Bonne nouvelle: le Canada sous occupation sioniste est éjecté du Conseil de sécurité de l’ONU en raison de son soutien totalement irrationnel à Israël


jeudi 14 octobre 2010 à 0H01
En plein dans les gencives!

par Gérald Larose

Après avoir renié ses engagements, après avoir abandonné son rôle traditionnel de médiateur et après s’être littéralement moqué de l’institution, il avait eu le front de poser sa candidatue au Conseil de sécurité de l’ONU. Devant autant d’arrogance les 193 pays auraient pu se contenter de lui faire un doigt d’honneur. Mais non! Ils l’ont rossé totalement. En plein dans les gencives!

Le Canada a déchiré sa signature sur le protocole de Kyoto; les pays un peu soucieux de l’environnemnt ne l’ont pas trouvé drôle.

Le Canada s’est enchainé corps et âme à Israël; les pays désireux de voir une paix durable émerger du conflit le plus grave de la planète l’ont définitivement écarté comme contributeur à la solution.

Seul pays occidental à ne pas avoir rapatrié son ressortissant de Guantanamo, un enfant soldat de surcroît, le Canada n’hésite plus à abandonner à leur sort ses citoyens issus de l’immigration aux prises à l’étranger avec des procédures judiciaires; les pays qui le croyaient champion de la défense de droits de l’homme ont déchanté.

Devenu pays belligérant, ayant diverti une partie de son aide étrangère vers des activités offensives, le Canada, aux yeux de plusieurs pays pacifistes, s’est disqualifié comme force de paix et acteur de la solidarité internationale.

Ayant réduit sensiblement le nombre de pays à aider, prévilégiant des zones plus rentables économiquement comme celle de l’Amérique latine au détriment de l’Afrique, les pays les plus pauvres se sont sentis abandonnés et trahis par le Canada.

Etc. Etc.

Au niveau international le Canada fut!

En environnement, en droits humains, en solidarité internationale et en option têtue pour la paix, le Canada n’est plus le Canada. Il n’est surtout plus le Québec. Il est devenu un pays voyou. Les Canadiens ne le savaient peut-être pas. La communauté internationale s’est chargée de le leur faire savoir magistralement. En lui préférant un pays à peine plus populeux que le Québec mais beaucoup moins grand, moins riche, moins outillé et géo-politiquement moins bien placé que lui.

Il tombe sous le sens qu’indépendant, comme pays d’Amérique du Nord, mis en compétition avec le Canada, dans les mêmes circonstances, le Québec l’aurait facilement emporté. À défaut, il se fait beurrer.

La perte du vote du Canada à l’ONU: recul de sa renommée internationale

par CJPMO

Mondialisation.ca, Le 13 octobre 2010
Canadiens pour la justice et paix au Moyen-Orient

La piètre performance internationale du Canada sur la question des changements climatiques, la réduction de l’aide versée à certains États africains et son soutien aveugle envers Israël ont été cités comme des facteurs ayant nui à sa candidature pour un siège au Conseil de sécurité de l’ONU.

Le 12 octobre 2010, le Canada a échoué à obtenir un siège au Conseil de sécurité de l’ONU. Après être arrivé en dernière place lors des deux premiers tours de scrutin, le Canada a retiré sa candidature, laissant le Portugal être nommé au cinquième et dernier siège disponible. C’est la première fois dans l’histoire de l’ONU que le Canada ne réussit pas à remporter un siège au Conseil de sécurité alors qu’il prend part à la course. Beaucoup pensent que cette défaite est le reflet d’une renommée internationale ternie suite à la politique étrangère du gouvernement actuel.
Le Canada avait mis de l’avant sa candidature pour l’un des deux sièges attribués à la zone « Europe occidentale et autres pays », mais il a perdu face à l’Allemagne et le Portugal. En fait, le Canada a préféré se retirer de la course après les deux premiers tours de scrutin, au moment embarrassant où il est devenu clair qu’il ne réussirait pas à obtenir un siège. Le Canada a pourtant exercé de fortes pressions pour une place au Conseil de sécurité ces derniers mois: Harper a récemment prononcé deux discours à l’ONU et beaucoup espéraient que cela constituait une garantie virtuelle que le Canada obtiendrait un siège. Mais d’autres ont affirmé que sous les conservateurs de Harper, la politique étrangère du Canada a endommagé sa réputation et sa renommée à travers le monde. La piètre performance internationale du Canada sur la question des changements climatiques, la réduction de l’aide versée à certains États africains et son soutien aveugle envers Israël ont été cités comme des facteurs ayant nui à sa candidature.

Canadiens pour la justice et la paix au Moyen-Orient (CJPMO) estime que la politique étrangère du Canada vis-à-vis la Palestine et Israël est clairement un facteur déterminant ayant conduit à sa défaite à l’ONU. Alors que le Canada était traditionnellement considéré comme une puissance moyenne constructive, capable de négocier de bonne foi entre les parties, le gouvernement Harper est devenu inconditionnellement favorable à Israël. « Le monde a confirmé ce que nous craignions depuis un certain temps – que le Canada ne se fait plus l’étendard des droits universels de l’homme », a déclaré Thomas Woodley, le président de CJPMO. « Lorsque le Canada suggère que la destruction du Liban par Israël en 2006 est une réponse mesurée, lorsque le Canada rejette les conclusions alarmantes des organisations des droits de l’homme concernant Israël, il n’est pas surprenant que les membres de l’ONU votent de la façon qu’ils l’ont fait », continue Woodley.

Des spécialistes de l’ONU ont rejeté l’affirmation du gouvernement selon laquelle les commentaires récents de l’opposition libérale, Michael Ignatieff, aurait fait dérailler la candidature du Canada à l’ONU. CJPMO et d’autres ont suivi le recul du Canada sur la scène internationale ces dernières années, un recul en partie causé par sa prise de position partiale sur les questions du Moyen-Orient. Le Canada devra maintenant attendre encore 10 ans avant de pouvoir demander une place au sein du corps le plus prestigieux de l’ONU.

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Pour plus d’informations, veuillez communiquer avec:
Patricia Jean
Canadiens pour la justice et paix au Moyen-Orient
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Courriel CJPMO – Site Web CJPMO

CJPMO est un collaborateur régulier de Mondialisation.ca. Articles de CJPMO publiés par Mondialisation.ca


vigile.net:

La claque de face qui fait mal
Le Canada derrière les portes fermées du conseil de sécurité
Sauver la face ou sauver le pays ?

François Munyabagisha
Tribune libre de Vigile
mercredi 13 octobre 2010

Se sauver, pour « sauver la face » ! Voilà comment peindre l’ancien champion onusien du maintien de la paix dans le monde. A s’y méprendre, Harpeur et les conservateurs précipitent le pays dans la délinquance humanitaire extrême, voire dans la déliquescence brutale. Son discours farcis d’angélisme nous endort, et nous fait avaler à petites gorgées la potion recroquevillante. Avec Harper.

La claque était prévisible.

Le gouvernement Harper nous l’a cyniquement commandée. Il a cru que le monde se serait aligné à la résurgence de la barbarie militariste à peine voilée, telle que pratiquée par l’empire anglo-américain, hélas le monde n’est pas dupe. Ce gouvernement est tombé des nuages. De Stephen Saint-Laurent à P. Eliot Trudeau en passant par Lester B. Pearson, le Canada s’est mérité une place au podium des grandes nations. Sous Chréstien et Martin, je ne sais pas dire si le Canada s’est maintenu sur son orbite ou s’il s’en est légèrement écarté. Le fait est que sous Trudeau, le Canada était distinct des USA, et sous Harper c’est le Québec qui se voudrait distinct du Canada.

Un feu qui couve depuis longtemps.

Sous Harper, le Canada n’est plus le Canada. Si Harper ou sa vision reste, il faudra renommer ce pays. Harper, ce n’est pas que du conservatisme extrême. Je saurais m’accommoder des conservateurs moralisateurs, après tout ce qui compte c’est l’harmonie de vie. Hélas, harper est le fossoyeur de concitoyens canadiens comme l’Albertain Ronald Allen Smith dans le couloir de la mort aux Usa, ou Omar Khadr dans celui de la dégradation humaine à Gauantanamo. Et bien d’autres cas tenus à l’ombre des projecteurs médias.

La dignité humaine et le respect des droits humains sont cyniquement bafoués par Harper et ses ministres, à tel point que le Canada a rejoint les rangs de pays délinquants. Rien qu’à se remémorer le drame de Droits et Démocratie au milieu duquel son président Rémy Beauregard a perdu la vie. C’était en 2008. Manifestement, Droits et Démocratie, un organisme public non partisan de veille sur l’état des droits humains, devait déranger les conservateurs s’il n’était aligné à leur vision. Bien d’organismes humanitaires, non partisans, se sont du jour au lendemain vus couper les vivres par le gouvernement Harper, parce qu’ils venaient en aide aux victimes des guerres de colonies au moyen orient. De mémoire, rappelons le cas de KAIROS qui aide les Palestiniens à survivre du joug leur imposé par Israël. La coupe à blanc n’a pas été dirigée uniquement vers l’action humanitaire. La culture, l’environnement et l’information peignent un tableau noir sur le drapeau du Canada. Comme si cela seul ne devait suffire, Harper n’a nommé à la diplomatie que des ministres doués pour faire rire de nous. « C’est la faute à l’opposition ! », a lâché l’honorable Lawrence Cannon tentant d’expier son échec. Souvenons-nous du passage de Peter Mackey au sommet de Naïrobi sur le réchauffement climatique en 2006, et de la déclaration de Harper faite à Kampala la veille du sommet de Bali (Kyoto II) en 2007, qualifiant d’erreur le protocole de Kyoto. Etcetera.

En 2006, je criais et écrivais que Boisclair était moins séparatiste que Harper http://www.pressegauche.org/spip.ph… « Au Canada, alors que les souverainistes québécois peinent à rallier des concitoyens à une cause séparatiste, un homme et son gouvernement, démocratiquement portés au gouvernail fédéral, réussissent avec brio à clarifier et tonifier la perception québécoise de « société distincte » et le désir de souveraineté. Ces jokers du séparatisme ne sont pas ceux que d’aucuns s’imagineraient. Ce n’est ni Boisclair, ni Duceppe, ni Parizeau ni Luc Merville. Prônant le militarisme à l’américaine et la franchisation (franchising) d’Ottawa sous influences de Washington, Harper engage une partie de la nation dans la désillusion et la négation des valeurs canadiennes et québécoises, au point de placer le pays à la croisée des chemins. Je ne ferais pas allusion à la guerre des « faucons » Américains en Afganistan ou en Irak, ni à celle de leurs cousins israéliens au Liban, tellement ces barbaries nous sont lointaines et inexplicables comme le rejet par le seul Canada de Harper, de la motion du Conseil de Sécurité condamnant l’extension des colonies juives en territoires occupés. Une voix contre sur 47, la voix du Canada ! Ça n’a rien de canadien, ça sens plutôt l’américain. Pendant que les Québécois et une large majorité de Canadiens des autres provinces réclament sans espoir le règlement du déséquilibre fiscal, pendant que partout au Canada la pauvreté gagne inexorablement du terrain et met en périr l’espoir des jeunes et des retraités, Harper vide généreusement les coffres fédéraux dans les gouffres du militarisme ».

Entre le vrai et l’ivraie.

La politique étrangère du Canada est peut être plus vraie que diplomatique sous l’actuel régime, mais elle met le pays à poils, et ca ne peut être que très dommageable. L’espoir des peuples n’a pas de prix. Et c’est payant de semer l’espoir. Le Canada n’a sûrement jamais été strictement pacifiste, mais il aura été cette voix de l’humanité lointaine que tout le monde entendait et appréciait. Le Canada qui détenait les technologies du nucléaire, s’abstenait de toute course aux armes de destruction massive. En échange, le monde nous ouvrait les bras, heureux de faire affaires avec le Canada. Et, en plus des excédents commerciaux importants, le Canada est devenu le havre de la paix. Des peuples déchirés par la barbarie y trouvent refuge, dans l’espoir de laisser derrière eux leurs stupides différends. Ainsi, des Hutu et Tutsi, des Serbes et des Croates, etc., à l’instar des Juifs et des Palestiniens, revivent sans heurts dans un même cœur de Canadiens.

Mais, voici que Harper prône le parti pris, et choisit ses camps. En agitant sa casquette pro-israélienne, il aliène au Canada la sympathie des pro-la-paix. Pire, il ouvre la porte aux sentiments d’adversités pour qu’ils nous rattrapent au galop.

La gifle d’aujourd’hui devrait nous ouvrir la conscience de nous-mêmes. Elle n’est nullement adressée aux conservateurs, de toute façon la sécurité pour eux c’est Israël, l’Angleterre et les États-Unis. A se demander d’ailleurs quelle mouche les a piqués pour qu’ils demandent à siéger au Conseil de Sécurité ! Après Trudeau, le cœur du Canada a changé, ou plutôt le Canada a été mal représenté dans le monde. Dans les situations catastrophiques et chaotiques que notre monde ait connues, le Canada n’aura pas été à la hauteur des attentes. L’annonce initiale de 100 mille dollars d’aide aux victimes du tsunami en 2004, en dit long sur notre fonds d’empathie et de solidarité envers autrui. Haïti. L’implication la même année du Canada dans le départ du président Jean-Bertrand Aristide, l’élan suiviste et lymphatique de secours après les tremblements en janvier 2010, se passent de tout commentaire. Peut-on passer sous silence le rôle ou l’apparente absence de rôle du Canada dans les tragédies qui ont détruit le Rwanda, l’Irak, que sais-je encore ? L’on ne peut excuser l’inaction, ou l’erreur de jugement qui mène à prendre parti de celui qui mène le jeu. Dans ces deux pays, le Canada a joué des basses dans la partition des USA. Peut-on savoir pour quels intérêts que le rôle traditionnel n’aurait protégé, et qui en est imputable ? Non, inutile et sans importance ! Car, il y a des secrets d’états que l’état lui-même doit ignorer, notamment ceux des individus corrompus à l’égoïsme. Trente ans plus tard, d’autres après nous sauront comment le blason du Canada a terni. Si hier le Canada pouvait trahir son drapeau blanc hissé au plus haut des mas, qu’en est-il maintenant qu’il est en berne, disons même jeté à la poubelle !?

Pour tout ce qui précède, les citoyens québécois ou canadiens qui avons à cœur l’héritage de Stephen Saint-Laurent et Lester B. Pearson, sommes interpellés. Sont également interpellés tous les élus et toutes les gens d’influences, afin qu’ils recentrent leurs visions sur l’importance pour le Canada, pour le Québec et le monde, de la paix et la solidarité entre les peuples.
http://pascasher.blogspot.com Surement un des meileures blog sur la secte.

Bey voila, bien fait pour Harper, peut etre les occidentaux comprendont ils que soutenir les juifs extrémistes ne paye pas.
Les jours du super ghetto (merci george) sont comptés, soyons en sure.

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Une Réponse to “Bonne nouvelle: le Canada sous occupation sioniste est éjecté du Conseil de sécurité de l’ONU en raison de son soutien totalement irrationnel à Israël”

  1. Bonne nouvelle: le Canada sous occupation sioniste est éjecté du Conseil de sécurité de l’ONU en raison de son soutien totalement irrationnel à Israël | Breve.fr Says:

    […] SHOAH PLANETAIRE […]

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