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La police sioniste libère un colon sioniste qui a tué un adolescent palestinien près de Ramallah

juillet 14, 2010

La police sioniste a libéré un colon deux heures après son arrestation après qu’il ait été accusé d’avoir tué un Palestinien près de la ville de Ramallah, en Cisjordanie occupée il y a de cela deux mois; cela montre le genre de peine prononcée par les autorités de l’occupation contre les sionistes qui tuent froidement des Palestiniens.

La police sioniste a annoncé, le dimanche 11/7 l’arrestation d’un colon sioniste, âgé de 37 ans, qui habite dans la colonie de « Yizhar » installée illégalement sur les terres agricoles près de la ville de Naplouse et qui a été accusé d’avoir tué par balles l’adolescent palestinien, Ayssar Yasser al-Zaben âgé de 15 ans, dans le village de Senjal situé au nord de Ramallah.

Elle a ajouté que le colon sioniste a prétendu qu’il était exposé au lancement des pierres lorsqu’il conduisait sa voiture près du village de Berzeit, à Ramallah, et qu’il a ouvert le feu sur le jeune en le tuant directement.

Des sources palestiniennes ont affirmé qu’un colon sioniste a poursuivi plusieurs adolescents dans ce village, ouvrant le feu directement sur eux sous prétexte qu’ils avaient lancé des pierres sur sa voiture.
soutien-palestine.blogspot.com

No comment, je vais m’énerver sinon.

La Chine publie son premier rapport de notation de crédit souverain

juillet 12, 2010

Dimanche, une entreprise chinoise a publié le premier rapport jamais rédigé par la Chine sur la notation des crédits souverains, document qui évalue 50 pays ; cette société est la première agence de notation non occidentale à évaluer les risques et les crédits souverains du monde entier.

Ce rapport, établi par la Dagong Global Credit Rating Co., Ltd., première agence de notation locale en Chine, est publié au moment où nombreux sont ceux qui reprochent aux évaluations d’agences comme Moody’s Investors Service, Standard & Poors and Fitch Ratings d’être en partie responsables de la récente crise financière mondiale et des malheurs de la crise de la dette grecque.

Le rapport Dagong couvre 50 pays dont le PIB total représente 90% de l’économie totale du monde, et donne, par rapport aux agences occidentales rivales comme Moody’s, Standard & Poors and Fitch, des évaluations nettement différentes pour 27 pays.

Ainsi, par exemple, le Brésil et d’autres économies émergentes ont ils été mieux notés par la société chinoise, qui cite leur stabilité politique et leur forte croissance économique.

Et dans le même temps, des pays comme les Etats-Unis, la France ou d’autres nations développées ont reçu une note bien plus basse dans le rapport Dagong, du fait d’une faible croissance économique et d’un fardeau de la dette en augmentation.

Guan Jianzhong, président de Dagong, a déclaré durant une conférence de presse à Beijing destinée à présenter le premier rapport chinois de notation du crédit souverain, que le système de notation actuel, dirigé par l’Occident, « donne des informations relatives au classement du crédit erronées », et ne réussit pas à refléter les changements qui interviennent dans les capacités de remboursement de la dette.

« Nous voulons faire des classements réalistes et impartiaux et marquer un nouveau début dans la réforme du système mondial de notation, qui est irrationnel », a dit M. Guan.

D’après M. Dagong, les 50 pays ont été notés selon les propres critères de notation de sa société de l’entité souveraine d’un gouvernement central, comme « la capacité à gouverner un pays, la puissance économique, les capacités financières, le régime fiscal et les réserves en devises ».

Dans son rapport, Dagong a ainsi noté la dette gouvernement américain AA avec une perspective négative, note plus basse que le classement le plus haut de l’entreprise, qui est AAA. Il avertit aussi que Washington, ainsi que le Royaume-Uni, la France et d’autres pays, pourraient avoir des problèmes pour trouver plus d’argent si jamais ils laissaient leurs risques fiscaux devenir hors de contrôle.

« Le taux d’intérêt sur les instruments de la dette va augmenter rapidement et le risque de défaillance de ces pays va devenir encore plus grand », dit le rapport.

Dagong a donné à la dette chinoise libellée en Yuans une note « AA-plus » avec des perspectives stables, soit plus haut que le « A1 » de Moody et le « A-plus » de S&P, du fait de sa croissance rapide et de sa dette relativement faible. Et dans le rapport Dagong, la note devises étrangères de la Chine est AAA.

En termes de dette libellée en monnaie locale, la Norvège, le Danemark, le Luxembourg, la Suisse, Singapour, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont reçu la note maximale de AAA. Le Canada, les Pays-Bas et l’Allemagne ont reçu la note « AA-plus ».

D’après le rapport Dagong, le Japon a reçu une note de « AA-moins ».

Dagong a déclaré espérer « briser le monopole » de Moody’s, Standard & Poors et Fitch, dont la réputation a été entachée par leurs bonnes notes accordées à des investissements liés à des prêts, qui ont été responsables de la crise financière mondiale.

Wu Hong, qui a dirigé un groupe de travail pour étudier la notation du crédit et la sécurité nationale en Chine, dit qu’établir ses propres agences de notation de crédit et rejeter l’actuel système international de notation, inéquitable et contrôlé par des entreprises occidentales, est devenu une tendance.

« Cela veut dire que la Chine a une occasion historique de participer à l’élaboration des nouvelles règles de notation internationale », a dit M. Wu, ajoutant que la Chine avait cependant encore beaucoup de chemin à faire pour accroître sa propre influence dans le système de notation du crédit.

De même, les agences de notation occidentales n’ont pas pleinement reconnu la force économique de la Chine, ce qui a eu pour conséquence d’augmenter le coût des emprunts faits par la Chine, a également précisé M. Wu.

L’Association Nationale des Investisseurs Institutionnels sur les Marchés Financiers songe également à établir une autre agence de notation, en coopération avec des banques commerciales chinoises et des compagnies d’assurances chinoises.

Fondée en 1994, Dagong, société privée, offre des notations de crédit et des recherches en analyse de risques pour tous les émetteurs de titres en Chine, et elle compte plus de 500 employés.

Elle conçoit aussi la plupart des instruments locaux liés à la dette et domine le marché chinois de la notation du crédit pour les titres d’entreprises, les titres financiers et les titres de financement structurés.
le Quotidien du Peuple en ligne

Il leur manquait plus que ça au chinois, une agence de notation, à mon avis elle sera écoutée….

Crise : pourquoi il y aura d’autres Grèce (Jorion)

juillet 12, 2010

Paul Jorion répond aux question d’Hélène Ceresole du quotidien grec Avghi. Interrogé sur sa tribune « Des Grèce par dizaines »publiée dans Le Monde, l’économiste réaffirme que de nouvelles crises sont inéluctables et invite à penser un changement de civilisation.

n février, j’avais accordé un entretien à Hélène Ceresole du quotidien grec Avghi. Elle me pose à nouveau quelques questions, cette fois à propos de ma récente chronique dans Le Monde : « Des Grèce par dizaines ». Voici mes réponses.

1. A vous lire, on a l’impression qu’une nouvelle chute est inéluctable. Mais est-ce vraiment le cas ?
Pourquoi ne pas faire confiance aux dires de Trichet, par exemple ou de Dominique Strauss Kahn, quand ils disent qu’il ne va pas y avoir de crise nouvelle ?

Dans le contexte actuel, Mrs. Trichet et Strauss Kahn doivent rendre confiance aux marchés. Ils doivent donc afficher l’optimisme. Mais cet optimisme est justifié ou non. Il est donc impossible de savoir s’ils disent la vérité. Voilà pourquoi on ne peut pas faire confiance aux dires de Mrs. Trichet et Strauss Kahn. On peut au contraire se tourner vers des personnes dignes de confiance mais dont la fonction ne les oblige pas d’être des optimistes systématiques : Martin Wolf, éditorialiste du Financial Times, Mrs. Stiglitz et Krugman, Prix Nobel d’Economie, Simon Johnson, ancien économiste en chef du FMI, Nouriel Roubini, etc. Ils disent tous, comme moi-même, qu’une nouvelle chute est inévitable.

2. Selon vous quelle est la marge de manœuvre pour Athènes face à une crise qui s’aggrave de jour en jour ?

Après bien des hésitations et des marchandages, l’Europe de la zone euro a affirmé sa solidarité avec la Grèce, à condition bien sûr que le plan d’austérité de Mr. Papandréou soit appliqué – plan d’austérité extraordinaire dans tous les sens du terme. L’argent pour aider la Grèce est donc là en principe. Mais si les 750 milliards d’euros mis en réserve devaient être ponctionnés de manière significative pour venir en aide à l’Espagne, et plus particulièrement à ses banques commerciales, la donne serait modifiée. La perspective pour la Grèce de devoir à terme restructurer sa dette dépend donc aujourd’hui essentiellement de la bonne santé du secteur bancaire privé espagnol.

3. Lorsque vous dites qu’il nous faut un changement de civilisation, qu’est-ce que vous entendez par là ?

Je dis dans la chronique du Monde : « Repenser la manière dont se redistribuent les revenus entre un capital à haut rendement et un travail faiblement rémunéré ». Mettre en œuvre ce qu’on aura repensé, cela implique un changement de civilisation.

4. « Des Grèce par dizaines » : est-ce que vous pensez que le cas de la Grèce « se prêtait » à ce que la crise, qui n’avait jamais disparu, comme vous le faites remarquer, reprenne de plus belle en Europe ? Et si ce n’était la Grèce, ce serait, par exemple, le Portugal ou l’Espagne.

Les banques ont entraîné dans leur chute les États. Les plus affaiblis d’entre eux quant à leur dette publique se sont retrouvés les plus exposés. À l’époque de leur entrée dans la zone euro, certains pays ont masqué le niveau de leur dette publique pour satisfaire aux conditions d’entrée. Avec, comme on l’a redécouvert récemment, la complicité enthousiaste de Wall Street et de quelques avatars de Wall Street en Europe comme Deutsche Bank. Au niveau européen, on a fermé les yeux : on a touché du bois. Toucher du bois, c’est de la superstition. Malheureusement, la superstition, ça ne marche pas.

5. Pourquoi, selon vous, l’Allemagne fait preuve de cette suffisance, presque méprisante, au même moment où les Etats-Unis semblent avoir choisi une autre voie ?

La compassion n’est pas la philosophie politique traditionnelle des Etats-Unis. Si leur attitude n’est pas suffisante aujourd’hui ce n’est pas par choix. Les États-Unis sont si mal en point que l’austérité n’est pas pour eux une option envisageable : la déflation qui les menace les précipiterait aussitôt dans une dépression. Si la Chine et l’Allemagne apparaissent aujourd’hui suffisantes, c’est qu’elles ont encore quelque chose à sauver et ont le luxe d’être confrontées à des choix. Ceux qui leur reprochent aujourd’hui leur arrogance n’ont pas de choix : ils doivent résoudre la quadrature du cercle d’une relance dans l’austérité, la fameuse « ri-lance » à la française. Ils en sont réduits à l’humour noir des mauvais calembours.

6. Comment expliquer le fait que les pays émergents s’en sortent mieux face à cette crise ?

Parce qu’il leur reste une industrie. La pseudo-richesse des pays qui se sont spécialisés dans le service financier, comme les États-Unis ou le Royaume-Uni, n’est qu’un amoncellement de reconnaissances de dettes et de paris sur un amoncellement de reconnaissances de dette. Cela marche tant qu’on imagine que l’argent emprunté sera un jour remboursé. Quand les brumes du rêve se dissipent, cela ne vaut plus rien.

7. Quels signes faut-il guetter pour se rendre compte de la gravité de la situation ? La croissance de la Chine, par exemple ? Ou l’emploi aux Etats-Unis ?

Les emplois ne reviendront pas aux États-Unis : l’industrie du crédit n’est pas près de réembaucher, ni la construction – qu’il s’agisse de l’immobilier résidentiel ou commercial, ni l’automobile, ni… Il faut se poser la question honnêtement : quel pourrait être le secteur aux États-Unis qui pourrait créer des emplois ? La « croissance verte » ? Que veut-on dire exactement par là ? Le nettoyage du Golfe du Mexique ? On aimerait ne pas être cruel, mais ce n’est pas facile…

Comme plus rien ne marche, on attribue aujourd’hui à la Chine le rôle de sauver le monde. Du coup tous les yeux sont tournés vers elle et, comme ce fut le cas d’autres nations avant elle, quand elle éternue, le monde s’enrhume. Mais la Chine n’a pas encore de marché intérieur suffisant pour absorber de manière substantielle sa propre production : elle dépend encore essentiellement de ses exportations. Or les nations qui guettent sa bonne santé n’ont plus les moyens de rien lui acheter, elles ne se rendent pas compte que cela ne sert à rien d’observer la Chine : sans leurs achats, la Chine n’est rien.

Les signes qui montrent que la situation est grave ne doivent pas être recherchés en Chine et aux États-Unis : tragiquement, chacun les trouve chez soi.
marianne2.fr

Hey oui, on rève, le monde rève, la réalité est niée, les journalistes économiques nous disent  » la bourse a pris 6% en une semaine  » sans préciser qu’elle avait perdu 6% la semaine passée…
Bref, l’économie est tellement en faillite que les milliardaires donnent leur pognon….

‘Artificial fog’ may have brought down president’s plane

juillet 12, 2010

Polish authorities are investigating whether “artificial fog” could have caused the April plane crash that killed president Lech Kaczynski and 95 others, according to reports.

The aircraft crashed earlier this year as it tried to land at Smolensk airport in severe fog. The fog, which had thickened rapidly just before the arrival of the plane, had reduce visibility to little more than 650ft (200m), well short of the recommended minimum of 3,280ft (1,000m)
Poland reportedly wants access to US satellite photography that might cast new light on the weather conditions at the time of the crash, according to Gazeta Prawna, a Polish newspaper.

Prosecutors want help from American experts as to whether “there is a scientific and technical capacity to generate artificial fog”, the paper said.
Citing a source close to the investigation, the newspaper said the possibility that somebody may have created an artificial fog bank has now come under official analysis as Polish experts work to determine the causes of the tragedy.
Polish investigators have also asked the US for assistance in determining whether somebody could have influenced the aircraft’s instruments from a remote distance, and for any intelligence the United Sates might have collected on April 10.
Poles are anxious to discover whether American military intelligence recorded conversations made from the aircraft’s satellite phone as part of a Nato signals monitoring network.
Colonel Jerzy Artymiak, from the Polish military prosecutor’s office, confirmed that a request for American assistance has been made although did not provide any further information. Although investigators have stressed that probes into artificial fog and remote instrument tampering are just lines of inquiry they will help fuel conspiracy theories in Poland blaming Russia for the crash.
Artur Gorski, an MP from Law and Justice, the party of Lech Kaczynski helped found, suggested that Russia may have had an untoward roll in the crash by trying to get the official flight diverted.
telegraph
traduction google

Je vois ça comme la continuité de l’offensive des occidentaux contre la Russie, l’histoire des espions est vécue comme une humiliation, ils ont du échanger 4 vrais espions contre une dizaine de second couteaux, leur incapacité à gerer la situation Kirghize avec une humiliation de plus, c’est
l\'UE qui est appelée à la rescousse par les autorités kirghizes. Je pense aussi que l’incendie de l’usine qui construit les S-300 est hautement suspect.
Aujourd’hui Medvedev la marionnette a copié les paroles alambiquées de l’administration US :

L’Iran est proche d’avoir les moyens de mettre au point une arme atomique, a estimé lundi le président russe, Dmitri Medvedev, une déclaration d’une rare fermeté de la part de la Russie sur le programme nucléaire controversé de Téhéran.
« L’Iran est proche d’avoir le potentiel qui, en principe, peut être utilisé pour créer une arme nucléaire », a déclaré M. Medvedev, selon Interfax, au cours d’une réunion à Moscou avec les ambassadeurs de Russie.
C’est la première fois que la Russie exprime ses craintes de manière aussi claire sur l’évolution du programme nucléaire iranien, alors que Moscou a durci ces derniers mois sa position à l’égard de Téhéran, deux pays traditionnellement alliés.
M. Medvedev a aussi regretté qu’un tel potentiel ne constitue pas en soi une violation du Traité de non-prolifération nucléaire: « C’est l’un des problèmes », a-t-il estimé, jugeant par ailleurs que « la partie iranienne ne se comportait pas de la meilleure des manières », selon les agences russes.suite AFP

Bref, Medvedev est clairement le petit chien des américains, je ne crois pas à la théorie d’iran resist comme quoi les usa veulent la paix avec les mollah pour ensuite se servir d’eux pour déstabiliser l’asie centrale et donc la Chine et la Russie. Et , les russes l’ayant compris, ils voudraient prendre de vitesse les américains et les pousser à prendre des sanctions si importantes que plus aucun accord avec les mollah ne soit possible. D’ou les positions de plus en plus dures de la Russie.
Moi je pense que les russes craignent les américains, ils ont peur de leur tenir tête parcequ’ils savent que les psychopathes qui tiennent les manettes aux USA VEULENT une guerre nucléaire, du coup ils font de moins en moins semblant de s’opposer et s’alignent sur la posture atlanto-sioniste.

Bref, cette histoire d’avion qui s’écrase avec tout le pouvoir polonais est troublante, sinon c’est curieux que ce soit des experts américains qui sont consultés pour les images satellites comme si les russes n’avaient pas les moyens de fournir des images satellites de l’accident…

En Italie, spectaculaire journée sans informations

juillet 9, 2010


Pour « La Repubblica », la loi Bavaglio signifie la négation du droit des citoyens à être informés.

Pas de quotidiens dans les kiosques, pas de nouvelles à la radio et à la télévision, pas de mise à jour des sites internet d’information. C’est la « journée du silence », aujourd’hui, contre la « loi-bâillon », le texte voulu par le gouvernement Berlusconi pour limiter les écoutes téléphoniques et leur publication.

Une grève indispensable, selon le Syndicat national des journalistes (FNSI) pour alerter l’opinion publique sur la gravité des dispositions de la loi en discussion qui mine la liberté même d’expression. Le texte met en effet un frein à l’usage des écoutes par la magistrature dans ses enquêtes, prévoit de lourdes amendes et même la prison pour journalistes et éditeurs en cas de publication de celles-ci, mais interdit surtout aux journalistes de publier, avant le procès, toute nouvelle au sujet d’affaires judiciaires.

Face à un tel danger, pour certaines associations qui se battent contre la « loi-bâillon » et plusieurs journaux, le silence forcé d’aujourd’hui apparaît presque comme une contradiction. Au lieu de se taire, beaucoup auraient préféré plutôt la publication d’éditoriaux sur la liberté de la presse ou encore des articles justement sur les affaires en cours.

Des quotidiens, comme La Stampa de Turin ou Il Fatto, adhèrent à la grève tout en se déclarant perplexes sur sa modalité. D’autres, comme Il Riformista sont présents dans les kiosques avec Libero, Il Giornale, Il Foglio et Il Tempo, proches de Silvio Berlusconi. La Repubblica, qui mène la bataille avec des Post-it jaunes – devenus le symbole de la lutte – signalant les articles qui seront impubliables, a choisi le silence. Dans un éditorial publié la veille et disponible sur son site, le quotidien explique que la grève est le seul moyen pour sensibiliser l’opinion publique.

PREMIERS RÉSULTATS

Dans un pays où la majorité des gens n’est informée qu’au travers des journaux télévisés, souvent proches du pouvoir, les journalistes s’efforcent de faire comprendre qu’il ne s’agit pas d’une grève corporatiste mais qu’ils se battent avant toute chose pour la liberté d’information des citoyens.

Si la « loi-bâillon » dénoncée par l’opposition et un large mouvement dans l’opinion publique, avait été en vigueur, les récentes affaires de corruption qui ont éclaté et poussé à la démission, notamment, d’un ministre, n’aurait jamais été connues par l’opinion publique.

La mobilisation de ces derniers jours et cette journée de grève commencent en tout cas à apporter des résultats. La majorité qui exigeait l’adoption définitive, au pas de charge, de la loi par les députés, avant les vacances d’été, semble avoir mis de côté son projet. La loi serait passée difficilement dans un tel climat. La majorité serait maintenant prête à des modifications et devra probablement attendre la rentrée parlementaire.
le monde

C’est stupéfiant, le pouvoir italien est devenu dingue. Vois vous rendez compte quand même de ce que berlusconi voulait faire.

OGM: l’étude russe qui pourrait «déraciner» une industrie

juillet 9, 2010

En 2009, près de 3% des terres agricoles étaient couvertes d’OGM avec 134 millions d’hectares, selon l’ISAAA qui chaque année fait état des cultures des plantes transgéniques dans le monde. Et le dossier des OGM alimentaires – dont de très nombreuses pages restent encore floues à ce jour – pourrait bien s’alourdir prochainement alors qu’une nouvelle pièce en provenance de Russie est sur le point d’y être ajoutée.

Celle-ci prend la forme d’une étude, dont les résultats les plus frappants viennent d’être présentés à la presse en Russie dans le cadre de l’ouverture dans ce pays des Journées de Défense contre les Risques Environnementaux. Elle est même évoquée par Jeffrey Smith, fondateur de l’Institute for Responsible Technology aux Etats-Unis et auteur de référence dans le monde des OGM avec notamment son ouvrage Seeds of Deception (littéralement « les semences de la tromperie ») publié en 2003. Menée conjointement par l’Association Nationale pour la Sécurité Génétique et l’Institut de l’Ecologie et de l’Evolution, cette étude russe a duré deux ans avec pour cobaye des hamsters de race Campbell, une race qui possède un taux de reproduction élevé. Ainsi, le Dr Alexey Surov et son équipe ont nourri pendant deux ans et d’une manière classique les petits mammifères, à l’exception près que certains d’entre eux ont été plus ou moins nourris avec du soja OGM (importé régulièrement en Europe) tolérant à un herbicide.

Au départ, quatre groupes de cinq paires (mâles / femelles) ont été constitués : le premier a été nourri avec des aliments qui ne contenaient pas de soja, le second a quant à lui suivi un régime alimentaire qui comportait du soja conventionnel, le troisième a été alimenté avec en complément du soja OGM et enfin le quatrième groupe a eu des plateaux repas dans lesquels la part de soja transgénique était encore plus élevée que dans ceux du troisième. A la fin de cette première phase, l’ensemble des quatre groupes a eu en tout 140 petits. L’étude s’est poursuivie dans une deuxième phase par la sélection de nouvelles paires issues de chacun de ces premiers groupes. Et dans la logique du déroulement, les nouvelles paires de la deuxième génération ont elles aussi eux des petits, créant de fait la troisième et dernière génération de cobayes. Ainsi, il y a eu au final 52 naissances parmi les spécimens de troisième génération qui n’ont pas consommé du tout de soja, 78 parmi ceux qui ont consommé du soja conventionnel. Mais le troisième groupe, celui qui a été nourri avec du soja OGM, n’a eu que 40 petits, dont 25% sont morts. Et pire, dans le groupe qui a mangé le plus de soja génétiquement modifié, une seule femelle a réussi à donner naissance, soit 16 petits au total dont 20% sont finalement morts. Ainsi, à la troisième génération, les hamsters qui, pour les besoins de l’étude ont eu dans leur menu une part importante de soja OGM, n’étaient plus capables de se reproduire… Mais une autre surprise de taille a été observée : certains de ces hamsters issus de la troisième génération se sont retrouvés avec des poils… dans la bouche, un phénomène d’une extrême rareté.

Voici les photos publiées par Jeffrey Smith dans son billet.

Quelles conclusions peut-on tirer de cette expérience ? A ce stade, aucune, comme le reconnaissent eux-mêmes les scientifiques qui ont fait ces observations. D’ailleurs, leur étude qui doit être rendue public dans ses détails en juillet prochain, ne pourra être reconnue comme valide uniquement dans la mesure où elle sera publiée dans une revue scientifique internationale avec un comité de relecture par des pairs. Cependant, même si cette récente étude ne permet pas de tirer de conclusions définitives, elle pourrait avoir un impact non-négligeable dans l’approche globale des OGM agricoles qui sont aujourd’hui consommés dans le monde par des millions d’animaux d’élevage et d’être humains depuis leur avènement en 1996. Car en effet, pouvoir effectuer une étude d’une durée aussi longue (deux ans) est tout à fait rare tant les semenciers qui en font la promotion veillent au grain, de peur que l’étude en question ne soit pas en leur faveur : « Des scientifiques qui découvrent que des OGM provoquent des effets inattendus sont régulièrement attaqués, tournés en ridicule, voient leurs crédits de recherches stoppés, et sont mêmes renvoyés », explique Jeffrey Smith dans son billet repris notamment par The Huffington Post et qui évoque l’étude du Dr Surov et de son équipe en Russie. Et pouvoir effectuer des tests pendant deux ans est d’importance capitale selon les associations écologistes. Celles-ci estiment que deux ans représentent une durée suffisante pour mesurer les effets chroniques d’un produit ou d’une molécule, et donc d’un pesticide. Or, jusqu’à présent, les plantes OGM qui sont consommés dans le monde sont dans une très large majorité des plantes qui accumulent dans leurs cellules un ou plusieurs pesticides (soit par absorption extérieure soit par une production permanente). De plus, les études de plus de trois mois sur des mammifères (généralement des rats) nourris à ces OGM-pesticides (de première génération) sont toutes aussi rares. C’est pourquoi des « lanceurs d’alerte » (l’équivalent français du terme « whistle blowers », littéralement ceux qui soufflent dans le sifflet) dénoncent régulièrement cette situation et demandent à ce que les OGM agricoles soient évalués comme des pesticides à part entière. Autre grand problème : les organismes d’évaluation se basent toujours sur des études faites par ou pour les semenciers et ne possèdent pas de moyens financiers suffisants pour effectuer eux-mêmes des expertises ou contre-expertises. A ce jour, les évaluations d’OGM conduites et financées grâce à des fonds publics se comptent sur les doigts d’une seule main.

Selon Jeffrey Smith, l’étude du Dr Surov et de son équipe pourrait bien « déraciner » une industrie qui vaut plusieurs milliards de dollars. L’affaire est donc à suivre, mais quoi qu’il en soit, depuis l’introduction en 1996 dans l’environnement et dans la chaîne alimentaire de produits agricoles transgéniques (issus de semences dans lesquelles y sont ajoutées un ou plusieurs gènes étrangers afin de conférer à la plante une propriété spécifique), les risques qui y sont liés restent encore très largement inconnus car très peu observés faute d’études suffisamment longues et indépendantes, mais aussi à cause du refus des semenciers de publier leurs propres études (sauf sous la contrainte juridique) pour des raisons de stratégies industrielles et commerciales. Aussi surprenant que cela puisse paraître, le principe de précaution dans ce domaine semble effectivement illusoire alors que les incertitudes scientifiques qui demeurent devraient justement le mettre au cœur du processus d’évaluation. Et d’ailleurs, on peut même supposer que cette absence de précaution large et de manque de transparence vis-à-vis du public nuisent par la même occasion aux OGM agricoles expérimentaux (de seconde génération) qui ne peuvent pas être évalués dans les meilleures conditions puisque ceux qui sont actuellement sur le marché ne l’ont été que partiellement (le proverbe de la « charrue avant les boeufs»…). Car l’ennui au fond c’est que nous tous, les consommateurs, sommes au bout de cette chaîne alimentaire: alors finalement dans l’histoire, qui sont réellement les cobayes?
source

Lol, nos petits enfants auront des poils dans la bouche !! C’est tragique comme on se fait empoisonner, c’est vraiment tragique. C’est ignoble si ils n’arrivent pas à nous exterminer rapidement ils y arriveront en nous rendant stérile. Entre les ogm, les pesticides, les chemtrails, l’aluminium dans l’eau et j’en passe, l’espérance de vie va finir par diminuer….

Trois ultra-orthodoxes israéliens arrêtés pour trafic de cocaïne…C’est pas la première fois, des haredim qui vendent de la cocaïne, mais quelle bande de dégénérée.

juillet 9, 2010

Trois ultra-orthodoxes israéliens arrêtés pour trafic de cocaïne.

Trois juifs ultra-orthodoxes ont été arrêtés mercredi en Israël pour un trafic de cocaïne évalué à un million de dollars (800.000 euros), a-t-on appris jeudi auprès de la police.

Deux jeunes gens, âgés d’une vingtaine d’années, ont été appréhendés à l’aéroport international Ben Gourion de Tel-Aviv. Un troisième homme, soupçonné d’être le cerveau de la bande, a été interpellé dans un village de religieux, près de Tel-Aviv, a précisé le porte-parole de la police Micky Rosenfeld.

Les policiers ont découvert plus de 10 kilos de cocaïne, d’une valeur marchande d’un million de dollars, dans la valise des deux suspects qui portaient l’habit noir des harédim (« craignant Dieu »), a ajouté le porte-parole.

Les deux hommes, habitants du fief ultra-orthodoxe de Bnei Brak à Tel-Aviv, revenaient du Brésil.

« Les suspects sont actuellement interrogés et nous travaillons avec la police brésilienne pour savoir qui sont leurs éventuels complices », a déclaré M. Rosenfeld à l’AFP.

La consommation de drogue est très élevée en Israël. Une étude réalisée en 2009 par l’Autorité israélienne de lutte antidrogue révélait que 5,6% des mineurs et 1,9% des adultes de 18 à 40 ans ont déjà consommé des drogues dures (héroïne, cocaïne, LSD.).

La semaine dernière, la police du Néguev en Israël a arrêté deux Bédouins israéliens et un Egyptien, qui tentaient de faire passer 72 kilos d’héroïne de l’Egypte vers Israël.
la croix.com

Comment des hommes très religieux peuvent ils faire du trafic de cocaïne, comment peuvent ils vendre la mort et ensuite aller prier, il faut vraiment être sacrément dérangé, et quelle hypocrisie….
Encore une preuve de la haine des goyim, la drogue était surement destinée aux palestiniens…
Ces gens sont les rois des menteurs, des hypocrites et des malsains.

L’OCDE met en garde contre une croissance sans création d’emplois

juillet 8, 2010

En deux ans, la crise a détruit 17 millions de places de travail dans les pays riches qui se trouvent désormais devant le défi de réduire les déficits publics et de lutter contre le chômage.

Bonne nouvelle, l’OCDE confirme que la crise économique, la pire depuis la Grande Dépression, est derrière et qu’une faible reprise se dessine. Mauvaise nouvelle, elle n’efface pas son impact négatif sur l’emploi; elle n’engendre même pas les conditions pour créer de nouvelles places de travail. Dans son rapport annuel «Perspectives de l’emploi 2010» publié mercredi à Paris, l’OCDE estime que 17 millions nouveaux emplois seront nécessaires pour retrouver le niveau d’avant-crise.

L’emploi a fortement reculé en 2008-2009. Au premier trimestre 2010, le taux de chômage a augmenté de 2,1%, atteignant 8,7% dans l’ensemble des pays de l’OCDE. Ce sont 47 millions de personnes qui recherchent un emploi. En réalité, ce chiffre serait le double en comptant les inactifs et les salariés à temps partiel qui souhaitent travailler plus.

Risques sociaux

Pour l’OCDE, le pic le plus haut depuis les années trente est sans doute atteint, raison pour laquelle la création d’emplois devrait devenir une priorité. Angel Gurria, secrétaire général de l’OCDE, ne se fait toutefois pas d’illusions. «Réduire en même temps le chômage et les déficits budgétaires est un défi de taille, mais il faut s’y attaquer de front», a-t-il lancé lors de la présentation du rapport.

L’OCDE se félicite que les Etats ne soient pas restés les bras croisés durant la crise et qu’ils aient multiplié des mesures – plans de relance, réduction du temps de travail, aide au maintien de l’emploi et à la formation, baisse de cotisations pour l’employeur – pour minimiser les conséquences. Mais leur financement a mis à mal les finances publiques. Par conséquent, nombre d’entre eux se retrouvent dans une situation budgétaire fragile. Désormais, l’austérité est de mise. «Néanmoins, il est important de continuer d’allouer des fonds aux programmes visant à dynamiser le marché du travail», note John Martin, l’auteur du rapport. Il rappelle que le chômage pose des risques sociaux et économiques.

L’OCDE appelle ses membres à poursuivre leurs programmes d’aide aux chômeurs et de cibler les groupes les plus défavorisés, exposés au risque de perdre le contact avec le marché du travail.

Le rapport de l’OCDE consacre un chapitre à l’emploi dans les économies émergentes où des licenciements massifs ont eu lieu dans le sillage de la chute brutale des exportations. Il appelle à mettre des filets de sécurité, notamment pour les jeunes et les travailleurs peu qualifiés qui risquent de sombrer dans la précarité ou dans l’emploi informel.
le temps

Article sympa, tout est dit, maintenant que les états sont méga endettés ils n’ont plus les moyens de payer les chomeurs. Et voila l’austérité, qui va accentuer la récession et de toute façon si ils font encore plus de relance ils sont foutus aussi, quoiqu’ils fassent ce sera l’échec. Le système s’est rompu en septembre 2008…

Une Ancienne Juge Israélienne Préconise Qu’Israël Utilise La Propagande Des Nazis

juillet 7, 2010

Hadessa Ben Itto juge israélienne à la retraite conseille aux responsables politiques d’Israël d’utiliser les mêmes tactiques que les Nazis en matière de propagande de guerre.

Lors d’une conférence qui s’est tenue la semaine dernière à Londres à laquelle assistaient 150 experts juridiques expérimentés juifs et qui portait sur la manière d’améliorer les efforts de propagande d’Israël dans le monde , Ben Itto a dit :

« nous devons apprendre des tactiques Nazis «.

Ben Itto a précisé lors de cette conférence qu’Israël devrait adopter les tactiques utilisées par les Nazis après qu’ils eurent distribués les Protocoles des Sages de Sion : refuser tout compromis et continuer leur combat dans les tribunaux bien qu’ils n’aient pas eu de preuve des Protocoles.

« J’ai réfléchi là-dessus, sur notre propagande, et rien ne fonctionne car l’histoire est compliquée et le monde est habitué à ce qui est sensé » a-t-elle expliqué.

« Je suis arrivée à la conclusion que nous devons utiliser ces tactiques dans les tribunaux dans le monde entier tout comme les Nazis – en tenant compte des différences – utiliser les tribunaux pour répandre notre message ».

En d’autres termes la juge à la retraite Ben Itto préconise qu’Israël – et ses agences et agents d’influence tels le CRIF et consorts – ait partout recours aux tribunaux afin de faire passer mondialement son message de propagande que tout le monde connaît : Israël ne fait que de se défendre, Israël est la victime, tout le monde est contre « nous », tout le monde est antisémite.

Il semble que cette juge n’ait pas pris la peine de lire le rapport d’un autre juge lui aussi sioniste, Richard Goldstone, qui accuse ouvertement Israël d’avoir commis des crimes de guerre et peut être mêle des crimes contre l’humanité contre la population civile palestinienne de Gaza lors de l’attaque « Plomb Durci » fin 2008 début 2009.

La bataille juridique contre Israël aura lieu tôt ou tard et nul doute que les preuves accablantes contre le régime sioniste : crimes de guerre et contre l’humanité, torture, pillage, vol de terre, nettoyage ethnique, apartheid, feront que la comparaison avec le régime Nazi sera minus pour ce dernier car le régime Nazi a sévi 5 ans alors que le Sionisme impose ses crimes à l’humanité depuis plus de 60 ans.

Oui Madame Ben Itto la bataille va se livrer devant les tribunaux – le plus rapidement sera le mieux pour tous, les Palestiniens qui subissent un nettoyage ethnique des plus scandaleux, traités au quotidien comme des sous humains, encagés, et les Juifs anti sionistes, ceux qui le proclament mais aussi les centaines de milliers qui crient en silence contre cette abomination sioniste – et le jour où cette bataille commencera ce sera le début de la fin du régime sioniste.

La Justice est au service de la Vérité et non de la propagande.

Ces propos tenus par une juge israélienne à la retraite témoignent à quel point non seulement les militaires et les politiques sont corrompus en Israël mais également les juges et c’est cette corruption qui fera s’effondrer le régime sioniste.

Le Titanic Sioniste est entrain de sombrer.

« Pas par la Force mais par mon Esprit ».
planete non violence

Et pour les tarés qui n’y croit pas, voila le site d\'info juif qui le dit.

Des dégénérés, ils sont totalement fous, cette juive extrémiste invoque les nazis comme guide, c’est du délire complet. Et la bien sur, il n’y aura aucune critique internationale, imaginez que ce soit Ahmadinejad qui ait dit ça, les médias le répèteraient sans cesse :  » il l’a dit, « je veux faire comme les nazis », vous voyez c’est un nazi, il faut attaquer l’iran  »
Ils touchent le fond , ces pauvres juifs extrémistes sont devenenus une fois de plus complètement fou. J’ai bien peur qu’ils nous jetent dans une guerre dévastatrice pour le monde entier. N’oubliez jamais ce qui c’est passé en Russie, le pays a vécu une véritable apocalypse.

L’emploi US, pire qu’on le pense… et  » Se préparer à l’impensable aujourd’hui… ou risquer de tout perdre.  »

juillet 7, 2010

▪ Les Américains s’inquiètent un peu. Les nouvelles sont mauvaises — du moins si l’on considère qu’une correction est mauvaise.

La Bourse vacille. Les rendements obligataires sont à des planchers record.

Les crédits d’impôts immobiliers ont expiré. Les vieilles voitures ont toutes été rachetées. Les agents du recensement ont été renvoyés chez eux.

Les plans de relance des autorités américaines n’ont rien relancé… leur reprise n’a rien repris… leur politique budgétaire contre-cyclique n’a pas contré grand-chose. Désormais, tout ça prend fin… et on commence à voir le mot « dépression » utilisé pour décrire le malaise américain :

« Le Dow répète les schéma de la Dépression », disait CNBC.

Les Etats-Unis « pris au piège de la Dépression », titrait le Telegraph à Londres.

Les faillites des consommateurs sont à leur niveau le plus élevé de ces cinq dernières années.

Les maisons ne se vendent pas. Les ventes au détail chutent. Les commandes industrielles chutent.

C’est exactement ce à quoi on pouvait s’attendre dans le cadre d’une Grande Correction. Mais qui prévoyait une Grande Correction ? Peu de gens. La plupart prévoyaient plutôt une reprise.

En tout cas, quoi qu’il se passe, ce n’est pas une reprise.

▪ Il y avait moins d’emplois aux Etats-Unis à la fin juin qu’au début du mois — 625 000 en moins. Le département du Travail US a annoncé que le taux de chômage a baissé, passant à 9,5%, mais tout le monde sait que ces chiffres sont frauduleux. Les autorités font simplement disparaître des gens des listes de demandeurs d’emploi. En fait, elles ont rayé un million d’Américains sur les listes au cours des deux derniers mois. Ces gens ne cherchent pas « activement » un emploi, disent les autorités.

Sauf qu’il faut désormais 35 semaines, en moyenne, entre le moment où l’on perd son emploi et celui où on en trouve un nouveau — quand on peut en trouver un. C’est à peu près une fois et demie plus long que durant le pire marché de l’emploi de notre vie, à la fin des années 70.

Dans la mesure où cinq personnes postulent pour chaque offre d’emploi, bien évidemment, beaucoup de gens ne trouvent pas de travail et abandonnent. Les probabilités sont mauvaises.

Nous n’avons activement cherché un emploi qu’une fois dans notre vie — au début des années 70. Nous sortions tout juste de l’université. Il était temps de se lancer dans une carrière. Nous avons donc épluché les petites annonces demandant des journalistes, un métier pour lequel nous n’étions absolument pas formé. Nous avons vu une offre à Washington D.C., dans une société éditant des lettres d’information. Nous avons passé un costume trois-pièces et nous sommes rendu à l’entretien.

L’entretien se passa sans problème, mais nous n’avons pas eu le poste. Ils voulaient quelqu’un avec une plus jolie coupe de cheveux, ou un meilleur CV. D’une manière ou d’une autre, il semblait que la recherche d’emploi n’était pas faite pour nous. Heureusement, un de nos amis avait besoin d’aide. Il payait 100 $ par semaine. Ce n’était pas grand-chose, mais c’était un début. Nous sommes resté avec lui jusqu’à ce que nous puissions lancer notre propre maison d’édition.

Ayez pitié des pauvres gens qui cherchent un emploi actuellement. Près de huit millions d’emplois ont été perdus au cours des trois dernières années. Bon nombre de ces postes ne reviendront jamais. Une reprise ? Oubliez ça.

Et ce n’est pas tout ! Même les gens qui travaillent gagnent moins d’argent. Les salaires horaires chutent.

Peut-être que la Chine réussira à se sortir de ce pétrin ? Non, l’économie chinoise ralentit. Et selon Ken Rogoff, son immobilier commence à s’effondrer.

Heureusement (et là, notre côté optimiste ressort le bout de son nez), une Grande Correction, c’est exactement ce dont nous avons besoin. Rappelez-vous, on ne peut transformer de mauvaises décisions en bonnes décisions, pas plus qu’on ne peut faire disparaître les dettes. Il faut travailler à s’en débarrasser… en les faisant passer aux pertes et profits, en les remboursant, en faisant défaut, ou en faisant faillite. C’est à ça que servent les corrections.

Autant s’y attaquer tout de suite…
chronique agora

Et il y a un autre article de la chronique qui est interessant :

Se préparer à l’impensable aujourd’hui… ou risquer de tout perdre

Il y a quelques jours dans le Telegraph, Ambrose Evans-Pritchard nous rappelle que Ben Bernanke est l’auteur du manuel « Déflation : comment s’assurer que cela n’arrivera pas ici ». Il y écrit que « le gouvernement des Etats-Unis dispose d’une technologie nommée planche à billets, qui lui permet de produire autant de dollars américains qu’il le souhaite à un coût essentiellement nul ».

Le grand argentier américain a été critiqué à maintes reprises. Toutefois, s’il y a une chose qui ne peut pas lui être reprochée, c’est de ne pas donner de suite pratique à ses idées théoriques. En 2008, l’homme a triplé la masse monétaire d’un grand coup de baguette magique.

Certains observateurs ont dit « bah, il s’agit d’un événement ponctuel », et le marché de rebondir de 83% en moins de quatorze mois. Mais les indicateurs économiques fondamentaux s’affolent, ce qui a poussé Andrew Roberts, chef du crédit à la Royal Bank of Scotland (RBS), à encourager les investisseurs à relire le texte de M. Bernanke, surnommé « Ben l’Hélicoptère » depuis qu’il a proposé de lâcher des billets de banque au-dessus des zones peuplées, si nécessaire, afin de tuer la déflation.

Pour M. Roberts, la Réserve fédérale américaine « s’apprête à ouvrir les vannes d’une monstrueuse création monétaire. Nous ne pouvons pas souligner suffisamment à quel point nous sommes persuadés d’être au bord du gouffre, tant pour ce qui concerne le système bancaire global (particulièrement en Europe) que pour l’économie mondiale. Il faut penser à l’impensable ».

Prenons un peu de hauteur : si cette note avait été rédigée par un apprenti stagiaire de la Caisse Mutuelle de Pampigny-les-Oies, je ne vous en aurais probablement jamais parlé. En revanche, selon le Financial Times, la RBS est la plus grosse compagnie du monde si la seule mesure est les actifs. Et donc l’analyste qui, parmi les 170 000 employés du groupe, est le plus qualifié pour nous parler de taux d’intérêt et de monnaie, puisqu’il est à la tête des opérations de crédit de la banque, nous affirme catégoriquement que nous sommes à l’extrême bord du précipice, et que Ben l’Hélico s’apprête à faire un grand pas en avant.

Ne vous inquiétez pas, je connais les statistiques : vous qui me lisez là, maintenant, vous disposez également d’au moins dix autres sources d’informations différentes, tout aussi crédibles sinon davantage. Donc vous vous dites « Mayor fait dans le grandiloquent, cette semaine, mais ce n’est pas pour cela que le ciel va nous tomber sur la tête ». Ne vous en faites pas, je ne le prends pas personnellement ; après tout, depuis que vous êtes né, la Terre ne s’est jamais arrêtée de tourner, alors pourquoi le ferait-elle maintenant ? D’autant plus que les autres commentateurs sont partagés entre « achetez le rebond » et « cette crise est passagère, demain est un autre jour ».

▪ Voyez-vous, moi aussi, je suis sceptique. Mais j’ai un gros avantage sur la plupart d’entre vous : j’ai commencé à acheter de l’or physique il y a plusieurs années déjà. Je parle d’or qui n’est pas coincé dans un coffre de banque qui deviendra inaccessible lorsque celle-ci fermera ses portes. Alors, quand je lis l’opinion de ce cher Andrew, j’en achète un peu plus que d’habitude.

Dans son article, Ambrose Evans-Pritchard cite également Albert Edwards, de la Société Générale, qui affirme que la Réserve fédérale tout comme les autres banques centrales sont, quoi qu’ils en disent, dans une « mouise fiscale malodorante » qui les forcera à imprimer de l’argent quoi qu’il arrive.

Regardez bien un billet de banque zimbabwéen. Plus précisément, un billet de cent mille milliards de dollars du Zimbabwe. A l’époque où il a été imprimé, l’inflation dans ce pays fut de 6 500 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000% par an. A qui le tour ? L’euro ? Le dollar US ? Le yen ? Le franc suisse ? La livre britannique ? La couronne suédoise ? Le dollar canadien ? Toutes les monnaies papier adossées à rien du tout ?

Pour Albert Edwards, « la réponse au maelström déflationnaire qui se prépare sera l’impression de davantage d’argent qui fera apparaître l’utilisation passée de la planche à billets insignifiante ». Eh ben mon cousin…

Et vous voulez connaître un secret ? Même si, en un an, un Zimbabwéen qui aurait épargné des milliards en argent papier serait devenu plus pauvre que Job, ceux qui possédaient des actifs réels n’ont pas souffert. Pour ceux qui possédaient un kilo d’or, pensez-vous que le lingot ait rétréci à cette époque ? Bien sûr que non. Il pesait un kilo avant, il pèse toujours le même poids aujourd’hui.

En termes réels, le possesseur d’or n’a rien gagné, il possède toujours un kilo; sauf qu’avec ce kilo d’or, au lieu de se payer une maison dans son pays comme à l’époque où il avait acheté l’or, il peut probablement s’en payer une bonne douzaine maintenant que l’immense majorité de ses compatriotes est ruinée… Inutile de dire que notre pari sur les matières premières, en particulier l’or, devrait être payant à long terme.

Une dernière chose à ce sujet : je vous demande de faire un effort d’imagination. Dix ans ont passé, vous êtes ruiné parce que vous aviez décidé de ne pas acheter cette « relique barbare » qu’est l’or physique, et nous nous rencontrons au détour d’une conférence. Que me direz-vous ? Que vous répondrai-je ? Si ce scénario ne vous fait pas peur, alors n’agissez pas.
chronique agora

Deux articles extrèmement significatif du desastre en cours et de la catastrophe à venir. Les américains sont vraiment devenus dingues, je crois avoir lu quelque part qu’ils allaient imprimer 5 000 milliards de dollars de plus
Celente dit qu’il va y avoir un méga inflation, que le dollar ne vaut rien, comme les autres monnaies d’ailleurs, c’est l’intégralité du système qui est contaminé , c’est pourri de l’interieur, c’est une bonne chose, ça ne pouvait plus durer. Il faudra que toute la population agisse ensuite pour prendre en main notre destin, sinon on va se retrouver avec une puce dans le corps et encore plus esclavagisé que nous le sommes aujourd’hui.

Traitrise absolue : Un diplomate émirati plaide pour une solution militaire

juillet 7, 2010

L’ambassadeur des Emirats arabes unis aux Etats-Unis Youssef Al Otaiba a publiquement prôné l’usage de la force militaire pour le règlement du problème nucléaire iranien, rapporte le Washington Times.

Le diplomate a préconisé avec une franchise inédite l’usage de la force militaire en cas d’inefficacité des sanctions économiques contre Téhéran, tout en comprenant que l’emploi de la force contre un Etat islamique, d’autant plus le plus proche voisin et partenaire commercial des les Emirats arabes unis, aurait de lourdes conséquences économiques (le chiffre d’affaires du commerce entre les deux pays se montant à 12 mds USD) et provoquerait des protestations massives dans le monde musulman.

« Mais si vous me demandez si je veux vivre aux côtés d’un Iran nucléaire, je répondrai que nous ne pourrons pas coexister avec une telle puissance atomique. Nous sommes prêts à payer ce prix pour garantir la sécurité des Emirats », a expliqué M.Al Otaiba.

Dans un entretien accordé à Jeffrey Goldberg, correspondant de la revue américaine Atlantic, l’ambassadeur émirati a averti que si l’administration du président Barack Obama ne parvenait pas à arrêter l’Iran, de nombreux pays arabes dans la région se détourneraient de Washington pour se rapprocher avec Téhéran.

L’Iran est soupçonné de chercher à se doter de l’arme nucléaire sous couvert d’un programme civil, ce qu’il dément formellement. Le 9 juin dernier, le Conseil de sécurité de l’Onu a adopté un nouveau train de sanctions à l’encontre de l’Iran à cause de son programme nucléaire, notamment pour la poursuite de l’enrichissement d’uranium.
novosti

Putain, mais quelle bande de traitre, cette homme merite de mourir, la traitrise des emiratis est démoniaque, j’espère que leur petit royaume sera anéanti par les missiles iraniens et que les habitants sunnites et chiites se rebelleront contre ce régime collaborateur.
La guerre est proche, la situation est vraiment grave, l’Iran n’a jamais attaqué personne et pourtant c’est une cible évidente. Je hais mes dirigeants qui déclarent la guerre à des pays qui ne leur ont rien fait, mais je hais encore plus les traitres musulmans qui vont y participer.
C’est pathétque, que pouvons nous faire ? Parceque nous ne pouvons pas rester sans rien faire, manifester ne sert à rien, souvenez vous des manif monstres précédent la guerre en Irak qui n’avaient servi à rien.
Nous devons agir et répondre aux agressions par des actions militantes fortes, rester les bras croisés revient à participer à l’agression.
Honte aux Émirats arabes unis, ces faux musulmans corrompus jusqu’à la moelle.

Quand la drogue devient une arme de guerre…

juillet 6, 2010

L’histoire se passe entre Israël et l’Egypte. Elle est racontée dans le dernier numéro de la revue XXI. C’est une histoire qui n’est jamais vraiment sortie dans la presse : elle a toujours été l’objet de la censure militaire en Israël…
De 1959 au milieu des années 80 (bien après les accords de Camp David donc), Israël a tenté d’inonder l’Egypte de drogue pour rendre accros les Egyptiens et affaiblir son armée. C’est « l’opération Toto ». L’une des unités d’espions les plus prestigieuses de l’Etat hébreu, l’unité 504, était chargée de sa mise en oeuvre.
A l’époque, elle avait été approuvée par le Premier ministre lui-même, David Ben Gourion. Les participants avaient été convoqués dans un endroit inconnu, au centre d’Israël. On leur avait demandé d’accepter une mission supérieure sans en connaître le contenu.
Les routes empruntées pour le trafic étaient très variées, les sommes et les quantités de drogue impressionnantes. Un participant à l’opération Toto se souvient d’avoir voyagé avec plus d’un million de dollars en liquide pour les remettre à un cultivateur libanais. Les agents avaient tellement de drogue sur eux que, lorsqu’ils rencontraient les trafiquants pour négocier, il arrivait qu’on entretienne les feux de camp avec des ballots de haschich de plusieurs milliers de dollars. Un espion raconte que lorsqu’il rentrait chez lui, il se faisait engueuler par sa femme à cause de l’odeur tenace de drogue sur ses vêtements.
Tout cela a été gardé secret. Et les agents qui risquaient de parler, on les a fait taire de manière impitoyable. XXI raconte le cas d’un officier qui manifestait un comportement étrange à la fin des années 70 : il a terminé dans un asile de fous.
L’enquête de XXI est signée Benny Lévy. En marge de l’article, le rédacteur en chef Patrick de Saint-Exupéry souligne que ceux qui ont parlé aux journalistes risquent toujours l’emprisonnement. Le débat entre exigence de sécurité et nécessité de démocratie est loin d’être clos en Israël.

ND : « Et le pays dont Israël redoute le plus l’action pour sa sécurité, c’est l’Iran »)…
Petit rappel de géographie… Au nord de l’Iran, sur les bords de la mer Caspienne, il y a l’Azerbaïdjan. Et si le terrain de guerre entre Israël et l’Iran, il était là ? C’est un article plein de bruits de bottes sur le site Slate.fr : « Américains, Israéliens et Iraniens se font face à la frontière de l’Azerbaïdjan ».
C’est la conséquence du coup de froid entre Turquie et Israël. Le gouvernement de Tel Aviv a cherché un autre allié dans la région. Et il s’est rapproché de l’Azerbaïdjan. La frontière avec l’Iran s’étend sur 560 km.
Des avions militaires de l’Etat juif s’entraînent dans l’espace aérien. Des conseillers techniques militaires sont dans la zone. Plus encore, cet ancien satellite de l’Union Soviétique est désormais sous influence occidentale : des bases de l’OTAN y ont été installées, des troupes spéciales américaines également.
Côté iranien, des chars, de l’artillerie, des unités anti-aériennes et d’infanterie ont été vus se dirigeant vers le nord.
Sur Slate.fr, Jacques Benillouche se dit qu’il est possible que cette démonstration militaire préfigure de véritables discussions, maintenant que chacun a montré ses muscles. Et il conclut : « Ce serait la meilleure hypothèse ».
http://sites.radiofrance.fr/franceinter/

Cette histoire est très importante, ça se passe toujours comme ça, la drogue est avant tout une arme politique, demandez vous pourquoi depuis l’occupation de l’Afghanistan la production d’opium a explosé, la Russie et l’Iran sont envahis d’héroine bon marché qui ravage la jeunesse de ces deux pays. C’est une honte et c’est extrèmement grave. C’est un classique des services de renseignement, dans » le livre noir de la cia « de Yvonnick Denoel on apprend que la cia était impliqué dans la french connection et  » facilitait  » le marché de drogue en Californie.
C’est pour cela que lorsque vous entendez le Hamas accuser israel d’empoisonner la population avec des bonbons ou des médicaments, vous pouvez les croire….

Ravitaillement refusé aux avions iraniens dans les aéroports britanniques, allemands et émiratis.

juillet 6, 2010

Les aéroports britanniques, allemands et émiratis refusent de ravitailler les avions iraniens en carburant suites aux sanctions unilatérales de Washington contre Téhéran, a annoncé lundi l’agence iranienne ISNA.

« Depuis la semaine dernière, les aéroports britanniques, allemands et émiratis refusent de ravitailler les avions iraniens », a annoncé l’agence citant le porte-parole de l’Association des compagnies aériennes d’Iran Mehdi Alyari.

Selon le porte-parole, « dans ce contexte, l’Iran sera obligé soit de remplir à fond les réservoirs de ces avions de ligne, soit de constituer des stocks de carburant dans des pays tiers ».

« Les transports aériens étant une activité internationale autorisée, toutes les sanctions décrétées contre l’Iran, dont celles du Conseil de sécurité de l’ONU, sans parler des restrictions unilatérales américaines, vont à l’encontre des dispositions internationales sur l’aviation civile et constituent une violation des droits de l’homme », a affirmé M.Alyari.

« Le refus de ravitaillement frappe en premier lieu Iran Air et Mahan Air, deux compagnies iraniennes effectuant le plus grand nombre de vols vers l’Europe », a-t-il conclu.

Fin juin, le Congrès américain a approuvé des restrictions supplémentaires à l’encontre d’entreprises et de personnes physiques iraniennes. Les membres du Congrès ont autorisé la Maison-Blanche à durcir les sanctions contre les compagnies étrangères investissant à la fois dans le secteur énergétique iranien et la production de pétrole aux Etats-Unis.
novosti

C’est vraiment du grand n’importe quoi cette histoire, je ne savais pas que les allemands étaient des traitres à ce point, refuser du kérozène à des avions civils, j’hallucine…

Quand des milliardaires appellent les milliardaires à donner leur fortune. C’est que quelque chose de super grave se prépare….

juillet 5, 2010

Nous, Bill et Melinda Gates, et moi-même, Warren Buffett, demandons à des centaines de milliardaires américains de donner au moins 50 % de leur fortune à des organismes de charité. » Le magazine « Fortune » publie ce mois-ci les lettres des deux plus riches Américains, qui lancent cet appel avec l’objectif de rassembler au moins 600 milliards de dollars, soit la moitié environ des 1.200 milliards détenus par les 400 Américains de la liste de « Forbes ».
Dans sa lettre, Warren Buffett, surnommé l’oracle d’Omaha (Nebraska), rappelle qu’en 2006 il s’était personnellement engagé à donner pendant sa vie ou à sa mort plus de 99 % de sa fortune à des fondations. Ce qui, dit-il avec son sens de l’humour à la Groucho Marx, n’est pas le plus important pour lui. « Car ce qui a le plus de valeur, c’est le temps. »
La journaliste Carol Loomis, amie de longue date de Warren Buffett et qui édite sa lettre traditionnelle aux actionnaires de sa société d’investissements, Berkshire Hathaway, raconte comment cette nouvelle idée a germé. En mai 2009, lors d’un dîner à New York en compagnie de David Rockefeller, Michael Bloomberg et Oprah Winfrey, les deux hommes les plus riches des Etats-Unis, Gates et Buffett, ont tout simplement évoqué le principe de réaliser la plus grande levée de fonds de l’histoire. Une idée qui, depuis un quart de siècle, a fait son chemin dans l’esprit de Warren Buffett. En 1986, interrogé par « Fortune » pour savoir s’il fallait tout laisser à ses enfants, il avait répondu : « Certainement pas. » Une réponse à méditer aussi chez les milliardaires d’autres pays…
les echos

Franchement, ces gens ne donnent rien gratuitement, si ils en sont arrivés la c’est justement parcequ’ils sont super malsains. Cette annonce de vouloir donner la moitié de la fortune des milliardaires US est flippante, si ces gens se délaissent de leur fortune c’est qu’elle ne va plus leur servir….
Que faut il en déduire ?

quelques liens

juillet 5, 2010

Un doc sur le sida ou le docteur montagnier nous dit en gros que si on mange bien on est protégé…

pas de feu d\'artifice dans de nombreuses villes aux usa, plus d\'argent , les mairies sont à 70 000 dollars près

http://www.armytimes.com/ Un nouveau nom pour les psyops , ça s\'appelle Military Information Support Operations,” or MISO maintenant

New York Times : la reconstruction de l’Irak bâclée par les Américains
La Belgique, complice de crimes de guerre ?

Des Juifs contre Israël aux USA : plus nombreux, plus affichés, plus organisés

L’économie mondiale n’est pas à l’abri d’une rechute

juillet 5, 2010

L’économie mondiale n’est pas à l’abri d’une rechute mais le principal risque pour la planète est celui d’une croissance durablement molle, estiment des économistes, à l’issue d’une semaine agitée sur les marchés par la crainte d’une nouvelle récession.

«Nous sommes au bord d’une déflation planétaire comme on n’en a jamais vu depuis un siècle et demi», a lancé samedi l’essayiste français Jacques Attali lors des Rencontres économiques d’Aix-en-Provence, dans le sud de la France.Interrogé par l’AFP sur les craintes de voir le monde retomber dans la récession dont il vient de sortir, il précise : «les risques sont là. Si on ne change pas de politiques, on va dans le mur».

Alors que la reprise, tirée par les pays émergents, s’était renforcée ces dernières semaines, des mauvaises nouvelles en cascade ont jeté une ombre sur les perspectives économiques. Après la crise de la dette en Europe, ce sont la solidité de la croissance chinoise et la santé de l’économie américaine qui inquiètent les places boursières.

«Il y a encore des menaces qui planent sur la croissance mondiale», acquiesce Laura Tyson, de l’Université de Berkeley, en Californie. «Avec l’accélération des politiques d’austérité en Europe, je crains qu’il n’y ait pas assez de soutien pour le secteur privé, alors que c’est nécessaire après une crise financière majeure comme celle que nous venons de vivre.»

«Nous avons échappé au pire, mais il reste beaucoup d’interrogations», confirme à l’AFP l’ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Rodrigo de Rato.

Selon lui, les pays occidentaux «doivent poursuivre l’effort de nettoyage du système bancaire». Parallèlement, «l’Europe doit prendre des mesures pour renforcer son potentiel de croissance» et «les Etats-Unis doivent adopter une stratégie de réduction de la dette publique sur le moyen terme», ajoute-t-il.

Face aux inquiétudes, le président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, a assuré dimanche qu’il ne croyait «pas du tout» au risque d’une nouvelle récession.

«Il n’y aura pas de nouvelle récession», estime aussi Nouriel Roubini, l’économiste célèbre pour avoir prédit la crise financière.

Certains experts, comme la Française Agnès Bénassy-Quéré, jugent que les dirigeants devraient réussir à sauver la reprise cette année. «La question, c’est 2011», dit-elle. «Mais je pense qu’on suivra le bon scénario, où on ajuste d’abord les finances publiques en conservant une politique monétaire très accommodante».

Le tout est de connaître l’ampleur de la reprise. Pour Nouriel Roubini, «la croissance sera extrêmement anémique dans la plupart des économies avancées». Il prévoit, pour la fin de l’année, une progression «proche de zéro» dans la zone euro.

Laura Tyson redoute aussi que le dynamisme des pays émergents ne suffise pas. «Les Etats-Unis, l’Europe et le Japon demeurent une très grosse part de l’économie mondiale, et si la croissance de chacune de ces régions s’avère très lente pendant quelques années, c’est toute la planète qui s’en ressentira», prévient-elle.

Philippe Trainar, économiste du réassureur Scor, résume ces craintes : «Nous risquons de nous orienter vers une croissance molle, une croissance à la japonaise.»

Le spectre du Japon, englué dans la déflation, ce phénomène de baisse des prix qui ruine les perspectives de bénéfices des entreprises et dissuade les investissements, ressurgit dans les propos de Jacques Attali.

«Il y a un risque de japonisation de la planète. C’est un vrai risque qui pourrait se matérialiser assez vite», dit-il. Pour lui, «on peut l’éviter en traitant le problème des fonds propres des banques et en réduisant la dette publique».
cyberpresse

Attali sait ce qui va se passer, il donne des conseils foireux pour arriver au chaos, il a toujours fait ça, attali l’apôtre du mondialisme.

A Final Solution being planned in Israel to kick out a million Palestinians

juillet 5, 2010

Avigdor Lieberman, Israel’s far-right foreign minister, set out last week what he called a “blueprint for a resolution to the conflict” with the Palestinians that demands most of the country’s large Palestinian minority be stripped of citizenship and relocated outside Israel’s future borders.

Warning Israel faced growing diplomatic pressure for a full withdrawal to the Green Line, the pre-1967 border, Mr Lieberman said that, if such a partition were implemented, “the conflict will inevitably pass beyond those borders and into Israel”.

He accused many of Israel’s 1.3 million Palestinian citizens of acting against Israel while their leaders “actively assist those who want to destroy the Jewish state”.

Mr Lieberman’s Yisrael Beiteinu party campaigned in last year’s elections on a platform of “No loyalty, no citizenship” and has proposed a raft of loyalty laws over the past year targeted at the Palestinian minority.

True peace, the foreign minister claimed, would come only with land swaps, or “an exchange of populated territories to create two largely homogeneous states, one Jewish Israeli and the other Arab Palestinian”. He added that under his plan “those Arabs who were in Israel will now receive Palestinian citizenship”.

Unusually, Mr Lieberman, who is also deputy prime minister, offered his plan in a commentary for the English-language Jerusalem Post daily newspaper, apparently in an attempt to make maximum impact on the international community.

He has spoken repeatedly in the past about drawing the borders in a way to forcibly exchange Palestinian communities in Israel for the Jewish settlements in the West Bank.

But under orders from Benjamin Netanyahu, the prime minister, he has kept a relatively low profile on the conflict’s larger issues since his controversial appointment to head the foreign ministry more than a year ago.

In early 2009, Mr Lieberman, who lives in the West Bank settlement of Nokdim, upset his own supporters by advocating the creation of “a viable Palestinian state”, though he has remained unclear about what it would require in practice.

Mr Lieberman’s revival of his “population transfer” plan — an idea he unveiled six years ago — comes as the Israeli leadership has understood that it is “isolated like never before”, according to Michael Warschawski, an Israeli analyst.

Mr Netanyahu’s government has all but stopped paying lip service to US-sponsored “proximity talks” with the Palestinians after outraging global public opinion with attacks on Gaza 18 months ago and on a Gaza-bound aid flotilla four weeks ago in which nine peace activists were killed.

Israel’s relations with the international community are likely to deteriorate further in late summer when a 10-month partial freeze on settlement expansion in the West Bank expires. Last week, Mr Netanyahu refused to answer questions about the freeze, after a vote by his Likud party’s central committee to support renewed settlement building from late September.

Other looming diplomatic headaches for Israel are the return of the Goldstone Report, which suggested Israel committed war crimes in its attack on Gaza, to the United Nations General Assembly in late July, and Turkey’s adoption of the rotating presidency of the Security Council in September.

Mr Warschawski, a founder of the Alternative Information Centre, a joint Israeli-Palestinian advocacy group, said that, faced with these crises, Israel’s political elite had split into two camps.

Most, including Mr Lieberman, believed Israel should “push ahead” with its unilateral policies towards the Palestinians and refuse to engage in a peace process regardless of the likely international repercussions.

“Israel’s ruling elite knows that the only solution to the conflict acceptable to the international community is an end to the occupation along the lines of the Clinton parameters,” he said, referring to the two-state solution promoted by former US president Bill Clinton in late 2000.

“None of them, not even Ehud Barak [the defence minister and head of the centrist Labour Party], are ready to accept this as the basis for negotiations.”

On the other hand, Tzipi Livni, the head of the centre-right opposition Kadima party, Mr Warschawski said, wanted to damp down the international backlash by engaging in direct negotiations with the Palestinian leadership in the West Bank under Mahmoud Abbas.

Mr Lieberman’s commentary came a day after he told Ms Livni that she could join the government only if she accepted “the principle of trading territory and population as the solution to the Palestinian issue, and give up the principle of land for peace”.

Mr Lieberman is reportedly concerned that Mr Netanyahu might seek to bring Ms Livni into a national unity government to placate the US and prop up the legitimacy of his coalition.

The Labour Party has threatened to quit the government if Kadima does not join by the end of September, and Ms Livni is reported to want the foreign ministry.

Mr Lieberman’s position is further threatened by a series of corruption investigations.

However, he also appears keen to take the initiative from both Washington and Ms Livni with his own “peace plan”. An unnamed aide to Mr Lieberman told the Jerusalem Post that, with a vacuum in the diplomatic process, the foreign minister “thinks he can convince the government to adopt the plan”.

However, Mr Warschawski said there were few indications that Mr Netanyahu wanted to be involved in any peace process, even Mr Lieberman’s.

Last week Uzi Arad, the government’s shadowy national security adviser and a long-time confidant of Mr Netanyahu, made a rare public statement at a meeting of the Jewish Agency in Jerusalem to attack Ms Livni for “political adventurism” and believing in the “magic” of a two-state solution.

Apparently reflecting Mr Netanyahu’s own thinking, he said: “The more you market Palestinian legitimacy, the more you bring about a detraction of Israel’s legitimacy in certain circles. [The Palestinians] are accumulating legitimacy, and we are being delegitimised.”

Mr Warschawski doubted that Mr Lieberman believed his blueprint for population exchanges could be implemented but was promoting it chiefly to further damage the standing of Israel’s Palestinian citizens and advance his own political ambitions.

In his commentary, Mr Lieberman said the international community’s peace plan would lead to “the one-and-a-half to half state solution”: “a homogeneous, pure Palestinian state”, from which Jewish settlers were expelled, and “a binational state in Israel”, which included many Palestinian citizens.

Palestinians, in both the territories and inside Israel, he said, could not “continue to incite against Israel, glorify murder, stigmatise Israel in international forums, boycott Israeli goods and mount legal offensives against Israeli officials”.

International law, he added, sanctioned the partition of territory in which ethnic communities were broken up into different states, including in the case of the former Yugoslavia. “In most cases there is no physical population transfer or the demolition of houses, but creating a border where none existed, according to demographics,” he wrote.

Surveys have shown that Palestinian citizens are overwhelming opposed to “population transfer” schemes like Mr Lieberman’s.

Critics note that Mr Lieberman has failed to show how the many Palestinian communities inside Israel that are located far from the Green Line could be incorporated into a Palestinian state without expulsions.

Legal experts also point out that, even if Israel managed to trade territory as part of a peace agreement, stripping Palestinians of their Israeli citizenship as a result of such a deal would violate international law.

Jonathan Cook is a writer and journalist based in Nazareth, Israel. His latest books are “Israel and the Clash of Civilisations: Iraq, Iran and the Plan to Remake the Middle East” (Pluto Press) and “Disappearing Palestine: Israel’s Experiments in Human Despair” (Zed Books). His website is http://www.jkcook.net.
globalresearch.ca
traduction google

Je reste malheureusement persuadé qu’ils vont le faire, ils vont déporter les palestiniens  » israéliens » mais aussi une partie des palestiniens de Cisjordanie en Jordanie ou en Syrie, et cela pendant une guerre importante.
Pour les juifs extrémistes c’est la seule solution viable, un état uniquement juif. Ils demandent d’ailleurs aux palestiniens de reconnaitre le caractère juif de l’état d’israel.

EDL singing UK National Anthem using Israeli flag . Preuve par A+B de la mainmise des sionistes sur la mouvance d’extrème droite européenne.

juillet 5, 2010

Ils sont pas cons ces jeunes, et ils se disent patriotes, j’ai vu un reportage sur France 24 ou ils disaient qu’ils montraient ce drapeau pour dire qu’ils ne sont pas racistes, LOL, c’est la propagande du moment, l’islamophobie n’est pas perçu comme du racisme, c’est normal, j’ai même entendu des  » journalistes  » sur france inter dire que le parti islamophobe en hollande n’est pas d’extrème droite puisqu’il n’est pas antisémite….

Si des personnes d’extrème droite des années 40 voyaient ce qu’est devenu le mouvement aujourd’hui, ils deviendraient fous et feraient fusiller tout le monde.

Des patriotes qui s’allient à des juifs extrémistes, on aura tout vu…..

Comment des juifs extrémistes trahissent la France au profit d’israel, le cas de Marcel Dassault (anciennement Bloch)

juillet 3, 2010

Marcel Bloch-Dassault (1892-86)
C’était un amoureux et véritable héros d’Israël, malgré sa conversion au catholicisme.
Il contreviendra aux ordres de de Gaulle entre 60 et 67 et livrera ses commandes à Israël au nez et à la barbe du Général et avec la complicité du Ministre de la Défense.
De Gaulle, en visite un dimanche au CEA (Base de l’Atome militaire) en 1962, y découvre une voiture isolée au parking. Quand on lui explique, gêné, que c’est celle d’un expert israélien qui y a ses bureaux, et qu’il comprend au passage, que les militaires israéliens ont aussi des bureaux au sein du Ministère de la Défense, il donne un ordre précis. Pour cadrer avec la politique proarabe de la France, ces personnes doivent quitter les lieux ET il rappelle qu’aucun matériel militaire nouveau ne saurait être vendu à Israël.
Or, Dassault sous couvert de son Ministre de tutelle complaisant, passera outre jusqu’au boycott absolu de la Guerre des 6 jours. Ce boycott sera bien plus dur car il interdira les rechanges, clouant au sol les matériels déjà vendus…
Pendant 5 ans, Dassault poursuivra, malgré les ordres, sa coopération active avec Israël, en tant qu’ex-juif et toujours proisraélien. Israël cloua au sol l’Armée égyptienne en 67, grâce aux Mirages de Dassault ! Les juifs de France doivent savoir que, tout comme Israël, ils doivent beaucoup à ce très grand personnage qu’était Marcel Bloch-Dassault, fidèle à ses origines, jusqu’au bout et malgré sa conversion !
http://yerouchalmi.web.officelive.com/UMPJuifs.aspx

Vous vous rendez compte de la traitrise, c’est effrayant. Je l’ai appris en regardant le documentaire qui reprenait le livre de Pierre Péan  » les deux Bombes  » (il n’est plus édité !), les extrémistes juifs d’israel nous ont volé la bombe grace à la complicité d’extrémistes juifs français et d’un abruti philosémite qui croyait avoir des liens avec eux parcequ’il avait été déporté pour resistance, bref un traitre. De Gaulle est devenu fou quand il apprit cela et interdit de poursuivre les transferts de technologies, mais il fut trahi.
Voila donc l’état d’esprit de certains juifs français qui sont heureux de voir un français trahir son pays au profit d’un autre, c’est scandaleux, je ne comprends pas pourquoi De Gaulle ne l’a pas fait fusiller et pris le controle de l’entreprise, ça aurait évité la gabegie ou plutot les pillages futurs. Le programme Rafale ayant été un gouffre.

Sans la dispora, israel n’existerait pas, c’est pour cela qu’une grande partie de la diaspora est responsable de la souffrance palestinienne.
Sinon dans le documentaire il y a avait une histoire des patrouilleurs qu’israel avait acheté à la France mais De Gaulle refusait de les livrer, du coup les israéliens les volèrent, j’avais trouvé ça assez fort quand même, en tout cas le vol des corvettes de Cherbours stoppa toute coopération entre les deux pays. Je comprends De Gaule et son :  » le peuple juif, peuple sûr de lui et dominateur « 

Après la déflation, il ne faut pas oublier l’inflation…

juillet 2, 2010

Voilà qui est très troublant, cher lecteur. Paul Krugman a raison… du moins sur un point.

« Nous sommes aujourd’hui, je le crains, dans les premières phases de la troisième crise », a écrit le prix Nobel dans un éditorial du New York Times mardi. Il a ainsi trempé les orteils dans une piscine autour de laquelle nous hésitons depuis un bon moment.

« Cela ressemblera sûrement plus à la Longue Dépression [de la fin des années 1800] », continue Krugman, « qu’à la Grande Dépression, beaucoup plus grave. Mais le coût — pour l’économie mondiale et surtout pour les millions de vies ruinées par le manque d’emplois — sera sans aucun doute énorme ».

L’admettre nous est particulièrement difficile, au point que nous avons failli nous étouffer avec notre tartine de ce matin, mais… Krugman a raison.

Enfin, du moins jusqu’à ce qu’il suive son commentaire d’un conseil à l’attention des dirigeants présents au G20 : cette crise sera en réalité un « échec de la politique… les gouvernements sont obsédés par l’inflation alors que la vraie menace, c’est la déflation ; ils prêchent la réduction des dépenses alors que le vrai problème, ce sont des dépenses mal choisies ».

▪ La déflation aujourd’hui, l’inflation ensuite. Là, nous sommes d’accord. Mais comment allons-nous régler une crise des dépenses si nous dépensons plus ? Et si nous empruntons pour dépenser ? Qu’en est-il des déficits et des dettes sous lesquels nous croulons déjà ?

La crainte de Krugman vient du fait que la délégation américaine du G20 s’est décidée à mettre en place des « mesures d’austérité » après le sommet. Eux et d’autres économies développées ont préparé des plans budgétaires qui vont réduire les déficits de moitié d’ici 2013 et stabiliser ou réduire le ratio dette /PIB des gouvernements d’ici 2016″, explique le gros titre du rapport des réunions du week-end.

Mais au final, nous ne pensons pas que Krugman doive s’inquiéter de quoi que ce soit. Dans les premières minutes de notre film I.O.U.S.A, nous avons fait un montage des différents présidents en train de déclarer la guerre aux déficits et à la dette de la nation, en remontant jusqu’à Eisenhower.

Nous pourrions ajouter à cette liste cette fameuse promesse publiée dans une page d’opinion du Wall Street Journal en 2007, et signée du président d’alors, George W. Bush. « Nous pouvons rééquilibrer le budget fédéral d’ici 2012. Début février, je soumettrai un budget qui fera exactement cela ».

« Trop de gens », répond Dan Amoss, rédacteur de Strategic Short Report, « confondent l’activité économique, mesurée par le PIB, avec le progrès économique. Le progrès implique généralement une augmentation du niveau de vie entraînée par une augmentation de la productivité et une baisse des prix à la consommation ; comme ça s’est passé lors de l’industrialisation des Etats-Unis à la fin du XIXe siècle ».

« La route vers la servitude telle que définie à l’origine par Hayek emmène désormais l’économie mondiale sur l’un de ces deux chemins : »

« Des plans d’austérité douloureux et une déflation qui détruiraient ce qui reste du système de devises d’aujourd’hui en mettant en avant l’épargne et en encourageant la formation de nouvelles richesses ; ou des injections de relance sans fin dans les économies avec la promesse d’austérité ‘dès que l’économie se sera remise d’aplomb’. »

« Le second chemin est le plus probable d’après moi, parce qu’il est plus populaire d’un point de vue politique — surtout une fois que le camp des ‘pro austérité’ en Europe découvrira à quel point leurs économies sont dépendantes de l’Etat-providence. Avec un peu d’espoir, une masse de personnes critiques qui préfèrent la liberté à l’illusion d’une sécurité économique peuvent nous aider à nous défaire du pouvoir effrayant des gouvernements et des banques centrales ».

Mais d’après les prises de décisions dont nous avons été témoins ces dernières années — des décisions guidées principalement par des considérations politiques — je n’ai pas beaucoup d’espoir.

« Malheureusement, la plupart des économies occidentales sont aujourd’hui complètement dépendantes des dépenses gouvernementales. Chacune des injections fiscales et monétaires dans les banques zombies va devoir être de plus en plus importante pour effacer les symptômes de manque causés par la perte du dernier plan de relance ».

« Les entrepreneurs ont tout compris à ce jeu et cessent progressivement de participer de manière saine et productive à l’économie. Cette perte de la confiance des entrepreneurs dans le système va finir par accélérer la chute de toutes les devises papier ».

Amen !
chronique agora

On est pas sortis de l’auberge, en même temps on le sait, c’est déja ça, pensez à ceux qui croient que tout va bien, les pauvres, ils vont tomber de haut…

Moins de 50 combattants d’al-Qaida en Afghanistan . C’est dingue qu’ils osent le dire

juin 30, 2010

Dans une interview exclusive accordée à la chaîne ABC, le directeur de la CIA, Leon Panetta, s’est exprimé au sujet de la présence américaine en Afghanistan.

Ces déclarations interviennent dans un contexte assez tendu. Le général McChrystal a démissionné à la suite des propos désobligeants qu’il avait tenu dans le magazine Rolling Stones, au sujet de l’exécutif américain. C’est le général Petraeus qui reprend ses fonctions, alors qu’après huit ans et demi de combat, l’impression d’un fiasco militaire domine.

Leon Panetta révèle notamment qu’il y aurait tout au plus 50 à 100 combattants d’al-Qaida en Afghanistan. Il a ajouté que la majorité des combattants du réseau terroriste se trouvent actuellement dans la zone tribale du Pakistan et qu’une grande partie des opérations consiste à éliminer la tête d’al-Qaida là-bas.

Cherchant à rassurer les Américains, il a rappelé que même si les opérations prenaient plus de temps que prévu, il croyait en la stratégie du pays:

Est-ce que cette stratégie est la bonne? Nous le pensons. La clé du succès ou de l’échec réside dans le fait que les Afghans prennent leur responsabilité, et soient en mesure de déployer une armée effective et des forces de police pour maintenir la sécurité. S’ils le peuvent, alors je pense que nous pourrons réaliser les progrès et la stabilité que souhaite le président.

Et de préciser ce qu’il considérerait comme une victoire américaine:

Notre but, toute notre mission ici, et de s’assurer qu’al-Qaida ne trouve pas de refuge depuis lequel il peut attaquer l’Afghanistan. C’est le but principal de la présence américaine ici. Et on pourra mesurer notre succès: est-ce que l’Afghanistan est assez stable pour que cela ne puisse pas arriver.

Le Huffington Post précise que l’ONU se veut également rassurant. Un porte-parole assurait dimanche que les opérations ne seraient pas retardées par la démission de McChrystal.
slate

La CIA dit la vérité, al quaida n’existe pas, 50 personnes en Afghanistan et combien au Pakistan, 200, 300 ? Ce n’est rien, ils ne peuvent en aucune manière être une menace, et dire que l’UE va mettre des micros dans les avions pour nous protéger d’eux ….

En fait la CIA dit cela pour faire pression sur le Pakistan et pousser à une nouvelle guerre non plus au Pakistan mais contre le Pakistan

Moscou s’engage à ne pas vendre d’armements sophistiqués à l’Iran et à la Syrie

juin 30, 2010

Incendie dans une usine militaire russe qui devait livrer des missiles à l’IranUn grave incendie s’est déclaré aujourd’hui dans une usine militaire du nord de Moscou qui produit des missiles, dont le système S-300. Le feu s’est propagé sur 800 mètres carrés et n’est toujours pas maîtrisé à l’heure actuelle. On ne connait pas la cause du sinistre. La société Almaz-Anteï regroupe des entreprises militaires qui produisent des armements, notamment des missiles sophistiqués S-300 que Moscou voulait livrer à Téhéran mais dont elle a gelé la vente le 11 juin dans le cadre des sanctions de l’ONU contre l’Iran.
guysen

Ce qui est louche mais c’est peut être une coincidence, c’est que nous apprenions cela :

Moscou s’engage à ne pas vendre d’armements sophistiqués à l’Iran et à la Syrie

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, se serait engagé auprès de son homologue israélien Avigdor Lieberman, à ne pas vendre d’armements offensifs, ni à l’Iran ni à la Syrie, selon le journal londonien arabophone Al Quds Al Arabi : « nous nous sommes engagés à respecter tous les traités et accords internationaux et nous ne vendrons pas d’armements sophistiqués ni à l’Iran ni à la Syrie » a-t-il annoncé.
guysen

C’est franchement incroyable de lire ça, les américains peuvent vendre et donner tous les armements possible et imaginable à israel mais ses ennemis n’ont pas le droit d’acheter des armes, c’est sure que du coup ça risque d’être facile de gagner une guerre.
Je vois pas pourquoi les russes disent cela, ils sont définitivement dans le camp occidental, ils les écoutent comme des petits chiens, c’est pathétique. À moins que ce ne soit des mensonges, que les israéliens le sache et qu’ils ont mis le feu à l’usine.

L’ AFP titre : Israël est le roi des drones, avions sans pilote. Des armes de traitres pour les Rois des laches

juin 30, 2010

Véritables yeux de la guerre moderne, omniprésents dans le ciel du Pakistan, d’Irak ou de Gaza, les drones sont devenus une spécialité et une priorité d’Israël, premier exportateur mondial.
L’enjeu est tel que, selon les médias locaux, même en pleine crise israélo-turque, une délégation militaire serait venue secrètement il y a quelques jours de Turquie en Israël pour s’entraîner au pilotage du Heron, un modèle de drone israélien.
Cet avion sans pilote, long de 11 mètres, est propulsé par un moteur de 1.200 CV. Il peut voler jusqu’à 52 heures d’affilée à 10 km d’altitude en transportant une charge utile de 300 kilos. Le bord de ses ailes, revêtu d’une plaque en titane, est doté d’un système antigel.
« Il a accumulé des dizaines de milliers d’heures de vol. Sa vocation, c’est l’ISR: intelligence, surveillance et reconnaissance », autrement dit la collecte des renseignements, la surveillance du terrain en temps réel et l’appui aux troupes terrestres, explique le capitaine « Gil », 30 ans, commandant d’une escadrille « qui opère tous les jours, 24 heures sur 24 » de la base aérienne de Palmahim, au sud de Tel-Aviv.
Totalement autonome du décollage à l’atterrissage, le Heron garde contact avec un QG opérationnel mobile sur fréquences radio. Sa caméra à haute résolution permet de distinguer nettement un suspect au sol.
Equipés de missiles, les drones frappent sans être vus. Leur ronronnement familier pèse sur la bande de Gaza.
« Sous diverses appellations, une centaine de Heron ont déjà été vendus à travers le monde, notamment à la France, l’Allemagne, l’Australie, au Canada, à l’Espagne ou à la Turquie, et on les retrouve en Afghanistan et en Irak », explique Jacques Chemla, ingénieur en chef et « cerveau » de MALAT, le département des UAV (Unmanned Air Vehicle), les drones, d’Israel Aerospace Industries (Industries aéronautiques d’Israël – IAI).
Pour découvrir ce saint des saints, près de Tel-Aviv, il faut montrer patte blanche. Caméra, téléphone portable ou magnétophone sont interdits et un censeur veille aux propos émis.
« Israël est le premier exportateur mondial de drones, avec plus d’un millier d’appareils vendus dans 42 pays, soit un chiffre d’affaires annuel d’environ 350 millions de dollars », précise M. Chemla.
Le MALAT fournit ses clients clé en main, avec les qualifications requises, le soutien logistique (la formation) et technique, voire en leasing. Plus d’un millier d’employés et sous-traitants phosphorent pour remplir les carnets de commandes. Sur 80 projets examinés, 15 ont été retenus.
Le drone le plus imposant, le Heron TP, baptisé Eytan (« Fort » en hébreu), de la taille d’un Boeing 737, pèse 4,5 tonnes. Récemment adopté par l’armée de l’air israélienne, il a une autonomie de vol de 36 heures et transporte à 13.000 mètres d’altitude une charge utile d’une tonne. Il communique via satellite. Son rayon d’action couvre l’Iran.
A l’inverse, le Parpar (« papillon ») ne pèse que 35 grammes. Avec cet oeil volant, les forces russes auraient eu davantage de chances d’éviter le massacre de Beslan en 2004 en localisant le commando pro-tchétchène qui avait pris des otages dans une école, selon les experts israéliens.
Les mini-drones peuvent aisément être lancés, puis récupérés à l’aide de filets, de parachutes de freinage ou encore en se retournant sur le dos à l’atterrissage pour préserver leur caméra fixée sur le ventre.
Les applications civiles des mouchards du ciel ouvrent aussi des perspectives infinies.
« Après d’interminables patrouilles, quand le bleu de la mer et du ciel se confondent, les aviateurs rêvent tous d’être remplacés par des drones surveillant les frontières, le littoral ou les oléoducs », affirme M. Chemla.
Et d’ajouter que seuls ses drones sont capables de guider les pompiers en repérant à travers les fumées les foyers des feux de forêt.

afp

Les drones ne sont pas des armes comme les autres, récfléchissez y. Je manque de vocabulaire négatif pour critiquer ces armes. Je ne sais pas trop comment vous amener ça, mais rien d’étonnant que ce soit des juifs qui soient champion dans cette technologie, c’est bien leur méthode de traitre, de ruse, de lacheté totale, d’excès de superiorité et d’une volonté de toute puissance. Je sais que certains d’entre vous vont me trouver débile de réagir de la sorte, je suis désolé mais c’est la conclusion (qui changera peut être) que j’en tire aujourd’hui. Je pense réellement qu’il y a un problème avec le judaisme, ces gens sont dans leur immense majorité des psychopathes irrécupérables, ils croient sincèrement nous être superieur et je ne peux pas accepter que quelqu’un pense et agisse comme si il était structurellement meilleur que les autres. Il est clairement écrit dans leur livre que tuer un goy n’est pas grave, je vous demande avec insistance de lire  » Histoire Juive, le poids de 3 millenaires  » Histoire juive – Le poids de trois millénaires Ce livre est véritablement incroyable, c’est un regard très critique d’un juif sur sa religion. Je précise que ce n’est pas une question de religion en général, l’Islam et le christianisme contiennent des messages qui de manière conjoncturelle sont parfois violents , le judaisme lui est structurellement violent, lisez l’ancien testament vous verrez. Leur conscience est donc altérée, leurs référents sont malsains, ils croient réellement être les élus de Dieu et nous considèrent comme des moins que rien. Les juifs sont racistes, profondément racistes, ils détestent les noirs, ils haissent les blancs et le christainisme et le plus marrant ils se détestent entre eux, je ne sais pas si vous avez suivi l’histoire de l’école dans la colonie d’immanuel en Cisjordanie ou les parents ashkenazes ne veulent surtout pas (jusqu’à préférer aller en prison pour quelques semaines, ce qui c’est passé !) que leurs enfants jouent, grandissent et apprennent avec des enfants sefarades.

En parlant de sefarade, regardez ce documentaire israelien, ça raconte comment dans les années 50 des milliers d’enfants uniquement sefarades ont été irradiés par des juifs qui 10 ans plus tot se faisait latter la gueule dans toute l’europe parcequ’il étaient juifs, ils n’ont vraiment rien compris, ou plutot si ils ont parfaitement compris la leçon d’améliorer la race !!!! Les premiers dirigeants d’israel ne voulaient pas que les sefarades soient trop nombreux, ils voulaient un état juif ashkenaze, des biens blancs !!!





Sympa le traitement…. Ces gens sont à la masse, ils vont venir des juifs ( en organisant des attentats qui tuent des juifs dans les pays arabes) pour ensuite les irradier en israel.

Et encore nous avons de la chance, ils ne sont qu’une quinzaine de millions, imaginez une seconde qu’ils soient 100 millions !! Trève de plaisanterie, ces drones sont responsables de la mort de pakistanais et d’afghans quasiment chaque jour, souvent pour tuer un resistant, ils bombardent la maison bien que toute sa famille soit présente, c’est ça les drones. Un don de quasi ubiquité au service de la mort, très techno fascisme froid et implacable, la lacheté à l’état pure.

Et au passage l’article de l’afp est ignoble, on dirait qu’ils se prosternent devant israel en vantant avec joie les capacités de mort d’israel, c’est super le journalisme.

La Cour suprême américaine lève certaines restrictions sur les armes à feu

juin 29, 2010

La Cour suprême américaine a limité, lundi 28 juin, les restrictions à la possession des armes à feu aux Etats-Unis, que les pouvoirs locaux pourront difficilement interdire, au nom du deuxième amendement de la Constitution.

« Il s’agit d’un grand jour dans l’histoire des Etats-Unis », a immédiatement réagi après l’annonce de la décision la puissante NRA, un groupe d’influence qui prône une complète libéralisation des armes. Plus de 200 millions d’armes à feu sont en circulation aux Etats-Unis (pour 300 millions d’habitants), régies par les pouvoirs locaux, et provoquent 30 000 décès par an, selon les statistiques (PDF en anglais) de la Brady Campaign, qui milite à l’inverse pour un durcissement des limitations.

Dans une décision à cinq voix contre quatre baptisée « McDonald versus Chicago », la plus haute juridiction des Etats-Unis a estimé lundi que « le deuxième amendement garantit le droit individuel de chacun de conserver et de porter une arme à feu pour servir des intérêts légaux, notamment l’autodéfense chez soi ». Rédigé au XVIIIe siècle pour le seul Etat fédéral, cet amendement affirme qu' »une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d’un Etat libre, le droit qu’a le peuple de détenir et de porter des armes ne sera pas transgressé ».

UNE AUTORISATION ÉTENDUE À TOUT LE PAYS

Cette décision intervient deux ans après que la Cour a levé l’interdiction totale des armes à feu dans la ville de Washington – régie par la loi fédérale. Saisie par un habitant de Chicago, où les armes sont également complètement prohibées, elle a sans grande surprise étendu le droit de posséder des armes à feu à tout le pays. La Cour a estimé que le deuxième amendement pouvait s’imposer à chaque Etat au même titre que la liberté d’expression ou celle d’exercer la religion de son choix.

Mais, a-t-elle insisté, « en annulant une loi interdisant la possession d’armes à feu chez soi, [la Cour] reconnaît que le droit de posséder et de porter une arme à feu ne signifie pas le droit de porter n’importe quelle arme à feu, de n’importe quelle manière et dans n’importe quelle circonstance ». Elle cite les interdictions de rentrer armé dans les écoles ou des bâtiments publics, ou encore la possibilité pour des personnes mentalement déséquilibrées d’acheter une arme à feu.

Pour l’association Violence Policy Center de Washington, néanmoins, « des gens vont mourir à cause de cette décision », qui est selon elle « une victoire pour le lobby des armes et pour l’industrie des armes à feu ». Plus modérée et optimiste sur la décision, la Brady Campaign a déclaré de son côté dans un communiqué s’attendre à ce que « le lobby des armes et les criminels armés essayent de faire annuler les lois limitant la possession des armes et que leurs tentatives échouent ».

le monde

Très très bonne décision, en ces temps troublés être armé est une nécessité.
Lisez cet article, c’est l’article qui est étrangement le plus lu du blog, chaque jour il est dans les 3 plus lus alors qu’il date de novembre, les gens doivent se l’envoyer.

L’économie mondiale risque la « rechute »

juin 29, 2010

La Banque des règlements internationaux (BRI) a averti lundi de risques de « rechute » de l’économie mondiale dans une période de crise, si les gouvernements ne mettaient pas rapidement un terme à leurs plans de soutien conjoncturels et de politique monétaire avantageuse. « Conjuguées aux vulnérabilités qui subsistent dans le système financier, les effets secondaires des soins intensifs (à l’économie mondiale) appliqués sur une période aussi longue ne sont pas sans créer des risques de rechute », a souligné la BRI dans son rapport annuel.

Selon la banque centrale des banques centrales, « les programmes de soutien aux marchés et aux établissements ont créé une dépendance dont le système financier risque d’avoir des difficultés à s’affranchir ». Au lendemain de la crise financière en 2008, les Etats sont venus au secours des banques avec des plans de soutien massifs. Ils ont également injecté des milliards pour relancer leurs économies touchées de plein fouet par la crise des « subprime ».

Afin de soutenir la conjoncture, les instituts d’émission ont notamment réduit à partir de 2009 leurs taux directeurs, actuellement à des niveaux proches de zéro.
L’institut de Bâle craint que ces plans de soutien publics, ajoutées à une politique monétaire expansionniste et à la vulnérabilité des établissements financiers « menacent de faire avorter la reprise ».
le figaro

Ce qui est comique c’est qu’en face de l’article une bève annonce  » la reprise va contiinuer « , c’est strauss kahn qui le dit !

Le CAC 40 a perdu 4%, les marchés flippent du manque de reprise, il y a aussi cette histoire de méga remboursement de 442 milliards d’euros :
lesaffaires.com

En fait la BCE récupère 440 milliards mais en reprete 300, c’est super….

La violente charge du roi Abdallah contre l’Iran et Israël

juin 29, 2010

Le monarque saoudien, qui rencontre ce mardi Barack Obama à la Maison Blanche, n’a pas mâché ses mots lors de la récente visite à Djeddah d’Hervé Morin, le ministre de la Défense. « Il y a deux pays au monde qui ne méritent pas d’exister : l’Iran et Israël », lui a déclaré le roi Abdallah, le 5 juin dernier.

Cette violente diatribe contre les deux ennemis désignés de l’Arabie nous a été confirmée par deux sources, diplomatique et militaire, françaises à Paris. On ignore quelle a été la réaction du ministre de la Défense, qui était entouré d’une poignée de diplomates et de hauts-gradés lors de l’audience avec le roi, point d’orgue d’une visite de deux jours en Arabie, un mois avant celle du souverain à Paris.

La charge d’Abdallah est intervenue quelques jours après l’assaut israélien contre la flottille humanitaire au cours duquel neuf Turcs ont été tués par les forces de sécurité de l’Etat hébreu. La bavure a suscité une vague de critiques dans le monde arabe et placé Israël sur la défensive au plan international. L’impunité dont jouit, selon lui, Israël exaspère le roi Abdallah, déçu que l’Etat hébreu n’ait jamais accepté son plan de paix global, présenté au nom des 22 pays arabes lors d’un sommet à Beyrouth en 2002.

Toute aussi profonde, sa colère contre l’Iran est alimentée par les craintes que suscitent en Arabie les ambitions nucléaires de Téhéran. Il faut y ajouter l’antagonisme traditionnel entre les deux pôles principaux de l’islam : Riyadh pour le monde sunnite et Téhéran pour les chiites.
Le pouvoir saoudien ne supporte pas l’entrisme iranien dans les affaires intérieures libanaise, irakienne, yéménite et même au sein du royaume wahabite, où l’Iran est soupçonné de «travailler » certaines franges radicales de la minorité chiite.

Ironie du calendrier : il y a quinze jours, le Times rapportait que l’Arabie saoudite avait donné son feu vert au survol de son territoire par des avions israéliens pour aller bombarder des sites nucléaires iraniens. Riyadh a catégoriquement démenti ces allégations.

Le roi Abdallah est attendu le 12 juillet à Paris pour l’inauguration de l’exposition au Louvre consacrée aux « Routes d’Arabie, archéologie et histoire du royaume d’Arabie saoudite ». Le monarque saoudien aura à cette occasion des entretiens politiques avec Nicolas Sarkozy. Claude Guéant, le secrétaire-général de l’Elysée, s’est rendu en mai en Arabie pour « pousser » certains dossiers commerciaux, notamment celui lié à la construction d’un TGV entre les villes saintes de La Mecque et Médine pour laquelle Alsthom est en lice.
blog.lefigaro.fr/malbrunot

Bon bey comme ça nous sommes sûrs que les bruits comme quoi l’Arabie Saoudite permettrait à Israel de survoler son espace aérien afin d’aller bombarder sont vrais. Souvent on s’allie à un ennemi lointain pour détruire un ennemi proche et c’est le cas ici. Ces Saoud sont vraiment des merdes, mettre sur le même plan ces chiens de juifs extrémistes qui OCCUPENT la Palestine et l’Iran qui n’emmerde personne. J’espère que cette information est fausse, que c’est de la propagande, ça me rend malade sinon. Les Saoud sont vraiment trop cons, en aidant les extrémistes juifs à anéantir l’Iran, le royaume deviendra la dernière puissance à abattre dans la région et ils se feront démembrer, ce sera bien fait pour eux. libération
Pourtant cela fait des années que je sais que l’Arabie Saoudite collabore avec les juifs extrémistes qui occupent la Palestine, notamment avec le groupe Welch et les manigances au Liban mais la c’est autre chose, un bombardement massif en Iran et des conséquences incalculables, ils vont surement le payer très cher.

Honnêtement, les saoud doivent absolument disparaitre, il n’y a pas plus traitre que ces gens, rien n’est plus grave que de s’allier à israel et de cautionner ses agissements.

La CIA est sans nouvelles de Ben Laden depuis presque 9 ans , ha bon…

juin 29, 2010

Lors de l’entretien qu’il a accordé à Jake Tapper (ABC, This Week, 27 juin 2010), le directeur de la CIA Leon Panetta a indiqué que l’Agence ne disposait d’aucune information sur Oussama Ben Laden depuis qu’il a quitté l’Afghanistan pour le Pakistan (fin 2001).

Engagé par la CIA en 1979, l’homme d’affaire yemeno-saoudien Oussama Ben Laden a dirigé le financement des Moujahidins afghans contre les communistes. Il se serait retourné contre les Etats-Unis lors de l’opération Tempête du désert (1991), et serait traqué depuis par la CIA. Cependant, contredisant cette version officielle, il a été hospitalisé en août 2001 à l’hôpital américain de Dubaï, sous la protection de la CIA, et y a reçu diverses personnalités politiques.

L’Agence et le pouvoir politique le considèrent comme le commanditaire des attentats du 11 septembre 2001. Cependant, contredisant cette version officielle, le FBI n’a pas émis d’avis de recherche à son nom sous ce motif.

Divers enregistrements audio et vidéo ont été attribués par la CIA à Oussama Ben Laden au cours de la décennie. Cependant, contredisant cette version officielle, les experts suisses de l’Institut Dalle Molle d’intelligence artificielle perceptive, qui font référence dans le monde en matière d’authentification sonore et visuelle, ont établi que ces enregistrements étaient tous des faux.

C’est pour venger les victimes du 11-Septembre et arrêter Oussama Ben Laden que le président Bush a ordonné l’attaque de l’Afghanistan. Dans les cas où celui-ci ne serait pas responsable des attentats, ou dans celui où il ne serait plus dans la région, ou encore dans celui où il serait mort, il n’y aurait plus de justification rhétorique à la présence militaire US en Afghanistan.
voltairenet.org

9 ans sans nouvelles, elle est bonne celle la, ils ne doutent de rien ces américains, ils reconnaissent donc que Ben Laden est mort.
Le plus marrant, c’est de voir que le blog Drzz, des néo conservateurs ultra sionistes et ultra islamophobes dire que les vidéos de Ben Laden sont fausses :

Chaque année, le 11 septembre, les réseaux islamistes diffusent la même rengaine : un « enregistrement vidéo » avec image fixe où on entend, assure-t-on, la voix d’Oussama Ben Laden, le promoteur des attentats du 11 septembre.

Les analystes de « drzz.info » ignorent, et depuis longtemps, cette désinformation flagrante. En effet, outre le fait que le chef islamiste n’apparaît plus à l’image, signe évident d’un malaise du côté d’Al-Qaeda, plusieurs indices montrent que le dirigeant symbolique d’Al-Qaeda a été tué depuis longtemps. Certains disent qu’il est mort depuis novembre 2001.

Notre consultant Ishmael Jones, ancien de la branche clandestine de la CIA qui a servi contre Al-Qaeda en Irak et au Moyen Orient jusqu’en 2006, nous a fait part de ses doutes croissants au sujet de ces « enregistrements de Ben Laden ». Même son de cloche chez notre consultante Laurie Mylroie, spécialiste du terrorisme islamiste, ancienne conseillère du Pentagone entre 2000 et 2002, et proche amie de James Woolsey, le directeur de la CIA sous l’ère Clinton. Mme Mylroie nous avait fait suivre, à l’été, un article de son ami Angelo Codevilla.

Codevilla a servi comme officier de la marine puis professeur de relations internationales à Boston. Spécialiste du renseignement civil et militaire, c’est lui qui était chargé des questions de sécurité au sein de l’équipe de transition de Ronald Reagan, au début des années 80. Codevilla écrit : « il y a plus de raisons de croire à la survie d’Elvis Presley qu’à celle d’Oussama Ben Laden ».

Dans la revue The Spectator, Codevilla apporte des preuves solides pour étayer ses dires. Il cite l’Institut Dalle Molle de renseignement vocal, installé en Suisse, qui a analysé les enregistrements du Saoudien en octobre 2001, date de son dernier interview avéré avec la chaîne Al-Jazeera, et les a comparés à la voix des messages audios diffusés depuis cette date. Les échantillons ne correspondent pas. La voix de Ben Laden entendue depuis octobre 2001 n’est pas la sienne, mais plus vraisemblablement un imposteur recruté par le service de relations de presse d’Al-Qaeda. Un avis partagé par le professeur Bruce Lawrence, des études religieuses de l’Université de Duke, qui juge que les messages très politiques de Ben Laden diffusés depuis 2001 n’ont plus de références au wahabbisme contrairement aux messages authentiques du Saoudien enregistrés à la fin des années 90. Une preuve, selon lui, de désinformation.

Dès 2006, un spécialiste en défense australien le pensait. « Mais s’il est mort, il est impossible pour les gouvernements occidentaux de le prouver ». Robert Baer, le célèbre ex-chef d’antenne de la CIA, abonde dans le même sens, écrivant dans Time Magazine à l’automne 2008 : « Quand Obama va-t-il mettre fin à la chasse du fantôme Ben Laden ? »

Al-Qaeda aurait besoin de montrer Ben Laden vivant pour faire taire les rumeurs de mort de son chef. Si l’organisation terroriste ne le fait pas, c’est parce qu’elle ne le peut pas. De l’autre côté, dans l’impossibilité de montrer le cadavre du Saoudien, autant la CIA que ses homologues occidentaux laissent la propagande d’Al-Qaeda occuper la scène médiatique.

Sur le terrain, la mort de Ben Laden semble faire l’unanimité chez les anciens des services de renseignement. Le colonel Jacques Baud, vétéran du SRS, les services secrets extérieurs suisses, a récemment expliqué que la CIA a depuis longtemps ré-orienté ses recherches vers d’autres chefs islamistes. La cellule de la CIA chargée de traquer Ben Laden a, dit-il, été dissoute en 2006.
drzz.info

Je vous avez déja donné mon point de vue sur le fake Ben Laden, il semblerait que le millieu du renseignement partage l’idée que le chef d’al quaida soit mort depuis des années. Il n’y a que les gogos et les sionistes primaires en quete de guerre contre les musulmans qui relayent encore la menace Ben Laden.

Un jour, nous devrons juger et condamner ceux qui ont créé l’épouvantail Ben Laden et manipulés les populations.

Restructurer la dette, l’arme fatale des Etats

juin 28, 2010

Victime de ses divergences internes, le G20, réuni à Toronto du 25 au 27 juin, semble avoir perdu le crédit de l’opinion quant à sa capacité à gérer la crise. En revanche, les inquiétudes des marchés et des gouvernements quant à la capacité des Etats de la périphérie de la zone euro – Grèce et Espagne en premier lieu – à honorer leurs dettes à terme échu, et surtout l’exposition du système financier au risque de défaut souverain de ces Etats, ont mobilisé l’attention.

« Nombre d’investisseurs cherchent à se débarrasser au plus vite des titres qu’ils détiennent sur les Etats fragiles, mais aussi sur l’ensemble de l’eurozone », observe un économiste de banque sous couvert d’anonymat. Paradoxalement, le mécanisme de stabilisation européen doté de 500 milliards d’euros et annoncé le 9 mai, censé ramener la confiance dans la valeur des titres d’Etat, a plutôt incité à s’en débarrasser.

Aussi, certains investisseurs, sceptiques sur la capacité des Etats fragiles à retrouver la confiance des marchés, mais aussi des économistes qui doutent que leurs croissance et leurs populations puissent supporter une austérité prolongée, jugent inévitable, voire souhaitable, une restructuration de la dette, c’est-à-dire la négociation de nouvelles conditions de remboursement (délais, intérêts, montant) au détriment des créanciers.

Mais cette solution est aujourd’hui jugée impensable par les gouvernements, qui craignent ses effets sur l’état déjà déplorable des banques créancières, et une contagion de la défiance des marchés envers la zone euro tout entière.

Le hasard du calendrier veut que l’Argentine – responsable du plus grand défaut souverain de l’histoire, en 2001 – ait conclu le 22 juin avec ses derniers créanciers (à quelques-uns près) une telle négociation, ouverte en 2005.

Au final, les créanciers auront perdu en moyenne 50 % de la valeur faciale de leurs engagements. Mais cela n’a pas empêché l’Argentine de retrouver les crédits nécessaires sur les marchés internationaux grâce au retour de la croissance à partir de 2003. « Ce n’est donc pas la fin du monde, observe Nicolas Véron, de l’Institut Bruegel, un think tank bruxellois. Rétrospectivement, on peut s’apercevoir que c’était la bonne décision. »

Une décision d’ailleurs prise maintes fois par le passé, suivant des modalités variées. « Le défaut russe a marqué un tournant dans le règlement des crises financières internationales, concernant le partage du coût des créances entre créanciers publics et privés », analyse Nicolas Meunier, économiste et spécialiste en risque-pays. Lors du défaut russe de 1998, l’encours de la dette était constitué d’une part de la dette obligataire externe, héritée de l’Union soviétique, dissoute fin 1991, d’autre part de l’endettement cumulé en capitaux étrangers. Certains emprunts étaient libellés en roubles, d’autres en devises.

Créées en 1993, les GKO (obligations d’Etat à court terme) avaient connu un franc succès. Leurs taux s’étaient envolés à près de 200 % en termes réels en 1996 et avaient attiré d’importants capitaux étrangers. A partir de fin 1996, le gouvernement russe avait commencé à recourir à des émissions en devises internationales et autorisé les banques étrangères à détenir des titres en roubles. Cette course effrénée a mené au krach.

Si les titres de la dette interne libellés en roubles relevaient de la juridiction russe, la dette extérieure, en partie émise en euro-obligations, était soumise à la surveillance des autorités financières internationales. « Le gouvernement Eltsine a donc décidé de ne pas rembourser les créanciers de titres émis en roubles, une partie de la dette soviétique a été annulée, et la dette contractée auprès du Club de Paris a été remboursée par anticipation », indique John Chambers, président des comités de notation des Etats chez Standard & Poor’s. Le traitement de la dette a donc été défavorable aux créanciers privés : les détenteurs d’obligations d’Etat à court terme – réglementés par les lois locales – ont subi jusqu’à 90 % de décote.

INTÉRÊTS DIVERGENTS

Face à une telle restructuration, les intérêts des acteurs sont bien sûr divergents.

Les investisseurs institutionnels peuvent préférer la certitude d’un remboursement, même échelonné et moins bien rémunéré, à une succession de crises ; certains fonds spéculatifs pourront exiger leur dû en justice, tandis que d’autres préféreront racheter de la dette titrisée à bas prix dans l’espoir qu’un retour de l’Etat débiteur à meilleure fortune leur permette de la revendre plus tard à bon prix.

La population peut se diviser entre épargnants, victimes immédiates de la restructuration, et salariés, soulagés de l’abandon de l’austérité. Les entreprises se partagent entre celles qui peineront à se financer sur les marchés, et celles qui, parce qu’elles exportent, bénéficieront de la dévaluation qui accompagne un défaut souverain. Le choix de la restructuration est généralement la résultante de ces intérêts divergents. « C’est avant tout un choix politique, estime Nicolas Meunier. C’est au gouvernement de décider, soit de continuer à ponctionner l’économie pour pouvoir rembourser, soit de changer le cadre de ce remboursement en ouvrant une négociation avec ses créanciers. »

ans le cas des Etats de la zone euro, l’équation est encore plus compliquée. Les conséquences d’un tel acte sur les autres pays de la zone les contraignent à trouver un accord politique au niveau de l’Union. Ce qui peut être passablement difficile, gagnants et perdants de l’opération n’ayant pas forcément le même poids d’un pays à l’autre.

le monde

C’est la première fois que je lis dans la presse une article qui explique clairement que c’est possible de ne pas rembourser la dette, c’est déja ça. En france 40% de la dette est détenue par des particuliers aux travers de produits financiers et d’assurance vie. J’en reviens pas que la Russie a préféré rembourser le Club de Paris plutot que les gens. Je pense qu’il ne vont pas avoir besoin de détricoter les positions de qui doit quoi à qui, c’est l’ensemble du système qui va s’effondrer, plus personne ne devra rien, mais plus personne ne possèdera d’argent….

Sinon, voila le commentaire visible par ceux qui lisent l’article :

La solution est toute simple et évidente: les états n’ont qu’à régler leurs dette avec de la monnaie émise par les états !

Et oui, c’est bien que tous ceux qui ont lu cet article sur le site du Monde ont été confrontés à cette idée.

Spy system for airlines to tackle terrorism

juin 28, 2010

Airline passengers could have their conversations and movements monitored under a European Union project aimed at tackling terrorism.

A combination of cameras, microphones, explosive sniffers and a sophisticated computer system would give a pilot early warning of any danger Photo: ANTHONY UPTON

Brussels is funding research at Reading University aimed at detecting suspicious behaviour on board aircraft.
A combination of cameras, microphones, explosive sniffers and a sophisticated computer system would give a pilot early warning of any danger. But the work will alarm civil liberties campaigners who fear the growth of the surveillance state.

The Reading team, headed by James Ferryman, has conducted trials of the camera system on a British Aerospace plane and the computer system on a mock Airbus.
Similar systems have been deployed at stations and airports around the world, using CCTV to gather information and software to analyse it.
The software looks out for unusual behaviour or events, such as a case being left unattended or an individual going against the crowd flow.
« What we are doing is extending technology already used at airports and railway stations and placing it on an aircraft, » Mr Ferryman said.
Cameras dotted around an aircraft would look out for the abnormal, such as several passengers entering a lavatory at the same time or individuals seeming agitated.
One option would be to allocate some seats to passengers whose behaviour has already raised concern at the airport, so they could be monitored on board.
Microphones would eavesdrop, listening out for anything which could suggest terrorist behaviour. Inside the lavatories explosives sniffers would detect if a bomb was being assembled.
All this information would be analysed by computer and if it spotted something untoward, the flight deck would be told instantly.
The key to the work is developing software which can spot a genuine threat. « We want to avoid saying that nervous passengers are potential terrorists, » Mr Ferryman said
According to researchers this technology would have thwarted the « underpants bomber » who tried to detonate an explosion on a Christmas Day flight to Detroit.
« It is known that the terrorist was acting nervously in the airport prior to boarding – this could have been picked up with the same automated CCTV technology – and that they spent time in the toilet assembling the components of the explosive, » Mr Ferryman said.
Money for the research has come from the EU Security of Aircraft in the Future European Environment (SAFEE) project. But the aviation industry would be expected to pay for its deployment.
The cost would inevitably be passed on to passengers but Mr Ferryman believes they would accept a small charge to thwart a terrorist threat.
« If I had to pay an extra £5 on an airline ticket and it would go towards a system which would make me safer, I would be happy to do it, » he said.
A Department for Transport spokesman said: « We have no plans to instruct airlines to install this system on their planes. »
The research alarmed Gus Hosein of campaign group Privacy International and a London School of Economics lecturer.
« This is getting out of control. An aeroplane is not a privacy free zone, » he said.
telegraph
traduction google

Des micro dans des avions, elle est bonne celle la , je t’en foutrais moi des micro dans les cabinets ministeriels, quelle bande de malade quand même, tout ça sous l’égide de cette europe avec son oeil malfaisant.

Il doit y avoir pas plus de 1000  » terroristes  » pret à se faire sauter dans un avion et pourtant l’Autorité veut surveiller toute la population, c’est vraiment du foutage de gueule, les services secrets n’ont qu’à faire leur travail, au lieu de laisser monter dans l’avion des individus pourtant surveillés et signalés comme terroriste.

Le G8 convaincu qu’Israël attaquera l’Iran préventivement

juin 28, 2010

Selon le Premier ministre italien Silvio Berlusconi, les dirigeants du G8  »sont absolument convaincus » qu’Israël pourrait décider d’entreprendre une opération militaire contre l’Iran à titre préventif, pour l’empêcher de se doter de l’arme nucléaire. Il a tenu ces propos dimanche, lors d’une conférence de presse à l’issue de la réunion des dirigeants des 8 pays les plus industrialisés à Toronto.
guysen

Si c’est vrai (j’arrive pas à trouver d’autres sources que guyssen ou des sites juifs) franchement ça craint, on sait tous que Berlusconi soutient israel sans faille et il se sent à l’aise en disant cela ce taré de vieux pervers, si les membres du G8 acceptent qu’israel bombarde l’iran, c’est que soit ils sont complètement cons et sous estiment totalement la reaction des iraniens, soit qu’ils participeront à cette attaque, pas uniquement les usa et l’england, mais aussi l’allemagne dont un navire de guerre a traversé Suez avec la flotte israélo-us, la france dont plusieurs rafales sont stationnés sur le truman, le canada de Harper est pro israelien comme bush l’était, ça ne m’étonnerai pas qu’il prenne part à l’attaque également, idem pour l’Italie. Le japon ne comptant pas sur la scène interntionale il n’y a que la Russie qui me pose problème, Poutine et Medvedev n’iront pas bombarder la centrale nucléaire qu’ils ont eux même construit mais ne feront rien pour empécher une attaque, ils n’ont même pas été foutus de vendre des missiles de défense. La Chine(pas dans le G8) ne fera rien non plus. Je soupçonne les États unis de posseder des armes qui font flipper tout le monde….

J’espère vraiment que c’est de la propagande, je sais que nos dirigeants sont fous et que les juifs extrémistes en quete d’apocalypse mènent la danse, mais je doute quand même d’une telle attaque, ou alors c’est un signe que la situation économique est désespérée et que les acteurs importants du monde ont décidé d’accelerer le cour de l’histoire en provoquant l’effondrement généralisé et installer une gouvernance centralisée pour l’occident.