À près de trois semaines des élections législatives anticipées en Grèce, l’économie nationale est plus que jamais au cœur des débats. L’ensemble de la classe politique dénonce la mauvaise gestion des fonds publics, le manque de réserves de liquidités et la situation économique catastrophique.
Selon les dernières prévisions de Bruxelles pour 2010, le déficit public devrait atteindre 5,7% du PIB et la dette plus de 100% du PIB. L’Union européenne et le Fonds monétaire international (FMI) n’ont de cesse de faire pression sur le gouvernement pour adopter des réformes structurelles.
Les chiffres, publiés par l’Institut du travail, viennent appuyer ce constat inquiétant. Le taux réel du chômage est de 15,5% et devrait dépasser les 17,3% en 2010, soit plus de 800 000 nouveaux demandeurs d’emploi dans un pays qui compte 11 millions d’habitants.
De plus, le revenu moyen des Grecs ne cesse de baisser. Plus de 20% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté avec une moyenne de 414 euros par mois. En outre, le salaire de base est passé de 776,20 à 662,10 euros.
Pour faire face, de plus en plus de Grecs sont obligés de cumuler deux à trois emplois, mais n’en déclarent qu’un seul. « C’est inévitable actuellement », témoigne un fonctionnaire. « Après le travail, je ne rentre pas voir mes enfants à la maison, mais je suis chauffeur de taxi. C’est la seule solution pour arriver à gagner près de 1 800 euros par mois », affirme-t-il.
Perte de confiance
« En déclenchant des élections, le gouvernement conservateur reconnaît son échec. Pendant cinq ans, il a déréglé tout le fonctionnement du pays. Gel des salaires et des retraites, augmentation de l’économie parallèle, baisse du revenu des ménages…, souligne Louka Katseli, députée de l’opposition socialiste (Pasok) en charge de l’économie. Les Grecs, pourtant passionnés de politique, ont perdu confiance en leurs dirigeants, de quelque bord qu’ils soient. »
Quel que soit le résultat du scrutin du 4 octobre prochain, tout porte à croire que la Grèce ne fera pas l’économie d’une nouvelle crise sociale à l’instar des émeutes de décembre 2008.
le figaro
ça c’est du chiffre » Les chiffres, publiés par l’Institut du travail, viennent appuyer ce constat inquiétant. Le taux réel du chômage est de 15,5% et devrait dépasser les 17,3% en 2010, soit plus de 800 000 nouveaux demandeurs d’emploi dans un pays qui compte 11 millions d’habitants.
De plus, le revenu moyen des Grecs ne cesse de baisser. Plus de 20% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté avec une moyenne de 414 euros par mois. En outre, le salaire de base est passé de 776,20 à 662,10 euros. »
Quasiment 100 euros en mois,mon dieu c’est terrible,c’est une destruction de richesse ahurissante.
Vous vous rendez compte des proportions de la chute des indices économiques et l’impact sur les populations,en voila de la doctrine du choc,il faut bien surveiller la grèce,il y a déja des petit attentats de groupe d’extrème gauche,comme ici à la bourse d’athènes.
Psyops,manpulation,je n’en sais rien,mais comme l’argentine il y a quelques années,la grèce est dans une très mauvaise passe,il faut aussi se rappeler que la Grèce est le premier pays à avoir dit que toute la population sera vaccinée .
Étiquettes : attentats, chomage, europe, experience greque, faillite, grece, greve, grippe, guerre, maladie, manipulation, pauvreté extrème, psyops, que faire, révolte, recession, temps de guerre, vaccin
octobre 23, 2009 à 19:26 |
[…] https://fonzibrain.wordpress.com/2009/09/18/en-grecele-salaire-de-base-est-passe-de-77620-a-66210-eur… en voila de la baisse de salaire,pauvres gens,perdre 100 euros quand on en gagne 700 ! mon dieu comme c’est grave. […]
janvier 15, 2011 à 15:00 |
[…] élections et ne veut pas être le gouvernement qui baissera les salaires comme l'ont fait la Grèce, l'Irlande, le Portugal et […]