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Un think tank Anglais explique la nécessité de réduire la population britannique à 30 millions d’habitants. Et à ce moment là,c’est tout l’occident et la Chine qui vont vacciner leurs population ! Faites des liens .

septembre 11, 2009

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D’après Porritt, la population de la Grande-Bretagne doit tomber à 30 millions d’habitants.
Jonathan Leake et Brendan Montague Jonathan Porritt, les principaux conseillers écologistes de Gordon Brown, soulignent que la Grande-Bretagne doit considérablement réduire sa population pour former une société durable.
Porritt a lancé cet appel lors de la conférence annuelle de l’Optimum Population Trust (OPT) qu’il présidait.
Le Trust publiera des résultats de recherche afin de démontrer la nécessité de réduire la population britannique à 30 millions d’habitants si le pays veut garder son autosuffisance sur le long terme.
Cela fait partie de l’idéologie qui est à la base de cet appel à une réduction de la population à 30 millions d’habitants – ce qui correspond à peu près au nombre d’habitants à l’époque victorienne.
Source: The Sunday Times du 22/3/09
(Traduction Horizons et débats)
Note du traducteur:
Optimum Population Trust est l’un des principaux groupes de réflexion du Royaume-Uni, qui, selon sa propre description, s’intéresse à l’impact de la population croissante sur l’environnement. (Source: google: Windows live).
http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=1779

La première fois que j’ai entendu cela,au mois de mars j’avais été abasourdi,non mais vous vous rendez compte du délire,ils disent ouvertement qu’il faut réduire la population Britannique de moitié,rien que ça.C’est le retour de Malthus,à l’ère moderne qui plus est,j’entends par là,qu’avec les technologies mortifères d’aujourd’hui,réduire massivement la population est d’une simplicité enfantile.

Nous avons appris grâce au Guardian que  » un rapport gouvernemental récemment déclassé fournit pour la première fois une histoire officielle complète des tests d’armes biologiques de la Grande-Bretagne entre 1940 et 1979.

Beaucoup de ces tests ont impliqué de répandre des produits chimiques potentiellement dangereux et des micro-organismes sur de vastes pans de la population sans le public soit avertit. »

La presse anglaise est vraiment extraordinaire,heureusement qu’ils existent !

Bref,pour les mongoliens qui nient l’épandage chimique au dessus de nos têtes,vous voila bien dans le caca maintenant.

Quand comprendrez vous que ceux qui nous gouvernent sont des fous furieux,des psychopates en puissance,qui sont totalement déconnectés du réel et ne possèdent aucune espèce d’empathie.

Donc,quand vous entendez que le conseiller écologique de Gordon Brown dire qu’il faut diviser la population par deux(il faut être inhumain pour dire cela),quand vous lisez que le Royaume-Uni a déja réalisé des épandages de produits chimiques et de germes sur les population civiles,quand vous connaissez un minimum l’histoire et la noirceur d’âme de certains dirigeants politiques et que vous reliez le tout,vous devriez normalement arriver à la conclusion,que si nos élites ont la volonté de réduire la population,qu’elles possèdent les techniques pour le faire et bien,c’est qu’ils vont le faire,il n’y a aucune alternative.

Le nouveau fascisme prend la forme de l’écologie,le totalitarisme,c’est quand on a pas le choix,et aujourd’hui,prétextant le sujet ô combien important de la préservation de la nature,des décisions NAZIS vont être prises et appliquées.

La population mondiale va être fortement réduite,ou plutot,nous allons nous faire exterminer,c’est comme cela qu’il faut le dire,parceque ne pensez pas que c’est un projet sur un siècle,cela va être fait rapidement,ils ne peuvent pas se permettre d’attendre trop longtemps,parceque dans 10 ans,tout aura été détruit.

Et plutôt que de changer le système,liberer les énergies et laisser la vie sauve à tout le monde,ils vont assassiner les 3/4 de la population mondiale afin de préserver et même accentuer leur pouvoir en créant un monde nouveau,le NWO totalitaire et oppressant.Une sorte de régime soviétique high tech à l’echelle mondiale.

Il n’y a pas assez de preuves permettant de déterminer si la vaccination antigrippale est efficace pour prévenir la grippe chez l’adulte en bonne santé,selon la Cochrane collaboration (organisation internationale à but non lucratif, créée en 1993 et qui a pour objectif de « préparer, tenir à jour, et diffuser les revues systématiques sur l’efficacité des thérapeutiques et des stratégies thérapeutiques « .

septembre 3, 2009

Mensonges-gardasil-

En médecine actuellement, la Cochrane collaboration (organisation internationale à
but non lucratif, créée en 1993 et baptisée en l‟honneur de l‟épidémiologiste écossais
Archie Cochrane [1909-1988]) a pour objectif de « préparer, tenir à jour, et diffuser
les revues systématiques sur l’efficacité des thérapeutiques et des stratégies
thérapeutiques ». Quoique ses évaluations – en principe indépendantes – ne soient
pas forcément au-dessus de toute critique, elles sont largement tenues comme parmi
les plus fiables en matière de médicament.
Précisément, et sous l‟impulsion de Th. Jefferson, un épidémiologiste italo-
britannique, la Cochrane collaboration a récemment publié une série assez
systématique d‟évaluations concernant les vaccins antigrippaux : en toute logique et
compte tenu de ce qui vient d‟être rappelé, celles-ci devraient d‟autant plus valoir
pour le dernier mot sur la question qu‟elles sont extrêmement récentes – peu
susceptibles, à ce titre, d‟avoir été rendues obsolètes par des investigations
méconnues.
Or, comparées à l‟activisme promotionnel implacable des autorités sanitaires, leurs
conclusions sont accablantes.
Chez le sujet âgé (65 ans et plus) : “according to reliable evidence the
usefulness of vaccines in the community is modest” (sur la base des données
fiables, l‟utilité des vaccins hors institution est modeste), les auteurs
soulignant par ailleurs que les études disponibles sont, pour l‟essentiel, de
mauvaise qualité et exposées à de nombreux biais.
Chez l‟adulte jeune : “There is not enough evidence to decide whether
routine vaccination to prevent influenza in healthy adults is effective” (il n‟y a
pas assez de preuves permettant de déterminer si la vaccination antigrippale
est efficace pour prévenir la grippe chez l‟adulte en bonne santé). Nul besoin
d‟être épidémiologiste pour prendre la mesure du problème posé par un
vaccin pour lequel sur la base d‟études menées durant 40 ans (la revue
incluant les investigations entreprises de 1966 à 2006), personne n‟a été
capable de fournir la moindre preuve crédible d‟une efficacité préventive. Ce,
d‟autant qu‟en parallèle, les auteurs relèvent que les études disponibles ne
permettent pas non plus d‟évaluer la tolérance du vaccin : d‟où il ressort
qu‟incapables de fournir la moindre preuve crédible quant à l‟efficacité du
vaccin qu‟elles recommandent depuis des années, les autorités sanitaires ne
sont même pas en mesure, non plus, de garantir son innocuité…
Chez l‟enfant : “If immunisation in children is to be recommended as a public
health policy, large-scale studies assessing important outcomes and directly
comparing vaccine types are urgently required.” (S‟il s‟agit de recommander la
vaccination des enfants comme mesure de santé publique, il est urgent
d‟entreprendre des études à grande échelle pour en évaluer les principaux
impacts et opérer des comparaisons directes entre les différents types de
vaccins). Une fois encore, les auteurs remarquent que les données disponibles
– pour insuffisantes qu‟elles soient déjà au regard de l‟efficacité – sont
absolument inutilisables pour vérifier la tolérance. Non sans ironie, ils
s‟étonnent (“surprisingly”) qu‟alors que certains calendriers vaccinaux (USA,
Canada) incluent d‟office la vaccination antigrippale chez les enfants de moins
de 2 ans, une étude seulement soit disponible dans cette classe d‟âge…
Chez les professionnels de santé employés en gériatrie: “There is no
credible evidence that vaccination of healthy people under the age of 60, who
are HCWs caring for the elderly, affects influenza complications in those cared
for” (Il n‟existe pas de preuve crédible que la vaccination des gens de moins
de 60 ans en bonne santé, employés dans des établissements de gériatrie,
modifie les complications grippales des sujets dont ils ont la charge).
Bien sûr, personne n‟est réputé avoir le monopole de la vérité. Mais le moins que l‟on
puisse dire, c‟est que par leur exhaustivité (toutes les études publiées sur une
période de 40 ans), la transparence de leur méthodologie, la convergence de leurs
résultats – pour ne point parler de la déférence accordée, par principe, aux
évaluations de la Collaboration Cochrane –, ces revues tranchent avec l‟assertivité
expéditive des administrations sanitaires ou des « experts » (cf. note 14) quant au
bénéfice – voire à l‟ardente nécessité – d‟une vaccination antigrippale. Dans une
correspondance ultérieure en réponse à des « experts » de l‟administration
américaine (Centers for Disease Control and Prevention, correspondant plus ou
moins à notre Institut de veille sanitaire) qui prétendaient les critiquer, les auteurs de
ces évaluations Cochrane renvoient sèchement leurs contradicteurs dans les cordes :
« finalement, nous nous étonnons que Smith et Shay ne déclarent aucun conflit
d‟intérêt dans la mesure où ils travaillent pour une organisation en charge de
recommander et d‟évaluer des politiques vaccinales. Il s‟agit sans doute du plus
important de tous les conflits » (cf. aussi note 18).
De cette brève revue des données disponibles sur la grippe en général, on peut déjà
tirer les conclusions suivantes :
depuis 1966, les fabricants ne se sont jamais donné la peine de fournir le
minimum de preuves suffisantes quant à l‟efficacité de leurs vaccins
antigrippaux, que ce soit chez les « espèces » traditionnellement protégées
par l‟éthique de la recherche clinique (sujets âgés, enfants, nourrissons :
cf. 2.2.4.3), dans populations réputées à risque (professionnels de santé) ou,
tout simplement, chez les sujets en bonne santé ;
les autorités sanitaires, qui octroient régulièrement les autorisations de mise
sur le marché à ces vaccins antigrippaux, n‟ont jamais exigé des fabricants ce
minimum de preuves ;
que, malgré une telle carence de preuves, lesdits vaccins soient autorisés au
remboursement et qu‟ils fassent même l‟objet d‟une promotion de plus en plus
intensive (notamment chez l‟enfant) place les responsables de ce
remboursement et de cette promotion – les autorités de santé – en situation
patente de conflit d‟intérêts : on n‟attend pas d‟elles qu‟elles reconnaissent
rétrospectivement qu‟elles ont promu et payé des médicaments dont le
rapport bénéfice/risque (cf. 2.2) serait à ce point problématique.
correspondance ultérieure en réponse à des « experts » de l‟administration
américaine (Centers for Disease Control and Prevention, correspondant plus ou
moins à notre Institut de veille sanitaire) qui prétendaient les critiquer, les auteurs de
ces évaluations Cochrane renvoient sèchement leurs contradicteurs dans les cordes :
« finalement, nous nous étonnons que Smith et Shay ne déclarent aucun conflit
d‟intérêt dans la mesure où ils travaillent pour une organisation en charge de
recommander et d‟évaluer des politiques vaccinales. Il s‟agit sans doute du plus
important de tous les conflits » (cf. aussi note 18).
De cette brève revue des données disponibles sur la grippe en général, on peut déjà
tirer les conclusions suivantes :
depuis 1966, les fabricants ne se sont jamais donné la peine de fournir le
minimum de preuves suffisantes quant à l‟efficacité de leurs vaccins
antigrippaux, que ce soit chez les « espèces » traditionnellement protégées
par l‟éthique de la recherche clinique (sujets âgés, enfants, nourrissons :
cf. 2.2.4.3), dans populations réputées à risque (professionnels de santé) ou,
tout simplement, chez les sujets en bonne santé ;
les autorités sanitaires, qui octroient régulièrement les autorisations de mise
sur le marché à ces vaccins antigrippaux, n‟ont jamais exigé des fabricants ce
minimum de preuves ;
que, malgré une telle carence de preuves, lesdits vaccins soient autorisés au
remboursement et qu‟ils fassent même l‟objet d‟une promotion de plus en plus
intensive (notamment chez l‟enfant) place les responsables de ce
remboursement et de cette promotion – les autorités de santé – en situation
patente de conflit d‟intérêts : on n‟attend pas d‟elles qu‟elles reconnaissent
rétrospectivement qu‟elles ont promu et payé des médicaments dont le
racorrespondance ultérieure en réponse à des « experts » de l‟administration
américaine (Centers for Disease Control and Prevention, correspondant plus ou
moins à notre Institut de veille sanitaire) qui prétendaient les critiquer, les auteurs de
ces évaluations Cochrane renvoient sèchement leurs contradicteurs dans les cordes :
« finalement, nous nous étonnons que Smith et Shay ne déclarent aucun conflit
d‟intérêt dans la mesure où ils travaillent pour une organisation en charge de
recommander et d‟évaluer des politiques vaccinales. Il s‟agit sans doute du plus
important de tous les conflits » (cf. aussi note 18).
De cette brève revue des données disponibles sur la grippe en général, on peut déjà
tirer les conclusions suivantes :
depuis 1966, les fabricants ne se sont jamais donné la peine de fournir le
minimum de preuves suffisantes quant à l‟efficacité de leurs vaccins
antigrippaux, que ce soit chez les « espèces » traditionnellement protégées
par l‟éthique de la recherche clinique (sujets âgés, enfants, nourrissons :
cf. 2.2.4.3), dans populations réputées à risque (professionnels de santé) ou,
tout simplement, chez les sujets en bonne santé ;
les autorités sanitaires, qui octroient régulièrement les autorisations de mise
sur le marché à ces vaccins antigrippaux, n‟ont jamais exigé des fabricants ce
minimum de preuves ;
que, malgré une telle carence de preuves, lesdits vaccins soient autorisés au
remboursement et qu‟ils fassent même l‟objet d‟une promotion de plus en plus
intensive (notamment chez l‟enfant) place les responsables de ce
remboursement et de cette promotion – les autorités de santé – en situation
patente de conflit d‟intérêts : on n‟attend pas d‟elles qu‟elles reconnaissent
rétrospectivement qu‟elles ont promu et payé des médicaments dont le
rapport bénéfice/risque (cf. 2.2) serait à ce point problématique.
source

Bon au moins cela a le mérite d’être claire,il faut que vous sachiez que le Docteur Marc Girard n’est en aucun cas opposé de manière dogmatique à la vaccination,il ne fait pas parti des « sectes » anti vaccin comme il les qualifie lui même.
C’est quelqu’un de très mesuré,avec une grande rigueur scientifique et il base son travail sur des analyses scientifiques connu et non partisane.

Et ces études sont claires :

Chez le sujet âgé (65 ans et plus) : “according to reliable evidence the
usefulness of vaccines in the community is modest” (sur la base des données
fiables, l‟utilité des vaccins hors institution est modeste), les auteurs
soulignant par ailleurs que les études disponibles sont, pour l‟essentiel, de
mauvaise qualité et exposées à de nombreux biais.

Chez l‟adulte jeune : “There is not enough evidence to decide whether
routine vaccination to prevent influenza in healthy adults is effective” (il n‟y a
pas assez de preuves permettant de déterminer si la vaccination antigrippale
est efficace pour prévenir la grippe chez l‟adulte en bonne santé). Nul besoin
d‟être épidémiologiste pour prendre la mesure du problème posé par un
vaccin pour lequel sur la base d‟études menées durant 40 ans.

Chez l‟enfant : “If immunisation in children is to be recommended as a public
health policy, large-scale studies assessing important outcomes and directly
comparing vaccine types are urgently required.” (S‟il s‟agit de recommander la
vaccination des enfants comme mesure de santé publique, il est urgent
d‟entreprendre des études à grande échelle pour en évaluer les principaux
impacts et opérer des comparaisons directes entre les différents types de
vaccins).

Chez les professionnels de santé employés en gériatrie : “There is no
credible evidence that vaccination of healthy people under the age of 60, who
are HCWs caring for the elderly, affects influenza complications in those cared
for” (Il n‟existe pas de preuve crédible que la vaccination des gens de moins
de 60 ans en bonne santé, employés dans des établissements de gériatrie,
modifie les complications grippales des sujets dont ils ont la charge).

DONC CEUX QUI VONT SE FAIRE VACCINER SERONT DES COBAYES,l’étude ci dessus explique qu’en AUCUN CAS LA VACCINATION CONTRE LA GRIPPE EST UTILE,c’est écrit noir sur blanc.

POURQUOI L’OMS VEUT NOUS VACCINER SI LA VACCINATION CONTRE LA GRIPPE N’A PAS D’INTERÊT PARTICULIER?

RÉFLECHISSEZ,S’IL VOUS PLAIT,TOUT EST LÀ SOUS VOS YEUX,LA VACCINATION CONTRE LA GRIPPE NE SERT À RIEN,CE N’EST PAS MOI QUI LE DIT C’EST la Cochrane collaboration (organisation internationale à
but non lucratif, créée en 1993 et baptisée en l‟honneur de l‟épidémiologiste écossais
Archie Cochrane [1909-1988]) a pour objectif de « préparer, tenir à jour, et diffuser
les revues systématiques sur l’efficacité des thérapeutiques et des stratégies
thérapeutiques ».

Ne me croyez pas moi,mais croyez ceux dont c’est le travail d’évaluer les médicaments,et eux vous disent que RIEN ne prouve que la vaccination contre la grippe soit efficace.

Ne soyez pas stupide,ne niez pas la réalité,NE VOUS FAITES SURTOUT PAS VACCINER,et si cela devient obligatoire,c’est qu’il y a un gros problème,un très gros problème même,pourquoi vacciner de force des gens avec un produit qui n’a pas fait ses preuves ?
Kids fleeing needles Rense

Margaret Chan dans libération dit en parlant des vaccins  » Même avec les produits de qualité, il y a toujours des effets secondaires  » Ha bon,même dans les bons vaccins ! lol !Comment avoir confiance?,

août 29, 2009

swine flu

Remercions la presse anglaise qui a levé cette histoire de maladie neurologique appelé Le syndrome de Guillain-Barré,sans cela la chef de l’oms n’en aurait jamais parlé c’est sûre,déja qu’elle ment sur les chiffres,qu’elle ne parle pas du lien avec l’autisme,de l’utilisation du squalène comme adjuvant qui est selon certain est un destructeur d’immunité.

En tout cas,son discours est bien rodé,c’est nickel,elle avoue donc qu’il y a des effets secondaires,toujours dit-elle.
regardez c’est assez incroyable,elle prépare la population,elle se couvre même :

 » Les essais cliniques nous donneront des réponses sur les effets secondaires possibles de ces vaccins, mais il faut être clair : du fait du nombre limité de personnes testées, des effets secondaires extrêmement rares n’apparaissent pas toujours. Le syndrome de Guillain-Barré (une complication neurologique possible) survient à la fréquence d’un cas pour un million de personnes vaccinées. Nous risquons donc d’en voir.Même avec les produits de qualité, il y a toujours des effets secondaires « .

CE N’EST PAS DE LA FRANCHISE,ELLE NOUS PRÉVIENT .

Vous quand vous entendez  » il faut être clair : du fait du nombre limité de personnes testées, des effets secondaires extrêmement rares n’apparaissent pas toujours  » , vous comprenez quoi ? Vous en déduisez quoi ?

Ces vaccins sont fait à la va vite,en plus les premiers sont des vaccins contre la grippe aviare simplement modifiés et mal testés,elle le dit elle même,c’est de la roulette russe,c’est incroyable .

Et comment connaitre les effets qui se manifestent des mois et des années après l’injection des adjuvants du vaccins ?

Ne vous faites pas vacciner,cette femme discute avec des milliardaires qui veulent dépeupler la terre,ne lui faites pas confiance.

brainwashing