La Banque des règlements internationaux (BRI) a averti lundi de risques de « rechute » de l’économie mondiale dans une période de crise, si les gouvernements ne mettaient pas rapidement un terme à leurs plans de soutien conjoncturels et de politique monétaire avantageuse. « Conjuguées aux vulnérabilités qui subsistent dans le système financier, les effets secondaires des soins intensifs (à l’économie mondiale) appliqués sur une période aussi longue ne sont pas sans créer des risques de rechute », a souligné la BRI dans son rapport annuel.
Selon la banque centrale des banques centrales, « les programmes de soutien aux marchés et aux établissements ont créé une dépendance dont le système financier risque d’avoir des difficultés à s’affranchir ». Au lendemain de la crise financière en 2008, les Etats sont venus au secours des banques avec des plans de soutien massifs. Ils ont également injecté des milliards pour relancer leurs économies touchées de plein fouet par la crise des « subprime ».
Afin de soutenir la conjoncture, les instituts d’émission ont notamment réduit à partir de 2009 leurs taux directeurs, actuellement à des niveaux proches de zéro.
L’institut de Bâle craint que ces plans de soutien publics, ajoutées à une politique monétaire expansionniste et à la vulnérabilité des établissements financiers « menacent de faire avorter la reprise ». le figaro
Ce qui est comique c’est qu’en face de l’article une bève annonce » la reprise va contiinuer « , c’est strauss kahn qui le dit !
Le CAC 40 a perdu 4%, les marchés flippent du manque de reprise, il y a aussi cette histoire de méga remboursement de 442 milliards d’euros : lesaffaires.com
En fait la BCE récupère 440 milliards mais en reprete 300, c’est super….
Quand Albert Edwards, est l’un des analystes les plus notoires de la Société générale, répertorié comme baissier patenté ses pamphlets sont inlassablement prédictifs et c’est bien là le problème, il fait fréquemment mouche avec ses prévisions
Une situation de déflation à la japonaise arrive (Société Générale) :
(AOF / Funds) – « Les irresponsables à la tête des autorités budgétaires et monétaires vont nous plonger à nouveau dans la récession. Cette fois-ci, cependant, une pure situation de déflation se profile à l’horizon et nous allons tous vivre l’expérience japonaise » affirme l’analyste de la Société Générale, Albert Edwards.
« Les défenseurs d’une politique fiscale restrictive ont pourtant raison quand ils affirment que la situation budgétaire n’est plus tenable. En effet, les gouvernements sont à nos yeux insolvables. Les défenseurs du soutien budgétaire ont également raison lorsqu’ils déclarent que le resserrement actuel va ramener la récession sur le devant de la scène et creuser davantage les déficits. » observe, pessimiste, l’analyste, anticipant « une situation de pure déflation à la japonaise » et un retour de la récession avant la fin de l’année.
« Nombreux sont ceux qui estiment que les entreprises américaines génèrent d’importants excédents de trésorerie qui, selon eux, peuvent être consacrés soit directement à des investissements en capitaux soit à l’achat des capacités productives d’autres entreprises par l’intermédiaire de fusions et acquisitions (…) Les données récemment publiées par la Réserve fédérale sur les flux financiers suggèrent que de tels surplus n’existent plus et que s’il en existait encore récemment, ceux-ci étaient imputables à la liquidation des stocks qui a désormais pris fin » estime Albert Edwards, jugeant que rien n’atteste réellement l’imminence d’un boom de l’investissement et des fusions-acquisitions source
Qu’est-il arrivé à la reprise ? Voilà ce que nous dit l’agence Associated Press :
« Les ventes de maisons autrefois occupées ont chuté de 2,2% en mai [aux Etats-Unis], démontrant que le coup de pouce des crédits d’impôts pour achat immobilier s’efface plus rapidement que prévu ».
« Les ventes du mois dernier ont chuté par rapport au mois précédent, à un taux annuel (avec ajustement saisonnier) de 5,66 millions, a déclaré mardi l’Association américaine des agents immobiliers. Les analystes, qui s’attendaient à une hausse des ventes, s’inquiètent que le marché de l’immobilier puisse décliner une fois que les bienfaits des mesures de relance fédérales auront entièrement disparu, à compter du mois prochain ».
« Les ventes ont grimpé de 25% par rapport au taux annuel de 4,5 millions atteint en janvier 2009 — le plus bas niveau de la récession. Mais elles sont encore 22% inférieures au sommet de 7,25 millions en septembre 2005 ».
Les économistes étaient surpris, selon la presse. Les autorités paient encore 8 000 $ aux acheteurs lorsqu’ils acquièrent une maison. Pourtant, le nombre d’acheteurs baisse.
Ce qu’on peut en déduire du marché de l’immobilier US était bien moins intéressant que ce qu’on peut en déduire des économistes, qui semblent complètement inconscients de ce qui se passe. Ils pensent que l’économie se remet. Alors pourquoi ne se vend-il pas plus de maisons ?
Meredith Whitney : « il ne fait aucun doute que nous sommes entrés dans un double creux pour l’immobilier ».
Eh bien, c’est peut-être une surprise pour les économistes. Et c’est certainement une déception pour la plupart des investisseurs. Mais pour nous, à la Chronique Agora, ce n’est qu’un jour de plus dans la Grande Correction.
L’immobilier US n’a pas été corrigé. Il reste encore des millions de propriétaires avec des comptes à régler. Leurs maisons valent désormais moins que ce qu’ils ont payé. Ce n’est plus qu’une question de temps avant qu’ils ne manquent leurs paiements… ou que leur dette soit restructurée.
▪ Mais la Grande Correction a atteint bien plus que le secteur de l’immobilier.
« Pour les petites entreprises, la crise du crédit ne disparait pas », déclare un article du Wall Street Journal. C’est ce qui arrive durant une correction. Les banques hésitent à prêter. Elles gardent leur cash. Idem pour les autres entreprises. Et les individus intelligents détiennent eux aussi des liquidités. Peu de gens veulent lancer de nouvelles entreprises ou les financer, parce que les chances de perdre de l’argent sont trop importantes. L’économie réelle ne se développe pas, elle se contracte. Ce qui signifie que les entreprises luttent pour les parts de marché… et pour leur survie. Les banques se disent qu’elles préféreraient mettre leur argent dans un placement sûr — les bons du Trésor US.
▪ Et voilà un autre aspect de la Grande Correction :
« Les perspectives de marges bénéficiaires sont extrêmement mauvaises », déclare un article de Bloomberg.
Les perspectives sont mauvaises parce que les entreprises ont essayé de protéger leurs profits en réduisant les coûts superflus — dont les employés. Mais on ne peut pas faire l’impossible.
En plus, les réductions de coût ont un effet négatif sur l’économie. Les coûts d’une entreprise sont les revenus d’une autre. Vous voyez où tout ça nous mène. L’un réduit et l’autre doit réduire aussi. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, on a une correction… peut-être une récession… et peut-être même une dépression.
Ambrose Evans-Pritchard, dans le Telegraph :
« L’IPC central américain a chuté à son niveau le plus bas depuis le milieu des années 60. Contrairement à l’explosion de l’or de l’ère Nixon-Carter, ce rebond ressemble aux années 30. Il annonce la déflation ».
« Capital Economics calcule que la masse monétaire M3, aux Etats-Unis, s’est contractée ces trois derniers mois au taux annuel de 7,6%. Le rendement sur les T-Notes US à deux ans est de 0,71%. C’est une économie en proie à la destruction de dette ».
« Albert Edwards, de Société Générale, affirme que la région Atlantique est à un pas de la déflation déclarée — ce neuvième cercle de l’Enfer, ‘abandonnez tout espoir, vous qui entrez ici’. Un tel accident peut arriver. L’indicateur avancé ECRI pour l’économie américaine a décliné à son rythme le plus rapide depuis un demi-siècle, chutant à un plus bas de 45 ans. Le dernier chiffre est à -5,70, le niveau atteint fin 2007 alors que Wall Street entamait tout juste son krach. Ni la Fed ni le Trésor US n’étaient alors conscients que l’économie américaine était déjà en récession. Les modèles de croissance officiels se trompaient du tout au tout ».
« David Rosenberg, de Gluskin Sheff, déclare que les analystes se sont une fois encore ‘endormis au volant’ alors que le Baltic Dry Index, qui mesure le taux de fret pour les marchandises en gros, s’effondre après un triple sommet classique ».
« L’indice des ‘futures ventes’ compilé par la NAHB (Association américaine des constructeurs immobiliers) a chuté en mai pour atteindre son plus bas depuis le creux de début de 2009. RealtyTrac nous informe que les saisies immobilières ont atteint un nouveau record. 323 000 familles américaines de plus ont reçu des notices de saisie le mois dernier. ‘Nous ne sommes de loin pas tirés d’affaire’, a déclaré la société ».
Une entreprise vaut ce que les gens sont prêts à payer pour elle. Mais une correction fait baisser les revenus. Les entreprises ne valent pas autant que lorsque les revenus grimpaient. Peu à peu, une mentalité dépressive prend le dessus. Les gens commencent à douter qu’une « reprise » soit juste au coin de la rue. Ils commencent à se demander pourquoi ils ont payé si cher leur maison… ou leurs actions. Ils commencent à se demander comment se sortir de là.
Dans le cas de la maison, ils font savoir à leur prêteur qu’ils ne continueront pas à payer quelque chose dont la valeur chute.
Et dans le cas des actions, ils vendent.
Les actions et l’immobilier continuent de chuter jusqu’à ce qu’ils atteignent le fin fond du désespoir. chronique agora
Et le desespoir ultime c’est la guerre.
Nous sommes en mode autodestruction et on fait croire aux gens que la crise est bientôt finie, comme sarko quidisait en décembre » moi je vous le dis, l’année prochaine le chomage va baisser, LOL.
Les annonces ont été quasi concomitantes, mercredi 16 juin : d’un côté, la construction plonge aux Etats-Unis de manière abyssale, de l’autre, Fannie Mae et Freddie Mac, les deux financeurs du crédit hypothécaire américain, ont vu leur cotation à Wall Street retirée par leur autorité publique de contrôle, l’Agence fédérale de financement immobilier (FHFA).
« Enfin ! », se sont écriés les milieux d’affaires. L’administration Obama a attendu que la valeur de leur titre soit quasi nulle (0,92 dollar pour le premier, 1,22 pour le second) pour procéder à une mesure longtemps annoncée. Mais elle a valeur de symbole : malgré 145 milliards de dollars (120 milliards d’euros) injectés par l’Etat, rien n’est parvenu à restaurer la confiance des investisseurs envers ces deux géants.
Soeurs jumelles, les sociétés Fannie et Freddie avaient été placées sous tutelle publique par l’administration Bush en septembre 2008, une semaine avant la faillite de la banque d’affaires Lehman Brothers. Durant la décennie de bulle spéculative immobilière qui avait précédé cette décision, elles étaient devenues des acteurs de premier ordre à Wall Street ; un succès dû au gonflement exponentiel de la bulle mais aussi à leur statut hybride. Organismes privés bénéficiant d’une garantie publique, elles étaient des interlocuteurs financiers majeurs et des partenaires-clés de la classe politique. Premières contributrices au financement des campagnes électorales, leur position et le poids de leur lobby au Congrès semblaient inexpugnables.
« Institutions zombies »
A leur zénith, Fannie et Freddie détenaient ou garantissaient 45 % de l’encourt du crédit immobilier américain : 31 millions de prêts pour 5 300 milliards de dollars. Leur effondrement a été causé par leur exposition ahurissante sur les titres subprime et par l’accroissement du nombre d’emprunteurs insolvables ; à Wall Street, leur titre chutait alors respectivement de 93,7 % et de 95,3 %. Leur trou était évalué à 280 milliards de dollars, leur dette à 1 600 milliards, dont 900 milliards détenus par des créanciers étrangers.
Dix-huit mois après leur nationalisation de facto, le Trésor américain a constaté son impuissance. Il a maintenu Fannie et Freddie à flot sans pouvoir dégager de perspective. Quant à la FHFA, elle ne prévoyait aucune amélioration en 2010 pour celles que Wall Street nommait désormais des « institutions zombies ».
Lors de la nationalisation de Fannie et Freddie, diverses options de réorganisation du financement du crédit immobilier avaient été évoquées, dont le démembrement des deux mastodontes en plusieurs entités régionales pour éviter l’impact « systémique » de leurs éventuelles difficultés. Mais ce chantier s’est fait attendre. Or, alors que l’accès au crédit tardait à se desserrer malgré les centaines de milliards injectés dans le système bancaire, Fannie et Freddie détenaient ou garantissaient toujours jusqu’à 76 % des emprunts contractés par les ménages américains en 2009.
Secrétaire au Trésor, Tim Geithner justifiait il y a deux semaines encore l’attentisme de l’administration par l’adoption préalable d’une vaste réforme financière. De très nombreux analystes jugent aujourd’hui qu’il a eu tort.
La paralysie qui paraît affecter l’intervention publique est symptomatique à la fois des obstacles auxquels elle se heurte et des limites qu’elle s’impose. Les moyens mis en oeuvre à ce jour par l’administration Obama ne sont pas parvenus à enrayer « un nombre record de saisies (d’appartements) qui maintient la pression sur des millions de propriétaires », estime le dernier rapport sur « L’état de l’immobilier national » publié par le Centre d’études immobilières de l’université de Harvard. « La clé » de la relance du secteur immobilier, observe le rapport, « réside d’abord dans la reprise de l’emploi ». Or celle-ci stagne désespérément.
Par ailleurs, depuis son arrivée à la Maison Blanche, Barack Obama a tenu à préserver cet élément constitutif du « rêve américain » qu’est l’accès au logement privé. La sortie de Fannie Mae et Freddie Mac de la cote indique symboliquement à quel point ce rêve est désormais mal en point.
D’ambition au fond très modeste vu l’ampleur des difficultés, une nouvelle législation portant sur « la création d’emplois et des logements abordables », proposée par la sénatrice Maria Cantwell, ambitionne de prolonger et d’élargir certains avantages fiscaux accordés aux promoteurs de bâti bon marché et avec une vocation locative. Ses partisans pensent qu’elle générerait 5 milliards de dollars d’investissement privé dans le secteur, la construction de 60 000 appartements et 70 000 emplois supplémentaires. Elle attend toujours d’être votée.
en plus :
LA CONSTRUCTION EN CHUTE LIBRE
Emblème du marché immobilier américain, les mises en chantier de maisons individuelles ont connu, en mai, leur chute la plus importante sur un mois depuis janvier 1991 : – 17,2 %. La construction globale de logements est en baisse de 10 % comparée au mois d’avril. Quant au nombre des permis de construire accordés (- 5,9 %), il est au plus bas depuis un an. Ces chutes s’expliquent amplement par l’expiration, fin avril, du crédit d’impôt accordé par le plan Obama de relance économique aux acquéreurs d’un bien immobilier. Aussi, depuis la création de ces statistiques, en 1970, jamais le nombre des logements en construction n’avait été aussi faible aux Etats-Unis, alors que la population a augmenté depuis de… 102 millions d’individus. le monde
Il ne s’emmerde pas les américains, ils sortent les valeurs sont tombées trop bas, histoire de faire remonter articiellement l’indice, vous vous rendez compte du pognon que les autorités ont injecter dans ces entreprises et sans compter les dettes impayées qu’il faudra bien régler.
Ces deux entreprises sont le symbole de l’amérique en faillite et tout le monde fait comme si ça n’était pas arrivé, avec une simple recession l’économie serait déja repartie, au lieu de cela, l’effondrement continue, les usa contruisent moins de maisons qu’il y a 40 ans et 100 millions d’habitants en moins, je ne sais ce qu’il faut comme chiffre pour prendre la mesure de la catastrophe. N’oublions pas que l’année passée le vice président de Freddie Mac s’était suicidé, l’entreprise était un des plus gros donateur pour les campagnes électorales.
Le jour ou les créanciers demanderont les 900 milliards, je me demande bien ce qui va se passer….
Israël devrait lancer une frappe préventive pour empêcher l’Iran de devenir une puissance nucléaire, a préconisé lundi un ancien chef des services de renseignement israéliens (Mossad), Shabtai Shavit. « Je suis d’avis que -puisqu’il y a une guerre en cours (avec l’Iran), puisque la menace est permanente, puisque l’intention de l’ennemi dans ce cas est de vous annihiler-, la bonne doctrine est celle de la préemption et non celle de la riposte », a plaidé M. Shavit, lors d’une conférence à l’Université de Bar Ilan, près de Tel-Aviv. « Recourir à la riposte comme principale stratégie revient à attendre passivement que l’on vienne vous attaquer. Mais nous sommes confrontés à un ennemi qui planifie en permanence et qui n’attend que l’occasion de passer à l’attaque », a expliqué l’ancien patron du Mossad, de 1989 à 1996. « Aussi, quel est l’intérêt, même du point de vue moral, d’attendre et de n’agir seulement qu’en cas d’attaque? », a demandé M. Shavit. Israël, qui est considéré comme la seule puissance nucléaire du Moyen-Orient, accuse l’Iran de chercher à se doter de l’arme atomique sous couvert de programme civil. Le régime iranien se présente comme l’ennemi juré de l’Etat hébreu, et le président Mahmoud Ahmadinejad a appelé à plusieurs reprises à « rayer » Israël de la carte. le monde
Notons déja que lorsqu’un israélien dit qu’il faut déclarer la guerre à l’Iran, personne ne s’en offusque, en revanche dès que Ahmadinejad a un mot plus haut que l’autre ou émet une critique envers israél, le monde entier lui tombe dessus et les médias répètent sans discontinuer la propagande sioniste, allant jusqu’ à inventer des propos et des images pour discréditer le président iranien, même si c’est routinier,il faut le rappeler.
Vous avez vu comment ce juif extrémiste dit n’importe quoi, c’est pas croyable : » Je suis d’avis que -puisqu’il y a une guerre en cours (avec l’Iran), puisque la menace est permanente, puisque l’intention de l’ennemi dans ce cas est de vous annihiler » . Il se fait ses questions réponses, le » puisque » est magnifique, il n’y a plus rien à dire,
lol, ils sont vraiment malades ces gens…
Comme le moment est grave, le plan média a été different de celui de l’Irak (auxUSA) avec une propagande courte, intense et violente, cette fois c’est à l’usure que la population a été travaillée, combien de fois on m’a dit, » oui mais ça fait des années qu’on nous dit que l’iran va être attaqué » comme si le simple fait de l’avoir entendu pendant des années minorait les conséquences d’une guerre.
Les médias, allez savoir pourquoi, ne parlent jamais des conséquences concrètes d’une attaque occidentale avec collaboration saoudienne ou irakienne. L’Iran a eu plusieurs années pour se préparer à une telle attaque, à mon avis des réseaux dormants sont positionnés dans tous les pays qui participeront à l’attaque. Les raffineries saoudiennes, construite au Nord-Est de l’arabie saoudite, en plein territoire chiite, donc extrèmement vulnérable aux sabotages et à porté de missiles iraniens. N’oubliez pas que c’est l’iran qui est responsable des attentats dans les années 80 et cela pour des histoire de gros sous dans le nucléaire, le contentieux eurodif ; des attentats pour une rupture de contrat, imaginez une seconde ce qui va se passer si nous les bombardons, nous devons tout faire pour alerter les gens et tenter d’empécher notre gouvernement de participer à cette folie. L’Iran va éclater tout le monde, bloquer Ormuz et envoyer le baril à 200 dollars, faire des attentats dans les pays occidentaux, activer la résistance du Hezbollah et du Hamas, lancer des missiles sur israél, couler les navires occidenatux dans le Golfe Persique, lancer des cyber attack, tuer des soldats occidentaux en Irak et en Afghanistan et d’autres réjouissances.
Je ne crois pas que les chinois et les russes menaceront de faire la guerre aux occidentaux pour proteger l’Iran, la question vraiment importante est de savoir si les extrémistes juifs utiliseront l’arme atomique. Un scénario m’inquiète, qu’après les premières frappes sur les sites nucléaires, militaires et civils iraniens une bombe atomique ou même simplement une bombe sale explose aux USA ou en europe, et que l’Iran soit accusé et atomisé en represaille.
J’ai bien peur qu’une fois de plus les musulmans vont se faire massacrer.
Douze navires de guerre américains et israéliens, dont deux porte-avions, ont franchi le Canal de Suez vendredi et se dirigent vers la mer Rouge, itinéraire le plus direct vers le golfe Persique depuis la méditerranée. L’objectif serait d’acheminer des troupes, des munitions et des véhicules blindés, dans cadre d’ultimes préparatifs avant d’engager un conflit militaire avec l’Iran.
Aucun média occidental n’a pour l’heure relayé cette information, pourtant confirmée par le journal israélien haaretz qui indique que plusieurs milliers de soldats égyptiens ont été déployés le long du canal de Suez, de sorte à veiller à la « sécurité du passage des navires ».
Selon la version anglaise du quotidien hébreu Yedioth Ahronoth, le trafic dans le canal a été interrompu pendant plusieurs heures pour permettre le passage des navires de guerres, de même que la totalité des activités de pêche dans la zone ont été arrêtées ainsi que la circulation sur les ponts au-dessus du canal. Le Yedioth ajoute, en citant le général égyptien Amin Radi, qu’Israël « ne désire une guerre avec l’Iran que pour rester l’unique puissance nucléaire de la région ».
Des membres de l’opposition égyptienne ont critiqué le gouvernement Moubarak pour sa coopération avec les États-Unis et les forces israéliennes, et permettre le passage de ces navires dans les eaux territoriales égyptiennes.
Des députés du parti politique des Frères Musulmans ont également indiqués qu’ils considéraient l’événement comme une allégeance de plus du président Hosni Moubarak envers l’État juif et les États-Unis, et que la participation égyptienne à ces préparatifs de guerre étaient « un scandale international ». Ces députés ont encore ajouté qu’ils ne comptaient pas « s’asseoir les bras croisés » pendant que « le pays collabore a une guerre contre l’Iran ».
Le 12 juin dernier, le Sunday times avait révélé qu’Israël avait la permission de l’Arabie saoudite d’utiliser son espace aérien pour attaquer l’Iran. « Dans la semaine qui a suivit les nouvelles sanctions imposée par le Conseil de sécurité de l’ONU à Téhéran, Riyad a accepté de permettre à Israël d’utiliser un couloir étroit de son espace aérien dans le nord du pays pour raccourcir la distance pour un bombardement de l’Iran », indique le journal. Une information catégoriquement démentiedeux jours plus tard par l’ambassadeur d’Arabie saoudite au Royaume-Uni, le Prince Mohammed ben Nawaf.
Interrogé par le Teheran Times, le ministre de la Défense iranienne, Ahmad Vahidi, a indiqué que « Les Américains nous ont dit qu’ils allaient utiliser toutes les options contre l’Iran, nous vous annonçons que nous allons, nous aussi, utiliser toutes les options pour nous défendre ». mecanopolis
Bon bey, on continue dans l’escalade de la tension, nous ne pouvons laisser notre gouvernement participer à cette folie furieuse, si nous attaquons l’Iran, l’Iran va se venger et connaissant ces gens, cela va faire très mal.
Le pire étant que nos dirigeants savent très bien que l’Iran est un pays avec de multiples ressources diplomatiques et un sens de la diplomatie aigue, sans parler d’une rancoeur infinie, ils ont par exemple tué des cadres du parti baas et des pilotes d’avions qui étaient impliqués dans la guerre iran -irak, ,30 ans après le début de la guerre !
J’ai lu je ne sais plus ou que les iraniens avaient placé des conteneurs remplis de matière fissile au dessus de leurs installations nucléaires enterrées, cela afin qu’une pollution nucléaire atteigne tous les pays limitrophes et dissuade ainsi tout attaque.
Il faut prendre très au sérieux les déclarations iraniennes, une nation a toute la létigimité voulue quand elle doit se défendre d’une agression, surtout quand rien n’a été fait pour mériter cette attaque.
Observons en paralelle la situation économique, certains disent que lorsque la city s’effondrera réellement la guerre contre l’Iran commencera. Et dire que ces cons de russes refusent d’honorer les contrats sur les missiles S300, sans aucune contrepartie valable, vendnre des armes aux saoudiens ou le retrait de l’antimissile en europe sont des broutilles. Ce désaxé de robert gates fait dans la guerre psychologique et crie partout que l’Iran a des centaines de missiles pointés sur l’europe !!!! le figaro
Une fois de plus, nous entrons dans une periode dangereuse, une conjonction de crise avec des perspectives assez sombre, que ce soit la marée noire, la faillite de l’europe, la probable attaque de l’Iran, le prochain gouvernement belge, les pogroms au kirghizistan, les tensions entre la turquie et israel, bref la situation mondiale est assez tendue, n’oubliez jamais qu’il y a quasiment 2 ans, en septembre-octobre 2008 le coeur de la finance et de l’économie réel aux États-unis s’est littéralement effondré, nous allons forcement sentir le contre coup de cet évènement historique.
Nasa warns solar flares from ‘huge space storm’ will cause devastation
Britain could face widespread power blackouts and be left without critical communication signals for long periods of time, after the earth is hit by a once-in-a-generation “space storm”, Nasa has warned.
National power grids could overheat and air travel severely disrupted while electronic items, navigation devices and major satellites could stop working after the Sun reaches its maximum power in a few years.
Senior space agency scientists believe the Earth will be hit with unprecedented levels of magnetic energy from solar flares after the Sun wakes “from a deep slumber” sometime around 2013, The Daily Telegraph can disclose.
In a new warning, Nasa said the super storm would hit like “a bolt of lightning” and could cause catastrophic consequences for the world’s health, emergency services and national security unless precautions are taken.
Scientists believe it could damage everything from emergency services’ systems, hospital equipment, banking systems and air traffic control devices, through to “everyday” items such as home computers, iPods and Sat Navs.
Due to humans’ heavy reliance on electronic devices, which are sensitive to magnetic energy, the storm could leave a multi-billion pound damage bill and “potentially devastating” problems for governments.
“We know it is coming but we don’t know how bad it is going to be,” Dr Richard Fisher, the director of Nasa’s Heliophysics division, said in an interview with The Daily Telegraph.
“It will disrupt communication devices such as satellites and car navigations, air travel, the banking system, our computers, everything that is electronic. It will cause major problems for the world.
“Large areas will be without electricity power and to repair that damage will be hard as that takes time.”
Dr Fisher added: “Systems will just not work. The flares change the magnetic field on the earth that is rapid and like a lightning bolt. That is the solar affect.”
A “space weather” conference in Washington DC last week, attended by Nasa scientists, policy-makers, researchers and government officials, was told of similar warnings.
While scientists have previously told of the dangers of the storm, Dr Fisher’s comments are the most comprehensive warnings from Nasa to date.
Dr Fisher, 69, said the storm, which will cause the Sun to reach temperatures of more than 10,000 F (5500C), occurred only a few times over a person’s life.
Every 22 years the Sun’s magnetic energy cycle peaks while the number of sun spots – or flares – hits a maximum level every 11 years.
Dr Fisher, a Nasa scientist for 20 years, said these two events would combine in 2013 to produce huge levels of radiation.
He said large swathes of the world could face being without power for several months, although he admitted that was unlikely.
A more likely scenario was that large areas, including northern Europe and Britain which have “fragile” power grids, would be without power and access to electronic devices for hours, possibly even days.
He said preparations were similar to those in a hurricane season, where authorities knew a problem was imminent but did not know how serious it would be.
“I think the issue is now that modern society is so dependant on electronics, mobile phones and satellites, much more so than the last time this occurred,” he said.
“There is a severe economic impact from this. We take it very seriously. The economic impact could be like a large, major hurricane or storm.”
The National Academy of Sciences warned two years ago that power grids, GPS navigation, air travel, financial services and emergency radio communications could “all be knocked out by intense solar activity”.
It warned a powerful solar storm could cause “twenty times more economic damage than Hurricane Katrina”. That storm devastated New Orleans in 2005 and left an estimated damage bill of more than $125bn (£85bn).
Dr Fisher said precautions could be taken including creating back up systems for hospitals and power grids and allow development on satellite “safe modes”.
“If you know that a hazard is coming … and you have time enough to prepare and take precautions, then you can avoid trouble,” he added.
His division, a department of the Science Mission Directorate at Nasa headquarters in Washington DC, which investigates the Sun’s influence on the earth, uses dozens of satellites to study the threat.
The government has said it was aware of the threat and “contingency plans were in place” to cope with the fall out from such a storm.
These included allowing for certain transformers at the edge of the National Grid to be temporarily switched off and to improve voltage levels throughout the network.
The National Risk Register, established in 2008 to identify different dangers to Britain, also has “comprehensive” plans on how to handle a complete outage of electricity supplies. telegraph
2013 donc, ma foi, je pense que soleil ou pas soleil, j’entends par la une arme à impulsion magnétique qui pourrait être utilisée pour simuler les effets d’une tempète solaire, je vois bien la terre se prendre une gifle si intense que toute activité économique soit impossible pendant des mois voire des années, un peu comme dans le roman » Ravage » de Barjavel, c’est peut être ça la solution de nos élites pour stopper le tansfert de leadership de l’occident vers l’asie et » proteger » la nature.
La France risque d’avoir de sacrés problèmes à ce moment la, par sécurité les centrale nucléaires vont être débranchées et comme elles fournissent 80% de l’électricite je me demande bien comment ça va se passer….
Il faudra aussi trouver une solution, genre un coffre en plomb ? ou que sais je pour proteger nos diques dures, si il y a une méga EMP et que toutes les données numériques seront effacées, ce serait une catastrophe majeure. En même temps, il est possible aussi que ce soit une manipulation comme le bug de l’an 2000, hiistoire de faire flipper et de gagner du pognon, nous verrons bien…..
Le rapport du département d’Etat américain attribue cette année encore la note de 2 sur 3 à Israël pour son traitement des problèmes liées au trafic de femmes (d’origine européenne ou autres, d’où l’appellation »blanches ») vouées à un esclavage sexuel. Il reproche à Israël de ne pas lutter assez sévèrement contre ce fléau. guysen
Contrairement aux espoirs annoncés, l’euro a manifestement échoué. A l’intérieur de la zone concernée, il n’a engendré qu’une faible croissance économique, une délocalisation des activités industrielles et la persistance du chômage, tout en accentuant les divergences entre les pays membres. La politique de la Banque centrale européenne a en effet suscité une surévaluation chronique de la monnaie unique européenne, et elle a permis un endettement accentué des nombreux agents économiques, tant publics que privés. Au lieu de jouer un rôle d’entraînement, l’Allemagne a mené une politique salariale inutilement restrictive, accentuant le déficit de certains pays de la zone, au point de les conduire au bord du gouffre
Sur le plan économique, l’euro ne pourrait être poursuivi qu’en menant un fédéralisme budgétaire, solution préconisée par Messieurs Jean-Claude Trichet et Dominique Strauss-Kahn. Cohérente sur le plan économique, cette solution est inapplicable politiquement dans un régime démocratique. Elle impliquerait le même type de transferts budgétaires que celui qui existe, à l’intérieur de chacune des nations, entre les régions riches et les régions pauvres. Or l’Europe n’est pas une nation, qui a l’habitude d’accepter cette forme naturelle de solidarité. Le pays le plus riche, l’Allemagne, exclut même formellement une telle formule, ayant déjà suffisamment payé pour mettre à niveau les länder de l’ex-RDA.
A plus ou moins brève échéance, l’euro est donc condamné. La question n’est donc pas de savoir s’il faut recréer le franc : une telle issue est inéluctable. La seule question pertinente est de connaître les conditions dans lesquelles ce processus va se dérouler.
Le plus grave serait de subir en catastrophe, sous la pression de la spéculation, une dislocation désordonnée de la zone euro. Au lieu de pratiquer la politique de l’autruche, en se berçant d’illusions, il faut donc préparer calmement la solution alternative qui va s’imposer impérativement. D’une part, en précisant les conditions de recréation des différentes monnaies nationales, et en particulier du franc français. D’autre part, en mettant en place un nouveau système monétaire européen.
Techniquement, la recréation du franc français, comme celle des autres monnaies de l’actuelle zone euro, est une solution facile, qui prendra au plus quelques mois. On a déjà l’expérience de l’opération inverse, qui a abouti à la création de l’euro, et on connaît l’exemple de diverses zones monétaires qui se sont scindées, que ce soit lors de la division de la Tchécoslovaquie ou lors de l’éclatement des anciennes fédérations soviétique et yougoslave. Il conviendra simplement de dissoudre la Banque centrale européenne, de répartir ses réserves de change au prorata des apports initiaux, et de restituer à la Banque de France l’intégralité de ses attributions.
La seule question posée est de savoir quel taux de conversion devra être adopté. La première solution, qui satisferait les nostalgiques, serait de prendre l’inverse de ce qui avait été retenu lors du passage à l’euro, c’est-à-dire de revenir au franc ancien qui existait avant 2002, en multipliant tous les chiffres par 6,55957. Cette formule aurait deux inconvénients : d’une part, de favoriser le dérapage inflationniste en troublant les consommateurs, comme ce fut le cas lors de l’opération de 2002 ; d’autre part, de modifier tous les contrats existants. La seconde solution, qui serait sans doute la meilleure, serait de prendre le taux de conversion le plus simple, c’est-à-dire de décréter qu’un franc nouveau est égal à un euro.
NOUVEAU SYSTÈME MONÉTAIRE EUROPÉEN
Vis-à-vis des autres monnaies, la valeur d’un franc nouveau sera déterminée par le marché des changes. Elle évoluera en fonction de la politique qui sera menée en France, tant dans l’économie que dans la gestion du change. Il est faux de s’imaginer que notre pays soit fatalement laxiste, car il fut autrefois exemplaire (à l’époque du général de Gaulle jusqu’en 1968, puis de Georges Pompidou). Non seulement la création d’un franc nouveau ne nous dispensera pas des efforts nécessaires pour rétablir la situation budgétaire et pour résoudre le problème des retraites, mais elle facilitera leur solution en permettant de retrouver les moyens de la croissance économique.
La création d’un franc nouveau doit aller de pair avec l’organisation d’un nouveau système monétaire européen, afin de sauvegarder les aspects positifs de l’Europe, tout en tirant les leçons des difficultés qu’avait connues l’ancien SME mis en place en 1979. Il conviendra de ne pas se focaliser sur les taux de change nominaux, mais de ne retenir que les taux de change réels, c’est-à-dire les niveaux relatifs de prix des pays les uns par rapport aux autres. Le maintien d’un taux de change réel exige que le taux de change nominal de la monnaie correspondante puisse varier en fonction des écarts d’inflation, en plus (appréciation) pour un pays peu inflationniste, en moins (dépréciation) pour un pays trop inflationniste.
La mise en place de ce nouveau système monétaire européen implique que l’on mette en priorité la politique de change dans chacune des nations européennes, compte tenu des anticipations des opérateurs. En influant sur le taux de change nominal, et tout en stérilisant ses effets internes, cette politique permet d’obtenir le taux de change réel qui est désiré pour chaque nation. Celui-ci doit être conforme à la solidité de son appareil productif, c’est-à-dire qu’il doit être d’autant plus bas que le pays est plus fragile structurellement afin d’équilibrer sa balance commerciale.
Ainsi, entre les pays européens, il faudra s’accorder sur les niveaux des taux de change réels qui correspondent à leur situation objective, en permettant aux pays en retard de se développer plus vite, mais sans leur donner un avantage excessif de compétitivité. Vis-à-vis du reste du monde, une monnaie commune, telle que l’écu, sera créée comme la moyenne pondérée des monnaies nationales, mais son taux de change réel devra demeurer réaliste, c’est-à-dire que le niveau moyen des prix européens ne devra pas être trop cher.
Mais la politique de change n’est pas toujours efficace si l’on se trouve en présence de partenaires dont la monnaie est visiblement trop bon marché, parce qu’ils achètent des réserves en devises étrangères (cas de la Chine). Sans pour autant s’engager dans la voie dangereuse du protectionnisme, la solution sera alors d’établir les conditions d’une concurrence loyale dans les échanges commerciaux avec les pays fautifs, par des prélèvements à l’importation et par des restitutions à l’exportation, comme Maurice Lauré l’avait préconisé en 1993.
Gérard Lafay, professeur émérite à l’université Paris-II le monde
Il est bon ce prof, il oublie juste de dire que nous devrons également retrouver notre souveraineté économique avec la possibilité de battre monnaie comme avant 1973 et le transfert de la création monétaire de l’État aux banques privées.
Lisez les commentaire sur le site du Monde, vous verrez, ils vont tous dans le même sens, » c’est n’importe
quoi » ! Les gens sont vraiment stupides, l’euro les a ruiné et pourtant ils en redemandent !!!! La propagande a bien fonctionné, voila dix ans qu’on nous dit tous les jours que l’euro est irréversible, que le retour vers le franc serait une défaite et un replis sur soit et peu de gens remettent cela en cause.
Asselineau fait une conférence aujourd’hui, dès quelle sera en ligne je la mettrai sur le blog. Sortir de l’euro et de l’europe est non seulement possible mais nécessaire si nous ne voulons pas nous fondre dans l’europe fasciste qui se construit.
J’aime mon pays, plus de 1000 d’histoire que j’admire (tout en étant critique sur certaine chose, ce que certains ne comprennent pas, critiquer son pays ne veut pas dire qu’on l’aime pas…), ces 30 dernière années tout a été fait pour laisser la ntion aux raciste et aux fascistes, la gauche est grandement responsable et la droite également, chacun ont été hypocrite sur les sujets qu’ils devaient représenter, le social pour la gauche tout en appliquant le modèle libéral et la droite qui se dit gaullienne tout en livrant la souveraineté du pays à Bruxelles.
Bref, le problème c’est que je ne crois pas que l’on va sortir de l’euro et de l’europe, j’ai peur que ce soit le contraire, la faillite des états va faire en sorte que le conseil de l’europe va prendre en main tous les leviers de contrôle des nations, il est possible aussi que les nations et l’europe s’effondrent en même temps mais lorsque la situation redeviendra normale ce sera une autorité supranationale qui prendra toutes les décisions.
Hillard pense que la providence nous sauvera ( il valide donc que nous avons des satanistes dégénérés en face…)
Certes , ce n’est pas une première que des millions de dollars soient dépensés pour nuire à la réputation et à l’image du Hezbollah et donc de la Résistance !
Mais quand c’est un haut responsable américain qui l’avoue voire s’en vante, la question cela mérite une pause !
Jeffrey Feltman, ex-ambassadeur des Etats-Unis au Liban et actuellement secrétaire d’Etat adjoint pour les Affaires du Proche-Orient a expliqué à la commission du Sénat chargée des affaires du Proche-Orient et de l’Asie centrale son point de vue sur le Hezbollah et sa position au Liban … Or le plus important dans ses propos c’est son témoignage sur le rôle financier des Etats-Unis au Liban pour nuire à l’image du Hezbolah !
« Les États-Unis ont fourni de l’aide et du soutien au Liban afin de réduire l’attirance de la jeunesse libanaise envers le Hezbollah à la, et ce à travers l’USAID et le Partenariat moyen-oriental. Nous avons versé plus de 500 millions de dollars à cet effort, a déclaré Feltman ! »
Le député du bloc de la Résistance, sayed Nawaf Moussaoui a déclaré sur notre chaîne al-Manar : « Selon nos informations, il est possible de vérifier ce que Feltman a dit à savoir que les États-Unis ont payé à la presse, à des partis, à des individus plus de 500 millions de dollars via l ‘Agence américaine pour le développement et via le partenariat Moyen-Orient et l’argent est versé. Et donc tous les discours et les insultes sans compter les accusations exprimés contre le Hezbollah ont été financés de l’administration américaine. »
Moussawi a dénoncé l’affaire au Parlement, en promettant qu’un tel scandale sera poursuivi et dénoncé devant toutes les commissions parlementaires jusqu’à ce que tous les dossiers liés à un tel scandale soient ouverts et traités par la justice libanaise. almanart
Comme ça c’est clair, il y a eu des PSYOPS dans l’air et cela a couté un demi miiliard de dollars avec à la clé un échec au Liban mais une victoire pour la perception du Hezbollah par les occidentaux.
Cette interview de l’ancien patron de la DST Yves Bonnet date de 2008 et est très instructive :
Extaits d’un entretien avec Yves Bonnet, ancien directeur de la DST (Direction de la Surveillance du Territoire).
Pourquoi toute cette préoccupation internationale au Liban ?
Trois pays veulent s’ingérer au Liban, les États-Unis, l’Arabie Saoudite et Israël. Leurs intérêts convergent et la coopération américano saoudienne, via le club Welch, est forte au Liban. Les États-Unis souhaitent transformer le Liban en une base à partir de laquelle ils auront à faire pression sur la Syrie et le Hezbollah.
Que voulez-vous dire par club Welch ?
Il s’agit du groupe Geagea-Joumblatt-Hariri-Sanioura ; ce groupe est totalement sous les ordres de David Welch.
Pourquoi nommez-vous ce groupe « club Welch » ?
Regarder l’actuelle situation au Liban. La division est grande et une de ses conséquences, la faiblesse des chrétiens dans leur incapacité de choisir un président de la République, sans l’accord des États-Unis, d’Israël et de l’Arabie Saoudite.Lors de ma visite du Liban, j’ai été surpris de l’importance de cette division provoquée par l’ingérence étrangère.
Tout le monde vise à imposer sa volonté aux libanais, en premier, notre ministre Bernard Kouchner qui, à une époque, avait déclaré que l’armée libanaise devait détruire le camp de Nahr Al Bared. Je suis persuadé que, sans aucune ingérence étrangère, les libanais auraient pu former un gouvernement d’unité nationale.
Qui, d’après vous, a interdit la formation de ce gouvernement ?
Les États-Unis et Israël ; autrement, qui a intérêt à ce que ce gouvernement ne soit pas formé ? La division au Liban sert en priorité l’intérêt d’Israël.Lors de ma visite en août 2006, j’avais constaté que le Liban traversait une période que l’on pouvait qualifier d’unité nationale, ceci grâce aux positions de Michel Aoun et de Hassan Nasrallah. A cette époque, Nasrallah avait été très intelligent en considérant la victoire du Hezbollah comme étant celle de tous les libanais ; simultanément, Aoun était resté fermement solidaire de la Résistance durant toute la période d’agression israélienne. Les États-Unis et Israël s’attèlent aujourd’hui à diviser les libanais selon la formule connue « diviser pour régner ».
Pourquoi l’armée libanaise mena le combat de Nahr Al Bared ?
Les États-unis exprimaient leur volonté de revenir militairement au Liban. Cependant, la partie Sud du pays étant sous l’influence du Hezbollah, la solution idéale était alors de s’infiltrer par la porte nord en réanimant l’ancien projet de construction d’une base militaire à cet endroit. D’où l’idée de quelques uns aux États-Unis de provoquer des troubles au nord du pays pouvant ainsi fournir le prétexte à une présence militaire au Liban. Sur ce sujet, il faut savoir que les groupuscules connus sous le nom de Fath Al Islam étaient soutenus financièrement par les Hariri, avec un salaire mensuel de sept cent dollars par individu. Il n’est pas nécessaire d’en débattre compte tenu de la véracité de cette information. Ainsi, l’armée libanaise tomba dans ce grand piège qui lui était tendue ; elle fut contrainte à s’engager dans un dur affrontement dont elle n’avait pas besoin. Quand je vois Monsieur Kouchner se comporter comme un général d’armée et je l’entends appeler à la destruction de Nahr Al Bared, je devine l’importance de l’irresponsabilité avec laquelle ce sujet avait été traité.
Qui est derrière les attentats au Liban ?
Là se présente à nouveau la question de savoir : à qui profite ces crimes ? Peut-on alors accuser la Syrie ? Les syriens savent parfaitement que leur pays est la principale cible. Je crois que la Syrie est totalement étrangère à ces attentats.
D’après vous, qui a assassiné Wassam Eid ?
Cet assassinat est l’œuvre de ceux qui étaient proches de lui et qui travaillaient dans son entourage. Ici, l’essentiel n’est pas de connaître les exécutants de ce crime mais plutôt les commanditaires.
Pourquoi tous ces assassinats ?
A travers ces assassinats, le but recherché est le maintien de la crise et son aggravation. Ces attentats ne ciblent un individu que dans l’unique but d’aggraver cette crise. De là nous nous posons une question au sujet de l’assassinat de Pierre Gemayel et sur l’importance du dérangement que représentait cette personne. En vérité, le but de cet assassinat était la propagation du feu amorcé sur le fil conducteur de la crise.
D’après vous, pourquoi monsieur Geagea ressent-il tant de force et d’assurance ? Une seule explication à cela : il est du côté de ceux qui exécutent ces crimes. Toujours à propos des ces assassinats, monsieur Joumblatt accuse le Hezbollah.….Il est certain pour tous que le Hezbollah n’a aucun lien avec tous ces crimes qui servent les intérêts de ses ennemis.
Vos déclarations se basent-ils sur des faits ou des analyses ?
Les deux à la fois. A propos de l’assassinat du premier ministre Rafic Hariri les enquêteurs affirment qu’ils possèdent des preuves. Mais alors qu’ils les avancent. Pourquoi ne les annoncent-t-ils pas ?
A propos de l’entente Hezbollah/Courant Patriotique Libre, comment appréciez-vous cette entente ?
D’abord il faudra que l’on signale la modération et le calme qui caractérisent la personnalité de Hassan Nasrallah. A travers cette entente, Michel Aoun a agit en écartant tous les dangers d’une nouvelle guerre civile. Le Hezbollah est un fort garant aux chrétiens et à leur rôle important au Liban et au Moyen Orient. Si j’étais chrétien libanais, je me serais allié à Michel Aoun et aurais soutenu sa politique. Croyez-vous que les chrétiens au Liban, de surcroît minoritaires dans le monde arabe, pourraient vivre sous l’emprise salafiste ?
A propos de la politique de la France envers le Liban, comment appréciez-vous cette politique ?
Cette politique interpelle la désolation, ceci depuis le règne de Jacques Chirac qui confondait ses intérêts avec ceux de la France. Avec Nicolas Sarkozy, les considérations personnelles ne sont plus comme elles étaient du temps de Chirac ; cependant Sarkozy n’est pas Charles De Gaulle et est très proche des américains. Quant au ministre des affaires étrangères, Bernard Kouchner, il est l’homme des idéologies et agit en s’y référant. Dans la situation libanaise et dans la question iranienne, souvent il agit à partir de ses émotivités juives ; n’était-t-il pas un des rares qui avaient soutenu l’invasion de l’Iraq ?
Vous avez évoqué le caractère modéré du Hezbollah ; cependant les médias en France disent le contraire ?
Les médias en France tentent de faire croire et admettre que le Liban est divisé en deux parties : le groupe de la démocratie, c’est-à-dire celui au pouvoir et le groupe pro syrien, c’est-à-dire l’opposition.
Sur quoi vous vous basez pour croire que le groupe au pouvoir est plus démocratique que les autres ?
L’ironie est le fait qu’une bonne majorité des gens actuellement au pouvoir, s’était rassasié depuis longtemps, tout en étant à table, hôte de syriens, et qu’aujourd’hui elle accuse Michel Aoun d’être proche de la Syrie. Enfin, le Hezbollah en 2008 n’est pas celui de 1985. Il est un mouvement de résistance à l’occupation, et son chef, Hassan Nasrallah, agit au Liban comme avait agit De Gaulle en France.
Avez-vous l’intention de visiter prochainement le Liban ?
Je visite souvent le Liban et mon plus grand souhait est de rencontrer un jour Hassan Nasrallah : cette divine personnalité mérite grand respect
Après « J-Street », J-Call, y aura-t-il bientôt « J-Boat » ??? Selon certaines informations diffusées par le site de « Goush Shalom », des organisations gauchistes et « pacifistes » juives européennes prépareraient une expédition prochaine pour tenter de forcer le blocus israélien.
Les bateaux seraient déjà amarrés dans un port de la Méditerranée, et les organisateurs ont fait savoir qu’ils informeraient au dernier moment du départ de l’expédition afin d’empêcher, selon leur propres dires « l’armée israélienne de tenter de saboter les bateaux ».
A la différence des autres « missions humanitaires », cette flottille sera composée exclusivement de Juifs, qui sont membres d’organisations telles que « La Voix Juive pour la Paix au Proche-Orient », d’Allemagne, « Juifs pour la Justice envers les Palestiniens », de Grande-Bretagne, ainsi que la Coordination européenne des organisations pacifistes juives.
Sur le même mode que « J-Call », les responsables de ces organisations, sans scrupules, lancent un appel au monde « pour qu’il ‘aide’ Israël à retrouver le droit chemin et à renouer avec le sens de l’humain ».
« Notre but est de mettre fin au blocus de Gaza, qui est une punition collective illégale sur une population civile », disent les dirigeants de « La Voix Juive pour la Paix au Proche-Orient ». « Nous voulons emporter du matériel scolaire, des instruments de musique et de dessin, des médicaments et du matériel de pêche », précisent-ils.
Ils se livrent également à une sévère critique de l’assaut israélien de la semaine dernière : « En prenant le bateau d’assaut, Israël a montré son visage violent et monstrueux, mais nous savons qu’il y a beaucoup d’Israéliens qui font preuve de miséricorde, et qui oeuvrent courageusement en faveur d’une paix juste ».
L’expédition juive sera accompagnée d’une importante quantité de journalistes. Edith Lutz, l’une des organisatrices, « espère qu’Israël saisira cette occasion pour montrer au monde qu’il existe d’autres voies que celles de la haine et de la peur » (sic) !!!!
Tous ces organismes juifs agissent de concert avec les organisations gauchistes israéliennes sous le slogan déclaré : « Il est temps de retrouver le bon sens et de sauver la société israélienne. Il faut une solution de deux Etats et que Jérusalem soit divisée en deux capitales, sans quoi il n’y aura aucun avenir à la région ».
Solution catégoriquement rejetée d’ailleurs par le Hamas, pour lequel « roulent » ou voguent pourtant ces belles âmes juives… http://www.israel7.com
le ton de cet article est bien evidemment pourri, en revanche l’initiative de ces juifs non sionistes est fort appréciable.
Les juifs doivent comprendre que si ils ne veulent pas qu’il leur arrive des bricoles dans un futur proche, ils doivent absolument se désolidariser de ces juifs extrémistes qui défendent toutes les actions, même les plus méprisantes de l’entité sioniste.
Ces juifs doivent penser à ce qui va se passer une fois qu’israél aura déclenché la 3 ieme guerre mondiale et qu’ils auront quitté la palestine, ils risquent de ramasser sévère… Sans pays et sans bombe atomique, j’en connais qui feront moins les malins !!!!
Bref, remercions ces juifs européens opposés au sionisme, espérons qu’ils pourront influencer ces animaux d’israéliens
Les entreprises européennes vont-elles payer les pots cassés de la crise de la dette publique ? Pour l’heure, il s’agit plus d’une menace que d’une réalité, mais de premiers indicateurs attestent de tensions sur l’accès aux liquidités dont les sociétés ont besoin pour leur financement.
Parmi ces signaux figure le véritable trou d’air enregistré depuis le début du mois de mai sur le marché obligataire. A quelques exceptions près, les grosses entreprises européennes ont littéralement déserté ce marché où elles peuvent se financer en émettant des titres d’emprunt. En pleine tourmente financière, elles n’ont pas osé affronter les investisseurs
« On n’avait jamais assisté à un mois aussi faible depuis cinq ans », fait remarquer Philippe Berthelot, directeur de la gestion de crédit chez Natixis Asset Management. « L’environnement est très volatil et amène les directeurs financiers à être extrêmement timorés, poursuit-il. Ils préfèrent attendre un contexte plus favorable avant d’émettre de la dette. »
Cette timidité est guidée par la crainte d’un effet de contagion, au vu des turbulences qui affectent la dette des Etats. Dans un rapport publié le 31 mai, la Banque centrale européenne (BCE) souligne d’ailleurs le « risque de transmission » de la crise souveraine aux banques et aux entreprises. Le patron de la BCE, Jean-Claude Trichet, expliquait lui-même, début mai, que « les taux d’intérêt de la dette d’Etat influencent les conditions de financement de l’économie ». En clair, lorsqu’un pays voit s’envoler les taux d’intérêt auquel il emprunte, ses entreprises sont généralement condamnées à subir le même sort.
Tout le monde n’est donc pas logé à la même enseigne sur le marché obligataire.
Sans surprise, les problèmes restent pour l’heure circonscrits aux entreprises situées dans les Etats les plus endettés de la zone euro. Ainsi, l’opérateur grec de télécommunications OTE, tout comme son homologue espagnol Telefonica, ont vu leur prime de risque exploser. « Les entreprises et les banques d’Europe du Sud ont subi de plein fouet la dégradation des risques souverains de la zone », confirme Félix Orsini, responsable des émissions obligataires pour la France à la Société générale. Les secteurs les plus dépendants de l’Etat, comme celui des infrastructures, sont les plus vulnérables.
Les professionnels qui, dans les banques, dirigent ces opérations en mettant en contact investisseurs et sociétés relèvent toutefois une « anomalie » : ces dernières semaines, le risque sur la dette privée a moins augmenté que celui des Etats dits « maillons faibles » de la zone euro. Comme si les investisseurs jugeaient moins risqué de prêter à des firmes privées qu’à certains pays…
Les spécialistes jugent aussi qu’il est encore trop tôt pour tirer la sonnette d’alarme. La situation est loin d’être aussi critique que dans la période ayant suivi la faillite de la banque américaine Lehman Brothers. Fin 2008, les entreprises s’étaient retrouvées dans l’incapacité de lever des fonds. Ou alors à des coûts décourageants.
Depuis, elles ont fait des réserves. Pendant toute l’année 2009, elles se sont précipitées sur les marchés obligataires, devenus désormais leur principale source de financement. En multipliant les émissions, elles ont regonflé leur trésorerie et peuvent se permettre d’attendre un peu que la tempête se calme. Mais il n’empêche. D’autres signaux alimentent les inquiétudes, comme les tensions qui règnent dans le secteur bancaire. Leur exposition au risque souverain met les établissements financiers sous pression. Qui détient de la dette ? De quel pays ? Dans quelles proportions ?
Ces questions continuent de tracasser les marchés. Dans l’expectative, les banques rechignent à se prêter entre elles. Depuis plusieurs semaines, elles recommencent à affluer au guichet de prêts à court terme de la BCE, resté ouvert depuis la crise financière.
La nervosité fait renaître la méfiance envers les établissements les plus faibles d’Europe, en Espagne, en Allemagne ou en Irlande. Le risque est celui d’une augmentation de leurs coûts de financement. In fine, cette situation pourrait conduire les banques à « limiter l’offre de crédit aux entreprises », estime Yves Zlotowski, économiste en chef de la Coface.
Pour l’instant, selon les chiffres de la BCE, on n’observe pas vraiment de credit crunch, ce phénomène qui désigne la raréfaction et le renchérissement du crédit bancaire. Mais selon M. Zlotowski, la menace n’est pas exclue en Espagne, en Grèce ou au Portugal.
Dans ces pays, les prévisions ne sont guère encourageantes. Soumis à des plans d’austérité drastiques pour réduire leurs déficits, ils devraient connaître une longue période de récession. « L’environnement macroéconomique va rester difficile, il y aura donc un risque très fort d’incidents de paiement de la part des entreprises », estime M. Zlotowski. le monde
Encore quelques mois avant que la situation ne devienne vraiment difficile, profitez en pour anticiper et vous mettre en sécurité.
Israeli Official Warns of Casus Belli on Israeli Army Radio
Israeli Army commander and top Likud member Uzi Dayan today warned on Israeli Army Radio that Israel would consider any attempt by the Turkish military to protect future aid ships from attack an “act of war.”
Dayan then added that if Turkish Prime Minister Erdogan attempted to accompany the aid ships personally, as he has reportedly considered “we would not try to take over the ship he was on, but would sink it.” He added that Erdogan’s presence on a future aid ship would also be a casus belli for an Israeli war against Turkey.
Turkey has expressed outrage at last week’s Israeli attack on a Turkish aid ship bound for Gaza, an attack in which Israeli troops killed at least nine civilian aid workers. Israel has insisted that the aid ship was secretly in league with al-Qaeda and has since tried to spin Turkey as the villain for even allowing a ship to try to deliver aid to the besieged strip.
The Israeli killings have only increased the number of groups planning attempts to deliver aid, and Israeli officials have promised to stop all these attempts militarily as well.
The explicit threat of war against Turkey is something new, however. While Israel starts wars with a casualness rarely seen in other nations, an attack on Turkey, a key NATO member with an enormous military, would be something quite different from a monthlong attack on the Gaza Strip or blowing up metro Beirut with air strikes. anti-war.com merci Alcide
Mais c’est incroyable comment ces juifs extrémistes sont à la masse, ILS MENACENT DE DÉCLARER LA GUERRE À LA TURQUIE, c’est pas croyable. Il y a quelques jours, ils avaient déja menacé de couler le navire avec son bord le premier ministre turc, ce qui était déja quelque chose d’extrèmement grave en soit, mais ces tarés de juifs extrémistes ne connaissent aucune limite. Vous vous rendez compte, il y a encore quelques mois, Turcs et israéliens étaient alliés, et voila qu’aujourd’hui ils les menacent de manière véhémente.
Techniquement, une telle action ne sera pas anodine, sans parler du lien qui oblige tous les pays de l’OTAN de venir à la rescousse d’un pays membre de l’organisation qui se ferait attaquer.
Je me demande bien à quoi joue Obama avec israél, je le soupçonne (ou plutot j’espère) de vouloir modifier en profondeur la relation avec israél, en effet si on compare les relations de bush avec l’entité sioniste, il est indéniable qu’il y a un profond changement, le soutient US à ceux qui critiquent le nucléaire israélien est tout de même quelque chose de nouveau, on peut dire que l’administration obama est la plus critique envers israél de toute les administrations passées, même si cela est très relatif…
Certains extrémistes juifs pensent même qu’Obama est derrière l’histoire de la flotille :
White House linked to flotilla organizers
Israel official ties president’s adviser to controversial ‘Free Gaza Movement’
A top adviser to President Obama is the contact person within the White House for communications with the Free Gaza Movement over plans to challenge Israel’s blockade of the terrorist Hamas-controlled Gaza Strip, according to a reputable source close to the Netanyahu government.
The source, a career official whose reliability was established through his tips for the book, « Why Israel Can’t Wait, » identified John O. Brennan, deputy national security adviser for homeland security and counterterrorism, as the contact.
The allegation raises the bizarre possibility that the Free Gaza Movement’s flotilla action in the Mediterranean was being coordinated with the White House, something that would align with a shift in U.S. policy toward Israel being debated within the Obama administration.
Mike Hammer, a National Security Council spokesman, told WND flatly the report « is not true. »
His response was followed quickly by another denial, when WND asked if Hammer also rejected the claim Brennan was a key force within the White House pushing for a change in U.S. policy toward Israel in demanding an end to the blockade, as the WND source reported.
John Brennan is quite busy in his job as the president’s counterterrorism and homeland security adviser, relentlessly working to keep the country safe, » Hammer said in a e-mail to WND. « The administration has others who are responsible for our Middle East policy. So, again, not true. »
However, Brennan’s activities in his « counterterrorism » work have involved him in situations with domestic groups known to have ties to Middle East terrorism.
WND previously has reported that Brennan participated in a meeting with Muslim law students, facilitated by the Islamic Society of North America, a group that was named an unindicted co-conspirator in a case where the founders of the Holy Land Foundation of Texas were given life sentences « for funneling $12 million » to Hamas, the group currently in political control of Gaza.
WND further reported that at a meeting with Muslim law students at New York University, Brennan declared himself a « citizen of the world » who believed the United States government should never engage in « profiling » in pursuit of national security.
The New York Times reported this week that the Obama administration’s policy toward Israel was changing in a re-evaluation that now considers Israel’s blockade of Gaza to be untenable. But Israel’s Prime Minister Netanyahu insisted in a special press conference in his office Thursday that « Israel will not apologize for defending itself, » which strongly suggested Israel fully intends to continue its blockade. suite ici
Bon, c’est surement des conneries, mais sait on jamais, les choses changent, je suis d’ailleurs vraiment surpris du ton de Recep Erdogan lors de son discours à l’assemblé turc après le masacre des humanitaires, il n’y a pas été de main morte, et c’est vraiment magnifique mais je me demande quand même dans quelle mesure son pays est soutenu par Obama, les russes et les chinois.
02/06/2010
Lors d’une rencontre avec des journalistes à Washington, le ministre turc des Affaires étrangères Ahmed Davutoglu a estimé que « l’assaut israélien contre la flottille internationale humanitaire de Gaza est un traumatisme pour les Turcs, comme le sont les attentats du 11 Septembre 2001, pour les Etats-Unis ».
« Psychologiquement .. Cette attaque est aussi traumatisante que le sont les attentats du 11 septembre pour les Américains, parce que ce sont des citoyens turcs qui ont été attaqués par un État, et non pas par des terroristes, c’est-à-dire une attaque ordonnée par les dirigeants politiques de cet État, a-t-il martelé. »
Et d’ajouter: « Nous nous attendons à une totale solidarité avec nous. Il ne devrait pas y avoir un choix entre la Turquie et Israël. Le choix est entre le bien et le mal. »
Ahmed Davutoglu a menacé de reconsidérer ses relations avec Tel-Aviv si « Israël » ne relâche pas tous les citoyens turcs immédiatement.
Il a précisé que la Turquie avait informé Washington de cette décision, indiquant que la relation de la Turquie avec l’entité sioniste dépend entièrement de la position israélienne à soumettre cette affaire à une commission d’enquête internationale indépendante.
Davutoglu a affirmé que son pays « ne permettrait pas le procès de tout citoyen turc qui a été kidnappé dans les eaux internationales », insistant sur la nécessité qu’ « Israël libère tous les passagers de la flottille de Gaza ».
Davutoglu a averti que « la Turquie jugera chaque responsable israélien impliqué dans l’attaque du convoi, si Israël pense juger un seul citoyen turc sur son territoire ».
Il a insisté sur « la nécessité de maintenir les eaux internationales libres à toutes les les nations de la Méditerranée, déclarant le refus de la Turquie à toute tentative israélienne d’imposer un contrôle sur les eaux internationales ».
Davutoglu a par ailleurs indiqué que trois corps des passagers turcs qui ont été tués par les forces israéliennes ont été identifiés et que deux sont dans un état critique.
Il a précisé que son pays compte demander une indemnisation pour les familles des victimes qui ont été tués dans l’assaut israélien.
Il a révélé qu’il avait affirmé au ministre israélien de la Guerre Ehud Barak que l’ingérence de son pays dans les eaux internationales est illégale.
Le ministre turc des Affaires étrangères a demandé la levée immédiate du blocus de Gaza, soulignant que son pays poursuivra ses efforts en ce sens, estimant que la résolution adoptée par l’Organisation des Nations Unies sur l’assaut israélien sur la flottille de la Liberté ne suffit pas.
Pour ce qui est des pourparlers de paix indirects israélo-syriens, Davutoglu s’est interrogé : « comment voulez-vous convaincre la Syrie ou tout autre pays qu’ils (Israéliens) veulent la paix.. ? » almanar
Il y va fort le ministre turc :
« Nous nous attendons à une totale solidarité avec nous. Il ne devrait pas y avoir un choix entre la Turquie et Israël. Le choix est entre le bien et le mal. »
02/06/2010 La doyenne des journalistes de la Maison Blanche Helen Thomas a qualifié » de crime international et de massacre prémédité » l’attaque et le massacre commis par l’entité sioniste contre la flottille d’aides humanitaires » Liberté pour Gaza ».
Interrogeant, lors de son point de presse hebdomadaire, le porte-parole de la présidence américaine, Robert Gibbs, sur les raisons pour lesquelles l’administration américaine n’a pas dénoncé en des termes virulents ce qui s’est passé dans les eaux territoriales de la Méditerranée, cette femme d’origine libanaise de près de 90 ans a demandé:
» La position (américaine), dès le début du massacre de la flottille qui est un crime internationale et un massacre prémédité est une position lamentable; que voulez-vous dire par vos regrets alors que vous devriez condamner avec plus de virulence et de fermeté ». Et de poursuivre: » à quoi sert une relation solide avec un état qui tue les gens et assiège ceux qui leur porte secours? »
Le porte-parole qui a tenté de la faire taire, en vain n’avait eu de réponse que de dire, après de seconde d’hésitation: » Rien ne peut les rendre à la vie », en allusion aux martyrs qui sont tombés durant ce massacre et dont le nombre réel n’est pas encore finalisé.
Et pour divertir l’attention sur Mme Thomas, Gibbs a donné la parole à un autre journaliste de la Maison Blanche qui s’est empressé de poser une question hors du sujet. Mme Thomas, qualifiée de Première Lady des journalistes avait eu le temps de glisser son mot pour que les médias en parlent… almanar
Je me languis de voir comment ça va se passer dans les jours qui viennent, cela va-t-il se tasser, ou est-ce vraiment la fin des relations israélo-turque ?
Selon ça :
La Turquie ne pardonnera jamais à Israël l’assassinat de ses citoyens lors la prise d’assaut par des militaires israéliens de la « Flottille de la liberté », a déclaré le président turc Abdullah Gül.
« La Turquie ne pardonnera jamais cette attaque. Les relations turco-israéliennes ne seront plus jamais comme avant », a indiqué M.Gül à la chaîne de télévision locale.
« Israël a commis une des fautes les plus graves de son histoire, dont le prix il regrettera dans l’avenir », a ajouté le leader turc.novosti
c’est mort….
L’industrie, dont l’hémorragie d’emplois a été accentuée par la récession économique, a perdu près de 260.000 emplois en France, dont 113.000 intérimaires, rien qu’entre la mi-2008 et la mi-2009, selon des données publiées jeudi par l’Insee.
Sous l’effet de la crise, « entre mi-2008 et mi-2009, près de 150.000 emplois directs ont disparu dans l’industrie manufacturière, auxquels il faut ajouter la perte de plus de 100.000 emplois intérimaires », précise l’édition 2009 de l’étude de l’Insee sur l’industrie en France.
Plus sensible à la conjoncture, l’emploi industriel a été dans tous les pays « plus durement et plus rapidement » affecté par la crise économique mondiale que l’emploi total.
« En France, le recul de l’emploi industriel direct, tendanciel depuis le début des années 2000, s’est brutalement accéléré en 2008 et plus encore au premier semestre 2009 », avec la perte de 74.000 emplois directs en 2008, près du double de 2007, et de plus de 100.000 au premier semestre 2009.
Entre début 2000 et fin mars 2009, plus d’un demi-million d’emplois salariés directs ont disparu dans l’industrie, de sorte qu’elle ne compte plus que 22,5% des salariés du privé (hors agriculture), sur fond d’externalisation croissante, de gains de productivité ou de délocalisations.
Depuis 2008, c’est « avant tout la baisse importante de l’activité industrielle qui provoque une chute de l’emploi affectant chacun des grands secteurs ».
« Premier levier d’ajustement aux variations d’activité », l’intérim (plus de 40% des emplois dans l’industrie) a subi « de plein fouet les effets de la chute de la production industrielle ».
L’intérim industriel est passé « d’un maximum de 300.000 emplois (équivalents temps plein) fin mars 2008 à 168.000 un an plus tard, minimum historique depuis 1996 », selon l’Insee.
Si toutes les catégories socioprofessionnelles ont été affectées, le repli a été « particulièrement marqué pour les ouvriers non qualifiés, qui constituent la moitié des emplois intérimaires dans l’industrie », indique l’étude.
Outre l’emploi, la baisse de l’activité industrielle a affecté la durée de travail des salariés, en pesant notamment en France sur le recours aux heures supplémentaires.
L’Insee évoque une chute « brutale » du nombre d’heures supplémentaires dans l’industrie au premier trimestre 2009 (-19%), plus que dans l’ensemble du secteur privé. Une baisse qui « s’est poursuivie dans l’industrie alors que le recours aux heures supplémentaires a rebondi pour l’ensemble de l’économie ».
Autre phénomène dû à la récession et à la dégringolade de l’activité industrielle: la proportion d’entreprises éprouvant des difficultés de recrutement a connu « un recul plus brutal que lors de l’éclatement de la +bulle internet+ » en 2001, selon l’étude.
Malgré tout, une part significative d’entreprises industrielles éprouvait toujours des difficultés de recrutement au premier trimestre 2009. source
Voila le tableau, c’est franchement noir, pauvres gens et pauvres familles, je me demande bien ce qu’ils vont devenir.
La chute est tout de même impressionnante, et ces emplois industriels ne seront pas recréés après la crise, il y a même Attali qui nous a pondu un livre (ou un de ses nègres) dans lequel il » prévoit » que nous serons tous ruinés dans 10 ans, en fait c’est juste logique.
Prenez des notes, le moment venu ces gens devront rendre des comptes…..
On empoisonne pas des millions de personnes sans le payer d’une manière ou d’une autre…
J’en reviens toujours pas, et Kouchner est dans tous les coups tordus, trafic d’organes, empoisonnement, corruption etc….
Quand je suis confronté à de telle énormité, j’ai honte de ne rien faire,
et vous ?
L’intellectuel juif américain Noam Chomsky a déclaré aujourd’hui avoir été empêché par les autorités israéliennes de se rendre en Cisjordanie, où il doit intervenir devant une université palestinienne.
Noam Chomsky a expliqué à la chaîne de télévision 10 (privée) avoir été empêché d’entrer en Cisjordanie, où il a été invité à donner une conférence lundi à l’université Bir Zeit, près de Ramallah, en venant de Jordanie, au point de passage contrôlé par les Israéliens.
« J’y suis allé avec ma fille et deux vieux amis. Nous nous sommes rendus normalement à la frontière où nous avons tous été interrogés. Ils s’intéressaient particulièrement à moi », a raconté le professeur de linguistique de l’Institut de technologie du Massachusetts (nord-est).
Les gardes-frontières, qui « répercutaient des questions du ministère (israélien) de l’Intérieur », étaient « très polis », a-t-il dit, ajoutant toutefois s’être vu refuser le droit de franchir le poste.
« Le gouvernement n’aime pas le genre de choses que je dis et ils n’ont pas aimé le fait que je ne parle qu’à Bir Zeit et pas aussi devant une université israélienne », a-t-il dit. « Je leur ai demandé s’ils connaissaient un seul gouvernement au monde qui aime les choses que je dis », a-t-il ajouté.
Une porte-parole du ministère de l’Intérieur a déclaré que Noam Chomsky se trouvait toujours à la frontière et pourrait peut-être être autorisé à se rendre en Cisjordanie.
« Nous vérifions la situation avec les responsables des services de sécurité », a déclaré Sabin Hadad à l’AFP. La décision de ne pas laisser le linguiste rentrer immédiatement en Cisjordanie semble relever d’une « sorte de malentendu », a-t-elle dit, ajoutant qu’il ne figurait sur « aucune liste » noire.
Le député palestinien Moustafa Barghouti, à l’origine de la venue du linguiste, a dénoncé un acte illustrant « la nature du gouvernement israélien, qui s’oppose à la liberté d’expression ». Noam Chomsky, 81 ans, est un critique virulent de la politique étrangère américaine. Il a souvent dénoncé l’occupation israélienne des territoires palestiniens. le figaro
On en a pas trop entendu parler à la télé, un état » démocratique » interdit à un philosophe de pénétrer sur son territoire, rien que ça et un juif extrémiste de la knesset dans un cynisme incroyable suggère à Noam Chomsky d’entrer à Gaza par les tunnels :
» Suite aux informations selon lesquelles Israël n’avait pas autorisé l’entrée sur son territoire du célèbre linguiste américain Noam Chomsky, connu pour ses positions anti-israéliennes et antisémites, qui devait participer à une conférence à l’université palestinienne Bir Zeit, le député Othniel Schneller (Kadima) a suggéré au philosophe américain de passer par les tunnels de Gaza et a félicité les autorités israéliennes pour cette décision » source
Quel beau pays israél, une justice rabbinique incroyablement rétrograde, des journalistes en résidence surveillés, des politiques plus corrompus les uns que les autres, des voleurs d’organes, des colons qui pourraient très bien être en hopital psychiatrique, des russes mafieux qui n’ont rien de juifs, bref, que du beau monde….
Pour comprendre que la prospérité ne viendra pas des plans de relance de l’Etat mais des entrepreneurs et de leur prise de risque, cela prendra une génération
L’Union européenne dit sauver la Grèce, ou plutôt l’Etat grec, mais chacun comprend qu’elle sauve ses propres banques. Un mensonge de plus qui renforce la perte de confiance envers les autorités. L’Europe poursuivra son déclin si elle ne change pas complètement d’état d’esprit. «Aujourd’hui, si l’on réinventait l’automobile, elle serait interdite par les autorités parce que quelqu’un montrerait que la voiture peut tuer», déclarait récemment Jürgen Hambrecht, président du conseil d’administration de BASF, lors de l’ISC Symposium de Saint-Gall. La prise de risque semble interdite en Europe. Pourtant la prospérité ne viendra pas des plans de relance d’Etats tous plus ou moins gravement endettés ni d’une politique monétaire créatrice de fausses incitations. Mieux vaut replacer l’entrepreneur dans le rôle de pilote, même si cela prendra une génération.
Pourquoi un entrepreneur aurait-il intérêt à investir en Europe si la moitié du coût du travail part en cotisations sociales? L’OCDE vient en effet de publier une étude fort intéressante * sur les impôts sur les salaires. Ceux-ci englobent les charges patronales et salariales de sécurité sociale et ce que l’on nomme le coin fiscal (tax wedge), c’est-à-dire l’écart entre le coût total de la main-d’œuvre pour l’employeur et ce que le salarié reçoit. Le pire coin fiscal se trouve en Belgique (55,2%), Hongrie (53,4%), Allemagne (49,2%) et France (49,2%).
La Grèce n’est pas loin (41,5%). Les bons élèves, ceux qui tentent d’attirer l’initiative privée,
sont la Nouvelle-Zélande (0,6%), l’Islande (8,6%), le Luxembourg (11,2%), l’Irlande (11,7%).
D’une année à l’autre, la Nouvelle-Zélande fait le plus d’effort
en direction des entreprises (–2,66% en un an), devant la Turquie et la Suède. Par contre, le coin fiscal a augmenté en Suisse, ce qui la place parmi les six pays qui partent dans le mauvais sens…
La Nouvelle-Zélande se met donc en évidence. Sa monnaie a gagné 20% contre le franc en un an en vertu des achats étrangers de ses obligations et de nombreuses implantations d’entreprises. La Chine est devenue son deuxième partenaire commercial, derrière l’Australie, dont le premier marché d’exportation est la Chine. L’ascension de l’Empire du Milieu frappe les esprits. Le pays fait maintenant partie du Top 5 des marchés d’exportation de 11 pays contre seulement 2 en 1990.
Ces classements valent plus que n’importe quel discours de Nicolas Sarkozy ou de José Barroso. Ils montrent qu’il y a des pays qui se battent pour attirer les investisseurs et d’autres qui accusent le marché. Pourtant le marché, c’est l’entrepreneur, le consommateur, chaque individu.
L’accélération du transfert de pouvoir vers l’Asie se lit dans une autre étude, effectuée par Goldman Sachs, qui décrit les cinq principaux marchés d’exportations en 1980, 1990, 2000 et 2008. L’Australie exprime à merveille cette redistribution des cartes. En 1980, ses 4 principaux marchés étaient le Japon, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la Nouvelle-Zélande. En 2008, ils sont remplacés par Japon, la Chine, la Corée et l’Inde. Les Etats-Unis ne sont plus que cinquièmes.
C’est en Europe que l’on observe la plus grande stabilité. L’Allemagne, l’Italie et le Royaume-Uni restent les trois principaux marchés d’exportation de la France. Le Top 5 des partenaires de la Suisse est également stable, à l’exception de l’arrivée en deuxième position des Etats-Unis.
Mais des modifications sont annoncées. En 2012, la Chine dépassera la France comme premier partenaire commercial de l’Allemagne. La part des exportations allemandes vers les pays du BRIC est d’ailleurs passée de 3,9% à 8,4% en huit ans. Pour Siemens ou BMW, les relations avec la France comptent moins qu’avec les pays du BRIC.
Le dernier classement de la compétitivité des pays réalisé par l’IMD, qui sort ce jour, permettra de suivre l’ascension des pays asiatiques et la position des membres de l’eurozone.
Pour sortir de cette logique du déclin, il ne faut pas demander aux hommes de l’Etat de rétablir une situation dont ils sont responsables, selon Patrick de Cazenove, secrétaire général du Cercle Bastiat. Mieux vaut rendre aux privés les services qui leur ont été pris et les laisser gérer, suivant ainsi le conseil de Deng Xiaoping: peu importe qu’un chat soit blanc ou noir s’il attrape la souris.
L’effort requis est considérable. La crise de la dette publique traduit, selon le philosophe Anthony de Jasay, un problème de préférence temporelle: les biens futurs ont moins de valeur que les biens actuels. C’est le symptôme de la carte de crédit et de l’«envole-toi maintenant et paie plus tard». L’apparente irresponsabilité des hommes politiques dans la gestion des retraites, des assurances sociales ou des services publics est plus rationnelle qu’il n’y paraît. Leurs promesses dépendent des votes obtenus lors des élections. Ils laissent supposer que leurs réserves financières sont immenses. Plane ainsi l’espoir d’un possible «envole-toi maintenant et ne paie peut-être pas, ou ne paie jamais». C’est parce que le gouvernement peut emprunter sur l’avenir que l’opposition à son programme dépensier ne rencontre guère d’opposition. Dans les démocraties modernes, le déficit est endémique. Les énormes déficits publics des mauvaises années ne font que succéder aux petits déficits des bonnes années. «Quand une société fonctionne avec une carte de crédit collective, il est difficile d’espérer mieux», selon de Jasay.
La crise de l’Europe, comme la crise bancaire, devrait inciter à sortir de ce cercle vicieux et à se sentir chacun responsable de ses décisions. L’exercice n’est pas impossible. D’ailleurs le nombre de pays qui n’ont pas de problème de dette publique n’est-il pas majoritaire?
C’est bien que des journaux commencent dire la vérité sur les perspectives économiques européennes, il faut que les gens soient au courant pour qu’ils puissent s’organiser, changer leur plan et s’adapter au mieux au 20 années difficiles qui vont suivre…
Les chiffres sont sans appels et j’ajoute que les chinois déposent plus de 2 fois plus de brevets que les américains, les étudiants formés dans les meilleures universités américaines rentrent désormais dans leur pays et participent au renouveau de la Chine, (qui représentait en 1850 30% du PIB mondial), en fait nous n’assistons qu’à un juste retour de choses, la domination occidentale ne s’est construite que par la guerre, le pillage et la mort. Aux pays les plus peuplés, les plus gros PIB, c’est somme toute assez logique….
La culture de l’opium en Afghanistan, 2008-2009. Carte par provinces, combinant risques pour la sécurité (plus la couleur est foncée, plus le risque est élevé) et culture du pavot à opium (en hectares). Source : ONU
Certains critiques, particulièrement sarcastiques, affirment que la guerre en Afghani stan est certes sans espoir, mais qu’elle protège pour le moins la culture du pavot à l’Hindou Kouch. C’est ne voir cette culture que comme une conséquence de la guerre alors qu’il apparaît clairement qu’il s’agit d’un des objectifs de guerre des Etats-Unis.
93% de l’opium cultivé dans le monde, servant à la production de morphine et d’héroïne, viennent d’Afghanistan. En 2007, il s’agissait de 8200 tonnes, l’année suivante on en était à 8300; la récolte de l’année dernière fut moindre, du fait d’une mauvaise récolte, il n’existe pas encore de données chiffrées.
Selon les Nations Unies, 95% de l’opium afghan sont transformés en héroïne, donnant ainsi 80 tonnes d’héroïne pure. Près de la moitié, soit plus de 35 tonnes, fut introduite en 2009 en Russie (selon des sources convergentes de l’ONU et de la police des stupéfiants russe). On peut supposer – car il n’existe pas de données concrètes – qu’une bonne partie est transportée plus loin, notamment dans les centres urbains de la Répu blique populaire de Chine.
Il est donc déposé, rien qu’en Russie, trois fois autant d’héroïne qu’aux Etats-Unis, au Canada et en Europe. Victor Ivanov, directeur du Service fédéral de contrôle de la drogue (en russe: FSKN) déclara au Conseil OTAN-Russie (COR), le 23 mars à Bru xelles, que le déferlement de drogue venant d’Afghanistan dépasse tout ce qu’on peut imaginer. Un million de personnes auraient succombé depuis 2001 (lorsque la guerre fut déclenchée et l’Afghanistan occupé par les troupes des Etats-Unis et de l’OTAN) du fait des produits opiacés venant de l’Hindou Kouch. Selon Ivanov: «Toutes les familles sont touchées directement ou indirectement.» 21% de l’héroïne répandue dans le monde, venant d’Afghanistan, ont été déposés sur les marchés noirs de Russie, et malgré tous les efforts entrepris par Moscou, la tendance est croissante.
Si l’on ajoute à ces 21% les données concrètes de l’ONU (production mondiale de 86 tonnes d’héroïne), on peut estimer que les consommateurs russes auraient con sommé 18 tonnes de drogue, venues de l’héro ïne – que 17 autres tonnes de l’héroïne pure déversée en Russie auraient été transportées en Chine. On comprend pourquoi Moscou et Péking conclurent, il y a trois ans, un accord de coopération transfrontalière dans la lutte contre le déferlement de drogue. Le com merce de la drogue menace la santé publique, de même que la stabilité économique et de politique intérieure des deux Etats.
Le directeur du service de la santé russe, Dr Gennadij Onichtchenko, a déclaré qu’en Russie mouraient chaque année, du fait de la consommation de surdoses d’héroïne, entre 30 000 et 40 000 jeunes gens. A cela il fallait ajouter 70 000 décès dus aux mala dies collatérales provoquées par une surcon sommation de drogue (Sida, septicémie, etc.). On estime à 2 millions, voire 2 millions et demi, d’individus des jeunes générations entre 18 et 39 ans étant accrochés à la drogue, 550 000 sont enregistrés officiellement. Chaque année 75 000 nouveaux toxicomanes apparaissent, essentiellement des étudiants et de jeunes diplômés.
Peut-on déjà parler d’une décapitation de l’élite intellectuelle de la Russie? Les toxicomanes russes dépensent chaque année l’équivalent de 17 milliards de dollars pour se procurer de l’héroïne, selon l’agence de presse RIA Novosti. La police a démantelé, rien qu’en mars de cette année, 200 laboratoires servant à préparer l’héroïne pour la vente à ciel ouvert.
Les républiques d’Asie centrale et le Pakistan ont à souffrir des mêmes maux que la Russie. Dans ces pays on assiste à une connexion entre la contrebande de drogue et la dissémination du sida, comme c’est le cas en Iran depuis des décennies.
L’héroïne destinée à la Russie, venant d’Afghanistan, passe par le Tadchikistan ou par l’Uzbeskistan (les deux pays se trouvant sous l’influence des Etats-Unis). On se permet de supposer que les services secrets américains organisent eux-mêmes ce trafic. Il est vrai qu’Ivanov avait proposé au Conseil OTAN-Russie à Bruxelles de faire détruire au moins 25% des surfaces afghanes de cul ture de l’opium. Cependant, l’OTAN, dominée par les Etats-Unis, refusa. James Appathurai, porte-parole de l’OTAN, s’exprima cyniquement envers les journalistes: «Nous ne pouvons pas anéantir la seule source de revenus pour des gens qui vivent dans le deu xième pays le plus pauvre du monde, alors que nous n’avons pas d’alternative à leur offrir.»
Un mensonge effronté. Les Etats-Unis et leurs vassaux non seulement mènent une «guerre contre le terrorisme» dans l’Hindou Kouch (dans un intérêt géostratégique et en vue de matières premières et de transfert d’énergie), mais en plus ils soutiennent ouvertement les bases de revenus des paysans afghans cultivant le pavot.
Avant la guerre, sous le régime des Talibans, la culture du pavot en Afghanistan était étroitement contrôlée. Le pavot n’était autorisé que comme aliment. Qui le transformait en drogue, et diffusait celle-ci, risquait la peine de mort. La part de vente d’héroïne sur le marché mondial ne dépassait pas les 5%. Cela étant, les paysans afghans n’étaient pas plus pauvres qu’aujourd’hui. Il en alla de même lors de l’attaque soviétique et du gouvernement communiste en Afghanistan, la production de drogue étant réduite à sa plus simple expression. Elle ne prit son élan que lors de la subversion causée par les Etats-Unis (soutien et armement des Moudjahidin du peuple, ce qui donna plus tard les Talibans).
Le marché afghan vendit, l’année der nière, du pavot pour 3,4 milliards de dollars US (source: J. Mercille de l’Université de Dublin). Les paysans n’en gardèrent que 21%; les 75% restant furent encaissés par les alliés corrompus des Etats-Unis et par l’OTAN: des fonctionnaires gouvernementaux, la police locale, des marchands régionaux et des transitaires. 4% revinrent, comme de bien entendu, aux Talibans, sous l’œil bienveillant de l’OTAN. Car l’ennemi doit être maintenu en vie – dans l’intérêt d’une présence sans faille des Etats-Unis. Comprenne qui pourra!
La Russie en appelle en vain aux décisions de l’ONU, qui contraignent tous les Etats de s’engager contre le marché noir de la drogue. On comprend alors la colère d’Ivanov envers le secrétaire général de l’OTAN, Anders Fogh Rasmussen, à Bruxelles, l’OTAN s’étant tout simplement refusé d’entreprendre quoi que ce fût contre la culture du pavot en Afghanistan.
Cela rappelle, en plus moderne (menée cette fois-ci par les Etats-Unis), la «Guerre de l’opium», menée dans les mêmes buts que ceux des Anglais lors des première et deuxième Guerres de l’opium (1839–1842 et 1856–1860) contre l’empire chinois de la dynastie des Qing. L’imposition de l’opium à l’Empire du Milieu provoqua, comme on le sait, la désintégration totale de la société chinoise et une instabilité politique à l’intérieur du pays dont le résultat fut la Révolte des Boxers en 1900 – la révolte souhaitée par les Européens leur donnant le prétexte pour l’invasion.
Les Nations Unies pourraient maintenant mettre en route leur mandat FIAS, par lequel ils ont légitimé, après coup, l’intervention de l’OTAN en Afghanistan, afin de renforcer la lutte contre la culture du pavot et d’offrir une véritable alternative par des cultures dans le sens d’une vraie aide dans la reconstruction. Cela contraindrait les forces d’occupation des Etats-Unis et de l’OTAN à faire cesser la production d’opium. Jusqu’à présent on n’a pas vu une telle résolution. Ce qui laisse aussi rêveur.
L’opium, et son dérivé l’héroïne, attaque les êtres humains jusque dans leurs tréfonds génétiques. Comme à l’époque dans l’empire de Chine, cela se passe aujourd’hui en Russie, dans la République populaire de Chine et chez leurs voisins. Washington et l’OTAN utilisent l’arme de la drogue, un poison qui a fait ses preuves, contre leurs deux principaux concurrents, Moscou et Péking. C’est un combat fondamental dans la guerre d’Afghanistan, mais dont on ne parle pour ainsi dire pas ouvertement.
Article interessant qui montre bien la catastrophe sanitaire et sociale en Russie à cause de l’héroine, les chiffres sont éloquents, et avec une situation déja extrèmement mauvaise, l’héroine a fini d’enfoncer la Russie dans un état de délabrement social hallucinant. La drogue participe à la neutralisation des forces vives de la nation, le plan était parfait, une bonne vague d’héroïne, histoire de faire stagner toute une partie de la jeunesse occidentale, russe et chinoise, je dis » était » parcequ’il semblerait que les chinois ou les russes se soient résolus à prendre les choses en main.
En effet, voila qu’une maladie inconnue a ravagé la moitié des cultures de pavots en Afghanistan, et comme je ne crois pas au hasard en ces temps difficiles et que le commerce de l’héroine profite aux élites dégénérées, je ne vois que les russes ou les chinois être responsables, bref, voila l’article :
» Une maladie inconnue a détruit près de la moitié de la récolte de pavot à opium, semée en Afghanistan, a annoncé jeudi à RIA Novosti un porte-parole de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC).
Selon lui, la surprise a été grande tant pour les paysans qui produisent l’opium que pour tous les spécialistes chargés de lutter contre « la mort blanche ».
Initialement, il était estimé que le pavot à opium était dévoré par un insecte, mais à présent, les spécialistes sont enclins à penser que cette plante a été victime de spores d’un champignon inconnu qui attaquent les fleurs du pavot, les faisant d’abord changer de couleur et les desséchant totalement ensuite.
Selon l’interlocuteur, ce sont les provinces sud de l’Afghanistan qui ont été le plus fortement frappées par cette maladie du pavot. Les paysans afghans estiment que la responsabilité incombe aux Américains et aux Britanniques, ces derniers s’abstenant de tout commentaire. » novosti
C’est excellent que les afghans tiennent les américains comme responsables de la destruction des champs de pavots parceque en même temps je vois mal les américains dire qu’ils sont à la fois résolument déterminés à éradiquer la culture du pavot et qu’en même temps ils ne sont pas responsables de la destruction de la moitié des champs, ce va être cocasse….
Bref, rejouissons nous de l’existence de ce petit champigon, qu’ils détruisent le plus possible de pavot et que les afghans reviennent au simple usage traditionnel de l’opium, et ensuite prions pour qu’aucun autre champignon sorti de laboratoire ne s’attaque aux cultures céréalières, et ça c’est une autre histoire…..
Le même racisme structurel, anti-latino dans un cas et anti-arabe dans l’autre, tente de maîtriser les frontières avec des murs, des drones, des détecteurs de mouvements, et des patrouilles, écrit Jimmy Johnson.
Le mur à la frontière USA/Mexique ; le mur israélien à l’intérieur de la Cisjordanie palestinienne.
Les révélations de janvier à propos du Corps des ingénieurs de l’Armée des Etats-Unis qui aident à la conception et à la construction d’un autre mur/frontière autour de la Palestine, enterré, ne sont que le dernier développement d’un ensemble de rapports existant entre : le néolibéralisme nord-américain, la politique anti-drogue nationale et étrangère des USA, le racisme latino structurel aux USA, le gouvernement égyptien, l’élite au pouvoir au Mexique et l’occupation militaire israélienne de la Palestine.
Trouver ce qui relie ces différents intérêts internationaux n’est pas difficile, mais les liens entre, par exemple, le classicisme mexicain et l’aversion du président Moubarak pour la démocratie sont peut-être moins connus. La façon dont les forces d’occupation des uns peuvent fournir des outils à d’autres forces exige des liens qui méritent d’être explorée en tant que potentialité pour un combat commun entre les individus et les communautés, en s’intéressant, dans le cadre plus large du combat pour la justice, à des questions qui apparemment n’ont rien à voir.
Le gouvernement égyptien
La première partie de cette interaction concerne l’Egypte qui utilise des outils et des formations mises au point sur la frontière sud des Etats-Unis pour isoler la bande de Gaza. L’Egypte, considérant qu’un arrêt de l’occupation obtenu sous la direction du Hamas lui serait préjudiciable, poursuit une politique visant à une fermeture rigoureuse de sa frontière avec Gaza pour l’empêcher. Le régime du président Moubarak a une double motivation principale pour appuyer le siège de Gaza :
1) s’assurer que le Hamas, émanation des Frères musulmans, n’obtienne pas de nouveaux succès,
et 2) jouer son rôle d’Etat vassal des USA avec les avantages – soutiens politique, militaire et économique – que cela lui apporte.
Sur le plan intérieur, Moubarak poursuit sa campagne répressive à long terme contre les Frères musulmans, qui constituent actuellement la plus grande menace pour la monarchie présidentielle qu’il veut assurer à sa famille. Même un succès modeste de la bande de Gaza, occupée par Israël et gouvernée par le Hamas, conduirait à renforcer le prestige des Frères musulmans et à affaiblir davantage Moubarak. A cette fin, les ingénieurs militaires états-uniens, qui furent déployés en 2008 pour aider à découvrir les tunnels palestiniens, oeuvrent sur la frontière de Gaza avec leurs collègues égyptiens pour construire un mur prétendument indestructible. Souterrain. Un mur construit sur un espace dur dans l’espoir d’empêcher que les contrebandiers ne creusent par dessous, mais il ne l’est que sur une certaine profondeur et une certaine largeur, en dessous et au-delà desquelles les contrebandiers pourront continuer leur technique, laquelle a déjà fait ses preuves comme les officiels israéliens de la sécurité l’ont eux-mêmes reconnus. Ou au moins jusqu’à ce qu’ils élaborent une nouvelle méthode pour franchir ce nouveau mur, ce qui est presque une certitude, les relations historiques entre occupation et résistance palestinienne évoluant de pair.
Peut-être que la technologie subversive que les Palestiniens utilisent souvent pour franchir le mur autour de Jérusalem-Est, à savoir l’échelle, pourrait être adaptée à un usage souterrain. Oui, une échelle souterraine peut parfaitement n’être pas moins fonctionnelle et pas plus absurde qu’un mur souterrain. (Ne voyez pas dans ce sarcasme une façon de minimiser le danger ou l’effort qu’implique le creusement de tunnels. Il s’agit d’un travail dangereux et difficile, comme tous les métiers dans la construction de tunnels, même dans les meilleures circonstances. A preuve, les morts pendant la construction du Big Dig [autoroute souterraine] de Boston, ou plus récemment, les mineurs de charbon en Virginie occidentale. Pointer le mur souterrain comme étant ridicule ne signifie pas qu’il ne soit pas également tragique.)
Le gouvernement israélien
Tracé du mur en construction par Israël à l’intérieur de la Cisjordanie
Le siège aux frontières de la bande de Gaza et de la Cisjordanie a de nombreux liens directs, examinés ci-après, avec la militarisation et l’escalade à la frontière sud des Etats-Unis. Le siège partage aussi certaines analogies politiques avec l’expérience nord-américaine d’une politique frontalière oeuvrant contre des structures politiques et économiques existantes. C’est le cas notamment à la périphérie de Jérusalem-Est, à Sheikh Sa’ad.
Sheikh Sa’ad fait partie de la métropole urbaine attenante à Jérusalem-Est occupée mais se trouve à l’extérieur des limites de la ville, telles qu’elles furent fixées par Israël après la guerre des Six Jours en 1967. La politique de bouclages périodiques appliquée après 1991 a provoquée une détérioration grave de la qualité de vie des habitants de Sheikh Sa’ad, les conduisant en permanence à se resituer à l’intérieur de la ville autant qu’il leur était possible. Le secteur étant confronté à un dépeuplement presque total avec la construction du mur, la plupart des habitants choisissent si possible l’option Jérusalem-Est. La municipalité comme le gouvernement suivent une politique qui tente de limiter la présence démographique palestinienne ; la municipalité de Jérusalem poursuit d’ailleurs une politique depuis le début des années 70 visant à y garder une majorité juive de 72%.
Le racisme structurel anti-arabe à l’intérieur des frontières reconnues et non reconnues d’Israël a un problème avec la construction de la Barrière de Ségrégation dans toute la Cisjordanie, car celle-ci pousse à une migration palestinienne vers Israël. Selon la ministre de la Justice d’alors, Tzipi Livni : « Pas besoin d’être un génie pour voir que le tracé de la barrière aura des implications majeures sur notre future frontière ». Ainsi, ce mur, étrange par ses 763 kilomètres, est destiné en partie à situer de facto les frontières nationales et démographiques d’Israël, alors que, associé aux autres aspects de l’occupation, il pousse davantage les Palestiniens à se déplacer dans la direction contraire.
Le gouvernement états-unien
C’est de cette manière que le nationalisme ethnocentrique, travaillant à contre-courant de l’occupation, trouve sa ressemblance avec la politique économique néolibérale d’Amérique du Nord, le « libre échangisme ». Celui-ci incite à migrer vers les Etats-Unis depuis le Mexique (et d’ailleurs) tandis qu’un racisme structurel anti-latino tente de maîtriser les frontières avec des murs, des drones, des détecteurs de mouvements, et des patrouilles. La barrière et le réseau de surveillance des Etats-Unis sont montés sur la frontière sud du pays, pièces maîtresses du SBI (Initiative pour une frontière sécurisée) destinées à filtrer les populations grâce aux Accords de libre échange nord-américains par lesquels marchandises et capitaux peuvent circuler librement circuler, alors que les personnes se trouvent confrontées à un obstacle physique imposant.
Etant donné que les immigrants du Mexique et d’Amérique centrale sont montrés comme un péril brun apportant la drogue et le crime, et en outre comme « changeant le caractère » de la nation, de telles fortifications à la frontière sont d’une importance capitale pour les politiciens des Etats-Unis (comme en témoigne la rhétorique populiste des politiciens de l’Arizona en défendant les nouvelles lois Juan Crow, qui ne font pas que légaliser mais exigent aussi un profil racial). La référence à la sécurité nationale – assimilant les réfugiés économiques aux pirates de l’air du 11 Septembre – vient en dernière partie de la doctrine politique du mur sur la frontière. Autant le racisme aux Etats-Unis s’oppose à une immigration par la frontière sud, autant le pays est fervent partisan de la politique néolibérale de privatisations, de dérégulations et d’austérité gouvernementale, qui constitue la principale cause de l’immigration clandestine.
Faisant déjà 900 kilomètres de long sur une longueur frontalière totale de 3100, le mur érigé entre le Mexique et les Etats-Unis a fait plus de 370 morts rien qu’en 2009 – Photo : AP
Par exemple, le secteur alimentaire propriété de l’Etat mexicain achetait dans le passé son maïs aux agriculteurs locaux, à des prix élevés, pour en faire des tortillas qu’il vendait à bas prix, grâce à des subventions, dans les villes. La politique économique néolibérale, appliquée sous la pression des Etats-Unis, du FMI et de la Banque mondiale, porta un coup fatal à ces dépenses qui soutenaient les revenus ruraux. Les droits de douane qui, auparavant, empêchaient l’arrivée en masse du maïs subventionné américain sur le marché mexicain furent supprimés, avec comme résultats, la baisse des sommes versées aux agriculteurs mexicains, la hausse des prix et la concurrence du maïs bon marché [par subventions] des USA. Et l’effondrement qui en résulta pour de nombreuses économies agricoles rurales déclancha une nouvelle vague de migration vers le nord.
Le gouvernement mexicain
Ces politiques économiques voulaient aussi privatiser les activités sous contrôle de l’Etat, telles que les mines de Cananea, dans le nord de la province du Sonora. Quand le géant Grupo México mit la main sur ces mines, des centaines d’emplois furent perdus et un effort concerté fut engagé pour écraser le syndicat des mineurs. Devant les efforts du syndicat pour résister aux suppressions d’emplois et aux réductions des salaires, la police et l’armée ouvrit le feu, agressa physiquement et il y eut des confrontations. C’est l’une des principales raisons pour lesquelles les élites du Mexique furent favorables à une frontière-passoire au nord, et à l’immigration ; quand le peuple doit faire face à une détérioration de la qualité de la vie et se voit contester le droit de s’y opposer, l’option émigration devient un mécanisme nécessaire de pacification. Cette même politique de mouvements vers le nord constitua également une menace pour l’élite politique et économique, avec la montée en puissance des cartels de la drogue, les stupéfiants passant en contrebande aux Etats-Unis, et les armes à partir du marché américain au Mexique.
Ce que les officiels mexicains appellent « Iron River » – le flux continuel d’armes venant du nord de la frontière – et qui permet aux cartels de dominer les forces de police elles-mêmes, chargées de le gérer avec eux de l’intérieur, et les profits incroyables du commerce de la drogue les aident à recruter du personnel de police et militaire sous payé pour « leur côté ». L’Ecole militaire de l’armée de terre US publia en mai 2009 un document appelant ce conflit, le « la narco-insurrection mexicaine » ; le document expose en détail les menaces qu’elle fait peser sur l’Etat mexicain. Et le 27 avril, la direction du Commandement Sud des Etats-Unis confia à des journalistes, « Ma plus grande préoccupation pour la région, ce n’est pas… une menace militaire conventionnelle. Ce sont les trafics illicites… la drogue, la traite d’êtres humains, les armes, l’argent en masse. »
Les milliers de morts de ce conflit déclanchèrent toujours plus de migration vers le nord mais aussi une détérioration accrue de l’image de l’Etat mexicain parmi les peuples, en raison de la corruption officielle de l’Etat et de son incapacité à enrayer la violence.
Pour inverser la tendance, le gouvernement mexicain s’est procuré des appareils volants sans pilote (UAV) auprès d’Israël. Ces drones ont été mis au point pour assurer, selon les modèles, la surveillance, la localisation et des tirs de missiles air/sol. La même plate-forme de drones qui est utilisée à la surveillance et à cibler les cartels – les Hermes, Skylark-I, Shystar 300 et Orbiter – est utilisée habituellement contre la bande de Gaza et la Cisjordanie, tant pour la surveillance que pour les frappes aériennes. Le gouvernement mexicain s’est lancé dans l’utilisation des UAV israéliens le long de sa frontière nord. Le bureau des douanes et de la protection des frontières américain (le CBP – Customs and Border Protection) a été le premier a utilisé des drones pour la surveillance des frontières, avec des Hermes en 2004, pour son initiative Arizona/Contrôle frontière.
Le fabricant des Hermes, des Skylark-I et des systèmes Elbit, est de plus concerné par la frontière US/Mexique du fait de sa participation au SBI (Initiative pour une frontière sécurisée). Elbit, qui est basé à Haïfa, est fournisseur de son système Long Range pour la reconnaissance et l’observation, combiné avec des drones dans ce projet, tout en fournissant les mêmes matériels et technologie pour la barrière de ségrégation d’Israël. La frontière US/Mexique réapparaît une fois encore en Israël et Palestine avec les ingénieurs égyptiens qui ont été envoyés aux Etats-Unis pendant l’opération Plomb durci (décembre 2008/janvier 2009), afin d’y être formés, sur la frontière sud, à la détection de tunnels.
De plus, en août 2009, Israël a envoyé des gens dans un laboratoire de géologie aux Etats-Unis pour rechercher une méthode de détection de tunnels qui pourrait répondre aux besoins de l’armée israélienne. Celle-ci a utilisé dans le passé une tactique qui venait des Etats-Unis, pour détecter au hasard les explosions en sous-sol. (Le fait qu’il y ait besoin d’une formation en détection des tunnels devrait soulever des questions quant à l’efficacité des murs pour la sécurité, alors que les gens, tant en Palestine qu’au Mexique, possèdent la « pelle », technologie qu’ils utilisent pour creuser dans le sol, y compris sous les murs, et qui est apparemment inconnue des appareils de sécurité américain et israélien.) Le scepticisme sur la perméabilité des « murs de sécurité » remonte d’ailleurs bien plus loin, comme l’épisode du Cheval de Troie dans la mythologie l’illustre bien.
Pour mieux préciser la boucle de rétroaction pour ces relations, on peut dire que :
1 – Le gouvernement égyptien déploie les produits du néolibéralisme nord-américain, sa politique anti-drogue et son racisme structurel sur sa frontière avec la Palestine pour consolider le régime Moubarak en entravant le Hamas et en perpétuant son soutien aux Etats-Unis.
2 – Le gouvernement des Etats-Unis déploie les produits de l’occupation [israélienne] sur sa frontière avec le Mexique pour appuyer le racisme structurel et interdire les marchandises de contrebande, notamment la drogue et les armes.
3 – Le gouvernement mexicain déploie les produits de l’occupation le long de sa frontière avec les Etats-Unis pour renforcer son pouvoir en s’en prenant aux cartels de la drogue qui le menacent, et pour interdire la contrebande d’armes en provenance des Etats-Unis.
4 – Le gouvernement israélien déploie les produits du néolibéralisme nord-américain, sa politique anti-drogue et son racisme structurel pour renforcer l’occupation et l’apartheid contre les Palestiniens.
Les frontières des causes
Il s’agit dans le fond d’un réseau désordonné et désorganisé qui, par morceaux et souvent maladroitement, produit des outils que d’autres acteurs vont déployer pour préserver leur statu quo. Il s’agit d’une industrie de pacification. Les connexions sont claires et profondes, que ces structures particulières de l’inégalité soient mondiales, dans le fond, importe peu sur la façon dont est décentralisée l’intention première.
Cela est vrai même si aucune des structures décrites n’est dépendante ou lancée par les autres, elles ne font que profiter de l’existence des autres structures de l’injustice. Le gouverneur du Texas, Rick Perry, a même fait des déclarations sur la façon dont l’expérience d’Israël serait utile. Il a déclaré au Jerusalem Post qu’une délégation du Texas s’était rendu en Israël en août dernier et avait « essayé de trouver les moyens de sécuriser cette frontière, car tout comme il est important pour les Israéliens de maintenir une sécurité élevée sur leur frontière avec Gaza, il est important pour les citoyens du Texas d’en finir avec les activités illégales en cours avec la drogue » (au Mexique).
Ces questions s’entrecroisent maintenant dans leurs structures et les agents pour le changement ne peuvent l’ignorer. (Si l’on considère ces échanges comme les produits d’une industrie de pacification, alors il y a un côté intéressant en ce que les Forces spéciales mexicaines, aussi bien que de nombreuses unités tactiques des forces de police, ont reçu de la police états-unienne ou israélienne, une formation pour l’antiterrorisme et la contre-insurrection, quelquefois les deux. Le cartel de Los Zetas – jusqu’à récemment exécuteurs pour un cartel – est formé d’anciennes forces spéciales et d’unités tactiques de police qui ont changé de camp. L’industrie de la pacification a aussi ses externalités !)
L’histoire des militants qui agissent à travers la frontière Mexique/USA est longue et pleine d’efforts remarquables. Des travailleurs des mines et des chemins de fer mexicains, des deux côtés de la frontière, conduits par les frères Magon, ont déclanché une insurrection contre le « Roi du cuivre » de Cananea, dans ce qui s’est avéré être le précurseur de la révolution mexicaine. Les efforts ultérieurs des salariés dans le sud-ouest américain et le nord du Mexique, par les mineurs et d’autres, furent appuyés par des délégations envoyant de l’aide dans les deux directions.
S’organiser au-delà des frontières nationales, de nos jours, n’est pas rare, spécialement dans les domaines de l’environnement et de la globalisation, mais s’organiser à travers ce qui est perçu comme les frontières des causes, est malheureusement assez rare. Les frontières sont idéalement des infrastructures de connectivité qui créent une zone de transition entre des peuples et des cultures. Ici, il est question d’une situation où une occupation militaire, le néolibéralisme, une politique anti-drogue, une dictature et le racisme où tous s’entrecroisent, se chevauchent et se renforcent. Les militants doivent être prêts à réfléchir à propos des frontières entre les causes comme ces zones de connectivité, et il existe un excellent endroit pour le faire, dans le paysage riche de la frontière Palestine/Mexique. http://www.info-palestine.net/
C’est un parallèle qui se tient, à bien des niveaux la situation à la frontière mexicano américaine est aussi grave que celle en Irak et dans une moindre mesure à la palestine. La violence y est endémique et incontrolable, et les autorités sont impliquées dans le status quo, c’est des USA que partent les armes pour les réseaux mafieux.
Les récentes lois d’Arizona autorisant (si ce n’est obligeant) les forces de police à demander les papier d’identité aux hispaniques démontrent la crispation des population blanches américaines vis à vis des mexicains.
En même temps, ce n’est que le retour de baton de la politique expansionniste américaine du 19 siècle, en effet c’est le 2 février 1848 que traité de Guadalupe Hidalgo ou traité de Guadeloupe Hidalgo (espagnol : Tratado de Guadalupe Hidalgo – anglais : Treaty of Guadalupe Hidalgo) est signé, qui met fin à la Guerre américo-mexicaine :
» Par ce texte, le Mexique cède un immense territoire de 1,36 million de km² aux États-Unis d’Amérique pour la somme de quinze millions de dollars américains. Ces territoires non organisés (connus sous le nom de cession mexicaine) correspondaient à la majeure partie des États mexicains de Alta California et de Santa Fe de Nuevo México, c’est-à-dire aujourd’hui les États américains de : Californie, Nevada et Utah (dans leur totalité) ; les deux tiers septentrionaux de l’Arizona ; ainsi que d’une partie du Colorado, du Nouveau-Mexique et du Wyoming.
Par ce traité, les Mexicains reconnaissent également l’incorporation de la République du Texas comme État de l’union tout en lui cédant les territoires (faisant également partie des anciens États d’Alta California et de Santa Fe de Nuevo México), qui étaient situés à l’est du Rio Grande et du 107e méridien qui passe au sources du fleuve, que les Texans revendiquaient depuis leur indépendance (et qui donc ne font pas partie de la Cession mexicaine), et qui constituent de nos jours : le Texas occidental, ainsi que des portions du Colorado, du Kansas, du Nouveau-Mexique, de l’Oklahoma et du Wyoming. » wikipédia b
Je ne sais pas comment les élites US vont vendre le projet de suppression des frontières aux américains, peut être en créant une sorte de region administrative regroupant les états frontaliers, un peu comme les euro-régions en europe, et autant les européens ont été passif devant le démantelement des états en éliminant les frontières, autant les américains ne se laisseront pas faire, d’autant que nous voyons les dégats de cette politique en Europe.
Le gouvernement fédéral refuse de dire si les Canadiens qui souffriront de graves effets secondaires liés au nouveau vaccin contre la grippe A(H1N1) pourront intenter des poursuites contre le producteur de l’injection.
L’Agence de la santé publique du Canada n’a pas voulu indiquer si les sociétés pharmaceutiques seront protégées au pays contre toute poursuite au sujet du vaccin contre la grippe porcine, comme le sont celles faisant affaires aux Etats-Unis.
Dans un courriel, la porte-parole Nadia Mostafa a écrit qu’il s’agissait d’une situation complexe que le gouvernement fédéral examinait actuellement. Mme Mostafa a expliqué que le sujet suscitait des questions d’ordre légal touchant les champs de compétence fédéral et provincial de même que les secteurs public et privé. Puis, elle a ajouté que le gouvernement fournira davantage de détails en temps appropriés, soit au terme de discussions.
Le gouvernement fédéral a commandé 50,4 millions de doses du vaccin contre la grippe A(H1N1) auprès de la firme GlaxoSmithKline, qui produira la préparation antigénique dans son usine de Sainte-Foy.
Aux Etats-Unis, le gouvernement a ouvertement annoncé son intention de protéger les sociétés produisant les vaccins et les représentants gouvernementaux, notamment, contre d’éventuelles tentatives de poursuites judiciaires.
Selon un site Internet du département américain de la Santé, la secrétaire à la Santé, Kathleen Sebelius, a accordé l’immunité aux personnes morales et physiques concernées, à tous les niveaux, par la préparation, les tests, la production, la distribution, les prescriptions, l’administration et l’utilisation du vaccin contre la grippe A(H1N1) pour 2009. Cette protection ne s’applique toutefois pas aux cas de mauvaise conduite volontaire.
De son côté, GlaxoSmithKline était tout aussi avare de mots que l’Agence de la santé publique du Canada.
Dans un courriel envoyé à La Presse Canadienne, la porte-parole Michelle Smolenaars Hunters a indiqué que GlaxoSmithKline discutait de questions liées à la responsabilité au sujet du vaccin contre la grippe porcine avec tous les gouvernements, dont celui du Canada.
Mme Hunters a ajouté qu’il n’était pas possible d’en connaître davantage au sujet des détails sur les discussions avec le Canada, faisant valoir qu’elles étaient de nature confidentielle.
Encore une preuve du dédain de nos dirigeants.Nous sommes des moins que rien pour eux,du bétail sans dignité qui ne peut s’exprimer,nos plaintes passent des beuglements.
Le Canada,comme quasiment tout les pays développés,se transforme petit à petit en monstre froid,acceptant tout les diktats des entreprises et fondations tout en délaissant le peuple et ses aspirations les plus basiques,la sécurité,le bien être,l’égalité,etc…
Quel toupet quand même de dire que l’on ne sait pas si les laboratoires seront responsables en cas de pépin !
Comment on va faire,en vrai,comment on va faire si il y a la vaccination forcée et la loi martiale ?
Bon voila encore des infos délirantes,on arrive au bout.
Cela fait un mois que je tiens ce blog et tout empire,chaque jours on se rapproche du début de la série de méga crise qui mènera au NWO,ceux qui ne veulent pas y croire malgrè toutes ces infos,ne vous en faites pas,dans peu de temps vous serez obliger de l’accepter.
Mon Dieu,comment notre monde est fou,c’est INCROYABLE.
Jacques Attali ne sait plus comment faire pour être bien vu après la crise.
Après nous avoir vendu pendant des années ce modèle qui est en train de tous nous faire sombrer,cela fait maintenant plusieurs mois qu’il tire la sonnette d’alarme,il avait été un des rares,surtout dans cette autocongratulation délirante,à dire que le sommet du G20 avait été une mascarade, »organiser le G20 à Londres revient à organiser une réunion d’alcoolique dans un bar »,remarque cinglante d’un fin connaisseur,puisque participateur!
Aujourd’hui,il revient à la charge,encore plus remonté,il dit tout haut,ce que les « conspirationnistes » crient chaque jour,on sait tous que la FED est un constitué d’un pool de banque privé,et oui c’est un cartel de banque privé qui « vend » la monnaie à l’état.C’est eux qui empochent les taux d’intérêts.
Truc de dingue,quand même ,quand y on pense vraiment c’est absolument incroyable.
Ce n’est pas pour rien que Henry Ford a dit « Si les gens de cette nation comprenaient notre système bancaire et monétaire ,je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin »
Voila donc le héraut (héros)du Nwo,qui nous a rabaché tant d’années que le marché libre était l’unique solution,venir nous annoncer la vérité sur ce système inique.
Morceaux choisis:
« De plus, Wall Street continue à disposer de considérables moyens d’influence. Des lobbys bancaires, fort bien dotés, arrosent le Congrès. Et les banquiers, devenus ministres ou superviseurs, réussissent à écarter toutes les législations qui pourraient gêner leurs ex et futurs employeurs. »
Arroser veut dire corrompre, et l’administration est noyauté par les intérêts du Privé. ha bon jacques,c’est vrai!
« En particulier,une seule banque tient tout,Goldman Sachs ».Il est bon cet Attali!il a trouvé tout seul!
« Après avoir éliminé ses principaux concurrents, (dont Lehman) , après avoir profité de ces faillites et reçu de l’Etat d’énormes prêts sans intérêt, cette institution plus que centenaire fait aujourd’hui fortune grâce à des décisions prises par Geithner, Summers et les autres, dont chacun sait qu’ils rejoindront un jour la firme , après avoir quitté leurs fonctions, comme le firent avant eux les ministres des précédents présidents, Rubin, Paulson, et autres… »
« Au total, les entreprises industrielles, qui créent les vraies richesses, financent les erreurs et les bonus des banquiers, avec la bénédiction des hommes politiques. Et en bout de chaine, les salariés en sont les ultimes victimes: les banques américaines enfoncent dans la dépression ceux qu’elles ont déjà largement ruinés » Attali-Besanscenot le retour.
Et le meilleur pour la fin:
« Ces lobbys sont si puissants qu’on n’en sortira que par une révolution politique.Elle devrait conduire,au moins,à interdire aux responsables publics du secteur financier de travailler ensuite dans les établissement qu’ils contrôlent,Et au plus, à nationaliser ce secteur. Une révolution, vous dis je. »
Bon alors,si Attali appelle à la révolution c’est que cela va très très très mal.
Je vous signale que son article est une coupure nette avec le libéralisme tel qu’il nous a été vendu ces 20 dernières années,c’est absolument démentiel de voir Attali dire cela,personnellement je n’en reviens toujours pas.Je ne sais pas ce que signifie cet article,je comprend qu’il veuille se placer pour le monde d’après le Grand Krack,mais là,il y va très fort,il dit la vérité,il met le système à nu,parcequ’il est évident que cette analyse est la bonne,et cela bien bien avant la crise…..