».

article le figaro

Et oui,cela a été dit,mais vu les commentaires négatifs,ils ont changé de stratégie,maintenant ils nient la vaccination globale,mais elle aura bien lieu.

Ils n’ont pas acheté 90 millions et pré-commandé 36 millions de plus pour rien,c’est pile poil pour couvrir  TOUTE LA POPULATION avec deux doses.Ce n’est pas anodin.

Il vont créer une fausse pénurie pour faire flipper les gens,et les pousser à se faire vacciner,juste avec la peur.

Comprennez bien que si la France n’a que 1000 cas au jour d’aujourd’hui,c’est uniquement pour créer un énorme differentiel entre les futurs chiffres à venir,en passant de 1000 cas à 100 000,on fera croire que le virus est incontrolable,c’est uniquement pour cela que la France a si peu de cas aujourd’hui.

L’organisme chargé de la santé publique en Angleterre,dans une missive confidentielle s’inquiète du caractère nocif des vaccins,et leurs liens avec une maladie dégénérative.

août 18, 2009

co-nard_copie

C’est tellement énorme que même le journal dit « The Mail on Sunday, leading to demands to know why the information has not been given to the public before the vaccination of millions of people, including children, begins. »

Parceque ce qui est dit est assez grave :

 » the neurologists that they must be alert for an increase in a brain disorder called Guillain-Barre Syndrome (GBS), which could be triggered by the vaccine.

GBS attacks the lining of the nerves, causing paralysis and inability to breathe, and can be fatal. »

Une bonne vieille maladie dégénérative,quand je vous dit qu’ils veulent nous transformer en ZOMBIE,ce n’est même plus une image,c’est dingue.

Les spécialistes se fondent sur l’expérience(il ‘y a pas d’autres mots) de la grippe porcine de 1976 aux USA,et voila ce qu’ils disent:

  • More people died from the vaccination than from swine flu.
  • 500 cases of GBS were detected.
  • The vaccine may have increased the risk of contracting GBS by eight times.
  • The vaccine was withdrawn after just ten weeks when the link with GBS became clear.
  • The US Government was forced to pay out millions of dollars to those affected
  • C’est écrit noir sur blanc,la vaccination a fait plus de morts que la grippe,ce sont des données réelles,des gens ont contracté cette maladie dégénérative,et les autorités ont dû stopper la vaccination et retirer les lots.

    La grosse différence avec cette époque est qu’aujourd’hui un décret protège les laboratoires en cas de pépin,donc il n’y aura pas de recours.

    http://www.dailymail.co.uk/news/article-1206807/Swine-flu-jab-link-killer-nerve-disease-Leaked-letter-reveals-concern-neurologists-25-deaths-America.html (traduction google )