Il y a parfois des graphiques qui parlent d’eux-mêmes. A tel point que l’analyste n’a pas besoin de trouver des mots modérés, ni s’inquiéter s’il a commenté la situation avec la neutralité nécessaire, mais juste à laisser le lecteur se faire son jugement.
Selon la Fed, le total de la dette américaine (Total credit market debt outstanding) financée par les marchés de crédit à la fin du troisième trimestre 2010 était de 52 200 milliards de dollars. Le passif total de tous les secteurs (Total Liabilities) des Etats-Unis, publié par la Fed dans le Flow of Funds Matrix s’élevait à 139 500 milliards de dollars fin 2009. Début 2011, ce chiffre a dépassé les 140 000 milliards.
Pour mémoire, le PIB américain s’établit à environ 14,575 milliards de dollars.
Face au problème du surendettement des pays industrialisés, on a l’impression que seuls les pays du coeur de la zone euro sont vraiment disposés à trouver des solutions qui auront un véritable effet sur la racine du mal. Le contraste avec les Etats-Unis, où les dettes continuent de croître régulièrement, devient saisissant. Le déficit de la balance commerciale américaine a de nouveau augmenté en 2010 d’environ un tiers.
La situation financière est très précaire dans plusieurs Etats. Près de 43 millions d’Américains dépendent de l’aide alimentaire (Supplemental Nutrition Assistance) pour se nourrir, un plus haut absolu. La prolongation des allégements fiscaux pour les riches Américains est un manque à gagner, pour le budget fédéral, estimé à 800 milliards de dollars. Un prix du pétrole à près de 100 dollars le baril freine l’activité économique ce qui, là encore, réduit les rentrées fiscales.
Conclusion : un véritable optimisme quant au développement de l’économie américaine est difficilement justifiable aux regards des fondamentaux. Wall Street bénéficie uniquement de la liquidité abondante. Dans un tel contexte, la pression sur le dollar se renforce.
Dr. Eberhardt Unger est un économiste indépendant, fort de plus de 30 ans d’expérience des marchés et de l’économie. Vous pouvez retrouver ses analyses sur le site http://www.fairesearch.de
moneyweek
C’est tellement délirant que c’est à peine croyable, les USA n’ont qu’une seule solution, se mettre en faillite et ne pas payer les dettes. Ce jours la on risque de rigoler …
Il s’agit bien sûre d’un hasard malheureux que ce soit des gens comme greenspan ou bernanke qui sont aux commandes quand le pays fait faillite ou encore Robert Zoellik pour la banque mondiale et strauss khan pour le
fmi.
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janvier 31, 2011 à 21:43 |
Il sont virtuellement morts comme toutes les guerres qu’ils consomment voir le document sur le major Ralph Peters, stratégiste US, un vrai Dr Follamour sur De Défensa. org avant et après la guerre en Irak.
Un de mes favoris sur la tribu du cinéma tout court
avril 22, 2012 à 11:48 |
je ne comprend pas. Plus les US vont mals, plus les économies européennes vont encore plus mals. Qui paie les EU?;